Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - THE AVENGERS :: SAISON 4
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Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
séribibi a écrit:oui, on veut bien les écouter
("avec vue imprenable" était un non-inédit à l'époque, je crois bien)
Mais ce doit être ce que Joris dit, ils avaient fait pareil pour "Au-delà du réel", seulement 19 épisodes diffusés à partir de 1972, (aprés 13ème a diffusés les inédits mais il faudra attendre 1997) alors que tous (ou quasiment tous) avaient été doublés à l'époque pour la France dans les années 60.
Si, si. Avec vue imprenable à été diffusé pour la 1ère fois sur Continentales en 1991.
Cetp65- Prince(sse)
- Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
ok on adore tous les fameux chocolats, surtout ceux emballé
Micksteed- Vicomte(sse)
- Age : 35
Localisation : 77
Date d'inscription : 24/11/2007
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Bon épisode se déroulant dans un milieu intéressant,avec des personnages inquiètants (Davenport,remarquable,et le psy qu'on croit "gentil"-les scénaristes semblent avoir une dent contre cette profession!),du suspense (initiation d'Emma,un "classique",scènes de la moto et de l'avion...) et un humour ravageur (les chocolats,l'"anatomie" d'Emma!)
Seul bémol,le but mercantile poursuivi par le groupe déçoit un peu,tout ça pour ça?
Belle balade secouante en Sunbeam Alpine.
Seul bémol,le but mercantile poursuivi par le groupe déçoit un peu,tout ça pour ça?
Belle balade secouante en Sunbeam Alpine.
Nicolas- Marquis(e)
- Age : 60
Localisation : Romilly sur Seine (10)
Date d'inscription : 10/03/2010
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
The Danger Makers
Info supp
- Le livre des visiteurs de Manton House contient des célébrités et même s’il n’est pas révélé, le président américain est Dwight D. Eisenhower (source : Mrs Peel, we’re needed).
Continuité
- Lors du duel à la grenade, Mercury et Jupiter jettent leur grenade le plus tard possible. On n’entend qu’une seule explosion.
- Il y a un raccord de scène étrange lorsque Mrs Peel a la carte de Manton House dans les mains et au plan suivant, la boite de chocolats. La carte a soudainement disparu et on peut même penser à une coupe !
Comparaison Studio Canal/Optimum
- Il n’y a pas de coupe sur l’édition française et l’image est d’assez bonne qualité. Parfois pas très nette dans les contours des visages mais elle a manifestement moins de grain que l’édition Optimum. Par contre, la version britannique a pratiquement supprimé toutes les impuretés (elles sont nombreuses) de la version française à l’exception des images d’archives et des brèves griffures sur les lèvres de Steed lorsqu’il déballe les chocolats, défaut absent sur l’édition Canal (la fameuse scène de la boite de chocolats que j’ai passée plusieurs fois pour comparer la qualité d’images des deux versions).
Info supp
- Le livre des visiteurs de Manton House contient des célébrités et même s’il n’est pas révélé, le président américain est Dwight D. Eisenhower (source : Mrs Peel, we’re needed).
Continuité
- Lors du duel à la grenade, Mercury et Jupiter jettent leur grenade le plus tard possible. On n’entend qu’une seule explosion.
- Il y a un raccord de scène étrange lorsque Mrs Peel a la carte de Manton House dans les mains et au plan suivant, la boite de chocolats. La carte a soudainement disparu et on peut même penser à une coupe !
Comparaison Studio Canal/Optimum
- Il n’y a pas de coupe sur l’édition française et l’image est d’assez bonne qualité. Parfois pas très nette dans les contours des visages mais elle a manifestement moins de grain que l’édition Optimum. Par contre, la version britannique a pratiquement supprimé toutes les impuretés (elles sont nombreuses) de la version française à l’exception des images d’archives et des brèves griffures sur les lèvres de Steed lorsqu’il déballe les chocolats, défaut absent sur l’édition Canal (la fameuse scène de la boite de chocolats que j’ai passée plusieurs fois pour comparer la qualité d’images des deux versions).
Invité- Invité
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Insuffisant pour moi pour racheter la saison 4 en optimum
Invité- Invité
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Je ne regrette pas vu que c'est ma saison préférée, toutes séries confondues.
Bon, pour la 5, j'attends des comparaisons comme celles que je fais pour la 4 pour me décider.
Bon, pour la 5, j'attends des comparaisons comme celles que je fais pour la 4 pour me décider.
Invité- Invité
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Un bon épisode, qui à beaucoup remonté dans mon estime. Le suspense est très bien mené tout au long de l'épisode et l’intrigue est originale. Malgré quelques passages amusants (les chocolats, le colonel Adams) n'empêchent pas quelques longueurs et une fin trop prévisible.
Toujours 3 melons !
Toujours 3 melons !
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Ma scène favorite pour cet épisodeLogan 23 a écrit:J'aime particulièrement la scène de la boite de chocolats où Steed fait mine de désamorcer une bombe potentielle quand il dit à Emma: "Quoiqu'il arrive ne touchez pas à ceux qui sont enveloppés !"
-"Pourquoi ?"
-"Parce que je les aime !" :)
Bon c'est pas au mot près hein ;)
teeger59- Comte(sse)
- Age : 47
Localisation : Valenciennes (Nord)
Date d'inscription : 17/02/2012
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Rien à jeter dans cet épisode, certainement le plus proche de ce que sera la Saison 5, celle que j'aime tant !
Le test d'Emma : une scène d'anthologie exécutée à la perfection autant par le réalisateur que par l'actrice.
J'aime le scénar, l'ambiance, l'humour, le suspense, Steed, Emma, la Colonelle, Nigel Davenport, les décors,les chocolats... j'aime tout.
4 melons.
Le test d'Emma : une scène d'anthologie exécutée à la perfection autant par le réalisateur que par l'actrice.
J'aime le scénar, l'ambiance, l'humour, le suspense, Steed, Emma, la Colonelle, Nigel Davenport, les décors,les chocolats... j'aime tout.
4 melons.
Invité- Invité
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Dearesttara a écrit:
Comme Cathy, je trouve en effet qu'Emma a un côté masculin mais il est un peu moins apparent que chez sa devancière.
Loin de moi l'envie de relancer l'éternelle et stérile polémique Emma vs Tara mais je suis vraiment surpris que tu puisses avoir cette impression Dear.
Autant, je peux comprendre ta préférence pour le physique de Linda Thorson à celui de Diana Rigg même si je ne la partage pas, autant lire que Emma Peel, qui représente à mes yeux le symbole de la féminité, de la grâce et de l'élégance, a un "côté masculin" me déroute. C'est quoi qui est plus féminin chez Tara ? Ses petits cris ? Son inexpérience qui la rend plus vulnérable ? Son émotivité plus ostentatoire ? Mais je croyais que vous aimiez Cathy parce qu'elle était plus "humaine" qu'Emma et ta remarque laisse entendre que tu trouves que Mrs Gale est la plus masculine des 3 ? Qu'est-ce qu'Emma Peel n'a pas de féminin ? Sa drôlerie ? Sa garde-robe ? Sa coquetterie ? Son intelligence ? Sa félinité ? L'attrait instantané qu'elle exerce sur quasiment tous les hommes qui croisent son chemin ?
Dis en davantage Dear et éclaire le pauvre peelou .
Invité- Invité
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Je lui trouve en effet un côté masculin (et ce n'est pas forcément un défaut dans ma bouche). D'abord, au niveau de ses tenues. Certes, elle arbore parfois de superbes robes (intro de Bons baisers de Vénus, ma tenue préférée de cette saison, ou sa robe blanche dans Meurtres à épisodes...), mais elle a une prédilection pour les "Emmapeelers", et ces combinaisons impersonnelles mettent rarement en valeur sa féminité. Mais je pense que c'était volontaire, car mine de rien, Emma descend de Cathy.
Ensuite, son caractère. Le fait qu'elle soit d'un stoïcisme intégral ne se fêlant que rarement, n'est pas pour moi une caractéristique "féminine". Je ne veux pas dire par là que les femmes sont par nature hystériques, mais elles sont davantage émotives. Si mes souvenirs de SVT sont exacts, le siège du cerveau est l'hippocampe, et il est bien plus développé chez la femme que chez l'homme. La conclusion s'impose d'elle-même. J'ai l'impression que l'hippocampe d'Emma est sous-développé (sans doute pour compenser la taille gigantesque de son intelligence ). Le Joker et dans une moindre mesure L'héritage diabolique où elle perd quasiment jamais son calme dans des situations désespérées, en sont de bons exemples.
Autre exemple, Emma est friande de devil minds, et les sous-entendus sexuels sont davantage utilisés par les hommes...
Bon, voilà quelques points principaux qui me font penser qu'Emma a un esprit assez masculin dans un corps féminin.
Cathy est un personnage crée pour montrer que la femme peut être l'égale d'un homme, et même supérieure en beaucoup de domaines, en un temps où le féminisme commençait à peine. Cathy porte ce concept très haut, notamment via son agressivité inédite. La différence entre Cathy et Emma est que la première assume totalement ce côté masculin, tandis que la deuxième mélange les deux, sans doute pour montrer qu'on peut être une femme forte et rester féminine. C'est sans doute ce mélange délicat qui a tellement plu au public. Le problème est que j'y vois un défaut : la froideur permanente du personnage. Autant je ne renie pas le talent d'actrice de Diana, autant passer à l'as les émotions du personnage me gène. Cathy est certes plus masculine, mais elle est toujours entre dureté et compassion, entre stoïcisme et émotion, elle a une palette d'émotions bien plus variée (aussi parce que je trouve Honor meilleure comédienne que Diana, du moins dans la série). Emma eut été plus diverse dans ses émotions, je l'eusse davantage appréciée que je le fais maintenant.
Si en tant qu'homme, j'aime quand une femme met en avant sa féminité, une femme qui a un caractère masculin ne me déplaît pas forcément. Par exemple, Julianna Margulies dans The Good Wife, je lui trouve beaucoup de charme, malgré qu'elle ne soit pas vraiment glamour (mais j'ai eu l'occasion de la voir dans deux épisodes de Scrubs, et là, elle est plus féminine, même si elle asservit sexuellement le héros ).
Ensuite, son caractère. Le fait qu'elle soit d'un stoïcisme intégral ne se fêlant que rarement, n'est pas pour moi une caractéristique "féminine". Je ne veux pas dire par là que les femmes sont par nature hystériques, mais elles sont davantage émotives. Si mes souvenirs de SVT sont exacts, le siège du cerveau est l'hippocampe, et il est bien plus développé chez la femme que chez l'homme. La conclusion s'impose d'elle-même. J'ai l'impression que l'hippocampe d'Emma est sous-développé (sans doute pour compenser la taille gigantesque de son intelligence ). Le Joker et dans une moindre mesure L'héritage diabolique où elle perd quasiment jamais son calme dans des situations désespérées, en sont de bons exemples.
Autre exemple, Emma est friande de devil minds, et les sous-entendus sexuels sont davantage utilisés par les hommes...
Bon, voilà quelques points principaux qui me font penser qu'Emma a un esprit assez masculin dans un corps féminin.
Cathy est un personnage crée pour montrer que la femme peut être l'égale d'un homme, et même supérieure en beaucoup de domaines, en un temps où le féminisme commençait à peine. Cathy porte ce concept très haut, notamment via son agressivité inédite. La différence entre Cathy et Emma est que la première assume totalement ce côté masculin, tandis que la deuxième mélange les deux, sans doute pour montrer qu'on peut être une femme forte et rester féminine. C'est sans doute ce mélange délicat qui a tellement plu au public. Le problème est que j'y vois un défaut : la froideur permanente du personnage. Autant je ne renie pas le talent d'actrice de Diana, autant passer à l'as les émotions du personnage me gène. Cathy est certes plus masculine, mais elle est toujours entre dureté et compassion, entre stoïcisme et émotion, elle a une palette d'émotions bien plus variée (aussi parce que je trouve Honor meilleure comédienne que Diana, du moins dans la série). Emma eut été plus diverse dans ses émotions, je l'eusse davantage appréciée que je le fais maintenant.
Si en tant qu'homme, j'aime quand une femme met en avant sa féminité, une femme qui a un caractère masculin ne me déplaît pas forcément. Par exemple, Julianna Margulies dans The Good Wife, je lui trouve beaucoup de charme, malgré qu'elle ne soit pas vraiment glamour (mais j'ai eu l'occasion de la voir dans deux épisodes de Scrubs, et là, elle est plus féminine, même si elle asservit sexuellement le héros ).
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Vaut mieux lire tout ça que d'être aveugle...Dearesttara a écrit:Bon, voilà quelques points principaux qui me font penser qu'Emma a un esprit assez masculin dans un corps féminin.
Invité- Invité
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Ca se tient ce que dit Dear : c'est vrai qu'Emma s'habille rarement de façon féminine (pantalon, combinaison en cuir, Emmapeelrs), est loin d'être une faible femme, a un sang-froid étonnant.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
séribibi a écrit:Ca se tient ce que dit Dear : c'est vrai qu'Emma s'habille rarement de façon féminine (pantalon, combinaison en cuir, Emmapeelrs), est loin d'être une faible femme, a un sang-froid étonnant.
Ca se tient sans doute quand on est fanatiquement fan de Tara au point de ne plus repérer les qualités et les caractéristiques des autres copines de Steed.
Ne pas confondre tenues de combat d'Emma et tenues d'Emma à la ville. Revois tes classiques Séribib et compte le nombre de fois ou Tara est en pantalon tout au long de la S6, tu seras peut-être étonné.
Perso, je pensais davantage à la féminité visible (puisque toutes les capacités et compétences psychiques et intellectuelles d'Emma sont des qualités qu'elle a empruntées à l'homme ) mais bon puisque le nombre incalculable de robes et de vêtements tous plus ou moins suggestifs et seyants mettant en valeur le corps, la coquetterie et la grâce de Diana/Emma ne font pas le poids avec les tenues extrêmement féminines de Tara dans des tas d'épisodes (pantalon/chemise) comme dans le générique, quand ce n'est pas carrément le costume comme au début du Legs, alors je m'incline, vous êtes trop nombreux à penser que Mademoiselle Thorson était plus féminine que Mademoiselle Rigg.
Et je retourne vers les Drôles de dames mille fois plus féminines que Tara King, puisque d'apparence aussi cruche (et ça c'est un trait de caractère généralement réservé aux femmes), sachant tout aussi bien pousser des petits gémissements de joie ou de frayeur et prendre des mines affectées toutes les 2 ou 3 scènes mais aussi mettant un point d'honneur à afficher coûte que coûte leur féminité jusqu'à aller poursuivre leurs adversaires en talons hauts et les combattre, maquillées et coiffées comme des poules de luxe (Ailleurs que chez Michou, ce n'est pas une marque encore plus flagrante de féminité ça ?) .
Pour terminer, au risque d'en choquer certains, maintenant que j'ai vu la saison 3 des Avengers, si je reste sur l'idée que le visage de Cathy Gale est toujours plus austère que celui plus harmonieux de Tara King, je trouve sincèrement la première dans sa manière d'être et de se mouvoir beaucoup plus féminine que la seconde et ça ne me dérange en aucune façon, j'ai toujours pris Tara King pour un très séduisant garçon manqué, un peu lourdaud mais tellement sympathique.
Dernière édition par peelou le Sam 12 Mai 2012 - 19:16, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
peelou a écrit:
Ca se tient sans doute quand on est fanatiquement fan de Tara au point de ne plus repérer les qualités et les caractéristiques des autres copines de Steed.
Du tout ! Je ne suis pas "fanatiquement fan", si ma Steedgirl préférée est Tara, j'aime beaucoup aussi Emma, je fais juste un commentaire sur l'avis précité de Dear, que je trouve plutôt pertinent.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Mais ce n'était pas à toi que je pensais en évoquant un "fanatiquement fan de Tara".
Toi, c'est une autre phrase que j'aurais préféré que tu repères.
Toi, c'est une autre phrase que j'aurais préféré que tu repères.
Invité- Invité
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Je vais de ce pas relire.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Après l’énumération chiffrée des indices disponibles, Steed s’exclame : A partridge in a pear tree ! Il s’agit d’un clin d’œil à la première strophe chanson de Noël, The Twelve Days of Christmas, très populaire dans les pays anglo-saxons et qui est cadencée de manière similaire. Il s’agit d’une comptine à récapitulation où sont énumérés douze cadeaux qu’une personne dit avoir reçus de son amoureux/se durant les douze jours consécutifs du temps de Noël. Après l’annonce d’un nouveau cadeau, la liste des précédents est répétée à l’envers. Ce premier cadeau, une perdrix sur un poirier, est souvent représenté sur les cartes de Noël.
Sur le corps de Lamble, les Avengers découvrent quatre plumes blanches contenues dans une enveloppe. Dans la culture populaire anglo-saxonne la plus blanche est synonyme de lâcheté infamante, et non de paix. La tradition remonte aux combats de coqs, les volatiles arborant des plumes blanches ayant la réputation d’être peu combatifs. En 1914, le gouvernement anglais créa The Order of the White Feather, pour inciter les femmes à offrir des plumes blanches aux hommes ne s’engageant pas dans l’armée, afin de fustiger leur lâcheté, une anecdote reprise au début de la saison 2 de la série Downton Abbey.
Robertson conduit à toute allure au volant d’une Sunbeam Alpine. Cette deux-places anglaise particulièrement sportive connut un grand succès durant les années 60 et connut cinq séries de production successives. Elle apparaît dans plusieurs productions de l’époque : 007 en conduit une lors de la poursuite automobile de Dr No (Série II Roadster) et elle est la voiture de Max la Menace (Sunbeam Tiger). Michael Caine en conduit également dans les films Get Carter et Gambit.
Le tag de fin montre cette fois Steed et Mrs Peel s’éloigner en kart. Le Karting a été inventé aux Etats-Unis durant les années 50, à partir de moteurs de tondeurs à gazon ou de tronçonneuses. Les années 60 voient sa popularité gagner le grand public en Europe, particulièrement en Grande-Bretagne et en France. Le sport de courses de Karting, souvent antichambre de la Formule 1, se structurèrent durant les années 70.
L’addiction au danger décrite dans l’épisode est reconnue par le milieu médical et est liée à l’accoutumance à une drogue naturelle, l’adrénaline, dite « hormone du stress ». L’adrénaline est libérée par le système nerveux (glande adrénale), en cas d’excitation liée à la perception d’un péril ou durant l’exécution d’un sport extrême. On reconnaît de fait cette addiction parmi les amateurs de Course automobile ou de sauts à l’élastique, etc. A terme l’émission régulière d’adrénaline entraine hypertension et troubles cardiovasculaires.
Afin d’intéresser Robertson, Mrs Peel se prétend adepte de la phrénologie. Il s’agit d’une théorie, développée au XIXème siècle, selon laquelle le caractère est influé par les bosses du crane, prédisposant la vie des individus. Rapidement identifiée comme pseudoscience, la phrénologie fut néanmoins à la base de classifications détaillées du crane qui aidèrent à la naissance de la médecine légale. Steed a remarqué ce penchant chez Robertson et conseille donc à Emma de capter son attention en lui montrant ses bosses (bumps), mais cette phrase contient bien entendu un évident second degré !
A plusieurs reprises Steed qualifie l’attitude de Lamble de chicken running. Il s’agit d’une référence à l’expression anglaise Running around like a chicken with its head cut off. Elle fait écho à l’attitude réelle ou supposée des poulets à encore se débattre après avoir eu la tête tranchée et désigne, d’une manière imagée, une attitude illogique et improductive. Le titre du film Chicken Run (2000) y fait également allusion.
Parmi les allusions historiques, Steed cite le Passe de Kyber. Il s’agit d’un passage stratégique dans les montagnes séparant l’Afghanistan du Pakistan. Alexandre passa par ce chemin lors de sa tentative de conquête des Indes et elle fut le théâtre de nombreux affrontements au cours des siècles. L’armée britannique y installa de grandes fortifications, destinées à interdire protéger l’accès au sous-continent.
Parmi les nombreux tableaux de bataille présents dans le musée, on remarque The Charge of the light Brigade du peintre anglais Robert Hillingford (1828-1904). En effet, durant la saison 5, entouré du le même cadre il ornera le décor central de l’appartement de Steed !
Hillingford était un spécialiste de la reconstitution de batailles, notamment napoléoniennes. Ici l’artiste représente en 1899 la charge héroïque, mais désespérée et absurde, de la cavalerie anglaise contre les canons russes durant la bataille de Balaklava (1854, guerre de Crimée). Cette action fut popularisée par un poème d’Alfred Tennyson, cette même année.
Sur le corps de Lamble, les Avengers découvrent quatre plumes blanches contenues dans une enveloppe. Dans la culture populaire anglo-saxonne la plus blanche est synonyme de lâcheté infamante, et non de paix. La tradition remonte aux combats de coqs, les volatiles arborant des plumes blanches ayant la réputation d’être peu combatifs. En 1914, le gouvernement anglais créa The Order of the White Feather, pour inciter les femmes à offrir des plumes blanches aux hommes ne s’engageant pas dans l’armée, afin de fustiger leur lâcheté, une anecdote reprise au début de la saison 2 de la série Downton Abbey.
Robertson conduit à toute allure au volant d’une Sunbeam Alpine. Cette deux-places anglaise particulièrement sportive connut un grand succès durant les années 60 et connut cinq séries de production successives. Elle apparaît dans plusieurs productions de l’époque : 007 en conduit une lors de la poursuite automobile de Dr No (Série II Roadster) et elle est la voiture de Max la Menace (Sunbeam Tiger). Michael Caine en conduit également dans les films Get Carter et Gambit.
Le tag de fin montre cette fois Steed et Mrs Peel s’éloigner en kart. Le Karting a été inventé aux Etats-Unis durant les années 50, à partir de moteurs de tondeurs à gazon ou de tronçonneuses. Les années 60 voient sa popularité gagner le grand public en Europe, particulièrement en Grande-Bretagne et en France. Le sport de courses de Karting, souvent antichambre de la Formule 1, se structurèrent durant les années 70.
L’addiction au danger décrite dans l’épisode est reconnue par le milieu médical et est liée à l’accoutumance à une drogue naturelle, l’adrénaline, dite « hormone du stress ». L’adrénaline est libérée par le système nerveux (glande adrénale), en cas d’excitation liée à la perception d’un péril ou durant l’exécution d’un sport extrême. On reconnaît de fait cette addiction parmi les amateurs de Course automobile ou de sauts à l’élastique, etc. A terme l’émission régulière d’adrénaline entraine hypertension et troubles cardiovasculaires.
Afin d’intéresser Robertson, Mrs Peel se prétend adepte de la phrénologie. Il s’agit d’une théorie, développée au XIXème siècle, selon laquelle le caractère est influé par les bosses du crane, prédisposant la vie des individus. Rapidement identifiée comme pseudoscience, la phrénologie fut néanmoins à la base de classifications détaillées du crane qui aidèrent à la naissance de la médecine légale. Steed a remarqué ce penchant chez Robertson et conseille donc à Emma de capter son attention en lui montrant ses bosses (bumps), mais cette phrase contient bien entendu un évident second degré !
A plusieurs reprises Steed qualifie l’attitude de Lamble de chicken running. Il s’agit d’une référence à l’expression anglaise Running around like a chicken with its head cut off. Elle fait écho à l’attitude réelle ou supposée des poulets à encore se débattre après avoir eu la tête tranchée et désigne, d’une manière imagée, une attitude illogique et improductive. Le titre du film Chicken Run (2000) y fait également allusion.
Parmi les allusions historiques, Steed cite le Passe de Kyber. Il s’agit d’un passage stratégique dans les montagnes séparant l’Afghanistan du Pakistan. Alexandre passa par ce chemin lors de sa tentative de conquête des Indes et elle fut le théâtre de nombreux affrontements au cours des siècles. L’armée britannique y installa de grandes fortifications, destinées à interdire protéger l’accès au sous-continent.
Parmi les nombreux tableaux de bataille présents dans le musée, on remarque The Charge of the light Brigade du peintre anglais Robert Hillingford (1828-1904). En effet, durant la saison 5, entouré du le même cadre il ornera le décor central de l’appartement de Steed !
Hillingford était un spécialiste de la reconstitution de batailles, notamment napoléoniennes. Ici l’artiste représente en 1899 la charge héroïque, mais désespérée et absurde, de la cavalerie anglaise contre les canons russes durant la bataille de Balaklava (1854, guerre de Crimée). Cette action fut popularisée par un poème d’Alfred Tennyson, cette même année.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
L’idée centrale du récit de Roger Marshall se montre certes redoutablement efficace, car autorisant nombre de scènes fortes, impressionnantes ou troublantes, voyant les drogués du danger en proie à leur obsession. Malheureusement l’auteur s’appuie trop sur cet aspect et néglige quelque peu le reste d’une intrigue n’apparaissant vite que comme un passe plat servant à aligner le plus possible de ces pépites d’adrénaline. La propension de la série à user et abuser des successions de meurtres spectaculaires trouve là une variation pour le moins aigue et symptomatique. Marshall est d’ailleurs un auteur assez fin pour le ressentir et profite joliment du tag conclusif pour se gausser ouvertement de l’aspect mécanique de son intrigue.
Le but ultime du complot se voit également bâclé, avec le recours au poncif absolu du vol des Joyaux de la Couronne, une menée que ne rien ne vient solidement étayer. L’exposition en demeure bien trop étendue : la découverte de la loge secrète n’intervient qu’en toute fin de récit, ce qui la prive d’une bonne part de son potentiel dramatique. Le ton général manque singulièrement de cet humour fantaisiste caractérisant désormais le Monde des Avengers et paraît parfois appliqué, lors d’explications psychologiques un brin sentencieuses. Le Diabolical Mastermind manque de présence et d’envergure, même si la révélation de son identité apporte un twist réussi. Le voir tenter de s’enfuir aussi lâchement résulte effectivement décevant. Pour adorable qu’elle soit, le colonel Adams ne ressort pas non plus comme l’Excentrique le plus marquant de la saison.
Encore à l’orée de sa carrière, Crichton démontre déjà un authentique sens de l’image lors des scènes de stress, soit la justification première de l’opus. Les angles de vues retenus, la mobilité de la caméra et la musique de Laurie Johnson suscitent une indéniable intensité. Cela éclate particulièrement durant la remarquable scène de l’ordalie électrique de Mrs Peel, certainement le pinacle de l’épisode, mais aussi durant la mouvementée bagarre finale, particulièrement enlevée et spectaculaire. On remarque au passage que se confirme le penchant de la série à retenir des inserts d’une hauteur absurde, cela avait déjà été le cas lors de la porte donnant dans le vide de La danse macabre, ou durant les années Cathy Gale. Les décors se montrent inégaux, car minimalistes en dehors du bureau du général (légèrement surexploité) et du sanctuaire de la loge. Encore celui-ci reste-il partiellement gâché par une évidente porte peinte !
Alors que la plupart des seconds rôles du jour se résument à de simples silhouettes, Roger Marshall réussit cependant un maître coup avec l’écriture de Robertson. Interprété avec une expressivité et conviction par un parfait Nigel Davenport, il exprime à merveille la déviance psychologique pathologique des Chevaliers de la Mort et parvient temporairement à la hisser au-dessus de sont statut de simple prétexte. Ses scènes avec Steed et Mrs Peel se révèlent remarquables à cet égard. On ressent pour une fois de la commisération devant un adversaire blessé par la vie et avant tout victime, vaincu avec une désarmante facilité par la perfidie et l’esprit florentin de Steed. Celui-ci se montre d’ailleurs à son avantage, la narration, autrement plus sombre qu’à l’accoutumée, lui permet en effet de concentrer l’essentiel des scènes humoristiques, ce qui convient idéalement à Patrick Macnee.
Mais la véritable vedette de l’opus demeure incontestablement Mrs Peel. Supérieurement élégante et classieuse tout au long du récit, Emma démontre ses capacités de chasseuse d’hommes implacable, avant What the Butler Saw. Le pauvre Robertson n’avait aucune chance là non plus et cette inversion de statut entre antagoniste et victime produit décidément une perspective réussie. L’éclatant talent de Diana Rigg constitue la clef de voute de l’épreuve à l’intensité si paroxystique. Entre cuir, chaines et menottes se confirme derechef un arrière fond fétichiste pour le moins original, déjà présent en saison 3 il est vrai.
Surtout, le personnage d’Emma permet d’introduire un effet miroir représentant l’intérêt ultime du récit. Sans s’y appesantir, l’auteur nous questionne en effet sur les motivations profondes de l’amatrice talentueuse l’amenant à se lancer dans de si périlleuses aventures : patriotisme, défense de la justice, sentiment pour Steed ou Mrs Peel n’est elle pas plutôt une simple droguée de danger de plus, certes supérieurement douée et davantage maîtrisée ? De fil en aiguille, le spectateur des séries d’aventures en vient à considérer s’il n’en est lui même pas un autre, par procuration. Une approche psychologique à tiroirs remarquablement menée par Marshall. (***)
Le but ultime du complot se voit également bâclé, avec le recours au poncif absolu du vol des Joyaux de la Couronne, une menée que ne rien ne vient solidement étayer. L’exposition en demeure bien trop étendue : la découverte de la loge secrète n’intervient qu’en toute fin de récit, ce qui la prive d’une bonne part de son potentiel dramatique. Le ton général manque singulièrement de cet humour fantaisiste caractérisant désormais le Monde des Avengers et paraît parfois appliqué, lors d’explications psychologiques un brin sentencieuses. Le Diabolical Mastermind manque de présence et d’envergure, même si la révélation de son identité apporte un twist réussi. Le voir tenter de s’enfuir aussi lâchement résulte effectivement décevant. Pour adorable qu’elle soit, le colonel Adams ne ressort pas non plus comme l’Excentrique le plus marquant de la saison.
Encore à l’orée de sa carrière, Crichton démontre déjà un authentique sens de l’image lors des scènes de stress, soit la justification première de l’opus. Les angles de vues retenus, la mobilité de la caméra et la musique de Laurie Johnson suscitent une indéniable intensité. Cela éclate particulièrement durant la remarquable scène de l’ordalie électrique de Mrs Peel, certainement le pinacle de l’épisode, mais aussi durant la mouvementée bagarre finale, particulièrement enlevée et spectaculaire. On remarque au passage que se confirme le penchant de la série à retenir des inserts d’une hauteur absurde, cela avait déjà été le cas lors de la porte donnant dans le vide de La danse macabre, ou durant les années Cathy Gale. Les décors se montrent inégaux, car minimalistes en dehors du bureau du général (légèrement surexploité) et du sanctuaire de la loge. Encore celui-ci reste-il partiellement gâché par une évidente porte peinte !
Alors que la plupart des seconds rôles du jour se résument à de simples silhouettes, Roger Marshall réussit cependant un maître coup avec l’écriture de Robertson. Interprété avec une expressivité et conviction par un parfait Nigel Davenport, il exprime à merveille la déviance psychologique pathologique des Chevaliers de la Mort et parvient temporairement à la hisser au-dessus de sont statut de simple prétexte. Ses scènes avec Steed et Mrs Peel se révèlent remarquables à cet égard. On ressent pour une fois de la commisération devant un adversaire blessé par la vie et avant tout victime, vaincu avec une désarmante facilité par la perfidie et l’esprit florentin de Steed. Celui-ci se montre d’ailleurs à son avantage, la narration, autrement plus sombre qu’à l’accoutumée, lui permet en effet de concentrer l’essentiel des scènes humoristiques, ce qui convient idéalement à Patrick Macnee.
Mais la véritable vedette de l’opus demeure incontestablement Mrs Peel. Supérieurement élégante et classieuse tout au long du récit, Emma démontre ses capacités de chasseuse d’hommes implacable, avant What the Butler Saw. Le pauvre Robertson n’avait aucune chance là non plus et cette inversion de statut entre antagoniste et victime produit décidément une perspective réussie. L’éclatant talent de Diana Rigg constitue la clef de voute de l’épreuve à l’intensité si paroxystique. Entre cuir, chaines et menottes se confirme derechef un arrière fond fétichiste pour le moins original, déjà présent en saison 3 il est vrai.
Surtout, le personnage d’Emma permet d’introduire un effet miroir représentant l’intérêt ultime du récit. Sans s’y appesantir, l’auteur nous questionne en effet sur les motivations profondes de l’amatrice talentueuse l’amenant à se lancer dans de si périlleuses aventures : patriotisme, défense de la justice, sentiment pour Steed ou Mrs Peel n’est elle pas plutôt une simple droguée de danger de plus, certes supérieurement douée et davantage maîtrisée ? De fil en aiguille, le spectateur des séries d’aventures en vient à considérer s’il n’en est lui même pas un autre, par procuration. Une approche psychologique à tiroirs remarquablement menée par Marshall. (***)
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Décès de Nigel Davenport, le Major Robertson, qui fut également le Lord Barnes de Split. Egalement un excellent ennemi du Saint dans The Rhine Maiden.
http://www.bbc.co.uk/news/entertainment-arts-24738939
http://www.bbc.co.uk/news/entertainment-arts-24738939
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Mittige dans l ensemble ... cette association de pseudos vilains veut rien dire, en quoi des accros a l adrenaline peuvent interesser notre duo ? Si un general ou meme le pape veut s amuser en moto en quoi cela peut etre considerer comme criminel ... et le chef final se devine a l avance ... qui a denonce le pauvre soldat qui se fait mitrailler ... reste de bonnes scenes, le chocolat, l initiation d emma, son decolete
2 melons
2 melons
jbourne- Vicomte(sse)
- Age : 51
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 09/10/2011
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Ah, là, je suis plutôt en désaccord. J'aime bien cette association de fous dangereux, et j'apprécie le suspense en crescendo dans tout le récit. La réalisation est de surcroît brillante. Bien vu, le décolleté d'Emma, ça fait partie du spectacle !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Je ne classe pas cet épisode dans mes favoris, mais 2 scènes ont retenu mon attention : le test d'Emma (et toc, une faible femme qui s'en sort à merveille devant tous ces mâles ! ) et j'ai beaucoup ri lorsque Steed, attaché d'une main, s'entend dire "je vais vous tuer" et lui de répondre "dépêchez vous, j'ai horreur du bruit ! " 😃
Et de la façon dont il lui "retourne le cerveau" et réussit à s'en sortir alors qu'il était voué à mourir... humour anglais génial
Je me demande pourquoi cette saison 4 n'a pas été colorisée... j'imagine que la couleur est arrivée l'année suivante ???
Et de la façon dont il lui "retourne le cerveau" et réussit à s'en sortir alors qu'il était voué à mourir... humour anglais génial
Je me demande pourquoi cette saison 4 n'a pas été colorisée... j'imagine que la couleur est arrivée l'année suivante ???
Sylvie77- Roturier(e)
- Age : 61
Localisation : brie comte robert
Date d'inscription : 12/03/2015
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Oui, c'est la quatrième et dernière saison en noir et blanc de la série.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Je me dis qu'en couleur, ça aurait été sympa, surtout pour voir les tenues d'Emma.. bon c la nana qui parle je l'accorde 😏
Sylvie77- Roturier(e)
- Age : 61
Localisation : brie comte robert
Date d'inscription : 12/03/2015
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Le topic "Photos couleurs" permet de disposer de quelques aperçus :
https://avengers.easyforumpro.com/t98-photos-couleurs?highlight=photos+de+tournage
https://avengers.easyforumpro.com/t98-photos-couleurs?highlight=photos+de+tournage
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Beaucoup de tenues d'Emma Peel dont le fameux manteau Chemin ont été conçues pour un tournage n&b.
Invité- Invité
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Merci Estuaire, malheureusement les premiers liens st morts, mais plus loin les autres marchent, les photos st géniales 😀
Euh.. Denis c quoi le manteau Chemin 😶
Euh.. Denis c quoi le manteau Chemin 😶
Sylvie77- Roturier(e)
- Age : 61
Localisation : brie comte robert
Date d'inscription : 12/03/2015
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Descends sur ce lien et tu tombes sur : Chemin' black and white striped fur coat. On voit ce manteau noir et blanc dans plusieurs épisodes. C'est l’œuvre du couturier Bates.
http://www.dissolute.com.au/the-avengers-tv-series/fashion/fashion-series-4-08.html
http://www.dissolute.com.au/the-avengers-tv-series/fashion/fashion-series-4-08.html
Invité- Invité
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Merci bien, sympa ce site 😀
Sylvie77- Roturier(e)
- Age : 61
Localisation : brie comte robert
Date d'inscription : 12/03/2015
Re: Les Chevaliers de la Mort (The Danger Makers)
Regardez à droite la doublure de Diana Rigg. C'est en fait un homme, Billy Westley.
Invité- Invité
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