Série "Once Upon a Time"
+6
seb69250
séribibi
Dearesttara
TorriGilly
Estuaire44
mrs.peel6568
10 participants
CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
Page 9 sur 12
Page 9 sur 12 • 1, 2, 3 ... 8, 9, 10, 11, 12
Re: Série "Once Upon a Time"
16/23 : Jamais sans ma fille (Our Decay) ***
Scénario : Tze Chun et Dana Horgan
Réalisation : Steve Pearlman
Résumé
Tombée aux Enfers par accident, Zéléna retrouve Hadès qu’elle avait rencontré en Oz bien longtemps auparavant.
Critique
Pour son retour, Rebecca Mader ne se rate pas et hérite d’un épisode dont elle est le centre. Cependant, si l’actrice est toujours épatante dans le segment ozien, elle est moins convaincante en mère, plus mièvre en fait dans le segment infernal. En outre, les décors d’Oz sont hideux, grotesques ou banals.
Aux Enfers, Hadès a obligé Rumpelstilskin a lui ouvrir une porte vers…Storybrooke « évidemment » mais, au lieu d’une personne comme attendue, ce sont trois qui tombent : outre Zéléna, Belle (les retrouvailles avec Rumpelstilskin sont marquées par toutes une gamme d’émotions : joie, consternation, colère, dégoût, sincérité) et la fille de Robin des Bois qui n’a pas encore de nom. Un bébé innocent mais qui peut devenir un ingrédient d’une redoutable potion magique. La précarité de son statut donne du piquant aux scènes où l’enfant apparaît. Enfant venu ou enfant à venir, comme celui de Belle. Ces deux situations posent une question lancinante : qu’est-on prêt à faire pour ses enfants ? Le thème central de Once upon a time, c’est la famille. Celle que l’on a et celle que l’on se crée.
Le second pilier de l’épisode, c’est la vengeance et, dans l’incarnation de ce sentiment, Rebecca Mader est brillante. Vengeance contre Dorothy à qui Teri Reeves prête une mine décidée mais revêche et aucun charme. Elle perpétue cette « tradition » idiote du héros qui affronte un magicien avec une arme ordinaire. C’est toujours aussi inefficace mais ça doit donner un genre. La vengeance est aussi au menu d’Hadès et la nouveauté introduite par cet opus, c’est la romance entre la Méchante Sorcière de l’Ouest et le souverain des Enfers. Greg Germann est absolument divin et plus convaincant que sa partenaire. Mais peut-il y avoir amour véritable entre deux êtres qui ne conçoivent pas d’autres relations sociales que la manipulation et le pouvoir ? Deux solitudes égoïstes et fières.
Petit bonus inutile mais plaisant : la sorcière aveugle, à qui Emma Caulfield prête toujours une mine extatique comme si elle était perpétuellement sous produits, révèle aux Charmant comment hanter les vivants. C’est très original et tellement évident qu’on en sourit largement !
Anecdotes :
Dans la série, Hadès accuse Zeus de l’avoir condamné à vivre aux Enfers. Liberté artistique car, dans la mythologie, c’est un choix.
Emma Caulfield/La sorcière aveugle : actrice américaine, née Emma Chukker, elle tourne principalement pour la télévision : Beverly Hills (1995-1996), Les Dessous de Palm Beach (1995-1997), Monk (2004), Gigantic (2010-2011), Supergirl (2016). Son rôle le plus célèbre reste celui d’Anya dans Buffy contre les vampires (1998-2003). Prévue pour quelques épisodes, elle fut tellement convaincante que Josh Whedon décida d’en faire un des personnages principaux. Récurrente en saison 5, elle était déjà apparue dans Once upon a time (1-9).
Scénario : Tze Chun et Dana Horgan
Réalisation : Steve Pearlman
Résumé
Tombée aux Enfers par accident, Zéléna retrouve Hadès qu’elle avait rencontré en Oz bien longtemps auparavant.
Critique
Pour son retour, Rebecca Mader ne se rate pas et hérite d’un épisode dont elle est le centre. Cependant, si l’actrice est toujours épatante dans le segment ozien, elle est moins convaincante en mère, plus mièvre en fait dans le segment infernal. En outre, les décors d’Oz sont hideux, grotesques ou banals.
Aux Enfers, Hadès a obligé Rumpelstilskin a lui ouvrir une porte vers…Storybrooke « évidemment » mais, au lieu d’une personne comme attendue, ce sont trois qui tombent : outre Zéléna, Belle (les retrouvailles avec Rumpelstilskin sont marquées par toutes une gamme d’émotions : joie, consternation, colère, dégoût, sincérité) et la fille de Robin des Bois qui n’a pas encore de nom. Un bébé innocent mais qui peut devenir un ingrédient d’une redoutable potion magique. La précarité de son statut donne du piquant aux scènes où l’enfant apparaît. Enfant venu ou enfant à venir, comme celui de Belle. Ces deux situations posent une question lancinante : qu’est-on prêt à faire pour ses enfants ? Le thème central de Once upon a time, c’est la famille. Celle que l’on a et celle que l’on se crée.
Le second pilier de l’épisode, c’est la vengeance et, dans l’incarnation de ce sentiment, Rebecca Mader est brillante. Vengeance contre Dorothy à qui Teri Reeves prête une mine décidée mais revêche et aucun charme. Elle perpétue cette « tradition » idiote du héros qui affronte un magicien avec une arme ordinaire. C’est toujours aussi inefficace mais ça doit donner un genre. La vengeance est aussi au menu d’Hadès et la nouveauté introduite par cet opus, c’est la romance entre la Méchante Sorcière de l’Ouest et le souverain des Enfers. Greg Germann est absolument divin et plus convaincant que sa partenaire. Mais peut-il y avoir amour véritable entre deux êtres qui ne conçoivent pas d’autres relations sociales que la manipulation et le pouvoir ? Deux solitudes égoïstes et fières.
Petit bonus inutile mais plaisant : la sorcière aveugle, à qui Emma Caulfield prête toujours une mine extatique comme si elle était perpétuellement sous produits, révèle aux Charmant comment hanter les vivants. C’est très original et tellement évident qu’on en sourit largement !
Anecdotes :
Dans la série, Hadès accuse Zeus de l’avoir condamné à vivre aux Enfers. Liberté artistique car, dans la mythologie, c’est un choix.
Emma Caulfield/La sorcière aveugle : actrice américaine, née Emma Chukker, elle tourne principalement pour la télévision : Beverly Hills (1995-1996), Les Dessous de Palm Beach (1995-1997), Monk (2004), Gigantic (2010-2011), Supergirl (2016). Son rôle le plus célèbre reste celui d’Anya dans Buffy contre les vampires (1998-2003). Prévue pour quelques épisodes, elle fut tellement convaincante que Josh Whedon décida d’en faire un des personnages principaux. Récurrente en saison 5, elle était déjà apparue dans Once upon a time (1-9).
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
17/23 : La Rivière des âmes perdues (Her Handsome Hero) *
Scénario : Jérôme Schwartz
Réalisation : Romeo Tirone
Résumé
Dans le passé, Belle fait la rencontre d’un séduisant jeune homme nommé Gaston. Elle retrouve celui-ci aux Enfers.
Critique
Voici l’exemple-type de l’épisode catalogue qui sert à remplir le quota demandé par le diffuseur. Ce passage dans le passé de Belle, situé avant qu’elle ne rencontre Rumpelstilskin (1-19) n’a strictement aucun intérêt car il ne développe rien que nous ne sachions déjà.
Tout le passage dans le passé de Belle nous montre une jeune fille idéaliste mais nullement naïve et déjà dotée d’un certain tempérament. Le jeu d’Émilie de Ravin est très juste et elle est l’atout majeur de cet épisode. Mais tout cela n’apporte rien et les scènes où elles reprochent à Rumpelstilskin d’user de la magie noire et où elle le supplie de vouloir faire le bien font clairement redites avec d’autres précédemment vues. De même, Wes Brown dans le rôle de Gaston est très correct mais que nous montre t-il d’autre que ce à quoi nous pouvions nous attendre d’un scénario qui pastiche dans le segment du passé les romans de chevalerie ? La morale serait-elle que d’un mal peut sortir un bien ? C’est un peu court tout de même. Les personnages marchent beaucoup ou font du cheval mais le réalisateur peine à emballer un récit bavard et insipide.
Et les autres héros ? Ils se cachent d’un « monstre » invisible (on ne le découvre qu’à la toute fin) à cause d’un rêve d’Emma ! C’est consternant de simplisme et totalement en contradiction avec les caractères des personnages ! Un moment ferait presque office d’aveu freudien de la part du scénariste. Quand la Reine trouve Emma, Crochet et Blanche-Neige dans son caveau et qu’elle apprend pourquoi ils s’y trouvent (sans que l’on sache bien ce qu’elle vient y faire elle-même exactement), elle laisse tomber un « Et vous vous cachez ? » incrédule ! Josh Dallas et Jared S. Gilmore n’ont qu’une scène et rien à dire. Quant à Zéléna, elle est mise sur la touche et ressasse son amertume (énième scène de discussion entre sœurs) devenant lassante, un comble pour la plus grande sorcière qui soit !
Anecdotes :
Wes Brown/Gaston : acteur américain né James Wesley Brown, il tourne surtout pour la télévision : Beach Girls (2005), Les Experts : Miami (2007), True Blood (2009), Trauma (2009-2010), Private Practice (2011), Hart of Dixie (2011-2012), 90210 Beverly Hills - Nouvelle génération (2012), NCIS : Nouvelle-Orléans (2014)
Absence de Sean Maguire
Scénario : Jérôme Schwartz
Réalisation : Romeo Tirone
Résumé
Dans le passé, Belle fait la rencontre d’un séduisant jeune homme nommé Gaston. Elle retrouve celui-ci aux Enfers.
Critique
Voici l’exemple-type de l’épisode catalogue qui sert à remplir le quota demandé par le diffuseur. Ce passage dans le passé de Belle, situé avant qu’elle ne rencontre Rumpelstilskin (1-19) n’a strictement aucun intérêt car il ne développe rien que nous ne sachions déjà.
Tout le passage dans le passé de Belle nous montre une jeune fille idéaliste mais nullement naïve et déjà dotée d’un certain tempérament. Le jeu d’Émilie de Ravin est très juste et elle est l’atout majeur de cet épisode. Mais tout cela n’apporte rien et les scènes où elles reprochent à Rumpelstilskin d’user de la magie noire et où elle le supplie de vouloir faire le bien font clairement redites avec d’autres précédemment vues. De même, Wes Brown dans le rôle de Gaston est très correct mais que nous montre t-il d’autre que ce à quoi nous pouvions nous attendre d’un scénario qui pastiche dans le segment du passé les romans de chevalerie ? La morale serait-elle que d’un mal peut sortir un bien ? C’est un peu court tout de même. Les personnages marchent beaucoup ou font du cheval mais le réalisateur peine à emballer un récit bavard et insipide.
Et les autres héros ? Ils se cachent d’un « monstre » invisible (on ne le découvre qu’à la toute fin) à cause d’un rêve d’Emma ! C’est consternant de simplisme et totalement en contradiction avec les caractères des personnages ! Un moment ferait presque office d’aveu freudien de la part du scénariste. Quand la Reine trouve Emma, Crochet et Blanche-Neige dans son caveau et qu’elle apprend pourquoi ils s’y trouvent (sans que l’on sache bien ce qu’elle vient y faire elle-même exactement), elle laisse tomber un « Et vous vous cachez ? » incrédule ! Josh Dallas et Jared S. Gilmore n’ont qu’une scène et rien à dire. Quant à Zéléna, elle est mise sur la touche et ressasse son amertume (énième scène de discussion entre sœurs) devenant lassante, un comble pour la plus grande sorcière qui soit !
Anecdotes :
Wes Brown/Gaston : acteur américain né James Wesley Brown, il tourne surtout pour la télévision : Beach Girls (2005), Les Experts : Miami (2007), True Blood (2009), Trauma (2009-2010), Private Practice (2011), Hart of Dixie (2011-2012), 90210 Beverly Hills - Nouvelle génération (2012), NCIS : Nouvelle-Orléans (2014)
Absence de Sean Maguire
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
18/23 : Le baiser d’amour véritable (Ruby slippers) *
Scénario : Bill Wolkoff et Andrew Chambliss
Réalisation : Eriq LaSalle
Résumé
Dans le passé, Scarlett arrive au pays d’Oz et y rencontre Dorothy. Dans le présent, elle est aux Enfers pour chercher Zéléna.
Critique
Un épisode très prévisible, inutile et bavard. Trop peu d’émotions et tellement peu d’action. On s’y ennuie ferme.
Tout le segment aux Enfers tourne en rond car on sait d’évidence qu’il ne s’y passera rien. On reste étonné par la facilité avec laquelle Scarlett y est arrivée, en vie naturellement. Elle veut retrouver Zéléna qu’elle juge responsable de la disparition de son amie Dorothy. Ce que la sorcière avouera dans une des rares scènes où Rebecca Mader, clairement mise en retrait, retrouve le fiel joyeux de son personnage. C’est la partie la plus bavarde et même le montage n’arrive pas à dynamiser l’épisode en alternant passé/présent. Le procédé est connu certes, mais surtout il n’y a rien à raconter.
Tout ce qui important se déroule en Oz avec la rencontre de Mulan (qui passe son temps à sortir et rentrer son épée du fourreau comme d’autre jouait avec leurs lunettes de soleil), Scarlett et Dorothy. Entre elles deux, il s’installe immédiatement une tension que Meghan Ory restitue beaucoup mieux que Teri Reeves trop peu expressive. Le peu d’émotion que recèle l’épisode, c’est le loup-garou qui le donne. Jamie Chung n’est venue que pour que Mulan serve à convaincre Scarlett de ce que ressent celle-ci pour la fille du Kansas. C’est mignon mais c’est tellement prévisible qu’on a vu le coup venir d’aussi loin qu’une moissonneuse-batteuse dans un champ de blé dudit Kansas. En outre, le scénario manque cruellement d’imagination avec le discours sur la « différence ». Il y a quelques années, c’eut peut-être suffi mais, depuis Buffy, ce n’est plus le cas. Plus gênant, c’est la gratuité de tout cela. Dans la trame générale, les amours de Scarlett ne pèsent rien et l’épisode ne sert à rien. On a donc davantage l’impression que les producteurs ont voulu jouer avec l’homosexualité - ça fait « moderne » - plutôt que de l’intégrer dans la narration. Impression renforcée par le choix du personnage. Scarlett est un personnage secondaire dont le choix du cœur ne change pas l’histoire. C’eut été bien autre chose que de faire des « deux mères » de Henry, Emma et Regina, des amantes !
Nous sommes dans un conte de fées donc la fin est connue elle aussi.
Anecdotes :
Se piquer le doigt pour dormir renvoie au conte de La belle au bois dormant.
Le whisky que boit Zéléna est de marque « Moloch » soit la divinité infernale des Babyloniens qui sacrifiaient des enfants en les jetant dans la gueule enflammée d’une idole géante selon le livre du Lévitique.
Dans une scène censée se dérouler dans le passé à Oz, Zéléna n’est pas de couleur verte alors qu’elle l’a toujours été.
Teri Reeves/Dorothy : actrice américaine, vue à la télévision dans Chicago Fire (2012-2013), Castle (2013), Grey’s Anatomy (2014)
Absence de Sean Maguire
Scénario : Bill Wolkoff et Andrew Chambliss
Réalisation : Eriq LaSalle
Résumé
Dans le passé, Scarlett arrive au pays d’Oz et y rencontre Dorothy. Dans le présent, elle est aux Enfers pour chercher Zéléna.
Critique
Un épisode très prévisible, inutile et bavard. Trop peu d’émotions et tellement peu d’action. On s’y ennuie ferme.
Tout le segment aux Enfers tourne en rond car on sait d’évidence qu’il ne s’y passera rien. On reste étonné par la facilité avec laquelle Scarlett y est arrivée, en vie naturellement. Elle veut retrouver Zéléna qu’elle juge responsable de la disparition de son amie Dorothy. Ce que la sorcière avouera dans une des rares scènes où Rebecca Mader, clairement mise en retrait, retrouve le fiel joyeux de son personnage. C’est la partie la plus bavarde et même le montage n’arrive pas à dynamiser l’épisode en alternant passé/présent. Le procédé est connu certes, mais surtout il n’y a rien à raconter.
Tout ce qui important se déroule en Oz avec la rencontre de Mulan (qui passe son temps à sortir et rentrer son épée du fourreau comme d’autre jouait avec leurs lunettes de soleil), Scarlett et Dorothy. Entre elles deux, il s’installe immédiatement une tension que Meghan Ory restitue beaucoup mieux que Teri Reeves trop peu expressive. Le peu d’émotion que recèle l’épisode, c’est le loup-garou qui le donne. Jamie Chung n’est venue que pour que Mulan serve à convaincre Scarlett de ce que ressent celle-ci pour la fille du Kansas. C’est mignon mais c’est tellement prévisible qu’on a vu le coup venir d’aussi loin qu’une moissonneuse-batteuse dans un champ de blé dudit Kansas. En outre, le scénario manque cruellement d’imagination avec le discours sur la « différence ». Il y a quelques années, c’eut peut-être suffi mais, depuis Buffy, ce n’est plus le cas. Plus gênant, c’est la gratuité de tout cela. Dans la trame générale, les amours de Scarlett ne pèsent rien et l’épisode ne sert à rien. On a donc davantage l’impression que les producteurs ont voulu jouer avec l’homosexualité - ça fait « moderne » - plutôt que de l’intégrer dans la narration. Impression renforcée par le choix du personnage. Scarlett est un personnage secondaire dont le choix du cœur ne change pas l’histoire. C’eut été bien autre chose que de faire des « deux mères » de Henry, Emma et Regina, des amantes !
Nous sommes dans un conte de fées donc la fin est connue elle aussi.
Anecdotes :
Se piquer le doigt pour dormir renvoie au conte de La belle au bois dormant.
Le whisky que boit Zéléna est de marque « Moloch » soit la divinité infernale des Babyloniens qui sacrifiaient des enfants en les jetant dans la gueule enflammée d’une idole géante selon le livre du Lévitique.
Dans une scène censée se dérouler dans le passé à Oz, Zéléna n’est pas de couleur verte alors qu’elle l’a toujours été.
Teri Reeves/Dorothy : actrice américaine, vue à la télévision dans Chicago Fire (2012-2013), Castle (2013), Grey’s Anatomy (2014)
Absence de Sean Maguire
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
19/23 : Le temps des adieux (Sisters) ***
Scénario : Brigitte Hales et David H. Goodman
Réalisation : Romeo Tirone
Résumé
Pour tenter de faire changer d’avis Zéléna, Regina demande l’aide de Cora.
Critique
La série retrouve sa base : la famille et celle formée par Cora et ses filles est la plus dysfonctionnelle, partant la plus intéressante car c’est celle qui a le plus évoluée. Mais ce n’est pas la seule famille à régler ses problèmes. Charmant retrouve également James et le contentieux est lourd.
Le passage dans le passé n’a pas beaucoup d’intérêt mais il montre les bases du déséquilibre qui marque la famille de Cora. Barbara Hershey fait un festival à elle seule tantôt cruelle tantôt amicale ; la manipulation et l’ambition élevées bien haut. Mais l’actrice parvient à rendre réelle et visuelle la révolution copernicienne opérée par la Sorcière devenue mère aimante désireuse de réconcilier ses filles. Du coup, Rebecca Mader et Lana Parilla doivent montrer leurs meilleurs atours et elles y parviennent très bien. Enfin, on donne du réel temps de jeu à Rebecca Mader et quelque chose de concret à défendre. La Méchante Sorcière de l’Ouest a toujours été rongée par l’envie et la colère, incapable de se sortir du cercle pervers dans lequel elle s’est elle-même enfermée, incapable d’évoluer comme Regina car la peur l’a toujours dominée. Tous ces tourments et ces espoirs, mais aussi la colère (car on sait se méfier chez les filles de la famille !) sont très bien exposés. Lana Parrilla a moins de choses à défendre mais elle restitue bien l’affection que Regina éprouve tout de même pour sa demi-sœur.
A côté de ces passages magistraux, ceux avec les manigances de feu le prince James acoquiné avec Cruella passent pour de la roupie de sansonnet. Heureusement, Josh Dallas ne rate pas l’occasion de jouer contre lui-même ! Lui aussi a parfois manqué de temps de jeu alors l’acteur s’éclate et se fait plaisir ! Romeo Tirone est un des bons réalisateurs et il donne une vraie dynamique et donc une réelle crédibilité au combat mortel entre James et Charmant. Enfin, le final de l’épisode marque le retour dans le jeu du Ténébreux.
Anecdotes :
Cet épisode est dédié à la mémoire de Scott Nimerfro, décédé en 2016. Scénariste et producteur, Scott Nimerfro (1961-2016), a travaillé sur Pushing Daisies, Ringer, Hannibal. Il succombe à une longue maladie.
Scénario : Brigitte Hales et David H. Goodman
Réalisation : Romeo Tirone
Résumé
Pour tenter de faire changer d’avis Zéléna, Regina demande l’aide de Cora.
Critique
La série retrouve sa base : la famille et celle formée par Cora et ses filles est la plus dysfonctionnelle, partant la plus intéressante car c’est celle qui a le plus évoluée. Mais ce n’est pas la seule famille à régler ses problèmes. Charmant retrouve également James et le contentieux est lourd.
Le passage dans le passé n’a pas beaucoup d’intérêt mais il montre les bases du déséquilibre qui marque la famille de Cora. Barbara Hershey fait un festival à elle seule tantôt cruelle tantôt amicale ; la manipulation et l’ambition élevées bien haut. Mais l’actrice parvient à rendre réelle et visuelle la révolution copernicienne opérée par la Sorcière devenue mère aimante désireuse de réconcilier ses filles. Du coup, Rebecca Mader et Lana Parilla doivent montrer leurs meilleurs atours et elles y parviennent très bien. Enfin, on donne du réel temps de jeu à Rebecca Mader et quelque chose de concret à défendre. La Méchante Sorcière de l’Ouest a toujours été rongée par l’envie et la colère, incapable de se sortir du cercle pervers dans lequel elle s’est elle-même enfermée, incapable d’évoluer comme Regina car la peur l’a toujours dominée. Tous ces tourments et ces espoirs, mais aussi la colère (car on sait se méfier chez les filles de la famille !) sont très bien exposés. Lana Parrilla a moins de choses à défendre mais elle restitue bien l’affection que Regina éprouve tout de même pour sa demi-sœur.
A côté de ces passages magistraux, ceux avec les manigances de feu le prince James acoquiné avec Cruella passent pour de la roupie de sansonnet. Heureusement, Josh Dallas ne rate pas l’occasion de jouer contre lui-même ! Lui aussi a parfois manqué de temps de jeu alors l’acteur s’éclate et se fait plaisir ! Romeo Tirone est un des bons réalisateurs et il donne une vraie dynamique et donc une réelle crédibilité au combat mortel entre James et Charmant. Enfin, le final de l’épisode marque le retour dans le jeu du Ténébreux.
Anecdotes :
Cet épisode est dédié à la mémoire de Scott Nimerfro, décédé en 2016. Scénariste et producteur, Scott Nimerfro (1961-2016), a travaillé sur Pushing Daisies, Ringer, Hannibal. Il succombe à une longue maladie.
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
20/23 : L’Oiseau de feu (Firebird) ***
Scénario : Jane Espenson
Réalisation : Ron Underwood
Résumé
Hadès propose un marché aux héros : leur aide contre la possibilité pour eux de repartir des Enfers. Dans le passé, Emma cherche des réponses sur son abandon.
Critique
Un épisode passionnant à suivre avec des coups de théâtre et des coups fourrés comme s’il en pleuvait. Pas mal d’émotion également.
Le segment des Enfers est extrêmement riche car plusieurs acteurs jouent sur plusieurs tableaux. La part de sincérité de chacun est ainsi constamment interrogée sans compter les manipulateurs en chefs que sont certains d’entre eux. Impossible donc de prévoir le dénouement surtout quand des seconds couteaux comme Cruella et la sorcière aveugle s’invitent au bal ! Cette partie est également très dense en émotion : Emma est ainsi confrontée à deux épreuves qui questionnent son amour pour Crochet. Est-il véritable et que dois-t-on faire par amour ?
Souvent cette saison, les segments dans le passé ont servi à meubler des intrigues plutôt faibles. On pourrait le croire avec cette histoire d’Emma qui cherche à savoir ce qui lui est arrivée mais qui se fait serrer par une recouvreuse de caution, Cléo Fox. Rya Kihlstedt apporte beaucoup à ce passage, évitant tout pathos. Cléo est simplement humaine mais la cavale d’Emma fait écho à sa propre histoire. Jane Espenson est habile pour ne pas rendre évident et prévisible ce qui constituent les fondements de la personnalité d’Emma Swann. La scénariste réussit un joli coup qui apporte un sourire (elle a manqué de nous faire pleurer peu avant) avec le passage dans la boutique de Boston.
Les deux segments se rejoignent dans la même conclusion : Emma est prête à passer à l’action. Sûre d’elle-même, elle envisage l’avenir.
Anecdotes :
Hadès affirme qu’Orphée et Eurydice ont pu quitté les Enfers. C’est en partie incorrect : pour ne pas avoir respectée la condition posée par ledit Hadès, Eurydice y est restée.
L’ambroisie est, avec le nectar, la nourriture des Dieux. En grec, ambrotos signifie « immortel ». Les deux aliments assurent l’immortalité des Olympiens.
Rya Kihlstedt/Cléo Fox : actrice américaine, on l’a notamment vue dans Esprits criminels (2010), Dexter (2011), Heroes Reborn (2015)
Dans une scène du bêtisier, quand Rya Kihlstedt gifle Jennifer Morrisson, elle lui fait tomber ses lunettes.
Scénario : Jane Espenson
Réalisation : Ron Underwood
Résumé
Hadès propose un marché aux héros : leur aide contre la possibilité pour eux de repartir des Enfers. Dans le passé, Emma cherche des réponses sur son abandon.
Critique
Un épisode passionnant à suivre avec des coups de théâtre et des coups fourrés comme s’il en pleuvait. Pas mal d’émotion également.
Le segment des Enfers est extrêmement riche car plusieurs acteurs jouent sur plusieurs tableaux. La part de sincérité de chacun est ainsi constamment interrogée sans compter les manipulateurs en chefs que sont certains d’entre eux. Impossible donc de prévoir le dénouement surtout quand des seconds couteaux comme Cruella et la sorcière aveugle s’invitent au bal ! Cette partie est également très dense en émotion : Emma est ainsi confrontée à deux épreuves qui questionnent son amour pour Crochet. Est-il véritable et que dois-t-on faire par amour ?
Souvent cette saison, les segments dans le passé ont servi à meubler des intrigues plutôt faibles. On pourrait le croire avec cette histoire d’Emma qui cherche à savoir ce qui lui est arrivée mais qui se fait serrer par une recouvreuse de caution, Cléo Fox. Rya Kihlstedt apporte beaucoup à ce passage, évitant tout pathos. Cléo est simplement humaine mais la cavale d’Emma fait écho à sa propre histoire. Jane Espenson est habile pour ne pas rendre évident et prévisible ce qui constituent les fondements de la personnalité d’Emma Swann. La scénariste réussit un joli coup qui apporte un sourire (elle a manqué de nous faire pleurer peu avant) avec le passage dans la boutique de Boston.
Les deux segments se rejoignent dans la même conclusion : Emma est prête à passer à l’action. Sûre d’elle-même, elle envisage l’avenir.
Anecdotes :
Hadès affirme qu’Orphée et Eurydice ont pu quitté les Enfers. C’est en partie incorrect : pour ne pas avoir respectée la condition posée par ledit Hadès, Eurydice y est restée.
L’ambroisie est, avec le nectar, la nourriture des Dieux. En grec, ambrotos signifie « immortel ». Les deux aliments assurent l’immortalité des Olympiens.
Rya Kihlstedt/Cléo Fox : actrice américaine, on l’a notamment vue dans Esprits criminels (2010), Dexter (2011), Heroes Reborn (2015)
Dans une scène du bêtisier, quand Rya Kihlstedt gifle Jennifer Morrisson, elle lui fait tomber ses lunettes.
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
21/23 : Le cristal de l’Olympe (Last Rites) ***
Scénario : Jérôme Schwartz
Réalisation : Craig Powell
Résumé
A Storybrooke, Hadès et Zéléna se confrontent aux héros. Aux Enfers, Crochet découvre le moyen de vaincre le Dieu de la mort.
Critique
La confrontation finale entre Hadès et les héros illustre la confrontation permanente d’Éros et de Thanatos. Malgré qu’il soit un Dieu et dispose de pouvoirs formidables, ainsi que d’une arme à nulle autre pareille, Hadès sera finalement vaincu. C’est rassurant pour les hommes (il y a un petit côté « Chevaliers du Zodiaque » là-dedans ainsi que dans le décor antiquisant où se trouve Crochet à la toute fin) où on peut voir aussi une victoire du monothéisme sur le paganisme (« Le Grand Pan est mort » disait la légende). Il y a plusieurs lectures possibles évidemment, la plus simple étant celle du Bien sur le Mal. Le scénariste est bien attentif à ne pas trop centrer son propos sur cette confrontation pour ne pas la galvauder. Aussi met-il l’accent sur les sentiments des héros, sur leurs émotions (il y a une scène d’enterrement qui est vraiment très belle, sans paroles et juste une musique triste) et donne t-il du temps à Rebecca Mader pour travailler la nouvelle Zéléna que souhaiterait devenir l’ancienne Sorcière de l’Ouest et marteler son souhait le plus profond.
Éros et Thanatos toujours : c’est aux Enfers même que Crochet, aidé par Arthur, trouve le moyen de vaincre Hadès. C’est l’espoir né d’un amour véritable qui va permettre au pirate et au roi déchu de transcender la mort pour porter secours aux vivants. c’est comme une prière mais à l’envers cette fois ! Remis à l’échelle de la série, c’est parce que Crochet a foi en Emma qu’il peut l’aider. N’est-elle pas la Sauveuse ? Le passage aux Enfers permet aussi à Liam Garrigan, qui avait très mal commencé et qui a débuté l’épisode de manière pathétique, de se rattraper et de donner un peu d’ampleur à Arthur et d’en faire un roi. C’est modeste mais c’est mieux que rien.
L’histoire aurait pu en rester là mais, puisque «au fil des siècles peut mourir même la mort » (Lovecraft), il fallait un joli coup de théâtre pour conclure cet épisode.
Anecdotes :
Absence d’Émilie de Ravin.
La porte des Enfers n’est pas la même que lorsque Rumpelstilskin, Milah et Emma y étaient venus.
Réalisation : Craig Powell
Résumé
A Storybrooke, Hadès et Zéléna se confrontent aux héros. Aux Enfers, Crochet découvre le moyen de vaincre le Dieu de la mort.
Critique
La confrontation finale entre Hadès et les héros illustre la confrontation permanente d’Éros et de Thanatos. Malgré qu’il soit un Dieu et dispose de pouvoirs formidables, ainsi que d’une arme à nulle autre pareille, Hadès sera finalement vaincu. C’est rassurant pour les hommes (il y a un petit côté « Chevaliers du Zodiaque » là-dedans ainsi que dans le décor antiquisant où se trouve Crochet à la toute fin) où on peut voir aussi une victoire du monothéisme sur le paganisme (« Le Grand Pan est mort » disait la légende). Il y a plusieurs lectures possibles évidemment, la plus simple étant celle du Bien sur le Mal. Le scénariste est bien attentif à ne pas trop centrer son propos sur cette confrontation pour ne pas la galvauder. Aussi met-il l’accent sur les sentiments des héros, sur leurs émotions (il y a une scène d’enterrement qui est vraiment très belle, sans paroles et juste une musique triste) et donne t-il du temps à Rebecca Mader pour travailler la nouvelle Zéléna que souhaiterait devenir l’ancienne Sorcière de l’Ouest et marteler son souhait le plus profond.
Éros et Thanatos toujours : c’est aux Enfers même que Crochet, aidé par Arthur, trouve le moyen de vaincre Hadès. C’est l’espoir né d’un amour véritable qui va permettre au pirate et au roi déchu de transcender la mort pour porter secours aux vivants. c’est comme une prière mais à l’envers cette fois ! Remis à l’échelle de la série, c’est parce que Crochet a foi en Emma qu’il peut l’aider. N’est-elle pas la Sauveuse ? Le passage aux Enfers permet aussi à Liam Garrigan, qui avait très mal commencé et qui a débuté l’épisode de manière pathétique, de se rattraper et de donner un peu d’ampleur à Arthur et d’en faire un roi. C’est modeste mais c’est mieux que rien.
L’histoire aurait pu en rester là mais, puisque «au fil des siècles peut mourir même la mort » (Lovecraft), il fallait un joli coup de théâtre pour conclure cet épisode.
Anecdotes :
Absence d’Émilie de Ravin.
La porte des Enfers n’est pas la même que lorsque Rumpelstilskin, Milah et Emma y étaient venus.
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
22/23 : Docteur Jekyll et Mister Hyde (Only You) **
Scénario : David H. Goodman et Andrew Chambliss
Réalisation : Romeo Tirone
Résumé
Alors qu’Emma et Regina partent à la recherche d’Henry qui a quitté Storybrooke, les autres héros se retrouvent entraînés dans un monde étrange.
Critique
Cet épisode a un double objectif : lancer la saison suivante avec les projets du sinistre Directeur et occuper la fin de cette laborieuse saison avec une « minisérie » centrée sur le projet effarant et logique d’Henry.
C’est ce segment qui est le plus intéressant. Il donne du temps de jeu et des choses à dire à Jared S. Gilmore qui a souvent fait tapisserie. Quand il expose son projet à son amie Violet, Henry a une grande amertume dans la voix. Jared S. Gilmore la restitue avec force tout comme la détermination de son personnage. L’épisode se passe dans la continuité du précédent. Il y est donc question de deuil mais aussi de confiance, de souffrance. A ce titre, l’explication entre Regina et Emma est d’une grande franchise. Lana Parrilla est très douée pour faire ressentir la douleur et la culpabilité de son personnage. Jennifer Morrison est un peu en dedans sur cette scène mais c’est pas mal quand même. Cette scène se passe à New York car, à l’instar du Prisonnier, c’est hors du Village alias Storybrooke que l’action s’accomplit. Cela renouvelle un peu les décors mais ce n’est pas non plus original puisque la série s’y était déjà rendu (saison 2 ; c’est dans cette saison qu’Henry se plaint aussi des effets néfastes de la magie). Dans cette ville, le jeune garçon, tendrement accompagné de Violet, ne veut rien de moins que détruire la magie ! Un projet, déjà ancien qu’il est sur le point de concrétiser grâce à ce que les deux adolescents découvrent dans une vieille salle de la bibliothèque. L’architecture et les livres font penser à la Bibliothèque Miskatonic d’Arkham.
C’est également hors de Storybrooke que se retrouvent Blanche, Charmant, Zéléna et Crochet. Une porte, ouverte pour une bonne cause (mais l’Enfer n’est-il pas pavé de bonnes intentions ? Et, encore une fois, la série manque cruellement d’imagination puisque c’est ce qui est arrivé à Emma et Blanche-Neige au tout début de la saison 2), les entraîne soudain dans un monde étrange – dont la vision finale fait halluciner tellement c’est chargé et invraisemblable – où ils se retrouvent prisonniers d’un étrange Directeur à qui Sam Witwer confère une élégance sinistre glaçante et menaçante. Les héros recevront de l’aide du jardinier. Hank Harris qui l’incarne lui donne une allure absolument contraire au Directeur puisqu’il est terne et porte une tenue de travail. Cela pourrait être une histoire sans lendemain mais, et cela ouvre la suite, le Directeur connaît Rumpelstilskin et a un compte à régler avec lui. C’est ce qui fait le lien final de cet épisode tout de même bien confus.
Anecdotes :
L’Etrange cas du docteur Jekyll et de M. Hyde est un roman écrit par Robert Louis Stevenson en 1886. Il a été adapté au cinéma dès 1908. On compte près d’une vingtaine d’adaptations depuis lors. Il existe aussi une mini-série Jekyll (2007) de Steven Moffat.
Hank Harris/Docteur Jekyll : acteur américain, on a pu le voir dans Code Mercury (1998), Insidious (2013) mais surtout à la télévision : X-Files (2001), Castle (2011), Supernatural (2013), Twin Peaks (2017), Rizzoli & Isles (2017)
Sam Witwer/Mr Hyde : acteur américain, peu de films notables mais de nombreuses participations dans des séries télés : Urgences (2001), Angel (2003), NCIS (2004), Battlestar Galactica (2004-2005), Smallville (2008-2009), Being Human (2011-2014), Stalker (2015).
Absence d’Émilie de Ravin
Scénario : David H. Goodman et Andrew Chambliss
Réalisation : Romeo Tirone
Résumé
Alors qu’Emma et Regina partent à la recherche d’Henry qui a quitté Storybrooke, les autres héros se retrouvent entraînés dans un monde étrange.
Critique
Cet épisode a un double objectif : lancer la saison suivante avec les projets du sinistre Directeur et occuper la fin de cette laborieuse saison avec une « minisérie » centrée sur le projet effarant et logique d’Henry.
C’est ce segment qui est le plus intéressant. Il donne du temps de jeu et des choses à dire à Jared S. Gilmore qui a souvent fait tapisserie. Quand il expose son projet à son amie Violet, Henry a une grande amertume dans la voix. Jared S. Gilmore la restitue avec force tout comme la détermination de son personnage. L’épisode se passe dans la continuité du précédent. Il y est donc question de deuil mais aussi de confiance, de souffrance. A ce titre, l’explication entre Regina et Emma est d’une grande franchise. Lana Parrilla est très douée pour faire ressentir la douleur et la culpabilité de son personnage. Jennifer Morrison est un peu en dedans sur cette scène mais c’est pas mal quand même. Cette scène se passe à New York car, à l’instar du Prisonnier, c’est hors du Village alias Storybrooke que l’action s’accomplit. Cela renouvelle un peu les décors mais ce n’est pas non plus original puisque la série s’y était déjà rendu (saison 2 ; c’est dans cette saison qu’Henry se plaint aussi des effets néfastes de la magie). Dans cette ville, le jeune garçon, tendrement accompagné de Violet, ne veut rien de moins que détruire la magie ! Un projet, déjà ancien qu’il est sur le point de concrétiser grâce à ce que les deux adolescents découvrent dans une vieille salle de la bibliothèque. L’architecture et les livres font penser à la Bibliothèque Miskatonic d’Arkham.
C’est également hors de Storybrooke que se retrouvent Blanche, Charmant, Zéléna et Crochet. Une porte, ouverte pour une bonne cause (mais l’Enfer n’est-il pas pavé de bonnes intentions ? Et, encore une fois, la série manque cruellement d’imagination puisque c’est ce qui est arrivé à Emma et Blanche-Neige au tout début de la saison 2), les entraîne soudain dans un monde étrange – dont la vision finale fait halluciner tellement c’est chargé et invraisemblable – où ils se retrouvent prisonniers d’un étrange Directeur à qui Sam Witwer confère une élégance sinistre glaçante et menaçante. Les héros recevront de l’aide du jardinier. Hank Harris qui l’incarne lui donne une allure absolument contraire au Directeur puisqu’il est terne et porte une tenue de travail. Cela pourrait être une histoire sans lendemain mais, et cela ouvre la suite, le Directeur connaît Rumpelstilskin et a un compte à régler avec lui. C’est ce qui fait le lien final de cet épisode tout de même bien confus.
Anecdotes :
L’Etrange cas du docteur Jekyll et de M. Hyde est un roman écrit par Robert Louis Stevenson en 1886. Il a été adapté au cinéma dès 1908. On compte près d’une vingtaine d’adaptations depuis lors. Il existe aussi une mini-série Jekyll (2007) de Steven Moffat.
Hank Harris/Docteur Jekyll : acteur américain, on a pu le voir dans Code Mercury (1998), Insidious (2013) mais surtout à la télévision : X-Files (2001), Castle (2011), Supernatural (2013), Twin Peaks (2017), Rizzoli & Isles (2017)
Sam Witwer/Mr Hyde : acteur américain, peu de films notables mais de nombreuses participations dans des séries télés : Urgences (2001), Angel (2003), NCIS (2004), Battlestar Galactica (2004-2005), Smallville (2008-2009), Being Human (2011-2014), Stalker (2015).
Absence d’Émilie de Ravin
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
23/23 : Des histoires secrètes (An Untold story) ***
Scénario : Edward Kitsis et Adam Horowitz
Réalisation : Dean White
Résumé
Pour sauver les héros perdus au « royaume des histoires secrètes », Henry doit faire le choix de croire en la magie.
Critique
Suite et fin de l’arc « Henry contre la magie » et les auteurs vont même plus loin : le convertir à la nécessité de la magie parce que, et c’est un point faible de l’épisode que de nous assommer de psychologie de comptoir, ce n’est pas la magie elle-même qui est mauvaise, c’est l’usage que l’on en fait. Ce n’est pas dit comme ça mais plus joliment avec le « Il suffit d’y croire » mais c’est tout comme. Ajoutons le pseudo-débat entre Rumpelstilskin et Regina (et on remercie les acteurs d’être si bons sinon on se serait mort d’ennui) sur l’acceptation des ténèbres en soi. Lana Parrilla a plusieurs occasions d’exprimer la souffrance intérieure de Regina et l’actrice est magnifique quand elle montre l’abnégation et le courage du personnage. Sauf que le scénario introduit un biais conceptuel, passant de « l’acceptation » des ténèbres à la « délivrance » des ténèbres. On passe presque insensiblement de la résilience à la dénégation ; le chemin inverse du processus pour sortir du traumatisme. Or, les Ténèbres ne disparaissent pas aussi aisément. C’est un peu facile comme sujet mais ce sera visiblement celui de la saison à venir.
Dans l’optique de la lutte interne du Bien et du Mal, la présence de Jekyll et Hyde est une bonne illustration et les interprètes se livrent à un beau duel (la séparation est une scène très spectaculaire) quoique sans surprises. Évidemment que Hyde a plus de force que Jekyll puisqu’il est dépourvu de sens moral. Curieusement, il a aussi plus d’élégance. Le costume trois-pièce cravate, très victorien, va à ravir à Sam Witwer. Le duel d’élégance se poursuit avec la confrontation entre Hyde et Rumpelstilskin. Duel assorti de l’habituelle dose de cruauté et de passons un marché. Duel qui devient combat mais à Storybrooke cette fois. C’est une bonne idée parce que le « royaume des histoires secrètes », qui nous est très brièvement présenté en début d’épisode, est d’une laideur visuelle impossible. Le numérique est absolument partout et si visible qu’il en devient écœurant. Quand les effets spéciaux sont plus sobres, comme à la fontaine, c’est nettement plus intéressant.
Comme de coutume, tout est bien qui finit bien mais, en fait, non.
Anecdotes :
Retour de Tzi Ma (Le Dragon)
Absence d’Émilie de Ravin
En bonus, une scène montre Cruella avec Mordret – celui qui trahit Arthur - dans un bar. Il lui dit qu’elle est tellement mauvaise qu’elle fait passer les autres méchants pour des gentils.
Scénario : Edward Kitsis et Adam Horowitz
Réalisation : Dean White
Résumé
Pour sauver les héros perdus au « royaume des histoires secrètes », Henry doit faire le choix de croire en la magie.
Critique
Suite et fin de l’arc « Henry contre la magie » et les auteurs vont même plus loin : le convertir à la nécessité de la magie parce que, et c’est un point faible de l’épisode que de nous assommer de psychologie de comptoir, ce n’est pas la magie elle-même qui est mauvaise, c’est l’usage que l’on en fait. Ce n’est pas dit comme ça mais plus joliment avec le « Il suffit d’y croire » mais c’est tout comme. Ajoutons le pseudo-débat entre Rumpelstilskin et Regina (et on remercie les acteurs d’être si bons sinon on se serait mort d’ennui) sur l’acceptation des ténèbres en soi. Lana Parrilla a plusieurs occasions d’exprimer la souffrance intérieure de Regina et l’actrice est magnifique quand elle montre l’abnégation et le courage du personnage. Sauf que le scénario introduit un biais conceptuel, passant de « l’acceptation » des ténèbres à la « délivrance » des ténèbres. On passe presque insensiblement de la résilience à la dénégation ; le chemin inverse du processus pour sortir du traumatisme. Or, les Ténèbres ne disparaissent pas aussi aisément. C’est un peu facile comme sujet mais ce sera visiblement celui de la saison à venir.
Dans l’optique de la lutte interne du Bien et du Mal, la présence de Jekyll et Hyde est une bonne illustration et les interprètes se livrent à un beau duel (la séparation est une scène très spectaculaire) quoique sans surprises. Évidemment que Hyde a plus de force que Jekyll puisqu’il est dépourvu de sens moral. Curieusement, il a aussi plus d’élégance. Le costume trois-pièce cravate, très victorien, va à ravir à Sam Witwer. Le duel d’élégance se poursuit avec la confrontation entre Hyde et Rumpelstilskin. Duel assorti de l’habituelle dose de cruauté et de passons un marché. Duel qui devient combat mais à Storybrooke cette fois. C’est une bonne idée parce que le « royaume des histoires secrètes », qui nous est très brièvement présenté en début d’épisode, est d’une laideur visuelle impossible. Le numérique est absolument partout et si visible qu’il en devient écœurant. Quand les effets spéciaux sont plus sobres, comme à la fontaine, c’est nettement plus intéressant.
Comme de coutume, tout est bien qui finit bien mais, en fait, non.
Anecdotes :
Retour de Tzi Ma (Le Dragon)
Absence d’Émilie de Ravin
En bonus, une scène montre Cruella avec Mordret – celui qui trahit Arthur - dans un bar. Il lui dit qu’elle est tellement mauvaise qu’elle fait passer les autres méchants pour des gentils.
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
Camarade Totoff a écrit:Comme de coutume, tout est bien qui finit bien mais, en fait, non.
Et comme de coutume, c'est un excellent résumé, et une excellente punchline ! Bravo pour cette nouvelle saison !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Once Upon a Time"
Soirée spéciale sur 6Ter , ce soir
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18671012.html
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18671012.html
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
Premières nouvelles du final de la série
http://braindamaged.fr/15/03/2018/once-upon-a-time-saison-7-titre-du-dernier-episode-revele/
http://braindamaged.fr/15/03/2018/once-upon-a-time-saison-7-titre-du-dernier-episode-revele/
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
De grands retours pour le grand final
http://www.unificationfrance.com/article52192.html
http://www.unificationfrance.com/article52192.html
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
Parfait ! Voilà qui laisse espérer une belle conclusion et c'est bien de rendre un dernier hommage à ceux qui durant 6 saisons se sont efforcés de faire une bonne série (et y sont largement parvenus).
Je n'ai pas encore vu le final de la saison 6 mais, même s'il est bon, il ne rattrapera pas une très mauvaise cuvée. Il a fallu attendre le 8ème épisode pour avoir quelque chose de bon et la "bataille finale" est survendue. Les points positif sont Lana Parrilla et Robert Carlyle. La production ne savaient plus quoi faire des personnages de Jennifer Morrison et Rebecca Mader et ça s'est vu. Quelques bonnes histoires et un excellent épisode musicale mais ça reste peu.
Je n'ai pas encore vu le final de la saison 6 mais, même s'il est bon, il ne rattrapera pas une très mauvaise cuvée. Il a fallu attendre le 8ème épisode pour avoir quelque chose de bon et la "bataille finale" est survendue. Les points positif sont Lana Parrilla et Robert Carlyle. La production ne savaient plus quoi faire des personnages de Jennifer Morrison et Rebecca Mader et ça s'est vu. Quelques bonnes histoires et un excellent épisode musicale mais ça reste peu.
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
La Sauveuse de retour sur le tournage
http://braindamaged.fr/28/03/2018/once-upon-a-time-saison-7-jennifer-morrison-a-filme-ses-dernieres-scenes/
http://braindamaged.fr/28/03/2018/once-upon-a-time-saison-7-jennifer-morrison-a-filme-ses-dernieres-scenes/
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
Un top 10 des couples de la série, j'approuve le n° 1.
Et merci au Camarade pour le coffret de la saison 5 !
Et merci au Camarade pour le coffret de la saison 5 !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
Je suis plutôt d'accord avec ce classement même si deux d'entre eux relèvent uniquement de la saison 7, ce qui leur enlève un peu de pertinence. Plutôt que de faire des évocations, j'aurai promu Aurore et Philippe. Je pense aussi à Crochet et Milah.
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
Contingences tristement réelles au Pays des Contes de fées
http://braindamaged.fr/14/04/2018/once-upon-a-time-saison-7-le-twist-de-lepisode-17-interrompu-par-trump/
http://braindamaged.fr/14/04/2018/once-upon-a-time-saison-7-le-twist-de-lepisode-17-interrompu-par-trump/
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
Je suis volontaire pour réconforter Sa Majesté !
http://braindamaged.fr/15/04/2018/once-upon-a-time-saison-7-lana-parrilla-deprimee-par-la-fin-de-la-serie/
http://braindamaged.fr/15/04/2018/once-upon-a-time-saison-7-lana-parrilla-deprimee-par-la-fin-de-la-serie/
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
Trouvé grâce à un message d'Estuaire sur tout autre chose, ce montage évoquant une romance entre Sa Majesté et la Sauveuse. En fait, c'est très crédible !
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
c'est sûr que la situation se prête particulièrement bien au Femslash, comme pour Supergirl et Lena Luthor en ce moment sur CW. Ca y va sur les fanfics.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
Un Top 10 des meilleurs moments de Regina
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
Un classement qui se défend !
De but en blanc, je le complèterais avec la scène où sa mère quitte les Enfers (saison 6), un moment très émouvant.
J'y ajoute (saison 1) le moment où elle demande à M. Gold qui il est réellement et qu'il lui répond Rumpelstilskin, ajoutant "Votre Majesté". C'est le moment où les masques commencent à tomber à Storybrooke.
Par contre, le n°10, je le passe en n°1! C'est une entrée à la fois fracassante et magistrale où la souveraine déchue prend tout de même l'ascendant sur toute l'assistance, au point que personne n'osera s'opposer à elle. On pense à le venue de Maléfique dans La Belle au Bois Dormant. Avouez que ça a de la classe de lancer : "Tout ce que vous aimez vous sera enlevé" !
De but en blanc, je le complèterais avec la scène où sa mère quitte les Enfers (saison 6), un moment très émouvant.
J'y ajoute (saison 1) le moment où elle demande à M. Gold qui il est réellement et qu'il lui répond Rumpelstilskin, ajoutant "Votre Majesté". C'est le moment où les masques commencent à tomber à Storybrooke.
Par contre, le n°10, je le passe en n°1! C'est une entrée à la fois fracassante et magistrale où la souveraine déchue prend tout de même l'ascendant sur toute l'assistance, au point que personne n'osera s'opposer à elle. On pense à le venue de Maléfique dans La Belle au Bois Dormant. Avouez que ça a de la classe de lancer : "Tout ce que vous aimez vous sera enlevé" !
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
Effectivement le n° 10 est l'acte fondateur de la série. Perso, j'aurais rajouté la scène du début de la série où elle tue le Chasseur/Shérif en transformant son coeur en cendres (de mémoire). C'est le moment bien Dark où je me suis dit que OUAT n'allait pas se laisser ensevelir sous les mignardises à la c... de la Souris.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
Estuaire44 a écrit:Effectivement le n° 10 est l'acte fondateur de la série. Perso, j'aurais rajouté la scène du début de la série où elle tue le Chasseur/Shérif en transformant son coeur en cendres (de mémoire). C'est le moment bien Dark où je me suis dit que OUAT n'allait pas se laisser ensevelir sous les mignardises à la c... de la Souris.
Exact ! C'est dans l'épisode "Le cœur du Chasseur" justement et l'instant où Regina tient le cœur de Graham dans sa main est justement mon illustration n°3 (du temps où on avait droit à trois).
Globalement, pas trop de mignardises mais, par contre, de multiples scènes d'allégeance ! J'en ai relevé pas mal et je suis sûr que j'en ai oublié. Mais ce que l'on ne sait pas ne peut pas faire de mal, pas vrai ? Faux, diraient les psy mais, bon, ne chipotons pas !
Globalement, pas trop de mignardises mais, par contre, de multiples scènes d'allégeance ! J'en ai relevé pas mal et je suis sûr que j'en ai oublié. Mais ce que l'on ne sait pas ne peut pas faire de mal, pas vrai ? Faux, diraient les psy mais, bon, ne chipotons pas !
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
On s'éloigne de la série mais on se rapproche du conte de Grimm pour le choix de l'interprète de ce personnage :
http://braindamaged.fr/28/07/2018/rumpelstiltskin-peter-dinklage-dans-la-version-live-action/
Le plus amusant, c'est que, dans les contes de Grimm, Rumpelstilskin a doit à 2 pages, pas plus !
http://braindamaged.fr/28/07/2018/rumpelstiltskin-peter-dinklage-dans-la-version-live-action/
Le plus amusant, c'est que, dans les contes de Grimm, Rumpelstilskin a doit à 2 pages, pas plus !
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
Il a aussi été l'adversaire dans le drnier Shrek, honnêtement je ne le connaissais pas avant !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
En France, on l'appelle Tracassin et, à ma connaissance, hormis les fans des contes de fées (dont votre serviteur), je crois qu'avant la série, jamais on n'avait utilisé le nom original allemand en France. On traduisait tout dans le temps ! Je vais être honnête, je ne me souviens plus si j'ai (re) lu les contes avant ou après la diffusion de la saison 1.
J'avais oublié le coup de Shrek ! Là aussi, question de traduction.
En fait, c'est la série qui a "triché" en donnant à Rumpelstilskin une taille normale. Les producteurs auraient pu montrer une version taille Hobbit de Robert Carlyle ! Le choix a été différent, je ne m'en plaindrais pas !! Robert, je t'aiiiimmme !
J'avais oublié le coup de Shrek ! Là aussi, question de traduction.
En fait, c'est la série qui a "triché" en donnant à Rumpelstilskin une taille normale. Les producteurs auraient pu montrer une version taille Hobbit de Robert Carlyle ! Le choix a été différent, je ne m'en plaindrais pas !! Robert, je t'aiiiimmme !
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
L'un des atout majeurs de la série !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
L'au-revoir de la distribution
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Once Upon a Time"
6ter a commencé mardi dernier la diffusion de la 7ème et dernière saison de la série.
D'après mon programme télé "La série se renouvelle. Prometteur".
Prometteur, certes. Le casting a été très largement remplacé mais les choix effectués sont convaincants, d'Andrew J. West en Henry adulte ou Gabrielle Anwar en méchante qu'on va adorer détester. La surprise pour moi vient de Daria Ramirez qui campe une Cendrillon que je n'avais pas vu venir mais qui est plus que bien. Elle remplace très facilement Jessy Schram qui n'avait jamais été très convaincante.
Par contre, pour le renouvellement, on repassera parce que c'est un remake quasiment point par point du tout premier épisode !
Un enfant vient trouver un adulte célibataire et lui dire qu'il est son fils/sa fille.
Le parent n'y croit pas mais raccompagne l'enfant.
Tous les personnages sont rassemblés au même endroit hier Storybrooke, aujourd'hui le quartier d'Hypérion Heights de Seattle.
Le méchant est une femme de pouvoir (un Maire, une femme d'affaire) qui cache un lourd secret (la Reine/Lady Tremaine).
On pourrait reprendre l'accroche de la saison 1: "une seule personne connaît la vérité, une seule personne peut rompre la malédiction".
C'est donc agréable à regarder mais sans aucune originalité.
D'après mon programme télé "La série se renouvelle. Prometteur".
Prometteur, certes. Le casting a été très largement remplacé mais les choix effectués sont convaincants, d'Andrew J. West en Henry adulte ou Gabrielle Anwar en méchante qu'on va adorer détester. La surprise pour moi vient de Daria Ramirez qui campe une Cendrillon que je n'avais pas vu venir mais qui est plus que bien. Elle remplace très facilement Jessy Schram qui n'avait jamais été très convaincante.
Par contre, pour le renouvellement, on repassera parce que c'est un remake quasiment point par point du tout premier épisode !
Un enfant vient trouver un adulte célibataire et lui dire qu'il est son fils/sa fille.
Le parent n'y croit pas mais raccompagne l'enfant.
Tous les personnages sont rassemblés au même endroit hier Storybrooke, aujourd'hui le quartier d'Hypérion Heights de Seattle.
Le méchant est une femme de pouvoir (un Maire, une femme d'affaire) qui cache un lourd secret (la Reine/Lady Tremaine).
On pourrait reprendre l'accroche de la saison 1: "une seule personne connaît la vérité, une seule personne peut rompre la malédiction".
C'est donc agréable à regarder mais sans aucune originalité.
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Série "Once Upon a Time"
Ah oui, je suis bien d'accord, s'il s'agit simplement de pondre un remake paresseux du pilote, le jeu n'en vaut pas la chandelle. Mais si l'exercice de style est traité de manière suffisamment astucieuse et décalée, il en va différemment. Pour leur épisode 200, Stargate SG-1 et Supernatural ont réécrit une bonne part de leur pilote sous forme de marionnettes pour la première et de comédie musicale pour la deuxième. Avec introduction de pas mal de vannes référencées, mais aussi de perspective sur le chemin parcouru, les compagnons disparus. Le spectacle est avant tout destiné aux fans de longue date, mais cela pétille vraiment.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Page 9 sur 12 • 1, 2, 3 ... 8, 9, 10, 11, 12
Sujets similaires
» Série "Au-delà du réel" - la série d'origine
» Série "Zoo"
» Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
» Série "MI-5"
» Série "The following"
» Série "Zoo"
» Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
» Série "MI-5"
» Série "The following"
CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
Page 9 sur 12
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum