La poussière qui tue (Silent Dust)
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - THE AVENGERS :: SAISON 4
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Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Revu et toujours aussi peu emballé par cet épisode. Oui pour les extérieurs, oui pour les dialogues, oui pour la trame écolo et les scènes nocturnes qui ménagent un joli suspense mais on s'ennuie pas mal, beaucoup d'invraisemblances (quand Steed est blessé et pourchassé entre autres) je trouve le final limite grotesque, je crois n'avoir jamais vu Emma aussi mal sapée que quand elle sort de la taverne avec Quince et toujours ce problème de doublures évidentes comme celle de MacNee se battant avec Croft.
2 tout petits melons.
2 tout petits melons.
Invité- Invité
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Un des pires de la saison et de la série.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Même avis que Denis, c'est un de mes favoris de la saison 4 ...en fait, j'aime tous les épisodes de la saison 4 donc on peut me considérer comme n'étant pas objective...
teeger59- Comte(sse)
- Age : 47
Localisation : Valenciennes (Nord)
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Un peu comme moi dans ce cas... J'aime un peu moins Comment réussir un assassinat mais comparé à d'autres épisodes d'autres saisons, cela devient aussi un tout bon.teeger59 a écrit:Même avis que Denis, c'est un de mes favoris de la saison 4 ...en fait, j'aime tous les épisodes de la saison 4 donc on peut me considérer comme n'étant pas objective...
Invité- Invité
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Et bien moi, j'aime presque tous les épisodes des saisons 3 (à part Cette grandeur qu'était Rome) et de la saison 4 (à part La poussière qui tue, Un Steed de trop et Meurtre par téléphone).
J'aime beaucoup Comment réussir un assassinat...
J'aime beaucoup Comment réussir un assassinat...
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Presque tous les épisodes des saisons 3-6 sont des bijoux. Je pense que dans ces saisons, il doit y en avoir une dizaine qui me laissent froid.
Cet épisode-là, je mets aussi 2 melons, le rythme est trop lent et il n'y a pas d'atmosphère vraiment inquiétante pour compenser. Toutefois, bravo pour ce message écologiste avant l'heure ! Mais la série a toujours été en avance sur son temps.
Cet épisode-là, je mets aussi 2 melons, le rythme est trop lent et il n'y a pas d'atmosphère vraiment inquiétante pour compenser. Toutefois, bravo pour ce message écologiste avant l'heure ! Mais la série a toujours été en avance sur son temps.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Dearesttara a écrit:Presque tous les épisodes des saisons 3-6 sont des bijoux.
Invité- Invité
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
L’épisode présente l’indéniable intérêt de développer une dimension écologique, d’une manière plus consistante que le médiocre The Grandeur That Was Rome des années Cathy Gale, qui bifurquait très vite vers un tout autre sujet. Outre sa valeur intrinsèque, cette thématique se montre novatrice au beau milieu des Sixties. Rares démureraient alors les évocations du péril, même si Silent Spring, évident inspirateur de Silent Dust, a été publié en 1962 et que l’une des premières aventures du Docteur (Planet of Giants, 1964) évoque un similaire ensemencement létal, avec un dénonciation explicite de l’avidité économique. Il faudra attendre la décennie suivant pour que l’écologie prenne place parmi les grandes inspirations de la fiction, avec notamment, dans le domaine des séries télévisées, le Doomwatch de la BBC. Malheureusement, cet aspect avant-gardiste de l’épisode va se voir en partie gâché par un traitement peu pertinent.
Le scénario de Roger Marshall souffre en effet d’une trop longue période d’exposition, accumulant les scènes bavardes et médiocrement percutantes. L’ensemble manque de nervosité et multiplie des digressions à l’intérêt extrêmement divers, au lieu de développer l’intrigue principale avec souffle. La déception débute avec la séquence d’introduction, se voulant volontiers esthétisante, alors que les chutes ridicules d’oiseaux détruisent l’effet visuel. L’épisode a trop durablement recours au poncif de la source d’information au fatal destin, dont l’efficacité narrative s’émousse au fil du temps. Il aurait été préférable de couper plus court, afin de développer un savoureux Excentrique, dont l’absence se fait tristement sentir.
L’opus commet également une erreur capitale dans la gestion de l’opposition. Dans une série d’aventures, l’écriture du méchant reste toujours déterminante et les antagonistes du jour apparaissent bien trop stéréotypés et réalistes pour les Avengers de l’ère Emma Peel. Leur trop grande multiplication empêche de leur conférer une vraie dimension, tandis que les performances des acteurs ne trouvent guère prétexte à s’élever. Il faut attendre la toute dernière séquence du récit pour découvrir de véritables scènes d’action, bien trop concentrées dans le temps. De plus elles perdent une partie de leur impact du fait de l’habituelle évidence de la doublure masculine de Diana Rigg et d’une musique trop goguenarde.
La multiplicité des scènes apporte toutefois quelques réelles satisfactions. L’arrivée nautique de nos Avengers constitue un grand moment. La visite par Steed du terrain contaminé dégage une vraie force, tandis que la scène du buste, avec une Mrs Peel très à son avantage, exprime un érotisme finalement plus prégnant encore que la célèbre panoplie cuir du Club de l’Enfer. Silent Dust demeure d’ailleurs l’occasion d’un impressionnât déploiement de garde robe pour notre héroïne, même si certains costumes semblent moins heureux qu’à l’accoutumée. La séquence onirique amuse par son absurdité, démurant néanmoins hors sujet et assez gratuite.
Les dialogues entre les Avengers pétillent comme à l’accoutumée et on remarque, après The Murder Market, que Steed est décidément très sensible aux tenues équestres féminines. La pointe de jalousie d’Emma est évidement extrêmement divertissante. Le véritable atout de Silent Dust demeure cependant la profusion de ses scènes extérieures, mettant en avant la beauté des paysages anglais. On se situe loin d’autres épisodes réalisés cette saison, encore très enserrés en studio. Les talents d’équitation de Patrick Macnee lui autorisent une vraie participation à l’action, ce qui restera une rareté après les années Cathy Gale !
Une thématique écologiste originale n’empêche pas l’épisode de souffrir d’un scénario peu consistant. Heureusement, les Avengers et les paysages anglais répondent à l’appel !(**)
Parmi les diverses références littéraires de l’épisode, se rajoute la citation The err is human, to forgive divine, par Clare. Il s’agit d’un extrait demeuré fameux du An Essay on Criticism, d’Alexander Pope (1711).
Quand Quince est intercepté par Mrs Peel, il affirme rechercher un pétrel diablotin (Black-capped Petrel), dont l’espèce est éteinte depuis longtemps, ce que confirme Mrs Peel. Toutefois les auteurs commettent ici une erreur, le pétrel diablotin existe bel et bien de nos jours, même si rare en Europe de l’Ouest car centré aux Caraïbes. La véritable espèce disparue est le Jamaican Petrel, ou Petrel de la Jamaïque, un proche cousin. Observé pour la dernière fois en 1879, il fit l’objet d’une infructueuse campagne de recherche, de 1996 à 2000.
Silent Dust est visiblement inspiré par l’ouvrage Silent Spring (Printemps silencieux) paru en septembre 1962. Ce best seller est souvent considéré comme l’initiateur du mouvement écologiste en Occident. La biologiste américaine Rachel Carson y décrit les conséquences mortelles des pesticides (notamment le DDT) sur l’environnement et plus particulièrement les oiseaux, un phénomène auquel fait directement allusion la séquence d’ouverture de l’épisode. La responsabilité de l’industrie chimique était également pointée du doigt. Une version de l’ouvrage a été rééditée en 2011, préfacée par Al Gore. Son titre s’inspire d’un vers de john Keats, The sedge is wither'd from the lake, and no birds sing. Un constat également établi par Steed et Emma lors de leur arrivée en embarcation.
Le scénario de Roger Marshall souffre en effet d’une trop longue période d’exposition, accumulant les scènes bavardes et médiocrement percutantes. L’ensemble manque de nervosité et multiplie des digressions à l’intérêt extrêmement divers, au lieu de développer l’intrigue principale avec souffle. La déception débute avec la séquence d’introduction, se voulant volontiers esthétisante, alors que les chutes ridicules d’oiseaux détruisent l’effet visuel. L’épisode a trop durablement recours au poncif de la source d’information au fatal destin, dont l’efficacité narrative s’émousse au fil du temps. Il aurait été préférable de couper plus court, afin de développer un savoureux Excentrique, dont l’absence se fait tristement sentir.
L’opus commet également une erreur capitale dans la gestion de l’opposition. Dans une série d’aventures, l’écriture du méchant reste toujours déterminante et les antagonistes du jour apparaissent bien trop stéréotypés et réalistes pour les Avengers de l’ère Emma Peel. Leur trop grande multiplication empêche de leur conférer une vraie dimension, tandis que les performances des acteurs ne trouvent guère prétexte à s’élever. Il faut attendre la toute dernière séquence du récit pour découvrir de véritables scènes d’action, bien trop concentrées dans le temps. De plus elles perdent une partie de leur impact du fait de l’habituelle évidence de la doublure masculine de Diana Rigg et d’une musique trop goguenarde.
La multiplicité des scènes apporte toutefois quelques réelles satisfactions. L’arrivée nautique de nos Avengers constitue un grand moment. La visite par Steed du terrain contaminé dégage une vraie force, tandis que la scène du buste, avec une Mrs Peel très à son avantage, exprime un érotisme finalement plus prégnant encore que la célèbre panoplie cuir du Club de l’Enfer. Silent Dust demeure d’ailleurs l’occasion d’un impressionnât déploiement de garde robe pour notre héroïne, même si certains costumes semblent moins heureux qu’à l’accoutumée. La séquence onirique amuse par son absurdité, démurant néanmoins hors sujet et assez gratuite.
Les dialogues entre les Avengers pétillent comme à l’accoutumée et on remarque, après The Murder Market, que Steed est décidément très sensible aux tenues équestres féminines. La pointe de jalousie d’Emma est évidement extrêmement divertissante. Le véritable atout de Silent Dust demeure cependant la profusion de ses scènes extérieures, mettant en avant la beauté des paysages anglais. On se situe loin d’autres épisodes réalisés cette saison, encore très enserrés en studio. Les talents d’équitation de Patrick Macnee lui autorisent une vraie participation à l’action, ce qui restera une rareté après les années Cathy Gale !
Une thématique écologiste originale n’empêche pas l’épisode de souffrir d’un scénario peu consistant. Heureusement, les Avengers et les paysages anglais répondent à l’appel !(**)
Parmi les diverses références littéraires de l’épisode, se rajoute la citation The err is human, to forgive divine, par Clare. Il s’agit d’un extrait demeuré fameux du An Essay on Criticism, d’Alexander Pope (1711).
Quand Quince est intercepté par Mrs Peel, il affirme rechercher un pétrel diablotin (Black-capped Petrel), dont l’espèce est éteinte depuis longtemps, ce que confirme Mrs Peel. Toutefois les auteurs commettent ici une erreur, le pétrel diablotin existe bel et bien de nos jours, même si rare en Europe de l’Ouest car centré aux Caraïbes. La véritable espèce disparue est le Jamaican Petrel, ou Petrel de la Jamaïque, un proche cousin. Observé pour la dernière fois en 1879, il fit l’objet d’une infructueuse campagne de recherche, de 1996 à 2000.
Silent Dust est visiblement inspiré par l’ouvrage Silent Spring (Printemps silencieux) paru en septembre 1962. Ce best seller est souvent considéré comme l’initiateur du mouvement écologiste en Occident. La biologiste américaine Rachel Carson y décrit les conséquences mortelles des pesticides (notamment le DDT) sur l’environnement et plus particulièrement les oiseaux, un phénomène auquel fait directement allusion la séquence d’ouverture de l’épisode. La responsabilité de l’industrie chimique était également pointée du doigt. Une version de l’ouvrage a été rééditée en 2011, préfacée par Al Gore. Son titre s’inspire d’un vers de john Keats, The sedge is wither'd from the lake, and no birds sing. Un constat également établi par Steed et Emma lors de leur arrivée en embarcation.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Comme d'hab, du tout bon, E44 ! Il demeure rassurant de voir que finalement, The Avengers commet avec cet épisode une erreur qui n'arrive aux séries les plus ambitieuses : le fond (le message écolo, les errements du "progrès") prenant le pas sur la forme, et l'intérêt de l'histoire.
To err is human donne par homophonie To heiress human, titre du dernier épisode de la saison 3 de Clair de Lune. Il existe donc bel et bien des connexions cachées entre The Avengers et Moonlighting !
Estuaire44 a écrit:Parmi les diverses références littéraires de l’épisode, se rajoute la citation To err is human, to forgive divine, par Clare. Il s’agit d’un extrait demeuré fameux du An Essay on Criticism, d’Alexander Pope (1711).
To err is human donne par homophonie To heiress human, titre du dernier épisode de la saison 3 de Clair de Lune. Il existe donc bel et bien des connexions cachées entre The Avengers et Moonlighting !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Dans mon FLOP saison 4. Qu'est-ce que je me suis fais chiée...
Dernière édition par Cetp65 le Mar 26 Mar 2013 - 19:02, édité 1 fois
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
To err is human donne par homophonie To heiress human, titre du dernier épisode de la saison 3 de Clair de Lune..
Très bon jeu de mots, le calembour n'est pas un monopole français !
Très bon jeu de mots, le calembour n'est pas un monopole français !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
en vue de réaliser un "flop 10" des épisodes j'ai revu cet épisode.
je l'avais vu pour la première fois en 2010...je ne m'en souvenais plus du tout.
dans la critique j'avais vu le 1 melon de steed3003, il avait dit qu'il était encore pire que meutre par téléphone (je me suis dit mon dieu ) ... ma pensée: encore un épisode de la saison 4 qui va terriblement m'ennuyer...
et beh non! bizarrement...
très beau extérieur...pas 36 000 bavardages, pas une histoire dure à comprendre...j'ai bien aimé les passages dans la cabane+le reve et la conclusion à cheval. le "méchant" principal(vu dans meutre au progamme ,avec la voix de Beresford ici)a du charisme...les autres sont un peu ternes c'est vrai et ne servent pas à grand chose.
autant je n'avais pas trop aimé les décors dans petits gibiers gros chasseurs(je les avais trouvé trop poussés) autant là super décor.
je reconnais que l'intrigue est faible, peu élaborée...mais j'ai eu plaisir à regarder cet épisode. des moments de tension. visuellement assez beau. bonne scene d'intro. j'ai été sensible à l'humour.
donc surement pas dans le flop 10 !pas un must non plus (faut pas exagérer lol) mais agréable à voir !
je l'avais vu pour la première fois en 2010...je ne m'en souvenais plus du tout.
dans la critique j'avais vu le 1 melon de steed3003, il avait dit qu'il était encore pire que meutre par téléphone (je me suis dit mon dieu ) ... ma pensée: encore un épisode de la saison 4 qui va terriblement m'ennuyer...
et beh non! bizarrement...
très beau extérieur...pas 36 000 bavardages, pas une histoire dure à comprendre...j'ai bien aimé les passages dans la cabane+le reve et la conclusion à cheval. le "méchant" principal(vu dans meutre au progamme ,avec la voix de Beresford ici)a du charisme...les autres sont un peu ternes c'est vrai et ne servent pas à grand chose.
autant je n'avais pas trop aimé les décors dans petits gibiers gros chasseurs(je les avais trouvé trop poussés) autant là super décor.
je reconnais que l'intrigue est faible, peu élaborée...mais j'ai eu plaisir à regarder cet épisode. des moments de tension. visuellement assez beau. bonne scene d'intro. j'ai été sensible à l'humour.
donc surement pas dans le flop 10 !pas un must non plus (faut pas exagérer lol) mais agréable à voir !
Guillaume- Comte(sse)
- Age : 37
Localisation : Bordeaux
Date d'inscription : 22/05/2007
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
j'ai bien aimé le scénario mais moins la mise en scène, l'idée des oiseaux du début est sympa mais le résultat (oiseaux empaillés) c'est moche et c'est un peu comme ça tout le long. D'habitude je suis assez fan de l'humour mais là ça tombe quasiment tout le temps à côté (le rêve de Steed fait plus bizarre qu'autre chose et sert ... à rien, les combats de Steed sont ridicules il agresse son adversaire à coup de chapeaux ouahou et son combat final à coup de pancartes .. plus triste que drôle). Et niveau catastrophe à souligner aussi une musique pourrie qui tombe rarement à propos.
2 melons pour l'idée de départ
2 melons pour l'idée de départ
jbourne- Vicomte(sse)
- Age : 51
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 09/10/2011
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Beaucoup d'humour mais il faut le voir en VO pour l'apprécier. A lire, mon chapitre dans le livre Bright Horizons qui sortira au printemps.
Invité- Invité
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Je viens de le revoir. La poussière qui tue est un épisode particulier que j’affectionne beaucoup. C’est d’ailleurs celui-ci que j’ai choisi pour mon chapitre dans le livre Bright Horizons: The Monochrome World of Emma Peel. Cette histoire écrite par Roger Marshall est terriblement d’actualité (les engrais Monsanto par exemple). A cela s’ajoute, comme pratiquement chaque épisode de cette saison culte, des références à la culture britannique ; la littérature étant à l’honneur.
La qualité BR n’a pas de comparaison avec l’édition française antérieure. L’image est belle mais néanmoins pas parfaite, au moins à quatre reprises. On remarque des défauts d’image (une mince ligne blanche) lorsque Steed s’entretient avec Sir Manfred Fellows (« Silent Dust »), au moment où Steed est pris dans le piège (côté gauche, au melon), lorsque Steed rend visite à Omrod puis les compères discutent du plan (côté gauche, une quinzaine de secondes). Par contre, certains passages abimés ont été bien restaurés (pendant le trajet en voiture de Steed et du ministre, et lorsque Claire va ouvrir la porte à Steed, l’épilogue). A noter aussi un plan plus large lorsque de la première rencontre Mrs Peel/Omrod ; on aperçoit en haut à droite ce qui semble être un bout du projecteur.
La qualité BR n’a pas de comparaison avec l’édition française antérieure. L’image est belle mais néanmoins pas parfaite, au moins à quatre reprises. On remarque des défauts d’image (une mince ligne blanche) lorsque Steed s’entretient avec Sir Manfred Fellows (« Silent Dust »), au moment où Steed est pris dans le piège (côté gauche, au melon), lorsque Steed rend visite à Omrod puis les compères discutent du plan (côté gauche, une quinzaine de secondes). Par contre, certains passages abimés ont été bien restaurés (pendant le trajet en voiture de Steed et du ministre, et lorsque Claire va ouvrir la porte à Steed, l’épilogue). A noter aussi un plan plus large lorsque de la première rencontre Mrs Peel/Omrod ; on aperçoit en haut à droite ce qui semble être un bout du projecteur.
Invité- Invité
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Décès de Conrad Phillips, l'interprète d'Oliver Mellors
http://www.theguardian.com/tv-and-radio/2016/jan/13/conrad-phillips
http://www.theguardian.com/tv-and-radio/2016/jan/13/conrad-phillips
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: La poussière qui tue (Silent Dust)
Photo de tournage
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
mrs.peel6568 et Camarade Totoff aiment ce message
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