Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Le baiser de Midas est le seul épisode que j’avais critiqué longuement il y a déjà plus de sept ans. La note, comme pour l’épisode précédent, ne change pas, même si les constats peuvent différer. Contrairement à Steed3003 et d’autres, je ne trouve pas que l’intrigue soit compliquée. Un jeune homme, porteur de toutes les maladies possibles, transmet la mort par un simple contact. Turner, son mentor, décide de mettre Midas aux enchères. Les scènes les plus intéressantes sont, bien entendu la longue poursuite en voiture et à pied- un des grands moments des New Avengers avec l’escalade du grillage par la ravissante Purdey en tenu affriolante - la soirée masquée (et le célèbre masque de la grande faucheuse) et le parcours du combattant de Purdey. David Swift et John Carson, le sadique Fitch de la saison 4, sont convaincants dans leur personnage respectif. Quelques points négatifs empêchent l’épisode d’être un ‘parfait’ : la scène d’introduction étalée sur trois séquences distinctes (celle avec la conquête de Steed est superflue), les dialogues parfois niais (les ‘hmms’ par exemple), les scènes dans l’obscurité avec Turner et Vann et le final vite expédié. A noter que la connotation sexuelle est plus directe que dans les Old Avengers (one night stand) car les années 70 ont déridé les mœurs. Sinon, je pense que l’accoutrement de Purdey au rendez-vous avec Freddy est un des plus hideux de la série… Trois solides melons d’or toujours pour moi.
4 nouvelles infos et huit photos.
4 nouvelles infos et huit photos.
Dernière édition par denis le Jeu 26 Juil 2012 - 11:49, édité 1 fois
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Cetp65 a écrit:Cet épisode est un des rares TNA que j'avais vu plusieurs fois : il était d'ailleurs passé d'excellent à très mauvais dans mon estime. Je viens de le revoir : il n'est pas si mauvais que ça, mais il reste sacrément moyen.
Je suis toujours épaté par les totaux revirements d'opinion en quelques semaines de Eptc sur les différents épisodes de Chapeau melon.
Denis, je suis globalement d'accord avec tes commentaires même si j'accorde 4 melons à Midas, d'abord parce que j'adore le thème, ensuite par nostagie (souvenir de merveilleuses vacances de Noël en décembre 76) et aussi parce que c'est l'épisode de TNA que j'ai le plus regardé.
J'ai déjà dû l'écrire plusieurs fois, tant pis, je me répète, ma scène préférée : quand Midas demande qu'on lui laisse Purdey en cadeau (et il le demande avec tellement d'espoir et de désir qu'on aurait envie de la lui offrir sans hésitation ) et surtout qu'il caresse les liens qui la retiennent prisonnière se retenant de la toucher trop tôt...
Dernière édition par peelou le Mar 24 Juil 2012 - 22:45, édité 1 fois
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
C'est le garde Froggart qui touche les liens avec délectation maugréant que c'est du gâchis de laisser Purdey à Midas.peelou a écrit:J'ai déjà dû l'écrire plusieurs fois, tant pis, je me répète, ma scène préférée : quand Midas demande qu"on lui laisse Purdey en cadeau (et il le demande avec tellement d'espoir et de désir qu'on aurait envie de la lui offrir sans hésitation ) et surtout qu'il caresse les liens qui la retiennent prisonnière se retenant de la toucher trop tôt...
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Ah la honte peelou ! J'ai dû voir cet épisode au moins 20 fois et j'ai eu besoin de vérifier ! Exact Denis !
C'est dingue, j'aurais juré avoir vu la scène telle quelle et le pire, c'est je l'ai racontée ainsi des tas de fois à des personnes qui ne connaissaient pas cet épisode.
Ca me fait penser à ces gens qui ont juré avoir vu le bébé de Rosemary alors que Polanski ne l'a jamais filmé !
En fait, j'ai dû faire un transfert de personnage pour que la scène soit telle que je souhaitais la voir (et je maintiens que ça aurait été une scène bien plus frappante et audacieuse ! )
J'ai quand même raté une belle occasion de ne pas intervenir (plusieurs fois en plus !)
(et à la fin, Purdey enferme bien Midas dans un sarcophage ? Non plus ? )
Donc, seulement 3,92 melons.
C'est dingue, j'aurais juré avoir vu la scène telle quelle et le pire, c'est je l'ai racontée ainsi des tas de fois à des personnes qui ne connaissaient pas cet épisode.
Ca me fait penser à ces gens qui ont juré avoir vu le bébé de Rosemary alors que Polanski ne l'a jamais filmé !
En fait, j'ai dû faire un transfert de personnage pour que la scène soit telle que je souhaitais la voir (et je maintiens que ça aurait été une scène bien plus frappante et audacieuse ! )
J'ai quand même raté une belle occasion de ne pas intervenir (plusieurs fois en plus !)
(et à la fin, Purdey enferme bien Midas dans un sarcophage ? Non plus ? )
Donc, seulement 3,92 melons.
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Honnêtement, je n'aurais pas revu l'épisode hier...Oui, oui, Purdey donne un coup de savate qui envoie Midas gentillement dans la boite que referme Steed. Une fin vite expédiée.peelou a écrit:Ah la honte peelou ! J'ai dû voir cet épisode au moins 20 fois et j'ai eu besoin de vérifier ! Exact Denis !
C'est dingue, j'aurais juré avoir vu la scène telle quelle et le pire, c'est je l'ai racontée ainsi des tas de fois à des personnes qui ne connaissaient pas cet épisode.
Ca me fait penser à ces gens qui ont juré avoir vu le bébé de Rosemary alors que Polanski ne l'a jamais filmé !
En fait, j'ai dû faire un transfert de personnage pour que la scène soit telle que je souhaitais la voir (et je maintiens que ça aurait été une scène bien plus frappante et audacieuse ! )
J'ai quand même raté une belle occasion de ne pas intervenir (plusieurs fois en plus !)
(et à la fin, Purdey enferme bien Midas dans un sarcophage ? Non plus ? )
Donc, seulement 3,92 melons.
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Une des quatredenis a écrit:4 nouvelles infos et huit photos.
L’or va très bien à Tania Mallet (1941), Sara, la conquête de Steed qui a droit à deux plans sans parole. Son seul autre rôle est celui de Tilly Masterson dans Goldfinger !
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Justement, le méchant Turner me fait énormément penser à Goldfinger au point que je me suis demandé si la conversation autour du Trésor de la Sierra Madre n'était pas destiné à détourner l'attention des téléspectateurs de cette référence cinématographique.denis a écrit:
Une des quatre
L’or va très bien à Tania Mallet (1941), Sara, la conquête de Steed qui a droit à deux plans sans parole. Son seul autre rôle est celui de Tilly Masterson dans Goldfinger !
J'aime beaucoup cet épisode car je trouve que les plans ont été tournés avec un tel soin qu'il n'y a rien d'étonnant qu'on les ai utilisés pour le générique. Ils semblent avoir été composés comme des vignettes de bande dessinées et ont énormément d'impact.
Il y a beaucoup de trouvailles (Fat Harry qui "saigne" de la poudre d'or) - par contre, Ronald Lacey a vraiment l'air d'un imbécile heureux avec ce maquillage - quand je pense que c'est lui le nazi sadique et chapeauté des Aventuriers de l'arche perdue !
J'apprécie aussi les expressions faciales du premier ministre félon (on dirait Hitler !).
Zaitchick- Chevalier
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Tout comme lors du pilote, le récit se suit avec grand intérêt, car dynamisé par de nombreuses et percutantes scènes d’action. La poursuite automobile marque les esprits, surpassant clairement les rares tentatives de la première série en ce domaine. Somptueusement mis en scène, le rugissant duel au sommet entre la Jaguar XJ-S et l’Aston Martin DBS tient toutes ses promesses. Le savoir-faire brille en tous domaines : l’humour du dialogue entre Purdey et Gambit pimente encore l’ensemble, tout en faisant supporter ce qui s’assimile par moments à un véritable dépliant publicitaire. De même, Clemens refuse intelligemment de trancher entre les deux sponsors de sa série, c’est bien à pied et non au volant que sera déterminée l’issue de la confrontation ! Si Gambit a l’occasion de démontrer ses talents de chauffeur, l’épisode reste dédié à Purdey, la tonique agente multipliant les hauts faits. Son sang-froid narquois lui permet même d’échapper au cliché de la damoiselle en détresse quand elle est secourue par Gambit. La voici se situant pleinement à égalité avec ses devancières, grâce à une Joanna Lumley tonique et bluffante de détermination.
Tout comme occasionnellement The Eagle’s Nest, on pourra reprocher à The Midas Touch de faire du neuf avec du vieux. En effet, il apparaît comme un remake partiel du Honey for the Prince de la saison 4, avec un Grand Vizir faisant appel à un talent particulier pour abattre son souverain et articulant le récit par ses dialogues. Toutefois cette proximité illustre à merveille les différences existant entre les deux séries, la merveilleuse fantaisie de Q.Q.F. Inc. se voyant ici remplacée par l’arme biologique, à la fois plus réaliste et sinistre. Cette tonalité assombrie se développe via l’habile écho installé par l’intrigue, la maladie physique répondant au dérèglement des personnalités. Hormis le héros, l’addiction règne en effet sur l’ensemble des personnages, pour l’or, l’alcool, la couronne, la perversion sexuelle, le pouvoir, le lucre. Autant de déviances composant un paysage sinistre, voire morbide, apportant un cachet supplémentaire à une intrigue ne se limitant pas à enchaîner les scènes d’action. Le paroxysme se voit atteint par la scène étonnamment morbide de la découverte des victimes, un choc inédit jusqu’ici chez les Avengers.
Quelques dommageables faiblesses scénaristiques viennent néanmoins grever le succès de l’opus. Purdey reste l’unique personnage féminin a disposer de dialogues, la compagne de Steed ou la Princesse n’ayant pas le moindre mot à prononcer. Peut-être est-ce pour mettre en avant l’héroïne, mais « soit belle et tais-toi ne sonne pas très Avengers. On sait qu’il est courant que les scénaristes adaptent les chronologies à leurs nécessités, mais là c’est malgré tout le grand écart entre un Turner mourant en un instant et un Freddy survivant jusqu’au rendez-vous du lendemain avec Steed, après un contact somme toute similaire avec Midas. Certaines poses apparaissent inutilement théâtrales ou déclamatoires, comme Turner confessant sa passion pour l’or, ou l’apparition gothique du simili spectre, déjà obsolète en cette décennie de déclin de la Hammer. Surtout toute l’intrigue repose sur le fait que la mort de la Princesse doit sembler naturelle, or le médecin légiste révèle à Gambit que les victimes décèdent d’une bonne demi-douzaine de maladies mortelles attrapées simultanément. Est-ce qu’un tel décès ne va pas fatalement apparaître suspect ?
En bref : Riche en scènes d’actions, l’épisode confèretoute sa dimension à Purdey et affirme l’originalité de la nouvelle période des Avengers. Toutefois des facilités scénaristiques restent à déplorer. (***)
L’épisode fit l’objet d’une novélisation, une adaptation incorporée au roman The Eagle’s Nest, de John Carter (1976), ouvrage traitant également du pilote de saison.
Southall Gas Works sert également de décor à la scène inaugurale de l’épisode Sleeper, c’est là que s’arrête le bus des antagonistes du jour.
Pola Churchill, la mutique Princesse de Boltania, participa également aux Aventuriers de l’Arche Perdue (1981), où elle joua Susan, une étudiante d’Indy ayant une relation avec lui. On la voit lui faire des œillades en cours mais ses autres scènes ne furent toutefois pas conservées au montage. Elle se trouvait notamment chez Indy quand Marcus vient rendre visite à celui-ci. Une bouteille de champagne demeure d’ailleurs visible à l’écran ! Ayant rapidement mis fin à sa carrière d’actrice, Pola Churchill s’est dédiée aux méditations hindouistes et a écrit plusieurs ouvrages sur le sujet.
Tous les avions aperçus à Heathrow sont des Boeings 747, avec différents modèles situant l’action dans les années 70. Le vol inaugural eut lieu le 22 janvier 1970, ralliant Heathrow en provenance de l’aéroport new-yorkais John F. Kennedy, pour le compte de la Panam.
Purdey conduit une MGB Mk III, de 1976. Ce cabriolet commercialisé par MG Motors de 1962 à 1980 connut un grand succès en Grande Bretagne et aux USA. Le modèle vient d’être modifié, en 974, pour convenir à la réglementation sécuritaire et écologique américaine, dans un but commercial, ce qui hérissa les amateurs britanniques. La ligne est alourdie et le moteur rendu moins puissant. La participation de la voiture à la série est un moyen de redorer son blason. La marque MG Motors est alors propriété du groupe British Leyland, tout comme celles des véhicules des deux partenaires de Purdey.
La voiture à laquelle se mesure la Jaguar XJ-S de Gambit durant la ourse poursuite est une Aston Martin DBS de 1968. Ce modèle correspondant à une modernisation de la gamme d’Aston Martin fut commercialisé de 1967 à 1972. Elle est apparue dans de nombreuses productions britanniques, étant notamment le véhicule de 007 dans Au service secret de sa Majesté (1969), mais aussi la BS1 de Lord Sinclair dans Amicalement vôtre (1971-1972).
Au moment où Purdey escalade la grille, on aperçoit que la demeure située derrière elle porte le nom The White Lion. L ne s’agit pas d’un clin d’œil à l’emblème des New Avengers, mais d’un pub de Chiswick, aujourd’hui démoli.
Tout comme occasionnellement The Eagle’s Nest, on pourra reprocher à The Midas Touch de faire du neuf avec du vieux. En effet, il apparaît comme un remake partiel du Honey for the Prince de la saison 4, avec un Grand Vizir faisant appel à un talent particulier pour abattre son souverain et articulant le récit par ses dialogues. Toutefois cette proximité illustre à merveille les différences existant entre les deux séries, la merveilleuse fantaisie de Q.Q.F. Inc. se voyant ici remplacée par l’arme biologique, à la fois plus réaliste et sinistre. Cette tonalité assombrie se développe via l’habile écho installé par l’intrigue, la maladie physique répondant au dérèglement des personnalités. Hormis le héros, l’addiction règne en effet sur l’ensemble des personnages, pour l’or, l’alcool, la couronne, la perversion sexuelle, le pouvoir, le lucre. Autant de déviances composant un paysage sinistre, voire morbide, apportant un cachet supplémentaire à une intrigue ne se limitant pas à enchaîner les scènes d’action. Le paroxysme se voit atteint par la scène étonnamment morbide de la découverte des victimes, un choc inédit jusqu’ici chez les Avengers.
Quelques dommageables faiblesses scénaristiques viennent néanmoins grever le succès de l’opus. Purdey reste l’unique personnage féminin a disposer de dialogues, la compagne de Steed ou la Princesse n’ayant pas le moindre mot à prononcer. Peut-être est-ce pour mettre en avant l’héroïne, mais « soit belle et tais-toi ne sonne pas très Avengers. On sait qu’il est courant que les scénaristes adaptent les chronologies à leurs nécessités, mais là c’est malgré tout le grand écart entre un Turner mourant en un instant et un Freddy survivant jusqu’au rendez-vous du lendemain avec Steed, après un contact somme toute similaire avec Midas. Certaines poses apparaissent inutilement théâtrales ou déclamatoires, comme Turner confessant sa passion pour l’or, ou l’apparition gothique du simili spectre, déjà obsolète en cette décennie de déclin de la Hammer. Surtout toute l’intrigue repose sur le fait que la mort de la Princesse doit sembler naturelle, or le médecin légiste révèle à Gambit que les victimes décèdent d’une bonne demi-douzaine de maladies mortelles attrapées simultanément. Est-ce qu’un tel décès ne va pas fatalement apparaître suspect ?
En bref : Riche en scènes d’actions, l’épisode confèretoute sa dimension à Purdey et affirme l’originalité de la nouvelle période des Avengers. Toutefois des facilités scénaristiques restent à déplorer. (***)
L’épisode fit l’objet d’une novélisation, une adaptation incorporée au roman The Eagle’s Nest, de John Carter (1976), ouvrage traitant également du pilote de saison.
Southall Gas Works sert également de décor à la scène inaugurale de l’épisode Sleeper, c’est là que s’arrête le bus des antagonistes du jour.
Pola Churchill, la mutique Princesse de Boltania, participa également aux Aventuriers de l’Arche Perdue (1981), où elle joua Susan, une étudiante d’Indy ayant une relation avec lui. On la voit lui faire des œillades en cours mais ses autres scènes ne furent toutefois pas conservées au montage. Elle se trouvait notamment chez Indy quand Marcus vient rendre visite à celui-ci. Une bouteille de champagne demeure d’ailleurs visible à l’écran ! Ayant rapidement mis fin à sa carrière d’actrice, Pola Churchill s’est dédiée aux méditations hindouistes et a écrit plusieurs ouvrages sur le sujet.
Tous les avions aperçus à Heathrow sont des Boeings 747, avec différents modèles situant l’action dans les années 70. Le vol inaugural eut lieu le 22 janvier 1970, ralliant Heathrow en provenance de l’aéroport new-yorkais John F. Kennedy, pour le compte de la Panam.
Purdey conduit une MGB Mk III, de 1976. Ce cabriolet commercialisé par MG Motors de 1962 à 1980 connut un grand succès en Grande Bretagne et aux USA. Le modèle vient d’être modifié, en 974, pour convenir à la réglementation sécuritaire et écologique américaine, dans un but commercial, ce qui hérissa les amateurs britanniques. La ligne est alourdie et le moteur rendu moins puissant. La participation de la voiture à la série est un moyen de redorer son blason. La marque MG Motors est alors propriété du groupe British Leyland, tout comme celles des véhicules des deux partenaires de Purdey.
La voiture à laquelle se mesure la Jaguar XJ-S de Gambit durant la ourse poursuite est une Aston Martin DBS de 1968. Ce modèle correspondant à une modernisation de la gamme d’Aston Martin fut commercialisé de 1967 à 1972. Elle est apparue dans de nombreuses productions britanniques, étant notamment le véhicule de 007 dans Au service secret de sa Majesté (1969), mais aussi la BS1 de Lord Sinclair dans Amicalement vôtre (1971-1972).
Au moment où Purdey escalade la grille, on aperçoit que la demeure située derrière elle porte le nom The White Lion. L ne s’agit pas d’un clin d’œil à l’emblème des New Avengers, mais d’un pub de Chiswick, aujourd’hui démoli.
Estuaire44- Empereur
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Estuaire44- Empereur
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Décès le 08 avril de David Twift, interprète du diabolique Pr. Turner, mais aussi du barbier informateur de Steed dans What The butler Saw, promptement expédié au nez et à la... barbe de ce celui-ci.
http://www.theguardian.com/tv-and-radio/2016/apr/18/david-swift-obituary
Estuaire44- Empereur
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Une petite remarque concernant le titre français : "le baiser de Midas" ne veut rien dire ! La traduction "le toucher de Midas" serait plus juste et j'ai l'impression que la personne qui a trouvé le titre français a confondu avec l'expression "le baiser de Judas" (synonyme de trahison). Dans la légende de Midas, il n'est nul question de baiser...
DominiqueDB- Comte(sse)
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
A la fin de l'épisode, plusieurs dignitaires font le baisemain à la princesse. Midas est introduit comme étant l'un d'entre eux pour donner un baisemain mortel. En fait le titre aurait dû être le baisemain de Midas, mais ça n'aurait pas bien sonné !
Dearesttara- Roi (Reine)
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séribibi- Roi (Reine)
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
c'est mon épisode preferé et il le restera , vu et revu à proffusion
Reda-steed- Apprenti(e)
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
On apprend le décès de Gilles Milinaire, l'interprète de Midas, survenu en juillet dernier.
Estuaire44- Empereur
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Re: Le Baiser de Midas (The Midas Touch)
Après avoir porté un costume de Mort, il a dû se sentir chez lui.
Camarade Totoff- Prince(sse)
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