Les Aigles (The Master Minds)
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - THE AVENGERS :: SAISON 4
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Re: Les Aigles (The Master Minds)
The Master Minds (4-01, ***)
Le point fort de l’épisode demeure son astucieuse idée de départ, la subjugation d’esprits supérieurs au service du crime. Un thème relativement original, quoique se rattachant aux manipulations de l’esprit très fréquentes dans les Spy Shows des années 60 (mais aussi chez le Docteur). Un inépuisable filon puisque toujours troublant par ses altérations de l’identité la plus intime d’un individu, infiniment varié dans ses multiples acceptions (on peut y rattacher aussi bien les lavages de cerveau du Wringer que les échanges de personnalités du Dr. Krelmar). Le sujet présente aussi l’intérêt de garantir des scènes fortes, déjà ici aux lisières de la Science-fiction, sans nécessiter pour autant de couteux effets spéciaux ! The Master Minds, outre l’introduction de ce terme indissociable des Avengers, se situe parmi les opus les plus efficaces de cette veine scénaristique, qu’elle renouvelle agréablement tout en lui apportant une agréable saveur authentiquement britannique.
Cette tonalité se découvre par l’emploi de sites caractéristiques, tels le parlement ou Whitehall, mais surtout par le site de ce somptueux établissement pour jeunes filles, si typiquement anglais. On se croirait dans son équivalent du remarquable Cat Among the Pigeons, d’Agatha Christie. On apprécie également vivement le décor de la maison de Sir Todd, avec une remarquable profondeur de champ et la thématique si Avengers du Noble Jeu. Le design s’affirme déjà, notamment avec ce remarquable âtre central, si caractéristique de la griffe d’Harry Pottle. Il en usera également pour l’appartement de Mrs Peel. Les autres décors de l’épisode s’avèrent plus convenus et usuels mais l’on appréciera les nombreux extérieurs, tranchant avec la période Cathy Gale et soulignés par la qualité clairement supérieure du Noir et Blanc.
Toutefois l’intrigue connaît plusieurs notables faiblesses, empêchant The Master Minds de compter parmi les plus retentissants succès de cette remarquable quatrième saison. La découverte de l’organisation RANSACK (la bien nommée, « piller » en Anglais), soit le cœur du scénario, survient bien trop tardivement. La moitié de l’épisode aura alors été consacrée à une mise en place et à une enquête assez lente et fastidieuse, relevant en définitive de l’espionnage le plus traditionnel. Surtout les personnages secondaires pâtissent d’un manque patent de caractérisation. Ils se cantonnent à de simples silhouettes et même le professeur adepte de simili yoga n’apparaît que comme une pâle annonce des futurs Excentriques. La seule exception consiste en la piquante et très Sixties Davinia, qui nous vaut une scène particulièrement divertissante en compagnie de Steed, avec au passage un joli clin d’œil à notre doux pays. Les amateurs de la période Cathy Gale éprouveront cependant un fugace regret en songeant que le passage aurait idéalement convenu à l’inoubliable Edina Ronay.
Robert Banks Stewart joue malencontreusement la carte du twist à propos de l’identité de l’adversaire du jour. Un choix toujours gratuit quand le récit ne s’organise pas en Whodunit à la Agatha Christie. Après tout, il pourrait très bien s’agir de quelqu’un d’autre qu’Holly Trent, sans que cela change quoi que ce soit. Il demeure bien plus ambitieux et porteur d’intégrer la personnalité de l’antagoniste au cœur de l’histoire, tout en l’érigeant comme atout maître de celle-ci. D’ailleurs nombre des épisodes les plus mémorables des Avengers procéderont de la sorte. Il reste paradoxal qu’un opus intitulé The Master Minds introduise l’un des ennemis les moins mémorables de nos héros ! Cela n’enlève rien à la prestation remarquable de Patricia Haines, notamment dans une tenue de Robin des Bois lui seyant aussi parfaitement que celle, future, d’Emma Peel.
L’intrigue souffre également de diverses maladresses. Ainsi il semble paradoxal qu’une conspiration disposant de cerveaux aussi supérieurs se fasse posséder par une astuce aussi convenue que celle de la fausse secrétaire. Personnellement, outre l’élaboration des missions, je les aurais également mis à contribution pour sécuriser mon organisation. Il s’avère également étonnant que Steed soit le seul à débrancher un haut parleur aussi sonore et intrusif. Que cela soit le moins haut QI de l’aréopage qui fasse déraper le complot apparaît comme l’ultime paradoxe de l’histoire. L’existence de ces imprévisibles grains de sable en infirme partiellement le postulat de base. On ajoutera un tag conclusif plus faible qu’à l’accoutumée cette saison, avec comme véhicule l’habituelle voiture de Steed. Demeurent fort heureusement plusieurs moments forts, tels l’examen de passage ou le mémorable trampoline de Mrs Peel.
Steed se révèle toujours impeccablement interprété par Patrick Macnee, notamment lors de ses nombreuses scènes en solo. Notre héros crève l’écran par son élégance, sa vitalité et sa ruse malicieuse. On le devine particulièrement enjoué car voici que s’achève l’époque des coups de griffes et des prises de bec. Emma Peel s’affirme déjà très différente de sa devancière. Ainsi, si le texte de l’échange autour du rôle d’infirmière tenu par Emma aurait pu se retrouver précédemment, l’intonation, si complice et souriante, en varie totalement ! Heureux homme. Sublimissime et merveilleusement douée, Diana Rigg s’impose d’emblée et capte instannément l’attention du spectateur.
Mrs Peel bénéficie d’une garde robe noir et blanc déjà supérieurement élégante et raffinée, parfois délicieusement audacieuse (ce vertigineux dévoilement quand tombe le manteau de fourrure). Grâce au ciel, l’époque des pyjamas criards demeure encore lointaine. On regrettera par contre un maquillage bien trop affirmé, avec notamment un désastreux rouge à lèvres à la truelle. Cela jure avec l’âge si juvénile de l’interprète. Robert Banks Stewart soigne particulièrement les pétillants et enjoués dialogues (parfois à double sens) entre nos deux acolytes, instaurant une relation déjà si fusionnelle. L’héroïne nécessite cependant quelques progrès lors des scènes d’action et, de fait, en matière de combat Mrs Gale restera la plus percutante et efficiente des partenaires de Steed. La bonne idée del’affrontement en ombres chinoises se voit ainsi en grande partie anéantie par le recours évident à deux cascadeurs masculins. De quoi regretter les spectaculaires et réalistes affrontements en plan séquence de naguère.
Un épisode imaginatif, mais à l’intrigue non exempte de maladresses. L’absence d’un antagoniste à la hauteur se fait cruellement ressentir. Mrs Peel demeure la meilleure ambassadrice du trampoline !
Le QI supérieur à 145, retenu comme critère d’entrée à RANSACK est souvent considéré comme correspondant au génie, dépassant l’intelligence dite « hautement supérieure ». Différentes études montrent qu’il n’est atteint que par 0,25% de la population. Les spécialistes parlent alors de Haut QI (HQI), ce niveau de 145 servant également à caractériser les enfants surdoués. Celui d’Einstein était estimé proche de 160.
En préambule à son rôle d’infirmière, Steed glisse à Mrs Peel qu’elle ressemble remarquablement à Florence Nightingale (1820-1910). Florence Nightingale, célèbre infirmière issue d’une grande famille, établit les règles modernes de son métier par ses travaux et enseignements, ainsi que les bases de la statistique médicale. Figure importante du progressisme social et du féminisme britanniques, elle milita activement pour la qualité des soins destinés aux classes défavorisées. Elle s’illustra également lors de la Guerre de Crimée, auprès du corps expéditionnaire britannique, réorganisant l’ensemble du dispositif sanitaire. Soutenue par la Reine Victoria, elle reçut la Royal Red Cross et l’Ordre national du mérite. Depuis 1907, le Comité International de la Croix-Rouge décerne la médaille Florence Nightingale aux personnes se distinguant par leurs actions dans le domaine des soins infirmiers.
Le point fort de l’épisode demeure son astucieuse idée de départ, la subjugation d’esprits supérieurs au service du crime. Un thème relativement original, quoique se rattachant aux manipulations de l’esprit très fréquentes dans les Spy Shows des années 60 (mais aussi chez le Docteur). Un inépuisable filon puisque toujours troublant par ses altérations de l’identité la plus intime d’un individu, infiniment varié dans ses multiples acceptions (on peut y rattacher aussi bien les lavages de cerveau du Wringer que les échanges de personnalités du Dr. Krelmar). Le sujet présente aussi l’intérêt de garantir des scènes fortes, déjà ici aux lisières de la Science-fiction, sans nécessiter pour autant de couteux effets spéciaux ! The Master Minds, outre l’introduction de ce terme indissociable des Avengers, se situe parmi les opus les plus efficaces de cette veine scénaristique, qu’elle renouvelle agréablement tout en lui apportant une agréable saveur authentiquement britannique.
Cette tonalité se découvre par l’emploi de sites caractéristiques, tels le parlement ou Whitehall, mais surtout par le site de ce somptueux établissement pour jeunes filles, si typiquement anglais. On se croirait dans son équivalent du remarquable Cat Among the Pigeons, d’Agatha Christie. On apprécie également vivement le décor de la maison de Sir Todd, avec une remarquable profondeur de champ et la thématique si Avengers du Noble Jeu. Le design s’affirme déjà, notamment avec ce remarquable âtre central, si caractéristique de la griffe d’Harry Pottle. Il en usera également pour l’appartement de Mrs Peel. Les autres décors de l’épisode s’avèrent plus convenus et usuels mais l’on appréciera les nombreux extérieurs, tranchant avec la période Cathy Gale et soulignés par la qualité clairement supérieure du Noir et Blanc.
Toutefois l’intrigue connaît plusieurs notables faiblesses, empêchant The Master Minds de compter parmi les plus retentissants succès de cette remarquable quatrième saison. La découverte de l’organisation RANSACK (la bien nommée, « piller » en Anglais), soit le cœur du scénario, survient bien trop tardivement. La moitié de l’épisode aura alors été consacrée à une mise en place et à une enquête assez lente et fastidieuse, relevant en définitive de l’espionnage le plus traditionnel. Surtout les personnages secondaires pâtissent d’un manque patent de caractérisation. Ils se cantonnent à de simples silhouettes et même le professeur adepte de simili yoga n’apparaît que comme une pâle annonce des futurs Excentriques. La seule exception consiste en la piquante et très Sixties Davinia, qui nous vaut une scène particulièrement divertissante en compagnie de Steed, avec au passage un joli clin d’œil à notre doux pays. Les amateurs de la période Cathy Gale éprouveront cependant un fugace regret en songeant que le passage aurait idéalement convenu à l’inoubliable Edina Ronay.
Robert Banks Stewart joue malencontreusement la carte du twist à propos de l’identité de l’adversaire du jour. Un choix toujours gratuit quand le récit ne s’organise pas en Whodunit à la Agatha Christie. Après tout, il pourrait très bien s’agir de quelqu’un d’autre qu’Holly Trent, sans que cela change quoi que ce soit. Il demeure bien plus ambitieux et porteur d’intégrer la personnalité de l’antagoniste au cœur de l’histoire, tout en l’érigeant comme atout maître de celle-ci. D’ailleurs nombre des épisodes les plus mémorables des Avengers procéderont de la sorte. Il reste paradoxal qu’un opus intitulé The Master Minds introduise l’un des ennemis les moins mémorables de nos héros ! Cela n’enlève rien à la prestation remarquable de Patricia Haines, notamment dans une tenue de Robin des Bois lui seyant aussi parfaitement que celle, future, d’Emma Peel.
L’intrigue souffre également de diverses maladresses. Ainsi il semble paradoxal qu’une conspiration disposant de cerveaux aussi supérieurs se fasse posséder par une astuce aussi convenue que celle de la fausse secrétaire. Personnellement, outre l’élaboration des missions, je les aurais également mis à contribution pour sécuriser mon organisation. Il s’avère également étonnant que Steed soit le seul à débrancher un haut parleur aussi sonore et intrusif. Que cela soit le moins haut QI de l’aréopage qui fasse déraper le complot apparaît comme l’ultime paradoxe de l’histoire. L’existence de ces imprévisibles grains de sable en infirme partiellement le postulat de base. On ajoutera un tag conclusif plus faible qu’à l’accoutumée cette saison, avec comme véhicule l’habituelle voiture de Steed. Demeurent fort heureusement plusieurs moments forts, tels l’examen de passage ou le mémorable trampoline de Mrs Peel.
Steed se révèle toujours impeccablement interprété par Patrick Macnee, notamment lors de ses nombreuses scènes en solo. Notre héros crève l’écran par son élégance, sa vitalité et sa ruse malicieuse. On le devine particulièrement enjoué car voici que s’achève l’époque des coups de griffes et des prises de bec. Emma Peel s’affirme déjà très différente de sa devancière. Ainsi, si le texte de l’échange autour du rôle d’infirmière tenu par Emma aurait pu se retrouver précédemment, l’intonation, si complice et souriante, en varie totalement ! Heureux homme. Sublimissime et merveilleusement douée, Diana Rigg s’impose d’emblée et capte instannément l’attention du spectateur.
Mrs Peel bénéficie d’une garde robe noir et blanc déjà supérieurement élégante et raffinée, parfois délicieusement audacieuse (ce vertigineux dévoilement quand tombe le manteau de fourrure). Grâce au ciel, l’époque des pyjamas criards demeure encore lointaine. On regrettera par contre un maquillage bien trop affirmé, avec notamment un désastreux rouge à lèvres à la truelle. Cela jure avec l’âge si juvénile de l’interprète. Robert Banks Stewart soigne particulièrement les pétillants et enjoués dialogues (parfois à double sens) entre nos deux acolytes, instaurant une relation déjà si fusionnelle. L’héroïne nécessite cependant quelques progrès lors des scènes d’action et, de fait, en matière de combat Mrs Gale restera la plus percutante et efficiente des partenaires de Steed. La bonne idée del’affrontement en ombres chinoises se voit ainsi en grande partie anéantie par le recours évident à deux cascadeurs masculins. De quoi regretter les spectaculaires et réalistes affrontements en plan séquence de naguère.
Un épisode imaginatif, mais à l’intrigue non exempte de maladresses. L’absence d’un antagoniste à la hauteur se fait cruellement ressentir. Mrs Peel demeure la meilleure ambassadrice du trampoline !
Le QI supérieur à 145, retenu comme critère d’entrée à RANSACK est souvent considéré comme correspondant au génie, dépassant l’intelligence dite « hautement supérieure ». Différentes études montrent qu’il n’est atteint que par 0,25% de la population. Les spécialistes parlent alors de Haut QI (HQI), ce niveau de 145 servant également à caractériser les enfants surdoués. Celui d’Einstein était estimé proche de 160.
En préambule à son rôle d’infirmière, Steed glisse à Mrs Peel qu’elle ressemble remarquablement à Florence Nightingale (1820-1910). Florence Nightingale, célèbre infirmière issue d’une grande famille, établit les règles modernes de son métier par ses travaux et enseignements, ainsi que les bases de la statistique médicale. Figure importante du progressisme social et du féminisme britanniques, elle milita activement pour la qualité des soins destinés aux classes défavorisées. Elle s’illustra également lors de la Guerre de Crimée, auprès du corps expéditionnaire britannique, réorganisant l’ensemble du dispositif sanitaire. Soutenue par la Reine Victoria, elle reçut la Royal Red Cross et l’Ordre national du mérite. Depuis 1907, le Comité International de la Croix-Rouge décerne la médaille Florence Nightingale aux personnes se distinguant par leurs actions dans le domaine des soins infirmiers.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Les Aigles (The Master Minds)
je n'avais jamais vu cet épisode. je l'ai visionné là ce soir.
2 parties distrinctes en effet...la première traine un peu et elle aurait pu etre plus courte, on ne voit pas où ça va nous mener...pourquoi passer autant de temps avec l'amnésie du gars?une ou deux scènes auraient suffi.
épisode agréable,j'aime le concept/scénario...manipulation des masses... mais je prèfère largement le visage,le document disparu,la porte de la mort,faites de beaux reves etc.
et puis pour l'hypnose? une simple cassette que l'on nous fait écouter pendant la nuit et on devient un vrai pantin...sous emprise totale...curieux...un peu trop radical/exagéré selon moi.
2,5/4 car il y bien pire dans cette saison qui ne me tient pas spécialement à coeur.
2 parties distrinctes en effet...la première traine un peu et elle aurait pu etre plus courte, on ne voit pas où ça va nous mener...pourquoi passer autant de temps avec l'amnésie du gars?une ou deux scènes auraient suffi.
épisode agréable,j'aime le concept/scénario...manipulation des masses... mais je prèfère largement le visage,le document disparu,la porte de la mort,faites de beaux reves etc.
et puis pour l'hypnose? une simple cassette que l'on nous fait écouter pendant la nuit et on devient un vrai pantin...sous emprise totale...curieux...un peu trop radical/exagéré selon moi.
2,5/4 car il y bien pire dans cette saison qui ne me tient pas spécialement à coeur.
Guillaume- Comte(sse)
- Age : 37
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 22/05/2007
Re: Les Aigles (The Master Minds)
Episode correct, mais qui souffre d'un flagrant manque d'imagination. Les épisodes que tu cites seront ou plus ingénieux, ou plus oppressants. Sans être aussi sévère que toi, je l'aime bien, ne serait-ce que pour Emma enlevant son manteau dans la première scène post-générique où elle est tout simplement magnifique !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Les Aigles (The Master Minds)
j'aime bien le début (une personalité politique de 1er plan compromise dans une affaire d'espionnage) mais après ça se gâte ... tout le passage dans l'école est long/chiant et c'est dommage parce que les décors et certains persos (la Robin des Bois) sont bien fichus mais de mauvaises idées flinguent le tout (la cheffe des méchants ... oh on s'y attendait pas, des génies transformés en "zombies" via la "radio" mouais...)
2 melons
2 melons
jbourne- Vicomte(sse)
- Age : 51
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 09/10/2011
Re: Les Aigles (The Master Minds)
Moi c'est le contraire : je trouve le début très laborieux et la seconde beaucoup mieux.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Les Aigles (The Master Minds)
Cetp65 a écrit:Moi c'est le contraire : je trouve le début très laborieux et la seconde beaucoup mieux.
idem
Guillaume- Comte(sse)
- Age : 37
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 22/05/2007
Re: Les Aigles (The Master Minds)
Revu un épisode qui dans cet ordre est en retrait qualitativement comparé aux 5 précédents et 4 suivants. Je n’ai pas remarqué la courte scène présente sur la collection Optimum : le ‘yes’ de l’assemblée avant de regagner les chambres après la vidéo hypnotisante. Ce n’est pas sur l’édition kiosque et je me demande si elle est présente sur le BR.
Pour ceux qui ont l’édition française précédente, la comparaison de la restauration est faite : pour s’en rendre compte, il suffit de regarder la scène pré-générique. La version Canal kiosque des années 2000 est bourrée de saletés noires ; traits, griffes, points. Ici, c’est propre comme un sou neuf.
Invité- Invité
Re: Les Aigles (The Master Minds)
Initiation au tir à l'arc sur le tournage de l'épisode
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Dearesttara et Camarade Totoff aiment ce message
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