Michael Caine
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Acteurs, Actrices & autres Artistes
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Re: Michael Caine
-16 ans lors de sa diffusion TV, comme ce fut le cas pour Shame (passage de -12 à -16 ans)
Ayant véritablement détesté Dirty Harry, je n'ai vraiment, vraiment pas envie de le voir. Ces histoires de justicier, ça me dégoûte. En quoi la violence (et le meurtre) est-elle une solution envers la violence ?
Ayant véritablement détesté Dirty Harry, je n'ai vraiment, vraiment pas envie de le voir. Ces histoires de justicier, ça me dégoûte. En quoi la violence (et le meurtre) est-elle une solution envers la violence ?
Cetp65- Prince(sse)
- Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Michael Caine
Séribibi, en effet, il y a quelques scènes un peu dures, mais pas plus que d'autres films tout public. Je crois que le message véhiculé est 'responsable' de ce logo. Mais, sur le DVD (britannique), il y a 18 !
Patricks, le film a 'fait un tabac au Royaume-Uni'. Je pense qu'en France, il a été sabordé. Il n'est pas passé dans 'mon' cinéma un peu gaucho et c'est pour cela que je l'ai raté en salles ayant la flemme de me trainer jusqu'à Paris.
Cetp65, Dirty Harry est un classique du polar. Le message dans ce film n'a rien à voir avec 'un justicier'. Harry Brown, non plus. Une ouverture juste et nécessaire sur le monde qui nous entoure. Comme le dit Sir Michael Caine, le film est comme un documentaire.
Patricks, le film a 'fait un tabac au Royaume-Uni'. Je pense qu'en France, il a été sabordé. Il n'est pas passé dans 'mon' cinéma un peu gaucho et c'est pour cela que je l'ai raté en salles ayant la flemme de me trainer jusqu'à Paris.
Cetp65, Dirty Harry est un classique du polar. Le message dans ce film n'a rien à voir avec 'un justicier'. Harry Brown, non plus. Une ouverture juste et nécessaire sur le monde qui nous entoure. Comme le dit Sir Michael Caine, le film est comme un documentaire.
Invité- Invité
Re: Michael Caine
Montrer la violence telle qu'elle est vraiment dans le monde, d'accord, ça donne de très bons films. Mais si c'est pour les voir se faire zigouiller par un ''héros'', alors je ne vois pas l'intérêt. Après, il est vrai que je n'ai pas vu le film (Harry Brown)...
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Michael Caine
‘Se faire zigouiller par un héros’….C’est un peu simpliste…
L’inspecteur Harry est une référence dans le film policier. C’est magistralement interprété (Andy Robinson en psychopathe Scorpio est à la hauteur de Eastwood en 'bad guy'), le rythme est soutenu et la musique de Lalo Schifrin au top. Un véritable chef-d’œuvre, bourré de répliques passées à la postérité –film devenu culte - vilipendé à sa sortie par seulement quelques critiques dont une –j’ai oublié son nom c’est dire – qui a essayé de sortir de l’anonymat par un torchon. A l’époque, The Miranda Rights venaient d’être promulguées (le pilote de la série Kojak, le téléfilm The Marcus-Nelson Murders reprend l’affaire qui a mené à cette loi). Dans L’inspecteur Harry, il est souligné que cette loi a poussé le balancier à l’extrême. Ainsi, un criminel de la pure espèce pouvait retrouver la liberté par un simple vis de forme de paperasse judiciaire, ce que démontre le personnage de Scorpio. C’est violent, pervers mais le message est clair. Le tout est mis en scène par Don Siegel, metteur en scène hors pair pour les films d’action. C’est excessivement bien filmé dès la scène d’introduction et les scènes de nuit sont somptueuses (dont celle de la croix). Dirty Harry est LE classique intemporel du cinéma policier des années 70 et l'œuvre fondatrice du genre. Maintes fois copié à plus ou moins bon escient depuis et rarement égalé. Servie par un Clint Eastwood au top de sa forme, cette œuvre du regretté Don Siegel s'apprécie d'autant plus quand on la replace dans son contexte historique US (Vietnam, flower power, libération des mœurs,...). Au moment où le pays se focalisait sur les droits des accusés, Dirty Harry choisit lui de se focaliser sur les droits des victimes d'agressions. Jugé à tort comme un film réac et prônant la justice "facile" à la Charles Bronson, ce western urbain est tout le contraire. A savoir, un réflexion lucide et intelligente sur la notion de bien et de mal, de juge et justicier, et de l'impuissance nouvelle d'une société face à des comportements psychopathes. Premier film à traiter aussi crûment des serial killers, il regorge de scènes mythiques aux dialogues savoureux. Harry Callahan est un personnage complexe, déprimé, désespéré, blasé, qui a vu peu à peu ses idéaux se désagréger au fur et à mesure qu'il côtoie la fange de notre société ; comme Dan Madigan.
Harry Brown n’est pas l’histoire d’un policier. Mais d’un vétéran de l’armée qui habite une cité et qui voit mourir sa femme d’un cancer. Il n’a plus qu’un vieil ami avec qui il joue aux échecs dans le pub du quartier. Ce quartier est sous la coupe de racailles, trafiquants de drogues et d’assassins. Les journées passent et se ressemblent, Harry Brown fait mine d'ignorer cette violence jusqu'à ce que la police lui apprenne la mort de Léonard, décédé suite à des coups mortels. Mais l'enquête ne donne rien. Harry Brown, dans une grande colère qui dormait en lui, décide de s'occuper des meurtriers qui s'en sont pris à son ami; car Harry Brown n'est pas n'importe qui: il a été soldat dans les Marines Britanniques et sait se battre. Alors que l’enquête de la police piétine et qu’on se dirige vers un non lieu, Brown retourne dans l’appart de son ami, devenu un squat (une scène coupée faisant partie des bons est violente) et petit à petit, il décide de nettoyer le secteur lorsqu’il observe les agissements des caïds de la fenêtre de l’appart de son ami. Comme le précise Sir Michael Caine dans l’interview, il est arrivé à un stade ou il choisit ses rôles et celui-ci lui tenait particulièrement à cœur ayant grandi dans ce même quartier où le film a été tourné Elephant & Castle (Caine a également été dans les Marines et le titre de ses mémoires ‘The Elephant to Hollywood’ est un jeu de mot). Il est même précisé que certains figurants étaient tout simplement des voyous du coin. Bien sûr, c’est sombre, glauque, oppressant, violent, mais c’est la triste réalité. Caine veut montrer au monde politique qui ferme les yeux et préfère nier la réalité ce qu’est devenu les cités de Grande-Bretagne, car les politiques ne se promènent pas dans ces coins-là. Les révoltes qui ont enflammé le royaume montrent bien que ce film est la réalité. Quoi de plus fort lorsque le message est véhiculé par une star estimée et appréciée dans le pays. Daniel Barber, pour son premier film, fait du bon travail. Il donne, grâce à sa réalisation, un ton très sombre et funeste, capturant la solitude du personnage principal. Mais en gardant ce même style de réalisation, il étudie et scrute la violence londonienne (les plans qui épousent le point de vue d’Harry Brown en témoignent). Thématiquement, la violence est brutale, insoutenable mais ne verse pas dans le gore, elle est montrée de manière réaliste mais toujours d'un point de vue (celui de Harry Brown principalement): tuer est un acte ignoble, ça donne le tournis. Là encore la violence n'est pas mise en avant comme un gimmick ou pour attirer les fans de films gore, au contraire. C'est un film qui est témoin de son époque trouble. Pour ce qui est des acteurs, ils sont tous excellents: qu'ils jouent des drogués, des voyous, des policiers, ils sont tous très bons. Michael Caine est différent: il déploie un charisme qui le fait énormément ressembler à Clint Eastwood, et porte le film sur ses épaules. La dernière image est porteuse : alors qu’à chaque fois, Brown ne prend pas le tunnel occupé par le gang et préfère faire un détour (il arrivera de ce fait après le décès de son épouse), il l’emprunte dans la dernière scène. Sir Michael Caine: ‘It isn’t a violent film; it’s a film about violence’.
En ce qui concerne le troisième film évoqué – Un justicier dans la ville – il marque les débuts du vigilante movie. Je ne l’ai pas revu depuis 20-25 ans mais certaines scènes sont d’une violence crue ; celle du viol difficilement soutenable mais elle est longue pour étayer la réaction de Kersey. Charles Bronson est impérial en justicier arpentant le métro new-yorkais. Ce qu’il est bon de savoir est qu’à l’époque (milieu des années 70), la ville de New-York et particulièrement le métro enregistrait un taux de criminalité inégalé. La sortie de ce film et son succès aux USA força les autorités à prendre des mesures draconiennes et à se diriger vers la tolérance zéro. La criminalité a cessé de grimper, New-York a perdu son leadership US en termes de criminalité, grâce en partie à ce film (qui engendra un grand nombre de nanar dont d’ailleurs les suites de ce film). Classique des 70's et monument du cinéma contestataire, "Death Wish" n'est pas l'œuvre réac si souvent décrié par tous les bien-pensants mais bel et bien un polar sombre racontant l'aliénation progressive d'un col blanc qui suite à la perte de sa femme va s'enfermer dans une spirale de violence en allant affronter tous les criminels qu'il trouve dans les bas-fonds de New-York. Et puis le tout est encore superbement bien filmé, cette fois par Michael Winner.
Des films qui font réfléchir sur la victimisation constante des délinquants et sur la peine à appliquer si on veut éviter la loi du Talion...les juges un peu faiblards devraient en prendre de la graine!
L’inspecteur Harry est une référence dans le film policier. C’est magistralement interprété (Andy Robinson en psychopathe Scorpio est à la hauteur de Eastwood en 'bad guy'), le rythme est soutenu et la musique de Lalo Schifrin au top. Un véritable chef-d’œuvre, bourré de répliques passées à la postérité –film devenu culte - vilipendé à sa sortie par seulement quelques critiques dont une –j’ai oublié son nom c’est dire – qui a essayé de sortir de l’anonymat par un torchon. A l’époque, The Miranda Rights venaient d’être promulguées (le pilote de la série Kojak, le téléfilm The Marcus-Nelson Murders reprend l’affaire qui a mené à cette loi). Dans L’inspecteur Harry, il est souligné que cette loi a poussé le balancier à l’extrême. Ainsi, un criminel de la pure espèce pouvait retrouver la liberté par un simple vis de forme de paperasse judiciaire, ce que démontre le personnage de Scorpio. C’est violent, pervers mais le message est clair. Le tout est mis en scène par Don Siegel, metteur en scène hors pair pour les films d’action. C’est excessivement bien filmé dès la scène d’introduction et les scènes de nuit sont somptueuses (dont celle de la croix). Dirty Harry est LE classique intemporel du cinéma policier des années 70 et l'œuvre fondatrice du genre. Maintes fois copié à plus ou moins bon escient depuis et rarement égalé. Servie par un Clint Eastwood au top de sa forme, cette œuvre du regretté Don Siegel s'apprécie d'autant plus quand on la replace dans son contexte historique US (Vietnam, flower power, libération des mœurs,...). Au moment où le pays se focalisait sur les droits des accusés, Dirty Harry choisit lui de se focaliser sur les droits des victimes d'agressions. Jugé à tort comme un film réac et prônant la justice "facile" à la Charles Bronson, ce western urbain est tout le contraire. A savoir, un réflexion lucide et intelligente sur la notion de bien et de mal, de juge et justicier, et de l'impuissance nouvelle d'une société face à des comportements psychopathes. Premier film à traiter aussi crûment des serial killers, il regorge de scènes mythiques aux dialogues savoureux. Harry Callahan est un personnage complexe, déprimé, désespéré, blasé, qui a vu peu à peu ses idéaux se désagréger au fur et à mesure qu'il côtoie la fange de notre société ; comme Dan Madigan.
Harry Brown n’est pas l’histoire d’un policier. Mais d’un vétéran de l’armée qui habite une cité et qui voit mourir sa femme d’un cancer. Il n’a plus qu’un vieil ami avec qui il joue aux échecs dans le pub du quartier. Ce quartier est sous la coupe de racailles, trafiquants de drogues et d’assassins. Les journées passent et se ressemblent, Harry Brown fait mine d'ignorer cette violence jusqu'à ce que la police lui apprenne la mort de Léonard, décédé suite à des coups mortels. Mais l'enquête ne donne rien. Harry Brown, dans une grande colère qui dormait en lui, décide de s'occuper des meurtriers qui s'en sont pris à son ami; car Harry Brown n'est pas n'importe qui: il a été soldat dans les Marines Britanniques et sait se battre. Alors que l’enquête de la police piétine et qu’on se dirige vers un non lieu, Brown retourne dans l’appart de son ami, devenu un squat (une scène coupée faisant partie des bons est violente) et petit à petit, il décide de nettoyer le secteur lorsqu’il observe les agissements des caïds de la fenêtre de l’appart de son ami. Comme le précise Sir Michael Caine dans l’interview, il est arrivé à un stade ou il choisit ses rôles et celui-ci lui tenait particulièrement à cœur ayant grandi dans ce même quartier où le film a été tourné Elephant & Castle (Caine a également été dans les Marines et le titre de ses mémoires ‘The Elephant to Hollywood’ est un jeu de mot). Il est même précisé que certains figurants étaient tout simplement des voyous du coin. Bien sûr, c’est sombre, glauque, oppressant, violent, mais c’est la triste réalité. Caine veut montrer au monde politique qui ferme les yeux et préfère nier la réalité ce qu’est devenu les cités de Grande-Bretagne, car les politiques ne se promènent pas dans ces coins-là. Les révoltes qui ont enflammé le royaume montrent bien que ce film est la réalité. Quoi de plus fort lorsque le message est véhiculé par une star estimée et appréciée dans le pays. Daniel Barber, pour son premier film, fait du bon travail. Il donne, grâce à sa réalisation, un ton très sombre et funeste, capturant la solitude du personnage principal. Mais en gardant ce même style de réalisation, il étudie et scrute la violence londonienne (les plans qui épousent le point de vue d’Harry Brown en témoignent). Thématiquement, la violence est brutale, insoutenable mais ne verse pas dans le gore, elle est montrée de manière réaliste mais toujours d'un point de vue (celui de Harry Brown principalement): tuer est un acte ignoble, ça donne le tournis. Là encore la violence n'est pas mise en avant comme un gimmick ou pour attirer les fans de films gore, au contraire. C'est un film qui est témoin de son époque trouble. Pour ce qui est des acteurs, ils sont tous excellents: qu'ils jouent des drogués, des voyous, des policiers, ils sont tous très bons. Michael Caine est différent: il déploie un charisme qui le fait énormément ressembler à Clint Eastwood, et porte le film sur ses épaules. La dernière image est porteuse : alors qu’à chaque fois, Brown ne prend pas le tunnel occupé par le gang et préfère faire un détour (il arrivera de ce fait après le décès de son épouse), il l’emprunte dans la dernière scène. Sir Michael Caine: ‘It isn’t a violent film; it’s a film about violence’.
En ce qui concerne le troisième film évoqué – Un justicier dans la ville – il marque les débuts du vigilante movie. Je ne l’ai pas revu depuis 20-25 ans mais certaines scènes sont d’une violence crue ; celle du viol difficilement soutenable mais elle est longue pour étayer la réaction de Kersey. Charles Bronson est impérial en justicier arpentant le métro new-yorkais. Ce qu’il est bon de savoir est qu’à l’époque (milieu des années 70), la ville de New-York et particulièrement le métro enregistrait un taux de criminalité inégalé. La sortie de ce film et son succès aux USA força les autorités à prendre des mesures draconiennes et à se diriger vers la tolérance zéro. La criminalité a cessé de grimper, New-York a perdu son leadership US en termes de criminalité, grâce en partie à ce film (qui engendra un grand nombre de nanar dont d’ailleurs les suites de ce film). Classique des 70's et monument du cinéma contestataire, "Death Wish" n'est pas l'œuvre réac si souvent décrié par tous les bien-pensants mais bel et bien un polar sombre racontant l'aliénation progressive d'un col blanc qui suite à la perte de sa femme va s'enfermer dans une spirale de violence en allant affronter tous les criminels qu'il trouve dans les bas-fonds de New-York. Et puis le tout est encore superbement bien filmé, cette fois par Michael Winner.
Des films qui font réfléchir sur la victimisation constante des délinquants et sur la peine à appliquer si on veut éviter la loi du Talion...les juges un peu faiblards devraient en prendre de la graine!
Invité- Invité
Re: Michael Caine
Bon titre de la critique du Point :'Harry Brown', Citizen Caine.
http://www.lepoint.fr/cinema/harry-brown-citizen-caine-09-01-2011-128047_35.php
Celle du Figaro faisait un parallèle avec les grincheux anti-Eastwood
http://www.lefigaro.fr/cinema/2011/01/11/03002-20110111ARTFIG00554-harry-brown.php
Dans La dépêche, un ouragan nommé Caine.
http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/24/976569-harry-brown-un-ouragan-nomme-caine.html
http://www.lepoint.fr/cinema/harry-brown-citizen-caine-09-01-2011-128047_35.php
Celle du Figaro faisait un parallèle avec les grincheux anti-Eastwood
http://www.lefigaro.fr/cinema/2011/01/11/03002-20110111ARTFIG00554-harry-brown.php
Dans La dépêche, un ouragan nommé Caine.
http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/24/976569-harry-brown-un-ouragan-nomme-caine.html
Invité- Invité
Re: Michael Caine
Patricks, merci d'enlever le texte suivant dans ton premier commentaire :
Sir Michael Caine, vous êtes devenu un vieux con
Sir Michael Caine, vous êtes devenu un vieux con
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Michael Caine
Enfin visionné, bon film, 2 petits défauts, un rythme un peu lent et le coté un peu film d'auteur (par moment j'avais l'impression de voir un film de Ken Loach !, que j'aime bien mais pas pour ce genre de film), et une violence bien plus dur que beaucoup de films d'horreur car situé dans un contexte réaliste.
A l'arrivé, je préfère le premier Un justicier dans la ville (pas les suites) ou Vigilante de William Lustig pour son coté couillu, à l'image du dialogue du début du film :
A l'arrivé, je préfère le premier Un justicier dans la ville (pas les suites) ou Vigilante de William Lustig pour son coté couillu, à l'image du dialogue du début du film :
redwest- Vicomte(sse)
- Age : 59
Localisation : Nice
Date d'inscription : 16/04/2009
Re: Michael Caine
Vigilante, ce n'est pas le film avec un type avec un lance-flammes en affiche ? Vu à sa sortie et assez moyen.
Invité- Invité
Re: Michael Caine
Non, ça c'est "Le droit de tuer". Un peu longuet en effet.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Michael Caine
Personne n'avait posté sur cet immense acteur - un des meilleurs pour moi et sûrement le meilleur britannique - depuis le post de Nicolas en octobre 2012.
Sir Michael Caine s'exprime aussi sur la polémique des Oscars : 'There's loads of black actors. In the end you can't vote for an actor because he's black. You can't say 'I'm going to vote for him, he's not very good, but he's black, I'll vote for him'. [Il y a un paquet d'acteurs noirs. Vous ne pouvez pas voter pour un acteur parce qu'il est noir. On ne peut pas dire 'Je vais voter pour lui, il n'est pas très bon mais il est noir, donc je voterai pour lui']
Sir Michael Caine s'exprime aussi sur la polémique des Oscars : 'There's loads of black actors. In the end you can't vote for an actor because he's black. You can't say 'I'm going to vote for him, he's not very good, but he's black, I'll vote for him'. [Il y a un paquet d'acteurs noirs. Vous ne pouvez pas voter pour un acteur parce qu'il est noir. On ne peut pas dire 'Je vais voter pour lui, il n'est pas très bon mais il est noir, donc je voterai pour lui']
Invité- Invité
Re: Michael Caine
On peut laisser tomber le Sir qui n'a pas lieu en France... C'est bon pour les anglais, pas pour moi.
Ce qui n'enlève en rien la qualité de Michael Caine.
Ce qui n'enlève en rien la qualité de Michael Caine.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Michael Caine
Et ta sœur ?Philo a écrit:On peut laisser tomber le Sir qui n'a pas lieu en France... C'est bon pour les anglais, pas pour moi.
Ce qui n'enlève en rien la qualité de Michael Caine.
Invité- Invité
Re: Michael Caine
Tiens, à propos de Michael Caine, est-ce que quelqu'un aurait vu le Blu ray de Kingsman et pourrait nous dire si la fameuse scène coupée où Caine a été rajeuni y figure bien ?
Re: Michael Caine
Elle bat le beurre !Denis a écrit:Et ta sœur ?Philo a écrit:On peut laisser tomber le Sir qui n'a pas lieu en France... C'est bon pour les anglais, pas pour moi.
Ce qui n'enlève en rien la qualité de Michael Caine.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Michael Caine
Il y a bien une scène similaire dans le film mais je ne me souvenais pas du tout du rajeunissement de Michael Caine dans cette séquence. Je reverrai ce soir.docpersonne a écrit:Tiens, à propos de Michael Caine, est-ce que quelqu'un aurait vu le Blu ray de Kingsman et pourrait nous dire si la fameuse scène coupée où Caine a été rajeuni y figure bien ?
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Michael Caine
Anniversaire de Sir Michael Caine (Maurice Joseph Micklewhite) né le 14 mars 1933 à Londres, acteur et producteur de films britanniques ! Un de mes acteurs préférés. De Harry Palmer à Harry Brown.
Invité- Invité
Re: Michael Caine
L'acteur est pour le Brexit.
http://www.express.co.uk/news/politics/637024/sir-Michael-Caine-Brexit-EU-referendum-faceless-dictators
"You cannot be dictated to by thousands of faceless civil servants who make these rules." [On ne peut pas être dirigé par des milliers de fonctionnaires anonymes qui font leur lois.]
http://www.express.co.uk/news/politics/637024/sir-Michael-Caine-Brexit-EU-referendum-faceless-dictators
"You cannot be dictated to by thousands of faceless civil servants who make these rules." [On ne peut pas être dirigé par des milliers de fonctionnaires anonymes qui font leur lois.]
Invité- Invité
Re: Michael Caine
Un grand sondage vient d'être mené Outre-Manche auprès des internautes, afin de déterminer leur top 50 des films UK. La première place revient à The Italian Job (L'or se barre), l'archétype des films de casse.
https://inews.co.uk/essentials/culture/film/top-50-british-films-according-to-cinema-goers/
https://inews.co.uk/essentials/culture/film/top-50-british-films-according-to-cinema-goers/
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Michael Caine
J'avoue sincèrement que l'Or se barre est un excellent film d'action.
Mini Cooper incluses.
Mini Cooper incluses.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
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