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NEW YORK, 30 oct 2012 (AFP) - La méga-tempête Sandy a violemment balayé la côte est des Etats-Unis, inondant pour une large part Manhattan plongée dans le noir, et paralysant l'activité dans la région la plus peuplée du pays, faisant sur son passage au moins 13 morts.

La paralysie de la région et le chaos annoncé - plusieurs millions de foyers étaient privés d'électricité - ont aussi mis en suspens la campagne électorale à huit jours de l'élection présidentielle.

Et si c'est toute une région dont il faut soigner les stigmates mardi matin, c'est à New York que les effets du cyclone ont été les plus durs.

L'East River et la Hudson River ont inondé des tunnels alors que des vents violents et des pluies torrentielles s'abattaient sur la ville, des trombes d'eau envahissant les rues du sud de Manhattan dans le secteur de Battery Park, une partie du quartier de Chelsea à l'ouest, et plusieurs rues à l'Est.

"Le bas Manhattan est complètement recouvert par l'eau de mer. Je n'exagère pas. L'eau s'engouffre dans le tunnel de Battery", a écrit Howard Glaser, directeur des opérations pour l'Etat de New York et conseiller du gouverneur Andrew Cuomo, sur son compte Twitter @hglaser1.

Dans les rues, on pouvait voir de nombreuses voitures de police dont les gyrophares étaient le plus souvent les seules lumières du quartier.

Les coupures d'électricité qui touchaient 500.000 personnes lundi soir, a aussi plongé dans le noir la moitié sud de Manhattan, donnant des airs de fin du monde aux photos de grattes-ciel éteints échangés pendant la nuit sur les réseaux sociaux.

Sous terre, la tempête a fait des dégâts historiques. "Le métro new-yorkais a 108 ans mais il n'avait jamais fait face à une catastrophe aussi dévastatrice telle que celle que nous avons vu la nuit dernière", a déclaré Joseph Lhota, le directeur de l'autorité de contrôle du métro (MTA).

Sept tunnels du métro new-yorkais ont été inondés en raison de la montée des eaux provoquée par Sandy.

Dans tout l'Etat de New York, 1,5 million de personnes étaient sans électricité et au moins cinq personnes ont été tuées par le cyclone, dont un homme de 30 ans, à la suite de la chute d'un arbre dans le Queens, a annoncé un porte-parole du gouverneur Andrew Cuomo.

Les autorités locales voisines des Etats du New Jersey, de Pennsylvanie, de Virginie Occidentale et de Caroline du Nord ont fait état lundi soir de douze morts, et la police de Toronto a indiqué qu'une Canadienne avait été tuée par des débris emportés par des rafales de vent.

Ces morts s'ajoutent aux 67 morts provoqués ces derniers jours par le passage de l'ouragan dans les Caraïbes avant de remonter vers le nord, le long de la côte atlantique, et de toucher terre aux Etats-Unis, dans le New Jersey lundi soir.



"Les eaux sont montées jusqu'à 4m15"

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Premier signal positif après le passage du cyclone, le niveau de l'eau a commencé à redescendre à New York, en toute fin de soirée lundi, a annoncé le maire de New York Michael Bloomberg.

Les eaux sont montées jusqu'à 4m15 à la marée montante dans le quartier de Battery Park au sud de Manhattan. Vers minuit (04H00 GMT), elles étaient redescendues à 3m et continuaient à baisser, a-t-il précisé sur son site internet.

"Le cyclone post-tropical Sandy a touché terre près d'Atlantic City vers 20H00" (00H00 GMT), a indiqué le NHC dans un bulletin spécial. Il a touché terre à quelque 10 kilomètres d'Atlantic City, le "Las Vegas de la côte est", où ses effets se sont fait sentir dès le matin.

"La priorité est de faire en sorte de sauver des vies", avait déclaré Barack Obama lors d'une allocution à la Maison Blanche à l'issue d'une réunion de crise. L'interruption de sa campagne à un moment crucial lui a permis d'endosser le costume présidentiel et de rappeler qu'il est le "commandant en chef", loin de l'inertie reprochée à George W. Bush lors de l'ouragan Katrina en 2005.

Le candidat républicain Mitt Romney a annoncé lundi avoir remplacé une réunion électorale mardi par un rassemblement d'"aide" aux victimes de Sandy dans l'Ohio, un des Etats clés du nord.



le HMS Bounty, un trois-mâts, a coulé"

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En mer, la tempête a provoqué la perte d'un trois-mâts, le HMS Bounty, réplique de la célèbre frégate anglaise dont l'équipage s'était mutiné au XVIIIe siècle. Sur un équipage de 16 personnes, 14 ont été secourues, une est décédée et une dernière, le capitaine du navire, était toujours recherchée.

La compagnie Amtrak a suspendu toutes ses liaisons ferroviaires et routières sur la côte tandis que plus de 12.000 vols intérieurs et internationaux ont été annulés, selon le site internet flightaware.com.

Dans le centre de Manhattan, à New York, une grue au sommet d'un immeuble de 90 étages en construction s'est partiellement effondrée sous l'effet des bourrasques.

Dans les zones bordant l'East et l'Hudson River à Manhattan, à Brooklyn et Staten Island, nombre des 375.000 habitants sommés d'évacuer ont préféré se barricader chez eux.

Les dommages causés par Sandy pourraient s'élever à 10 à 20 milliards de dollars de dégâts, selon le cabinet d'études en gestion du risque Eqecat.

Dans la capitale fédérale Washington, les fonctionnaires et écoliers ont été à nouveau appelés à rester chez eux mardi. Ecoles et transports en commun devaient également rester fermés à New York.

denis a écrit:Les suspects d'Echirolles : des chances pour la France comme disait l'autre !

LONGREACH (Australie), 05 nov 2012 (AFP) - Le prince Charles et son épouse Camilla étaient attendus en Australie lundi après une étape en Papouasie-Nouvelle-Guinée, dans le cadre d'une tournée dans le Pacifique à l'occasion du jubilé de diamant de la reine Elizabeth II.

Charles, fils aîné de la reine, et Camilla, duchesse de Cornouailles, devaient atterrir à Longreach, au coeur de la province orientale du Queensland, où a été fondée en 1920 la compagnie aérienne historique du pays, Qantas.

Ils y visiteront le "Stockman's Hall of Fame" inauguré en 1988 par Elizabeth, panthéon des pionniers de l'Australie intérieure, et rendront hommage aux médecins du "Royal Flying Doctor Service" qui soignent les populations isolées en se déplaçant à bord de petits avions.

Puis ils feront une immersion dans la vie traditionnelle du "bush" en participant à un barbecue arrosé de bière fraîche.

Le couple princier, qui a passé deux jours en Papouasie-Nouvelle-Guinée, doit également se rendre à Melbourne, Adelaide, Hobart, Sydney et Canberra avant de s'envoler pour la Nouvelle-Zélande où Charles fêtera le 14 novembre son 64ème anniversaire.

A l'occasion de son jubilé de diamant, Elizabeth II a décidé de dépêcher les membres de la famille royale dans une quinzaine de pays du Commonwealth, dont elle est chef d'Etat.

William, fils aîné de Charles et de la défunte princesse Diana, a passé neuf jours en Asie-Pacifique au mois de septembre avec son épouse Kate.

Dearesttara a écrit:En Californie, où c'est une véritable industrie, généralement, ils n'en mettent pas - question de coût comme le dit l'article -. Plus il y'a de partenaires, plus c'est dangereux pourtant. Mais bon, les acteurs savent les risques, tant pis pour eux... Un point sur lequel la France a l'avantage : on est moins "bling-bling", moins spectaculaire, mais au moins, les acteurs diminuent nos risques en en mettant.

denis a écrit:Eh, Gégé, tu t'es vu quand t'as bu ?

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Même si je le chambrais un peu il y a quelques semaines, je dois dire qu'il a en dans le coffre en demandant la nationalité belge. Cela provoque l'émoi des gaucho-bobos du gouvernement. Mais, c'est en fait le ras-le-bol généralisé des Français, qui a tous les niveaux de la société ont l'impression de remplir la gamelle pour que d'autres viennent y bouffer. D'ailleurs, les plus de 80% qui comprennent Gégé sur ce sondage ont ce même avis. Il n'y a pas que les 'riches' qui sont taxés pour pouvoir fare vivre les assistés en tout genre qui viennent quémander des aides chez nous...
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Ce n'est pas un sondage, c'est un vote organisé sur "Le Figaro", où ce sont les lecteurs du "Figaro", officiellement reconnu comme "le quotidien de la bourgeoisie française", c'est-à-dire essentiellement des privilégiés comme Depardieu qui habitent les beaux quartiers, donc rien d'étonnant à ce qu'ils "comprennent" un friqué comme eux.
Si on fait un sondage sur "Marianne" ou "Le nouvel obs", on aura bien entendu des réponses différentes.

J'aime bien Depardieu en tant qu'acteur, c'est même un de mes préférés, mais en tant qu'homme beaucoup moins, surtout depuis quelques années. C'est vraiment devenu un grossier personnage, un ivrogne qui pisse devant les hôtesses de l'air, qui plus est dangereux par sa conduite. Il part en Belgique et les belges sont contents? Si ça leur plaît d'être taxés plein pot (pour les particuliers belges, c'est l'enfer fiscal) pendant que les riches étrangers comme lui ne paient presque rien, c'est leur problème. Bonne affaire pour nous puisque s'il doit tuer quelqu'un en scooter, c'est en Belgique qu'il le fera, pas en France.

Je trouve curieux la réaction des UMP, un parti prétendument "patriote" (tu parles...), qui défend un type qui veut renier la nationalité française. Il n'y a pas que cette histoire d'impôts, déjà il y a un an, il avait dépeint les Français sous un jour défavorable dans une interview à une télé suisse. C'est ça, le patriotisme de l'UMP, défendre ceux qui vont planquer leur pognon à l'étranger? Belle mentalité! Surtout que pendant les 5 ans de Sarkozy, la part des prélèvements obligatoires par rapport au PIB a augmenté de 1,5%, alors feraient mieux de se regarder quand ils parlent de "matraquage".

Il y a quelques années, Depardieu a raconté sa vie dans un bouquin. C'est un fils de gitan, donc nomade il est né, nomade il restera. Il a toujours soutenu Mitterrand, puis Frêche dans le Languedoc où il a une propriété. Donc la gauche n'a pas à pavoiser non plus, puisqu'il vient de chez elle... tout comme Gilbert Collard, l'avocat-député FN. Avec la réussite, Depardieu est devenu le symbole de cette nouvelle classe de riches mondialisés totalement apatrides, ou plutôt qui n'a plus qu'une seule patrie: l'argent.

Denis, je m'étonne que tu soutiennes un type totalement apatride, anti-patriote, un gitan cosmopolite et "européen avant d'être Français". Je serais curieux d'avoir l'avis du FN sur ce sujet, d'ailleurs, d'autant plus que j'ai vu l'autre jour Florian Philippot qui souhaitait que l'impôt devienne plus progressif pour "plus taxer les riches".

Il ne faut pas confondre: tu nous parles de l'utilisation de l'argent récolté, mais Depardieu il s'en moque pas mal. Vu les idées développées dans son bouquin, il est même probable que les subventions aux associations, le pognon filé aux immigrés, il y est très favorable. D'autant plus que c'est bien grâce aux subventions filées au cinéma qu'il a pu s'extirper de la fange où il était pour faire carrière... Au fait, ne va-t-il pas lui même encaisser le pognon des ASSEDIC entre 2 films où il gagne des millions, au nom du très juteux système d'indemnisation des "intermittents du spectacle" qu'il a toujours défendu? Voilà donc un type qui a largement profité du système: cinéma subventionné, ASSEDIC, et qui vient cracher dans la soupe qui l'a fait grandir, parce que maintenant qu'il est grand, il n'en a plus besoin! Même si cet argent était rigoureusement utilisé, il ne changerait pas d'avis, son problème est qu'il veut en garder le plus possible pour lui. Cela est d'ailleurs compréhensible, je connais peu de gens qui souhaitent payer plus d'impôts , mais enfin quand on voit son train de vie, son palace de Saint-Germain-des-Prés qu'il vient de mettre en vente, on se dit qu'il n'est pas à plaindre, vraiment, c'est curieux, comment a -t-il fait pour se payer ça avec tous ces impôts "confiscatoires"?

Des gens comme toi et moi n'ont absolument rien à voir avec les gens comme Depardieu, les mettre tous ensemble dans une espèce d'intérêt commun contre l'excès de prélèvements n'a pas de sens. Moi je suis pour qu'on allège les impôts de la classe moyenne, pas du tout pour les gens comme lui, qui ont bien plus les moyens que nous de les payer. Mais tous ces riches privilégiés qui viennent essayer de faire pleurer sur leur sort, je trouve ça totalement indécent, comme d'ailleurs la plupart des Français, hormis les lecteurs du "Figaro", qui ne sont guère représentatifs de la "classe moyenne", il faut bien le dire.

Phil DLM a écrit:Ce n'est pas un sondage, c'est un vote organisé sur "Le Figaro", où ce sont les lecteurs du "Figaro", officiellement reconnu comme "le quotidien de la bourgeoisie française", c'est-à-dire essentiellement des privilégiés comme Depardieu qui habitent les beaux quartiers, donc rien d'étonnant à ce qu'ils "comprennent" un friqué comme eux.

denis a écrit:Crois-tu qu'il n'y a que les 'riches friqués' qui lisent Le Figaro en ligne ? Faut arrêter cette jalousie maladive, typiquement française, pour ceux qui gagnent du pognon! Je ne suis pas un inconditionnel de Depardieu, loin de là (suffit de voir certains de mes posts), mais qu'on lui foute la paix, il a le droit d'aller vivre où il veut ! Je trouve complétement déplacé les commentaires de Zérault and co. Le comportement de Depardieu traduit le ressenti des Français à partir des classes moyennes qui ont de plus en plus l'impression de se faire presser.

Je ne crois rien, je constate, c'est tout. La seule fois de ma vie que j'ai vu "Le Figaro" livré à domicile chez certains de mes voisins, c'est lorsque j'habitais dans le 16ème arrondissement de Paris. OK, il n'y a pas que des "riches" qui lisent "le Figaro", mais ceux-ci constituent quand même le lectorat de base de ce journal.

Mais il n'y a aucune "jalousie maladive" de ma part, si j'étais intéressé par l'argent, je ne travaillerais pas à 80%, et je ne serais pas dans la fonction publique, ce n'est pas là qu'on devient riche. D'ailleurs les collègues ou relations très à gauche ou mélenchonistes me considèrent généralement comme un affreux social-libéral. Non, tant mieux pour les artistes, sportifs s'il gagnent de l'argent. A condition qu'ils aient du talent, et Depardieu en a à revendre, ce n'est pas contestable. C'est quand même un monde de se faire taxer aussitôt "d'anti-riches" et de "jaloux" parce qu'on critique la décision d'exil fiscal d'un acteur à l'ego surdimensionné. Parce que tu as posté un message l'autre jour sur l'ego surdimensionné de certains participants à ce forum. Mais que dire alors de l'ego de Depardieu? "Et que je fais travailler 80 personnes! Et que vous faîtes fuir le talent, M. le premier ministre!" Quelle modestie! Le type même du petit parvenu qui a pris la grosse tête! Et son "qui êtes vous pour me donner des leçons?" A la place d'Ayrault, je lui aurais répondu "Je suis le premier ministre de la France, choisi par le président élu par les Français, alors que toi, tu n'es qu'un saltimbanque!"

Simplement, il est permis de préférer ceux qui, contre vents et marées, restent en France, à ceux qui s'expatrient. Sardou plutôt que Pagny. Sans compter que question talent, le pourvoyeur de daubes Pagny est loin derrière Sardou...

Je choisis l'exemple Sardou à dessein, parce que justement tu ne pourras pas venir me dire que c'est un "gaucho bobo". Même chose pour Line Renaud, qui a condamné elle aussi l'attitude de Depardieu. Sur le site du "Point", Hervé Gattegno, le rédacteur en chef, a dit la même chose qu'Ayrault, que le choix de Depardieu en effet est assez "minable". Sardou, le "Point", ce ne sont pas des gauchos-bobos, tout de même? Et moi-même? Les gauchos-bobos, ils me considèrent plutôt comme un facho, en raison de mes positions sur l'islamisation.

En revanche, je note que pas mal d'artistes dans la mouvance gaucho-bobo soutiennent Depardieu: Fanny Ardant, Patrick Bruel... D'autre part, tu auras du mal à faire passer Depardieu, avec ses 120 millions d'euros de patrimoine, comme membre de la "classe moyenne"...

Je dois reconnaître que j'ai fait la paix avec Sardou, après l'avoir détesté pendant des années. D'abord, il a rompu avec Sarkozy. Et maintenant, voici son discours après l'affaire Depardieu: "Moi, je reste en France. Je gagne beaucoup d'argent, et le gouvernement a demandé un effort particulier, limité à 2 ans, aux plus aisés d'entre nous. Ce n'est pas au moment où le pays est en difficultés que je vais partir en disant "Salut! Je vous laisse avec vos ennuis!". Voilà quelqu'un qui se prétend patriote depuis des années, mais qui dans son comportement prouve qu'il l'est réellement.

Alors, tu as le droit, au nom d'une espèce d'anti-fiscalisme irraisonné (comme si l'argent des impôts et cotisations sociales servait exclusivement aux immigrés, alors qu'il sert à payer les retraites que nous toucherons tous un jour si nous vivons assez longtemps, qu'il sert à financer les écoles, les hôpitaux et aussi... à payer ton salaire de fonctionnaire ), de préférer les purs égoïstes qui vont planquer leur pognon à l'étranger... tout en s'installant le plus près possible de la frontière française, moi je préfère les vrais patriotes qui restent en France contre vents et marées. En la matière, ça peut être aussi une question d'intérêt. Car en agissant ainsi, Depardieu vient déjà de faire siffler son nom dans je ne sais plus quel festival, et si ceux qui n'apprécient pas son choix ne vont plus voir ses films, n'achètent plus ses DVD, je ne suis pas sûr qu'au final, il soit financièrement gagnant...

A contrario, Sardou vient après-demain chanter dans notre ville. Je ne suis pas fan, je n'irai pas le voir, je ne partage pas la plupart de ses idées, mais je lui souhaite la bienvenue. Et j'espère que, pour tous ceux qui, comme lui, ont choisi de rester malgré les efforts consentis, le gouvernement tiendra sa parole et supprimera sa taxe exceptionnelle de 75% au bout de 2 ans.

Quant au "Figaro" et à ses lecteurs, dis-toi bien que ce ne sont pas tes amis. La plupart de ces gens-là ne pensent qu'à une seule chose, revenir sur les quelques avantages dont tu disposes dans la fonction publique, et même à supprimer ton statut. Lis le courrier des lecteurs et les messages des internautes si tu ne me crois pas.

denis a écrit:
Sur Hollande, il a attendu le second jour de sa visite en Algérie pour s'auto-flageoller comme le moine du Nom de la Rose. Tout à fait à son image de mou qu'il véhicule dans les médias. Avec le discours que j'ai entendu ce matin sur France-Info (une chaine qui buvait du 'petit lait'), on se dit qu'il a baissé le pantalon, mis de la vaseline et tendu le manche à balai. Fort à parier que les réactions dans la journée vont être, avec raison, cinglantes comme jamais...Un gouvernement qui n'a comme programme que la repentance et une destruction de la société, avec le mariage gay...Pathétique!

denis a écrit: On y apprend qu’un ancien imam d’Argenteuil, kurde irakien, Yashar Ali, est assigné à résidence, dans une petite ville bretonne, Arostrenen, depuis cinq années et demi. Pour le garder à l’œil, l’Etat, généreux, lui paie le gite et le couvert, à hauteur de 1.500 euros par mois. Avant d’être envoyé respirer le bon air iodé des Côtes d’Armor, le sympathique imam avait été logé, durant trois ans, dans un hôtel trois étoiles, en Lozère, à Mende. Depuis huit ans, ce brave disciple de la religion d’amour, de tolérance et de paix nous a donc coûté la bagatelle de 155.000 euros.

Depuis huit ans... J'en conclus que Chirac, Sarkozy, Hollande: les présidents changent, mais les choses, elles, ne changent pas.

BRUXELLES, 28 déc 2012 (AFP) - Les uns affirment qu'elle est née sur un pont de Paris, les autres sur les bords de la Meuse: Français et Belges revendiquent la paternité de la frite, ce plat emblématique dont les origines plongent dans la culture populaire des deux pays.

"La frite est une fille de la cuisine de rue, de basse extraction. C'est pour cela qu'il est difficile d'établir son certificat de naissance", explique l'historienne française Madeleine Ferrière.

Le mystère des origines du bâtonnet de pomme de terre trempé dans l'huile bouillante intrigue les spécialistes de la gastronomie, en particulier en Belgique où la frite fait partie du patrimoine national.

"Les Belges adorent les frites mais il n'y a eu aucune recherche scientifique sérieuse sur ce sujet jusqu'à récemment", a souligné Pierre Leclerc, professeur à l'Université de Liège, lors d'un débat sur "les origines de la frite" qui s'est récemment tenu à Bruxelles en clôture de l'Année de la gastronomie, Brusselicious.

Ce flou historique a permis à de multiples hypothèses, voire de légendes, de prospérer.

En France, est ainsi défendue la "pomme frite Pont neuf", qui aurait été inventée par des marchands ambulants sur le plus vieux pont de Paris au lendemain de la Révolution de 1789. "Ils proposaient de la friture, des marrons chauds et des tranches de patate rissolées", raconte Madeleine Ferrière.

Cette thèse a longtemps été en vogue, notamment auprès des écrivains. "C'est parisien le goût des frites", a ainsi écrit Louis Ferdinand Céline dans "Voyage au bout de la nuit".

Mais pour certains Belges, la frite serait née à Namur, dans le sud du pays. Ses habitants avaient l'habitude de pêcher dans la Meuse du menu fretin et de le faire frire. Ce qui fut impossible lorsque la rivière gela lors d'un hiver particulièrement rigoureux au milieu du XVIIe siècle. A la place, ils découpèrent des pommes de terre en forme de petits poissons, selon Pierre Leclerc, qui relate cette histoire tout en la jugeant peu vraisemblable.



Avec les doigts

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"Finalement, on se fiche d'où vient la frite. L'important, c'est la façon dont elle a été adoptée", lance Roel Jacobs, spécialiste de la culture de Bruxelles.

"Les Français et les Belges ont choisi des voies différentes. Pour les premiers, la frite accompagne une viande, normalement un steak, alors que les Belges mangent souvent les frites seules, accompagnées d'une sauce", selon lui.

"Nous, les Belges, avons fait de la frite un produit noble, pas un simple légume", renchérit Albert Verdeyen, cuisinier et co-auteur de l'ouvrage "Carrément frites". "Et surtout, nous maîtrisons mieux que quiconque l'art de la double cuisson, afin qu'elles soient dorées et croustillantes".

Si les Français piquent la frite avec une fourchette dans une assiette, au restaurant ou à la maison, les Belges préfèrent nettement la manger avec les doigts, à n'importe quelle heure.

S'est ainsi développé un réseau serré de "fritkot", ou baraques à frites, sur les places, le long des boulevards ou devant les gares de Wallonie comme de Flandre. "Il y a 5.000 friteries et plus de 90% des Belges y vont au moins une fois par an", affirme fièrement Bernard Lefèvre, président de l'Union des frituristes.

"Aller à la friterie, c'est le comble de la +belgitude+", résume Philippe Ratzel, qui possède le fritkot Clémentine, l'un des plus populaires de Bruxelles. "Chez moi, vous pouvez rencontrer en même temps la petite vieille qui s'arrête en promenant son chien, l'étudiant ou le ministre qui habite dans le coin".

Mais, à l'intérieur des baraques, les choses changent: les frituriers d'origine étrangère sont de plus en plus nombreux, comme en témoigne l'entrée du mot "frietchinees" ("friturier chinois") dans le dictionnaire de référence de la langue néerlandaise en Belgique.

Phil DLM a écrit:

Hier, j'ai vu un sujet du JT sur les soldes à Londres. Incroyable: des tas d'Asiatiques, d'Indiens, d'africaines enturbannées et voilées, et pas un seul européen! Y-a-t'il encore des Anglais de souche à Londres? ça m'a paru pire que le jour où j'ai dû aller à Pantin, c'est tout dire...

Décidément, l'Angleterre des "Avengers" se meurt... Le plus étonnant est qu'il n'y ait aucune réaction: moi qui croyais le peuple anglais très fier, attaché à ses traditions, il n'est même pas capable de montrer son désaccord en faisant émerger un parti national-patriote comme il en existe désormais dans la plupart des pays européens, et laisse son élite possédante détruire tout son passé, toutes ses traditions par sa cupidité, son avidité sans limite de profits, qui la conduit à laisser s'installer en masse une main d'œuvre allogène à bon marché. Lamentable! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

LONDRES, 28 déc 2012 (AFP) - Le Premier ministre britannique Margaret Thatcher a été stupéfaite en 1982 que l'Argentine envahisse les Malouines, archipel de l'Atlantique Sud, provoquant un conflit de 74 jours, selon des documents officiels secrets déclassifiés vendredi.

"Je n'ai jamais, jamais pensé que l'Argentine envahirait les Malouines directement. C'était une chose tellement stupide à faire", a déclaré Mme Thatcher devant une commission d'enquête britannique sur les Malouines en octobre 1982, quatre mois après la fin de la guerre, selon des documents déclassifiés consultés par la BBC.

Le 31 mars 1982, deux jours avant l'invasion, Mme Thatcher apprend cependant des services de renseignements britanniques qu'une intervention argentine est imminente.

"Ce fut le pire jour de ma vie", témoigne Mme Thatcher en octobre 1982, ajoutant: "Cette nuit-là, personne n'a pu me dire si nous pourrions reprendre les Malouines. Personne. On ne savait pas". "On ne savait pas", répète-t-elle.

Les documents déclassifiés révèlent aussi que Mme Thatcher a tout fait pour empêcher la France de vendre des missiles Exocet au Pérou, de crainte qu'ils ne soient ensuite passés à l'Argentine qui en avait déjà tiré pour couler des navires britanniques.

Dans un télégramme au président français de l'époque François Mitterrand le 30 mai 1982, le Premier ministre britannique prévient: "Si le monde apprenait - comme ce serait probablement le cas - que la France livre maintenant au Pérou des armes qui seront certainement passées à l'Argentine pour être utilisées contre nous, l'allié de la France, cela aurait un effet dévastateur sur les relations entre nos deux pays".

"Cela aurait un effet désastreux sur l'Alliance", ajoute-t-elle en référence à l'Otan.

Le lendemain, un diplomate français, Francis Gutmann, informe le conseiller spécial de Mme Thatcher chargé des Malouines que les missiles ne seront pas livrés.

Enfin, la "Dame de fer" a résisté aux pressions du président américain Ronald Reagan, qui tentait de la convaincre d'accepter une force de paix internationale sur l'archipel, selon des documents déclassifiés consultés par l'agence PA.

Le 31 mai 1982, deux semaines avant la fin du conflit, M. Reagan appelle Mme Thatcher à Downing Street: "Le Royaume-Uni ayant désormais l'avantage militaire, il devrait parvenir à un accord". Et Mme Thatcher de lui répondre: "Le Royaume-Uni n'a pas perdu des vies précieuses dans la bataille et envoyé une énorme force pour remettre les îles de la Reine aux mains d'un groupe de contact".

Le conflit des Malouines - du 2 avril au 14 juin 1982 - s'est soldé par la défaite de l'Argentine et la mort de quelque 900 soldats. L'archipel des Malouines, au large de la Patagonie, est sous contrôle du Royaume-Uni depuis qu'il en a chassé les autorités argentines en 1833. Buenos Aires continue d'en réclamer la souveraineté.