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1 - James Bond contre Dr No - 1962

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Message  Invité Jeu 10 Juil 2008 - 19:40

Ce soir sur France 3 à 20h55 "James Bond contre le dr no", le premier et l'un des meilleurs films de la série, avec l'un des meilleurs Félix Leiter (Jack "Hawaii police d'état" Lord - l'autre étant david Hedison) et pour se rappeler une époque où dans les films de James, il y a avait Miss Moneypenny (mais pas encore le major Boothroyd alias "Q" cependant)

Si France 3 le programme en prime time, cela doit encore plaire à une large audience
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Message  Invité Jeu 10 Juil 2008 - 19:49

Je trouve perso que celui-là n'a justement pas trop bien vieilli ( la faute à un script se référant ouvertement aux premiers essais de tir en fusée habitée de la Nasa à Cap Canaveral - pas encore rebaptisé Kennedy, et pour cause - datant donc l'histoire de façon irrémédiable...Le fameux ' Toppling ' du Dr No ou bidouillage informatique avant l'heure permettant de court-circuiter une liaison radio de téléguidage )

A contrario, le suivant, FRWL reste un chef d'oeuvre à 54 k...
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Message  Estuaire44 Jeu 10 Juil 2008 - 19:55

Peut-être france Télévision va-t-elle avoir la bonne idée de rediffuser les 007 "historiques" durant l'été? Là on serait sûr d'avoir la meilleure série de l'été!

Meilleur Leiter d'accord mais pas meilleure Bond Girl à mon sens. J'ai toujours trouvé la cote d'Ursula Andress très surfaite. Eunice Gayson/Sylvia, par contre... love

Et puis le Spectre sans Blofeld...
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Message  Invité Jeu 10 Juil 2008 - 20:01

Estuaire44 a écrit:Peut-être france Télévision va-t-elle avoir la bonne idée de rediffuser les 007 "historiques" durant l'été? Là on serait sûr d'avoir la meilleure série de l'été!

Meilleur Leiter d'accord mais pas meilleure Bond Girl à mon sens. J'ai toujours trouvé la cote d'Ursula Andress très surfaite. Eunice Gayson/Sylvia, par contre... love

Et puis le Spectre sans Blofeld...

Je ne suis pas fan d'Ursula, mais c'est la première fois que je lis un tel avis, tous les ouvrages sur Bond disent qu'elle est LA référence de toutes les bond girl à suivre
(Même si moi je lui préfère évidemment Tracy/Diana Rigg)
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Message  Invité Jeu 10 Juil 2008 - 20:16

Honey Rider est avant tout une référence VISUELLE ( bikini - hommage de Jinx dans D.A.D , aparition à la sortie des flots, etc,etc ) , n'oublions pas non plus que Ursula Andress était doublée dans le Bond
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Message  Estuaire44 Jeu 10 Juil 2008 - 20:34

Effectivement elle est régulièrement présentée et élue meilleure Bond Girl mais quand j'essaie de regarder objectivement le film, je constate qu'elle une femme superbe et une honnête actrice, mais que son rôle se résume purement et simplement à être un boulet inerte pour 007. Je trouve cela vite crispant. Dr No a beaucoup vieilli de ce côté là aussi. Concrètement Honey ne fait rien, tout simplement (nom génial ceci dit, une fois de plus) On pourrait faire en partie le même reproche à d'autre jeunes dames de l'époque Connery, mais à un degré bien moindre à mon sens. Enfin, tout cela est totalement subjectif bien entendu!
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Message  Invité Jeu 10 Juil 2008 - 20:34

Lord B Sinclair a écrit:Honey Rider est avant tout une référence VISUELLE ( bikini - hommage de Jinx dans D.A.D , aparition à la sortie des flots, etc,etc ) , n'oublions pas non plus que Ursula Andress était doublée dans le Bond

Je ne vous contredirai pas car j'ai toujours "subi" cet espèce de diktat "Ursula Andress" la seule Bond girl, alors que mes trois premières bond girls vues (Solitaire/Jane Seymour, Mary Goodnight/Britt Ekland, Andréa Anders/Maud Adams) me semblaient à la hauteur - je voulais aussi coûte que coûte voire Tracy/Diana mais dans les années 74-76, le sieur Lazenby étant considéré comme un pestiféré, on ne pouvait voir en salles en France que les films avec Sean et Roger.
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Message  Invité Jeu 10 Juil 2008 - 20:40

Exact pour le cas du " pestiféré " OHMSS .
J'ai eu la chance quant à moi de le découvrir sur grand écran en 1979 dans un Cinéma qui vivait ses dernières heures rue de Rivoli à Paris . Son proprietaire m'a même cédé tout le materiel promo dont il disposait ( jeux de photos et affiches..)

Aujourd'hui à l'emplacement du Cinéma se trouve une " solderies " de bas étage...

Snif...
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Message  Invité Jeu 10 Juil 2008 - 20:40

Estuaire44 a écrit:Effectivement elle est régulièrement présentée et élue meilleure Bond Girl mais quand j'essaie de regarder objectivement le film, je constate qu'elle une femme superbe et une honnête actrice, mais que son rôle se résume purement et simplement à être un boulet inerte pour 007. Je trouve cela vite crispant. Dr No a beaucoup vieilli de ce côté là aussi. Concrètement Honey ne fait rien, tout simplement (nom génial ceci dit, une fois de plus) On pourrait faire en partie le même reproche à d'autre jeunes dames de l'époque Connery, mais à un degré bien moindre à mon sens. Enfin, tout cela est totalement subjectif bien entendu!

"De mon temps", la dame Ursula Andress jouait en salles dans des films comme "La montagne du Dieu Cannibale", alors "Honnête actrice" c'est déjà très gentil comme qualificatif.
J'ai une autre idée de ce que peut être une bonne comédienne.
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Message  Invité Jeu 10 Juil 2008 - 20:44

Lord B Sinclair a écrit:Exact pour le cas du " pestiféré " OHMSS .
J'ai eu la chance quant à moi de le découvrir sur grand écran en 1979 dans un Cinéma qui vivait ses dernières heures rue de Rivoli à Paris . Son proprietaire m'a même cédé tout le materiel promo dont il disposait ( jeux de photos et affiches..)

Aujourd'hui à l'emplacement du Cinéma se trouve une " solderies " de bas étage...

Snif...

Lorsque j'ai découvert le roman, très romantique et avec cette fin aussi triste, et sachant que "Mrs Peel" jouait la tragique mariée, j'ai fait des pieds et des mains pour voir le film sur grand écran.
Hélas, le film était invisible.
Ah si Roger ou Sean l'avait joué, je n'aurai pas tant attendu...
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Message  Estuaire44 Jeu 10 Juil 2008 - 20:49

Ah, ce n'est pas une grande actrice c'est sûr, mais elle n'est pas dramatique pour autant... En même temps j'adore les nanars donce je suis très indulgent avec Ursula, c'est vrai!

J'espère que France 3 va repasser au service secret, c'est vraiment un film qui gagne à être connu. M^me aujourd'hui j'ai l'impression qu'il reste moins rediffusé que les Connery.
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Message  Estuaire44 Jeu 10 Juil 2008 - 21:11

Hé, à gauche de 007 au cercle c'est... Father!

Sinon cela fait quelque chose de revoir Loïs Maxwell...

Marrant 007 et le secrétaire de l'ambassade font furieusement penser à leurs équivalents dans les Avengers (Steed et le pompeux jeunot dans Missive de mort)

Etrangement, avec la photographe comme avec lma secrétaire, je trouve 007 plus "galant" qu'il ne se montrera dans les films suivants. Enfin tout est relatif bien sûr!

Evidemment Vénus sortant de l'onde cela produit toujours son effet, c'est certain...

Une ile étrange, un groupe de naufragés au leader charismatique, un mystérieux projet scientifique en cours, des bases souterraines, un montre étrange errant sur l'Ile, les Autres tranquant les gentils naufragés etc.. Tiens cela le fait grave le LOST 1962!

Honey-le-boulet commence à montrer sérieusement ses limites (entre autres choses) et à me gaver copieusement. Plus que quelques mois avant l'apparition de Cathy Gale, on comprend le choc à l'époque...

Cette base entièrement peuplée de Chinois a tous ses panneaux écrits en Anglais. Impressionnant le prestige de l'Empire!

Un Occidental pour jouer un Chinois celà nous rappelle le piège... toute comparaison s'arrête là!

Très gros numéro du Dr No, la scène du repas est sans doute la meilleure du film (avec la tarentule)? Dès le début la série a le génie des méchants particulièrement enthousiasmants. J'adore!

Après les roseaux pour respirer sous l'eau et la gaine d'aération voici le garde éliminié pour revêtir son costume. Ce film est décidemment un Classique.

Euh, est-ce que Sean ne serait poas un poil trop grand pour un Chinois?

La grande salle du Dr, le pétulant Dr lui même et ses joyeux sbires font furieusement Invaders. J'adore! (bis)

Au total j'ai passé une excellente soirée, Dr No a beau clairement constituer le plus faible des Connery il n'en reste pas moins un excellent moment de cinéma, cent coudées au-dessus des productions de l'époque. Vivement Bons baisers, tout de même!

Pour l'anecdote, Yvonne Shima, qui interpète Sister Lily, une des charmantes hotesses du bon Docteur, joue l'adversaire chinoise de Steed (Anna Lee) dans Le clan des grenouilles

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Message  Invité Ven 11 Juil 2008 - 10:31

Iris Russell, qui jouait "Father" dans le visage, joue dans "Dr No" ?
Je ne la trouve pas au générique.


Pour Ursula Andress, que j'ai toujours considérée comme une jolie fille style bo derek et pas comme une actrice, c'est la première fois que je lis des critiques sur elle, les fans de Bond et ceux qui écrivent des livres sur 007 en ont toujours fait une sorte d'icône.

Dans "Dr No", ce qui manque c'est le pré-générique APRES le gun barrel, et je trouve qu'il y a un ralentissement du rythme à partir du départ pour Crab Key. Il se passe plein de choses avant l'expédition à Crab Key dont certaines ne sont pas dans le roman (la poursuite dans la montagne avec la sunbeam et le corbillard) et la partie que je préfère va de l'assassinat de Strangeways et sa secrétaire au départ en canot pour Crab Key, car l'enquête de bond, le mystère sont plus dense à ce moment là.

L'un des charmes des premiers films était ces échanges entre Bond et Lois Maxwell, je trouve que cela fonctionnait bien aussi avec Roger Moore souvent partenaire de Lois avant les bond (le saint, persuaders).
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Message  Estuaire44 Ven 11 Juil 2008 - 11:11

Non, c'est juste qu'il y a à la gauche de 007 une dame avec des lunettes noires qui ressemble très vaguement à Iris Russel. D'où un petit clin d'oeil... hein
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Message  Joris Sam 12 Juil 2008 - 16:36

Pour en revenir à Dr No qui est passé Jeudi dernier sur FR3, j'ai passé une bonne soirée mais dommage que ce n'était pas la version remastérisées comme on peut la voir sur les dvds sortis l'an dernier.
J'aime beaucoup ce film qui est pour moi le début des aventures de l'agent secret (je sais le first one c'est CASINO ROYALE) mais je préfère considérer Dr No comme le premier car si je regarde CR en premier, on peut s'emmeler surtout que le film est récent. hein
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Message  Invité Sam 12 Juil 2008 - 17:15

Bon, on recommence le Cours magistral....

De QUEL ' Casino Royale ' tu parles,là , Joris ?
Si c'est de la version 2006 , tu te trompes ...
Chronologiquement parlant, la toute première adaptation à l'écran ( attention, hein, j'ai pas écrit " au Cinéma " ) est bien le poussif ' Casino Royale ' US produit pour la TV dans le cadre du Climax! Theater en 1955...

Mais bon, zut, hein, c'est 'Dr No ' qui immortalisa le James Bond que nous connaissant aujourd'hui

Quant au ' Casino Royale ' version 2006 , ben, pour moi il fait partie d'une autre ' time-line ' .
C'est une nouvelle saga qui (re) commence - à côté de celle que nous connaissons ....

Pffff, ça devient compliqué, cette histoire ...
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Message  Joris Sam 12 Juil 2008 - 17:21

Le Casino Royale de 55, je ne l'ai pas vu.
J'ai juste vu celui de 2006.

Celui de 55 c'est pas celui qui est un peu comique où il y a Lord Bond. Mais je croyais qu'il était de 67 ? scratch
Je m'emmêle ! Laughing
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Message  Invité Sam 12 Juil 2008 - 17:56

Naaaaaaaaaaaan, petit Padawan, j'ai omis - à dessein - de citer la version burlesque de 1967 avec Sir James Bond ...Pour pas t'embrouiller ..

La première version a été produite par la TV US avec Barry Nelson dans le role de Jimmy Bond et Peter Lorre dans celui du Chiffre ( elle figure en bonus dans le DvD de Sony Columbia du Casino Royale de 1967 ..Oui, c'est pas simple , tout ça )
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Message  Carl Schmidt Sam 12 Juil 2008 - 21:26

Pour moi, Dr No est un bon ( et beau : lumière, décors naturels et studio - super boulot de Ken Adam ! : )



1 - James Bond contre Dr No - 1962 Dr-no10

...film, compte tenu de l'époque...parmi les plus sympas de la série, en tous cas !

NB : le personnage de Honey est plus développée dans le roman, à la déharge de la belle Ursula
hein
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Message  Estuaire44 Dim 8 Mar 2009 - 1:37

James Bond contre Dr No (Dr. No, 1962, 1 - James Bond contre Dr No - 1962 James-101 - James Bond contre Dr No - 1962 James-101 - James Bond contre Dr No - 1962 James-10)

Ce cinq octobre 1962, près de trois mois avant le lancement de la deuxième saison des aventures de John Steed, la Grande-Bretagne se découvrait un nouvel héros national dans le monde merveilleux de l’image : James Bond.

James Bond contre Dr No se divise en trois parties bien distinctes. La première, se situant à Londres, montre que la série n’a pas encore tout à fait acquis sa forme définitive. Ainsi, si le Gun barrel s’installe déjà (sans Sean Connery), tel n’est pas le cas pour la fameuse séquence de pré générique, alors que même que le Q de Desmond Llewelyn (le seul, le vrai) reste encore dans les limbes. Le film développe ainsi une résonance insolite avec l’époque Daniel Craig, car l’on y voit 007 recevoir son maigre matériel de la part d’un quidam transparent, voire ultérieurement par un insipide colis postal… Fort heureusement le reste de cette entrée en matière s’avère bien plus relevée. En effet elle installe les fondamentaux de la série, notamment M et Miss Moneypenny, avec un Bernard Lee et une Lois Maxwell déjà savoureux et totalement dans leurs personnages. Surtout nous découvrons un superbe portait en coupe de James bond à l’orée de sa fulgurante carrière, de sa personnalité (célibataire prédateur et ancré sur de vieilles habitudes) mais aussi de son milieu, clairement upper class par son appartement, son club luxueux (et soucieux de légalité) mais aussi… ses fréquentations féminines. Après une jolie scène avec M où affleure déjà la complicité bourrue manifestée par son dernier envers sa meilleure épée, 007 (encore privé de DB5), ayant déjà lancé son fameux « Bond, James Bond » peut dès lors s’envoler pour sa première aventure, sous le radieux soleil de la Jamaïque.

Ce passage à la seconde partie du film s’effectue avec fluidité et efficacité. Tout au long du récit nous suivons pas à pas une enquête harmonieusement construite, où la découverte des indices et les diverses péripéties s’effectuent fort plaisamment. Si l’intrigue parait fort bien agencée, la mise en scène de Terence Young semble par contre encore un peu trop effacée, on en demeure à un registre d’espionnage exotiqu, mais où seules surnagent quelques fortes scènes d’action, entre lesquelles on patiente agréablement. Il s’agit bien entendu du passage de la tarentule, une pure merveille d’épouvante, et de l’assassinat à froid du traître, une goûteuse entrée en matière du fameux « licence to kill », dotant 007 d’une aura de tueur assez jouissive. La relative atonie de la mise en scène se dénote cependant lors de diverses bagarres étonnamment faibles et de poursuites en voitures bien anodines, certainement du fait du budget encore modeste du film. La seule scène sortant du lot à cet égard (la descente enflammée des la voiture des «aveugles ») se voit d’ailleurs filmée avec un insistance destinée à optimiser l’investissement qui finit par mettre mal à l’aise. De plus si les décors naturels s’avèrent déjà somptueux dès ce premier opus (une valeur sûre de la série) et mis en valeur avec dextérité, la réalisation pâtit par contre de décors artificiels dignes, mais terriblement artificiels, dans la grande tradition des studios britanniques de l’époque. Davantage que dans la première partie (somptueux plateau du Club et bureau de M très réussi) ils finissent par conférer au film des allures d’épisode du Saint plus aisé que la moyenne. Il n’aurait plus manqué que Roger Moore soit déjà là !

La direction d’acteurs et l’intrigue nous valent par contre des personnages secondaires très relevés. Ainsi le traître à l’Empire, le Pr. Dent, jouit-il de la gueule impayable et du jeu dégoulinant d’abjection de Anthony Dawson, renouant avec la grande tradition du félon des films de cape et d’épée. Non dénué d’esprit ou de courage physique, le Pr. Dent constitue un digne premier adversaire pour Bond, même si l’intrigue a bien entendu l’habilité de le doter de la veulerie ad hoc afin qu’il ne fasse pas de l’ombre à son terrible patron. Les faux aveugles insufflant une joyeuse malice dans leurs meurtres (The Three Blind Mice) se montrent également très amusants, annonçant joliment les futurs meurtres musicaux de la Nouvelle-Orléans.

Le valeureux Quarrel (excellent Johnny Kitzmiller, médaillé de guerre et premier acteur noir à remporter une palme, en 1956) incarne si caricaturalement et naïvement le loyal compagnon faire valoir du Héros (on se croirait dans la Rubrique à brac de Gotlib) qu’il en devient proprement irrésistible. On retrouve chez lui la tendance de Ian Fleming à bien typer chaque peuple dans sa description d’un monde fantasmé de l’espionnage et de la Guerre Froide. Noir des îles Quarrel se montre donc superstitieux mais dévoué envers ses patrons blancs… Disons que cela appartient aux éléments très datés dont il faut passer outre pour savourer la substantifique moelle de cet écrivain talentueux et imaginatif. Mais la grande idée de casting du film demeure bien entendu le choix de Jack Lord pour incarner le tout premier Félix Leiter. Aussi charismatique et classieux en Jamaïque qu’à Hawaï, il porte d’emblée de rôle si haut que les comédiens auront bien du mal à relever le gant. Leiter ne se limite pas ici à poser au comparse de Bond, mais s’affiche bel et bien comme son quasi égal, il reste bien dommage que la participation de Lord n’ait pas été récurrente !

On regrettera quelque peu que l’intrigue rate le coche en cantonnant le secrétaire du Gouverneur à un rôle anodin, alors qu’on y discerne en germe une opposition potentiellement très amusante avec Bond, l’homme d’action. Les Avengers le comprendront bien, après le duel hilarant opposant Travers à Steed dans Missive de mort (épisode très 007 par ailleurs…).

Le passage à l’ultime segment du film (L’île du Docteur No et ses monstrueux habitants) s’effectue trop brutalement, avec un changement d’ambiance et de tempo excessif par rapport à l’enquête précédente. Cela donne un caractère passablement artificiel et mécanique au scénario, nuisant au film en le tronçonnant exagérément et en attribuant un fâcheux aspect de prologue à l’enquête. Enfin ne boudons pas notre plaisir, en passant de l’espionnage à l’aventure le film gagne du souffle et se montre enfin haletant. Après de spectaculaires péripéties en espace naturel ; nous pénétrons enfin dans l’antre du Docteur, un décor enfin spectaculaire et digne de James Bond. Ken Adam se montre d’entrée un créateur de décor visionnaire et suprêmement élégant, on ne soulignera jamais assez l’importance de son apport à la saga.

La pièce principale demeure cependant bien le Docteur (le Maître des lieux). De par son ascendance chinoise, il se retrouve donc tout naturellement, selon l’optique de Fleming, fourbe, raffiné et cruel au dernier degré. Avouons franchement que cette fois l’on s’en réjouit, tant la composition de Joseph Wiseman se révèle délectable ! Le comédien va ainsi très intelligemment au bout du personnage, dans la meilleure tradition d’un Fu Manchu ou d’une Ombre Jaune. Le duel glacial du dîner apparaît d’ailleurs clairement comme la meilleure du film, elle se savoure avec une authentique délectation. No annonce avec panache cette succession de monstres froids et de génies du mal intensément pervers qui feront les riches heures de la série. On se demande d’ailleurs si les spectateurs de 1962 soupçonnaient à quel point cette évocation du SPECTRE se montrait prometteuse ! Les amateurs des Avengers apprécieront également le style de combat de No à la Cybernaute, tout en revers mortels de la main dirigés vers la gorge de 007…

Certes, du fait d’un budget encore relativement limité, l’affrontement final ne manifeste pas ici l’ampleur qu’il revêtira par la suite. Mais qu’importe, il faut bien que jeunesse se passe et la vision de No glissant vers un trépas atroce en tendant de se raccrocher inutilement du fait de ses doigts mécaniques vaut toutes les fusillades du monde ! On se montrera plus sensibles à quelques clichés (les roseaux pour se dissimuler sous l’eau, la sempiternelle gaine d’aération, le garde éliminé pour revêtir son costume etc.) ainsi qu’à certaines naïvetés assez désarmantes. C’est ainsi qu’alors que Sean Connery mesure aisément 50 cm de plus que les Chinois présents il trouve une combinaison à sa taille et passe totalement inaperçu. De plus cette base secrète remplie exclusivement de Chinois voit tous ses panneaux indicateurs scrupuleusement écrits en Anglais. Il demeure tout de même étonnant que 007 ne discerne pas les potentialités de cheval de Troie présentées par l’offre de No d’intégrer le SPECTRE. On s’interrogera également sur la nécessité profonde de bâtir toute la salle de commande autour d’une pile atomique ouverte, disséminant joyeusement sa radioactivité, au lieu de l’ensevelir sous le sarcophage coutumier. Mais ce ne sont là que broutilles, n’entravant que marginalement l’émerveillement du spectateur.

James Bond contre Docteur No c’est aussi bien entendu la prise de possession éclatante et totale du rôle titre par Sean Connery. D’entrée il s’impose en effet comme l’interprète absolu de 007, mêlant admirablement la sauvagerie d’un authentique tueur et une élégance tout britannique. On s’amusera d’ailleurs à remarquer la présence d’un chapeau melon dans son appartement… Connery traverse le film porté par un charisme inouï, et c’est bien lui qui transcende un film d’espionnage réussi en première pierre d’une légende commençant à s’édifier sous nos yeux. On ne peut qu’admirer l’audace et la vista de Messieurs Saltzman et Broccoli d’avoir tout misé sur acteur encore relativement méconnu mais convenant si naturellement au rôle et si proche de la vision de Fleming.

Et notre héros a fort à faire car il ne peut guère compter sur sa partenaire féminine principale pour assurer la réussite du film. Après la célèbre scène de Vénus sortant de l’Onde produisant certes toujours son petit effet grâce à la sculpturale Ursula Andress, Honey Rider se transforme en effet instantanément en boulet que 007 devra traîner tout au long du récit. C’est en vain que l’on recherchera la moindre scène ou réplique à mettre à son crédit. Honey ne participe absolument plus à l’action, au point que cela tend à la caricature, même au sein d’une ère Connery qui, globalement proche de l’oeuvre de Fleming, ne verra guère d’émancipation de la femme. Si au moins elle se contentait de faire tapisserie mais non, elle nous agonit également de remarques ou de questions toutes plus idiotes les unes que les autres, portant inexorablement les nerfs du spectateur à l’incandescence. Une espèce de summum se trouve atteint quand elle perd connaissance brusquement, 10 secondes après avoir bu un café. A son réveil elle se demande pourquoi elle et Bond se sont évanouis. Le café était drogué, argumente alors stoïquement 007. Au secours.

On beaucoup glosé sur le fait que Honey soit la première James Bond girl mais de fait le titre revient à Sylvia Trench, jouée avec beaucoup de chien par une Eunice Gayson (inoubliable interprète de Lucille Banks dans La danse macabre) absolument divine en fourreau rouge. On comprend sans peine qu’il ait été alors prévu de l’élever au rang de personnage récurrent… Sylvia n’est pas la seule à joliment pimenter le récit car, même si oubliées au profit de Honey, Miss Taro (prototype des viles séductrices), la photographe impénitente ou bien encore la délurée Sister Lily, incarnée par une autre interprète des Avengers (Yvonne Shima, dans Le clan des grenouilles) apportent chacune de bien agréables moments, chacune dans son registre. On notera cependant que la version française trouve judicieux de doter les personnages féminins de voix totalement cruches, loin du travail de Nikki van der Zyl.

Last but not least, un des grands attraits de James Bond contre Dr No réside dans son agréable parfum Sixties. Une foule de détails contribuent à conférer au film un attrait documentaire, des plus importants (arrière plan de guerre froide et de crise des fusées, évocation de cap Canaveral, Jamaïque encore coloniale pour peu de temps, libéralisation des meurs) aux plus légers (mode, voitures, french twist d’Eunice Gayson coupe alors très en vogue…). On note ainsi la présence récurrente de calypsos (Underneath the Mango tree etc.), un style purement jamaïcain qui connaît alors un pic de la popularité et qui apparaîtra d’ailleurs dans également dans les Avengers à la même époque (chanson de Vénus Smith dans L’école des traîtres, présence du grand chanteur Edric Connor dans La cage dorée). Les auteurs vont jusqu’à réaliser un pétillant clin d’œil à l’actualité avec l’apparition du célèbre portrait de Wellington par Goya dans l’antre de No, alors même que celui-ci vient d’être spectaculairement dérobé à Londres en 1961. Le bon docteur se serait-il adressé à Gregorie Auntie ?

Pilote réussi d’une saga appelée à devenir la plus longue du cinéma mondial, James Bond contre Dr. No contient de fait tous les ingrédients du succès unique des aventures de 007, au point que la musique de son générique en deviendra l’indicatif ! Même si le film ne les développe pas encore toujours à la perfection, il annonce avec force les purs chefs d’œuvre à venir, et marque les débuts fracassants de Sean Connery dans un rôle qu’il va porter jusqu’à d’inaccessibles sommets.

Produit avec le budget encore relativement modeste de 950 000 $ (on va vite changer de braquet !) le film rapportera près de 60 millions de dollars. Sortie le 27 janvier 1963 en France, il y atteindra 4 772 574 entrées. Source : Guillaume Evin, Goldmaker)


Dernière édition par Estuaire44 le Dim 8 Mar 2009 - 12:11, édité 1 fois
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Message  Invité Dim 8 Mar 2009 - 11:47

Comme toujours, excellente critique Estuaire cheers
Sur un point, je ne suis pas d'accord, c'est la comparaison avec "Le Saint". Les décors aussi n'ont rien à voir avec ce qui a tant fait vieillir la série ITC avec Roger Moore. Sur le plan des moyens financiers et des décors, je dirai que "James Bond contre Dr No" a d'emblée tranché sur les décors des films d'espionnage de l'époque (Notamment la série "Lemmy Caution" qui en 1962 existait encore). La saga Bond a relegué aux oubliettes moult long-métrages de cinéma qui avaient été fait AVANT. (Je ne parle pas ici des "imitations" de 007 qui ont commencé à fleurir après le succès de "Goldfinger").
Mais comparer les décors de "Dr No" à ceux de carton-pate du saint ou des champions (Certaines rues dans "Le Saint" - aux studios Elstree sont un jour censées représenter la RDA, l'autre l'Amérique du Sud, et les raccords stock shot/séquences Elstree sont catastrophiques) est vraiment très injuste pour "Dr No".
Pour Jack Lord, je suis tout à fait d'accord, mais s'il était resté durablement Leiter, il n'aurait pas été disponible pour Hawaii 5-0. Ou trop identifié à Leiter pour que Leonard Freeman décide de le choisir.
Il y a un moment qui date terriblement ce film, c'est la coiffure, les lunettes, l'aspect vestimentaire des agents du MI6 lorsqu'ils attendent l'appel de Strangways.
Concernant la musique jamaïcaine et les chants, à la différence de "Live and let die" qui reflètent une réalité (En gros, ce qu'on entend dans LALD, les brass band et fanfares, existait depuis la fin du XIXeme siècle à la Nouvelle Orléans), ressemble peu - ou est une caricature européenne ou vue par le prisme britannique - à la musique locale de l'époque. Je possède des disques des années 50-60 qui couvrent bien la période où "Dr No" fut tourné. En mettant la BO de "Dr No", on trouve peu de ressemblance. En 72, EON a eu l'intelligence de capter ce qui se faisait réellement à la Nouvelle Orléans, en 62, elle a plutôt voulu donner au spectateur européen ce qu'il attendait. Sur ce plan "Dr No" manque de réalisme.
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Message  Invité Dim 8 Mar 2009 - 12:04

Les décors et les vues de la Jamaïque sont plutôt convaincants à mon goût. Je pense tout à fait différemment en ce qui concerne Honey Rider (Ursula Andress). Le personnage est mentionné tellement tard que j'ai cru qu'Estuaire l'avait oublié. Il ne faut pas oublier que James Bond fut écrit par Ian Fleming, macho sur l'éternel, et le personnage de Honey colle bien à l'image du roman. Pas de mention non plus de l'excellente scène d'action lorsque Bond se fait prendre en voiture par un faux employé de l'ambassade ni celle du corbillard, scène culte, qui poursuit Bond.
Personnellement, j'aurais hésité entre trois et quatre.
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Message  Estuaire44 Dim 8 Mar 2009 - 12:37

La remarque (une peu taquine, bien sûr) sur le Saint concernait les décors intérieurs censés se trouver en Jamaïque. Certes classieux j’ai tout de même trouvé qu’ils faisaient terriblement studio, finalement impersonnels dans leur élégance un peu glacée. C’est très subjectif bien entendu. J’ai trouvé que les décors « londoniens » (bureau de M, Club, un peu moins l’appartement de Bond) dégageait par contre une vraie atmosphère. Quand on passe au QG de No, on entre dans une autre dimension, c’est évident.

Concernant Honey, la vision des personnages féminins de Fleming s’exprime très brutalement car les autres 007 girls de l’époque Connery participeront tout de même souvent un tantinet à l’action. Le résultat de cette passivité totale s’avère désastreux, à mon sens, à l’écran. Surtout au moment où Cathy Gale est sur le point d’entrer en scène…

J'ai aussi hésité entre 3 et 4, mais la trilogie magique qui arrive me semble encore un peu au dessus.

Les romans 007 ont–ils été édités réunis en un seul volume ? J’aimerai bien continuer à les découvrir.
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Message  Invité Dim 8 Mar 2009 - 12:49

Il y a eu une intégrale dans la collection bouquins chez Laffont en deux volumes.
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Message  Estuaire44 Dim 8 Mar 2009 - 13:32

Merci Patrick, on va voir ça! Very Happy
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Message  klokloh Dim 8 Mar 2009 - 13:49

Patricks a écrit:Lorsque j'ai découvert le roman, très romantique et avec cette fin aussi triste, et sachant que "Mrs Peel" jouait la tragique mariée, j'ai fait des pieds et des mains pour voir le film sur grand écran.
Hélas, le film était invisible.
Ah si Roger ou Sean l'avait joué, je n'aurai pas tant attendu...
Aurai-je eu plus de chance que vous ? Ayant revu ce Bond il n'y a pas lgtps, je me souvenais très bien l'avoir vu à sa sortie à Paris (la scène du skieur qui se fait broyer par le chasse-neige m'avait quand même un peu.... ooopps marquée ! )
Quant à Ursula Andress, peut-être avait-elle été choisie pour ses qualités plastiques plus que pour ses capacités de femme d'action ? (évidemment, comparée à Cathy Gale, y a pas photo...)
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Message  Estuaire44 Mer 15 Juil 2009 - 19:13

Disparition ce 10 juillet de Zana Marshall (1925), la vénéneuse MissTaro. Celle qui incarna la première Bad Girl de la saga naquit au Kenya et dut à son ravissant physique oriental de débuter sa carrière dans César et Cléopâtre (1945), aux côtés de Vivien Leigh, dont Patrick Macnee conserve un souvenir ému dans ses mémoires. A cours d’une carrière achevée au début des années 70 elle participa à plusieurs séries cultes, notamment aux côtés de Patrick McGoohan (trois apparitions dans Destination Danger)


http://www.bondstars.com/zenamarshall/

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Message  Invité Jeu 16 Juil 2009 - 11:43

Je la croyais plus jeune que Sean (né en 1930).
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Message  Estuaire44 Jeu 16 Juil 2009 - 19:54

En 1967 Zena Marshall participait, en compagnie de l'également regretté Simon Oates, à The Terrornauts, film très populaire auprès des amateurs de films de SF (j'en avais touché deux mots à propos de la disparition de l'acteur)

1 - James Bond contre Dr No - 1962 Snapsh10
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Message  Invité Mar 20 Oct 2009 - 20:29

Joseph Wiseman est décédé à l'âge de 91 ans.
Un article sur le New-York Times, toujours top dans de telles circonstances et sur le site James Bond où il est fait mention à la série Les Rues de San Francisco, épisode que j'ai vu hier ! (The Thrill Killers).
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