Série "Mission casse-cou"
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Re: Série "Mission casse-cou"
"Sans issu" En dernier je croit que je vais faire un malaise
alexandre- Duc(hesse)
- Date d'inscription : 01/05/2009
Re: Série "Mission casse-cou"
Je crois, tu crois ?
C'est pour moi le plus mauvais de la saison. Tiens, essaie de me raconter l'intrigue sans regarder un résumé. C'est vrai que la plupart du temps, les histoires sont bancales mais là, ce n'est pas, ou très peu, compensé par de bonnes scènes d'humour ou d'action.
Je vais bientôt attaquer la seconde saison qui débute par un épisode qui ne m'avait guère emballé.
C'est pour moi le plus mauvais de la saison. Tiens, essaie de me raconter l'intrigue sans regarder un résumé. C'est vrai que la plupart du temps, les histoires sont bancales mais là, ce n'est pas, ou très peu, compensé par de bonnes scènes d'humour ou d'action.
Je vais bientôt attaquer la seconde saison qui débute par un épisode qui ne m'avait guère emballé.
Invité- Invité
Re: Série "Mission casse-cou"
C'est un mec qui et tué avec une histoire de drogue
alexandre- Duc(hesse)
- Age : 27
Localisation : Rennes (35)
Date d'inscription : 01/05/2009
Re: Série "Mission casse-cou"
J'ai trouvé une fan ou un fan de MISSION CASSE COU sur Facebook il a plein de photo en voici
alexandre- Duc(hesse)
- Age : 27
Localisation : Rennes (35)
Date d'inscription : 01/05/2009
Re: Série "Mission casse-cou"
denis a écrit:Make Peace Not War – A bas la violence. §§§§
The Squeeze – Enlèvement. §§§§
Judgement – Le jugement. §§§§
Blind Eye – Le piège. §§§
Cry God for Harry – Pitié pour Harriet. §§§
Armed and Extremely Dangerous – Un homme dangereux.§§§
Lucky Streak – Coup de grâce. §§§
Hors De Combat – Hors de combat. §§
Given to Acts of Violence – Actes de violence. §§
Nowhere to Run – Sans issue.§
Pour moi la saison 1
1-Pitié pour Harriet §§§§
2-Sans issu §§§§
3-L'enlèvement §§§§
4-Le Jugement §§§§
5-Actes de violence §§§
6-Coup de grâce §§§
7-A bas de violence §§§
8-Un homme dangereux §§§
9-Le Piége §§§
10-Hors de combat §
alexandre- Duc(hesse)
- Age : 27
Localisation : Rennes (35)
Date d'inscription : 01/05/2009
2/ 1 Silver Dollar
A ajouter sur la fiche :
Le résumé :
Une société, qui investit en Afrique, est victime d’attaques répétées d’un commando prônant la libération du continent noir. Makepeace va découvrir que le commando est manipulé.
- Le générique a quelques nouvelles scènes qui proviennent de la seconde saison.
- Dempsey à Makepeace, qui a hésité à tirer : ‘You froze like an iceberg !’.
- Spikings fait une référence à Clint Eastwood:’a crazy Yank who thinks he’s Clint Eastwood.’
- La doublure de Michael Brandon est visible dans la scène finale à moto.
Les plus : l’intervention ratée pour stopper la camionnette, la poursuite du chien en 2CV, la tenue rouge vamp de Makepeace, Dempsey à cheval dans le bureau (vidéo à 6’ pour les deux derniers points).
Les moins : énormément -la scène d’intro bâclée et bardée de pubs pour Coca et Michelin, les discussions puériles sur les clés, l’African Liberation Army, la scène du bar où Makepeace poursuit Dempsey chez les ‘gents’ (celui-ci a une ‘petite envie’ et ne se lave pas les mains mais touche l’épaule de sa partenaire !), le baratin de D&M au feu de camp de la décharge, déguisés en clochards, l’intervention musclée invraisemblable de Dempsey dans le bar, sa démission si tôt dans la saison et son prétexte pour revenir, l’arrogance de Makepeace (‘I don’t need his help’), le final escamoté.
Le résumé :
Une société, qui investit en Afrique, est victime d’attaques répétées d’un commando prônant la libération du continent noir. Makepeace va découvrir que le commando est manipulé.
- Le générique a quelques nouvelles scènes qui proviennent de la seconde saison.
- Dempsey à Makepeace, qui a hésité à tirer : ‘You froze like an iceberg !’.
- Spikings fait une référence à Clint Eastwood:’a crazy Yank who thinks he’s Clint Eastwood.’
- La doublure de Michael Brandon est visible dans la scène finale à moto.
Les plus : l’intervention ratée pour stopper la camionnette, la poursuite du chien en 2CV, la tenue rouge vamp de Makepeace, Dempsey à cheval dans le bureau (vidéo à 6’ pour les deux derniers points).
Les moins : énormément -la scène d’intro bâclée et bardée de pubs pour Coca et Michelin, les discussions puériles sur les clés, l’African Liberation Army, la scène du bar où Makepeace poursuit Dempsey chez les ‘gents’ (celui-ci a une ‘petite envie’ et ne se lave pas les mains mais touche l’épaule de sa partenaire !), le baratin de D&M au feu de camp de la décharge, déguisés en clochards, l’intervention musclée invraisemblable de Dempsey dans le bar, sa démission si tôt dans la saison et son prétexte pour revenir, l’arrogance de Makepeace (‘I don’t need his help’), le final escamoté.
Invité- Invité
2/2 Wheelman
A ajouter sur la fiche :
- Lieux de tournage : sur la Tamise. On reconnaît, à plusieurs reprises, St Paul’s et le Parliament en arrière-plans.
- Dempsey ne fait pas de différence entre Marseille et Lyon (‘What’s the difference ?’)
- La coiffeuse parle de Boy George, Tatum O’Neal et de la Princess Di, pas encore Lady.
- Spikings évoque le film French Connection.
- Au restaurant, le serveur est français, Gaston, et on parle la langue de Molière en VO : ‘Gaston, qu’est-ce qu’on va manger ? ‘Du boudin noir suivi par du coq au vin.’
- Dempsey prononce sa phrase mythique pour la seconde fois : ‘Life is hard, then you die !’.
Les plus : l’attaque du bateau-mouche (séquence pré-générique), le duel de voitures avec la musique de Morricone (vidéo à 3’38), la fusillade au restaurant et le final dans l’Arcade.
Les moins : l’interrogatoire caricatural du suspect, le journaliste criminel bien jeunot, les couvertures des deux policiers -‘Debby Smith’ et son passé turbulent à Rio (et la naïveté de Morocco Jack : ‘You can’t be a cop !’), l’air de demeuré de ‘Sallapuccio’ avec gants, lunettes de soleil et chewing-gum- la présence excessive du commissionner et pourquoi attendre la marée pour se débarrasser de Jack Cade ?
- Lieux de tournage : sur la Tamise. On reconnaît, à plusieurs reprises, St Paul’s et le Parliament en arrière-plans.
- Dempsey ne fait pas de différence entre Marseille et Lyon (‘What’s the difference ?’)
- La coiffeuse parle de Boy George, Tatum O’Neal et de la Princess Di, pas encore Lady.
- Spikings évoque le film French Connection.
- Au restaurant, le serveur est français, Gaston, et on parle la langue de Molière en VO : ‘Gaston, qu’est-ce qu’on va manger ? ‘Du boudin noir suivi par du coq au vin.’
- Dempsey prononce sa phrase mythique pour la seconde fois : ‘Life is hard, then you die !’.
Les plus : l’attaque du bateau-mouche (séquence pré-générique), le duel de voitures avec la musique de Morricone (vidéo à 3’38), la fusillade au restaurant et le final dans l’Arcade.
Les moins : l’interrogatoire caricatural du suspect, le journaliste criminel bien jeunot, les couvertures des deux policiers -‘Debby Smith’ et son passé turbulent à Rio (et la naïveté de Morocco Jack : ‘You can’t be a cop !’), l’air de demeuré de ‘Sallapuccio’ avec gants, lunettes de soleil et chewing-gum- la présence excessive du commissionner et pourquoi attendre la marée pour se débarrasser de Jack Cade ?
Invité- Invité
Re: Série "Mission casse-cou"
J'adore cet épisode également je l'ai vus Samedi
Dernière édition par alexandre le Mar 6 Avr 2010 - 21:06, édité 1 fois
alexandre- Duc(hesse)
- Age : 27
Localisation : Rennes (35)
Date d'inscription : 01/05/2009
Re: Série "Mission casse-cou"
T'as de la chance que Philo ne lise pas ce topic !alexandre a écrit:J'adore cet épisode également je les vus Samedi
Dernière édition par denis le Mar 6 Avr 2010 - 21:23, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Série "Mission casse-cou"
Le subjonctif est utilisé après :
- des verbes ou expressions exprimant une opinion :
mériter: Paul ne méritait certainement pas que vous soyez si méchant avec lui.
il vaut mieux : Parfois, il vaut mieux que tu te taises.
il suffit: Pour retenir ce texte, il suffit que tu l’apprennes par cœur.
il est étonnant : Il est étonnant que le train ne soit pas encore arrivé.
avoir de la chance : Nous avons de la chance qu’il ne pleuve pas.
- des verbes ou expressions exprimant une opinion :
mériter: Paul ne méritait certainement pas que vous soyez si méchant avec lui.
il vaut mieux : Parfois, il vaut mieux que tu te taises.
il suffit: Pour retenir ce texte, il suffit que tu l’apprennes par cœur.
il est étonnant : Il est étonnant que le train ne soit pas encore arrivé.
avoir de la chance : Nous avons de la chance qu’il ne pleuve pas.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Mission casse-cou"
Depuis quand lis-tu ce topic, toi....et sans faire de faute de frappe en plus ?
Invité- Invité
Re: Série "Mission casse-cou"
C'est sûr, quand je ne fais pas de faute, cela frappe !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
2/3 Love You to Death
Un des bijoux de la série.
A ajouter à la fiche
- Description de Londres par Spikings (allusion à l’assassinat de Kennedy): ‘This is not Dallas, this is dull old London, remember?…a tower, a Queen and some warm beer but not many snipers.’
- Dempsey à Makepeace qui demande si une ancienne petite amie pourrait lui en vouloir au point d’essayer de lui loger une balle dans la tête : 'It wouldn't be my head they'd be trying to blow off.'[Cela ne serait pas ma tête qu’elle essaierait d’exploser.]
- Premier appel téléphonique :’Should have been you, Dempsey, with a bullet in the head.’ [Cela aurait dû être vous, Dempsey, avec une balle dans la tête.]
- Le SI 10 n’est pas dans le bottin.
- Dempsey au photographe, après avoir balancé son repas par la fenêtre : ‘Do you want to follow your lunch?’[Voulez-vous suivre votre déjeuner ?]
- Jetez un coup d’œil sur le calendrier du photographe…
- Au bar : Dempsey commence la réplique : ‘Life is hard’ et Warren, la serveuse, la termine :’…And then you die.’ Sous entendant qu’ils se connaissent relativement bien !
- Jeu de mots entre Foley, le gardien, et Dempsey au sujet de la visite à son appartement :‘She was in the bath’ ‘She was in the butt’. Légère différence de prononciation mais pas le même sens ; ‘in the bath’ (dans le bain), ‘in the butt’ (à poil).
Les plus : presque tout - les aspects films d’horreur de la mise en scène (la voix au téléphone, les petites frayeurs avec le gardien de l’immeuble, l’attaque sur Makepeace :’Hey, bitch, leave my man alone !’), Cathy Warren, l’excellente psychopathe, serveuse et ‘fille d’en face’, la scène pré-générique, la visite chez la veuve, la musique caractéristique de l’épisode, particulièrement dans la superbe séquence de la maison abandonnée (vidéo de 5’32 à 7’56), la visite au photographe, la folle dans l’appartement de Dempsey, la réaction de jalousie du bar, la scène ‘jouée’ pour exciter la psychopathe (les deux acteurs sont déjà un couple à la ville), le final sur les toits.
Les moins : presque rien – comment Dempsey ne se rend-il pas compte que sa vaisselle a été faite ?, la veste rouge et blanche de Dempsey.
A ajouter à la fiche
- Description de Londres par Spikings (allusion à l’assassinat de Kennedy): ‘This is not Dallas, this is dull old London, remember?…a tower, a Queen and some warm beer but not many snipers.’
- Dempsey à Makepeace qui demande si une ancienne petite amie pourrait lui en vouloir au point d’essayer de lui loger une balle dans la tête : 'It wouldn't be my head they'd be trying to blow off.'[Cela ne serait pas ma tête qu’elle essaierait d’exploser.]
- Premier appel téléphonique :’Should have been you, Dempsey, with a bullet in the head.’ [Cela aurait dû être vous, Dempsey, avec une balle dans la tête.]
- Le SI 10 n’est pas dans le bottin.
- Dempsey au photographe, après avoir balancé son repas par la fenêtre : ‘Do you want to follow your lunch?’[Voulez-vous suivre votre déjeuner ?]
- Jetez un coup d’œil sur le calendrier du photographe…
- Au bar : Dempsey commence la réplique : ‘Life is hard’ et Warren, la serveuse, la termine :’…And then you die.’ Sous entendant qu’ils se connaissent relativement bien !
- Jeu de mots entre Foley, le gardien, et Dempsey au sujet de la visite à son appartement :‘She was in the bath’ ‘She was in the butt’. Légère différence de prononciation mais pas le même sens ; ‘in the bath’ (dans le bain), ‘in the butt’ (à poil).
Les plus : presque tout - les aspects films d’horreur de la mise en scène (la voix au téléphone, les petites frayeurs avec le gardien de l’immeuble, l’attaque sur Makepeace :’Hey, bitch, leave my man alone !’), Cathy Warren, l’excellente psychopathe, serveuse et ‘fille d’en face’, la scène pré-générique, la visite chez la veuve, la musique caractéristique de l’épisode, particulièrement dans la superbe séquence de la maison abandonnée (vidéo de 5’32 à 7’56), la visite au photographe, la folle dans l’appartement de Dempsey, la réaction de jalousie du bar, la scène ‘jouée’ pour exciter la psychopathe (les deux acteurs sont déjà un couple à la ville), le final sur les toits.
Les moins : presque rien – comment Dempsey ne se rend-il pas compte que sa vaisselle a été faite ?, la veste rouge et blanche de Dempsey.
Invité- Invité
Re: Série "Mission casse-cou"
C'est ton épisode préféré ????
alexandre- Duc(hesse)
- Age : 27
Localisation : Rennes (35)
Date d'inscription : 01/05/2009
Re: Série "Mission casse-cou"
alexandre a écrit:C'est ton épisode préféré ????
Le préféré, peut-être pas. Il y a, par exemple, Tequila Sunrise que je n’ai pas encore revu qui pourrait le détrôner. En tout cas, dans les cinq meilleurs de la série, sans aucun doute.
Invité- Invité
Re: Série "Mission casse-cou"
J'adore l'épisode Téquilla
Harriet et trop jolie avec la robe rouge de son amie
Harriet et trop jolie avec la robe rouge de son amie
alexandre- Duc(hesse)
- Age : 27
Localisation : Rennes (35)
Date d'inscription : 01/05/2009
2/4 No Surrender
A ajouter à la fiche :
Le résumé :
Après un braquage raté dans une banque, trois truands se séquestrent dans les locaux en prenant des otages. Une tentative de libération des otages échoue et Makepeace se substitue à une femme cardiaque.
- La phrase ‘politiquement incorrect’ de Spikings au sujet des preneurs d’otages : ‘You have fifteen minutes to get those animals, dead or alive, I don’t care.’[Vous avez quinze minutes pour coincer ces animaux. Morts ou vifs, ça m’est égal.’]
- Lieu de tournage : Old Bond Street (magasin Cartier) dans le premier plan.
- Dempsey révèle qu’il a le vertige.
- Colin McFarlane (1961) incarne pour la troisième, et dernière fois, le rôle du sergent Watson.
- L’exécution de l’otage est une des scènes les plus dures de la série.
- Les deux petits rats dans les égouts de Londres n’ont rien à voir avec…Gnaws !
Les plus : une histoire rythmée, noire et sans temps mort, Levey, le paumé nerveux prêt à ‘popping heads’, en lice pour le meilleur ‘méchant’ de la série, la scène d’introduction (‘Police, freeze !’) et le combat Makepeace/voleur de bijoux sur l’échafaudage, les deux scénettes à l’hôpital (les fleurs en plastique et Dempsey sexiste dans la première, Dempsey en docteur et la ‘real rose’ dans la seconde), les tentatives pour s’introduire dans la banque (toits et égouts), l’échange (voir vidéo de 2’ à 5’), le final qui fait penser à celui de Dirty Harry (le bus, l’enfant maltraité…).
Les moins : le personnage superflu de ‘Rockefeller’ (une grosse huile quelconque), Makepeace veut prouver ‘quelque chose’ à Dempsey en prenant la place de l’otage (trop mélo)
Le résumé :
Après un braquage raté dans une banque, trois truands se séquestrent dans les locaux en prenant des otages. Une tentative de libération des otages échoue et Makepeace se substitue à une femme cardiaque.
- La phrase ‘politiquement incorrect’ de Spikings au sujet des preneurs d’otages : ‘You have fifteen minutes to get those animals, dead or alive, I don’t care.’[Vous avez quinze minutes pour coincer ces animaux. Morts ou vifs, ça m’est égal.’]
- Lieu de tournage : Old Bond Street (magasin Cartier) dans le premier plan.
- Dempsey révèle qu’il a le vertige.
- Colin McFarlane (1961) incarne pour la troisième, et dernière fois, le rôle du sergent Watson.
- L’exécution de l’otage est une des scènes les plus dures de la série.
- Les deux petits rats dans les égouts de Londres n’ont rien à voir avec…Gnaws !
Les plus : une histoire rythmée, noire et sans temps mort, Levey, le paumé nerveux prêt à ‘popping heads’, en lice pour le meilleur ‘méchant’ de la série, la scène d’introduction (‘Police, freeze !’) et le combat Makepeace/voleur de bijoux sur l’échafaudage, les deux scénettes à l’hôpital (les fleurs en plastique et Dempsey sexiste dans la première, Dempsey en docteur et la ‘real rose’ dans la seconde), les tentatives pour s’introduire dans la banque (toits et égouts), l’échange (voir vidéo de 2’ à 5’), le final qui fait penser à celui de Dirty Harry (le bus, l’enfant maltraité…).
Les moins : le personnage superflu de ‘Rockefeller’ (une grosse huile quelconque), Makepeace veut prouver ‘quelque chose’ à Dempsey en prenant la place de l’otage (trop mélo)
Invité- Invité
2/5 Tequila Sunrise
Le sommet de la série. Un peu de violence mais surtout beaucoup d’humour.
A ajouter à la fiche :
Résumé :
Un malfrat fait régner la terreur sur un quartier de Londres. Lorsqu’un indic, une connaissance de Harriet, est rossé, la femme flic en fait une affaire personnelle.
Les plus : l’humour régnant dans tout l’épisode, l’intro du poulet (I’ve got a reputation to consider), la justesse des seconds rôles (le caïd vicieux Lowe, l’informateur- et ami d’Harriet- Jock), le combat Jock/les truands (qui semble bien tourner), la scène de l’hôpital et du verre d’eau, l’assiette de spaghettis au Ristorante Fiori, la séquence à la boite de nuit Stringfellows, une des meilleures de toute la série (Makepeace saoule, la ‘devil mind’ et l’échange de la robe rouge) (vidéo de 4' à 8'),la discussion‘did we or didn’t we ?’ et le final dans la salle de rollers.
Les moins : le différend Makepeace/Dempsey sur le parking du restaurant.
- Dempsey à Stavros, patron du snack, après l’arrestation du ‘poulet’: ‘Is this a chicken take-away? We’re taking away your chicken!’
- La visite d’intimidation de Lowe à Stavros pourrait être amputée. On a l’impression qu’il manque quelque chose.
- Le pub devant lequel Jock est balancé de la voiture est The Bramcote Arms. Ce pub est dans la scène d’introduction de Actes de violence, saison 1.
- Dempsey en voyant la robe rouge sexy de l’amie de Harriet: ‘I like that dress!’. Harriet: ‘Oh, you do, do you?’
- Dempsey après avoir admis qu’il ne s’était rien passé : ‘You are satisfied ? No irony intended!’ mais la dernière réplique de l’épisode est plein de sous-entendus : ‘Next time, you mightn’t be so lucky !’. [La prochaine fois, vous pourriez avoir moins de chance.]
- La boite londonienne Stringfellows est très prisée…et recommandée !
http://www.stringfellows.co.uk/
A ajouter à la fiche :
Résumé :
Un malfrat fait régner la terreur sur un quartier de Londres. Lorsqu’un indic, une connaissance de Harriet, est rossé, la femme flic en fait une affaire personnelle.
Les plus : l’humour régnant dans tout l’épisode, l’intro du poulet (I’ve got a reputation to consider), la justesse des seconds rôles (le caïd vicieux Lowe, l’informateur- et ami d’Harriet- Jock), le combat Jock/les truands (qui semble bien tourner), la scène de l’hôpital et du verre d’eau, l’assiette de spaghettis au Ristorante Fiori, la séquence à la boite de nuit Stringfellows, une des meilleures de toute la série (Makepeace saoule, la ‘devil mind’ et l’échange de la robe rouge) (vidéo de 4' à 8'),la discussion‘did we or didn’t we ?’ et le final dans la salle de rollers.
Les moins : le différend Makepeace/Dempsey sur le parking du restaurant.
- Dempsey à Stavros, patron du snack, après l’arrestation du ‘poulet’: ‘Is this a chicken take-away? We’re taking away your chicken!’
- La visite d’intimidation de Lowe à Stavros pourrait être amputée. On a l’impression qu’il manque quelque chose.
- Le pub devant lequel Jock est balancé de la voiture est The Bramcote Arms. Ce pub est dans la scène d’introduction de Actes de violence, saison 1.
- Dempsey en voyant la robe rouge sexy de l’amie de Harriet: ‘I like that dress!’. Harriet: ‘Oh, you do, do you?’
- Dempsey après avoir admis qu’il ne s’était rien passé : ‘You are satisfied ? No irony intended!’ mais la dernière réplique de l’épisode est plein de sous-entendus : ‘Next time, you mightn’t be so lucky !’. [La prochaine fois, vous pourriez avoir moins de chance.]
- La boite londonienne Stringfellows est très prisée…et recommandée !
http://www.stringfellows.co.uk/
Invité- Invité
2/6 Blood Money
J'avais écrit pour la fiche: 'comme Dempsey en pédale américaine fortunée et maniérée' qui a été modifié derrière mon dos en 'comme Dempsey en gay américain fortuné et maniéré'. Du politiquement correct pour un épisode qui ne l'est pas ?
Les plus: le politiquement incorrect de l’histoire et des dialogues, Dempsey en folle a des faux airs de…Danny Wilde, la tueuse (qui blesse Spikings) est précurseur aux femmes terroristes des attentats actuels, l’arrestation de Bailey, la fusillade finale dans le hangar (vidéo de 0’57 à 2’32).
Les moins : la scène pré générique sponsorisée par les véhicules Volvo !, l’intrigue très décousue, la plupart des seconds rôles (Scott et Bailey, le duo d’escrocs anglais inconsistants, le colonel Rasheed et ses sbires violents, Redgrave, l’efféminé marchand d’art corrompu), de nombreuses petites scènes superflues et ennuyeuses qui servent à rallonger un épisode déjà court (moins de 47’), les photos Polaroïd bien dépassées, le manque de passages et de répliques humoristiques caractéristiques à la série, le cigare de Dempsey dans un hôpital.
A ajouter à la fiche :
- Makepeace faisant feu dans le hangar et l’explosion font partie du générique de cette seconde saison.
- la scène qui suit le générique est un échange ‘politiquement incorrect’ au sujet d’un tapis d’Orient. Dempsey: ‘Looks like a fancy schmancy doormat.’[Ca ressemble à un paillasson fantaisiste]. Harriet: 'It’s not meant for wiping your feet on, it’s a prayer mat and it’s made of silk.’[Ce n’est pas fait pour essuyer vos pieds, c’est un tapis de prière et c’est fait en soie.] Plus tard, Dempsey en acheteur américain, saisit un tapis : ‘Wouldn’t this look divine in the john ?’[Cela ne serait-il pas super dans les cabinets ?]
- Harriet: ‘Dempsey, you’re disgusting!’ Dempsey: ‘Thank you’.
- L’Egypte n’est pas mentionnée mais bien sous-entendue.
Les plus: le politiquement incorrect de l’histoire et des dialogues, Dempsey en folle a des faux airs de…Danny Wilde, la tueuse (qui blesse Spikings) est précurseur aux femmes terroristes des attentats actuels, l’arrestation de Bailey, la fusillade finale dans le hangar (vidéo de 0’57 à 2’32).
Les moins : la scène pré générique sponsorisée par les véhicules Volvo !, l’intrigue très décousue, la plupart des seconds rôles (Scott et Bailey, le duo d’escrocs anglais inconsistants, le colonel Rasheed et ses sbires violents, Redgrave, l’efféminé marchand d’art corrompu), de nombreuses petites scènes superflues et ennuyeuses qui servent à rallonger un épisode déjà court (moins de 47’), les photos Polaroïd bien dépassées, le manque de passages et de répliques humoristiques caractéristiques à la série, le cigare de Dempsey dans un hôpital.
A ajouter à la fiche :
- Makepeace faisant feu dans le hangar et l’explosion font partie du générique de cette seconde saison.
- la scène qui suit le générique est un échange ‘politiquement incorrect’ au sujet d’un tapis d’Orient. Dempsey: ‘Looks like a fancy schmancy doormat.’[Ca ressemble à un paillasson fantaisiste]. Harriet: 'It’s not meant for wiping your feet on, it’s a prayer mat and it’s made of silk.’[Ce n’est pas fait pour essuyer vos pieds, c’est un tapis de prière et c’est fait en soie.] Plus tard, Dempsey en acheteur américain, saisit un tapis : ‘Wouldn’t this look divine in the john ?’[Cela ne serait-il pas super dans les cabinets ?]
- Harriet: ‘Dempsey, you’re disgusting!’ Dempsey: ‘Thank you’.
- L’Egypte n’est pas mentionnée mais bien sous-entendue.
Invité- Invité
2/7 Set a Thief
A modifier :
Le résumé
Une modèle est renversée par un chauffard sous les yeux de Dempsey et Makepeace. L’enquête va conduire le couple dans les milieux de la photographie et de la politique. Un haut fonctionnaire de l’état utilise des modèles pour faire passer des diamants.
2 infos sup
- C'est le troisième épisode où figure le pub The Bramcote Arms. Il apparaît dans les épisodes Actes de violence (1ère saison) et Tequila (seconde saison).
- Après avoir fait référence à Cagney & Lacey dans Enlèvement (saison 1), Spikings évoque une autre série policière américaine, Starsky & Hutch : ‘By the way, where is Starsky or Butch, or whatever he calls himself?’
A ajouter à la fiche :
Les plus: la scène pré-générique (The New York Times, Janine renversée, ‘Bastard’ vidéo), Dempsey chez le photographe, la corruption des politiques britanniques toujours d’actualité, quelques seconds rôles (le méchant Van Gelder, la grosse brute et la jolie Lucy), l’apparition de Dempsey au club d’aérobics réservé aux mannequins, l’arrestation mouvementée de Davis, la filature du cab en pick-up, le final sur la péniche.
Les moins : l’intrigue incroyablement confuse, les encombrants ronds-de-cuir de Whitehall, Davis, personnage transparent et son long interrogatoire (‘Waiting !’), le chapeau et la chemise à carreaux de Dempsey, l’inconsistance du petit bonhomme au melon censé chapeauter l’organisation (rien à voir avec Steed !).
- Harriet après la remarque de Dempsey sur le NYT: ‘Well if you want something big enough to sleep under, at least buy The London Times’.
- Dempsey au photographe (en photographiant une modèle sur une moto) : ‘Life is hard, then you die’.
- Lieux de tournage : Whitehall, Albert Bridge, Covent Garden.
- Jeu de mots sur ‘legwork’ : travail administratif pour Harriet mais autre chose pour Dempsey qui caresse la jambe de la modèle en téléphonant à sa collègue !
- Harriet au sujet du photographe: ‘He photographed a collection for a Bond Street shop. Quite sought after. More for mistresses than for wives, you know the sort of thing.’[Il fait des photos d’une collection pour une boutique de Bond Street. Très prisée. Plus pour les maitresses que pour les épouses, vous voyez le genre de choses.]
- Les doublures de Glynis Barber et Michael Brandon sont visibles dans le pick-up lors de la filature du taxi dans les plans éloignés.
Le résumé
Une modèle est renversée par un chauffard sous les yeux de Dempsey et Makepeace. L’enquête va conduire le couple dans les milieux de la photographie et de la politique. Un haut fonctionnaire de l’état utilise des modèles pour faire passer des diamants.
2 infos sup
- C'est le troisième épisode où figure le pub The Bramcote Arms. Il apparaît dans les épisodes Actes de violence (1ère saison) et Tequila (seconde saison).
- Après avoir fait référence à Cagney & Lacey dans Enlèvement (saison 1), Spikings évoque une autre série policière américaine, Starsky & Hutch : ‘By the way, where is Starsky or Butch, or whatever he calls himself?’
A ajouter à la fiche :
Les plus: la scène pré-générique (The New York Times, Janine renversée, ‘Bastard’ vidéo), Dempsey chez le photographe, la corruption des politiques britanniques toujours d’actualité, quelques seconds rôles (le méchant Van Gelder, la grosse brute et la jolie Lucy), l’apparition de Dempsey au club d’aérobics réservé aux mannequins, l’arrestation mouvementée de Davis, la filature du cab en pick-up, le final sur la péniche.
Les moins : l’intrigue incroyablement confuse, les encombrants ronds-de-cuir de Whitehall, Davis, personnage transparent et son long interrogatoire (‘Waiting !’), le chapeau et la chemise à carreaux de Dempsey, l’inconsistance du petit bonhomme au melon censé chapeauter l’organisation (rien à voir avec Steed !).
- Harriet après la remarque de Dempsey sur le NYT: ‘Well if you want something big enough to sleep under, at least buy The London Times’.
- Dempsey au photographe (en photographiant une modèle sur une moto) : ‘Life is hard, then you die’.
- Lieux de tournage : Whitehall, Albert Bridge, Covent Garden.
- Jeu de mots sur ‘legwork’ : travail administratif pour Harriet mais autre chose pour Dempsey qui caresse la jambe de la modèle en téléphonant à sa collègue !
- Harriet au sujet du photographe: ‘He photographed a collection for a Bond Street shop. Quite sought after. More for mistresses than for wives, you know the sort of thing.’[Il fait des photos d’une collection pour une boutique de Bond Street. Très prisée. Plus pour les maitresses que pour les épouses, vous voyez le genre de choses.]
- Les doublures de Glynis Barber et Michael Brandon sont visibles dans le pick-up lors de la filature du taxi dans les plans éloignés.
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2/8 The Hit
A Ajouter à la fiche :
- Lieux de tournage : Trafalgar Square, St Katharine Docks, Bank of England, quartier industriel aux alentours de Morden Wharf Road.
- Petite plaisanterie intraduisible : Harriet utilise le mot américain ‘precinct’ (quartier) pour que Dempsey ‘se sente comme à la maison’ ce qui fait réagir Spikings.
- Jeu de mots lorsque Dempsey sent que quelque chose ne colle pas dans l’affaire de la fusillade. Harriet, après une nuit de planque: ‘Well, while you smell it, I’m going to shower and change my clothes.’
- Tiffany a des notions de français en reprenant Billy au restaurant sur la prononciation de ‘loup de mer’.
- Dempsey à son homologue américain : ‘Life is hard, then you die.’
- Lorsque Dempsey prend le volant de la Daimler, la plaque d’immatriculation ne tient que par un côté mais elle est miraculeusement refixée dès la première image de la poursuite.
Les plus: la fusillade de l’introduction, les seconds rôles et particulièrement Tiffany Grace, la prostituée de luxe junkie amie d’enfance d’Harriet qui circule en Porsche, un des plus jolis minois de la série, sans oublier le tueur et Billy, le mac, la rencontre fortuite dans l’appartement (I should’ve shot him) (première minute de la vidéo), l’interrogatoire Tiffany/Harriet, l’arrestation de Billy, le tueur surpris par D&M au moment d’exécuter le banquier.
Les moins : le répugnant client trafiquant, le coup de téléphone à Miami, la trop longue poursuite finale (cinq minutes) qui se termine par le plongeon du tueur dans l’acide.
- Lieux de tournage : Trafalgar Square, St Katharine Docks, Bank of England, quartier industriel aux alentours de Morden Wharf Road.
- Petite plaisanterie intraduisible : Harriet utilise le mot américain ‘precinct’ (quartier) pour que Dempsey ‘se sente comme à la maison’ ce qui fait réagir Spikings.
- Jeu de mots lorsque Dempsey sent que quelque chose ne colle pas dans l’affaire de la fusillade. Harriet, après une nuit de planque: ‘Well, while you smell it, I’m going to shower and change my clothes.’
- Tiffany a des notions de français en reprenant Billy au restaurant sur la prononciation de ‘loup de mer’.
- Dempsey à son homologue américain : ‘Life is hard, then you die.’
- Lorsque Dempsey prend le volant de la Daimler, la plaque d’immatriculation ne tient que par un côté mais elle est miraculeusement refixée dès la première image de la poursuite.
Les plus: la fusillade de l’introduction, les seconds rôles et particulièrement Tiffany Grace, la prostituée de luxe junkie amie d’enfance d’Harriet qui circule en Porsche, un des plus jolis minois de la série, sans oublier le tueur et Billy, le mac, la rencontre fortuite dans l’appartement (I should’ve shot him) (première minute de la vidéo), l’interrogatoire Tiffany/Harriet, l’arrestation de Billy, le tueur surpris par D&M au moment d’exécuter le banquier.
Les moins : le répugnant client trafiquant, le coup de téléphone à Miami, la trop longue poursuite finale (cinq minutes) qui se termine par le plongeon du tueur dans l’acide.
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2/9 In the Dark
Quelques modif sur le résumé : la fusillade se passe dans un théâtre et pas dans un cinéma (voir vidéo) et le titre est dû au suspens maintenu jusqu’au bout et pas à l’obscurité de la scène.
A Ajouter à la fiche :
- Deux similitudes avec l’épisode précédent ; un collègue des deux policiers est de nouveau abattu et une fille roule encore en Porsche.
- Déjà à l’époque, 1985, Dempsey évoquait les temps modernes où tout le monde doit vivre avec un ordinateur !
- Référence à Cendrillon, Cinderella en anglais et son ‘Prince Charming’. Harriet: ‘Lindsay’s chum, Prince Charming. Whom I went after while you were amusing yourself with Cinderella.’
- Le pub ‘Duke of Cumberland’ (the man in the red coat) se trouve au 235 New Kings Road.
- Bien que ne figurant pas au générique, la société Volvo a dû participer à la série vu le nombre de véhicules présents dans chaque épisode (ici, les camions de l’entrepôt).
- On remarque la doublure apparente lorsque Lindsay fait le plongeon, le cascadeur ayant les cheveux bruns et pas blancs !
Les plus: le suspense préservé (d’où le titre VO), ‘the man in the red coat’ (cela aurait pu être le titre de l’épisode!), l’humour lors de la fouille de l’appartement de Bishop (et l’air de Dempsey lorsque Harriet lui révèle qu’il était ‘gay’), l’arrestation de Lucky, la fusillade au théâtre (vidéo) et le final de Dempsey, dans l’entrepôt et à l’assaut du paquebot.
Les moins : la scène d’introduction incohérente, la visite nocturne dans les bureaux, le coup de la lecture enregistrée, les seconds rôles pas inoubliables.
A Ajouter à la fiche :
- Deux similitudes avec l’épisode précédent ; un collègue des deux policiers est de nouveau abattu et une fille roule encore en Porsche.
- Déjà à l’époque, 1985, Dempsey évoquait les temps modernes où tout le monde doit vivre avec un ordinateur !
- Référence à Cendrillon, Cinderella en anglais et son ‘Prince Charming’. Harriet: ‘Lindsay’s chum, Prince Charming. Whom I went after while you were amusing yourself with Cinderella.’
- Le pub ‘Duke of Cumberland’ (the man in the red coat) se trouve au 235 New Kings Road.
- Bien que ne figurant pas au générique, la société Volvo a dû participer à la série vu le nombre de véhicules présents dans chaque épisode (ici, les camions de l’entrepôt).
- On remarque la doublure apparente lorsque Lindsay fait le plongeon, le cascadeur ayant les cheveux bruns et pas blancs !
Les plus: le suspense préservé (d’où le titre VO), ‘the man in the red coat’ (cela aurait pu être le titre de l’épisode!), l’humour lors de la fouille de l’appartement de Bishop (et l’air de Dempsey lorsque Harriet lui révèle qu’il était ‘gay’), l’arrestation de Lucky, la fusillade au théâtre (vidéo) et le final de Dempsey, dans l’entrepôt et à l’assaut du paquebot.
Les moins : la scène d’introduction incohérente, la visite nocturne dans les bureaux, le coup de la lecture enregistrée, les seconds rôles pas inoubliables.
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2/10 THE BOGEYMAN
A ajouter/modifier :
- Le personnage de Keith Lymon, toujours interprété par Nick Brimble, sera repris dans un épisode, moins réussi, de la troisième saison, Bird of Prey – L’oiseau de proie. Le dernier échange laisse prévoir ce retour. Dempsey : ‘Piece o’ gum ?’, Lymon : ‘I’ll get out. And I’ll have you’.
- Le promoteur Harry Rose a la définition exacte : ‘SI 10 : a firm within a firm !’. Il a des photos d’acteurs au mur de son bureau : Fred Astaire, Edward G Robinson, Marilyn Monroe.
- Les doublures sont apparentes lors de la poursuite sur les toits.
- Makepeace fait une comparaison entre Dempsey et Lymon: ‘Maybe he's what you would've been, if you weren't a cop.’[C’est peut-être ce que vous auriez été si vous n’aviez pas été flic.]
- Dempsey évoque, à la stupéfaction de Spikings et Makepeace, le poète britannique Percy Shelley (1792-1822).
Les plus: les trois confrontations ‘rounds’ Dempsey/Lymon (la séquence d’introduction dans le chantier style western, la scène de la poursuite sur les toits et de l’écluse (vidéo de 1’40 à 3’57) et le final), Keith Lymon, le vilain de la série, la tenue en soie beige de Makepeace, Jim Kelly, l’ancien manager de boxe pouilleux amateur de Guinness (début de la vidéo),un grand échange Makepeace/Dempsey etles confidences de l’américain sur son boulot : ‘Maybe I'm burned out’.
Les moins : Makepeace effacée dans le scénario, Chas qui joue la balance, le chewing-gum (qui rend invisible au croquemitaine !, bogeyman en anglais) et le cigare de Dempsey, le vieillissement de l’épisode (la discussion Harriet/Dempsey sur les ordinateurs, l’absence de ‘call box’), Dempsey couvert de sang mais bien debout !
- Le personnage de Keith Lymon, toujours interprété par Nick Brimble, sera repris dans un épisode, moins réussi, de la troisième saison, Bird of Prey – L’oiseau de proie. Le dernier échange laisse prévoir ce retour. Dempsey : ‘Piece o’ gum ?’, Lymon : ‘I’ll get out. And I’ll have you’.
- Le promoteur Harry Rose a la définition exacte : ‘SI 10 : a firm within a firm !’. Il a des photos d’acteurs au mur de son bureau : Fred Astaire, Edward G Robinson, Marilyn Monroe.
- Les doublures sont apparentes lors de la poursuite sur les toits.
- Makepeace fait une comparaison entre Dempsey et Lymon: ‘Maybe he's what you would've been, if you weren't a cop.’[C’est peut-être ce que vous auriez été si vous n’aviez pas été flic.]
- Dempsey évoque, à la stupéfaction de Spikings et Makepeace, le poète britannique Percy Shelley (1792-1822).
Les plus: les trois confrontations ‘rounds’ Dempsey/Lymon (la séquence d’introduction dans le chantier style western, la scène de la poursuite sur les toits et de l’écluse (vidéo de 1’40 à 3’57) et le final), Keith Lymon, le vilain de la série, la tenue en soie beige de Makepeace, Jim Kelly, l’ancien manager de boxe pouilleux amateur de Guinness (début de la vidéo),un grand échange Makepeace/Dempsey etles confidences de l’américain sur son boulot : ‘Maybe I'm burned out’.
Les moins : Makepeace effacée dans le scénario, Chas qui joue la balance, le chewing-gum (qui rend invisible au croquemitaine !, bogeyman en anglais) et le cigare de Dempsey, le vieillissement de l’épisode (la discussion Harriet/Dempsey sur les ordinateurs, l’absence de ‘call box’), Dempsey couvert de sang mais bien debout !
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Classement 2de saison
Grosse coïncidence : Même schéma que la première saison à savoir 3 épisodes à 4 §, 4 épisodes à 3 §, 2 épisodes à 2 § et 1 épisode à 1 § !
Tequila Sunrise – Tequila. §§§§
Love You to Death – Amour à mort. §§§§
No Surrender – Pas de quartier. §§§§
The Hit – Cet homme est dangereux. §§§
Set a Thief – Au voleur. §§§
The Bogeyman – Flagrant délit. §§§
In the Dark – Contrefaçon. §§§
Blood Money – Le prix du sang. §§
Wheelman – Morocco Jack. §§
Silver Dollar – Un dollar en argent. §
Tequila Sunrise – Tequila. §§§§
Love You to Death – Amour à mort. §§§§
No Surrender – Pas de quartier. §§§§
The Hit – Cet homme est dangereux. §§§
Set a Thief – Au voleur. §§§
The Bogeyman – Flagrant délit. §§§
In the Dark – Contrefaçon. §§§
Blood Money – Le prix du sang. §§
Wheelman – Morocco Jack. §§
Silver Dollar – Un dollar en argent. §
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3/1 The Burning, Part 1
C’est parti pour la troisième et dernière saison. La moins réussie….J’ai séparé l’épisode en deux parties.
Le passé de Dempsey ressurgit. Afin de coincer le flic véreux new-yorkais qui a provoqué sa venue à Londres, Dempsey disparaît et se transforme en Johnny Lupino, moustachu et marginal.
Les plus: la séquence d’ouverture dans les entrepôts désaffectés des docks- une des plus belles entames de la série (vidéo), les beaux ‘restes’ de Jill St. John- quinze ans après avoir été James Bond girl, la boite de nuit (la danse Harriet/Dempsey et Blossom de la ‘police academy’), le récit de Dempsey, ponctué de flashbacks, dans la chambre de Makepeace.
Les moins : Ray Smith, très amaigri (malade ?), Conrad, le méchant transparent, la partie de billards, la moustache de Lupino/Dempsey, Butch, le gros lourdaud, la visite guidée de Londres avec ‘Galactica’ : ‘Show us the sights !’ et le peu d’action de cette première partie.
- Ce double épisode a rassemblé plus de 15 millions de téléspectateurs lors de sa 1ère diffusion au Royaume-Uni ce qui représente à peu près trois fois ce qu’une série enregistre de nos jours.
- Pas de générique habituel. L’épisode commence comme le téléfilm. A noter que Jill St. John est en ‘special guest star’ avant Ray Smith (Spikings) au générique.
-Il y a de nombreux flashbacks provenant du pilote et il est préférable d’avoir vu ce pilote avant cet épisode dans un souci de compréhension.
- Le sniper: ‘Dempsey, remember Joey? This is from Coltrane!’
- Butch met une glace sous le nez de Galactica/Harriet: ‘Wanna lick?’ [Un coup de langue ?]. Harriet: ‘No thanks’. [Non, merci]
- Dernière image de la première partie. Coltrane, à New York, sachant que Dempsey et Lupino ne font qu’une seule personne: ‘He’s just the man for the job!’ To be continued.
Le passé de Dempsey ressurgit. Afin de coincer le flic véreux new-yorkais qui a provoqué sa venue à Londres, Dempsey disparaît et se transforme en Johnny Lupino, moustachu et marginal.
Les plus: la séquence d’ouverture dans les entrepôts désaffectés des docks- une des plus belles entames de la série (vidéo), les beaux ‘restes’ de Jill St. John- quinze ans après avoir été James Bond girl, la boite de nuit (la danse Harriet/Dempsey et Blossom de la ‘police academy’), le récit de Dempsey, ponctué de flashbacks, dans la chambre de Makepeace.
Les moins : Ray Smith, très amaigri (malade ?), Conrad, le méchant transparent, la partie de billards, la moustache de Lupino/Dempsey, Butch, le gros lourdaud, la visite guidée de Londres avec ‘Galactica’ : ‘Show us the sights !’ et le peu d’action de cette première partie.
- Ce double épisode a rassemblé plus de 15 millions de téléspectateurs lors de sa 1ère diffusion au Royaume-Uni ce qui représente à peu près trois fois ce qu’une série enregistre de nos jours.
- Pas de générique habituel. L’épisode commence comme le téléfilm. A noter que Jill St. John est en ‘special guest star’ avant Ray Smith (Spikings) au générique.
-Il y a de nombreux flashbacks provenant du pilote et il est préférable d’avoir vu ce pilote avant cet épisode dans un souci de compréhension.
- Le sniper: ‘Dempsey, remember Joey? This is from Coltrane!’
- Butch met une glace sous le nez de Galactica/Harriet: ‘Wanna lick?’ [Un coup de langue ?]. Harriet: ‘No thanks’. [Non, merci]
- Dernière image de la première partie. Coltrane, à New York, sachant que Dempsey et Lupino ne font qu’une seule personne: ‘He’s just the man for the job!’ To be continued.
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3/2 The Burning, Part 2
Le gang que Dempsey/Lupino a infiltré est prêt à commettre un énorme casse pour financer un arrivage de drogues. L’américain ne se doute pas que Coltrane l’a démasqué. Tout se complique lorsque Makepeace est faite prisonnière…
Les plus : les tenues sexy de Makepeace (le top jaune ‘révélateur’, l’Emmapeeler bleu marine), la visite d’Harriet chez ‘Lupino’, le coup de bluff de Dempsey (‘She’s a cop, undercover’), l’échange Makepeace/Mara (Début de la vidéo), le vol de lingots, la réaction de Dempsey apprenant le ‘décès’ d’Harriet.
Les moins : le début de l’épisode (répétition de l’attaque, Mara et le trafiquant), Makepeace piégée comme une débutante et reprise à chaque évasion, les lieux glauques de tournage, les longs préparatifs du casse, les perpétuels ‘Gov’ [chef] de Chas, le lèche-bottes, le final avec la réapparition théâtrale de Makepeace et sa réplique stupide : ‘I care about you Dempsey, but if you fire that gun I swear I'll shoot you.’
- Coltrane, l’ennemi récurrent de Dempsey, n’est pas interprété par le même acteur. Dans le pilote, Un homme dangereux, Desmond Cullum-Jones (1924-2002) est Coltrane. Dans cet entame de la saison trois, le rôle est repris par l’acteur canadien Bruce Boa (1930-2004).
- La première minute, pré-distribution, est un résumé de la première partie.
- Lors de l’accrochage, la Ford de Makepeace n’est pas endommagée. On ne voit pas le coté censé être abimé lors de la collision et dans le plan suivant (l’arrivée à l’entrepôt), la voiture est filmée du ‘bon’ coté. Economie oblige !
- Makepeace à Mara après avoir pris une bonne gifle : ‘Hurts, doesn’t it? The truth!’ (vidéo)
Les plus : les tenues sexy de Makepeace (le top jaune ‘révélateur’, l’Emmapeeler bleu marine), la visite d’Harriet chez ‘Lupino’, le coup de bluff de Dempsey (‘She’s a cop, undercover’), l’échange Makepeace/Mara (Début de la vidéo), le vol de lingots, la réaction de Dempsey apprenant le ‘décès’ d’Harriet.
Les moins : le début de l’épisode (répétition de l’attaque, Mara et le trafiquant), Makepeace piégée comme une débutante et reprise à chaque évasion, les lieux glauques de tournage, les longs préparatifs du casse, les perpétuels ‘Gov’ [chef] de Chas, le lèche-bottes, le final avec la réapparition théâtrale de Makepeace et sa réplique stupide : ‘I care about you Dempsey, but if you fire that gun I swear I'll shoot you.’
- Coltrane, l’ennemi récurrent de Dempsey, n’est pas interprété par le même acteur. Dans le pilote, Un homme dangereux, Desmond Cullum-Jones (1924-2002) est Coltrane. Dans cet entame de la saison trois, le rôle est repris par l’acteur canadien Bruce Boa (1930-2004).
- La première minute, pré-distribution, est un résumé de la première partie.
- Lors de l’accrochage, la Ford de Makepeace n’est pas endommagée. On ne voit pas le coté censé être abimé lors de la collision et dans le plan suivant (l’arrivée à l’entrepôt), la voiture est filmée du ‘bon’ coté. Economie oblige !
- Makepeace à Mara après avoir pris une bonne gifle : ‘Hurts, doesn’t it? The truth!’ (vidéo)
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3/3 Jericho Scam
Un des plus mauvais de la série. Peut-être concurrencé par l’épisode…suivant !
Les plus :pas grand-chose - la poursuite sous la pluie en Rolls, séquence pré-générique, Makepeace sifflée, le choc des pelleteuses [/b](vidéo à 5’20).
Les moins :l’intrigue dans le bâtiment, aussi fine que du papier à cigarette, l’horripilant inspecteur Lacey, le rythme de l’épisode excessivement lent, l’humour défaillant, les travaux dans les bureaux du SI10, l’attitude mitigée de Makepeace pour aider son collègue (‘My duty to arrest you’), le final bâclé dans le chantier.
- Le générique de la troisième saison (pour la première fois à l’écran) a de nombreux extraits de la seconde saison.
- Le lieu de résidence de Simmons se trouve à Fox Hill.
- Le restaurant L’escargot, où Makepeace dinent avec des amis, se trouve à Greek Street dans le quartier de Soho.
- Le jeu de mots sur ‘late’ intraduisible pour ‘retard’ et ‘décédé’ lorsque Dempsey s’entretient avec Harris.
Les plus :pas grand-chose - la poursuite sous la pluie en Rolls, séquence pré-générique, Makepeace sifflée, le choc des pelleteuses [/b](vidéo à 5’20).
Les moins :l’intrigue dans le bâtiment, aussi fine que du papier à cigarette, l’horripilant inspecteur Lacey, le rythme de l’épisode excessivement lent, l’humour défaillant, les travaux dans les bureaux du SI10, l’attitude mitigée de Makepeace pour aider son collègue (‘My duty to arrest you’), le final bâclé dans le chantier.
- Le générique de la troisième saison (pour la première fois à l’écran) a de nombreux extraits de la seconde saison.
- Le lieu de résidence de Simmons se trouve à Fox Hill.
- Le restaurant L’escargot, où Makepeace dinent avec des amis, se trouve à Greek Street dans le quartier de Soho.
- Le jeu de mots sur ‘late’ intraduisible pour ‘retard’ et ‘décédé’ lorsque Dempsey s’entretient avec Harris.
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3/4 The Prizefighter
A la vue de cette ‘catastrophe’, on comprend pourquoi il n’y a pas eu de quatrième saison. La suite de la troisième, chargée de nuages noirs comme cet épisode, n’aura, en fait, que deux rayons de soleil…
Les plus : Y a-t-il quelque chose à sauver ? La scène pré-générique avec le retour de Dempsey et Makepeace d’une soirée au petit matin. (vidéo)
Les moins : Tout ce qu’il y a après le générique ! Plus on avance dans l’épisode, plus l’essence de la série est absente. Beaucoup de bavardages (les écoutes lors du premier combat n’en finissent pas), pas d’humour mais des niaiseries et une histoire de voiture volée récurrente, superflue et stupide. Dempsey et Makepeace en couple américain sont ridicules, les seconds rôles sont transparents et le final est nul à pleurer. Même les tenues de nos deux héros laissent à désirer (voir photo).
- Dempsey donne à Makepeace le verre dans lequel il a bu (celui de la main droite).
- D.C. Fry (interprété par Kim Wall) reviendra dans l’épisode The Cortez Connection.
- Jetez un coup d’œil sur le calendrier dans le van de la police pendant les écoutes ; ca aide à passer le temps !
- Mountaintop, le boxeur impressionnant du final, est George Lane Cooper vu dans l’épisode Otage des TNA.
Les plus : Y a-t-il quelque chose à sauver ? La scène pré-générique avec le retour de Dempsey et Makepeace d’une soirée au petit matin. (vidéo)
Les moins : Tout ce qu’il y a après le générique ! Plus on avance dans l’épisode, plus l’essence de la série est absente. Beaucoup de bavardages (les écoutes lors du premier combat n’en finissent pas), pas d’humour mais des niaiseries et une histoire de voiture volée récurrente, superflue et stupide. Dempsey et Makepeace en couple américain sont ridicules, les seconds rôles sont transparents et le final est nul à pleurer. Même les tenues de nos deux héros laissent à désirer (voir photo).
- Dempsey donne à Makepeace le verre dans lequel il a bu (celui de la main droite).
- D.C. Fry (interprété par Kim Wall) reviendra dans l’épisode The Cortez Connection.
- Jetez un coup d’œil sur le calendrier dans le van de la police pendant les écoutes ; ca aide à passer le temps !
- Mountaintop, le boxeur impressionnant du final, est George Lane Cooper vu dans l’épisode Otage des TNA.
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3/6 Bird of Prey
Les plus : en cherchant bien, on peut citer la scène chez l’ancienne petite amie de Lymon où Dempsey abat en légitime défense la personne recherchée (‘I thought we had a deal’) (début de la vidéo).
Les moins : tout mais en particulier : l’intrigue plate sans suspens, l’absence de scènes ou de répliques humoristiques, les nombreux flashbacks parfois au ralenti, les discussions lassantes Spikings/la femme témoin, les quelques notes de musique répétitives sans oublier le grand dadais qui va se chercher ses plumes au zoo et l’affreuse robe à fleurs de mamie de Makepeace au début de l’épisode !
- les nombreux flashbacks proviennent du dixième épisode de la seconde saison, The Bogeyman. C’est en quelque sorte la première partie de cet épisode. Il est préférable d’avoir vu The Bogeyman avant cet épisode surtout qu’il était nettement meilleur.
Les moins : tout mais en particulier : l’intrigue plate sans suspens, l’absence de scènes ou de répliques humoristiques, les nombreux flashbacks parfois au ralenti, les discussions lassantes Spikings/la femme témoin, les quelques notes de musique répétitives sans oublier le grand dadais qui va se chercher ses plumes au zoo et l’affreuse robe à fleurs de mamie de Makepeace au début de l’épisode !
- les nombreux flashbacks proviennent du dixième épisode de la seconde saison, The Bogeyman. C’est en quelque sorte la première partie de cet épisode. Il est préférable d’avoir vu The Bogeyman avant cet épisode surtout qu’il était nettement meilleur.
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3/7 Out of Darkness
Un tueur en série nargue la police en lui distillant des indices et désigne Harriet Makepeace comme interlocutrice. Elle devient ainsi sa prochaine cible.
Un épisode très noir et l’entame angoissante fait même penser à un film d’horreur ! Comme toujours, la série a la capacité d’alterner la comédie et le drame y compris dans le choix de la partition musicale. Tournée en hiver dans un Londres gris et parfois enneigé, cette histoire a une atmosphère glauque et prenante, inhabituelle à la série. Elle fait inévitablement penser à l’épisode référence en la matière de Kojak ; Girl in the River, saison 1. La particularité de Thriller Killer est qu’il vit avec ses victimes, toutes brunes et ressemblants à son ex-femme, avant de les assassiner dans les vingt heures. Il joue au chat et à la souris avec les enquêteurs en leur envoyant des enregistrements et le pub à l’orchestre de jazz permet à Dempsey et Makepeace de localiser l’appartement de la dernière victime ce qu’avait anticipé le tueur. Dempsey a la certitude que le psychopathe veut se faire attraper ce qui est confirmé par l’envoi des enregistrements, le délai de survie de sa dernière proie et le dénouement dans St James’s Park.
Les plus :l’atmosphère de l’épisode, l’intrusion du psychopathe chez sa victime (scène pré-générique), Makepeace affectée par le sort des femmes assassinées, les seconds rôles-le tueur et Terry, sa victime, la piste du parc enneigé (vidéo de 1’50 à 4’) à la longue séquence dans le vieil entrepôt (à partir de 5’), le final dans St James’s Park et les onze coups de Big Ben.
Les moins :seulement le manque d’humour, néanmoins très compréhensible pour ce type d’épisode qui est, pour moi, le meilleur des 30.
- Makepeace regarde dans la baignoire dans l’appartement car c’est là que furent découvertes les deux premières victimes.
- Dans l’appartement de Terry, il y a un livre en allemand sur les chocolats suisses dont le titre est bizarrement orthographié, ‘Feine Schweizer Chocolade’, et un livre de l’écrivain américain Chester Himes (1909-1984), The Crazy Kill écrit en 1959 (sorti en France sous le titre Couché dans le pain).
- Il existe effectivement un pub Carlton Tavern à Londres mais pas à l’adresse High Road, W2 comme précisé par Spikings.
- Le réveil dans l’évier qui sonne à midi est à l’effigie de Roland Rat : The Series (1986), un peu dans le genre du Muppets Show.
Un épisode très noir et l’entame angoissante fait même penser à un film d’horreur ! Comme toujours, la série a la capacité d’alterner la comédie et le drame y compris dans le choix de la partition musicale. Tournée en hiver dans un Londres gris et parfois enneigé, cette histoire a une atmosphère glauque et prenante, inhabituelle à la série. Elle fait inévitablement penser à l’épisode référence en la matière de Kojak ; Girl in the River, saison 1. La particularité de Thriller Killer est qu’il vit avec ses victimes, toutes brunes et ressemblants à son ex-femme, avant de les assassiner dans les vingt heures. Il joue au chat et à la souris avec les enquêteurs en leur envoyant des enregistrements et le pub à l’orchestre de jazz permet à Dempsey et Makepeace de localiser l’appartement de la dernière victime ce qu’avait anticipé le tueur. Dempsey a la certitude que le psychopathe veut se faire attraper ce qui est confirmé par l’envoi des enregistrements, le délai de survie de sa dernière proie et le dénouement dans St James’s Park.
Les plus :l’atmosphère de l’épisode, l’intrusion du psychopathe chez sa victime (scène pré-générique), Makepeace affectée par le sort des femmes assassinées, les seconds rôles-le tueur et Terry, sa victime, la piste du parc enneigé (vidéo de 1’50 à 4’) à la longue séquence dans le vieil entrepôt (à partir de 5’), le final dans St James’s Park et les onze coups de Big Ben.
Les moins :seulement le manque d’humour, néanmoins très compréhensible pour ce type d’épisode qui est, pour moi, le meilleur des 30.
- Makepeace regarde dans la baignoire dans l’appartement car c’est là que furent découvertes les deux premières victimes.
- Dans l’appartement de Terry, il y a un livre en allemand sur les chocolats suisses dont le titre est bizarrement orthographié, ‘Feine Schweizer Chocolade’, et un livre de l’écrivain américain Chester Himes (1909-1984), The Crazy Kill écrit en 1959 (sorti en France sous le titre Couché dans le pain).
- Il existe effectivement un pub Carlton Tavern à Londres mais pas à l’adresse High Road, W2 comme précisé par Spikings.
- Le réveil dans l’évier qui sonne à midi est à l’effigie de Roland Rat : The Series (1986), un peu dans le genre du Muppets Show.
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3/8 The Cortez Connection
Deuxième épisode (sur 28) pour lequel je change ma note initiale.
Deux §§ au lieu d’§ pour cet épisode.
Les plus :le début de l’épisode - le policier photographe démasqué (scène pré-générique) et la tentative d’interception du camion rouge qui ressemble à une séquence tirée d’un James Bond (vidéo de 4’30 à 6’42), l’arrestation de l’homme de main, Cortez trafiquant convaincant et le final ‘western’.
Les moins : l’apparition de Simone sur Tower Bridge hélant un taxi ; scène ‘bouche-trou’ annonciatrice de beaucoup trop d’autres comme le pas de danse dans l’appartement de Dempsey, l’essayage de vêtements avec Makepeace et surtout la longue séquence du trio au bar de pianiste, certains seconds rôles comme Fry (discussion administrative avec Chas) et, par moments, Simone la picolo.
- Quelques échanges en espagnol non sous-titrés mais ne présentant pas un intérêt primordial (scène pré-générique, dans les docks).
- D.C. Fry (interprété par Kim Wall) était déjà dans la distribution de l’épisode The Prizefighter.
- Où a-t-on péché ce titre français sans aucune…’connection’ avec l’histoire ou le titre original ?
- Lorsque Simone appelle Gordon Spikings, elle lui demande : ‘Are you Irish ?’. Réponse de Spikings: ‘Irish? I’m Welsh !’. Ray Smith (1936-1991) est, en effet, né et décédé au Pays de Galles et il fut membre du Plaid Cymru, le parti nationaliste gallois. Il vécut au Pays de Galles jusqu’à son décès d’une crise cardiaque à l’âge de 55 ans.
- Simone et Dempsey dansent sur Hippy Hippy Shake des Beatles.
- La réplique de Dempsey: ‘There is only one thing worse than waiting for one woman, it’s waiting for two!’[Il n’y a qu’une seule chose pire que d’attendre une femme, c’est d’en attendre deux!]
- La doublure de Michael Brandon est visible lorsque Dempsey s’accroche au camion.
- Makepeace surprise que Simone ait retrouvé la trace de Dempsey: ‘So eh, how come she could find you when the whole of the New York Police Department don't know where you are?’. Pourtant, depuis l’épisode en deux parties du début de saison The Burning, la police new yorkaise n’est plus censée être dans le secret de la localisation de Dempsey…
Deux §§ au lieu d’§ pour cet épisode.
Les plus :le début de l’épisode - le policier photographe démasqué (scène pré-générique) et la tentative d’interception du camion rouge qui ressemble à une séquence tirée d’un James Bond (vidéo de 4’30 à 6’42), l’arrestation de l’homme de main, Cortez trafiquant convaincant et le final ‘western’.
Les moins : l’apparition de Simone sur Tower Bridge hélant un taxi ; scène ‘bouche-trou’ annonciatrice de beaucoup trop d’autres comme le pas de danse dans l’appartement de Dempsey, l’essayage de vêtements avec Makepeace et surtout la longue séquence du trio au bar de pianiste, certains seconds rôles comme Fry (discussion administrative avec Chas) et, par moments, Simone la picolo.
- Quelques échanges en espagnol non sous-titrés mais ne présentant pas un intérêt primordial (scène pré-générique, dans les docks).
- D.C. Fry (interprété par Kim Wall) était déjà dans la distribution de l’épisode The Prizefighter.
- Où a-t-on péché ce titre français sans aucune…’connection’ avec l’histoire ou le titre original ?
- Lorsque Simone appelle Gordon Spikings, elle lui demande : ‘Are you Irish ?’. Réponse de Spikings: ‘Irish? I’m Welsh !’. Ray Smith (1936-1991) est, en effet, né et décédé au Pays de Galles et il fut membre du Plaid Cymru, le parti nationaliste gallois. Il vécut au Pays de Galles jusqu’à son décès d’une crise cardiaque à l’âge de 55 ans.
- Simone et Dempsey dansent sur Hippy Hippy Shake des Beatles.
- La réplique de Dempsey: ‘There is only one thing worse than waiting for one woman, it’s waiting for two!’[Il n’y a qu’une seule chose pire que d’attendre une femme, c’est d’en attendre deux!]
- La doublure de Michael Brandon est visible lorsque Dempsey s’accroche au camion.
- Makepeace surprise que Simone ait retrouvé la trace de Dempsey: ‘So eh, how come she could find you when the whole of the New York Police Department don't know where you are?’. Pourtant, depuis l’épisode en deux parties du début de saison The Burning, la police new yorkaise n’est plus censée être dans le secret de la localisation de Dempsey…
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