La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - THE AVENGERS :: SAISON 5
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Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Je ne serais pas aussi féroce que toi mais l'épisode est en effet un cran au-dessous du niveau habituel de la série.
Exact, 2 melons aussi. Ah, le fameux tag ! Qualifié par Patrick Macnee lui-même de "classique" !
Exact, 2 melons aussi. Ah, le fameux tag ! Qualifié par Patrick Macnee lui-même de "classique" !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Date d'inscription : 08/02/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Les tags de la saison 5 sont, pour moi, les plus réussis
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
J'ai quant à moi une préférence pour ceux de la saison 6, plus burlesques. Le problème est que le meilleur (Miroirs, Clowneries...) y voisine avec le pire (L'Invasion des Terriens, Pandora...) trop souvent. Trop inégaux alors que ceux de la saison 5 sont presque tous bons (quoique celui d'Interférences tombe complètement à plat).
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Je n'ai jamais été fan des tags, trop déconnectés de l'histoire qui a précédé. J'aurais préféré des conclusions plus en phase avec l'aventure vécue, ou même lui donnant des explications complémentaires, comme souvent dans "Amicalement vôtre" ou "Les mystères de l'Ouest".
Leur suppression ne m'a donc pas dérangé dans "TNA".
Leur suppression ne m'a donc pas dérangé dans "TNA".
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Phil DLM a écrit:Je n'ai jamais été fan des tags, trop déconnectés de l'histoire qui a précédé. J'aurais préféré des conclusions plus en phase avec l'aventure vécue, ou même lui donnant des explications complémentaires, comme souvent dans "Amicalement vôtre" ou "Les mystères de l'Ouest".
Leur suppression ne m'a donc pas dérangé dans "TNA".
Je crains ne pas te comprendre Phil. Vois-tu, à partir de la saison 5, les tags ont un lien avec l'histoire comme justement La Dynamo vivante où l'électricité est le fil conducteur (sans jeu de mots) de l'histoire et du tag, Caméra Meurtre se termine par un tag où Emma brise le décor de cinéma, et quasiment tous les autres épisodes ! Même chose avec la saison 6 : La discussion par valises interposées de L'Homme au sommet, le Steedopoly de Jeux... certes, il y a quelques exceptions mais dans l'ensemble, le tag est lié à l'histoire. Aussi, j'avoue ne pas te comprendre tout à fait...
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
De plus, sans tag, cela fait trop brusque. Ce que j'aime bien dans les saisons (en film), c'est qu'on conclut 'bien' les histoires et ce, de manière légèrement humoristique.
Joris- Prince(sse)
- Age : 34
Localisation : Metz (57)
Date d'inscription : 10/06/2006
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Dans ''Les aigles'', ''Mort en magasin'', ''Faites de ebaux rêves'', ''L'hériatage diabolique'' aussi, il y à des tags qui sont en rapport avec l'épisode. Dans presque tous en fait.
D'ailleurs l'absence de tags des TNA fait partie de mon FLOP 10 Détail irritant (en fait, i ln'y à presque que des TNA : les TNA eux-mêmes, Gambit, tenues de Purdey, absence de tags finaux...)
D'ailleurs l'absence de tags des TNA fait partie de mon FLOP 10 Détail irritant (en fait, i ln'y à presque que des TNA : les TNA eux-mêmes, Gambit, tenues de Purdey, absence de tags finaux...)
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Pas mal de tags de la saison 4 sont rudimentaires, on voit juste Steed et Mme Peel conduire à chaque fois un véhicule différent.
Ce qui est parfois gênant dans TNA, c'est que la scène finale a tendance à être moins intéressante que le reste de l'épisode (dans "le dernier des cybernautes" par exemple, la façon dont ils maîtrisent Kane avec des bombes de produit chimique déçoit, surtout après le magnifique combat entre Kane et Purdey). Je pense qu'avec de meilleures scènes finales, on ne s'apercevrait même pas de l'absence de tag.
Ce qui est parfois gênant dans TNA, c'est que la scène finale a tendance à être moins intéressante que le reste de l'épisode (dans "le dernier des cybernautes" par exemple, la façon dont ils maîtrisent Kane avec des bombes de produit chimique déçoit, surtout après le magnifique combat entre Kane et Purdey). Je pense qu'avec de meilleures scènes finales, on ne s'apercevrait même pas de l'absence de tag.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Oh que si. Surtout pour les TNA.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Je serais d'accord pour dire que globalement l'épisode est en dessous de ce qu'il aurait pu être, mais en même, c'est peut-être l'effet du "réchauffé" qui s'opère.
Micksteed- Vicomte(sse)
- Age : 35
Localisation : 77
Date d'inscription : 24/11/2007
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
"Réchauffé" ? Certes, l'épisode n'est pas vraiment réussi, mais je ne me rappelle pas qu'il y ait eu un scénario qui ressemble à celui de cet épisode !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
j'ai pas dit que c'était la même chose, mais ils ont tous le même but avec leurs victimes
Micksteed- Vicomte(sse)
- Age : 35
Localisation : 77
Date d'inscription : 24/11/2007
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Sans etre un must,un épisode pas désagréable avec une bande-son soignée "scritch-scritch",des décors campagnards plaisants (meme si dans la vraie vie je suis urbain en diable!) et une sécrétaire apétissante.Emma en papillotes vaut le détour,mais l'ensemble manque un peu d'énergie ce qui est étonnant au vu du sujet!L'homme électrique est plus inquiètant que son "supérieur" sans grand charisme ce qui est génant pour un potentiel maitre du monde (détail déjà relevé dans une autre histoire).Le labo ne semble pas très "hi-tech" meme pour l'époque,on a vu mieux dans la série.
Une brave Morris Minor devient un engin de mort,et le scientifique soupçonné à tort (son nom m'échappe) roule en Rover 2000,la "DS anglaise" (63/76)
Une brave Morris Minor devient un engin de mort,et le scientifique soupçonné à tort (son nom m'échappe) roule en Rover 2000,la "DS anglaise" (63/76)
Nicolas- Marquis(e)
- Age : 60
Localisation : Romilly sur Seine (10)
Date d'inscription : 10/03/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Une intrigue assez originale, et surtout énormément d'humour. Et puis le fameux tag final, un de mes préférés. La secrétaire est hilarante, surtout lors de sa première apparition. Par contre, le ''surhomme'' est plus ridicule qu'effrayant, tandis que les plans du 'diabolcial mastermind' semblent très classique. Emma semble collectionner les atrocités dans cet épisode : robe de grand-mère, pyjama de prison.... STOP !!!
Je passe de 2 à 3 melons.
Je passe de 2 à 3 melons.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
The Positive Negative Man
Février 2012: j’ai apprécié cet épisode bien plus que lors de l’élaboration des fiches. Disons que de deux, je passe à trois melons. Malgré que le thème principal soit assez moyen (le type maquillé aux bottines est aussi moins noble qu’un cybernaute), il y a de nombreuses scènes intéressantes ; avec la secrétaire, les séquences d’action et les réparties Steed/Mrs Peel et le tag. C’est assez plaisant dans l’ensemble mais l’épisode ne rentre pas dans mon top five de la saison.
Tournage
• Le British Rail Centre, The Grove à Watford a de nouveau été utilisé. C’est le laboratoire de recherches désaffecté, Risley Dale. De nombreuses scènes dont la finale y ont été tournées.
Continuité
• D’après le site Mrs Peel, we’re needed, ce n’est ni Diana Rigg, ni Cyd Child qui conduit la Lotus puis se dirige à pied vers l’entreprise Wavel Electronics. Ce serait Diane Enright mais il n’est pas possible d’avoir un plan très net même s’il est évident que c’est ni l’actrice, ni la doublure des cascades (à gauche). Diane Enright conduit aussi la Lotus lorsque Mrs Peel arrive à Risley Dale (à droite).
[
•Lorsque Steed regarde par la fenêtre de Risley Dale, l’extérieur est à l’évidence un ‘fake’, procédé souvent utilisé (à gauche). Idem pour l’extérieur de la maison de Creswell (à droite).
• En sortant de chez Mankin, Rocky Taylor conduit la Bentley, poursuivie par la camionnette bleue (à gauche). Les plans avec Patrick Macnee sont tournés en studio, comme d’habitude dans ce genre de situations. C’est également Rocky Taylor qui se bat dans le final (à droite).
Détails
• La secrétaire top hush a des indéniables atouts qui ont passé la censure américaine très stricte sur certaines tenues portées par Diana Rigg.
• Mrs Peel ne parle pas forcément toutes les langues qu’elle prétend. Dans The Correct Way to Kill, elle dit en russe : ‘dasvidania’ et dans cet épisode, ‘au revoir’ en français. Du vocabulaire que tout le monde sait sans avoir appris les langues concernées.
• Sur le passe de Steed, on peut lire ce qui suit : ‘PRIORITY PASS. John Steed 379905. London has been permitted access to all ministry files class A3-C7’
A noter que…
- A noter la réplique osée de Mrs Peel lorsque Creswell évoque Haworth : ‘His power is unlimited.’ Mrs Peel : ‘Balls’.
Février 2012: j’ai apprécié cet épisode bien plus que lors de l’élaboration des fiches. Disons que de deux, je passe à trois melons. Malgré que le thème principal soit assez moyen (le type maquillé aux bottines est aussi moins noble qu’un cybernaute), il y a de nombreuses scènes intéressantes ; avec la secrétaire, les séquences d’action et les réparties Steed/Mrs Peel et le tag. C’est assez plaisant dans l’ensemble mais l’épisode ne rentre pas dans mon top five de la saison.
Tournage
• Le British Rail Centre, The Grove à Watford a de nouveau été utilisé. C’est le laboratoire de recherches désaffecté, Risley Dale. De nombreuses scènes dont la finale y ont été tournées.
Continuité
• D’après le site Mrs Peel, we’re needed, ce n’est ni Diana Rigg, ni Cyd Child qui conduit la Lotus puis se dirige à pied vers l’entreprise Wavel Electronics. Ce serait Diane Enright mais il n’est pas possible d’avoir un plan très net même s’il est évident que c’est ni l’actrice, ni la doublure des cascades (à gauche). Diane Enright conduit aussi la Lotus lorsque Mrs Peel arrive à Risley Dale (à droite).
[
•Lorsque Steed regarde par la fenêtre de Risley Dale, l’extérieur est à l’évidence un ‘fake’, procédé souvent utilisé (à gauche). Idem pour l’extérieur de la maison de Creswell (à droite).
• En sortant de chez Mankin, Rocky Taylor conduit la Bentley, poursuivie par la camionnette bleue (à gauche). Les plans avec Patrick Macnee sont tournés en studio, comme d’habitude dans ce genre de situations. C’est également Rocky Taylor qui se bat dans le final (à droite).
Détails
• La secrétaire top hush a des indéniables atouts qui ont passé la censure américaine très stricte sur certaines tenues portées par Diana Rigg.
• Mrs Peel ne parle pas forcément toutes les langues qu’elle prétend. Dans The Correct Way to Kill, elle dit en russe : ‘dasvidania’ et dans cet épisode, ‘au revoir’ en français. Du vocabulaire que tout le monde sait sans avoir appris les langues concernées.
• Sur le passe de Steed, on peut lire ce qui suit : ‘PRIORITY PASS. John Steed 379905. London has been permitted access to all ministry files class A3-C7’
A noter que…
- A noter la réplique osée de Mrs Peel lorsque Creswell évoque Haworth : ‘His power is unlimited.’ Mrs Peel : ‘Balls’.
Invité- Invité
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
denis a écrit:The Positive Negative Man
Février 2012: j’ai apprécié cet épisode bien plus que lors de l’élaboration des fiches. Disons que de deux, je passe à trois melons.
Exactement comme moi pour l'évolution. j'ai particulièrement apprécié les répliques et l'humour.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Il manque un tout petit quelque chose (et je n'arrive pas vraiment à déterminer lequel) à cette dynamo pour figurer parmi les nombreux "must" de la S5.
Si ce n'était pas une des dernières aventures avec Emma (elle n'est pas moche sa petite à robe à fleurs ), ça pourrait même être le fameux épisode-type à montrer en premier au non-initié pour lui faire découvrir la série.
3,5 melons.
Si ce n'était pas une des dernières aventures avec Emma (elle n'est pas moche sa petite à robe à fleurs ), ça pourrait même être le fameux épisode-type à montrer en premier au non-initié pour lui faire découvrir la série.
3,5 melons.
Invité- Invité
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Non, tu as raison. De toute façon, il y a des filles qui sont craquantes avec n'importe quelle tenue, même un sac à patates. Mrs Peel/Diana Rigg en fait partie.peelou a écrit:(elle n'est pas moche sa petite à robe à fleurs ),
Invité- Invité
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
denis a écrit: De toute façon, il y a des filles qui sont craquantes avec n'importe quelle tenue, même un sac à patates. Mrs Peel/Diana Rigg en fait partie.
Au risque d'irriter Cetp, je suis d'accord avec toi Denis.
Invité- Invité
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
J'admire votre grande tolérance, car il y'a une tenue qui malgré moi fait que je ne la trouve pas séduisante.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
la dynamo vivante
Un petit délire Steedesque, il s'est pris une balle (et quelle balle ,quel engin!!!), le pauvre
teeger59- Comte(sse)
- Age : 47
Localisation : Valenciennes (Nord)
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Je ne parle pas de Diana Rigg, je parle de ses tenues. Et désolé, mais cette robe à fleur de grand-mère, où le pyjama de prison (plus poliment appelé Emmapeeler orange)...
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Dearesttara a écrit:J'admire votre grande tolérance, car il y'a une tenue qui malgré moi fait que je ne la trouve pas séduisante.
Moi, j'admire celle que vous avez pour certains épisodes avec Cathy Gale comme Mort à la carte.
Invité- Invité
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Et puis ça me semble dur de ne pas trouver Emma très séduisante dans cet épisode, elle y est magnifique!
Lord BS- Chevalier
- Age : 32
Localisation : France
Date d'inscription : 30/01/2012
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Avec le pyjama de prison ?
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Quand comprendras-tu Cetp que certaines femmes peuvent être 100 fois plus élégantes et séduisantes en pyjama de bagnard orange que d'autres en tailleur Chanel ou robes de soirée de chez Dior ?
Invité- Invité
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Je ne faisais sûrement pas allusion en premier lieu à l'emmapeeler de l'épisode, mais je suis parfaitement d'accord avec peelou.
Lord BS- Chevalier
- Age : 32
Localisation : France
Date d'inscription : 30/01/2012
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Avant qu'il ne soit éreinté par les critiques d'Estuaire, je vais défendre ce superbe épisode que j'ai longtemps possédé en film super 8, édité par "les grands films classiques" en janvier 1977. A l'époque, pas de vhs ni de dvd.
Le bémol que je mets d'emblée à l'épisode, est que l'on voit lors du premier meurtre le visage du regretté Michael Latimer, ce qui détruit un suspense "cybernaute/tigre caché".
L'épisode, un cran au dessous de chefs d'oeuvre comme "Interférences" et "Les Cybernautes", multiplie les fausses pistes. Ainsi Steed dira "il est sûrement dans le coup" en parlant d'un savant qui a participé au mystérieux projet 90, le malheureux Mankin, alors que ce dernier n'est pour rien dans la série de meurtres auxquels participent Peter (Michael Latimer) et son chef le diabolique Creswell (si vous regardez bien, une petite ressemblance avec le André Dussolier mûr de "Ne le dis à personne").
Fausse note de l'épisode : l'horrible Caroline Blakiston, on ne peut lui reprocher son physique, mais déjà dans "le saint": un drôle de monstre", elle jouait les garces alors qu'elle a le genre de physique des gens vieux avant l'heure.
Le bonus : la sublime Joanne Dainton (qui quitte trop vite l'écran) et que l'on reverra en persuaders girl dans "Quelqu'un dans mon genre". Elle est "Madame Clark", et quand on la voit on a bien envie d'être Monsieur Clark"
Certaines scènes ont un sous entendu sexuel : "Je vous veux dans mes bras, Madame Peel", dira Peter, l'homme dynamo. Emma le provoque en le mettant en colère. "Mon estomac laisse peut être à désirer Mme Peel, mais je suis l'homme le plus dynamique qu'il vous sera donné de rencontrer", et il appuie son doigt sur le nez d'Emma. Il faut avouer que Latimer est beau gosse, avec des traits bien plus fins que Macnee, et l'on a l'impression que la féline et indépendante Emma refuse cet état de fait en essayant de le blesser "vous ne craignez pas de griller un fusible".
On regrette toujours les mêmes choses, l'humour trop grotesque façon Moonraker/James Bond : la première victime projetée contre un mur a découpé sa silhouette dans le mur! Je n'ai jamais ce côté grotesque de chapeau melon, le soupçonnant d'être là pour désamorcer la tension et en faire un programme visible par le plus grand nombre.
Comme dans les cybernautes/Interférences/le tigre caché, il est question d'asservir l'angleterre, " et d'ici quelques mois il y en aura plusieurs centaines comme lui (des supermen), je mettrai le gouvernement à genoux".
Un des meilleurs moments de l'épisode : Steed ne se sait pas espionné, et une musique stridente nous fait dresser les cheveux sur la tête : dans un vieux fourgon bleu, le tueur dirige vers lui une arme bizarre, l'une de ces improbables armes envoyant des ondes électriques, aussi folle que les pistolets sèche cheveux désintégrateurs des envahisseurs.
Il y a aussi des moments de mystère non expliqués même à la fin, comme celui où Steed va mettre impunément son bras sur le chemin d'ondes électriques entre un ventilateur et l'invention du projet 90.
Ray Mc Anally par contre, en Creswell, n'a pas le magnétisme de l'équipe Hammer : Christopher Lee, Peter Cushing ou Michael Gough (qui étaient tous trois présents dans "le cauchemar de Dracula").
Diana Rigg, terriblement sexy dans l'épisode, avec des genoux que l'on voit largement. Comme l'invasion des terriens où Steed dit à Tara "j'ai une meilleure idée", on peut imaginer que Steed et Emma font l'amour après le générique de fin, Steed feignant d'être collé à sa voiture par du magnétisme électrique, et Emma, résistant d'abord, souriant dans la dernière image et se laissant faire.
Voilà le chapeau melon que j'aime.
Dans le film super 8 (que j'ai revendu), la couleur du costume changeait brusquement à la dernière bobine quand il pénètre au centre de Creswell.
Il y a une scène que je n'aime pas (en dehors des cuisses de Caroline Blakiston qui y cachent des clefs que steed qualifiera de "encore chaude"), c'est le dernier plan sur le visage de Diana Rigg lorsque Latimer l'enlève. Il y a un gros plan assez inesthétique sur la dentition de Diana Rigg.
Le bémol que je mets d'emblée à l'épisode, est que l'on voit lors du premier meurtre le visage du regretté Michael Latimer, ce qui détruit un suspense "cybernaute/tigre caché".
L'épisode, un cran au dessous de chefs d'oeuvre comme "Interférences" et "Les Cybernautes", multiplie les fausses pistes. Ainsi Steed dira "il est sûrement dans le coup" en parlant d'un savant qui a participé au mystérieux projet 90, le malheureux Mankin, alors que ce dernier n'est pour rien dans la série de meurtres auxquels participent Peter (Michael Latimer) et son chef le diabolique Creswell (si vous regardez bien, une petite ressemblance avec le André Dussolier mûr de "Ne le dis à personne").
Fausse note de l'épisode : l'horrible Caroline Blakiston, on ne peut lui reprocher son physique, mais déjà dans "le saint": un drôle de monstre", elle jouait les garces alors qu'elle a le genre de physique des gens vieux avant l'heure.
Le bonus : la sublime Joanne Dainton (qui quitte trop vite l'écran) et que l'on reverra en persuaders girl dans "Quelqu'un dans mon genre". Elle est "Madame Clark", et quand on la voit on a bien envie d'être Monsieur Clark"
Certaines scènes ont un sous entendu sexuel : "Je vous veux dans mes bras, Madame Peel", dira Peter, l'homme dynamo. Emma le provoque en le mettant en colère. "Mon estomac laisse peut être à désirer Mme Peel, mais je suis l'homme le plus dynamique qu'il vous sera donné de rencontrer", et il appuie son doigt sur le nez d'Emma. Il faut avouer que Latimer est beau gosse, avec des traits bien plus fins que Macnee, et l'on a l'impression que la féline et indépendante Emma refuse cet état de fait en essayant de le blesser "vous ne craignez pas de griller un fusible".
On regrette toujours les mêmes choses, l'humour trop grotesque façon Moonraker/James Bond : la première victime projetée contre un mur a découpé sa silhouette dans le mur! Je n'ai jamais ce côté grotesque de chapeau melon, le soupçonnant d'être là pour désamorcer la tension et en faire un programme visible par le plus grand nombre.
Comme dans les cybernautes/Interférences/le tigre caché, il est question d'asservir l'angleterre, " et d'ici quelques mois il y en aura plusieurs centaines comme lui (des supermen), je mettrai le gouvernement à genoux".
Un des meilleurs moments de l'épisode : Steed ne se sait pas espionné, et une musique stridente nous fait dresser les cheveux sur la tête : dans un vieux fourgon bleu, le tueur dirige vers lui une arme bizarre, l'une de ces improbables armes envoyant des ondes électriques, aussi folle que les pistolets sèche cheveux désintégrateurs des envahisseurs.
Il y a aussi des moments de mystère non expliqués même à la fin, comme celui où Steed va mettre impunément son bras sur le chemin d'ondes électriques entre un ventilateur et l'invention du projet 90.
Ray Mc Anally par contre, en Creswell, n'a pas le magnétisme de l'équipe Hammer : Christopher Lee, Peter Cushing ou Michael Gough (qui étaient tous trois présents dans "le cauchemar de Dracula").
Diana Rigg, terriblement sexy dans l'épisode, avec des genoux que l'on voit largement. Comme l'invasion des terriens où Steed dit à Tara "j'ai une meilleure idée", on peut imaginer que Steed et Emma font l'amour après le générique de fin, Steed feignant d'être collé à sa voiture par du magnétisme électrique, et Emma, résistant d'abord, souriant dans la dernière image et se laissant faire.
Voilà le chapeau melon que j'aime.
Dans le film super 8 (que j'ai revendu), la couleur du costume changeait brusquement à la dernière bobine quand il pénètre au centre de Creswell.
Il y a une scène que je n'aime pas (en dehors des cuisses de Caroline Blakiston qui y cachent des clefs que steed qualifiera de "encore chaude"), c'est le dernier plan sur le visage de Diana Rigg lorsque Latimer l'enlève. Il y a un gros plan assez inesthétique sur la dentition de Diana Rigg.
Invité- Invité
Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Une pénible impression de déjà-vu impacte lourdement La Dynamo vivante, tant son thème et son modus operandi évoquent les déjà peu concluants Interférences et Cybernautes. En guise d'intrigue, on y suit avec le même ennui pesant la litanie des meurtres et destructions causés par un similaire destructeur invincible supposé frapper les esprits. La victoire survenant à la suite d'une affaire de bottes rappelle Le vengeur volant. Rien de nouveau sous le soleil, tandis que l'antagoniste du jour s'offre jusqu'au luxe de paraître inepte. En effet, rien d'empêche de l'occire à bout portant, car il demeure biologique, contrairement à la ferraille des robots et androïdes, aussi basiques soit-ils. Rien ne manque à la convergence, puisque Williamson suscite aussi un bruit et une gestuelle caractéristiques, tout comme ses devanciers. A l'issue d'une saison déjà marquée par tant de suites et remakes, cet aspect vient confirmer un sentiment d'épuisement créatif et de fin de cycle. La série avait effectivement à se régénérer en saison 6, quelques soient les imperfections et maladresses que cela puisse susciter à cette occasion.
Et pourtant cela reste un plaisir pour le spectateur que d'observer comment l'épisode se débat malgré tout pour survivre, contrairement à un Interférences promptement enseveli. Dans un récit demeurant globalement très sérieux (trop compte tenu de la minceur de son sujet), l'humour parvient malgré tout à se frayer un chemin. Le flirt d'une secrétaire pré Brazil par un Steed fort entreprenant divertit, de même que l'aspect délirant du « suplice » promis à Mrs Peel. Une nouvelle fois cette saison, on observe un rapprochement avec la série Batman tant le décor et les péripéties s'assimilent aux famux cliffhangers de cette épatante série, en délire perpétuel. C'est tout juste si l'on entend pas le commentateur claironner « Un abominable péril menace Mrs Peel ! Est-ce la fin du Duo dynamique ? La suite same Bat-time, same Bat-channel ! ».
L'épisode bénéficie également d'une excellente distribution, Michael Latimer incarnant à la perfection la mégalomanie du super-vilain et Ray McAnally la brutalité de son concepteur. La mise en scène se montre également très animée, avec la curiosité supplémentaire d'effets spéciaux réussis, un exercice de style finalement pas si fréquent chez les Avengers. Une fois de plus la musique de Laurie Johnson fait merveille. Robert Day tire également le meilleur parti des décors, notamment en plein air, avec le retour réussi du Grove. On se situe loin de la morne fôret, filmée au ras des pâquerettes, d'Interférences. La similitude entre le Projet 90 et les thèses développées par Nikola Tesla pourra également séduire les amateurs de sciences dites spéculatives.
Surtout la complicité, sinon l'attractivité, existant entre Steed et Mrs Peel illumine l'épisode. Tout au ong du récit, Patrick Macnee et Diana Rigg se régalent et servent d'excellentes répliques, que Williamson sème à profusion, avec comme point d'orgue l'irrésistible tag conclusif. Se distingue ici l'aboutissement de la tendance de la seconde partie de saison explicitant la relation existant entre Steed et mrs Peel , à croire que les Anglo-saxons ont raison de distinguer deux périodes à part entière. D'autant que nous sommes en octobre 1967 et qu'entre temps est survenu le fameux Summer of Love, à San Francisco comme à Londres. Les radios entonnent A Whiter Shade of Pale ou Strawberry Fields Forever, le vent tourne au psychédélisme mais aussi à l'exaltation de l'amour. Nos Avengers résultent parfaitement en résonance avec cette époque, soulignant que c'est bien leur relation qui constitue désormais le cœur et le moteur de la série, davantage que des intrigues usées de menaces contre l'Empire. Un beau moment, qu'un ironique recul (la séparation approche à grands pas) ne parvient pas à éclipser. (***)
Le fourgon de Creswell est un Minor Morris type van, un modèle alors très populaire. Le constructeur Morris développa toute une série d'utilitaires dérivés de sa voiture vedette, la Minior. Celle-ci fut produite, sous diverses variantes, de 1948 à 1971, à près d'un million et demi d'exemplaires. La modicité de son prix et ses qualités robustes en ont fait l'un des symboles de la Grande-Bretagne d'après guerre et du développement de sa classe moyenne. Elle fut dessinée par Sir Alec Issigonis, également père de la Mini. La version van fut produite à partir de 1953 et était bien connue des téléspectateurs lors de la diffusion de l'épisode, car elle équipait alors la poste britannique. Elle était également populaire chez les marchands de glace ambulants !
Par son but d'obtenir une énergie illimitée et de conductité sans fil de l'électricité, le Projet 90 s'inspire clairement des théories du physicien serbe Nikola Tesla (1856-1943). Tesla fut l'auteur de découvertes concrètes (premiers alternateurs, réseaux de courant alternatif positif/negatif, nature de l'électromagnétisme, etc.), et d'innovations conduisant aux futurs radars et robots télécommandés. Mais sa légende demeure associée à ses théories non concrétisées d'une énergie cinétique gratuite et inépuisable, manipulable à volonté. Parmi ces visions figure effectivement la description d'une arme à énergie dirigée, destinée à équiper l'infanterie, mais davatge sous forme d'un rayon que par contact. Le mystère entourant ses projets a rendu Tesla très présent dans la culture populaire. Il est notamment l'un des personnages principaux de la série Sanctuary, participe aux Enquêtes de Murdoch, est l'un des héros de Walter dans Fringe mais aussi l'un des créateur des Entrepôts de Warehouse 13, au côtés de son rival Edison.
Et pourtant cela reste un plaisir pour le spectateur que d'observer comment l'épisode se débat malgré tout pour survivre, contrairement à un Interférences promptement enseveli. Dans un récit demeurant globalement très sérieux (trop compte tenu de la minceur de son sujet), l'humour parvient malgré tout à se frayer un chemin. Le flirt d'une secrétaire pré Brazil par un Steed fort entreprenant divertit, de même que l'aspect délirant du « suplice » promis à Mrs Peel. Une nouvelle fois cette saison, on observe un rapprochement avec la série Batman tant le décor et les péripéties s'assimilent aux famux cliffhangers de cette épatante série, en délire perpétuel. C'est tout juste si l'on entend pas le commentateur claironner « Un abominable péril menace Mrs Peel ! Est-ce la fin du Duo dynamique ? La suite same Bat-time, same Bat-channel ! ».
L'épisode bénéficie également d'une excellente distribution, Michael Latimer incarnant à la perfection la mégalomanie du super-vilain et Ray McAnally la brutalité de son concepteur. La mise en scène se montre également très animée, avec la curiosité supplémentaire d'effets spéciaux réussis, un exercice de style finalement pas si fréquent chez les Avengers. Une fois de plus la musique de Laurie Johnson fait merveille. Robert Day tire également le meilleur parti des décors, notamment en plein air, avec le retour réussi du Grove. On se situe loin de la morne fôret, filmée au ras des pâquerettes, d'Interférences. La similitude entre le Projet 90 et les thèses développées par Nikola Tesla pourra également séduire les amateurs de sciences dites spéculatives.
Surtout la complicité, sinon l'attractivité, existant entre Steed et Mrs Peel illumine l'épisode. Tout au ong du récit, Patrick Macnee et Diana Rigg se régalent et servent d'excellentes répliques, que Williamson sème à profusion, avec comme point d'orgue l'irrésistible tag conclusif. Se distingue ici l'aboutissement de la tendance de la seconde partie de saison explicitant la relation existant entre Steed et mrs Peel , à croire que les Anglo-saxons ont raison de distinguer deux périodes à part entière. D'autant que nous sommes en octobre 1967 et qu'entre temps est survenu le fameux Summer of Love, à San Francisco comme à Londres. Les radios entonnent A Whiter Shade of Pale ou Strawberry Fields Forever, le vent tourne au psychédélisme mais aussi à l'exaltation de l'amour. Nos Avengers résultent parfaitement en résonance avec cette époque, soulignant que c'est bien leur relation qui constitue désormais le cœur et le moteur de la série, davantage que des intrigues usées de menaces contre l'Empire. Un beau moment, qu'un ironique recul (la séparation approche à grands pas) ne parvient pas à éclipser. (***)
Le fourgon de Creswell est un Minor Morris type van, un modèle alors très populaire. Le constructeur Morris développa toute une série d'utilitaires dérivés de sa voiture vedette, la Minior. Celle-ci fut produite, sous diverses variantes, de 1948 à 1971, à près d'un million et demi d'exemplaires. La modicité de son prix et ses qualités robustes en ont fait l'un des symboles de la Grande-Bretagne d'après guerre et du développement de sa classe moyenne. Elle fut dessinée par Sir Alec Issigonis, également père de la Mini. La version van fut produite à partir de 1953 et était bien connue des téléspectateurs lors de la diffusion de l'épisode, car elle équipait alors la poste britannique. Elle était également populaire chez les marchands de glace ambulants !
Par son but d'obtenir une énergie illimitée et de conductité sans fil de l'électricité, le Projet 90 s'inspire clairement des théories du physicien serbe Nikola Tesla (1856-1943). Tesla fut l'auteur de découvertes concrètes (premiers alternateurs, réseaux de courant alternatif positif/negatif, nature de l'électromagnétisme, etc.), et d'innovations conduisant aux futurs radars et robots télécommandés. Mais sa légende demeure associée à ses théories non concrétisées d'une énergie cinétique gratuite et inépuisable, manipulable à volonté. Parmi ces visions figure effectivement la description d'une arme à énergie dirigée, destinée à équiper l'infanterie, mais davatge sous forme d'un rayon que par contact. Le mystère entourant ses projets a rendu Tesla très présent dans la culture populaire. Il est notamment l'un des personnages principaux de la série Sanctuary, participe aux Enquêtes de Murdoch, est l'un des héros de Walter dans Fringe mais aussi l'un des créateur des Entrepôts de Warehouse 13, au côtés de son rival Edison.
Dernière édition par Estuaire44 le Mar 10 Sep 2013 - 17:08, édité 1 fois
Estuaire44- Empereur
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Re: La Dynamo vivante (The Positive Negative Man)
Excellente critique. Mais tu vas jusque-là ? Quand je pense à couple > enquêtes, je pense plutôt aux séries des années 80 : Moonlighting bien sûr, mais aussi Remington Steele voire même Mission casse-cou. C'est vrai que cette saison met plus l'accent sur le couple, mais j'aurais tendance à penser que ce sont les enquêtes qui dominent encore. Toutefois, intelligente lecture de la série que de la comparer avec le summer of love, je n'y avais pas pensé.Estuaire44 a écrit:Nos Avengers résultent parfaitement en résonance avec cette époque, soulignant que c'est bien leur relation qui constitue désormais le coeur et le moteur de la série, davantage que des intrigues usées de menaces contre l'Empire. Un beau moment, qu'un ironique recul (la séparation approche à grand spas) ne parvient pas à éclipser. (***)
Bon, Patricks peut être rassuré, E44 a été plutôt sympa sur ce coup-là !
Dearesttara- Roi (Reine)
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