À vos souhaits (You'll Catch Your Death)
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Cetp65
mrs.peel6568
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alexandre
Joris
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - THE AVENGERS :: SAISON 6
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Re: À vos souhaits (You'll Catch Your Death)
Points positifs : l’intrigue avengeresque intéressante de Jeremy Burnham (les enveloppes tueuses ou ‘murder by mail’), les extérieurs londoniens, la réapparition de Mother (et ses excentriques QG), la filature Lotus/Rolls dans Londres et la campagne, Steed parle allemand.
Points négatifs : Tara dans son ensemble rouge trop plein (comparée à la robe jaune printanière de Georgina, la secrétaire. Tara est chloroformée (acte 2), Steed à Anastasia et les bavardages superficiels, la bombe fabriquée par Tar, le méchant quelconque.
Toujours trois.
Points négatifs : Tara dans son ensemble rouge trop plein (comparée à la robe jaune printanière de Georgina, la secrétaire. Tara est chloroformée (acte 2), Steed à Anastasia et les bavardages superficiels, la bombe fabriquée par Tar, le méchant quelconque.
Toujours trois.
Invité- Invité
Re: À vos souhaits (You'll Catch Your Death)
L'épisode souffre d'une première partie très médiocre. Après une scène d'introduction très moyenne (les ''éternuements'' m'ont fait mourir de rire), on à droit à des multiplications de meurtres, des bavardages inutiles (Steed et le vendeur d'enveloppes, à l'école d'infirmières, avec le colonel, avec le docteur et les cobayes), des méchants assez ridicules, le costume rouge de Tara est affreux . Certes l'intrigue est originale, mais ici mal exploitée.
Heureusement, tout s'arrange dès l'enlèvement de Tara. Déjà, cette dernière nous livre une spectaculaire scène de combat. Elle fait preuve d'une grande ingéniosité en faisant sauter la grille. Pas mal d'humour (l'énorme nez au mur, l'hypocondriaque). A noter la maladresse des scènes en voiture : c'est encore plus flagrant que les autres épisodes.
Le tag final est malheureusement d'une rare nullité.
2 melons.
Heureusement, tout s'arrange dès l'enlèvement de Tara. Déjà, cette dernière nous livre une spectaculaire scène de combat. Elle fait preuve d'une grande ingéniosité en faisant sauter la grille. Pas mal d'humour (l'énorme nez au mur, l'hypocondriaque). A noter la maladresse des scènes en voiture : c'est encore plus flagrant que les autres épisodes.
Le tag final est malheureusement d'une rare nullité.
2 melons.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: À vos souhaits (You'll Catch Your Death)
Cetp65 a écrit:L'épisode souffre d'une première partie très médiocre. Après une scène d'introduction très moyenne (les ''éternuements'' m'ont fait mourir de rire), on à droit à des multiplications de meurtres, des bavardages inutiles (Steed et le vendeur d'enveloppes, à l'école d'infirmières, avec le colonel, avec le docteur et les cobayes), des méchants assez ridicules, le costume rouge de Tara est affreux . Certes l'intrigue est originale, mais ici mal exploitée.
Heureusement, tout s'arrange dès l'enlèvement de Tara. Déjà, cette dernière nous livre une spectaculaire scène de combat. Elle fait preuve d'une grande ingéniosité en faisant sauter la grille. Pas mal d'humour (l'énorme nez au mur, l'hypocondriaque). A noter la maladresse des scènes en voiture : c'est encore plus flagrant que les autres épisodes.
Le tag final est malheureusement d'une rare nullité.
2 melons.
Je pense tout le contraire, ce sont les premières scènes que je préfère. Cette série de meurtres où on nous en montre un peu plus à chaque fois est tout à fait dans la lignée de la saison 5, et Levene avait sans doute écrit cet épisode pour la saison précédente.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: À vos souhaits (You'll Catch Your Death)
Non, c'est Burnham qui a écrit ce scénario. Et je trouve que ce n'est pas un bon coup d'essai. 2 melons aussi pour les mêmes raisons que Cetp65. Son meilleur opus est à mon sens Amour, quand tu nous tiens.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: À vos souhaits (You'll Catch Your Death)
Exact, je pense comme ça aussi. D'ailleurs, il a trois melons pour moi celui-là.Phil DLM a écrit:Je pense tout le contraire, ce sont les premières scènes que je préfère. Cette série de meurtres où on nous en montre un peu plus à chaque fois est tout à fait dans la lignée de la saison 5,
Invité- Invité
Re: À vos souhaits (You'll Catch Your Death)
Phil DLM a écrit:Cette série de meurtres où on nous en montre un peu plus à chaque fois est tout à fait dans la lignée de la saison 5.
Ce qui explique pourquoi je le trouve moins bien que les autres épisodes de la saison 6 !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: À vos souhaits (You'll Catch Your Death)
Tara utilise les caractéristique explosives du chlorate de potassium lors de sa tentative de fuite. Effectivement ce composé chimique aux multiples applications industrielles est également employé dans la réalisation d'explosifs et de feux d'artifice. Ces propriétés, découvertes dès 1870, lui valurent d'être fréquemment employé durant la Grande Guerre. Par contre il s'agit également d'un poison virulent, il reste pour le moins étonnant de le retrouver comme médicament « à faire fondre dans la bouche » (comme l'indique l'étiquette), mais telle la magie des nécessités scénaristiques !
Face à l'adversaire, Steed conseille de suivre la même tactique qu'à la bataille de Vimy. Située à proximité d'Arras, cette petite ville vit se dérouler une féroce bataille en Avril 1917, les Canadiens ayant pour mission de reprendre une crête stratégique aux Allemands. Cet affrontement provoqua de lourdes pertes chez les Canadiens (plus de 3 500 morts), mais ils atteinrent tous leurs objectifs, là où Anglais et Français avaient au préalable échoué. Cette victoire chèrement payée valut au Canada de figurer en bonne place lors de la signature du Traité de Versailles et favorisa l'émergence d'une conscience nationale. Vimy abrite aujourd'hui le mémorial des 66 000 soldats canadiens tombés au champ d'honneur durant la Grande Guerre.
Souvent précurseurs, les Avengers se montrent ici prophétiques. En effet, une semaine après la chute des Tours jumelles de New York, se déroula en 2001 une succession d'attentats perpétrés au moyen d'enveloppes contenant du bacille du charbon (anthrax désignant en français une maladie de peau plus bénigne). Visant d'importants médias basés à New York et Washington (ABC, CBS, NBC, New York Post, National Inquirer, etc.). Ces envois firent cinq victimes et dix-sept autres contaminés. Jusqu'ici l'enquête n'a donné que des résultats partiels et controversés. Le bacille du charbon peut être communiqué et par inhalation et provoque une infection des voies respiratoires, fatale au pire dans 80 % des cas.
Face à l'adversaire, Steed conseille de suivre la même tactique qu'à la bataille de Vimy. Située à proximité d'Arras, cette petite ville vit se dérouler une féroce bataille en Avril 1917, les Canadiens ayant pour mission de reprendre une crête stratégique aux Allemands. Cet affrontement provoqua de lourdes pertes chez les Canadiens (plus de 3 500 morts), mais ils atteinrent tous leurs objectifs, là où Anglais et Français avaient au préalable échoué. Cette victoire chèrement payée valut au Canada de figurer en bonne place lors de la signature du Traité de Versailles et favorisa l'émergence d'une conscience nationale. Vimy abrite aujourd'hui le mémorial des 66 000 soldats canadiens tombés au champ d'honneur durant la Grande Guerre.
Souvent précurseurs, les Avengers se montrent ici prophétiques. En effet, une semaine après la chute des Tours jumelles de New York, se déroula en 2001 une succession d'attentats perpétrés au moyen d'enveloppes contenant du bacille du charbon (anthrax désignant en français une maladie de peau plus bénigne). Visant d'importants médias basés à New York et Washington (ABC, CBS, NBC, New York Post, National Inquirer, etc.). Ces envois firent cinq victimes et dix-sept autres contaminés. Jusqu'ici l'enquête n'a donné que des résultats partiels et controversés. Le bacille du charbon peut être communiqué et par inhalation et provoque une infection des voies respiratoires, fatale au pire dans 80 % des cas.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: À vos souhaits (You'll Catch Your Death)
La saveur d'A vos souhaits s'avoine à celle de la Madeleine de Proust, tant on y retrouve d'éléments similaires à l'ère Emma Peel. Cela s'explique d'ailleurs en partie par le fait que Jeremy Burnham, comédien participant à diverses reprises à cette période, avait dès lors commencé à composer ses scripts, validés ultérieurement par Clemens. La présente avait d'ailleurs alors pour titre de travail Atishoo, atishoo, all fall down, avant d'être adoptée par la production en saison 6. On renoue ainsi avec des Excentriques nombreux et savoureusement dessinés, parfaitement ajustés au sein de scènes courtes et incisives (avec notamment le toujours excellent Henry McGee). Le Colonel, pittoresque baderne revenue des confins de l'Empire (figure régulière de la période précédente) participe plus longuement à l'action mais son association avec Steed fonctionne à merveille. L'introduction du dévoiement d'une institution britannique telle que l'école de nurses figure aussi ans la droite ligne des saison 4 et 5, même si son traitement relativement rapide permet de ne pas éprouver de sensation de doublon vis à vis de Rien ne va plus dans la nursery.
Surtout, l'intrigue pleine de rebondissements composée par Burnham développe une dimension insolite caractéristique de la période classique de la série, ne se contentant pas,comme jusqu'ici à à moult reprises cette saison, de simplement ajouter en sus un élément de Science-fiction à un récit relevant fondamentalement de l'espionnage le plus classique (comme par exemple le récent Miroirs). Au contraire cette histoire instille un étrange authentique, avec une clef de l'énigme découverte seulement lors de la dernière partie. Certes l'auteur n'évite pas la sempiternelle litanie des meurtres, mais il sait jouer de ce poncif en le détournant vers un simili-pastiche de la série elle-même, caricaturant à plaisir incapacité des Avengers à les empêcher, à une seconde près (Jack Bauer s'en arracherait les cheveux) Tara s'avère très précieuse à cet égard, avec cette fraicheur et cet humour malicieux si plaisants chez Linda Thorson.
Parachèvement de cette restauration réussie et distrayante en diable, Burnham nous régale ici d'un authentique Diabolical Mastermind, jusqu'ici espèce en voie de disparition cette saison. Certes Glover, génie dévoyé, ne figure pas tout à fait parmi les plus illustres représentant de cette digne lignée, mais l'épatant Fulton Mackay parvient à donner une idée passablement terrifiante d'un Chadwick (Le retour des Cybernautes) ayant pris les commandes. On goûte au plus haut point que son délirant monologue devant Tara ne se révèle pas simplement vénal, mais aussi empreint de mégalomanie et de cruauté, Les Avengers auront toujours besoin d'adversaires de cette trempe là, ils leur sont consubstantiels. Le sadisme réjoui de Glover trouve d'ailleurs un plaisant écho chez son adjointe comme chez ses tueurs, de jolis cas eux aussi (comme l'on dit en psychiatrie). Tous les personnages d'A vos souhaits bénéficient d'ailleurs d'une véritable caractérisation, à la différences des agents secrets si classiques d'un épisode comme Miroir.
L'excellent distribution joue à plein dans ce sens, le vétéran Raymond Culver se montrant ainsi irrésistible dans le rôle du Colonel. La mise en scène de Paul Dickson apporte une importante contribution à l'ensemble, même s'il se montre moins imaginatif qu''un Raymond Fuest, dont la participation aurait sans doute hissé l'épisode au tout premier rang de la série. Dickson réussit néanmoins quelques faits d'arme importants, comme dynamiser suffisamment les meurtes par enveloppe pour éviter toute sensation de redite ou d'action figée. Si l'on peut regretter l'absence d'un combat final, la mise en scène apporte de l'énergie aux nombreux rebondissements du récit. Dickson tire également un excellent parti des jolis extérieurs de Cumberland Terrace ou de décors très réussis, comme le repaire de l'opposition, au design froid et clinique perturbé par l'hilarante folie de ce nez gigantesque, partie prenante de l'action. Le nouveau quartier général de Mother, aux allures de décor de cinéma halluciné, constitue un nouveau chef-d'œuvre, à la fois absurde et énigmatique. L'imagination du spectateur s'amuse ainsi à imaginer une utilité aux échelles colorées tout comme à la piscine ridiculement petite, ornant cette rencontre du Monde des Avengers et de Cinecitta.
La persistance du caractère de Mother se montre fort estimable (ainsi qu'un penchant pour les liqueurs affirmé d'épisode en épisode, de même que son amitié complice avec Steed et son souci pour ses agents, derrière une apparence bourrue. Il s'affirme décident comme le supérieur idéal des Avengers. Steed joue parfaitement sa partition : sa manière suave et perfide d'exécuter Glover est un pur régal et le duo formé avec Tara continue à pétiller. On frôle le sans-fautes, malgré un tag une nouvelle fois stupide et d'un goût douteux, voyant son élégance naturelle passer en pertes et profits. On pourrait regretter l'enlèvement précoce de Tara (surtout après son festival de Miroirs), mais la jeune femme demeure bien loin de se cantonner à la passivité ou au statut de Damoiselle en détresse. Ses actions (combats, astucieuse tentative de fuite, confrontation avec le Mastermind, etc.) animent réellement l'épisode, malgré un costume rouge assez désastreux, du dernier pompier. (****)
Tout en conservant les acquis de la nouvelle période, l'épisode nous vaut un irrésistible coup d'œil dans le rétroviseur de l'ère Emma Peel, avec une intrigue à l'insolite caractéristique et un revigorant Diabolical Mastermind.
Surtout, l'intrigue pleine de rebondissements composée par Burnham développe une dimension insolite caractéristique de la période classique de la série, ne se contentant pas,comme jusqu'ici à à moult reprises cette saison, de simplement ajouter en sus un élément de Science-fiction à un récit relevant fondamentalement de l'espionnage le plus classique (comme par exemple le récent Miroirs). Au contraire cette histoire instille un étrange authentique, avec une clef de l'énigme découverte seulement lors de la dernière partie. Certes l'auteur n'évite pas la sempiternelle litanie des meurtres, mais il sait jouer de ce poncif en le détournant vers un simili-pastiche de la série elle-même, caricaturant à plaisir incapacité des Avengers à les empêcher, à une seconde près (Jack Bauer s'en arracherait les cheveux) Tara s'avère très précieuse à cet égard, avec cette fraicheur et cet humour malicieux si plaisants chez Linda Thorson.
Parachèvement de cette restauration réussie et distrayante en diable, Burnham nous régale ici d'un authentique Diabolical Mastermind, jusqu'ici espèce en voie de disparition cette saison. Certes Glover, génie dévoyé, ne figure pas tout à fait parmi les plus illustres représentant de cette digne lignée, mais l'épatant Fulton Mackay parvient à donner une idée passablement terrifiante d'un Chadwick (Le retour des Cybernautes) ayant pris les commandes. On goûte au plus haut point que son délirant monologue devant Tara ne se révèle pas simplement vénal, mais aussi empreint de mégalomanie et de cruauté, Les Avengers auront toujours besoin d'adversaires de cette trempe là, ils leur sont consubstantiels. Le sadisme réjoui de Glover trouve d'ailleurs un plaisant écho chez son adjointe comme chez ses tueurs, de jolis cas eux aussi (comme l'on dit en psychiatrie). Tous les personnages d'A vos souhaits bénéficient d'ailleurs d'une véritable caractérisation, à la différences des agents secrets si classiques d'un épisode comme Miroir.
L'excellent distribution joue à plein dans ce sens, le vétéran Raymond Culver se montrant ainsi irrésistible dans le rôle du Colonel. La mise en scène de Paul Dickson apporte une importante contribution à l'ensemble, même s'il se montre moins imaginatif qu''un Raymond Fuest, dont la participation aurait sans doute hissé l'épisode au tout premier rang de la série. Dickson réussit néanmoins quelques faits d'arme importants, comme dynamiser suffisamment les meurtes par enveloppe pour éviter toute sensation de redite ou d'action figée. Si l'on peut regretter l'absence d'un combat final, la mise en scène apporte de l'énergie aux nombreux rebondissements du récit. Dickson tire également un excellent parti des jolis extérieurs de Cumberland Terrace ou de décors très réussis, comme le repaire de l'opposition, au design froid et clinique perturbé par l'hilarante folie de ce nez gigantesque, partie prenante de l'action. Le nouveau quartier général de Mother, aux allures de décor de cinéma halluciné, constitue un nouveau chef-d'œuvre, à la fois absurde et énigmatique. L'imagination du spectateur s'amuse ainsi à imaginer une utilité aux échelles colorées tout comme à la piscine ridiculement petite, ornant cette rencontre du Monde des Avengers et de Cinecitta.
La persistance du caractère de Mother se montre fort estimable (ainsi qu'un penchant pour les liqueurs affirmé d'épisode en épisode, de même que son amitié complice avec Steed et son souci pour ses agents, derrière une apparence bourrue. Il s'affirme décident comme le supérieur idéal des Avengers. Steed joue parfaitement sa partition : sa manière suave et perfide d'exécuter Glover est un pur régal et le duo formé avec Tara continue à pétiller. On frôle le sans-fautes, malgré un tag une nouvelle fois stupide et d'un goût douteux, voyant son élégance naturelle passer en pertes et profits. On pourrait regretter l'enlèvement précoce de Tara (surtout après son festival de Miroirs), mais la jeune femme demeure bien loin de se cantonner à la passivité ou au statut de Damoiselle en détresse. Ses actions (combats, astucieuse tentative de fuite, confrontation avec le Mastermind, etc.) animent réellement l'épisode, malgré un costume rouge assez désastreux, du dernier pompier. (****)
Tout en conservant les acquis de la nouvelle période, l'épisode nous vaut un irrésistible coup d'œil dans le rétroviseur de l'ère Emma Peel, avec une intrigue à l'insolite caractéristique et un revigorant Diabolical Mastermind.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: À vos souhaits (You'll Catch Your Death)
Un bon épisode en effet. J'ai mis un trois melons mais il fait partie des best de la saison indéniablement.
Invité- Invité
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