Le Pince-nez en or (The Golden Pince Nez)
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Le Pince-nez en or (The Golden Pince Nez)
Une histoire pas très intéressante et j’ai trouvé cet épisode inférieur aux deux précédents du coffret. Les meilleures scènes sont les répliques entre Holmes et son frère Mycroft. En particulier, lorsque Sherlock Holmes reconnaît la loupe : ‘Father’s magnifying glass; He gave it to you ? ; Ironic !’ Le meilleur passage de l’aventure pour moi ! Egalement surprenant lorsque l’inspecteur Hopkins demande à Mycroft, qui vient de se moucher : ‘May I shake your hand ?’. Sinon, je n’ai pas accroché à cet épisode assez violent (surtout le début) qui conte l’histoire tragique d’une vengeance centrée sur un fumeur invétéré. Quelques exagérations comme la réaction de la servante et la mort théâtrale de la victime (on entend le cri plusieurs fois). L’apparition de la suffragette permet à l’enquête d’avoir sa fausse piste mais ne relance pas l’intérêt de l’épisode.
Beaucoup de gros plans sur Jeremy Brett montrent qu’il est marqué et qu’il a pris du poids mais ses réactions et son emprise sur le personnage restent identiques. Notez son expression, par exemple lorsque le professeur Coram critique les origines de la servante : ‘You know stupidity of that class.’ Il y a un plan imper assez incongru lorsque Hopkins le retire à son arrivée chez Holmes. Un épisode sans Watson qui vaut surtout pour les échanges entre les frères Holmes. The professor, it was she !
Beaucoup de gros plans sur Jeremy Brett montrent qu’il est marqué et qu’il a pris du poids mais ses réactions et son emprise sur le personnage restent identiques. Notez son expression, par exemple lorsque le professeur Coram critique les origines de la servante : ‘You know stupidity of that class.’ Il y a un plan imper assez incongru lorsque Hopkins le retire à son arrivée chez Holmes. Un épisode sans Watson qui vaut surtout pour les échanges entre les frères Holmes. The professor, it was she !
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Re: Le Pince-nez en or (The Golden Pince Nez)
Malgré une histoire intéressante (car liée à mon pays d'origine), l'épisode a du mal à prendre son envol, et l'alchimie Holmes/Watson est inexistante... et pour cause : Watson n'est pas présent et est remplacé au pied levé par Mycroft pourrait-on dire. C'est correct, mais sans plus. La suffragette permet à l’enquête d’avoir sa fausse piste, mais une fausse piste n'est pas synonyme de qualité de scénario à tiroir, on a bien vu ce que ca a donné dans Le Mystère de Shoscombe, un épisode qui s'en sort toutefois mieux que ce pince-nez en demi-teinte (plomb ?).
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