Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
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Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
peelou a écrit:[color=darkblue]Alors certes, on ne voit pas beaucoup Emma mais on sait désormais qu'elle est convoitée autant que Mona Lisa et rien que sur cette information, l'épisode ruine désormais toute comparaison possible entre Madame Peel et les autres Avengers girls.
Information : Steed paye 200000£ pour Emma. Il payera 250000£ pour Tara (Un dangereux marché).
Liz Fraser, ma "remplaçante" préférée... On noue avec des situations pas loin de celles de la saison 6 dans le délire.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Je préfère Penny et ses pauvres fiancés.
Mais globalement, j'apprécie toutes les remplaçantes (Diana Forbes beaucoup moins, mais plus qu'avant)
Mais globalement, j'apprécie toutes les remplaçantes (Diana Forbes beaucoup moins, mais plus qu'avant)
Cetp65- Prince(sse)
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Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Lady Bracket est avertie par la réceptionniste de ne pas oublier son sac à main. Il s’agit d’une référence à L’importance d’être Constant, le grand classique théâtral d’Oscar Wilde (1895). Lady Bracknell est le principal personnage comique de la pièce, charge satirique contre la haute société. La scène du sac à main demeure l’une des plus fameuses de la pièce, Lady Bracknell y suffoque d’indignation quand le prétendant de sa fille lui indique avoir été trouvé bébé dans un grand sac à main, abandonné à la gare de Victoria.
Le nom d’Ivanov est une référence à l’Affaire Profumo, qui vient de défrayer la chronique, en 1963. Il en effet révélé par le MI5 que John Profumo, secrétaire d’Etat à la Guerre a eu une liaison avec la demi mondaine Christine Keeler, elle même maîtresse de Yevgeny Ivanov, attaché militaire à l’Ambassade d’URSS. Le scandale et les mensonges de Profumo devant les Communes devaient finalement entrainer la chute du gouvernement d’Harold Macmillan.
Dans le journal que lit Gregorie Auntie, il est précisé qu’Ivanov est poursuivi pour des charges allant de haute trahison jusqu’à vol à la tire (pickpocket) ! Il a été emmené à Wormwood Scrubs. Il s’agit d’une importante prison de haute sécurité, située dans l’ouest de Londres. Inaugurée en 1891, elle fut construite par des forçats et conçue par le même architecte que le célèbre établissement pénitentiaire de Sing Sing, aux USA. Elle abrita les locaux du MI5 et du Mi8 durant la seconde guerre mondiale et accueillit plusieurs membres de l’IRA durant les années 70. Son impressionnante porte principale est souvent filmée dans les productions anglaises, lors des scènes de sorties de prison.
L’épisode a été tourné en octobre 1965 et la référence aux Beatles fait écho à l’actualité. Les Fab Four sont en effet élevés par la Reine au rang de Membres de l’Ordre de l’Empire Britannique, le 16 octobre, lors d’une solennelle cérémonie au Palais de Buckingham.
La société d‘avoués Barrett, Barrett & Wimpole est un clin d’œil à la pièce de théâtre à succès The Barretts of Wimpole Street (1930), narrant un grand amour vécu par le célèbre poète victorien Robert Browning. Elle fut adaptée plusieurs fois au cinéma etvient de faire l’objet d’un téléfilm de la BBC, en 1961, avec John Neville. En 1982 la BBC l’adaptera cette fois en série télévisée, avec Jeremy Brett.
Bernard Cribbins a été élevé au rang de Membre de l’Ordre de l’Empire Britannique, en 2011. Durant les années 2000, il connaît une grande popularité en Grande Bretagne, en tant que Wilfred Mott, l’un des plus notables Compagnons du Dixième Docteur et grand père de Donna Noble.
Le nom d’Ivanov est une référence à l’Affaire Profumo, qui vient de défrayer la chronique, en 1963. Il en effet révélé par le MI5 que John Profumo, secrétaire d’Etat à la Guerre a eu une liaison avec la demi mondaine Christine Keeler, elle même maîtresse de Yevgeny Ivanov, attaché militaire à l’Ambassade d’URSS. Le scandale et les mensonges de Profumo devant les Communes devaient finalement entrainer la chute du gouvernement d’Harold Macmillan.
Dans le journal que lit Gregorie Auntie, il est précisé qu’Ivanov est poursuivi pour des charges allant de haute trahison jusqu’à vol à la tire (pickpocket) ! Il a été emmené à Wormwood Scrubs. Il s’agit d’une importante prison de haute sécurité, située dans l’ouest de Londres. Inaugurée en 1891, elle fut construite par des forçats et conçue par le même architecte que le célèbre établissement pénitentiaire de Sing Sing, aux USA. Elle abrita les locaux du MI5 et du Mi8 durant la seconde guerre mondiale et accueillit plusieurs membres de l’IRA durant les années 70. Son impressionnante porte principale est souvent filmée dans les productions anglaises, lors des scènes de sorties de prison.
L’épisode a été tourné en octobre 1965 et la référence aux Beatles fait écho à l’actualité. Les Fab Four sont en effet élevés par la Reine au rang de Membres de l’Ordre de l’Empire Britannique, le 16 octobre, lors d’une solennelle cérémonie au Palais de Buckingham.
La société d‘avoués Barrett, Barrett & Wimpole est un clin d’œil à la pièce de théâtre à succès The Barretts of Wimpole Street (1930), narrant un grand amour vécu par le célèbre poète victorien Robert Browning. Elle fut adaptée plusieurs fois au cinéma etvient de faire l’objet d’un téléfilm de la BBC, en 1961, avec John Neville. En 1982 la BBC l’adaptera cette fois en série télévisée, avec Jeremy Brett.
Bernard Cribbins a été élevé au rang de Membre de l’Ordre de l’Empire Britannique, en 2011. Durant les années 2000, il connaît une grande popularité en Grande Bretagne, en tant que Wilfred Mott, l’un des plus notables Compagnons du Dixième Docteur et grand père de Donna Noble.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
The Girl from Auntie présente la particularité d’avoir été visiblement tourné durant des vacances de Diana Rigg. Un phénomène non unique au sein des Sixties, puisque Linda Thorson s’absentera de même en saison 6 (Killer), à l’instar du premier équipage du TARDIS, dont les différents membres prendront tout à tout congé. Mais là où Killer procède à un simple remplacement occasionnel et où Doctor Who se livre à des contorsions scénaristiques pour le moins visibles, Roger Marshall a la géniale idée de prendre le taureau par les cornes et de profiter pleinement de cette opportunité afin de composer un épisode authentiquement décalé au sein de cette saison 4.
Il va ainsi écrire une comédie totalement débridée, bouleversant le parfait équilibre entre fantaisie et développement de l’intrigue caractérisant la période. On retrouve ici une dinguerie demeurant toutefois très anglaise, préfigurant par moment les futurs Monty Python. Les gags se succèdent à un train d’enfer, entremêlant avec bonheur différents types d’humour. Il en va ainsi du comique de répétition avec le chauffeur de taxi au mutisme des plus expressifs ou des gags très visuels autour des coups involontairement assénés par Georgie sur la tête de Steed. Mais aussi de l’irrésistible absurde du club de couture et d’Art Incorporated, avec la destruction de la Joconde en point d’orgue !
Pareillement, Roger Marshall introduit un agréable pastiche des ces organisations mondiales du crime peuplant les Sixties, mais aussi et surtout des Avengers eux-mêmes, avec cette succession échevelée et joyeusement macabre de meurtres à n’en plus finir, un procédé scénaristique maintes fois employé au cours de la série. Une belle audace ! On se laisse si volontiers emporté par la tornade que l’on pardonne volontiers quelques faiblesses, comme la prétendue vieille dame tueuse croisant Steed et ne le reconnaissant pas par la suite, ou le recours de nouveau évident à des doublures.
La mise en scène parfaitement tonique de Roy Baker se met au diapason et accompagne le mouvement avec entrain, évoquant ainsi idéalement l’excitation endiablée caractérisant le Swinging London, auquel fait référence à point nommé le clin d’œil aux Beatles. L’opus ressort tout à fait dans l’air du temps. On apprécie la vue d’Heathrow et le décorum d’Art Incorporated, même si les autres plateaux paraissent plus communs. Laurie Johnson, comme si souvent, apporte également sa pierre à l’édifice, avec une musique des plus enjouées et un imaginatif recours au clavecin. Mais The Girl from Auntie demeure un épisode d’acteurs, avec les excellents Alfred Burke, Bernard Cribbins et Yolande Turner composant de savoureuses figures tout à fait délirantes et parfaitement dans le tempo.
Liz Fraser apporte beaucoup de naturel et de sympathie à son craquant personnage de jolie et valeureuse gaffeuse, n’étant pas sans évoquer le plaisant souvenir de Miss Vénus Smith, la comédienne succédant à la chanteuse. On apprécie vivement qu’elle ait droit aux honneurs du très amusant tag final, une rareté au sein de la série (ce ne sera malheureusement pas le cas pour l’épatante Lady Forbes-Blakeney, une indéniable faute de goût). Patrick Macnee s’épanouit dans ce climat fantaisiste et tonique lui convenant idéalement. Le courant passe parfaitement entre sa partenaire du jour mais aussi les différents invités, pour de nombreuses irrésistibles scènes.
Pour rares que restent ses apparitions, Diana Rigg parvient tout de même à les rendre marquantes, notamment grâce à une tenue fort suggestive et à une atmosphère dereche crypto sadomasochiste, avec cette fameuse cage. La jalousie d’Emma Peel demeure toujours un grand moment ! Le rare moment d’intense frayeur, qu’exprime superbement l’actrice à l’évocation du fatal destin promis à son personnage, tombe à pic pour dramatiser l’action et apporter un réel enjeu à cette ébouriffante comédie.
Figurer un irrésistible épisode décalé au sein d’une série elle-même aussi hors normes que Chapeau melon et bottes de cuir apparait comme un authentique exploit, que The Girl from Auntie accomplit haut la main. Une comédie à la folie et à la vitalité éminemment Sixties.
(****)
Il va ainsi écrire une comédie totalement débridée, bouleversant le parfait équilibre entre fantaisie et développement de l’intrigue caractérisant la période. On retrouve ici une dinguerie demeurant toutefois très anglaise, préfigurant par moment les futurs Monty Python. Les gags se succèdent à un train d’enfer, entremêlant avec bonheur différents types d’humour. Il en va ainsi du comique de répétition avec le chauffeur de taxi au mutisme des plus expressifs ou des gags très visuels autour des coups involontairement assénés par Georgie sur la tête de Steed. Mais aussi de l’irrésistible absurde du club de couture et d’Art Incorporated, avec la destruction de la Joconde en point d’orgue !
Pareillement, Roger Marshall introduit un agréable pastiche des ces organisations mondiales du crime peuplant les Sixties, mais aussi et surtout des Avengers eux-mêmes, avec cette succession échevelée et joyeusement macabre de meurtres à n’en plus finir, un procédé scénaristique maintes fois employé au cours de la série. Une belle audace ! On se laisse si volontiers emporté par la tornade que l’on pardonne volontiers quelques faiblesses, comme la prétendue vieille dame tueuse croisant Steed et ne le reconnaissant pas par la suite, ou le recours de nouveau évident à des doublures.
La mise en scène parfaitement tonique de Roy Baker se met au diapason et accompagne le mouvement avec entrain, évoquant ainsi idéalement l’excitation endiablée caractérisant le Swinging London, auquel fait référence à point nommé le clin d’œil aux Beatles. L’opus ressort tout à fait dans l’air du temps. On apprécie la vue d’Heathrow et le décorum d’Art Incorporated, même si les autres plateaux paraissent plus communs. Laurie Johnson, comme si souvent, apporte également sa pierre à l’édifice, avec une musique des plus enjouées et un imaginatif recours au clavecin. Mais The Girl from Auntie demeure un épisode d’acteurs, avec les excellents Alfred Burke, Bernard Cribbins et Yolande Turner composant de savoureuses figures tout à fait délirantes et parfaitement dans le tempo.
Liz Fraser apporte beaucoup de naturel et de sympathie à son craquant personnage de jolie et valeureuse gaffeuse, n’étant pas sans évoquer le plaisant souvenir de Miss Vénus Smith, la comédienne succédant à la chanteuse. On apprécie vivement qu’elle ait droit aux honneurs du très amusant tag final, une rareté au sein de la série (ce ne sera malheureusement pas le cas pour l’épatante Lady Forbes-Blakeney, une indéniable faute de goût). Patrick Macnee s’épanouit dans ce climat fantaisiste et tonique lui convenant idéalement. Le courant passe parfaitement entre sa partenaire du jour mais aussi les différents invités, pour de nombreuses irrésistibles scènes.
Pour rares que restent ses apparitions, Diana Rigg parvient tout de même à les rendre marquantes, notamment grâce à une tenue fort suggestive et à une atmosphère dereche crypto sadomasochiste, avec cette fameuse cage. La jalousie d’Emma Peel demeure toujours un grand moment ! Le rare moment d’intense frayeur, qu’exprime superbement l’actrice à l’évocation du fatal destin promis à son personnage, tombe à pic pour dramatiser l’action et apporter un réel enjeu à cette ébouriffante comédie.
Figurer un irrésistible épisode décalé au sein d’une série elle-même aussi hors normes que Chapeau melon et bottes de cuir apparait comme un authentique exploit, que The Girl from Auntie accomplit haut la main. Une comédie à la folie et à la vitalité éminemment Sixties.
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Dernière édition par Estuaire44 le Ven 5 Avr 2013 - 19:06, édité 1 fois
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Ça, c'est l'inflation.Dearesttara a écrit:Information : Steed paye 200000£ pour Emma. Il payera 250000£ pour Tara (Un dangereux marché).
Norbert- Vicomte(sse)
- Age : 58
Localisation : Allemagne
Date d'inscription : 21/06/2006
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Maille à partir avec les taties date du 23/10/1965 et Un dangereux marché, le 29/02/1968. Moins de deux ans et demi. Même en tenant compte de la dévaluation de novembre 1967 de la livre décidée par James Callaghan, d'environ 14.3%, 250000£ en 1968 donnent 215000£ environ en 1965. Ainsi que je l'ai dit sur le forum inter. Désolé, Norbert, Steed est prêt à débourser plus pour Tara que pour Emma !
Sinon, toujours réjouissantes critiques, E44, de plus d'un de mes épisodes préférés de cette saison.
Sinon, toujours réjouissantes critiques, E44, de plus d'un de mes épisodes préférés de cette saison.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Moi aussi, d'accord avec la critique d'Estuaire (sauf sur l'épatante Diana Forbes, qui me semble très exagéré )
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
On aura l'occasion d'en reparler, stay tuned !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
excellent épisode à la limite de l'auto-parodie, la blonde s'en sort très bien, sacré sens de l'humour (la découverte des cadavres est une franche rigolade) et les (rares) apparitions d'Emma sont un régal
4 melons
4 melons
jbourne- Vicomte(sse)
- Age : 51
Localisation : Suisse
Date d'inscription : 09/10/2011
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Du gros gros délire, regardant tout droit en direction des joyeuses échappées cartoon de la saison 6. Une authentique touche british, le fameux nonsens britannique, irrigue tout cet épisode enlevé. Un des mes préférés de toute la série. Liz Fraser est ma remplaçante favorite de Diana Rigg (à égalité avec Fenella Fielding dans Les Charmeurs de la saison 3). Content que tu aies apprécié cet épisode !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Pas mon épisode préféré de la quatre. Ma scène préférée est Mrs Peel dans sa cage, bien entendu, comme beaucoup...malgré de nombreux incohérences, ça se laisse voir sans ennui. Les doublures et les ombres des micros évoquées sur la fiche sont amplifiées sur cette version, qui ne souffre d’aucune coupe, ni de passage abimé. On a droit dans cette édition à la fameuse scène de thé complète avec la réplique étrange de l'Auntie car les lèvres ne bougent pas et l’actrice a la tête penchée vers son tricot. Steed dit aussi à Ivanoff qu'il croyait qu’il était en Sibérie et les répliques, absentes de l'édition précédente, sont là : 'Get going' et 'It's all taken care of'.
Invité- Invité
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Hélas la liste des décès continue à s'allonger, avec Liz Fraser, qui la pétillante Georgie, associée occasionnelle de Steed. Liz Fraser eut une carrière très active, étant notamment très populaire outre Manche pour la série de films humoristiques des Carry On.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-6142121/Carry-star-Liz-Fraser-dies-aged-88.html
https://www.dailymail.co.uk/news/article-6142121/Carry-star-Liz-Fraser-dies-aged-88.html
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Les Avengers sont sur le coup !
https://www.cnews.fr/videos/culture/2021-06-11/mona-lisa-vendue-aux-encheres-chez-christiess-1092807
https://www.cnews.fr/videos/culture/2021-06-11/mona-lisa-vendue-aux-encheres-chez-christiess-1092807
Estuaire44- Empereur
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Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Bernard Cribbins sur le tournage de l'épisode
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Dearesttara et Camarade Totoff aiment ce message
Re: Maille à partir avec les Taties (The Girl from Auntie)
Oups, lépisode Look de la saison 6, of course. Je finis mal l'année !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
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