Série "Cosmos 1999"
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
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Re: Série "Cosmos 1999"
Les bonus caché des DVD de TF1 (qui je présume doivent être identique à ceux disponible dans le coffret saison 1 & 2) ne sont pas extraordinaire, il s'agit surtout des inserts du générique de chaque épisode sans le texte ou la musique.
J'oubliais un petit détails, Zienia Merton est elle aussi une Guest de Doctor Who (d'ailleurs quasiment tous les acteurs de cette époque sont apparus dans Doctor Who, c'est également le cas de Prentis Hanckok (Paul Morrows)), elle à incarner Ping Cho dans l'histoire perdue de la saison 1 "Marco Polo".
J'oubliais un petit détails, Zienia Merton est elle aussi une Guest de Doctor Who (d'ailleurs quasiment tous les acteurs de cette époque sont apparus dans Doctor Who, c'est également le cas de Prentis Hanckok (Paul Morrows)), elle à incarner Ping Cho dans l'histoire perdue de la saison 1 "Marco Polo".
Re: Série "Cosmos 1999"
doctor222 a écrit:Les bonus caché des DVD de TF1 (qui je présume doivent être identique à ceux disponible dans le coffret saison 1 & 2) ne sont pas extraordinaire, il s'agit surtout des inserts du générique de chaque épisode sans le texte ou la musique.
J'oubliais un petit détails, Zienia Merton est elle aussi une Guest de Doctor Who (d'ailleurs quasiment tous les acteurs de cette époque sont apparus dans Doctor Who, c'est également le cas de Prentis Hanckok (Paul Morrows)), elle à incarner Ping Cho dans l'histoire perdue de la saison 1 "Marco Polo".
Je n'aime pas du tout le générique original composé d'inserts de l'épisode en cours, entrecoupés des cartons "this episode". Cela donne un aspect trés télévisuel et bas de gamme à la série.
Je préfère largement le générique français (remplacé en France par le générique original depuis la commercialisation en DVD de la série) unique à tous les épisodes (mêmes inserts).
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
Le générique Français correspondait au générique du première épisode. Le générique était toujours composé de la même façon. Deux partie, la première ou s'enchaine au ryhtme de la musique des extraies de l'épisode concerne, puis un petit temps de pose caractérisé par l'inserts du Professeur Bergman, sauf pour le première épisode ou il s'agit de la terre. Puis sa recommence ou cette fois si c'est toujours les extraie de la catastrophe qui propulse la Lune hors de son orbite.
Dire que préféré le générique VF à celui de la VO, c'est chipoté pour pas grand chose. Dire que le générique de la saison 2, surtout lamusique, ets dix fois inférieur à celui de la saison 1, là c'est un peux plus censé.
Dire que préféré le générique VF à celui de la VO, c'est chipoté pour pas grand chose. Dire que le générique de la saison 2, surtout lamusique, ets dix fois inférieur à celui de la saison 1, là c'est un peux plus censé.
Re: Série "Cosmos 1999"
Voici le générique de début allemand pour les 13 épisodes de la saison 2 doublés à l'époque ainsi que pour plusieurs épisodes de la première saison :
Norbert- Vicomte(sse)
- Age : 58
Localisation : Allemagne
Date d'inscription : 21/06/2006
Re: Série "Cosmos 1999"
Les allemands ont toujours été bizarre avec les séries. Du Jean Michelle Jarre sur le générique de comos: 1999 c'est pas mal, m'enfn ç vaut pas la musique de Barry Gray.
Re: Série "Cosmos 1999"
Les français ont aussi été bizarre avec les séries. Ils remplaçaient la musique originale de beaucoup de séries par une chanson (!!!). (Dallas, Pour l'amour du risque, Agence du risque, Côte Ouest, Starsky & Hutch, Santa Barbara, ...)doctor222 a écrit:Les allemands ont toujours été bizarre avec les séries. Du Jean Michelle Jarre sur le générique de comos: 1999 c'est pas mal, m'enfn ç vaut pas la musique de Barry Gray.
Norbert- Vicomte(sse)
- Age : 58
Localisation : Allemagne
Date d'inscription : 21/06/2006
Re: Série "Cosmos 1999"
doctor222 a écrit:Le générique Français correspondait au générique du première épisode. Le générique était toujours composé de la même façon. Deux partie, la première ou s'enchaine au ryhtme de la musique des extraies de l'épisode concerne, puis un petit temps de pose caractérisé par l'inserts du Professeur Bergman, sauf pour le première épisode ou il s'agit de la terre. Puis sa recommence ou cette fois si c'est toujours les extraie de la catastrophe qui propulse la Lune hors de son orbite.
Dire que préféré le générique VF à celui de la VO, c'est chipoté pour pas grand chose. Dire que le générique de la saison 2, surtout lamusique, ets dix fois inférieur à celui de la saison 1, là c'est un peux plus censé.
Effectivement, en fait je me suis mal exprimé. Qualitativement, les 2 formes de génériques sont identiques (même musique, inserts...) et, dans la forme, restent trés "classiques".
A ce niveau, aucun des 2 ne surpasse l'autre puisque faits sur le même moule... J'ajouterai même qu'il a déjà été fait beaucoup mieux dans le genre.
En fait c'est plus l'esprit dans lequel ils ont été faits que je critique.
Cette forme originale (générique original) montrant chaque fois des inserts de l'épisode "en-cours" (chaque fois différents donc) amène en 1er lieu une légère chute du suspense, puisque l'on voit un peu se qui va se passer... Ensuite, ces cartons "This episode" font un peu cul-cul-la-praline.
C'est pour cela que je préfère finalement la "sobriété" du générique français, qui préserve tout le mystère de l'épisode et enlève le côté production bas-de-gamme.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
Gros coup de nostalgie, Oxygène fut la toute première cassette audio que j'ai acheté étant étant gamin, il y a presque 35 ans (Equinoxe itou). Les magnétoscopes n'étaient encore qu'une perspective prometteuse...
Je préfère la version "française", pour moi inséparable de la série, mais avoir pensé à Jarre reste une excellente idée, l'alliage images/son fonctionne parfaitement. La musique de sphères!
Je préfère la version "française", pour moi inséparable de la série, mais avoir pensé à Jarre reste une excellente idée, l'alliage images/son fonctionne parfaitement. La musique de sphères!
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
Je vois ce que vous voulez dire. Je fais partie des gens à qui on peux racontez les moments clés d'une histoire, mais qui iras quand même le voir. Le générique de Cosmos : 1999 n'as jamais été révolutionnaire c'est sur, mais il n'est pas banal, et la musique donne un coté très dramatique à l'histoire.
Re: Série "Cosmos 1999"
Pour moi, le générique VF est indissociable de la série. On le reconnaît dès les premières notes. C’est très bizarre d’avoir du Jean-Michel Jarre à la place, quelque chose qui n’a pas été conçu pour la série. Même si, comme Estuaire44, je prend un coup de nostalgie. Je me passer « Equinoxe » en boucle !
Un bon générique apporte beaucoup à la série, comme celui d’amicalement vôtre par exemple.
Un bon générique apporte beaucoup à la série, comme celui d’amicalement vôtre par exemple.
MaraJadeB- Vicomte(sse)
- Age : 58
Localisation : Yvelines (78)
Date d'inscription : 18/04/2008
Re: Série "Cosmos 1999"
Je crois qu'il s'agit d'un simple repackaging, comme ça a été le cas pour Chapeau Melon et comme c'est 99% du temps le cas.
Invité- Invité
Re: Série "Cosmos 1999"
Interview de Catherine Schell / Maya
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
Coffret de l'intégrale de la série: 65,71 euros à la FNAC, 42,45 euros sur Amazon! La FNAC est en moyenne 30% plus chère qu'Amazon, mais là ils y vont fort avec carrément 55%! Une fois de plus, gros à la FNAC. Je ne suis pas prêt d'abandonner Amazon pour la FNAC...
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
La saison 1 vue par Phil DLM est en ligne:
http://theavengers.fr/supplement/hors/cosmos1999_saison1.htm
http://theavengers.fr/supplement/hors/cosmos1999_saison1.htm
Invité- Invité
Re: Série "Cosmos 1999"
Super, merci Phil (Et S3) !
alexandre- Duc(hesse)
- Age : 27
Localisation : Rennes (35)
Date d'inscription : 01/05/2009
Re: Série "Cosmos 1999"
Superbe travail, cela donne envie de revoir la série !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
Je suis globalement d'accord avec tes critiques. Pour moi COSMOS: 1999 restent une excellente série de Science fiction qui, certes à quand même plutôt mal vieillie au niveau de certains décors, costumes et certains effets spéciaux, mais qui d'un autre coté brille toujours par ces scénario typhique de la Science fiction Britannique. Enfin seulement pour la première saison bien sur. J'ai toujours regretté que la série ait changé de ton la saison suivante, la faute à la rentabilité et à très mauvais nouveau producteur.
Je sens que je ne vais pas me faire que des amis, mais j'ai toujours trouver cette série bien supérieur à STAR TREK, d'ailleurs Martin Landau le dit lui même dans une interview présente dans le coffret DVD français, ou il explique qu'on lui avait proposé le rôle de Spock alors qu'il était encore dans Mission: Impossible, mais il as refusé, ne voulant pas incarner un personnage froid et ne voulant transparaître aucunes émotions. Le Commandant Koenning est unique en sont genre et c'est ce qui fait son charme.
Ce que j'ai tendance à expliquer à ceux qui n'aime pas vraiment cette série c'est que les Alphans ne sont pas fait pour la voyage dans l'espace, ALPHA étant une base scientifique, et de surveillance. La catastrophe qui surviendras et qui propulseras la Lune dans l'espace les forceras à survivre, chose complètement abandonné dans la saison 2.
Je sens que je ne vais pas me faire que des amis, mais j'ai toujours trouver cette série bien supérieur à STAR TREK, d'ailleurs Martin Landau le dit lui même dans une interview présente dans le coffret DVD français, ou il explique qu'on lui avait proposé le rôle de Spock alors qu'il était encore dans Mission: Impossible, mais il as refusé, ne voulant pas incarner un personnage froid et ne voulant transparaître aucunes émotions. Le Commandant Koenning est unique en sont genre et c'est ce qui fait son charme.
Ce que j'ai tendance à expliquer à ceux qui n'aime pas vraiment cette série c'est que les Alphans ne sont pas fait pour la voyage dans l'espace, ALPHA étant une base scientifique, et de surveillance. La catastrophe qui surviendras et qui propulseras la Lune dans l'espace les forceras à survivre, chose complètement abandonné dans la saison 2.
Re: Série "Cosmos 1999"
Et moi, je suis globalement d'accord avec ta façon d'appréhender la série, et notamment le personnage de John Koenig.doctor222 a écrit:Je suis globalement d'accord avec tes critiques.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
Et en avant pour la seconde saison, qui ne vaudra pas la première malgré un bon départ!
1. LA METAMORPHOSE****
(The metamorph)
1. LA METAMORPHOSE****
(The metamorph)
En recherchant un métal rare sur un astre inconnu, quelques Alphans sont capturés par Mentor et sa fille Maya, les deux derniers survivants de la planète Psychon. A l'insu de sa fille, Mentor a l'intention d'extraire le cerveau de ses hôtes pour alimenter Psyché, une machine destinée à faire renaître la vie sur Psychon.
Si l'on excepte les quelques changements de personnages, le début de l'épisode donne une impression de continuité parfaite avec la saison précédente. Les premières minutes auraient pu faire une excellente séquence pré-générique, et attisent donc le regret de sa suppression injustifiée.
Tout comme dans la suite de l'aventure, on y trouve des scènes d'action typiques de la série : vols d'aigles et de vaisseaux ennemis, énormes bulles de lumière verte, sortes de « Rôdeur » du Prisonnier, mais en couleurs, capturant les astronefs adverses par magnétisme. Les éclaireurs sont joués par les seconds rôles, autre tradition sur la série.
Plus que le scénario, certes mouvementé mais au fond très banal, ce sont les personnages et les performances d'acteurs qui polarisent l'attention. Koenig, Sandra et le docteur Russel n'ont pas changé, mais Alan est devenu plus discret, moins essentiel qu'auparavant. Hormis le commandant, l'homme fort est désormais le nouveau numéro deux d'Alpha Tony Verdeschi, plus solide et décidé que son prédécesseur Paul Morrow.
Des dissensions apparaissent entre Koenig d'une part, Carter et Helena d'autre part, en raison du double jeu mené par le commandant. Alan et le docteur Russel ont pris son attitude au premier degré et sont stupéfaits et déçus de le voir sacrifier le personnel de la base pour garder la vie sauve aux quelques Alphans retenus sur Psychon. Ce malentendu se dissipera instantanément lorsque la duplicité de John envers Mentor éclatera au grand jour.
Mentor, justement, bénéficie de l'extraordinaire composition de Brian Blessed, qui reprend un rôle similaire à celui tenu sur Un autre royaume de la mort, épisode de la première saison. En l'espèce, il s'agit d'un savant capable de sacrifier des humains ou humanoïdes pour mener à bien ses expériences, sans avoir conscience de mal faire, selon le vieil adage « la fin justifie les moyens ».
Sa fille Maya ne se rend compte de rien, mais Koenig va se charger de lui ouvrir les yeux, et elle prendra alors partie contre son père, sauvant ainsi la vie des Alphans. Catherine Schell confère à son personnage une ingénuité sympathique, mais aussi une telle douceur qu'on ne peut qu'adopter d'emblée la nouvelle alliée de nos héros.
Au sujet de son don de transformation, on remarque qu'il fonctionne à partir d'une image fixée au fond des yeux, soit parce que située dans son champ visuel, soit par imagination. Combiné à une habile réalisation, cela produit des scènes visuellement intéressantes.
Au sein d'un épisode au ton grave, un signe avant-coureur montre que l'ambiance de cette saison sera plus légère que celle de la précédente : le subalterne Bill Fraser va revenir vivant de l'expédition, à la grande joie de son épouse, initialement éplorée par sa disparition. Pas sûr qu'il en aurait été ainsi précédemment...
Tout comme dans la suite de l'aventure, on y trouve des scènes d'action typiques de la série : vols d'aigles et de vaisseaux ennemis, énormes bulles de lumière verte, sortes de « Rôdeur » du Prisonnier, mais en couleurs, capturant les astronefs adverses par magnétisme. Les éclaireurs sont joués par les seconds rôles, autre tradition sur la série.
Plus que le scénario, certes mouvementé mais au fond très banal, ce sont les personnages et les performances d'acteurs qui polarisent l'attention. Koenig, Sandra et le docteur Russel n'ont pas changé, mais Alan est devenu plus discret, moins essentiel qu'auparavant. Hormis le commandant, l'homme fort est désormais le nouveau numéro deux d'Alpha Tony Verdeschi, plus solide et décidé que son prédécesseur Paul Morrow.
Des dissensions apparaissent entre Koenig d'une part, Carter et Helena d'autre part, en raison du double jeu mené par le commandant. Alan et le docteur Russel ont pris son attitude au premier degré et sont stupéfaits et déçus de le voir sacrifier le personnel de la base pour garder la vie sauve aux quelques Alphans retenus sur Psychon. Ce malentendu se dissipera instantanément lorsque la duplicité de John envers Mentor éclatera au grand jour.
Mentor, justement, bénéficie de l'extraordinaire composition de Brian Blessed, qui reprend un rôle similaire à celui tenu sur Un autre royaume de la mort, épisode de la première saison. En l'espèce, il s'agit d'un savant capable de sacrifier des humains ou humanoïdes pour mener à bien ses expériences, sans avoir conscience de mal faire, selon le vieil adage « la fin justifie les moyens ».
Sa fille Maya ne se rend compte de rien, mais Koenig va se charger de lui ouvrir les yeux, et elle prendra alors partie contre son père, sauvant ainsi la vie des Alphans. Catherine Schell confère à son personnage une ingénuité sympathique, mais aussi une telle douceur qu'on ne peut qu'adopter d'emblée la nouvelle alliée de nos héros.
Au sujet de son don de transformation, on remarque qu'il fonctionne à partir d'une image fixée au fond des yeux, soit parce que située dans son champ visuel, soit par imagination. Combiné à une habile réalisation, cela produit des scènes visuellement intéressantes.
Au sein d'un épisode au ton grave, un signe avant-coureur montre que l'ambiance de cette saison sera plus légère que celle de la précédente : le subalterne Bill Fraser va revenir vivant de l'expédition, à la grande joie de son épouse, initialement éplorée par sa disparition. Pas sûr qu'il en aurait été ainsi précédemment...
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
2. LES EXILES***
(The exiles)
(The exiles)
Une cinquantaine d'étranges capsules se mettent en orbite autour de la Lune. Les Alphans extraient de deux d'entre elles un couple d'humanoïdes hibernés qu'ils parviennent à ramener à la vie. Dissidents exilés par les habitants de leur planète, ils demandent pour eux-mêmes et leurs compagnons enfermés dans les autres capsules l'asile sur Alpha, et proposent en échange d'apprendre à leurs hôtes le secret de l'hibernation, qui pourrait offrir une chance de survie à long terme dans l'espace.
Une première partie d'épisode passionnante, avec l'arrivée des capsules et l'aigle qui amène l'une d'elles sur la base afin de procéder à son analyse. Cette phase permet de découvrir des parties de la base restées inconnues auparavant, telles les grottes où, par prudence, se déroule l'examen de l'objet envahisseur.
L'intrigue comporte quelques ressemblances avec l'excellent Au bout de l'éternité de la saison 1. Il s'agit encore d'une histoire d'humanoïdes découverts dans l'espace et ramené à la vie, même si ici on a affaire à un couple au lieu d'un homme seul.
Les intrus réclament également l'asile en se prétendant bannis par les « méchants » de leur planète et cette fois encore Koenig est le seul à se montrer clairvoyant puisque le couple va se révéler aussi dangereux que le démoniaque Balor, justifiant la méfiance du commandant.
Helena fait preuve d'une certaine naïveté, tout comme Tony Verdeschi, sur le coup un peu tendre et aussi peu fiable que son prédécesseur Paul Morrow. Koenig finit par se laisser convaincre par les arguments humanitaires de ses compagnons, sans savoir qu'il ne tardera pas à s'en mordre les doigts.
A ce point du récit, et après un épisode et demi, on se dit que cette saison est partie pour égaler la précédente, ce dont on ne peut que se réjouir, mais la seconde partie va quelque peu tempérer cet enthousiasme prématuré.
Passons sur la scène où Maya se transforme en docteur Russel, et où les deux clones embrassent un John Koenig chargé de découvrir laquelle des deux est la vraie Helena. Un peu de comédie permet de décompresser au sein d'un épisode plutôt stressant.
Mais la suite va confirmer les options différentes retenues sur cette seconde saison. La seconde partie est moins prenante, certaines scènes sont bizarres, comme celle assez ridicule où Zova inflige à Helena, alors transférée sur Golos, des tortures à distance en malaxant avec ses ongles un buste à son effigie. Il a fallu atteindre la seconde partie du deuxième épisode pour prendre pleinement conscience du changement de saison...
Cependant, le final mouvementé permet à l'épisode de demeurer un assez bon cru, grâce à l'astuce employée par Koenig pour se débarrasser de Zova (qui rappelle encore une fois Au bout de l'éternité...), mais aussi en raison de l'esprit de décision dont font preuve Verdeschi et surtout le docteur Russel. Helena a l'idée géniale de déchirer la membrane protégeant Cantar. Tony et elle rattrapent ainsi leur coupable erreur de jugement au sujet des exilés. Cette scène est d'une intensité captivante, malgré le vieillissement un peu ridicule de Cantar.
Maya montre qu'elle est déjà totalement adaptée à sa nouvelle vie sur Alpha. On le constate au cours de l'épilogue, scène de comédie légère sans grand intérêt comme on en verra beaucoup sur cette saison. Les vedettes invitées sont satisfaisantes, notamment Stacy Dorning dont le joli minois va de pair avec un inattendu rôle de sadique.
L'intrigue comporte quelques ressemblances avec l'excellent Au bout de l'éternité de la saison 1. Il s'agit encore d'une histoire d'humanoïdes découverts dans l'espace et ramené à la vie, même si ici on a affaire à un couple au lieu d'un homme seul.
Les intrus réclament également l'asile en se prétendant bannis par les « méchants » de leur planète et cette fois encore Koenig est le seul à se montrer clairvoyant puisque le couple va se révéler aussi dangereux que le démoniaque Balor, justifiant la méfiance du commandant.
Helena fait preuve d'une certaine naïveté, tout comme Tony Verdeschi, sur le coup un peu tendre et aussi peu fiable que son prédécesseur Paul Morrow. Koenig finit par se laisser convaincre par les arguments humanitaires de ses compagnons, sans savoir qu'il ne tardera pas à s'en mordre les doigts.
A ce point du récit, et après un épisode et demi, on se dit que cette saison est partie pour égaler la précédente, ce dont on ne peut que se réjouir, mais la seconde partie va quelque peu tempérer cet enthousiasme prématuré.
Passons sur la scène où Maya se transforme en docteur Russel, et où les deux clones embrassent un John Koenig chargé de découvrir laquelle des deux est la vraie Helena. Un peu de comédie permet de décompresser au sein d'un épisode plutôt stressant.
Mais la suite va confirmer les options différentes retenues sur cette seconde saison. La seconde partie est moins prenante, certaines scènes sont bizarres, comme celle assez ridicule où Zova inflige à Helena, alors transférée sur Golos, des tortures à distance en malaxant avec ses ongles un buste à son effigie. Il a fallu atteindre la seconde partie du deuxième épisode pour prendre pleinement conscience du changement de saison...
Cependant, le final mouvementé permet à l'épisode de demeurer un assez bon cru, grâce à l'astuce employée par Koenig pour se débarrasser de Zova (qui rappelle encore une fois Au bout de l'éternité...), mais aussi en raison de l'esprit de décision dont font preuve Verdeschi et surtout le docteur Russel. Helena a l'idée géniale de déchirer la membrane protégeant Cantar. Tony et elle rattrapent ainsi leur coupable erreur de jugement au sujet des exilés. Cette scène est d'une intensité captivante, malgré le vieillissement un peu ridicule de Cantar.
Maya montre qu'elle est déjà totalement adaptée à sa nouvelle vie sur Alpha. On le constate au cours de l'épilogue, scène de comédie légère sans grand intérêt comme on en verra beaucoup sur cette saison. Les vedettes invitées sont satisfaisantes, notamment Stacy Dorning dont le joli minois va de pair avec un inattendu rôle de sadique.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
3. HUMAIN, NE SERAIT-CE QU'UN MOMENT**
(One moment of humanity)
Le docteur Russel et Tony Verdeschi sont amenés de force sur la planète Vega par les robots androïdes qui en ont pris le contrôle. Ces êtres veulent étudier les humains afin d'apprendre la colère et la violence, dont ils sont dépourvus. Ils vont essayer par tous les moyens de mettre hors d'eux les Alphans pour parvenir à leurs fins.
Encore un scénario basé sur la prise du pouvoir par des machines, ici des robots au lieu d'un ordinateur. Cette fois-ci, les androïdes souhaitent apprendre la colère et la violence afin de se débarrasser définitivement de leurs créateurs. Une bonne idée bien mal exploitée. L'épisode manque de rythme et devient vraiment ennuyeux pendant les séquences du faux retour sur Alpha de Tony et Helena.
Les seules éclaircies sont les bonnes prestations des acteurs et des vedettes invitées, notamment de Leigh Lawson qui exprime parfaitement l'émotion ressentie par une machine qui parvient pour la première fois à éprouver des sentiments humains, et la scène finale.
Cette ultime séquence est justement celle où Zarl découvre l'émotion humaine. Ce but n'a pu être atteint qu'en transférant sur Vega le commandant Koenig et Maya en sus du docteur Russel et de Verdeschi, afin d'exciter la jalousie de Koenig. Zarl parvient à faire craquer le commandant en dansant avec Helena puis en l'embrassant ostensiblement. Mais la conversion de Zarl réussit trop bien et le plan des robots se retourne contre eux. Ce final assez réussi rend l'épisode correct.
Les seules éclaircies sont les bonnes prestations des acteurs et des vedettes invitées, notamment de Leigh Lawson qui exprime parfaitement l'émotion ressentie par une machine qui parvient pour la première fois à éprouver des sentiments humains, et la scène finale.
Cette ultime séquence est justement celle où Zarl découvre l'émotion humaine. Ce but n'a pu être atteint qu'en transférant sur Vega le commandant Koenig et Maya en sus du docteur Russel et de Verdeschi, afin d'exciter la jalousie de Koenig. Zarl parvient à faire craquer le commandant en dansant avec Helena puis en l'embrassant ostensiblement. Mais la conversion de Zarl réussit trop bien et le plan des robots se retourne contre eux. Ce final assez réussi rend l'épisode correct.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
Je mettais un minuteur de 50 minutes et coupait le son de la télé quand "Samedi est à vous", à partir de décembre 1975, passait cette série. Mais qu'il y ait une seconde saison me paraît un non sens. J'ai toujours lu que "Le testament de l'Arcadie" concluait la série. Je comprends Séribibi qui n'a pas voulu chroniquer la saison 2.
Invité- Invité
Re: Série "Cosmos 1999"
Il va falloir que je revoie cette série, le souvenirs que j'en ai concernent presque uniquement la saison 1 (à part Maya).
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
Pas moi. Barbara Bain-Martin Landau, je n'ai jamais aimé. C'est déjà un sacré obstacle pour aborder la série. Quant à savoir (ce qui est évoqué plus haut) si c'est mieux ou moins bien que "Star Trek", n'ayant vu que le préquel avec Scott Bakula, je n'entrerai pas dans le débat. Une fois "Enterprise" vu et revu, je n'ai pas eu envie de voir la série originale ou les autres spin of.
Invité- Invité
Re: Série "Cosmos 1999"
Patricks a écrit:Pas moi. Barbara Bain-Martin Landau, je n'ai jamais aimé. C'est déjà un sacré obstacle pour aborder la série.
Evidemment. Quand on n'aime pas le couple principal, la série devient forcément rédhibitoire. La seconde saison, je ne l'avais jamais vue, je me serais forcément souvenu d'un personnage comme Maya, ce fut donc une découverte et presque une agréable surprise. Saison pas terrible mais je m'attendais à tellement pire compte tenu de sa réputation épouvantable...
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
4. TOUT CE QUI LUIT***
(All that glisters)
Les Alphans sont attirés sur une petite planète par un rocher doté d'une forme de vie. Gros consommateurs d'eau, ses congénères ont fini par assécher totalement leur planète et le dernier survivant a l'intention de s'enfuir sur un astre humide en s'emparant de l'aigle amené par Koenig et ses compagnons.
Un épisode injustement déprécié par les fans, car au fond il ne manque pas d'attraits. On a l'habitude de rencontrer dans les œuvres de science-fiction la vie sous forme d'extraterrestres humanoïdes, de monstres ou de végétaux intelligents, mais plus rarement sous un aspect minéral. Le fondement du scénario est donc plutôt bon et, une fois n'est pas coutume, son exploitation n'appelle pas de commentaires négatifs.
Renforcée par un géologue texan, un beau parleur qui fait la cour à Maya au grand désappointement de Tony, notre petit groupe d'explorateurs de l'espace vit des péripéties distrayantes au fur et à mesure des efforts déployés pour maîtriser le rocher.
Pourvu de pouvoirs impressionnants dont celui de contrôler l'esprit des humains (Tony en fait l'amère expérience), s'exprimant par jets de lumière de différentes couleurs, ce minéral vivant cause bien du souci aux Alphans, jusqu'à ce que Koenig finisse par trouver la parade et le neutralise.
J'aime bien l'épilogue, lorsque Maya fait remarquer que le rocher ne cherchait qu'à survivre, et que Koenig accepte sa suggestion de provoquer une pluie artificielle susceptible de faire renaître l'astre mort et ses rochers intelligents.
Renforcée par un géologue texan, un beau parleur qui fait la cour à Maya au grand désappointement de Tony, notre petit groupe d'explorateurs de l'espace vit des péripéties distrayantes au fur et à mesure des efforts déployés pour maîtriser le rocher.
Pourvu de pouvoirs impressionnants dont celui de contrôler l'esprit des humains (Tony en fait l'amère expérience), s'exprimant par jets de lumière de différentes couleurs, ce minéral vivant cause bien du souci aux Alphans, jusqu'à ce que Koenig finisse par trouver la parade et le neutralise.
J'aime bien l'épilogue, lorsque Maya fait remarquer que le rocher ne cherchait qu'à survivre, et que Koenig accepte sa suggestion de provoquer une pluie artificielle susceptible de faire renaître l'astre mort et ses rochers intelligents.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
5. EN ROUTE VERS L'INFINI**
(Journey to where)
La Terre, qui a atteint l'année 2120, a mis au point un système basé sur des ondes neutroniques, et l'utilise pour entrer en contact avec la base lunaire. Un savant texan propose alors de transférer les Alphans sur Terre avec ce nouveau procédé. Koenig, le docteur Russel et Alan décident de tenter l'expérience, mais un séisme se produisant sur la Terre perturbe le transfert et ils se retrouvent au cœur du Moyen-Age. Leur rapatriement en urgence s'impose car une éclipse galactique va interrompre toute communication entre la Terre et la Lune pendant un siècle.
Cette histoire de transfert par ondes neutroniques aurait pu constituer la base d'un très bon récit de science-fiction, comme en témoigne son entame accrocheuse. Hélas ! La déception va rapidement s'installer car l'idée pouvait difficilement être plus mal exploitée.
On a droit à une remontée dans le temps dont les péripéties sont d'une banalité affligeante, et qui fait penser à un mauvais épisode de la série Au cœur du temps. D'ailleurs, le transfert final ressemble à s'y méprendre aux scènes de conclusion des aventures de Doug et Tony.
Assister à un tel piétinement de la part de l'ensemble des protagonistes, pourtant hommes de science mais incapables de deviner qu'il s'agit d'un transfert spatio-temporel, ce que le téléspectateur lambda a compris immédiatement, est particulièrement énervant.
Le manque d'imagination des scénaristes est révélé par la vision qu'ils donnent de la Terre du futur : les hommes y vivent dans des sortes de coupoles hermétiques car la pollution a fait disparaître toute vie, animale et végétale. Du déjà-vu de seconde zone que ce tropisme catastrophiste ancré dans la tête de tous par les puissants lobbies écologistes.
Côté acteurs, rien de folichon. Aucune vedette invitée ne se distingue particulièrement, et à partir de cette aventure, Sandra est remplacée pour quelques épisodes par Yasko, dont l'interprète japonaise ne possède pas la douceur et le charme particuliers de Zienia Merton.
Un épisode qui, à l'instar de Humain, ne serait-ce qu'un moment, laissera des regrets en raison d'une idée intéressante bien mal développée.
On a droit à une remontée dans le temps dont les péripéties sont d'une banalité affligeante, et qui fait penser à un mauvais épisode de la série Au cœur du temps. D'ailleurs, le transfert final ressemble à s'y méprendre aux scènes de conclusion des aventures de Doug et Tony.
Assister à un tel piétinement de la part de l'ensemble des protagonistes, pourtant hommes de science mais incapables de deviner qu'il s'agit d'un transfert spatio-temporel, ce que le téléspectateur lambda a compris immédiatement, est particulièrement énervant.
Le manque d'imagination des scénaristes est révélé par la vision qu'ils donnent de la Terre du futur : les hommes y vivent dans des sortes de coupoles hermétiques car la pollution a fait disparaître toute vie, animale et végétale. Du déjà-vu de seconde zone que ce tropisme catastrophiste ancré dans la tête de tous par les puissants lobbies écologistes.
Côté acteurs, rien de folichon. Aucune vedette invitée ne se distingue particulièrement, et à partir de cette aventure, Sandra est remplacée pour quelques épisodes par Yasko, dont l'interprète japonaise ne possède pas la douceur et le charme particuliers de Zienia Merton.
Un épisode qui, à l'instar de Humain, ne serait-ce qu'un moment, laissera des regrets en raison d'une idée intéressante bien mal développée.
phildlm- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Série "Cosmos 1999"
6. TAYBOR LE COMMERCANT*
(The Taybor)
Les Alphans reçoivent la visite de Taybor, un curieux commerçant de l'espace habitué à se livrer au troc avec les différents peuples de la Galaxie. Equipé d'une machine capable d'atteindre n'importe quel point de l’Univers de manière instantanée en parcourant le « sub-espace », il suscite l'espoir pour les habitants de la base de retourner sur la Terre grâce à ses services.
Et voilà la série qui arrive dans le grand n'importe quoi. L'espace intersidéral parcouru par les Alphans avait déjà réservé son lot de surprises, mais cette fois les scénaristes font fort en lui attribuant ce commerçant obèse et haut-en-couleurs qui n'est pas sans rappeler certains rôles tenus par le fameux Victor Buono.
Le premier problème, c'est que le loufoque de la situation ne paraît pas de bon aloi sur cette série. Car on peut se demander ce qui suivra le commerçant spatial ambulant dans les épisodes à venir : le garage de l'espace, où les vaisseaux fatigués s'approvisionnent en carburant atomique, neutronique ou physico-magnétique ? Et pourquoi pas la péripatéticienne intergalactique parcourant l'Univers dans une soucoupe à lanterne rouge, à la recherche d'hypothétiques astronautes affamés par l'absence de contact avec la gent féminine depuis des millénaires ?
Le second problème, c'est que la vedette invitée Will Goddard n'a pas le talent de Victor Buono, et d'ailleurs même ce dernier aurait eu du mal à faire passer ce scénario pour le moins indigeste et qui s'enfonce dans le grotesque avec l'histoire du clone de Maya. Taybor est amoureux de Maya et ne saurait se contenter d'un double, donc sur ce coup Koenig a vraiment pris Taybor pour un imbécile.
Non seulement Sandra est toujours remplacée par la transparente Yasko, mais Alan ne participe pas à cet épisode, et ses compagnons font ce qu'ils peuvent au sein de cette aventure médiocre, sans parvenir à nous captiver. Si bien que lorsque l'épisode se termine, l'impression qui domine est une énorme envie de dire : « Ouf ! ».
Le premier problème, c'est que le loufoque de la situation ne paraît pas de bon aloi sur cette série. Car on peut se demander ce qui suivra le commerçant spatial ambulant dans les épisodes à venir : le garage de l'espace, où les vaisseaux fatigués s'approvisionnent en carburant atomique, neutronique ou physico-magnétique ? Et pourquoi pas la péripatéticienne intergalactique parcourant l'Univers dans une soucoupe à lanterne rouge, à la recherche d'hypothétiques astronautes affamés par l'absence de contact avec la gent féminine depuis des millénaires ?
Le second problème, c'est que la vedette invitée Will Goddard n'a pas le talent de Victor Buono, et d'ailleurs même ce dernier aurait eu du mal à faire passer ce scénario pour le moins indigeste et qui s'enfonce dans le grotesque avec l'histoire du clone de Maya. Taybor est amoureux de Maya et ne saurait se contenter d'un double, donc sur ce coup Koenig a vraiment pris Taybor pour un imbécile.
Non seulement Sandra est toujours remplacée par la transparente Yasko, mais Alan ne participe pas à cet épisode, et ses compagnons font ce qu'ils peuvent au sein de cette aventure médiocre, sans parvenir à nous captiver. Si bien que lorsque l'épisode se termine, l'impression qui domine est une énorme envie de dire : « Ouf ! ».
phildlm- Duc(hesse)
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Re: Série "Cosmos 1999"
Catherine Schell avait tourné dans "Alerte Satellite 02" en 1970, un film de SF/space opera. J'avais le jeu de photos d'exploitation de ce film mais je l'ai égaré. Par contre, elle y était "nature" et pas maquillée comme Maya.
Invité- Invité
Re: Série "Cosmos 1999"
7. LA PLANETE ARCHANON***
(The mark of Archanon)
Les Alphans découvrent sur la Lune, enfermés dans une caverne, deux humanoïdes en hibernation. Il s'agit de citoyens de la planète Archanon, la planète de la paix, atteints par le virus de la folie meurtrière qui les pousse irrésistiblement à tuer, et que leurs compatriotes ont été contraints de traiter ainsi pour se protéger de leurs agissements.
Un très bon épisode dont l'idée de base, excellente, a pour une fois été bien mise en forme. Des citoyens d'Archanon, la planète de la paix, parcouraient l'espace pour répandre leur message pacificateur lorsqu'ils ont découvert la vie terrestre et décidé de l'observer depuis une base installée sur la Lune.
Horrifiés par le comportement guerrier des humains, certains d'entre eux ont de surcroît été contaminés par un virus qui les incite à tuer contre leur volonté. Le chef Pasc et son fils Etrec ont été hibernés et enfermés dans une grotte lunaire en attendant que leurs compatriotes trouvent le moyen de les guérir.
Loin des légèretés communes à la seconde saison, cette histoire est traitée de façon sérieuse selon un schéma qu'on croirait issu de la première saison.
Le commandant Koenig et Maya ne font que de brèves apparitions, partis en mission sur un aigle qui s'est retrouvé pris dans un orage de météorites. Tony Verdeschi montre à cette occasion à quel point il fait un excellent chef en l'absence de Koenig. Alan Carter a également un rôle conséquent, où il étale son courage habituel et ses qualités humaines de « grand frère » avec Etrec, qu'il a pris sous sa protection.
Sur le point d'être démasqué, Pasc, gravement atteint par le virus, tente de s'enfuir en s'emparant de l'aigle destiné à secourir Maya et Koenig, accompagné du docteur Russel qu'il retient en otage.
John Standing et Michael Gallagher sont absolument formidables dans le rôle des Archaniens, à la fois cruels et raisonnables et surtout criants de vérité dans ces belles démonstrations de pure schizophrénie.
Les seuls reproches ont trait à la rapidité suspecte avec laquelle Helena a pu mettre au point un antidote au virus, et au final qui donne un peu trop dans le pathos, même si globalement cette conclusion bouleversante est d'assez bonne qualité. Cet épisode n'en demeure pas moins un des plus réussis de la saison.
Horrifiés par le comportement guerrier des humains, certains d'entre eux ont de surcroît été contaminés par un virus qui les incite à tuer contre leur volonté. Le chef Pasc et son fils Etrec ont été hibernés et enfermés dans une grotte lunaire en attendant que leurs compatriotes trouvent le moyen de les guérir.
Loin des légèretés communes à la seconde saison, cette histoire est traitée de façon sérieuse selon un schéma qu'on croirait issu de la première saison.
Le commandant Koenig et Maya ne font que de brèves apparitions, partis en mission sur un aigle qui s'est retrouvé pris dans un orage de météorites. Tony Verdeschi montre à cette occasion à quel point il fait un excellent chef en l'absence de Koenig. Alan Carter a également un rôle conséquent, où il étale son courage habituel et ses qualités humaines de « grand frère » avec Etrec, qu'il a pris sous sa protection.
Sur le point d'être démasqué, Pasc, gravement atteint par le virus, tente de s'enfuir en s'emparant de l'aigle destiné à secourir Maya et Koenig, accompagné du docteur Russel qu'il retient en otage.
John Standing et Michael Gallagher sont absolument formidables dans le rôle des Archaniens, à la fois cruels et raisonnables et surtout criants de vérité dans ces belles démonstrations de pure schizophrénie.
Les seuls reproches ont trait à la rapidité suspecte avec laquelle Helena a pu mettre au point un antidote au virus, et au final qui donne un peu trop dans le pathos, même si globalement cette conclusion bouleversante est d'assez bonne qualité. Cet épisode n'en demeure pas moins un des plus réussis de la saison.
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