Haute Tension (Thingumajig)
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - THE AVENGERS :: SAISON 6
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Re: Haute Tension (Thingumajig)
Voir cette espèce de brique noire censée être menaçante envoyer des éclairs pas crédibles pour un sou, c'est très ridicule, champagne ou pas.
Cetp65- Prince(sse)
- Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Si quelqu'un découvre les Avengers avec cet épisode, je pense qu'il ne regardera jamais la suite.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Je l'aime bien cet épisode moi, c'est un des tout premiers que j'ai vu puis revu (à La Une est à vous) avec Tara et je me souviens qu'il fonctionnait bien sur les mômes qu'on était, on n'arrêtait pas de parler de la "boite noire". C'est vrai qu'il est assez rudimentaire et léger dans ses effets mais il a une ambiance plutôt sympa et je lui conserve une petite tendresse
Invité- Invité
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Même avis que Peelou. Mais la nostalgie joue beaucoup, découvert en soirée en 1973. Par contre, curieusement, quelques vendredis plus tôt était programmé "Faites de beaux rêves" (septembre 73) et je n'avais pas du tout aimé. J'ai changé d'avis depuis.
Invité- Invité
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Moi non plus je n'avais pas du tout aimé "Faîtes de beaux rêves" quand je l'ai découvert sur "Samedi est à vous" en 1975. Changé d'avis évidemment en le revoyant en 1993 lors de la sortie des VHS (je l'avais raté sur Continentales en 91).
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Ah ? Qu'est ce qui t'avais dérangé Séribibi quand tu avais vu l'épisode la première fois ?
Joris- Prince(sse)
- Age : 34
Localisation : Metz (57)
Date d'inscription : 10/06/2006
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Je ne sais pas ; à l'époque j'avais 8 ans, et je pense que l'histoire était trop compliquée pour moi.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Haute Tension (Thingumajig)
J'ai lu que c'était l'épisode préféré de Linda Thorson bien qu'elle y apparaisse peu.
C'est un de mes préférés aussi mais pas pas mon préféré, on ne la voit pas assez !
Beau titre, intraduisible, mais là je comprends !
C'est un de mes préférés aussi mais pas pas mon préféré, on ne la voit pas assez !
Beau titre, intraduisible, mais là je comprends !
TK Dream- Baron(ne)
- Age : 62
Localisation : Mars
Date d'inscription : 09/05/2012
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Celui-là, malgré toute mon affection pour la saison 6, j'ai du mal. Mais je ne l'ai vu qu'une seule fois et il est assez loin dans mon esprit. J'ai cependant le souvenir de l'orgue qui joue tout seul qui m'a fait vive impression à l'époque...
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Haute Tension (Thingumajig)
commentaire sur cet épisode en 2010:
copié-coller:
"je viens de revoir enfin haute tension et il m'a bien plu...certes il m'a fait moins d'effet que quand je l'avais vu gamin...mais j'aime bien tout de meme.
du suspense,de la tension...l'orgue qui joue tout seul,le bruit de la boite,l'église,les galeries,brett,les assasinats façon un peu tigre caché(je veux dire qu'on voit que les victimes).Tout ça crée un climat angoissant...
le scénario est léger et peu crédible je vous l'accorde mais c'est assez bien fait sinon.
le passage avec le professeur est marrant bien qu'un peu agaçant à force.
le méchant a vraiment l'air sadique...dommage qu'on ne le voit pas plus.
Les galeries me font penser un peu à l'invasion des terriens mais en mieux"
commentaire 2013 après avoir revu l'épisode ce matin:
idem je voulais reécrire un post mais mot pour mot j'allais remettre la meme chose.
j'ajoute juste que la musique est très bonne dans cet épisode (meme si ce ne sont que des reprises).
3,5/4 (le 4/4 serait un peu trop quand meme^^)
copié-coller:
"je viens de revoir enfin haute tension et il m'a bien plu...certes il m'a fait moins d'effet que quand je l'avais vu gamin...mais j'aime bien tout de meme.
du suspense,de la tension...l'orgue qui joue tout seul,le bruit de la boite,l'église,les galeries,brett,les assasinats façon un peu tigre caché(je veux dire qu'on voit que les victimes).Tout ça crée un climat angoissant...
le scénario est léger et peu crédible je vous l'accorde mais c'est assez bien fait sinon.
le passage avec le professeur est marrant bien qu'un peu agaçant à force.
le méchant a vraiment l'air sadique...dommage qu'on ne le voit pas plus.
Les galeries me font penser un peu à l'invasion des terriens mais en mieux"
commentaire 2013 après avoir revu l'épisode ce matin:
idem je voulais reécrire un post mais mot pour mot j'allais remettre la meme chose.
j'ajoute juste que la musique est très bonne dans cet épisode (meme si ce ne sont que des reprises).
3,5/4 (le 4/4 serait un peu trop quand meme^^)
Dernière édition par Guillaume le Mar 18 Juin 2013 - 17:15, édité 1 fois
Guillaume- Comte(sse)
- Age : 37
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 22/05/2007
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Je le trouve particulièrement raté. Passer d'un joyau comme Pandora à la méchante brique noire et ses flashs d'appareil photo non merci !
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Haute tension souffre de relever sans partage de la Science-fiction, aussi massivement que naguère Les Cybernautes. Dès la saison 3, l’esprit Avengers réside au contraire dans un alliage fructueux de genres différents. On pourrait considérer qu’il s’agit derechef d’un épisode décalé, mais, la très longue saison 6 ayant déjà été largement servie en la matière, un tel exercice de style doit se justifier par un intérêt et une qualité intrinsèques. Force est de constater qu’ici le compte n’y est pas, à rebours du précédent excellent Pandora.
Cette exigence apparaît d’autant plus incontournable qu’Haute Tension présente la difficulté particulière d’être directement importé d’une autre série. En effet Nation, prolifique et déterminant auteur de Docteur Who nous propose ici un plaquage sans subtilité ni audace de cette production. La tonalité de l’histoire préfigure clairement les aventures du Troisième Docteur (1970-1974), exilé sur Terre et sans cesse confronté à des apparitions d’entités hostiles de ce type, avec une prédilection pour les scènes d’action. Les boites correspondant avec limpidité aux Daleks si chers à Nation (la salière à roulettes se voyant remplacée par le grille-pain), tandis que Steed se trouve évidemment une jeune femme comme compagnon d’aventures et use de technologie pour vaincre.
Cet aspect condamne de fait l’épisode, puisque Nation ne fournit aucun effort pour que la greffe entre ces deux univers différents fonctionne. Il s’en tient à une stricte Science-fiction dans laquelle Steed peine d’autant plus à trouver ses marques que ses partenaires habituels sont ou périphériques (Tara) ou absents (Mother). Seul en Terre étrangère, Steed subit aussi le contrecoup de sa nature seulement humaine. Quelque soient ses qualités de héros au long cours, il ne saurait rivaliser avec l’intelligence et les facultés supérieures du Seigneur du Temps. Ce entraine fatalement Nation à diminuer les périls encourus (boites ridicules) et la puissance de l’adversaire, ainsi que la complexité du scénario (les aventures du Docteur s’étendant alors sur un arc parfois complexe de plusieurs épisodes). L’amateur a ainsi l’impression d’assister à une aventure vraiment bas de gamme de Doctor Who, où Steed n’a jamais la moindre chance de pouvoir apporter les mêmes impulsions que le démiurge venu de Gallifrey.
Par ailleurs l’épisode cumule les handicaps. Nation, tout à ses concepts de Science-fiction, ne soigne absolument pas les dialogues, souvent très quelconques. Après l’épouvante initiale le récit s’enchâsse dans l’église et le décor médiocre du souterrain, avec des allées et venues rapidement répétitives, guère dynamisées par la très classique mise en scène de Leslie Norman. Les personnages secondaires, trop nombreux et éphémères, ne bénéficient pas d’une caractérisation assez poussée, tandis que la distribution paraît bien inférieure aux habituels standards de qualité de Chapeau Melon. Jeremy Lloyd joue un prêtre trop jeune pour réellement constituer un vieil ami de Steed. Retournant le couteau dans la plaie, par la suite il participera activement au Laugh-In, l’émission dont le succès condamnera l’aventure américaine des Avengers. Dora Reisser compose une charmante jeune femme, mais condamnée aux utilités, Steed n’établissant aucune complicité et la cantonnant à faire les emplettes ! Un contre-emploi étonnant, al relation entre Docteur et Compagnon représentant autant un socle de la série, autant que celle de Steed et sa partenaire. L’auteur sacrifie au cahier des charges en introduisant un Excentrique, mais les éternuements de truman deviennent vite plus crispants qu’humoristiques.
Haute tension ne se limite pourtant pas à une morne plaine, quelques atouts relançant périodiquement l’intérêt. Leslie Norman parvient tout de même à placer d’efficaces scènes d’actions : les deux affrontements de Steed et de Kruger et surtout le duel à mort entre Tara et la diabolique machinerie, un passage réellement électrique. La première partie du récit génère une efficace épouvante à la Hammer, notamment durant une scène d’introduction fort réussie. Évidemment les boites à roulettes ne font guère illusion sur ce point. Tranchant sur une distribution peu marquante Ian Cuthbertson insuffle une véritable énergie teintée de folie homicide à Kruger, une prestation valant vraiment le coup d’œil (le Maître pointe à l’horizon !). L’apparition du pont de Tyke's Water Lake fait particulièrement plaisir, alors que la série approche à grands pas de sa conclusion. (**)
Nation ne tente rien pour optimiser la jonction des univers du Docteur et des Avengers, se contentant d’un plaquage malhabile qui tourne court. Malgré quelque scènes réussies, ce manque d’ambition déçoit et illustre que cette saison compte trop d’épisodes pour son bien.
Cette exigence apparaît d’autant plus incontournable qu’Haute Tension présente la difficulté particulière d’être directement importé d’une autre série. En effet Nation, prolifique et déterminant auteur de Docteur Who nous propose ici un plaquage sans subtilité ni audace de cette production. La tonalité de l’histoire préfigure clairement les aventures du Troisième Docteur (1970-1974), exilé sur Terre et sans cesse confronté à des apparitions d’entités hostiles de ce type, avec une prédilection pour les scènes d’action. Les boites correspondant avec limpidité aux Daleks si chers à Nation (la salière à roulettes se voyant remplacée par le grille-pain), tandis que Steed se trouve évidemment une jeune femme comme compagnon d’aventures et use de technologie pour vaincre.
Cet aspect condamne de fait l’épisode, puisque Nation ne fournit aucun effort pour que la greffe entre ces deux univers différents fonctionne. Il s’en tient à une stricte Science-fiction dans laquelle Steed peine d’autant plus à trouver ses marques que ses partenaires habituels sont ou périphériques (Tara) ou absents (Mother). Seul en Terre étrangère, Steed subit aussi le contrecoup de sa nature seulement humaine. Quelque soient ses qualités de héros au long cours, il ne saurait rivaliser avec l’intelligence et les facultés supérieures du Seigneur du Temps. Ce entraine fatalement Nation à diminuer les périls encourus (boites ridicules) et la puissance de l’adversaire, ainsi que la complexité du scénario (les aventures du Docteur s’étendant alors sur un arc parfois complexe de plusieurs épisodes). L’amateur a ainsi l’impression d’assister à une aventure vraiment bas de gamme de Doctor Who, où Steed n’a jamais la moindre chance de pouvoir apporter les mêmes impulsions que le démiurge venu de Gallifrey.
Par ailleurs l’épisode cumule les handicaps. Nation, tout à ses concepts de Science-fiction, ne soigne absolument pas les dialogues, souvent très quelconques. Après l’épouvante initiale le récit s’enchâsse dans l’église et le décor médiocre du souterrain, avec des allées et venues rapidement répétitives, guère dynamisées par la très classique mise en scène de Leslie Norman. Les personnages secondaires, trop nombreux et éphémères, ne bénéficient pas d’une caractérisation assez poussée, tandis que la distribution paraît bien inférieure aux habituels standards de qualité de Chapeau Melon. Jeremy Lloyd joue un prêtre trop jeune pour réellement constituer un vieil ami de Steed. Retournant le couteau dans la plaie, par la suite il participera activement au Laugh-In, l’émission dont le succès condamnera l’aventure américaine des Avengers. Dora Reisser compose une charmante jeune femme, mais condamnée aux utilités, Steed n’établissant aucune complicité et la cantonnant à faire les emplettes ! Un contre-emploi étonnant, al relation entre Docteur et Compagnon représentant autant un socle de la série, autant que celle de Steed et sa partenaire. L’auteur sacrifie au cahier des charges en introduisant un Excentrique, mais les éternuements de truman deviennent vite plus crispants qu’humoristiques.
Haute tension ne se limite pourtant pas à une morne plaine, quelques atouts relançant périodiquement l’intérêt. Leslie Norman parvient tout de même à placer d’efficaces scènes d’actions : les deux affrontements de Steed et de Kruger et surtout le duel à mort entre Tara et la diabolique machinerie, un passage réellement électrique. La première partie du récit génère une efficace épouvante à la Hammer, notamment durant une scène d’introduction fort réussie. Évidemment les boites à roulettes ne font guère illusion sur ce point. Tranchant sur une distribution peu marquante Ian Cuthbertson insuffle une véritable énergie teintée de folie homicide à Kruger, une prestation valant vraiment le coup d’œil (le Maître pointe à l’horizon !). L’apparition du pont de Tyke's Water Lake fait particulièrement plaisir, alors que la série approche à grands pas de sa conclusion. (**)
Nation ne tente rien pour optimiser la jonction des univers du Docteur et des Avengers, se contentant d’un plaquage malhabile qui tourne court. Malgré quelque scènes réussies, ce manque d’ambition déçoit et illustre que cette saison compte trop d’épisodes pour son bien.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Ah oui quand même 2 étoiles.
Moi j'aurai mis un beau "zéro" pour ce nanar.
Rien à sauver, que ce soit le piètre scénario ou l'indigence de la mise en scène.
Quand à la scène où Tara est attaquée par la boîte métallique (dont on voit les fils qui lui permettent d'avancer), jamais vu une séquence de suspense aussi soporifique...
Moi j'aurai mis un beau "zéro" pour ce nanar.
Rien à sauver, que ce soit le piètre scénario ou l'indigence de la mise en scène.
Quand à la scène où Tara est attaquée par la boîte métallique (dont on voit les fils qui lui permettent d'avancer), jamais vu une séquence de suspense aussi soporifique...
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Ah, moi j'ai adoré ce mano a mano final. Et puis le champagne comme arme de salut, peut-on imaginer plus bel hommage à cet élément si important de la série depuis la saison 4 ? Bien observé, la comparaison entre Dr.Who et cet épisode ; remplacez les boîtes par des conserves, et nous voilà devant un Dalek ! Quoique comparer les compagnons du Docteur à la partenaire temporaire de cet épisode, j'irais quand même pas jusque-là.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Haute Tension (Thingumajig)
En effet, comme Séribibi, un épisode qui fait, contrairement à Pandora c'est dire, partie de mon top flop. Si je mets deux à cet épisode, je mets quatre à tous les autres....
Invité- Invité
Re: Haute Tension (Thingumajig)
Ma note 3/4
L'épisode pourrait atteindre avec le tueur invisible (ici les boîtes) la qualité des cybernautes, mais certaines scènes ridicules, comme la bataille Tara/la boîte et le prof qui éternue limitent sa portée.
L'épisode pourrait atteindre avec le tueur invisible (ici les boîtes) la qualité des cybernautes, mais certaines scènes ridicules, comme la bataille Tara/la boîte et le prof qui éternue limitent sa portée.
Invité- Invité
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