Série(s) "Arsène Lupin"
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Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Patricks a écrit:J'avais gardé de la série avec Descrières un souvenir excellent, or en le revoyant de nos jours, il fait une prestation narcissique, peu d'action, de nombreuses scènes où il est auto satisfait, réexplique ce que le spectateur a déjà bien compris.
Exemple: "La femme aux deux sourires", avec la chanteuse Raffaella Carra, dur de tenir jusqu'au bout.
Dans "Arsène Lupin prend des vacances", pareil, des longueurs. L'épisode est interminable.
Il me semblait que c'était cent fois mieux que cela, ou alors cela a mal vieilli
Lorsque je regardais enfant "Arsène Lupin", j'aimais beaucoup (qu'est ce que ça a en effet mal vieilli), mais ce qui m'avait marqué déjà enfant était effectivement la composition que faisait Descrières du personnage...Ce personnage, "voyou au grand coeur" et censé défendre les opprimés passait les 3/4 de son temps à faire de l'auto-satisfaction et du narcissisme appuyé du genre :"Arsène Lupin ne se trompe jamais" ou bien "Ca ne peut pas arriver à Arsène Lupin", "On ne la fait pas à Arsène Lupin" ou encore "Ne t'amuses pas à ça avec Arsène Lupin mon coco"... Finalement il avait réussi à faire du héros un personnage "puant d'orgueil" et, je crois que petit c'est ce paradoxe qui me fascinait : un personnage "au grand coeur" mais dont l' égo parfois démesuré faisait que l'on se demandait s'il n'exécutait pas ses "bonnes actions" en partie pour sa satisfaction personnelle et sa renommée...
séribibi- Roi (Reine)
- Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Le personnage des romans est beaucoup plus noir que celui de la série avec Descrières.
Il suffit de comparer par exemple deux romans dramatiques: "l'aiguille creuse" qui chez descrières devient : "le mystère de Gesvre"+"Le secret de l'aiguille", une comédie
et "La comtesse de Cagliostro" chez Descrières devient une chasse au trésor/jeu de piste: "les sept anneaux de Cagliostro"
Il suffit de comparer par exemple deux romans dramatiques: "l'aiguille creuse" qui chez descrières devient : "le mystère de Gesvre"+"Le secret de l'aiguille", une comédie
et "La comtesse de Cagliostro" chez Descrières devient une chasse au trésor/jeu de piste: "les sept anneaux de Cagliostro"
Invité- Invité
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Il y a quelques temps,dans un livre, dont je ne me souviens plus le titre, et qui était un genre de "dictionnaire des acteurs", j'ai pu lire, au nom de Georges Descrières, que celui-ci......était mort il y a peu, suite à une maladie virale (sais plus exactement), sur la table d'opérations !!!!!!!!!!!!!!
Dernière édition par le Sam 29 Déc 2007 - 19:59, édité 1 fois
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
....évidemment, suite à ça j'ai vérifié je sais plus trop où et ai pu constater....qu'il était bien vivant !!!!!
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Tout dépend de ce que l'on entend par "mort", pour un acteur...
Bon, ceci est une mauvaise plaisanterie, la dernière de l'année, je vous le promets.
Bon, ceci est une mauvaise plaisanterie, la dernière de l'année, je vous le promets.
Marc- Marquis(e)
- Age : 58
Localisation : Paris
Date d'inscription : 09/10/2005
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Tu t'engages sur le long-terme là...Marc a écrit:Bon, ceci est une mauvaise plaisanterie, la dernière de l'année, je vous le promets.
Invité- Invité
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Ait depuis vu plusieurs épisodes d'Arsène Lupin avec Descrières... pas plu. Malgré une prestation remarquable (bien qu'anachronique) d'Henri Virlogeux en avatar de Sherlock Holmes, dans un des épisodes...
Invité- Invité
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Henri Virlogeux (mort en 95) a joué dans plusieurs épisodes d'Arsène Lupin avec Descrières...Et aussi dans "Arsène Lupin contre Arsène Lupin" (1962).
La série avec Descrières, malgré un regard "moderne" porté sur le personnage, a paradoxalement assez mal vieilli. Et les réalisations (surtout les épisodes en co-production) étaient souvent académiques...
C'est une série que j'adorais quand j'étais enfant.
La série avec Descrières, malgré un regard "moderne" porté sur le personnage, a paradoxalement assez mal vieilli. Et les réalisations (surtout les épisodes en co-production) étaient souvent académiques...
C'est une série que j'adorais quand j'étais enfant.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
A noter que dans la série avec Descrières, le personnage qu'interprétait Virlogeux s'appelait "Herlock Sholmess" et non "Sherlock Holmes"; un clin d'oeil bien évidemment.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
séribibi a écrit:A noter que dans la série avec Descrières, le personnage qu'interprétait Virlogeux s'appelait "Herlock Sholmess" et non "Sherlock Holmes"; un clin d'oeil bien évidemment.
Question de droit sûrement !
Invité- Invité
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Ce n'est pas "dans la série avec Descrières"... C'est déja dans les romans de Maurice Leblanc. Un clin d'oeil/hommage au couple Holmes/Watson. Avec Lupin c'est Sholmes/Wilson.
J'adore les confrontations entre l'anglais et le français ; 2 égos surdimensionnés qui se livrent des duels sans merci non dénués d'humour.
J'adore les confrontations entre l'anglais et le français ; 2 égos surdimensionnés qui se livrent des duels sans merci non dénués d'humour.
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Merci pour cette précision.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Quelques éléments supplémentaires : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ars%C3%A8ne_Lupin_contre_Herlock_Sholm%C3%A8s
Virlogeux est excellent dans ce rôle, on lui doit quelques uns des meilleurs moments de la série!
Virlogeux est excellent dans ce rôle, on lui doit quelques uns des meilleurs moments de la série!
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
J'ai acheté le DVD de la 1ère saison Descrières en même temps que le DVD Sam et Sally. Vu les 3 premiers épisodes. Je suis déjà satisfait qu'ils aient gardé pour le générique de fin la première chanson de Dutronc, ma préférée, car on pouvait penser qu'elle serait remplacée par la seconde, qui a plus marqué les esprits.
Pas de pilote dans cette série, aucune présentation des personnages dans le 1er épisode qui démarre direct sur une scène de cambriolage. Ce "bouchon de cristal" est d'ailleurs assez décevant, on voit la difficulté d'adapter à l'écran en 55 minutes un long roman à l'intrigue compliquée. Trop de temps morts. Mais de bons passages, dont le duel entre Lupin et Daniel Gélin:
Gélin (méprisant): -j'imagine que vos parents étaient pauvres, mais honnêtes...
Lupin: -c'est à peu près ça.
Gélin: -les miens étaient déjà banquiers...
Un bel affrontement.
Les 2 suivants sont meilleurs: "Victor de la brigade mondaine", orienté comédie et qui a vraisemblablement inspiré Claude Desailly pour l'épisode des Brigades du Tigre "Don de Scotland Yard".
"Arsène Lupin contre Herlock Sholmes": belle performance de Virlogeux. Je m'attendais à voir un Sholmes vieillard barbu, ventripotent et affublé d'un affreux accent anglais donc agréable surprise.
J'aime assez l'ambiance et les décors années folles qui créent une atmosphère sophistiquée, et le charme des protagonistes féminines: Nadine Alari puis la ravissante Marthe Keller. J'aime beaucoup aussi le générique du début, tant visuellement que pour la musique de Bourtayre, idem pour celui de fin. Je n'avais pas revu d'épisode depuis les premiers passages TV.
Mes premières impressions sont que la série a peut-être moins mal vieilli que je ne le pensais. Reste à savoir si cela va se confirmer avec la suite...
Pas de pilote dans cette série, aucune présentation des personnages dans le 1er épisode qui démarre direct sur une scène de cambriolage. Ce "bouchon de cristal" est d'ailleurs assez décevant, on voit la difficulté d'adapter à l'écran en 55 minutes un long roman à l'intrigue compliquée. Trop de temps morts. Mais de bons passages, dont le duel entre Lupin et Daniel Gélin:
Gélin (méprisant): -j'imagine que vos parents étaient pauvres, mais honnêtes...
Lupin: -c'est à peu près ça.
Gélin: -les miens étaient déjà banquiers...
Un bel affrontement.
Les 2 suivants sont meilleurs: "Victor de la brigade mondaine", orienté comédie et qui a vraisemblablement inspiré Claude Desailly pour l'épisode des Brigades du Tigre "Don de Scotland Yard".
"Arsène Lupin contre Herlock Sholmes": belle performance de Virlogeux. Je m'attendais à voir un Sholmes vieillard barbu, ventripotent et affublé d'un affreux accent anglais donc agréable surprise.
J'aime assez l'ambiance et les décors années folles qui créent une atmosphère sophistiquée, et le charme des protagonistes féminines: Nadine Alari puis la ravissante Marthe Keller. J'aime beaucoup aussi le générique du début, tant visuellement que pour la musique de Bourtayre, idem pour celui de fin. Je n'avais pas revu d'épisode depuis les premiers passages TV.
Mes premières impressions sont que la série a peut-être moins mal vieilli que je ne le pensais. Reste à savoir si cela va se confirmer avec la suite...
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
J'ai vu très peu d'épisodes avec Georges Descrière, bien qu'Ishtyar m'ait offert un coffret de cassettes vidéo il y a déjà quelques années.
Pour moi, Arsène Lupin c'est, d'abord et avant tout, les romans : je les ai dévorés dès l'âge de 10 ans environ, profitant à l'époque d'une réédition par Le Livre de Poche, et relus ensuite à 17 ans (ce qui m'a valu de redoubler ma terminale ).
J'ai commencé par les plus faciles, les plus drôles – que de bons souvenirs – puis les plus ardus, plus sérieux, mes préférés : Le bouchon de cristal, 813, Le triangle d'or.
Mon grand favori reste L'aiguille creuse : j'avais même acheté La guerre des Gaules de Jules César, pour vérifier si vraiment il y mentionnait cette fameuse aiguille creuse ! (Toujours un petit frisson d'émotion quand je la vois, en photo ou en réalité.)
La relecture du Triangle d'or m'avait incitée à visiter ce coin de Paris qu'il décrit, sur les berges du 16e arrondissement : il y a bien longtemps que les demeures avec de grands parcs descendant jusqu'au fleuve ont disparu, mais cette visite m'avait permis de découvrir la rue Berton, plutôt une ruelle étroite, pavée, où se trouve encore une borne en pierre délimitant les communes de Passy et d'Auteuil. S'y trouve également l'arrière de la maison de l'écrivain Balzac (en bas de page cette rue Berton et la borne. C'est aussi cet escalier que dégringole, après y avoir été poussé, ce malheureux privé Nestor Burma dans un des romans).
Le roman de Maurice Leblanc que j'ai le moins aimé : L'île aux trente cercueils, très sombre, pas d'humour et de plus Arsène Lupin n'apparaît que très peu, à la fin. D'ailleurs l'adaptation en épisodes pour la télévision en 1979 se passe de lui !
Ce que j'appréciais également c'est que le héros ne demeure pas un éternel jeune, mais vieillit naturellement : une vingtaine d'années avec la comtesse de Cagliostro, encore inexpérimenté, puis la quarantaine sportive, pratiquant alors les arts martiaux qui débarquaient en Europe mais également la savate, la canne-épée, exceptionnellement les armes à feu.
Oui, Arsène Lupin est du genre "m'as-tu vu", fanfaron, pas du tout discret !
J'appréciais également la fidélité et l'immense respect des hommes de sa "bande", et Arsène Lupin ne les laissant jamais tomber s'ils étaient pris par la police (quelques spectaculaires évasions !).
Et puis il suffisait d'écrire son nom à la craie sur les murs de Paris pour qu'il accourt à la rescousse ! Avouerai-je que je l'ai écrit au moins une fois, on ne sait jamais, des fois que... ?
Conclusion : à 12 ans j'étais amoureuse d'Arsène Lupin et je ne voulais épouser qu'un de ses descendants ! Imagination, quand tu nous tiens !
À noter que : Certains considèrent que Maurice Leblanc – d'abord journaliste – se serait inspiré, pour donner vie à Arsène Lupin, de l’anarchiste Marius Jacob, qui commit 150 cambriolages qui lui valurent 23 ans de prison.
Pour moi, Arsène Lupin c'est, d'abord et avant tout, les romans : je les ai dévorés dès l'âge de 10 ans environ, profitant à l'époque d'une réédition par Le Livre de Poche, et relus ensuite à 17 ans (ce qui m'a valu de redoubler ma terminale ).
J'ai commencé par les plus faciles, les plus drôles – que de bons souvenirs – puis les plus ardus, plus sérieux, mes préférés : Le bouchon de cristal, 813, Le triangle d'or.
Mon grand favori reste L'aiguille creuse : j'avais même acheté La guerre des Gaules de Jules César, pour vérifier si vraiment il y mentionnait cette fameuse aiguille creuse ! (Toujours un petit frisson d'émotion quand je la vois, en photo ou en réalité.)
La relecture du Triangle d'or m'avait incitée à visiter ce coin de Paris qu'il décrit, sur les berges du 16e arrondissement : il y a bien longtemps que les demeures avec de grands parcs descendant jusqu'au fleuve ont disparu, mais cette visite m'avait permis de découvrir la rue Berton, plutôt une ruelle étroite, pavée, où se trouve encore une borne en pierre délimitant les communes de Passy et d'Auteuil. S'y trouve également l'arrière de la maison de l'écrivain Balzac (en bas de page cette rue Berton et la borne. C'est aussi cet escalier que dégringole, après y avoir été poussé, ce malheureux privé Nestor Burma dans un des romans).
Le roman de Maurice Leblanc que j'ai le moins aimé : L'île aux trente cercueils, très sombre, pas d'humour et de plus Arsène Lupin n'apparaît que très peu, à la fin. D'ailleurs l'adaptation en épisodes pour la télévision en 1979 se passe de lui !
Ce que j'appréciais également c'est que le héros ne demeure pas un éternel jeune, mais vieillit naturellement : une vingtaine d'années avec la comtesse de Cagliostro, encore inexpérimenté, puis la quarantaine sportive, pratiquant alors les arts martiaux qui débarquaient en Europe mais également la savate, la canne-épée, exceptionnellement les armes à feu.
Oui, Arsène Lupin est du genre "m'as-tu vu", fanfaron, pas du tout discret !
J'appréciais également la fidélité et l'immense respect des hommes de sa "bande", et Arsène Lupin ne les laissant jamais tomber s'ils étaient pris par la police (quelques spectaculaires évasions !).
Et puis il suffisait d'écrire son nom à la craie sur les murs de Paris pour qu'il accourt à la rescousse ! Avouerai-je que je l'ai écrit au moins une fois, on ne sait jamais, des fois que... ?
Conclusion : à 12 ans j'étais amoureuse d'Arsène Lupin et je ne voulais épouser qu'un de ses descendants ! Imagination, quand tu nous tiens !
À noter que : Certains considèrent que Maurice Leblanc – d'abord journaliste – se serait inspiré, pour donner vie à Arsène Lupin, de l’anarchiste Marius Jacob, qui commit 150 cambriolages qui lui valurent 23 ans de prison.
klokloh- Marquis(e)
- Age : 67
Localisation : Savigny sur Orge (91)
Date d'inscription : 04/02/2009
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Oui, mais vue de l'autre côté on la voit mieux :
klokloh- Marquis(e)
- Age : 67
Localisation : Savigny sur Orge (91)
Date d'inscription : 04/02/2009
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Durant les Années Folles, Arsène Lupin affole la Préfecture de police par l’élégante audace de ses forfaits. Expert en déguisements, identités d’emprunt et ouvertures de coffre-fort, il dévalise régulièrement les plus grandes fortunes de France, s’avérant grand amateur d’œuvres d’art. Raffiné et érudit, Arsène ne manque pas non plus de panache, laissant toujours une carte de visite comme souvenir de sa visite. Adversaire résolu de la violence, il se montre également un parfait galant homme, ce qui lui vaut le surnom de Gentleman Cambrioleur de la part d’une presse avide de ses exploits. Les autorités lui opposent leur meilleur élément en la personne du Commissaire Guerchard, sans cesse battu par un Lupin prenant toujours un malin plaisir à ridiculiser les institutions. Le redoutable Herlock Sholmès lui donnera davantage de fil à retordre. Mais la cambriole de haut vol ne constitue qu’une partie des activités de Lupin. Au fil de ses aventures, assisté par son fidèle Grognard,il se révèle bien davantage un redresseur de torts, s’opposant à des crapules autrement plus sinistres que lui, volant au secours de demoiselles en péril ou résolvant de mystérieuses énigmes.
A l’instar d’autres grandes figures de la littérature populaire, Arsène Lupin se vit rapidement porté au cinéma (1932). Il y vécut plusieurs aventures, dont la plus marquante demeure sans doute Les Aventures d'Arsène Lupin (1957), grâce à la gouaille narquoise de Robert Lamoureux. Assez inévitablement, de par la popularité jamais démentie du personnage et de sa tradition de mise en avant du patrimoine culturel français, l’ORTF s’en vint à son tour à s’intéresser au héros de Maurice Leblanc. Il était d’ailleurs grand temps, car les premières aventures télévisées d’Arsène furent brésiliennes (1957) puis québécoises (1960) ! En 1971 Lupin fit donc son apparition sur les étranges lucarnes françaises, pour une première salve de 13 épisodes. Le succès se trouvant au rendez-vous, une seconde saison fut diffusée en 1973/1974. Contrairement à ce qu’indiquent certains coffrets DVD, il n’y eut jamais de troisième saison ! La série marqua son temps et demeure encore aujourd’hui dans le souvenir du public. Deux autres versions lui succédèrent, Arsène Lupin joue et perd avec Jean-Claude Brialy (1980), certainement plus proche des romans, et Le retour d’Arsène Lupin (1989 et 1995), avec François Dunoyer. Lupin reste absent de la version télévisée de L'Ile aux Trente Cercueils (1979).
Fruit d’une important coproduction internationale regroupant pas moins de sept autres pays, La série de l’ORTF dispose de moyens conséquent. Elle va les employer au service de récits entraînants et souvent humoristiques, ce Lupin s’avérant plus divertissant et léger que le sombre rebelle de Leblanc, davantage complexe et tourmenté. La série n’hésite d’ailleurs pas à transforme dans de vastes proportions les intrigues originelles, allant bien loin dans ce domaine que plus tard un parfois audacieux Poirot. Cela n’ira pas sans faire grincer quelques dents chez les Lupinophiles, partisans du personnage littéraire et qui perçoivent ici une caricature parodique (à l’image de divers Holmésiens distingués devant le film de Guy Ritchie). La nécessité de situer plusieurs intrigues dans les pays européens cofinançant la production a encore accentué cette réécriture.
Dans sa grande majorité le public accorde cependant le meilleur accueil à cette version, car immédiatement séduit par divers atouts. L’ORTF démontre ainsi son talent coutumier pour les reconstitutions d’époque, les moyens dégagés lui autorisant une recréation pétillante et convaincante des Années Folles. L’humour fait souvent mouche grâce aux situations rocambolesques, aux scénarios assez variés, aux déguisements de Lupin dignes d’un Artemus Gordon, mais aussi à des dialogues finement ciselés. Les répliques gagnent encore en éclat grâce à l’impressionnante distribution où l’on retrouve de nombreux grands noms de l’écran et du théâtre français, toujours parfaitement dans leur emploi : Roger Carel, Henri Virlojeux, Raymond Bussières, Corinne Le Poulain, Marthe Keller, Gérard Darmon, Jacques Balutin, Bernard Giraudeau, Henri Tisot, Jean-Marc Thibault, Daniel Gélin, Marc Dudicourt et tant d'autres encore.
Menant cette farandole, le Sociétaire et futur Doyen de la Comédie Française Georges Descrières prend un plaisir manifeste et communicatif à s’encanailler, à côté des grands rôles du répertoire. Son panache et son charme conviennent idéalement à cette version du protagoniste et il va s’imposer comme l’irremplaçable locomotive de la production. La réalisation se situe dans les canons du temps, c'est-à-dire certainement pas sur le tempo d’un 24h Chrono ou d’un Alias, mais elle demeure suffisamment alerte pour ne pas trop empeser le format de 52 minutes. Pour parachever son succès Arsène Lupin s’enjolive d’un superbe générique, avec une musique de Jean-Pierre Bourtayre. Il est rejoint, pour celui de fin, par Jacques Dutronc. Celui-ci signe deux titres devenus indissociables de la série: L’Arsène (saison 1) et Gentleman Cambrioleur (saison 2).
A l’instar d’autres grandes figures de la littérature populaire, Arsène Lupin se vit rapidement porté au cinéma (1932). Il y vécut plusieurs aventures, dont la plus marquante demeure sans doute Les Aventures d'Arsène Lupin (1957), grâce à la gouaille narquoise de Robert Lamoureux. Assez inévitablement, de par la popularité jamais démentie du personnage et de sa tradition de mise en avant du patrimoine culturel français, l’ORTF s’en vint à son tour à s’intéresser au héros de Maurice Leblanc. Il était d’ailleurs grand temps, car les premières aventures télévisées d’Arsène furent brésiliennes (1957) puis québécoises (1960) ! En 1971 Lupin fit donc son apparition sur les étranges lucarnes françaises, pour une première salve de 13 épisodes. Le succès se trouvant au rendez-vous, une seconde saison fut diffusée en 1973/1974. Contrairement à ce qu’indiquent certains coffrets DVD, il n’y eut jamais de troisième saison ! La série marqua son temps et demeure encore aujourd’hui dans le souvenir du public. Deux autres versions lui succédèrent, Arsène Lupin joue et perd avec Jean-Claude Brialy (1980), certainement plus proche des romans, et Le retour d’Arsène Lupin (1989 et 1995), avec François Dunoyer. Lupin reste absent de la version télévisée de L'Ile aux Trente Cercueils (1979).
Fruit d’une important coproduction internationale regroupant pas moins de sept autres pays, La série de l’ORTF dispose de moyens conséquent. Elle va les employer au service de récits entraînants et souvent humoristiques, ce Lupin s’avérant plus divertissant et léger que le sombre rebelle de Leblanc, davantage complexe et tourmenté. La série n’hésite d’ailleurs pas à transforme dans de vastes proportions les intrigues originelles, allant bien loin dans ce domaine que plus tard un parfois audacieux Poirot. Cela n’ira pas sans faire grincer quelques dents chez les Lupinophiles, partisans du personnage littéraire et qui perçoivent ici une caricature parodique (à l’image de divers Holmésiens distingués devant le film de Guy Ritchie). La nécessité de situer plusieurs intrigues dans les pays européens cofinançant la production a encore accentué cette réécriture.
Dans sa grande majorité le public accorde cependant le meilleur accueil à cette version, car immédiatement séduit par divers atouts. L’ORTF démontre ainsi son talent coutumier pour les reconstitutions d’époque, les moyens dégagés lui autorisant une recréation pétillante et convaincante des Années Folles. L’humour fait souvent mouche grâce aux situations rocambolesques, aux scénarios assez variés, aux déguisements de Lupin dignes d’un Artemus Gordon, mais aussi à des dialogues finement ciselés. Les répliques gagnent encore en éclat grâce à l’impressionnante distribution où l’on retrouve de nombreux grands noms de l’écran et du théâtre français, toujours parfaitement dans leur emploi : Roger Carel, Henri Virlojeux, Raymond Bussières, Corinne Le Poulain, Marthe Keller, Gérard Darmon, Jacques Balutin, Bernard Giraudeau, Henri Tisot, Jean-Marc Thibault, Daniel Gélin, Marc Dudicourt et tant d'autres encore.
Menant cette farandole, le Sociétaire et futur Doyen de la Comédie Française Georges Descrières prend un plaisir manifeste et communicatif à s’encanailler, à côté des grands rôles du répertoire. Son panache et son charme conviennent idéalement à cette version du protagoniste et il va s’imposer comme l’irremplaçable locomotive de la production. La réalisation se situe dans les canons du temps, c'est-à-dire certainement pas sur le tempo d’un 24h Chrono ou d’un Alias, mais elle demeure suffisamment alerte pour ne pas trop empeser le format de 52 minutes. Pour parachever son succès Arsène Lupin s’enjolive d’un superbe générique, avec une musique de Jean-Pierre Bourtayre. Il est rejoint, pour celui de fin, par Jacques Dutronc. Celui-ci signe deux titres devenus indissociables de la série: L’Arsène (saison 1) et Gentleman Cambrioleur (saison 2).
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Je trouve le Arsène Lupin du 1er épisode ("Le bouchon de cristal") beaucoup plus sombre et réaliste par rapport à ce qu'il deviendra dans les épisodes suivants, où on le verra cabotinant, un rien arrogant, sûr de lui (trop), un poil égocentrique...
Ce premier épisode a une atmosphère plus dramatique que les autres...
Ce premier épisode a une atmosphère plus dramatique que les autres...
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Oui, plus sombre que la suite, également du fait de la menace du Rasoir National et du personnage de Daubrecq, campé par un étonnant Daniel Gélin. On est loin des Saintes Chéries ! La critique dans les tous prochains jours.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Certainement, mais ce 1er épisode me laisse un goût bizarre. D'un coté, de beaux duels verbaux entre Gélin et Descrières, mais de l'autre, la lenteur du récit qui s'enlise rapidement dans d'interminables temps morts.
Cette série est pour moi une exception car j'ai préféré la seconde saison que la première, ce qui est exceptionnel dans une série en 2 saisons. Mais dans la 1ère, il y a trop d'épisodes à l'étranger. Paradoxalement, la diminution du nombre de coproducteurs étrangers a amélioré la qualité de la série lors de la seconde saison. Certains épisodes "étrangers" de la 1ère saison dégagent un ennui mortel.
Je regrette aussi qu'il y ait trop d'aventures où Lupin mène des enquêtes au lieu d'affronter la police, aspect qui m'avait déjà énervé lors de la diffusion initiale (pourtant, j'étais bien jeune...)
Cette série aurait pu être beaucoup mieux que ce qu'elle a été. Leblanc n'a pas été assez respecté? Je trouve au contraire qu'ils auraient dû s'en éloigner encore plus pour donner du tonus à la série. Les 2 aventures de la 1ère saison inventées pour la série, donc non adaptées de Leblanc, sont d'ailleurs fort réussies.
Finalement, ce qu'il y a de mieux sur cette série, ce sont les génériques, tant au niveau visuel (modernisme qui n'a pas pris une ride au contraire des histoires qui ont mal vieilli) que sonore avec la musique du début et les 2 génériques de fin.
Cette série est pour moi une exception car j'ai préféré la seconde saison que la première, ce qui est exceptionnel dans une série en 2 saisons. Mais dans la 1ère, il y a trop d'épisodes à l'étranger. Paradoxalement, la diminution du nombre de coproducteurs étrangers a amélioré la qualité de la série lors de la seconde saison. Certains épisodes "étrangers" de la 1ère saison dégagent un ennui mortel.
Je regrette aussi qu'il y ait trop d'aventures où Lupin mène des enquêtes au lieu d'affronter la police, aspect qui m'avait déjà énervé lors de la diffusion initiale (pourtant, j'étais bien jeune...)
Cette série aurait pu être beaucoup mieux que ce qu'elle a été. Leblanc n'a pas été assez respecté? Je trouve au contraire qu'ils auraient dû s'en éloigner encore plus pour donner du tonus à la série. Les 2 aventures de la 1ère saison inventées pour la série, donc non adaptées de Leblanc, sont d'ailleurs fort réussies.
Finalement, ce qu'il y a de mieux sur cette série, ce sont les génériques, tant au niveau visuel (modernisme qui n'a pas pris une ride au contraire des histoires qui ont mal vieilli) que sonore avec la musique du début et les 2 génériques de fin.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Moi aussi je préfère la seconde saison à la 1ère, je la trouve plus travaillée, loin du côté un peu tatonnant de la 1ère.
Il y a de bons épisodes dans la seconde saison, où Arsène Lupin mène seul l'enquête : "les 8 coups de l'horloge", "La demeure mystérieuse" (le 1er épisode que j'ai découvert, dans "la une est à vous")
Il y a de bons épisodes dans la seconde saison, où Arsène Lupin mène seul l'enquête : "les 8 coups de l'horloge", "La demeure mystérieuse" (le 1er épisode que j'ai découvert, dans "la une est à vous")
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Intervantion visant à dynamiser l'intérêt de la série :
http://www.lemonde.fr/week-end/video/2011/02/11/qu-est-ce-que-la-craie-qui-forme-les-falaises-d-etretat_1478795_1477893.html
http://www.lemonde.fr/week-end/video/2011/02/11/qu-est-ce-que-la-craie-qui-forme-les-falaises-d-etretat_1478795_1477893.html
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Cela se voit que vous n'étiez pas devant votre petit écran le 18 décembre 1973 lorsque commença la seconde saison de "Arsène Lupin" : ce fut une foule de critiques public et journaux, car la première saison avait fait un triomphe, et la seconde désappointa la public. Les meilleurs romans et nouvelles avaient été adaptés, et s'il n'y a pas eu de troisième saison, croyez bien que ce fut à la suite d'insuccès de la seconde. Télé Poche qui mettait trois étoiles à la première avec des épisodes comme "Le bouchon de cristal, "Victor de la brigade mondaine, "Arsène Lupin contre Herlock Sholmes :le diamant bleu", mit une étoile à des épisodes nullissimes comme "La danseuse de Rottenburg".
Et l'épisode "Double jeu" NE FUT PAS DIFFUSE. C'est le Saison 2 épisode 12. Il y avait grève ce soir là, et l'ORTF commençait à partir en lambeaux. Chance inespéré pour moi car nous n'avions qu'un poste, et mes parents voulaient voir la 2
Top à Joe Dassin + Arsène Lupin épisode 12 saison 2 "Double jeu"
Sur la Une, il y avait "La double vie de Mademoiselle de la Faille" avec Muriel Baptiste.
Mes parents auraient eu le dessus sans cette grève providentielle
La semaine suivante, la 2 ORTF diffusa "Le coffre fort de Mme Imbert" et "Double jeu" passa à la trappe !
Mauvais perdants, mes parents me laissèrent seuls devant la Une ce soir là, et je décidai de m'acheter avec mes économies un petit poste noir et blanc portable pour que plus jamais une querelle pareille ne survienne.
Et l'épisode "Double jeu" NE FUT PAS DIFFUSE. C'est le Saison 2 épisode 12. Il y avait grève ce soir là, et l'ORTF commençait à partir en lambeaux. Chance inespéré pour moi car nous n'avions qu'un poste, et mes parents voulaient voir la 2
Top à Joe Dassin + Arsène Lupin épisode 12 saison 2 "Double jeu"
Sur la Une, il y avait "La double vie de Mademoiselle de la Faille" avec Muriel Baptiste.
Mes parents auraient eu le dessus sans cette grève providentielle
La semaine suivante, la 2 ORTF diffusa "Le coffre fort de Mme Imbert" et "Double jeu" passa à la trappe !
Mauvais perdants, mes parents me laissèrent seuls devant la Une ce soir là, et je décidai de m'acheter avec mes économies un petit poste noir et blanc portable pour que plus jamais une querelle pareille ne survienne.
Invité- Invité
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Objectivement, "Arsène Lupin" après avoir fait illusion dans la première saison malgré des épisodes catastrophiques (ceux produits par les TV étrangères : les sept anneaux de Cagliostro lointaine adaptation de "La comtesse de Cagliostro", et surtout "La demoiselle aux yeux verts", réduit à un piano, alors que le roman de Leblanc flirte avec la SF - IL aurait fallu pour cela les moyens du cinéma - montre la fontaine de Jouvence apparaître en pleine Provence, une aventure digne des Bond façon Goldeneye - ) est une mauvaise série, due au narcissisme de Georges Descrières.
A côté de cela, "Les Brigades du tigre" chères à Denis est un chef d'oeuvre.
A côté de cela, "Les Brigades du tigre" chères à Denis est un chef d'oeuvre.
Invité- Invité
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Estuaire, en regardant attentivement "Arsène Lupin", tu vas trouver un point commun avec....."Derrick".
Souvent, Lupin reformule à un comparse, ce que nous savons déjà, et qu'il a déjà dit.
Ce procédé permet de tenir 50 minutes, mais est vraiment pesant.
Dans ces moments là, Descrières rappelle un autre acteur narcissique, Eddie Constantine et son héros Lemmy Caution (pourtant des triomphes au cinéma dans les années 50) mais insupportables aujourd'hui.
Souvent, Lupin reformule à un comparse, ce que nous savons déjà, et qu'il a déjà dit.
Ce procédé permet de tenir 50 minutes, mais est vraiment pesant.
Dans ces moments là, Descrières rappelle un autre acteur narcissique, Eddie Constantine et son héros Lemmy Caution (pourtant des triomphes au cinéma dans les années 50) mais insupportables aujourd'hui.
Invité- Invité
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Phil DLM a écrit:
Cette série aurait pu être beaucoup mieux que ce qu'elle a été. Leblanc n'a pas été assez respecté? Je trouve au contraire qu'ils auraient dû s'en éloigner encore plus pour donner du tonus à la série. Les 2 aventures de la 1ère saison inventées pour la série, donc non adaptées de Leblanc, sont d'ailleurs fort réussies.
Je ne vois pas de quels épisodes tu parles car tous ont été adaptés de nouvelles et de romans.
Invité- Invité
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Je n'ai pas lu les ouvrages de Leblanc sauf "L'aiguille creuse", mais je me suis référé à ce qui est indiqué sur les livrets accompagnant les DVD de la série. "La chaîne brisée" y est présentée comme non adaptée de Leblanc mais créée de toute pièce par Jean Marcillac et Jacques Armand. "Les anneaux de Cagliostro" comme "non adaptée d'un roman ou d'une nouvelle de Leblanc mais fait en revanche allusion à un personnage de Leblanc, la comtesse de Cagliostro".Patricks a écrit:
Je ne vois pas de quels épisodes tu parles car tous ont été adaptés de nouvelles et de romans.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Dès le 1er épisode? Parce que "Herlock Sholmes lance un défi" est d'un bon niveau, je trouve.Patricks a écrit:Cela se voit que vous n'étiez pas devant votre petit écran le 18 décembre 1973 lorsque commença la seconde saison de "Arsène Lupin" : ce fut une foule de critiques public et journaux, car la première saison avait fait un triomphe, et la seconde désappointa la public.
Mes melons après une seule vision (on peut toujours changer d'avis ensuite...), il sera amusant de comparer avec les notes attribuées par Estuaire.
Saison 1:
Le bouchon de cristal**
Victor de la brigade mondaine***
Arsène Lupin contre Herlock Sholmes***
L'arrestation d'Arsène Lupin***
L'agence Barnett*
La demoiselle aux yeux verts*
La chaîne brisée***
La femme aux deux sourires*
La chimère du calife**
Une femme contre Arsène Lupin*
Les anneaux de Cagliostro***
Les tableaux de Thornhill**
Le 7 de coeur*
Saison 2:
Herlock Sholmes lance un défi***
Arsène Lupin prend des vacances*
Le mystère de Gesvres***
Le secret de l'aiguille**
L'homme au chapeau noir**
L'écharpe de soie rouge***
La demeure mystérieuse**
Les 8 coups de l'horloge**
La dame au chapeau de plumes**
La danseuse de Rottenbourg**
Le film révélateur***
Double jeu**
Le coffre-fort de Mme Imbert***
Top/Flop:
Top:
1. Herlock Sholmes lance un défi
2. L'arrestation d'Arsène Lupin
3. Le coffre-fort de Mme Imbert
Flop:
1. Le 7 de coeur
2. La demoiselle aux yeux verts
3. L'agence Barnett
Ce qui différencie les 2 saisons, ce ne sont pas les bons épisodes (5 dans chaque), mais les ratages complets, beaucoup moins nombreux dans le seconde que dans la 1ère, because moins d'épisode à l'étranger dans la seconde, et mieux réalisés, les metteurs en scène de la 1ère produisant quelques épisodes somnifères puissants.
Mais aucun épisode à 4 melons, 2 de moyenne pour la saison 1, 2,31 pour la seconde et 2,15 sur l'ensemble de la série, ce n'est pas une réussite, il faut bien le dire.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série(s) "Arsène Lupin"
Les 7 anneaux reprend la fin de la Comtesse de Cagliostro avec le trésor des rois de France repris dans le film avec Duris.
La chaîne brisée est bien un inédit.
"Les tableaux de Tornbull" je ne vois de quoi cela est adapté.
La chaîne brisée est bien un inédit.
"Les tableaux de Tornbull" je ne vois de quoi cela est adapté.
Invité- Invité
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