Louis de Funès (1914 - 1983)
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Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Merci Estuaire pour le film en intégral (A propos, la scène du rideau de la douche à 27'36'') et le document de tournage sur Jo
De Funès : - "M. Tonelotti, pourriez-vous me jurer que le trou peut être fait ce soir ?"
Galabru : - "Ce soir dans 200 ans !"
De Funès : - "Comment ça ce soir dans 200 ans ??!??"
Galabru : - "Euh non excusez-moi, je veux dire ce soir pour 200 ans !"
De Funès : - "M. Tonelotti, pourriez-vous me jurer que le trou peut être fait ce soir ?"
Galabru : - "Ce soir dans 200 ans !"
De Funès : - "Comment ça ce soir dans 200 ans ??!??"
Galabru : - "Euh non excusez-moi, je veux dire ce soir pour 200 ans !"
séribibi- Roi (Reine)
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Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
SUR UN ARBRE PERCHE*
Production : SNC, LIRA FILMS.
Scénario : Pierre ROUSTANG.
Adaptation : Jean HALAIN, Serge KORBER.
Dialogues : Jean HALAIN.
Réalisation : Serge KORBER.
Musique : Alain GORAGUER.
A la suite d'un accident de voiture, un industriel et deux auto-stoppeurs se retrouvent immobilisés dans l'automobile, perchés sur un pin parasol, à mi-hauteur d'une falaise donnant sur la Méditerranée. Complètement isolés, ils essaient d'attirer l'attention par tous les moyens, pendant que leur disparition est signalée sans que les secours n'aient la moindre idée de l'endroit singulier où ils se trouvent.
GENESE :
Le scénario initial était prévu pour Annie Girardot et Yves Montand, pour un film qui devait s'intituler L'accident. Louis de Funès tomba sur le scénario et jugea que c'était un bon sujet pour lui-même. L'anecdote démontre que même les plus grands peuvent commettre des erreurs...
Si le changement de titre fut judicieux, car le nouveau était de toute évidence plus accrocheur et moins banal que l'ancien, le film fut un échec tant artistique de que commercial, et une faute de goût dans la carrière de Louis de Funès.
Malgré le retour à un rôle de chef d'entreprise véreux tout à fait dans sa lignée historique, une certaine modernisation de l'image de Louis se poursuit, comme le démontre le fait qu'il porte une perruque ( !).
REALISATEUR :
Second film de Louis de Funès avec Serge Korber. Avec l'aide de Jean Halain, un habitué des productions De Funès, Korber avait toutes les conditions pour réussir un bon film, et l'échec est difficilement explicable.
Le réalisateur qui montait, qui montait, va commencer à descendre avec ce film raté, et ne se remettra pas de cet échec. Après deux films quelconques avec Annie Girardot, il finira, à l'instar de nombre de metteurs en scène de l'époque, par passer à un tout autre genre de cinéma : sous le pseudonyme de John Thomas, il réalisera plusieurs films pornographiques entre 1975 et 1977, dont l'un sera interdit, et récoltera de ce fait une amende pour « outrages aux bonnes mœurs ».
DECORS :
Les extérieurs ont été filmés sur les falaises de Cassis, les plus élevées d'Europe. Si le résultat n'a pas été à la hauteur, il faut admettre que Korber ait pu être fier d'avoir mené à bien ce tournage techniquement très complexe. Reconstitution d'un pin parasol, équipe de cascadeurs dans la voiture pour les vues de loin, groupe d'alpinistes pour les prises de vues depuis la falaise, hélicoptère pour vues aériennes: rien n'a été laissé au hasard, et le travail accompli a été remarquable. Cependant, tout ceci a gonflé le coût du film, et ne fut pas facile à amortir compte tenu de l'échec commercial.
Pour les intérieurs, les prises de vues ont eu lieu aux studios de Boulogne. Une partie de la falaise, ainsi que le pin parasol, ont été fidèlement reconstitués. Ce travail en studio fut également complexe, avec l'emploi de machines pour simuler les oscillations de la voiture.
Louis de Funès, Géraldine Chaplin et Olivier de Funès n'ont donc pas mis les pieds à Cassis, même si leur tâche ne fut pas forcément facile lors du tournage en studio, puisqu'ils furent obligés de calquer leurs mouvements sur ceux des cascadeurs présents sur la vraie falaise.
GENERIQUE :
Une des rares réussites du film. La musique d'Alain Goraguer est de bonne qualité, même si elle n'est pas restée ancrée dans les mémoires comme celle de nombreux films de Louis.
Alain Goraguer suivra la même trajectoire que Serge Korber puisqu'il travaillera également pour l'industrie pornographique en composant lors des années 70 et 80 des musiques, d'ailleurs excellentes, sous le pseudonyme de Paul Vernon. Ceci au profit du réalisateur Claude Bernard-Aubert, reconverti dans l'industrie X sous le nom de Burd Tranbaree. Il travaillera également sous son vrai nom comme arrangeur avec Alain Chamfort.
SCENARIO :
Il est évident que le scénario n'a pas été assez travaillé, ce qui a entraîné son rapide épuisement et contraint Louis de Funès à en faire des tonnes pour essayer de compenser, ce qu'il n'a pu réussir malgré tout son talent. On peut se demander si Korber n'a pas gaspillé toute son énergie sur les aspects techniques compliqués du tournage, au détriment de l'histoire.
Henri Roubier est un entrepreneur cynique et totalement dénué de scrupules. Il n'hésite pas à signer un contrat secret pour le marché des autoroutes en Italie tout en prétendant publiquement qu'il n'est pas intéressé par le marché transalpin. Ses concurrents français le croient sur parole et préparent leur dossier de bonne foi, sans se douter qu'ils travaillent pour rien puisque tout est déjà joué.
A son retour d'Italie, sa voiture est bloquée par des grévistes et il se retrouve contraint d'accepter deux auto-stoppeurs à son bord, un jeune homme et une jeune femme.
Exaspéré par l'agitation de ses passagers, il sort de la route alors qu'il traverse la Provence pendant la nuit et la voiture dégringole dans le vide. C'est la mort assurée qui est au rendez-vous pour les trois occupants de la décapotable, mais un miracle se produit alors : la voiture s'immobilise, sans que ses passagers ne sachent où et dans quelles conditions, à cause de l'obscurité.
Le lendemain matin, les rescapés de la mort découvrent que leur situation est fort précaire puisque la voiture a échoué sur un pin parasol arc-bouté à mi-hauteur d'une falaise, et que ce poids supplémentaire menace de faire tomber l'arbre et ses étranges visiteurs à la mer.
Roubier et ses passagers vont tenter par tous les moyens d'attirer l'attention, mais ils ne peuvent être vus depuis le haut de la falaise. Seul un bateau ou un hélicoptère pourrait les repérer. Hélas ! Le seul plaisancier qui va les remarquer depuis son yacht va croire qu'il est victime de visions suite à un abus d'alcool, et nos naufragés de l'espace vont le faire sauter en renvoyant la lumière du soleil avec un miroir... juste sur l'alimentation en carburant !
Privés de nourriture et d'eau, à la merci des hallucinations, le situation devient critique jusqu'à ce que nos accidentés soient enfin localisés.
Les opérations de sauvetage s'avèrent compliquées, et sont retardées par l'ex-mari de l'autostoppeuse, un militaire au tempérament musclé qui veut assouvir sa jalousie féroce en trucidant la jeune femme.
Finalement, un hélicoptère parvient à détacher la voiture et ses occupants et les dépose... sur une île déserte.
DISTRIBUTION :
Louis de Funès interprète un personnage écrit spécialement pour lui, et il est vrai que ce n'est pas la première fois qu'il incarne un chef d'entreprise sans foi ni loi. Malgré une performance sans faille, il ne parvient pas à rendre le film intéressant, tellement le scénario est insipide.
Son fils Olivier de Funès lui donne la réplique pour la sixième et dernière fois à l'écran. Par la suite, ils se retrouveront au théâtre à l'occasion de la reprise d'Oscar, puis Olivier s'orientera définitivement vers l'aviation en devenant pilote de ligne. C'est un échec relatif pour Louis, qui avait tenté de l'insérer dans le cinéma pour qu'il ne cède pas à sa passion de l'aéronautique.
Pour le personnage de l'ancienne Mme Muller, c'est Géraldine Chaplin qui a été retenue. Soupçonné de bénéficier du piston puisque fille du grand Charlie, elle débute au cinéma sous les regards circonspects de la critique, mais s'avère finalement bonne comédienne et sa carrière, qui continue de nos jours, sera consistante.
La majeure partie du film se déroulant en huis-clos avec ces trois acteurs, les autres comédiens n'ont pour la plupart que des rôles sommaires. Le plus présent est encore le fidèle Paul Préboist, ici en journaliste qui commente les opérations de sauvetage pour la radio. Hans Meyer possède le physique adéquat pour interpréter le militaire jaloux, ex-mari de l'autostoppeuse.
Alice Sapritch, c'est Lucienne, la femme de Roubier. Eh ! Oui. Parmi les nombreuses comédiennes qui ont joué la femme de Fufu à l'écran, on compte même Alice Sapritch... Le frère de Lucienne, un ecclésiastique, est interprété par Roland Armontel.
Franco Volpi, c'est l'entrepreneur italien, Fernand Sardou l'adjudant-chef, Daniel Bellus le sauveteur alpiniste, Danielle Durou la jeune fille du film d'épouvante et Jean-Jacques Delbo le yachtman ivre.
Le speaker de la télévision est incarné par Pascal Mazotti, déjà vu avec De Funès sur Hibernatus. Le reporter de télévision par Jean Hebey, le brigadier par Jean Panisse, M. Lejeune par Charles Bayard et le cafetier par Fransined.
Le réalisateur Serge Korber semble avoir voulu singer Hitchcock en faisant une apparition en caméo, dans la scène de l'inauguration.
TEMPS FORTS :
Très peu de bons moments dans cette piteuse production, seul le début du film, montrant le caractère malhonnête et manipulateur de Roubier, pouvant faire illusion.
Dans la partie la plus longue, le huis-clos dans la voiture, c'est encore le gag de Louis de Funès essayant de boire l'eau du lave-glace qui semble le plus acceptable, seul susceptible d'arracher un sourire.
Rien à signaler dans la partie finale, celle du sauvetage, à un moment où même les inconditionnels de Louis de Funès auront selon toute vraisemblance déjà décroché.
POINTS FAIBLES :
Hormis les quelques rares passages cités dans les temps forts, les points faibles sont constitués par tout le reste, donc approximativement par l'ensemble du film.
On peut toutefois nuancer car, non seulement le scénario est indigeste, mais de surcroît sa courbe de médiocrité suit une progression exponentielle pour atteindre dans la partie finale une nullité, certes plus exceptionnelle de nos jours, mais rare pour l'époque.
Les séquences de début, avant l'accident, sont acceptables, puis le décrochage a lieu lors de cet interminable huis-clos entre les trois personnages dans la décapotable. Les pseudos gags s'épuisent rapidement, pour preuve cette scène ridicule du film d'épouvante, pas drôle du tout.
On se dit que la découverte des « naufragés » est une bonne occasion de relancer l'action et le scénario, mais c'est le contraire qui se produit. La diversion du mari jaloux ne fait pas illusion longtemps et le film part complètement dans le n'importe quoi. En plus, Louis de Funès est de moins en moins présent, on a l'impression que lors de cette partie finale, c'est Paul Préboist qui est devenu le principal acteur.
Quant à la conclusion, elle ne rehausse pas le niveau. Cet hélicoptère qui entraîne les rescapés jusque sur une île déserte, c'est à la hauteur de ce qui précède, c'est-à-dire consternant.
Le meilleur conseil que l'on peut donc donner à quelqu'un qui ne connaîtrait pas le film est de ne pas le regarder. A quoi ça sert de perdre une heure et demie ?
ACCUEIL :
Alors que les investissements ont été importants, le film rencontre un échec cuisant, d'ailleurs parfaitement mérité, avec seulement 1 600 000 spectateurs, score dérisoire pour un film de Louis de Funès. Ce dernier en tirera les conclusions logiques en se tournant à nouveau vers la valeur sûre Gérard Oury pour la suite de sa carrière.
SYNTHESE :
Le pire des films sur la partie la plus connue de la carrière de Fufu. A oublier bien vite.
GENESE :
Le scénario initial était prévu pour Annie Girardot et Yves Montand, pour un film qui devait s'intituler L'accident. Louis de Funès tomba sur le scénario et jugea que c'était un bon sujet pour lui-même. L'anecdote démontre que même les plus grands peuvent commettre des erreurs...
Si le changement de titre fut judicieux, car le nouveau était de toute évidence plus accrocheur et moins banal que l'ancien, le film fut un échec tant artistique de que commercial, et une faute de goût dans la carrière de Louis de Funès.
Malgré le retour à un rôle de chef d'entreprise véreux tout à fait dans sa lignée historique, une certaine modernisation de l'image de Louis se poursuit, comme le démontre le fait qu'il porte une perruque ( !).
REALISATEUR :
Second film de Louis de Funès avec Serge Korber. Avec l'aide de Jean Halain, un habitué des productions De Funès, Korber avait toutes les conditions pour réussir un bon film, et l'échec est difficilement explicable.
Le réalisateur qui montait, qui montait, va commencer à descendre avec ce film raté, et ne se remettra pas de cet échec. Après deux films quelconques avec Annie Girardot, il finira, à l'instar de nombre de metteurs en scène de l'époque, par passer à un tout autre genre de cinéma : sous le pseudonyme de John Thomas, il réalisera plusieurs films pornographiques entre 1975 et 1977, dont l'un sera interdit, et récoltera de ce fait une amende pour « outrages aux bonnes mœurs ».
DECORS :
Les extérieurs ont été filmés sur les falaises de Cassis, les plus élevées d'Europe. Si le résultat n'a pas été à la hauteur, il faut admettre que Korber ait pu être fier d'avoir mené à bien ce tournage techniquement très complexe. Reconstitution d'un pin parasol, équipe de cascadeurs dans la voiture pour les vues de loin, groupe d'alpinistes pour les prises de vues depuis la falaise, hélicoptère pour vues aériennes: rien n'a été laissé au hasard, et le travail accompli a été remarquable. Cependant, tout ceci a gonflé le coût du film, et ne fut pas facile à amortir compte tenu de l'échec commercial.
Pour les intérieurs, les prises de vues ont eu lieu aux studios de Boulogne. Une partie de la falaise, ainsi que le pin parasol, ont été fidèlement reconstitués. Ce travail en studio fut également complexe, avec l'emploi de machines pour simuler les oscillations de la voiture.
Louis de Funès, Géraldine Chaplin et Olivier de Funès n'ont donc pas mis les pieds à Cassis, même si leur tâche ne fut pas forcément facile lors du tournage en studio, puisqu'ils furent obligés de calquer leurs mouvements sur ceux des cascadeurs présents sur la vraie falaise.
GENERIQUE :
Une des rares réussites du film. La musique d'Alain Goraguer est de bonne qualité, même si elle n'est pas restée ancrée dans les mémoires comme celle de nombreux films de Louis.
Alain Goraguer suivra la même trajectoire que Serge Korber puisqu'il travaillera également pour l'industrie pornographique en composant lors des années 70 et 80 des musiques, d'ailleurs excellentes, sous le pseudonyme de Paul Vernon. Ceci au profit du réalisateur Claude Bernard-Aubert, reconverti dans l'industrie X sous le nom de Burd Tranbaree. Il travaillera également sous son vrai nom comme arrangeur avec Alain Chamfort.
SCENARIO :
Il est évident que le scénario n'a pas été assez travaillé, ce qui a entraîné son rapide épuisement et contraint Louis de Funès à en faire des tonnes pour essayer de compenser, ce qu'il n'a pu réussir malgré tout son talent. On peut se demander si Korber n'a pas gaspillé toute son énergie sur les aspects techniques compliqués du tournage, au détriment de l'histoire.
Henri Roubier est un entrepreneur cynique et totalement dénué de scrupules. Il n'hésite pas à signer un contrat secret pour le marché des autoroutes en Italie tout en prétendant publiquement qu'il n'est pas intéressé par le marché transalpin. Ses concurrents français le croient sur parole et préparent leur dossier de bonne foi, sans se douter qu'ils travaillent pour rien puisque tout est déjà joué.
A son retour d'Italie, sa voiture est bloquée par des grévistes et il se retrouve contraint d'accepter deux auto-stoppeurs à son bord, un jeune homme et une jeune femme.
Exaspéré par l'agitation de ses passagers, il sort de la route alors qu'il traverse la Provence pendant la nuit et la voiture dégringole dans le vide. C'est la mort assurée qui est au rendez-vous pour les trois occupants de la décapotable, mais un miracle se produit alors : la voiture s'immobilise, sans que ses passagers ne sachent où et dans quelles conditions, à cause de l'obscurité.
Le lendemain matin, les rescapés de la mort découvrent que leur situation est fort précaire puisque la voiture a échoué sur un pin parasol arc-bouté à mi-hauteur d'une falaise, et que ce poids supplémentaire menace de faire tomber l'arbre et ses étranges visiteurs à la mer.
Roubier et ses passagers vont tenter par tous les moyens d'attirer l'attention, mais ils ne peuvent être vus depuis le haut de la falaise. Seul un bateau ou un hélicoptère pourrait les repérer. Hélas ! Le seul plaisancier qui va les remarquer depuis son yacht va croire qu'il est victime de visions suite à un abus d'alcool, et nos naufragés de l'espace vont le faire sauter en renvoyant la lumière du soleil avec un miroir... juste sur l'alimentation en carburant !
Privés de nourriture et d'eau, à la merci des hallucinations, le situation devient critique jusqu'à ce que nos accidentés soient enfin localisés.
Les opérations de sauvetage s'avèrent compliquées, et sont retardées par l'ex-mari de l'autostoppeuse, un militaire au tempérament musclé qui veut assouvir sa jalousie féroce en trucidant la jeune femme.
Finalement, un hélicoptère parvient à détacher la voiture et ses occupants et les dépose... sur une île déserte.
DISTRIBUTION :
Louis de Funès interprète un personnage écrit spécialement pour lui, et il est vrai que ce n'est pas la première fois qu'il incarne un chef d'entreprise sans foi ni loi. Malgré une performance sans faille, il ne parvient pas à rendre le film intéressant, tellement le scénario est insipide.
Son fils Olivier de Funès lui donne la réplique pour la sixième et dernière fois à l'écran. Par la suite, ils se retrouveront au théâtre à l'occasion de la reprise d'Oscar, puis Olivier s'orientera définitivement vers l'aviation en devenant pilote de ligne. C'est un échec relatif pour Louis, qui avait tenté de l'insérer dans le cinéma pour qu'il ne cède pas à sa passion de l'aéronautique.
Pour le personnage de l'ancienne Mme Muller, c'est Géraldine Chaplin qui a été retenue. Soupçonné de bénéficier du piston puisque fille du grand Charlie, elle débute au cinéma sous les regards circonspects de la critique, mais s'avère finalement bonne comédienne et sa carrière, qui continue de nos jours, sera consistante.
La majeure partie du film se déroulant en huis-clos avec ces trois acteurs, les autres comédiens n'ont pour la plupart que des rôles sommaires. Le plus présent est encore le fidèle Paul Préboist, ici en journaliste qui commente les opérations de sauvetage pour la radio. Hans Meyer possède le physique adéquat pour interpréter le militaire jaloux, ex-mari de l'autostoppeuse.
Alice Sapritch, c'est Lucienne, la femme de Roubier. Eh ! Oui. Parmi les nombreuses comédiennes qui ont joué la femme de Fufu à l'écran, on compte même Alice Sapritch... Le frère de Lucienne, un ecclésiastique, est interprété par Roland Armontel.
Franco Volpi, c'est l'entrepreneur italien, Fernand Sardou l'adjudant-chef, Daniel Bellus le sauveteur alpiniste, Danielle Durou la jeune fille du film d'épouvante et Jean-Jacques Delbo le yachtman ivre.
Le speaker de la télévision est incarné par Pascal Mazotti, déjà vu avec De Funès sur Hibernatus. Le reporter de télévision par Jean Hebey, le brigadier par Jean Panisse, M. Lejeune par Charles Bayard et le cafetier par Fransined.
Le réalisateur Serge Korber semble avoir voulu singer Hitchcock en faisant une apparition en caméo, dans la scène de l'inauguration.
TEMPS FORTS :
Très peu de bons moments dans cette piteuse production, seul le début du film, montrant le caractère malhonnête et manipulateur de Roubier, pouvant faire illusion.
Dans la partie la plus longue, le huis-clos dans la voiture, c'est encore le gag de Louis de Funès essayant de boire l'eau du lave-glace qui semble le plus acceptable, seul susceptible d'arracher un sourire.
Rien à signaler dans la partie finale, celle du sauvetage, à un moment où même les inconditionnels de Louis de Funès auront selon toute vraisemblance déjà décroché.
POINTS FAIBLES :
Hormis les quelques rares passages cités dans les temps forts, les points faibles sont constitués par tout le reste, donc approximativement par l'ensemble du film.
On peut toutefois nuancer car, non seulement le scénario est indigeste, mais de surcroît sa courbe de médiocrité suit une progression exponentielle pour atteindre dans la partie finale une nullité, certes plus exceptionnelle de nos jours, mais rare pour l'époque.
Les séquences de début, avant l'accident, sont acceptables, puis le décrochage a lieu lors de cet interminable huis-clos entre les trois personnages dans la décapotable. Les pseudos gags s'épuisent rapidement, pour preuve cette scène ridicule du film d'épouvante, pas drôle du tout.
On se dit que la découverte des « naufragés » est une bonne occasion de relancer l'action et le scénario, mais c'est le contraire qui se produit. La diversion du mari jaloux ne fait pas illusion longtemps et le film part complètement dans le n'importe quoi. En plus, Louis de Funès est de moins en moins présent, on a l'impression que lors de cette partie finale, c'est Paul Préboist qui est devenu le principal acteur.
Quant à la conclusion, elle ne rehausse pas le niveau. Cet hélicoptère qui entraîne les rescapés jusque sur une île déserte, c'est à la hauteur de ce qui précède, c'est-à-dire consternant.
Le meilleur conseil que l'on peut donc donner à quelqu'un qui ne connaîtrait pas le film est de ne pas le regarder. A quoi ça sert de perdre une heure et demie ?
ACCUEIL :
Alors que les investissements ont été importants, le film rencontre un échec cuisant, d'ailleurs parfaitement mérité, avec seulement 1 600 000 spectateurs, score dérisoire pour un film de Louis de Funès. Ce dernier en tirera les conclusions logiques en se tournant à nouveau vers la valeur sûre Gérard Oury pour la suite de sa carrière.
SYNTHESE :
Le pire des films sur la partie la plus connue de la carrière de Fufu. A oublier bien vite.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Je pense que je lui aurais tout de même mis une étoile, quelque pointes créatives de temps à autres, et une certaine tension avec cette voiture en permanence dans le vide.
Ce n'est clairement pas un grand film, L'homme orchestre du même réalisateur lui est supérieur en tout point. Mais du même point de vue que la Soupe aux Choux, c'est un pari osé loin des sentiers battus faits par Louis de Funès et on peut au moins saluer ce choix.
Ce n'est clairement pas un grand film, L'homme orchestre du même réalisateur lui est supérieur en tout point. Mais du même point de vue que la Soupe aux Choux, c'est un pari osé loin des sentiers battus faits par Louis de Funès et on peut au moins saluer ce choix.
Invité- Invité
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
La suite du dossier Louis de Funès (Parties 3 et 4 de la 3ème époque) est en ligne!
http://www.theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes
http://www.theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes
Invité- Invité
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Une petite info que vous ignorez sans doute.
Muriel Baptiste en 1965 (64 pour le tournage) a joué dans un feuilleton "Quelle famille", de Roger Pradines, écrit par Jean Nocher (26x13 minutes) qui était le remake d'une série tournée en 1956 : "La famille Anodin".
Eh bien, dans "La famille Anodin", en voulant voir qui jouait neuf ans plus tôt le rôle que tient Muriel (Martine Anodin), j'ai vu que Louis de Funès jouait dans la série.
Muriel Baptiste en 1965 (64 pour le tournage) a joué dans un feuilleton "Quelle famille", de Roger Pradines, écrit par Jean Nocher (26x13 minutes) qui était le remake d'une série tournée en 1956 : "La famille Anodin".
Eh bien, dans "La famille Anodin", en voulant voir qui jouait neuf ans plus tôt le rôle que tient Muriel (Martine Anodin), j'ai vu que Louis de Funès jouait dans la série.
Invité- Invité
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
La deuxième partie de La Consécration est en ligne!
http://www.theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes/saga-louis-de-funes-3-la-confirmation-1966-1973-2eme-partie
http://www.theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes/saga-louis-de-funes-3-la-confirmation-1966-1973-2eme-partie
Invité- Invité
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
La suite du dossier est en ligne avec la 1ère partie de la 3ème époque!
http://www.theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes/saga-louis-de-funes-3-la-confirmation-1966-1973-1ere-partie
http://www.theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes/saga-louis-de-funes-3-la-confirmation-1966-1973-1ere-partie
Invité- Invité
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Super boulot !!!!
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
La suite et fin du dossier Louis de Funès est en ligne!
http://www.theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes/saga-louis-de-funes-1-une-lente-ascension-jusqu-en-1964-1ere-partie
http://www.theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes/saga-louis-de-funes-1-une-lente-ascension-jusqu-en-1964-1ere-partie
Invité- Invité
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Merci pour tout Phil ! Même si tu ne nous lis plus, ce fut très gentil de ta part de t'occuper de ce dossier-fleuve. Le voilà au complet, désormais !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Bravo en effet. De Funès est encore connu et apprécié en 2013. Ouf, toutes les valeurs ne foutent pas le camp...
Invité- Invité
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Une idée pour un remake !
NICE, 22 juin 2013 (AFP) - Les gendarmes de Saint-Tropez (Var) ont retrouvé un lynx de 18 kilos qui s'était échappé vendredi d'une luxueuse propriété louée par des Russes, ont-ils annoncé samedi.
"Il y a beaucoup d'extravagance ici et il faut innover. Avant c'était juste les belles voitures", a commenté un gendarme interrogé par l'AFP.
Le gros félin, plus précisément un serval, a été retrouvé tout près de son domicile situé dans un quartier résidentiel de Gassin , à 10 km de Saint-Tropez .
Les gendarmes ont été épaulés par la police municipale de Gassin pour attraper avec une perche spéciale l'animal, repéré prostré près d'un arbre vers 21h00 vendredi, après s'être fait la belle le matin.
Les servals, qui ne sont pas une espèce protégée, peuvent devenir dangereux après un retour de quelques jours dans la nature, a précisé l'office national de la chasse à la gendarmerie.
Les gendarmes de Saint-Tropez interrogeaient samedi après-midi le propriétaire russe pour savoir dans quelles conditions le lynx a été amené dans la région. Un appel à la population avait été lancé vendredi dans le journal local Var Matin.
La recherche a été finalement plus aisée que celle d'un autre félin très médiatisé qui s'était échappé fin avril d'une propriété de Saint-Tropez: Rontonton, la chatte préférée de Brigitte Bardot. Objet d'une récompense de la part de sa propriétaire effondrée, la chatte avait été retrouvée près de trois semaines plus tard.
En revanche, le mystère de la panthère noire aperçue par plusieurs témoins dans le département voisin des Alpes-Maritimes en janvier reste entier. Elle n'a jamais été retrouvée.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Ouverture d'un musée dédié à l'acteur, dans ce Pays Nantais qu'il affectionnait tant (lui aussi) :
http://cinema.nouvelobs.com/articles/26588-a-venir-un-musee-louis-de-funes-ouvre-dans-son-village-du-cellier
http://cinema.nouvelobs.com/articles/26588-a-venir-un-musee-louis-de-funes-ouvre-dans-son-village-du-cellier
Estuaire44- Empereur
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Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Hommage à Fufu au Cellier
http://www.20minutes.fr/ledirect/1222999/20130914-louis-funes-patrimoine-celebre-village
http://www.20minutes.fr/ledirect/1222999/20130914-louis-funes-patrimoine-celebre-village
Estuaire44- Empereur
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Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Fufu aurait eu 100 ans cette année. A cette occasion un documentaire inédit est diffusé ce soir sur D8 (20h50) : De Funès : 100 ans de rire
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Et voici mon top Louis de Funès, classement des 29 films de la "grande époque". Il s'agit de mes préférences purement subjectives, qui ne correspondent pas forcément aux notes figurant dans le dossier de Funès, où j'ai essayé d'être objectif. Histoire de montrer que les préférences d'un vrai fan sont assez éloignées de celles du "grand public"...
1. Oscar
2. Pouic-Pouic
3. Hibernatus
4. Jo
5. Fantômas se déchaîne
6. Le grand restaurant
7. Fantômas contre Scotland Yard
8. L'aile ou la cuisse
9. Le petit baigneur
10. Les grandes vacances
11. Faîtes sauter la banque
12. Le gendarme de Saint-Tropez
13. La folie des grandeurs
14. Les bons vivants
15. La zizanie
16. L'homme-orchestre
17. Les aventures de Rabbi Jacob
18. Le corniaud
19. Le gendarme en balade
20. La soupe aux choux
21. Fantômas
22. Le gendarme à New-York
23. La grande vadrouille
24. Le gendarme se marie
25. Le gendarme et les gendarmettes
26. Le gendarme et les extraterrestres
27. Le tatoué
28. L'avare
29. Sur un arbre perché
1. Oscar
2. Pouic-Pouic
3. Hibernatus
4. Jo
5. Fantômas se déchaîne
6. Le grand restaurant
7. Fantômas contre Scotland Yard
8. L'aile ou la cuisse
9. Le petit baigneur
10. Les grandes vacances
11. Faîtes sauter la banque
12. Le gendarme de Saint-Tropez
13. La folie des grandeurs
14. Les bons vivants
15. La zizanie
16. L'homme-orchestre
17. Les aventures de Rabbi Jacob
18. Le corniaud
19. Le gendarme en balade
20. La soupe aux choux
21. Fantômas
22. Le gendarme à New-York
23. La grande vadrouille
24. Le gendarme se marie
25. Le gendarme et les gendarmettes
26. Le gendarme et les extraterrestres
27. Le tatoué
28. L'avare
29. Sur un arbre perché
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Sortie d'un coffret pour les 20 ans du Gendarme
http://www.leblogtvnews.com/2014/07/coffret-des-50-ans-du-gendarme-a-saint-tropez-kepi-inclus.html
http://www.leblogtvnews.com/2014/07/coffret-des-50-ans-du-gendarme-a-saint-tropez-kepi-inclus.html
Estuaire44- Empereur
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Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Décès de la veuve de l'acteur
http://www.lepoint.fr/culture/info-le-point-fr-la-veuve-de-louis-de-funes-est-morte-16-03-2015-1913039_3.php
http://www.lepoint.fr/culture/info-le-point-fr-la-veuve-de-louis-de-funes-est-morte-16-03-2015-1913039_3.php
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
101 ans, superbe !
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Je découvre à l'instant cette information, je croyais qu'elle était morte depuis quelques années! 101 ans!! L'information est passée inaperçue ou très très discrètement car je n'ai rien vu dans les médias!Estuaire44 a écrit:Décès de la veuve de l'acteur
http://www.lepoint.fr/culture/info-le-point-fr-la-veuve-de-louis-de-funes-est-morte-16-03-2015-1913039_3.php
steed72- Baron(ne)
- Age : 52
Localisation : Lorraine France
Date d'inscription : 26/03/2014
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
La veuve de Louis De Funès était passée dans un Vivement dimanche de Michel Drucker autour de 2007.
claude- Baron(ne)
- Age : 114
Localisation : Metz (57)
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
http://theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/saga-louis-de-funes/saga-louis-de-funes-3-la-confirmation-1966-1973-1ere-partie
me fait poser une question.
Dans le film Les Grandes Vacances, si Daniel Bellus joue le rôle d'Isolde, le fils de la comtesse et cancre, qui joue le rôle du chauffeur de la comtesse qui n'aime pas conduire la nuit ?
me fait poser une question.
Dans le film Les Grandes Vacances, si Daniel Bellus joue le rôle d'Isolde, le fils de la comtesse et cancre, qui joue le rôle du chauffeur de la comtesse qui n'aime pas conduire la nuit ?
claude- Baron(ne)
- Age : 114
Localisation : Metz (57)
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Je ne connais pas cet acteur, et je n'ai pu trouver son nom nulle part. Donc, difficile de répondre...
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Il ressemble à Philippe Nicaud et à Frédéric de Pasquale.
claude- Baron(ne)
- Age : 114
Localisation : Metz (57)
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Interview de Mylène Demongeot, à propos de la rediffusion en cours des Fantomas
http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/television/87882/mylene-demongeot-marais-et-de-funes-etaient-incompatibles.html
http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/television/87882/mylene-demongeot-marais-et-de-funes-etaient-incompatibles.html
Estuaire44- Empereur
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Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
D'après Mylène Demongeot, De Funès était très bon dès les premières prises, mais d'après Oury, c'était le contraire, il fallait souvent attendre la 10ème ou 15ème prise pour qu'il soit génial. Qui dit vrai? Je pense que c'est Oury, qui connaissait mieux Louis de Funès que Demongeot.
phildlm- Duc(hesse)
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Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Louis de Funès (1914 - 1983)
Une curiosité, De Funes en douanier, avec les Branquignols
http://www.bide-et-musique.com/song/14259.html
http://nimotozor99.free.fr/la-grosse-valse-dhery-brosset-funes-branquignols.htm
http://www.bide-et-musique.com/song/14259.html
http://nimotozor99.free.fr/la-grosse-valse-dhery-brosset-funes-branquignols.htm
Estuaire44- Empereur
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