Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
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Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Coup de cœur pour Terminator : Les Chroniques de Sarah Connor (TMC) après deux premiers épisodes parfaitement agencés et articulés. Dans le pilote la série multiplie les clins d’œil pétillants à Judgment Day dans un véritable remake très rythmé. L’amateur de cyborgs en goguette se rassurera en retrouvant avec plaisir les différents codes et citations, ce qui permet d’authentifier la série comme appartenant bien à l’Univers Terminator. La série n’en reste pas à cet exercice de style réussi et débute réellement dans le deuxième épisode. Et là on se réjouit de découvrir des nouveautés particulièrement bien trouvées. Il y a d’abord le glissement temporel situant désormais l’action dans nos années 2000 finissantes, ce qui autorise une vue en coupe de la société contemporaine américaine se révélant plus fouillée et critique que lors des films.
Mais le cœur de la série demeure bien entendu le fascinant personnage de Sarah Connor, la Mère Courage de la SF. La série réussit l’exploit de la rendre passionnante tout en la décrivant différemment qu’au cinéma. En dehors des crises paroxystiques des films, c’est ici la Sarah du quotidien que nous décrit la série, où la veille et la dissimulation remplacent l’action débridée et où surtout Sarah s’efforce également d’être la meilleure mère pour John, en lui assurant l’adolescence la plus normale possible. Cette dualité et ce portrait très émouvant se trouvent parfaitement exprimés par les monologues de Sarah en voix off (comme lors de la conclusion de T2), ces passages, écrits avec talent, jamais sentencieux ou redondants, donnent une profondeur supplémentaire à la série. Sarah doit aussi faire face à l’épreuve du cancer, ce qui nous vaut quelques passages à la Memento Mori, en évitant toujours le mélo. La sublime Lena Headey donne beaucoup de consistance et de véracité à son personnage, avec un jeu plus sensible et émotif que la flamboyante Linda Hamilton, ce qui convient idéalement ici.
Les deux autres personnages principaux se révèlent également très relevés. Très loin de la vamp démoniaque interprétée avec éclat par Kristanna Loken, Cameron crée un nouveau personnage de Terminator, dont l’apparente jeunesse permet une sympathie accrue entre elle et John. Le personnage se révèle très amusant, notamment grâce à Summer Glau (déjà admirée dans Serenity) qui restitue à merveille la déconnection du personnage avec l’humanité ce qui lui donne une aspect déphasé source de nombreux gags. Par ailleurs elle se montre redoutablement efficace dans les cènes d’action ! La relation avec elle et Sarah, entre compétition et complicité forcée se montre aussi très riche. John demeure encore en retrait, on peine à discerner en lui le futur leader de l’Humanité, non encore sorti de la chrysalide de l’adolescence. La dualité de Sarah, qui cherche à sauvegarder l’innocence de son fils tout en admettant la nécessité du combat à venir se montre vraiment poignante à cet égard. On devine (on espère) qu’un des sujets de la série consistera en l’accession à l’age adulte et à la responsabilité de John, la capacité de Thomas Dekker à porter cette évolution du personnage restant encore à démontrer.
L’agent du FBI demeure encore transparent (on se prend à rêver que les ANC existent dans cet univers…) mais on pressent qu’il puisse faire l’objet d’épisodes plus corsés, comme le journaliste de Hulk. Cerise sur le gâteau, la série enregistre un premier guest de choix avec Tony Amendola, le minéral Bra'tac de SG1, ici très amusant en latino roublard. Découvrir des acteurs que l’on aime bien dans des registres tout à fait différents demeure un authentique plaisir !
Alors, bien entendu, surtout comparativement avec les budgets colossaux des films, la série présente un aspect cheap avéré… Les effets spéciaux, les maquillages et les combats s’en tiennent à ce que la télé peut offrir, mais les scènes d’action, admirablement filmées et montées (rien à voir avec l’hystérie de QoS) conservent du souffle. Surtout TSCC manifeste avec éclat la preuve que, selon la maxime « on peut faire bonne chère avec peu d’argent ». On s’amuse beaucoup à admirer comment l’imaginative mise en scène s’emploie à pallier au manque de moyens, entre raccourcis saisissants, montage bien minuté, et caméra détournant le regard au moment ad hoc. On y trouve comme la débauche d’inventivité du cinéma bis que l’on aime bien, et puis l’abaissement drastique du coût des images de synthèse fait que l’on parvient à obtenir tout de même quelques scènes impressionnantes (rêve d’ouverture, sphère de déplacement temporel…).
Non, la seule authentique faiblesse relevée à ce moment dans la série réside dans le manque de relief des adversaires. Par contraste TSCC permet, si besoin en était, de mesurer à quel point Arnold réalisait jadis une grande composition, tout en puissance, débit mort des mots et grâce implacable des mouvements. Rien de tout cela ici : les Terminators affrontés se cantonnent à de gros bras sans cachet ni présence, comme on a pu en voir dans Painkiller Jane, La femme Nikita ou dans l’éminemment raté Bionic Woman (etc, etc.). Ce manque de charisme devient particulièrement flagrant chez l’ennemi récurrent, Cromartie, d’une fadeur extrême . A part ses muscles et quelques trucs faciaux de base, son interprète n’apporte pour l’instant rien à la série, on se situe très loin du chasseur impitoyable et glacial campé par le grand Robert Patrick, à qui Judgment Day doit tant. Un talon d’Achille auquel il faudra rapidement remédier, aucune série de ce type ne pouvant durablement se passer d’un Adversaire passablement stimulant.
Au total Sarah Connor Chronicles parvient à faire entendre sa petite musique, fine et émotive, à côté des tambours de guerre du grand écran. Elle parvient à relever un défi particulièrement ardu, même si le succès n’est pas (quelle surprise) au rendez-vous outre Atlantique, avec un public divisé par trois désormais par rapport aux 18 millions de fans ayant suivi le pilote. Le manque, relatif, de pyrotechnie déçoit sans doute ceux pour qui la SF perd de son intérêt en s’attachant à la psychologie de ses personnages, d’autant que le duo dominant ne présente pas le quota de testostérone réglementaire. En tout cas il s’agit bien d’une série à suivre régulièrement, au déroulement encore très ouvert. Ira-t-on vers une situation à la Buffy (avec la prévisible installation au lycée de Connor et Cameron) avec un MOTW à combattre à chaque fois, ou vers un récit plus feuilletonesque, Skynet demeurant dans la mire ? On espère en tout cas d’autres clins d’œil réussis aux films, une évolution des personnages aussi riche et profonde que le laissent deviner ces prémisses, une dose d’humour toujours aussi présente et… un adversaire récurrent qui ne se contente pas de poser au porte flingue de base ! Les jeux sont ouverts, le Futur reste à écrire !
Mais le cœur de la série demeure bien entendu le fascinant personnage de Sarah Connor, la Mère Courage de la SF. La série réussit l’exploit de la rendre passionnante tout en la décrivant différemment qu’au cinéma. En dehors des crises paroxystiques des films, c’est ici la Sarah du quotidien que nous décrit la série, où la veille et la dissimulation remplacent l’action débridée et où surtout Sarah s’efforce également d’être la meilleure mère pour John, en lui assurant l’adolescence la plus normale possible. Cette dualité et ce portrait très émouvant se trouvent parfaitement exprimés par les monologues de Sarah en voix off (comme lors de la conclusion de T2), ces passages, écrits avec talent, jamais sentencieux ou redondants, donnent une profondeur supplémentaire à la série. Sarah doit aussi faire face à l’épreuve du cancer, ce qui nous vaut quelques passages à la Memento Mori, en évitant toujours le mélo. La sublime Lena Headey donne beaucoup de consistance et de véracité à son personnage, avec un jeu plus sensible et émotif que la flamboyante Linda Hamilton, ce qui convient idéalement ici.
Les deux autres personnages principaux se révèlent également très relevés. Très loin de la vamp démoniaque interprétée avec éclat par Kristanna Loken, Cameron crée un nouveau personnage de Terminator, dont l’apparente jeunesse permet une sympathie accrue entre elle et John. Le personnage se révèle très amusant, notamment grâce à Summer Glau (déjà admirée dans Serenity) qui restitue à merveille la déconnection du personnage avec l’humanité ce qui lui donne une aspect déphasé source de nombreux gags. Par ailleurs elle se montre redoutablement efficace dans les cènes d’action ! La relation avec elle et Sarah, entre compétition et complicité forcée se montre aussi très riche. John demeure encore en retrait, on peine à discerner en lui le futur leader de l’Humanité, non encore sorti de la chrysalide de l’adolescence. La dualité de Sarah, qui cherche à sauvegarder l’innocence de son fils tout en admettant la nécessité du combat à venir se montre vraiment poignante à cet égard. On devine (on espère) qu’un des sujets de la série consistera en l’accession à l’age adulte et à la responsabilité de John, la capacité de Thomas Dekker à porter cette évolution du personnage restant encore à démontrer.
L’agent du FBI demeure encore transparent (on se prend à rêver que les ANC existent dans cet univers…) mais on pressent qu’il puisse faire l’objet d’épisodes plus corsés, comme le journaliste de Hulk. Cerise sur le gâteau, la série enregistre un premier guest de choix avec Tony Amendola, le minéral Bra'tac de SG1, ici très amusant en latino roublard. Découvrir des acteurs que l’on aime bien dans des registres tout à fait différents demeure un authentique plaisir !
Alors, bien entendu, surtout comparativement avec les budgets colossaux des films, la série présente un aspect cheap avéré… Les effets spéciaux, les maquillages et les combats s’en tiennent à ce que la télé peut offrir, mais les scènes d’action, admirablement filmées et montées (rien à voir avec l’hystérie de QoS) conservent du souffle. Surtout TSCC manifeste avec éclat la preuve que, selon la maxime « on peut faire bonne chère avec peu d’argent ». On s’amuse beaucoup à admirer comment l’imaginative mise en scène s’emploie à pallier au manque de moyens, entre raccourcis saisissants, montage bien minuté, et caméra détournant le regard au moment ad hoc. On y trouve comme la débauche d’inventivité du cinéma bis que l’on aime bien, et puis l’abaissement drastique du coût des images de synthèse fait que l’on parvient à obtenir tout de même quelques scènes impressionnantes (rêve d’ouverture, sphère de déplacement temporel…).
Non, la seule authentique faiblesse relevée à ce moment dans la série réside dans le manque de relief des adversaires. Par contraste TSCC permet, si besoin en était, de mesurer à quel point Arnold réalisait jadis une grande composition, tout en puissance, débit mort des mots et grâce implacable des mouvements. Rien de tout cela ici : les Terminators affrontés se cantonnent à de gros bras sans cachet ni présence, comme on a pu en voir dans Painkiller Jane, La femme Nikita ou dans l’éminemment raté Bionic Woman (etc, etc.). Ce manque de charisme devient particulièrement flagrant chez l’ennemi récurrent, Cromartie, d’une fadeur extrême . A part ses muscles et quelques trucs faciaux de base, son interprète n’apporte pour l’instant rien à la série, on se situe très loin du chasseur impitoyable et glacial campé par le grand Robert Patrick, à qui Judgment Day doit tant. Un talon d’Achille auquel il faudra rapidement remédier, aucune série de ce type ne pouvant durablement se passer d’un Adversaire passablement stimulant.
Au total Sarah Connor Chronicles parvient à faire entendre sa petite musique, fine et émotive, à côté des tambours de guerre du grand écran. Elle parvient à relever un défi particulièrement ardu, même si le succès n’est pas (quelle surprise) au rendez-vous outre Atlantique, avec un public divisé par trois désormais par rapport aux 18 millions de fans ayant suivi le pilote. Le manque, relatif, de pyrotechnie déçoit sans doute ceux pour qui la SF perd de son intérêt en s’attachant à la psychologie de ses personnages, d’autant que le duo dominant ne présente pas le quota de testostérone réglementaire. En tout cas il s’agit bien d’une série à suivre régulièrement, au déroulement encore très ouvert. Ira-t-on vers une situation à la Buffy (avec la prévisible installation au lycée de Connor et Cameron) avec un MOTW à combattre à chaque fois, ou vers un récit plus feuilletonesque, Skynet demeurant dans la mire ? On espère en tout cas d’autres clins d’œil réussis aux films, une évolution des personnages aussi riche et profonde que le laissent deviner ces prémisses, une dose d’humour toujours aussi présente et… un adversaire récurrent qui ne se contente pas de poser au porte flingue de base ! Les jeux sont ouverts, le Futur reste à écrire !
Dernière édition par Estuaire44 le Jeu 6 Mar 2014 - 0:55, édité 2 fois
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Belle présentation merci!
Te voilà complètement à contre-courant : toutes les critiques que j'ai
lues disaient l'inverse. Notamment Summer Glau, dont tu salues la
prestation, était jugée transparente par Génériques. Quand à l'aspect
cheap, on évoquait plus les ambitions démesurées et le résultat
approximatif que l'inventivité de la mise en scène.
Petite question au passage : faut-il bien connaître les films Terminator pour saisir tous les enjeux de la série ?
Te voilà complètement à contre-courant : toutes les critiques que j'ai
lues disaient l'inverse. Notamment Summer Glau, dont tu salues la
prestation, était jugée transparente par Génériques. Quand à l'aspect
cheap, on évoquait plus les ambitions démesurées et le résultat
approximatif que l'inventivité de la mise en scène.
Petite question au passage : faut-il bien connaître les films Terminator pour saisir tous les enjeux de la série ?
Invité- Invité
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Le pilote restitue bien les enjeux, on peut suivre la série sans avoir vu les films mais de nombreuses références croustillantes sont mises en place, on risque alors de passer à côté.
C'est vrai que le contraste entre la magnificence des films et ce que montre la série heurte au premier abord, mais, avec un peu de bonne volonté c'est vrai, on se laisse prendre au jeu sans difficulté. (IMHO comme disait l'autre)
C'est vrai que le contraste entre la magnificence des films et ce que montre la série heurte au premier abord, mais, avec un peu de bonne volonté c'est vrai, on se laisse prendre au jeu sans difficulté. (IMHO comme disait l'autre)
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Estuaire44 a écrit:
C'est vrai que le contraste entre la magnificence des films et ce que montre la série heurte au premier abord, mais, avec un peu de bonne volonté c'est vrai, on se laisse prendre au jeu sans difficulté. (IMHO comme disait l'autre)
Je te fais confiance comme Supernatural pour laquelle j'étais assez dubtitatif au départ mais qui ne cesse de gagner en qualité au fur et à mesure de la 1ère saison. De toute manière comme le dit la maxime accrochée au dessus de mon lit : Estuaire a toujours raison !
Je la rajoute à ma liste!
Invité- Invité
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Ce qu'il ne faut pas lire, je vous jure, je vais me fondre dans le plancher, moi!
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Mais un modo, ça a toujours raison ! De plus, je suis d'accord avec Steed3003 : ESTUAIRE A TOUJOURS RAISON !
Evelyne- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Toulon (83)
Date d'inscription : 14/03/2008
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Et donc, comme je suis souvent d'accord avec Estuaire... je vous laisse tirer les conclusions !
Invité- Invité
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
La prochaine fois que je joue au tiercé, je le garde pour moi!
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
La deuxième soirée TSCC tient fort heureusement les promesses de la première, à travers deux épisodes aussi différents que complémentaires, offrant de la sorte une beau panorama des axes forts de la série : l’action et une dimension plus émotionnelle, comme quasi littéraire.
Hormis la progressive reconstruction de Cromartie en quelques scènes d’arrière plan, L’origine du mal présente l’audacieux exploit de ne contenir aucun Terminator ni d’ailleurs aucune scène d’action à proprement parler. Avec une écriture très sensible, il interpelle les personnages sur la portée morale de leurs actes.
Ainsi John et Cameron s’installent-ils comme prévu au lycée, mais le sempiternel rituel de découverte de ce haut lieu des films et séries s’attachant à la jeunesse se voit rapidement interrompu par le suicide spectaculaire d’une jeune fille. Avec l’impulsivité à fleur de peau propre à l’adolescence John souhaite la sauver, or Cameron s’interpose, peu désireuse de voir son protégé mis en vedette. Dans une série lambda le héros aurait pu concilier ces deux obligations, tel n’est pas le cas dans TSCC : certes forcé, John laisse la fille se tuer, et, après une période de colère envers Cameron, finit de fait par accepter la situation. La dimension funèbre de l’univers finit progressivement par déteindre sur ses personnages, contraints de renoncer à certains idéaux pour sauvegarder un objectif plus grand encore. En filigrane la série interpelle le spectateur sur le prix douloureux qu’il y a parfois à payer dans la lutte pour une cause, aussi positive soit celle-ci, et ce sans aucune mièvrerie, mais au contraire une réelle âpreté.
Par ailleurs l’ensemble de cette séquence du lycée apparaît fort bien réalisée, la série ne développant pas inutilement ce marronnier, mais permettant néanmoins à quelques jolis moments d’humour de faire surface, notamment par le décalage toujours aussi amusant existant entre Cameron et les jeunes de son age apparent. Ici ce sont surtout les relations vite crispées avec les filles qui se voient mises en valeur, on imagine que l’émoi prévisible suscité chez les garçons nous vaudra quelque divertissement dans le futur… Cameron manifeste également une authentique curiosité envers le mystère de cette humanité si en proie à des sentiments lui demeurant étrangers, ce qui peut aussi nous valoir d’intéressants développements. Fort heureusement si le lycée demeure un lieu incontournable, la série demeurant centrée sur la famille la plus dysfonctionnelle que les séries américaines, pourtant peu avares en la matière, nous aient offerte.
On ne peut qu’applaudir encore une fois la performance d’une Summer Glau interprétant à merveille le déphasage parfois introspectif de Cameron. Il me semble que les critiques lui reprochant un manque de conviction présentent le tort de la comparer aux dieux de la guerre du grand écran. Elle interprète bel et bien un type nouveau de Terminator, chargé de protéger John, cette fois dans la durée, mais aussi de le soutenir psychologiquement durant sa « formation », développant donc plutôt discrétion et tentative d’empathie. On a bien entendu le droit de trouver inepte le projet de la série, mais on ne saurait la blâmer pour sa parfaite cohérence, notamment du point de vue de l’interprétation de ses personnages.
Toutefois la partie la plus relevée de l’épisode réside bien encore un fois dans les vicissitudes auxquelles doit faire face Sarah Connor, cette fois confrontée à un prodige de l’informatique dont les recherches pourraient bien entraîner l’émergence de Skynet. La Sarah du cinéma n’aurait guère tergiversé avant que de ne résoudre le problème d’une manière définitive mais la présente hésite elle devant un acte terrible, même compte tenue des enjeux. Son dilemme moral, superbement restitué par la décidément enthousiasmante Lena headey, se révèle d’autant plus terrible qu’une cristallisation sentimentale s’était auparavant instaurée entre les personnages. Voir Sarah renoncer à ce moment fugace de bonheur pour accomplir sen devoir s’avère réellement poignant, mais on reste également touché par le refus de Sarah d’abdiquer toute humanité en préférant détruire les travaux que leur auteur.
On ne lui en veut certes pas d’avoir finalement préféré l’espoir au « principe de précaution » évoqué parallèlement, avec un joli à-propos du scénariste, par le médecin s’occupant de son cancer encore à venir. Toutefois le pessimisme et la dureté ambiants apparaissent tels (notamment via la sombre évolution connue par les différents personnages des films croisés 15 ans plus tard) que l’on se doute que Sarah devra en payer prochainement le prix, si la série désire demeurer aussi cohérente que jusqu’ici.
L’épisode constitue enfin une très belle illustration de la célèbre sentence selon laquelle « science sans conscience n’est que ruine de l’âme», notamment par les toujours superbes chroniques évoquant ici fort justement Oppenheimer. En effet, tant par l’informaticien que par le spécialiste du sang qui, captivé et non captif, participe à la renaissance de Cromartie, il dresse un terrifiant tableau de ces scientifiques progressant sans réellement réfléchir aux conséquences ultimes de leurs actes. Ils n’agissent non pas par appétit de l’argent ou de la gloire, mais par pure fascination de la découverte, tout simplement par curiosité, tels Pandore, ce qui ressort finalement plus effrayant encore.
Les amateurs des Avengers retrouveront également ici la saveur si particulière du Noble Jeu, car la machine infernale de l’informaticien est en fait un ordinateur d’Echecs, toujours plus autonome et réactif, visant à dépasser Deep Blue. Il est d’ailleurs surnommé le « Turc », en référence à ce célèbre automate du XVIIième siècle prétendument joueur d’échecs. Mais, attendez, un système informatique, développant sa propre personnalité en même temps que de nouvelles fonctions ? Hum… Le Maître Contrôle Principal comme proto Skynet apparaît comme un joli clin d’œil d’auteurs connaissant visiblement leurs classiques ! Allez savoir, si Kevin et Tron avaient échoué…
Le second épisode de la soirée, Excès de zèle, voit un total changement de décor, avec une priorité absolue accordée à l’action. Ve récit très nerveux et trépidant voit nos héros venir à bout d’une machination ourdie par Skynet pour favoriser la construction future de ses Terminators. Si les chroniques et les questionnements moraux se voient réduits, c’est au profit d’un haletant suspens et d’une mise en scène redoutable d’efficacité faisant de l’épisode un spectacle des plus relevés. On observe qu’au fur et à mesure que la série s’installe et que le fantôme des films s’éloigne, le côté cheap évoqué précédemment a tendance à s’estomper. On s’habitue à moins de dithyrambe dans le spectaculaire et, comparé non plus aux colosses du cinéma mais aux autres séries du même type, TSCC retrouve des couleurs ! Les amateurs de SF tiqueront toutefois quelque peu devant le paradoxe béant ouvert par une Cameron détruisant l’usine qui l’a vu « naître » et demeurer sur place sans que rien n’indique la moindre conséquence. Mais il est vrai que les délices relativistes des voyages temporels n’ont jamais constitué le sujet de Terminator…
Si Cameron convainc toujours dans les scènes d’affrontement, c’est cette fois John qui se porte au premier plan. Son initiative, certes encore brouillonne et par trop enthousiaste, témoigne néanmoins d’un authentique sens de la stratégie et d’un vrai courage physique. Le futur John commence à se deviner, en même temps que Thomas Dekker montre une solidité des plus prometteuses. Au-delà de l’effroi et de la colère, on apprécie d’ailleurs vivement la lueur de fierté apparaissant dans les yeux de Sarah ! Le suspens demeure palpitant de bout en bout, et on goûte cette extension de la Guerre des Machines à un nouveau théâtre secondaire d’opérations, après les malheureux résistants également envoyés par John durant les premiers épisodes. Les scénaristes ont de la ressource et démontrent l’intérêt existant à élargir l’univers de Terminator au-delà de la chronologie du front principal que constituent les films.
Je me demandais un tantinet naïvement si les Chroniques de Sarah Connor allait finalement opter pour le format série ou plutôt s’orienter vers le feuilleton, elles optent bien entendu pour retenir le meilleur des deux formules. Si chaque épisode apporte bien une atmosphère et un enjeu différents, des liens explicites et annonciateurs d’un final de saison certainement grandiose s’installent néanmoins via l’Agent Ellison et Cromartie. Joint au faible nombre d’épisodes (13 initialement, 9 du fait de la grève des scénaristes) on se retrouve devant un procédé similaire au très original The Lost Room, entremêlant les deux styles avec une intense brièveté aux antipodes du particulièrement délayé LOST.
Ellison (clin d’œil au grand auteur Harlan Ellison yant jadis inspiré James cameron)demeure encore en retrait, mais, efficacement interprété par Richard T. Jones, son enquête progresse de manière satisfaisante. Il fait terriblement penser à John Doggett, dont le scepticisme de policier rigoureux se trouve combattu par les preuves découvertes, qu’ils considèrent avec une scrupuleuse honnêteté. Le paranormal frappe à sa porte, et il se montre toujours plus enclin à lui laisser pénétrer son existence. Cet intéressant personnage fait d’ailleurs aussi amicalement que tumultueusement équipe avec la par contre sceptique à tout crin Greta, en qui on a le plaisir de reconnaître Catherine Dents (mère de Trevor dans les X-Files mais aussi vue dans The Shield). Hum, un duo qui va finir par nous en rappeler un autre, sans que l’on s’en plaigne vraiment…
Mais, pour le coup, c’est vraiment Cromartie qui nous enthousiasme ! Alors que l’on se plaignait du manque de dimension du personnage et de la fadeur de son interprète, la série rebondit spectaculairement en dotant le cyborg, à l’occasion d’un bain de sang à la Dracula, d’une apparence différente. Cette nouvelle Incarnation (pas de TARDIS à l’horizon) nous vaut le plaisir de retrouver le toujours excellent Garret Dillahunt, autre transfuge des inoubliables 4400 après Summer Glau. Il apporte d’emblée à son personnage toute l’aura maléfique de l’effrayant Matthew Ross (on se rappelle qu’une jeune femme avait déjà porté malheur à ce dernier…) et, si les fondamentaux du personnage demeurent évidemment les mêmes, la grande classe du comédien vient fort heureusement combler la seule lacune constatée jusqu’ici dans la série.
Les trajectoires convergentes des diverses parties en présence devraient bientôt se croiser car, c’est le seul chagrin occasionné par la soirée, nous en somme déjà presque à la moitié de cette première saison !
Hormis la progressive reconstruction de Cromartie en quelques scènes d’arrière plan, L’origine du mal présente l’audacieux exploit de ne contenir aucun Terminator ni d’ailleurs aucune scène d’action à proprement parler. Avec une écriture très sensible, il interpelle les personnages sur la portée morale de leurs actes.
Ainsi John et Cameron s’installent-ils comme prévu au lycée, mais le sempiternel rituel de découverte de ce haut lieu des films et séries s’attachant à la jeunesse se voit rapidement interrompu par le suicide spectaculaire d’une jeune fille. Avec l’impulsivité à fleur de peau propre à l’adolescence John souhaite la sauver, or Cameron s’interpose, peu désireuse de voir son protégé mis en vedette. Dans une série lambda le héros aurait pu concilier ces deux obligations, tel n’est pas le cas dans TSCC : certes forcé, John laisse la fille se tuer, et, après une période de colère envers Cameron, finit de fait par accepter la situation. La dimension funèbre de l’univers finit progressivement par déteindre sur ses personnages, contraints de renoncer à certains idéaux pour sauvegarder un objectif plus grand encore. En filigrane la série interpelle le spectateur sur le prix douloureux qu’il y a parfois à payer dans la lutte pour une cause, aussi positive soit celle-ci, et ce sans aucune mièvrerie, mais au contraire une réelle âpreté.
Par ailleurs l’ensemble de cette séquence du lycée apparaît fort bien réalisée, la série ne développant pas inutilement ce marronnier, mais permettant néanmoins à quelques jolis moments d’humour de faire surface, notamment par le décalage toujours aussi amusant existant entre Cameron et les jeunes de son age apparent. Ici ce sont surtout les relations vite crispées avec les filles qui se voient mises en valeur, on imagine que l’émoi prévisible suscité chez les garçons nous vaudra quelque divertissement dans le futur… Cameron manifeste également une authentique curiosité envers le mystère de cette humanité si en proie à des sentiments lui demeurant étrangers, ce qui peut aussi nous valoir d’intéressants développements. Fort heureusement si le lycée demeure un lieu incontournable, la série demeurant centrée sur la famille la plus dysfonctionnelle que les séries américaines, pourtant peu avares en la matière, nous aient offerte.
On ne peut qu’applaudir encore une fois la performance d’une Summer Glau interprétant à merveille le déphasage parfois introspectif de Cameron. Il me semble que les critiques lui reprochant un manque de conviction présentent le tort de la comparer aux dieux de la guerre du grand écran. Elle interprète bel et bien un type nouveau de Terminator, chargé de protéger John, cette fois dans la durée, mais aussi de le soutenir psychologiquement durant sa « formation », développant donc plutôt discrétion et tentative d’empathie. On a bien entendu le droit de trouver inepte le projet de la série, mais on ne saurait la blâmer pour sa parfaite cohérence, notamment du point de vue de l’interprétation de ses personnages.
Toutefois la partie la plus relevée de l’épisode réside bien encore un fois dans les vicissitudes auxquelles doit faire face Sarah Connor, cette fois confrontée à un prodige de l’informatique dont les recherches pourraient bien entraîner l’émergence de Skynet. La Sarah du cinéma n’aurait guère tergiversé avant que de ne résoudre le problème d’une manière définitive mais la présente hésite elle devant un acte terrible, même compte tenue des enjeux. Son dilemme moral, superbement restitué par la décidément enthousiasmante Lena headey, se révèle d’autant plus terrible qu’une cristallisation sentimentale s’était auparavant instaurée entre les personnages. Voir Sarah renoncer à ce moment fugace de bonheur pour accomplir sen devoir s’avère réellement poignant, mais on reste également touché par le refus de Sarah d’abdiquer toute humanité en préférant détruire les travaux que leur auteur.
On ne lui en veut certes pas d’avoir finalement préféré l’espoir au « principe de précaution » évoqué parallèlement, avec un joli à-propos du scénariste, par le médecin s’occupant de son cancer encore à venir. Toutefois le pessimisme et la dureté ambiants apparaissent tels (notamment via la sombre évolution connue par les différents personnages des films croisés 15 ans plus tard) que l’on se doute que Sarah devra en payer prochainement le prix, si la série désire demeurer aussi cohérente que jusqu’ici.
L’épisode constitue enfin une très belle illustration de la célèbre sentence selon laquelle « science sans conscience n’est que ruine de l’âme», notamment par les toujours superbes chroniques évoquant ici fort justement Oppenheimer. En effet, tant par l’informaticien que par le spécialiste du sang qui, captivé et non captif, participe à la renaissance de Cromartie, il dresse un terrifiant tableau de ces scientifiques progressant sans réellement réfléchir aux conséquences ultimes de leurs actes. Ils n’agissent non pas par appétit de l’argent ou de la gloire, mais par pure fascination de la découverte, tout simplement par curiosité, tels Pandore, ce qui ressort finalement plus effrayant encore.
Les amateurs des Avengers retrouveront également ici la saveur si particulière du Noble Jeu, car la machine infernale de l’informaticien est en fait un ordinateur d’Echecs, toujours plus autonome et réactif, visant à dépasser Deep Blue. Il est d’ailleurs surnommé le « Turc », en référence à ce célèbre automate du XVIIième siècle prétendument joueur d’échecs. Mais, attendez, un système informatique, développant sa propre personnalité en même temps que de nouvelles fonctions ? Hum… Le Maître Contrôle Principal comme proto Skynet apparaît comme un joli clin d’œil d’auteurs connaissant visiblement leurs classiques ! Allez savoir, si Kevin et Tron avaient échoué…
Le second épisode de la soirée, Excès de zèle, voit un total changement de décor, avec une priorité absolue accordée à l’action. Ve récit très nerveux et trépidant voit nos héros venir à bout d’une machination ourdie par Skynet pour favoriser la construction future de ses Terminators. Si les chroniques et les questionnements moraux se voient réduits, c’est au profit d’un haletant suspens et d’une mise en scène redoutable d’efficacité faisant de l’épisode un spectacle des plus relevés. On observe qu’au fur et à mesure que la série s’installe et que le fantôme des films s’éloigne, le côté cheap évoqué précédemment a tendance à s’estomper. On s’habitue à moins de dithyrambe dans le spectaculaire et, comparé non plus aux colosses du cinéma mais aux autres séries du même type, TSCC retrouve des couleurs ! Les amateurs de SF tiqueront toutefois quelque peu devant le paradoxe béant ouvert par une Cameron détruisant l’usine qui l’a vu « naître » et demeurer sur place sans que rien n’indique la moindre conséquence. Mais il est vrai que les délices relativistes des voyages temporels n’ont jamais constitué le sujet de Terminator…
Si Cameron convainc toujours dans les scènes d’affrontement, c’est cette fois John qui se porte au premier plan. Son initiative, certes encore brouillonne et par trop enthousiaste, témoigne néanmoins d’un authentique sens de la stratégie et d’un vrai courage physique. Le futur John commence à se deviner, en même temps que Thomas Dekker montre une solidité des plus prometteuses. Au-delà de l’effroi et de la colère, on apprécie d’ailleurs vivement la lueur de fierté apparaissant dans les yeux de Sarah ! Le suspens demeure palpitant de bout en bout, et on goûte cette extension de la Guerre des Machines à un nouveau théâtre secondaire d’opérations, après les malheureux résistants également envoyés par John durant les premiers épisodes. Les scénaristes ont de la ressource et démontrent l’intérêt existant à élargir l’univers de Terminator au-delà de la chronologie du front principal que constituent les films.
Je me demandais un tantinet naïvement si les Chroniques de Sarah Connor allait finalement opter pour le format série ou plutôt s’orienter vers le feuilleton, elles optent bien entendu pour retenir le meilleur des deux formules. Si chaque épisode apporte bien une atmosphère et un enjeu différents, des liens explicites et annonciateurs d’un final de saison certainement grandiose s’installent néanmoins via l’Agent Ellison et Cromartie. Joint au faible nombre d’épisodes (13 initialement, 9 du fait de la grève des scénaristes) on se retrouve devant un procédé similaire au très original The Lost Room, entremêlant les deux styles avec une intense brièveté aux antipodes du particulièrement délayé LOST.
Ellison (clin d’œil au grand auteur Harlan Ellison yant jadis inspiré James cameron)demeure encore en retrait, mais, efficacement interprété par Richard T. Jones, son enquête progresse de manière satisfaisante. Il fait terriblement penser à John Doggett, dont le scepticisme de policier rigoureux se trouve combattu par les preuves découvertes, qu’ils considèrent avec une scrupuleuse honnêteté. Le paranormal frappe à sa porte, et il se montre toujours plus enclin à lui laisser pénétrer son existence. Cet intéressant personnage fait d’ailleurs aussi amicalement que tumultueusement équipe avec la par contre sceptique à tout crin Greta, en qui on a le plaisir de reconnaître Catherine Dents (mère de Trevor dans les X-Files mais aussi vue dans The Shield). Hum, un duo qui va finir par nous en rappeler un autre, sans que l’on s’en plaigne vraiment…
Mais, pour le coup, c’est vraiment Cromartie qui nous enthousiasme ! Alors que l’on se plaignait du manque de dimension du personnage et de la fadeur de son interprète, la série rebondit spectaculairement en dotant le cyborg, à l’occasion d’un bain de sang à la Dracula, d’une apparence différente. Cette nouvelle Incarnation (pas de TARDIS à l’horizon) nous vaut le plaisir de retrouver le toujours excellent Garret Dillahunt, autre transfuge des inoubliables 4400 après Summer Glau. Il apporte d’emblée à son personnage toute l’aura maléfique de l’effrayant Matthew Ross (on se rappelle qu’une jeune femme avait déjà porté malheur à ce dernier…) et, si les fondamentaux du personnage demeurent évidemment les mêmes, la grande classe du comédien vient fort heureusement combler la seule lacune constatée jusqu’ici dans la série.
Les trajectoires convergentes des diverses parties en présence devraient bientôt se croiser car, c’est le seul chagrin occasionné par la soirée, nous en somme déjà presque à la moitié de cette première saison !
Possible bonne nouvelle par ailleurs :
http://www.ozap.com/actu/vraie-sarah-connor-terminator-linda-hamilton/259220
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
J'adore le texte débile du site ozap.com :
En effet , selon ce site très bien informé , et considerant que le materiel n'était pas assez important, l'actrice n'avait pas souhaité participer à T3 Judgment Day ... (" Linda Hamilton n'avait pas souhaité jouer dans le troisième opus, faisant valoir que le rôle de son personnage dans le film n'avait pas assez d'importance. " )
Ben, normal qu'il y ait eu " peu de materiel " : Sarah Connors y est en effet morte et enterrée !!!!
En effet , selon ce site très bien informé , et considerant que le materiel n'était pas assez important, l'actrice n'avait pas souhaité participer à T3 Judgment Day ... (" Linda Hamilton n'avait pas souhaité jouer dans le troisième opus, faisant valoir que le rôle de son personnage dans le film n'avait pas assez d'importance. " )
Ben, normal qu'il y ait eu " peu de materiel " : Sarah Connors y est en effet morte et enterrée !!!!
Invité- Invité
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Je dois en être sur RMC au milieu de la saison et je me demande si c'est dans cet ixième épisode que les scénaristes avaient déjà commencé leur grêve et que les acteurs devaient se dépatouiller bien seuls comme sous la "direction" de Claude Lelouch ;-)))
Plein d'incohérences donc. Exemple : les âges et à la généalogie des familles Reese (ça s'écrit comme ça ?) et Connors.
Ceci étant, je ne regrette pas du tout qu'Estuaire m'ait guidé dans cette aventure car le jeu d'acteur du robot à la fois jeune collégienne est digne des meilleurs passages de Crocodile Dundee.
Plein d'incohérences donc. Exemple : les âges et à la généalogie des familles Reese (ça s'écrit comme ça ?) et Connors.
Ceci étant, je ne regrette pas du tout qu'Estuaire m'ait guidé dans cette aventure car le jeu d'acteur du robot à la fois jeune collégienne est digne des meilleurs passages de Crocodile Dundee.
Michel Alencon- Blablateur/teuse
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Date d'inscription : 21/09/2008
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Entre la Nascar et les deux matches de foot' je sors d'une soirée quadruple zapping où j'ai eu le temps de voir qu'une certaine routine s'était établie dans les épisodes. Il reste quand même quelques morceaux de bravoure : les chutes au ralenti dans la piscine vues d'une caméra immergée et surtout le déplacement temporel vers la file de milieu d'une autoroute bien fréquentée.
Michel Alencon- Blablateur/teuse
- Age : 79
Localisation : Nanterre
Date d'inscription : 21/09/2008
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
vu ces épisodes ce soir ça a l'air plutôt sympa et bien filmé. Les scènes d'actions semble tops dans leur ensemble... Mais pour une idée précise ilfaudrait que je suive tout et ds la continuité.
séribibi- Roi (Reine)
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Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
L'érosion de l'audience a traversé l'Atlantique!
La part d'audience a atteint 6,3%. France 4 devançait alors Canal+, Arte, W9 ou encore TMC dont la série Terminator : Les Chroniques de Sarah Connor s'essouffle au fil des semaines.
Source : OZAP.com
La part d'audience a atteint 6,3%. France 4 devançait alors Canal+, Arte, W9 ou encore TMC dont la série Terminator : Les Chroniques de Sarah Connor s'essouffle au fil des semaines.
Source : OZAP.com
Invité- Invité
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Au bout de 6 épisodes la série s'est en effet arrêtée d'introduire de nouveaux personnages et concepts pour au contraire approfondir ceux déjà insérés. Cela évite le trop plein contre-productif et permet de gegner en profondeur (notamment concernant Connor). Ce qui relativise l'impression de routine ressentie c'esty aussi que la seconde partie de la soirée est en fait la rediffusion du premier épisode (la saison est achevée). Je le précise car cela ne semble pas aussi évident que l'on pourrait le croire au premier abord.
Pour l'audience cela prouve que les Français aussi voulaient de la baston et rien d'autre, ce n'est pas une surprise.
Pour l'audience cela prouve que les Français aussi voulaient de la baston et rien d'autre, ce n'est pas une surprise.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
D'autant moins évident que j'ai dit auparavant qu'il y avait tellement d'invraisemblances dans le scénario que cela n'en faisait guère qu'une de plus.Estuaire44 a écrit:.../... La seconde partie de la soirée est en fait la rediffusion du premier épisode (la saison est achevée). Je le précise car cela ne semble pas aussi évident.../...
J'ai donc simplement tiqué lorsque le méchant se présente devant Connor sous son nom qu'on lui connait dans d'autres épisodes et que John, non seulement ne reconnaît pas, mais lui fait un large sourire. Et si j'ai à peine tiqué aussi pour la scène de l'autoroute, c'est uniquement en me disant que c'était peu discret comme moyen de transport.
Dernière édition par Michel Alencon le Dim 15 Mar 2009 - 16:56, édité 4 fois (Raison : rajout :ola: et quelques typos)
Michel Alencon- Blablateur/teuse
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Date d'inscription : 21/09/2008
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
je nevois pas très bien, aurais-tu un exemple de ces invraissemblances?
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Je suis peut-être trop exigeant Estuaire en matière de paradoxe temporel mais la loi du genre voudrait qu'une action faite dans le passé entraîne une modification du futur. Sinon, je te remercie de m'avoir fait saliver et découvrir l'actrice qui joue le rôle de Cameron : même si je m'abstiendrai pour les saisons deux et trois, la saison une témoigne un peu comme pour doctor Who qu'il demeure un zeste de créativité au milieu de l'océan d'indigence des séries de ce siècle.
Michel Alencon- Blablateur/teuse
- Age : 79
Localisation : Nanterre
Date d'inscription : 21/09/2008
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
En fait ce sont deux futurs potentiels qui s'affrontent, pour devenir le seul et unique. Pour l'instant le Destin suspend son souffle... Réponse... au cinéma!
On va croiser très fort les doigts pour la saison 3, cela se profile de moins en moins à l'horizon...
On va croiser très fort les doigts pour la saison 3, cela se profile de moins en moins à l'horizon...
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
C'est maintenant Bob Patrick qui pourrait faire son retour dans la fin de la série cinéma! Bonne nouvelle, mais son retour avait été pareillement annoncé pour la série télé et ne s'est finalement pas produit. Wait and see, en croisant les doigts!
http://www.unificationfrance.com/spip.php?article6370
http://www.unificationfrance.com/spip.php?article6370
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Dossier sur la série dans le dernier Arrêt sur séries :
Et tiens qu'est-ce que je vois en bas à droite!
Et tiens qu'est-ce que je vois en bas à droite!
Invité- Invité
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Excellente nouvelle : Lena Headey vient d'être recrutée pour la très attendue adaptation du Trône de Fer par HBO, pour interpréter la reine Cerseï Lannister. Petit tour de passe passe en perspective, ceux qui ont eu la chance de lire le chef d'oeuvre foisonnant de Martin savent que la diabolique Cerseï arbore l'éclatante blondeur de la Maison Lannister!
http://www.actucine.com/news-series/lena-headey-reine-du-trone-de-fer-14333.html
Peut-être un film pour conclure l'excellente TSCC mais rien n'est certain...
http://www.dvdrama.com/news-35582-sarah-connor-aura-t-elle-droit-a-un-film-.php
http://www.actucine.com/news-series/lena-headey-reine-du-trone-de-fer-14333.html
Peut-être un film pour conclure l'excellente TSCC mais rien n'est certain...
http://www.dvdrama.com/news-35582-sarah-connor-aura-t-elle-droit-a-un-film-.php
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
j'avais effectivement pas capté me disant que c'était juste une invraisemblance de plus maisEstuaire44 a écrit:la seconde partie de la soirée était en fait la rediffusion du premier épisode (la saison est achevée). Je le précise car cela ne semble pas aussi évident que l'on pourrait le croire au premier abord.
http://msn.toutelatele.com/article.php3?id_article=19974
heureusement que je vais avoir ma séance de rattrapage
Michel Alencon- Blablateur/teuse
- Age : 79
Localisation : Nanterre
Date d'inscription : 21/09/2008
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Je viens (enfin !) de regarder Terminator Renaissance. Malgré un budget visiblement réduit et par conséquent un recours trop systématique aux images générées par ordinateur (un comble !), j’en suis ressorti avec une opinion très positive. Les scènes d’action sont parfaitement spectaculaires, et la vision du monde post-apo selon Skynet est bien glaçante comme on l’aime, malgré quelques clichés. Bien entendu le scénario n’est pas d’une complexité ultra cérébrale mais il se montre astucieux dans la révélation progressive de la conspiration et la cohérence maintenue de cet univers déjà en place depuis 1984 (très joli clin d’œil à Sarah Connor, séquence nostalgie). Quelques réserves : le film a beaucoup de mal à se remettre de l’absence de Gobernator, il tente d’ailleurs d’y pallier avec des images de synthèse mais avec un succès limité. Il ne développe pas non plus de duel haletant avec un ennemi surpuissant, comme cela a été le cas jusqu’ici mais évite en cela astucieusement des comparaisons difficiles à soutenir. Et puis Helena Bonham Carter est très amusante en IA démoniaque, sorte de Bellatrix cybernétique.
Surtout le film réussit pleinement sur l’essentiel, là où on l’attendait au tournant, la révélation tant espérée de John Connor en chef charismatique, quasi christique, d’une humanité luttant au bord du gouffre. Christian Bale (qui tenait déjà un rôle équivalent dans Le Règne du feu) lui apporte une présence nécessaire et confirme qu’il est vraiment un acteur exceptionnel. Ce fabuleux casting assure à lui seul la réussite du film. L’intrigue place astucieusement Connor aux prises avec un état major mondial hostile (magnifique cabotinage de l’immense Michael Ironside), son triomphe final marquant avec éclat sin accession au rang de Leader Maximo. Le film boucle joliment les questions en suspens dans les films, tout en restant finalement cohérent avec la série (dommage que Summer n’ait pas été du voyage, idem pour Bob Patrick). Si le film ne présente pas l’impact inouï qu’avaient connu les deux premiers opus en leur temps (IMF), il permet à la saga de se poursuivre en se renouvelant mais en conservant intacte sa crédibilité. Une excellente surprise, donc, d’autant que j’étais passablement sceptique au départ. De quoi attendre avec sérénité les tambours de guerre de Terminator 5, l’année prochaine. Chaque jour qui passe rapproche John Connor de Skynet…
Surtout le film réussit pleinement sur l’essentiel, là où on l’attendait au tournant, la révélation tant espérée de John Connor en chef charismatique, quasi christique, d’une humanité luttant au bord du gouffre. Christian Bale (qui tenait déjà un rôle équivalent dans Le Règne du feu) lui apporte une présence nécessaire et confirme qu’il est vraiment un acteur exceptionnel. Ce fabuleux casting assure à lui seul la réussite du film. L’intrigue place astucieusement Connor aux prises avec un état major mondial hostile (magnifique cabotinage de l’immense Michael Ironside), son triomphe final marquant avec éclat sin accession au rang de Leader Maximo. Le film boucle joliment les questions en suspens dans les films, tout en restant finalement cohérent avec la série (dommage que Summer n’ait pas été du voyage, idem pour Bob Patrick). Si le film ne présente pas l’impact inouï qu’avaient connu les deux premiers opus en leur temps (IMF), il permet à la saga de se poursuivre en se renouvelant mais en conservant intacte sa crédibilité. Une excellente surprise, donc, d’autant que j’étais passablement sceptique au départ. De quoi attendre avec sérénité les tambours de guerre de Terminator 5, l’année prochaine. Chaque jour qui passe rapproche John Connor de Skynet…
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Justement, le DVD de la saison 1 est sortie. inutile de préciser qu'il est sur ma liste. Dommage tout de même de n'avoir pas sorti les deux courtes saisons en un seul coffret. Traire la vache...
http://www.serieslive.com/article/670/test-dvd-terminator-les-chroniques-de-sarah-connor-saison-1/
http://www.serieslive.com/article/670/test-dvd-terminator-les-chroniques-de-sarah-connor-saison-1/
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Fort heureusement un repreneur se présente pour la franchise Terminator. L'exploitation de celle-ci avait été compromise par l'échec relatif de Terminator Renaissance. Difficile de faire sans Arnold...
http://latimesblogs.latimes.com/entertainmentnewsbuzz/2010/01/lions-gates-15-millionplus-offer-for-terminator-now-the-bid-to-beat.html
http://latimesblogs.latimes.com/entertainmentnewsbuzz/2010/01/lions-gates-15-millionplus-offer-for-terminator-now-the-bid-to-beat.html
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
J'ai tenté de regarder le dernier Terminator. Après 20 minutes j'ai arrêté. Ces films post-apocalyptiques avec des robots me dépriment et il faut le talent de Cameron et la dégaine de Schwarzy pour m'emmener dans des délires pareils. Là, c'est le vide abyssal avec en plus Christian Bale, l'acteur le plus surestimé du moment.
Invité- Invité
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
La franchise a enfin trouvé un repreneur, de quoi maintenir l'espoir d'un nouveau film. Skynet n'allait pas s'en sortir aussi facilement.
http://www.unificationfrance.com/spip.php?article9188
http://www.unificationfrance.com/spip.php?article9188
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Ishtyar et moi-même sommes en plein Terminator/Chroniques de Sarah Connor : on se régale (ne téléphonez pas à ce moment-là : on décroche même pas !).
Le visionnage par hasard du 4e film sur Canal+ en novembre m'avait agréablement surprise, j'ai donc commandé le coffret avec les quatre films. Il faut vous dire que, bien que connaissant de nom (quand même !), je n'en avais vu aucun !
Nous avons regardé les trois premiers dernièrement (Ha ! Schwarzou, le seul, l'unique !).
Si les effets spéciaux du 1er font parfois sourire, ceux du 2e (houla, le robot en métal liquide : quand il est caché dans le sol et se redresse lentement... brrr !) sont déjà plus évolués. Et Arnold qui change de camp, et le gamin qui se prend d'affection pour lui, et... les superbes combats !
Donc, nous avons apprécié, et alors Ishtyar me dit : "Jai déjà vu Les Chroniques de SC, mais je veux bien les revoir..."
Nous venons d'achever la 1re saison : bien sûr il n'y a plus l'effet de surprise des premiers films, Schwarzou nous manque, le budget ne permet sûrement pas les effets spéciaux, mais on se laisse vite prendre par la volonté sans faille de Sarah, par l'impétuosité de John, par le ton bourru de tonton, et par le joli minois de la petite robote (petite, mais costaude !).
De bonnes idées de scénarios (le Turc par exemple, l'agent du FBI persévérant, le psy devenu fou...), on finit par se faire à la présence de tonton...
Skynet reste le fil conducteur, ainsi que le projet d'élimination de John par des robots qui, à défaut de posséder la musculature impressionnante de Monsieur Univers, sont de plus en plus "intelligents". Mais maman Sarah veille sur son fiston !
Cette série me semble un bel hommage aux films, avec les moyens limités du bord, et de belles doses d'enthousiasme !
Le visionnage par hasard du 4e film sur Canal+ en novembre m'avait agréablement surprise, j'ai donc commandé le coffret avec les quatre films. Il faut vous dire que, bien que connaissant de nom (quand même !), je n'en avais vu aucun !
Nous avons regardé les trois premiers dernièrement (Ha ! Schwarzou, le seul, l'unique !).
Si les effets spéciaux du 1er font parfois sourire, ceux du 2e (houla, le robot en métal liquide : quand il est caché dans le sol et se redresse lentement... brrr !) sont déjà plus évolués. Et Arnold qui change de camp, et le gamin qui se prend d'affection pour lui, et... les superbes combats !
Donc, nous avons apprécié, et alors Ishtyar me dit : "Jai déjà vu Les Chroniques de SC, mais je veux bien les revoir..."
Nous venons d'achever la 1re saison : bien sûr il n'y a plus l'effet de surprise des premiers films, Schwarzou nous manque, le budget ne permet sûrement pas les effets spéciaux, mais on se laisse vite prendre par la volonté sans faille de Sarah, par l'impétuosité de John, par le ton bourru de tonton, et par le joli minois de la petite robote (petite, mais costaude !).
De bonnes idées de scénarios (le Turc par exemple, l'agent du FBI persévérant, le psy devenu fou...), on finit par se faire à la présence de tonton...
Skynet reste le fil conducteur, ainsi que le projet d'élimination de John par des robots qui, à défaut de posséder la musculature impressionnante de Monsieur Univers, sont de plus en plus "intelligents". Mais maman Sarah veille sur son fiston !
Cette série me semble un bel hommage aux films, avec les moyens limités du bord, et de belles doses d'enthousiasme !
klokloh- Marquis(e)
- Age : 67
Localisation : Savigny sur Orge (91)
Date d'inscription : 04/02/2009
Re: Série "Terminator" - Les Chroniques de Sarah Connor
Puisqu'il n'y aura pas de saison 3. Quelqu'un pour chroniquer cette brève série ?
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
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