Le Visage (Stay Tuned)
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - THE AVENGERS :: SAISON 6
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Re: Le Visage (Stay Tuned)
Pas vu depuis longtemps. Je me souviens d'un très bon épisode mais complexe. Avec la mention de Bacchus non comprise par moi lors de la première vision.
Invité- Invité
Re: Le Visage (Stay Tuned)
J'adore cette épisode, moi le Lustre de la pièce mystérieuse me fais penser à "La porte de la mort"
Doudi- Marquis(e)
- Age : 33
Localisation : Nord (59)
Date d'inscription : 08/08/2010
Re: Le Visage (Stay Tuned)
Points positifs : le début, premier tiers de l’épisode, très prometteur, les combats (avec l’hypnotiseur et la jolie brune), le final à suspense. Points négatifs : Father qui remplace Mother, l’aspect fantastique et le sifflement ; le ‘post-hypnotic condition’ que j’avais pourtant apprécié lors de l’élaboration de la fiche mais l’aspect est mieux rendu dans un épisode d’Amicalement votre, le fait de revoir trois fois la même scène (surtout à la rediffusion !), le type qui suit Steed partout (même dans la Bentley), Tara/Thorson a repris du poids (à voir lorsqu’elle rentre dans l’appartement des meurtres) et pourquoi Tara ne téléphone-t-elle pas à Mother d’une cabine rouge ? 2.5.
Invité- Invité
Re: Le Visage (Stay Tuned)
Linda a 'repris du poids' ?
Tu fais vraiment une fixation sur ça, Denis mais je n'ai jamais remarqué. Linda ne fait pas 'ronde'. Il y a vraiment pire
Tu fais vraiment une fixation sur ça, Denis mais je n'ai jamais remarqué. Linda ne fait pas 'ronde'. Il y a vraiment pire
Joris- Prince(sse)
- Age : 34
Localisation : Metz (57)
Date d'inscription : 10/06/2006
Re: Le Visage (Stay Tuned)
Non, ça se voit. C'est peut-être dû à l'ordre de tournage mais dans des épisodes, Linda Thorson est plus 'ronde' que dans d'autres.
Invité- Invité
Re: Le Visage (Stay Tuned)
Un petit chef d'œuvre bourré de suspense, et à l'ambiance très TZ. 4 melons.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Le Visage (Stay Tuned)
TZ? ça veut dire quoi, TZ?Cetp65 a écrit:Un petit chef d'œuvre bourré de suspense, et à l'ambiance très TZ. 4 melons.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Le Visage (Stay Tuned)
Twilight zone (la quatrième dimension).
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Le Visage (Stay Tuned)
séribibi a écrit:Twilight zone (la quatrième dimension).
Ah? Bon! Merci. Les abréviations et les initiales, plaies du monde moderne. Même dans le cadre de mon travail, j'ai parfois du mal à comprendre ce langage d'OVNI. (Tiens! je suis moi-même contaminé, j'emploie le terme OVNI... )
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Le Visage (Stay Tuned)
denis a écrit:Non, ça se voit. C'est peut-être dû à l'ordre de tournage mais dans des épisodes, Linda Thorson est plus 'ronde' que dans d'autres.
Oui, je suis d'accord. J'ai revu l'épisode tout récemment et c'est vrai que Linda semble avoir repris un peu d'épaisseur... D'autant plus visible si on compare avec des épisodes comme Mon rêve le plus fou, Jeux ou Faux témoins, où elle y apparaît plus fine...
Sinon, c'est vrai que c'est un très bel épisode, envoutant, un peu à part.
Un petit détail me chiffonne : dans le séquence de tag à la fin, pourquoi Tara, qui est censée partir en vacances rentre en fait dans son appartement avec des valises, alors qu'elle serait plutôt censée en sortir ?
aca400- Roturier(e)
- Age : 45
Localisation : Paris
Date d'inscription : 07/03/2013
Re: Le Visage (Stay Tuned)
juste deux questions
1)Comment ça se fait que steed voit à la fin le brun...est ce que c'est parce que l'hypnose fait moins effet au fil du temps...ou est ce que c'est parce qu'il le voit par l'intermédiaire d'une vitre/glace (rétroviseur,vitre)...
2) Steed a fait expres de tirer à coté ou est il tres maladroit? je pense pour la premiere solution mais je voulais avoir confirmation...de plus tara lui a dit "non ce n'est pas bacchus" et il a vu le gars pres de sa voiture...ça l'a mis sur la piste.
1)Comment ça se fait que steed voit à la fin le brun...est ce que c'est parce que l'hypnose fait moins effet au fil du temps...ou est ce que c'est parce qu'il le voit par l'intermédiaire d'une vitre/glace (rétroviseur,vitre)...
2) Steed a fait expres de tirer à coté ou est il tres maladroit? je pense pour la premiere solution mais je voulais avoir confirmation...de plus tara lui a dit "non ce n'est pas bacchus" et il a vu le gars pres de sa voiture...ça l'a mis sur la piste.
Guillaume- Comte(sse)
- Age : 37
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 22/05/2007
Re: Le Visage (Stay Tuned)
En posant tes questions, tu as la réponse. L'hypnose perd petit à petit son effet et Steed commence à voir "le brun" (via le rétroviseur). Ce qui lui permet au final de le "knock-outer". Quant à la deuxième question, l'intervention de Tara lui fait détourner in extremis le révolver de Mère-Grand et lève définitivement ses doutes. Tu as très bien compris l'histoire, Guillaume, y'a pas de lézard. C'est vrai que cette fin est un peu tirée par les cheveux, mais ce n'est pas grand-chose étant donné la qualité de cet épisode.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Le Visage (Stay Tuned)
Le script du toujours imaginatif Tony Williamson séduit vivement par son audace novatrice. Certes les manipulations mentales font partie de l'arsenal classique des séries d'espionnage, les Avengers eux-mêmes y ont eu déjà recours, aussi bien que bien d'autres productions anglaises de l'époque. Le scénario se détache néanmoins par la forme narrative employée et l'atmosphère d'étrange qu'elle génère. D'emblée on est troublé par la fait que la rituelle victime de la scénette d'introduction soit Steed, puis par l'effet de simili verrou temporel qui se met rapidement en place. Les éléments mystérieux ne cessent ensuite de se combiner pour réellement revêtir des allures de Quatrième Dimension.
Le grand exploit de l'épisode consiste à faire ressentir avec justesse à un héros au long cours comme John Steed le même désarroi face à l'inexplicable que les simples quidams, sujets des histoires de Rod Serling ou de Richard Matheson. Une déstabilisation rarissime (il faut remonter au Teddy Bear des années Cathy Gale pour en débusquer l’équivalent), dont l'impact ee répercute bien entendu avec force sur le public. Ceci confère une aspect profondément singulier à un épisode se hissant ainsi au niveau des grands classiques de la série, où cette fois les collaboratrices de Steed se voient confrontées à de telles épreuves (Ne vous retournez pas, L'Héritage Diabolique ou Caméra meurtre). L'étrangeté de son atmosphère évoque elle bien entendu L'Heure perdue.
Le Visage souffre néanmoins de quelques limitations l'empêchant de rivaliser tout à fait avec le chef d'œuvre énigmatique de Roger Mashall. Au lieu de se maintenir jusqu'à la quasi conclusion du récit, l'idée du jour voit son modus operandi se révéler dès la moitié de l'épisode, la suite se réduisant progressivement à une intrigue plus convenue. Surtout le retour de Steed et Mrs Peel à l'issue de cette incursion dans la Twilight Zone s'effectuait de plein pied dans le Monde des Avengers, autre univers passionnant et haut en couleurs, avec à la clef une homérique bataille, un Diabolical Mastermind bon teint et un maître plan halluciné et grand train comme on l'aime.
Ici, la porte de sortie débouche, comme tant de fois cette saison, sur une espionnite des plus rebattue, quelque peu usée en ce crépuscule des Sixties, avec cette fois : un coup de poing expéditif, un méchant falot et crispant et une énième tentative d'assassiner un antagoniste. On regrette également la relativement faible place impartie à Tara au sein de l'intrigue. La crise se dénoue finalement sans intervention de sa part, alors même que la lucidité in extremis de Steed demeure aussi miraculeuse que largement inexpliquée. Un fait d'autant regrettable que Linda Thorson apparaît particulièrement en verve. cet écart se retrouve également dans les tags récurrent, une faiblesse récurrente de cette sixième saison.
Malgré des réserves, l'idée originale de Tony Williamson bénéficie de relais particulièrement performants. La mise en scène de Don Chaffey s'avère particulièrement inspirée, avec une exploitation de décors créant une atmosphère étrange, quais onirique. Il en va de même lors de superbes extérieurs voyant Steed déambuler de nuit à travers les rues de Londres. Macnee se montre parfaitement à la hauteur dans cette version quasi inédite du rôle, exprimant à merveille les doutes taraudant notre héros. Si les personnages secondaires manquent de caractérisation, Williamson se rattrape largement par la création de l'énigmatique et impressionnante Father. Un agréable développement de l'état major très particulier du Ministère, avec le fil rouge du handicap finement prolongé. Father se montre clairvoyante et solide, ainsi que l’exact opposé d'un Mother avec lequel les rapports hiérarchiques demeurent troubles.
Cette passionnante situation aurait certainement mérité de connaître des développements (au moins un confrontation entre les deux têtes du Ministère) si la série s'était poursuivie, d'autant qu’Iris Russell apporte une indéniable classe à son personnage. Par ailleurs, pour les amateurs de Doctor Who, l'épisode présente la plaisante particularité de réunir, même s'ils n’ont hélas aucune scène en commun, Roger Delgado et Kate O’Mara, les futurs créateurs des deux grands Seigneurs du Temps renégats, le Maître et la Rani. Outre cet amusant clin d'œil involontaire, ces comédiens insufflent une vraie présence à leurs rôles, même si l'on peut regretter que Delgado soit sous-exploité. Lui confier le rôle du chef de bande suivant Steed aurait sans doute encore bonifié ce grand classique de la sixième saison. (****)
Malgré une conclusion légèrement expéditive, Son étrange atmosphère et sa narration originale font de cet épisode l’un des sommets de la saison. Macnee convainc parfaitement sur un registre plus troublé qu’à l’ordinaire.
Le grand exploit de l'épisode consiste à faire ressentir avec justesse à un héros au long cours comme John Steed le même désarroi face à l'inexplicable que les simples quidams, sujets des histoires de Rod Serling ou de Richard Matheson. Une déstabilisation rarissime (il faut remonter au Teddy Bear des années Cathy Gale pour en débusquer l’équivalent), dont l'impact ee répercute bien entendu avec force sur le public. Ceci confère une aspect profondément singulier à un épisode se hissant ainsi au niveau des grands classiques de la série, où cette fois les collaboratrices de Steed se voient confrontées à de telles épreuves (Ne vous retournez pas, L'Héritage Diabolique ou Caméra meurtre). L'étrangeté de son atmosphère évoque elle bien entendu L'Heure perdue.
Le Visage souffre néanmoins de quelques limitations l'empêchant de rivaliser tout à fait avec le chef d'œuvre énigmatique de Roger Mashall. Au lieu de se maintenir jusqu'à la quasi conclusion du récit, l'idée du jour voit son modus operandi se révéler dès la moitié de l'épisode, la suite se réduisant progressivement à une intrigue plus convenue. Surtout le retour de Steed et Mrs Peel à l'issue de cette incursion dans la Twilight Zone s'effectuait de plein pied dans le Monde des Avengers, autre univers passionnant et haut en couleurs, avec à la clef une homérique bataille, un Diabolical Mastermind bon teint et un maître plan halluciné et grand train comme on l'aime.
Ici, la porte de sortie débouche, comme tant de fois cette saison, sur une espionnite des plus rebattue, quelque peu usée en ce crépuscule des Sixties, avec cette fois : un coup de poing expéditif, un méchant falot et crispant et une énième tentative d'assassiner un antagoniste. On regrette également la relativement faible place impartie à Tara au sein de l'intrigue. La crise se dénoue finalement sans intervention de sa part, alors même que la lucidité in extremis de Steed demeure aussi miraculeuse que largement inexpliquée. Un fait d'autant regrettable que Linda Thorson apparaît particulièrement en verve. cet écart se retrouve également dans les tags récurrent, une faiblesse récurrente de cette sixième saison.
Malgré des réserves, l'idée originale de Tony Williamson bénéficie de relais particulièrement performants. La mise en scène de Don Chaffey s'avère particulièrement inspirée, avec une exploitation de décors créant une atmosphère étrange, quais onirique. Il en va de même lors de superbes extérieurs voyant Steed déambuler de nuit à travers les rues de Londres. Macnee se montre parfaitement à la hauteur dans cette version quasi inédite du rôle, exprimant à merveille les doutes taraudant notre héros. Si les personnages secondaires manquent de caractérisation, Williamson se rattrape largement par la création de l'énigmatique et impressionnante Father. Un agréable développement de l'état major très particulier du Ministère, avec le fil rouge du handicap finement prolongé. Father se montre clairvoyante et solide, ainsi que l’exact opposé d'un Mother avec lequel les rapports hiérarchiques demeurent troubles.
Cette passionnante situation aurait certainement mérité de connaître des développements (au moins un confrontation entre les deux têtes du Ministère) si la série s'était poursuivie, d'autant qu’Iris Russell apporte une indéniable classe à son personnage. Par ailleurs, pour les amateurs de Doctor Who, l'épisode présente la plaisante particularité de réunir, même s'ils n’ont hélas aucune scène en commun, Roger Delgado et Kate O’Mara, les futurs créateurs des deux grands Seigneurs du Temps renégats, le Maître et la Rani. Outre cet amusant clin d'œil involontaire, ces comédiens insufflent une vraie présence à leurs rôles, même si l'on peut regretter que Delgado soit sous-exploité. Lui confier le rôle du chef de bande suivant Steed aurait sans doute encore bonifié ce grand classique de la sixième saison. (****)
Malgré une conclusion légèrement expéditive, Son étrange atmosphère et sa narration originale font de cet épisode l’un des sommets de la saison. Macnee convainc parfaitement sur un registre plus troublé qu’à l’ordinaire.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Le Visage (Stay Tuned)
Un bon épisode, mais qui ne tient pas ses promesses.
Sur le papier, en lisant le synopsis, sur le programme télé, on s'attendait à un grand moment.
2.5/4
Sur le papier, en lisant le synopsis, sur le programme télé, on s'attendait à un grand moment.
2.5/4
Invité- Invité
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