Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
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Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
amazon n'est jamais très précis d'ordinaire. leurs fiches techniques sont toujours très incomplètes
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Ce n'est pas la fiche que je critique. C'est la photo ! Il est clairement écrit 8 DVD dessus. J'ai exactement le même design avec un 7 à la place du 8.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
les sites de vente en ligne reçoivent des visuels des éditions dvd très amont de la sortie, et ces visuels sont rarement définitifs. Mais les sites oublient de mettre à jour les visuels lorsque les éditeurs envoient les visuels définitifs. C'est ce qui a dû arrivé ici
The Town of No Return
Même commentaire que sur le post de l'épisode
Comparaison Studio Canal/Optimum
C’est le premier épisode dans les deux collections, que cela soit l’édition française Studio Canal ou britannique Optimum. Par la suite, Studio Canal suit l’ordre de diffusion, Optimum, l’ordre de production.
La durée est sensiblement la même : 49’47 pour Optimum, 49’41 pour Studio Canal mais cela est sûrement du au déclenchement de mon chrono ou à l’encart Studio Canal qui précède le générique. Je n’ai pas remarqué de ‘manque’ sur l’édition Canal. C’est un plaisir de voir le générique restauré en version originale car même en choisissant la VO, on avait droit au générique et titre français sur Studio Canal ; un générique Studio Canal granuleux, flou et mobile !
Il y a une nette amélioration de l’image même si l’édition Canal n’est pas catastrophique. Trois exemples (non exhaustif) : lorsque Brandon émerge de son sac plastique (c’est seulement à cette rediffusion que je me suis rendu compte que c’est Brandon qui sort du sac poubelle !), il dit au pêcheur, Saul : ‘Looks like rain’ ; l’image est subitement affreuse sur l’édition Canal mais toujours excellente sur Optimum. Lorsque Steed et Mrs Peel sont sur la plage, il y a un plan du ciel (avec un oiseau) puis sur Steed ; la version Canal a un trait vertical voyant et gênant sur tout l’écran, idem lorsque Brandon ramasse le cadre-photo laissé par Mrs Peel. C’est parfaitement restauré et le défaut n’existe pas sur la version Optimum.
Commentaires de Roy Baker et Brian Clemens avec la participation de Jaz Wiseman
Attention, je n’ai pas fait de pause pour prendre des notes. C’est à la volée et si quelqu’un possède l’édition et qu’il a remarqué d’autres détails, qu’il n’hésite pas à les ajouter !
Un commentaire intéressant qui commence par la musique de Laurie Johnson. Brian Clemens souligne que la musique de Johnson est plus importante que la précédente sans faire ombrage à celle de John Dankworth à qui il avait été proposé de faire la musique de cette saison. Il a décliné préférant se consacrer à ses projets au cinéma. La musique de la saison 4 devait être différente pour chaque épisode ; un peu comme au cinéma. C’est Julian Whittle qui permit d’avoir Laurie Johnson pour la musique de la série.
Le changement de la saison 3 à la saison 4 permit d’avoir un style film noir de grande qualité.
Au sujet d’Elizabeth Shepherd, Brian Clemens dit qu’il n’était pas impliqué à ce moment dans la série et dans le choix de l’actrice. Elisabeth était une excellente actrice mais il lui manquait le sens de l’humour et de la finesse, tout ce qu’avait Diana Rigg. Elle n’avait pas été recrutée sur film ce qui fut une erreur. Pour son remplacement, les différentes postulantes ont passé un test filmé.
Roy Ward Baker souligne que Diana Rigg avait l’intelligence et l’esprit (‘wit’). Il se souvient des nombreuses plaisanteries dans les dialogues mais elles n’étaient pas divulguées (‘not cracking the jokes’) et c’était aux téléspectateurs (‘the audience’) de les détecter.
Elizabeth Shepherd voulait que son boyfriend de l’époque participe à la série et elle n’hésitait pas à changer le script. Brian Clemens n’aimait pas cela. (‘I don’t like the actors changing the script’). Il souligne qu’elle le faisait dès le début et qu’il n’ose imaginer les conséquences que cela aurait pu avoir en plein milieu de saison. Roy Ward Baker n’a pas vu les passages avec Elizabeth Shepherd car ils étaient déjà coupés lorsqu’il s’est occupé de l’épisode.
Roy Ward Baker se souvient du lieu de tournage dans le Norfolk dans une base de l’armée désaffectée ; une petite ville avec une église. Les endroits abandonnés étaient très prisés dans The Avengers.
Il n’y avait pas de difficulté pour avoir les acteurs. En fait, beaucoup voulaient participer à la série. Les vilains ne devaient pas trop ressembler à des vilains et devaient même être physiquement présentables. Il n’y avait pas d’audition mais seulement des interviews pour engager les acteurs. Dans la scène du pub de l’épisode The Town of No Return, Baker avait peur que les méchants aient l’air ‘too strong’.
Brian Clemens parle ensuite des premières images de Mrs Peel. On a un visage derrière un masque et une femme en action. Puis elle retire le masque et un joli visage. C’est une bonne introduction au personnage.
Une quarantaine d’actrices furent pressenties et 10, dont Gabrielle Drake, ont fait un test sur film ce qui était couteux pour l’époque. Brian Clemens parle ensuite de la femme qui a trouvé le nom de Emma Peel (Man appeal) mais il a oublié son nom (‘poor thing, she’s dead now’) mais les noms - Peel, Steed- avaient une forte connotation britannique.
Brian Clemens évoque ensuite la Jill Manson de la première version et il regrette qu’il n’existe pas de reste filmé.
Patrick Macnee et Diana Rigg avaient un respect mutuel et il existait une osmose entre les deux acteurs. Pour Brian, les deux personnages, Emma et John, ont eu une liaison torride et c’est maintenant terminé ce qui explique leur décontraction bien qu’il y ait toujours une attirance.
Lorsque Mrs Peel rentre dans l’école en mini jupe, Clemens souligne qu’il avait été à Paris pour voir les prémices de la mini jupe et les producteurs furent enthousiastes pour l’utiliser dans la série avant que la mode ne soit lancée.
Brian Clemens cite le film d’Hitchcock The Lady Vanishes pour souligner l’immortalité des Avengers et Roy Ward Baker lui glisse qu’il était second assistant réalisateur sur ce film. Chaque épisode était traité comme un film et la qualité était le souci majeur. Brian Clemens souligne qu’il a rencontré récemment Jeremy Burnham (le vicaire dans l’épisode) maintenant barbu et qu’il serait tenté de rejouer. Piggy Warren est tout simplement un nom que Clemens a emprunté à son passé, chose qu’il avait l’air de faire assez souvent. La tenue de Mrs Peel lors de la fouille à l’école est prisée et Clemens souligne que la scène lorsque Mrs Peel ouvre la porte et se fait capturer ne resterai pas sans parole de nos jours. Il est aussi évoqué la scène où Ray Austin a doublé Jeremy Burnham lorsqu’il tombe dans le trou dans le final (Austin est visible). Pour Clemens, Patrick Macnee est aux Avengers ce que la colonne Nelson est à Trafalgar Square : irremplaçable ; il apporte le charme britannique à la série et il compare la dernière scène (lorsque Steed s’est débarrassé de tous les soldats avec son chapeau) à un passage digne des films de Clint Eastwood.
Comparaison Studio Canal/Optimum
C’est le premier épisode dans les deux collections, que cela soit l’édition française Studio Canal ou britannique Optimum. Par la suite, Studio Canal suit l’ordre de diffusion, Optimum, l’ordre de production.
La durée est sensiblement la même : 49’47 pour Optimum, 49’41 pour Studio Canal mais cela est sûrement du au déclenchement de mon chrono ou à l’encart Studio Canal qui précède le générique. Je n’ai pas remarqué de ‘manque’ sur l’édition Canal. C’est un plaisir de voir le générique restauré en version originale car même en choisissant la VO, on avait droit au générique et titre français sur Studio Canal ; un générique Studio Canal granuleux, flou et mobile !
Il y a une nette amélioration de l’image même si l’édition Canal n’est pas catastrophique. Trois exemples (non exhaustif) : lorsque Brandon émerge de son sac plastique (c’est seulement à cette rediffusion que je me suis rendu compte que c’est Brandon qui sort du sac poubelle !), il dit au pêcheur, Saul : ‘Looks like rain’ ; l’image est subitement affreuse sur l’édition Canal mais toujours excellente sur Optimum. Lorsque Steed et Mrs Peel sont sur la plage, il y a un plan du ciel (avec un oiseau) puis sur Steed ; la version Canal a un trait vertical voyant et gênant sur tout l’écran, idem lorsque Brandon ramasse le cadre-photo laissé par Mrs Peel. C’est parfaitement restauré et le défaut n’existe pas sur la version Optimum.
Commentaires de Roy Baker et Brian Clemens avec la participation de Jaz Wiseman
Attention, je n’ai pas fait de pause pour prendre des notes. C’est à la volée et si quelqu’un possède l’édition et qu’il a remarqué d’autres détails, qu’il n’hésite pas à les ajouter !
Un commentaire intéressant qui commence par la musique de Laurie Johnson. Brian Clemens souligne que la musique de Johnson est plus importante que la précédente sans faire ombrage à celle de John Dankworth à qui il avait été proposé de faire la musique de cette saison. Il a décliné préférant se consacrer à ses projets au cinéma. La musique de la saison 4 devait être différente pour chaque épisode ; un peu comme au cinéma. C’est Julian Whittle qui permit d’avoir Laurie Johnson pour la musique de la série.
Le changement de la saison 3 à la saison 4 permit d’avoir un style film noir de grande qualité.
Au sujet d’Elizabeth Shepherd, Brian Clemens dit qu’il n’était pas impliqué à ce moment dans la série et dans le choix de l’actrice. Elisabeth était une excellente actrice mais il lui manquait le sens de l’humour et de la finesse, tout ce qu’avait Diana Rigg. Elle n’avait pas été recrutée sur film ce qui fut une erreur. Pour son remplacement, les différentes postulantes ont passé un test filmé.
Roy Ward Baker souligne que Diana Rigg avait l’intelligence et l’esprit (‘wit’). Il se souvient des nombreuses plaisanteries dans les dialogues mais elles n’étaient pas divulguées (‘not cracking the jokes’) et c’était aux téléspectateurs (‘the audience’) de les détecter.
Elizabeth Shepherd voulait que son boyfriend de l’époque participe à la série et elle n’hésitait pas à changer le script. Brian Clemens n’aimait pas cela. (‘I don’t like the actors changing the script’). Il souligne qu’elle le faisait dès le début et qu’il n’ose imaginer les conséquences que cela aurait pu avoir en plein milieu de saison. Roy Ward Baker n’a pas vu les passages avec Elizabeth Shepherd car ils étaient déjà coupés lorsqu’il s’est occupé de l’épisode.
Roy Ward Baker se souvient du lieu de tournage dans le Norfolk dans une base de l’armée désaffectée ; une petite ville avec une église. Les endroits abandonnés étaient très prisés dans The Avengers.
Il n’y avait pas de difficulté pour avoir les acteurs. En fait, beaucoup voulaient participer à la série. Les vilains ne devaient pas trop ressembler à des vilains et devaient même être physiquement présentables. Il n’y avait pas d’audition mais seulement des interviews pour engager les acteurs. Dans la scène du pub de l’épisode The Town of No Return, Baker avait peur que les méchants aient l’air ‘too strong’.
Brian Clemens parle ensuite des premières images de Mrs Peel. On a un visage derrière un masque et une femme en action. Puis elle retire le masque et un joli visage. C’est une bonne introduction au personnage.
Une quarantaine d’actrices furent pressenties et 10, dont Gabrielle Drake, ont fait un test sur film ce qui était couteux pour l’époque. Brian Clemens parle ensuite de la femme qui a trouvé le nom de Emma Peel (Man appeal) mais il a oublié son nom (‘poor thing, she’s dead now’) mais les noms - Peel, Steed- avaient une forte connotation britannique.
Brian Clemens évoque ensuite la Jill Manson de la première version et il regrette qu’il n’existe pas de reste filmé.
Patrick Macnee et Diana Rigg avaient un respect mutuel et il existait une osmose entre les deux acteurs. Pour Brian, les deux personnages, Emma et John, ont eu une liaison torride et c’est maintenant terminé ce qui explique leur décontraction bien qu’il y ait toujours une attirance.
Lorsque Mrs Peel rentre dans l’école en mini jupe, Clemens souligne qu’il avait été à Paris pour voir les prémices de la mini jupe et les producteurs furent enthousiastes pour l’utiliser dans la série avant que la mode ne soit lancée.
Brian Clemens cite le film d’Hitchcock The Lady Vanishes pour souligner l’immortalité des Avengers et Roy Ward Baker lui glisse qu’il était second assistant réalisateur sur ce film. Chaque épisode était traité comme un film et la qualité était le souci majeur. Brian Clemens souligne qu’il a rencontré récemment Jeremy Burnham (le vicaire dans l’épisode) maintenant barbu et qu’il serait tenté de rejouer. Piggy Warren est tout simplement un nom que Clemens a emprunté à son passé, chose qu’il avait l’air de faire assez souvent. La tenue de Mrs Peel lors de la fouille à l’école est prisée et Clemens souligne que la scène lorsque Mrs Peel ouvre la porte et se fait capturer ne resterai pas sans parole de nos jours. Il est aussi évoqué la scène où Ray Austin a doublé Jeremy Burnham lorsqu’il tombe dans le trou dans le final (Austin est visible). Pour Clemens, Patrick Macnee est aux Avengers ce que la colonne Nelson est à Trafalgar Square : irremplaçable ; il apporte le charme britannique à la série et il compare la dernière scène (lorsque Steed s’est débarrassé de tous les soldats avec son chapeau) à un passage digne des films de Clint Eastwood.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Hyperintéressant ! Thanks denis !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Reçu le coffret de la saison 5, mais je n'aurai vraiment le temps de le découvrir qu'en février.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
The Master Minds
Comparaison Studio Canal/Optimum
Pas de coupe a priori : une différence de cinq secondes à peu près mais c’est sûrement dû à la fin du générique (avec panneau ABC) pour la collection Optimum. A moins que cela soit le ‘yes’ de l’assemblée avant de regagner les chambres après la vidéo hypnotisante (pas sur l’édition kiosque). Evidemment, l’image est nettoyée sur le coffret britannique. Pour s’en rendre compte, il suffit de regarder la scène pré-générique. La version Canal kiosque est bourrée de saletés noires ; traits, griffes, points. Il y a deux bonus concernant cet épisode : un générique de début et de fin différent et le panneau utilisé pour annoncer les ‘commercial breaks’ ; il fait penser au générique de la saison 3.
Sinon, quelques anecdotes ; Steed prenant le roi de l’échiquier :’The man we are after is the king’ ; en fait, il s’avèrera être ‘a queen’ ! Et puis une ‘devil mind’ qui m’avait échappé : Lorsque Steed téléphone, Holly vient proposer ‘something more physical’ à Steed. Devant son interrogation, elle répond : ‘A walk’.
Commentaires de Robert Banks Stewart, scénariste, avec la participation de Jaz Wiseman.
Attention, je n’ai pas fait de pause pour prendre des notes. C’est à la volée et si quelqu’un possède l’édition et qu’il a remarqué d’autres détails, qu’il n’hésite pas à les ajouter !
Cet épisode, second en ordre de production, fut diffusé pour la première fois en Grande-Bretagne le 1er octobre 1965 dans la région Borders. Stewart était employé par ABC et il connaissait la série même s’il ne faisait pas partie des scénaristes des épisodes studio car les auteurs et réalisateurs des saisons Cathy Gale étaient ses amis. Il avait déjà écrit des scénarios pour Destination danger et Le saint et Brian Clemens le connaissait bien. Stewart a toujours été un admirateur de Patrick Macnee.
D’où vint l’idée de Ransack ? Sa femme était membre de Mensa (Ndlr : une organisation internationale dont le seul critère d'admissibilité est d'obtenir des résultats supérieurs à ceux de 98% de la population aux tests d'intelligence (le plus souvent, un test de QI). C’était à la mode dans les années 60 d’appartenir à Mensa pour les snobs intellectuels. Sa femme y était, pas Robert !
Brian Clemens aimait chercher partout de nouvelles idées. L’épisode est une lutte pour devenir membre. Diana Rigg était merveilleuse et Patrick Macnee, alors âgé d’environ 45 ans, était un acteur confirmé. Lors de l’arrivée au domicile de Sir Clive Todd, c’était l’idée de Patrick Macnee que Steed mette le casque à plumet sur sa tête. Il y avait une alchimie entre les deux acteurs, Macnee et Rigg, mais ce n’était pas facile pour cette dernière qui a dû retourner des scènes jouées par Elizabeth Shepherd. (Ndlr : Stewart mentionne qu’Elizabeth Shepherd a tourné des scènes de l’épisode avant d’être remerciée. J’ai toujours entendu parler des épisodes The Town of No Return et The Murder Market concernant Shepherd mais pas celui-ci !).
Peter Graham Scott a fait un superbe travail et Robert Banks Stewart fut impressionné ; ils n’avaient jamais travaillé ensemble auparavant. L’atmosphère était totalement différente que celle des épisodes vidéos. Brian Clemens apportait souvent certaines idées et le script était modifié.
La série a fait sensation quand elle est apparue sur les écrans il y a 46 ans (Ndlr : saison 4 et au moment de l’interview). Les acteurs découvraient le script une semaine avant le tournage ; Cela prenait deux semaines pour avoir une ébauche à partir de l’idée originale puis une semaine pour clarifier.
La conversation s’oriente ensuite vers l’acteur écossais Ian McNaughton, Dr. Fergus Campbell, dans l’épisode. Il est devenu producteur par la suite et il joue le rôle d’un docteur écossais dans Les aigles.
Robert Banks Stewart révèle ensuite qu’il devait être le scénariste du premier James Bond, Casino Royale, avec Patrick McGoohan dans le rôle de l’agent 007. Le producteur décéda pendant la rédaction du script et le projet termina sur une étagère. Plus tard, toujours sur Bond, Stewart évoque que Connery sera toujours Bond ; il a eu les meilleurs dialogues et Roger Moore les plus mauvais.
La scène avec Davinia Todd permet de parler de Georgina Ward (Ndlr : une des plus belles Avengers girls). Stewart se souvient que c’était une très belle femme. Elle a peu de choses à faire dans l’épisode mais elle le fait bien : porter le bikini ! Bernard Archard était un très bon acteur avec un visage intéressant. Patricia Haines est évoquée (dans son costume de Robin des Bois à sa première apparition) ; une excellente actrice disparue trop tôt, à 45 ans, d’un cancer mais elle fumait beaucoup. Stewart s’attarde sur Martin Miller, le professeur Spencer, pas crédité au générique ce qui l’étonne beaucoup. Un merveilleux vieil acteur juif. La scène du poirier est un must pour le scénariste.
Stewart partit travailler en Australie ce qui le tint éloigné ; ce qui ne lui permit pas d’écrire plus de deux histoires pour la série (celle-ci et La danse macabre). D’ailleurs, occupé à autre chose, il n’a jamais assisté au tournage mais il fut enchanté par cet épisode.
Aucun acteur britannique n’a, par la suite, réussi aussi bien aux USA que Patrick Macnee dans une série jusqu’à Edward Woodward dans Equalizer. Stewart se rappelle qu’il a oublié Patrick McGoohan pour Destination danger et Le prisonnier, la série controversée aux USA et qui déconcerte toujours les britanniques.
Stewart signale que l’écriteau dans la chambre 'If you can't sleep, ring for a mistress' n’est pas de lui et il se demande si cela vient de Scott ou Clemens (Ndlr : Patrick Macnee souligne dans son livre Blind in one ear qu'il y avait au-dessus des couchettes à l'armée : 'If you want a mistress in the night, ring twice'). Lorsque Mrs Peel remet à Steed une poupée avec un visage noire, Stewart souligne qu’on ne verrait plus ça de nos jours car c’est politiquement incorrect et cela serait coupé au montage (Ndlr : j’ai passé la scène plusieurs fois et je ne vois pas le ‘délit’ à moins que la poupée en question soit connue). Il n’est pas expliqué dans l’épisode pourquoi Steed a déconnecté l’appareil qui lui permet de ne pas être hypnotisé. C’est une idée de Scott d’après Stewart. Lorsque Emma est immobile sur une chaise et a le regard fixe en état second sur le film, Stewart dit : I love that shot’.
Stewart trouve que les décors de la série sont bien meilleurs que ceux des séries de l’époque comme Le Saint. L’histoire était constituée pour qu’il y ait deux pauses et trois actes. Il y avait une sorte de dramatique à la fin de chaque acte. Il n’y avait pas pour les scénaristes de ‘bible’ pour savoir ce qu’il fallait insérer dans l’histoire et les scénaristes ne se concertaient pas sur leurs idées.
Il n’y avait pas beaucoup de tournage à l’extérieur, 10 jours de tournage dont un à l’extérieur. L’intrigue était assez basique pour être un mélange de suspense et de comédie.
Il était plus intéressant pour les scénaristes que la série fut sur film. Brian Clemens avait choisi son équipe. Le noir et blanc est le sommet de la série qui a perdu sa magie avec la couleur (un peu comme Destination danger) pour Stewart et Wiseman. Le noir et blanc est superbe avec les contrastes et l’éclairage et l’histoire s’intègre parfaitement au noir et blanc.
La bagarre finale derrière la scène, en ombres, ne fait pas partie du script mais elle est très Avengeresque.
Comparaison Studio Canal/Optimum
Pas de coupe a priori : une différence de cinq secondes à peu près mais c’est sûrement dû à la fin du générique (avec panneau ABC) pour la collection Optimum. A moins que cela soit le ‘yes’ de l’assemblée avant de regagner les chambres après la vidéo hypnotisante (pas sur l’édition kiosque). Evidemment, l’image est nettoyée sur le coffret britannique. Pour s’en rendre compte, il suffit de regarder la scène pré-générique. La version Canal kiosque est bourrée de saletés noires ; traits, griffes, points. Il y a deux bonus concernant cet épisode : un générique de début et de fin différent et le panneau utilisé pour annoncer les ‘commercial breaks’ ; il fait penser au générique de la saison 3.
Sinon, quelques anecdotes ; Steed prenant le roi de l’échiquier :’The man we are after is the king’ ; en fait, il s’avèrera être ‘a queen’ ! Et puis une ‘devil mind’ qui m’avait échappé : Lorsque Steed téléphone, Holly vient proposer ‘something more physical’ à Steed. Devant son interrogation, elle répond : ‘A walk’.
Commentaires de Robert Banks Stewart, scénariste, avec la participation de Jaz Wiseman.
Attention, je n’ai pas fait de pause pour prendre des notes. C’est à la volée et si quelqu’un possède l’édition et qu’il a remarqué d’autres détails, qu’il n’hésite pas à les ajouter !
Cet épisode, second en ordre de production, fut diffusé pour la première fois en Grande-Bretagne le 1er octobre 1965 dans la région Borders. Stewart était employé par ABC et il connaissait la série même s’il ne faisait pas partie des scénaristes des épisodes studio car les auteurs et réalisateurs des saisons Cathy Gale étaient ses amis. Il avait déjà écrit des scénarios pour Destination danger et Le saint et Brian Clemens le connaissait bien. Stewart a toujours été un admirateur de Patrick Macnee.
D’où vint l’idée de Ransack ? Sa femme était membre de Mensa (Ndlr : une organisation internationale dont le seul critère d'admissibilité est d'obtenir des résultats supérieurs à ceux de 98% de la population aux tests d'intelligence (le plus souvent, un test de QI). C’était à la mode dans les années 60 d’appartenir à Mensa pour les snobs intellectuels. Sa femme y était, pas Robert !
Brian Clemens aimait chercher partout de nouvelles idées. L’épisode est une lutte pour devenir membre. Diana Rigg était merveilleuse et Patrick Macnee, alors âgé d’environ 45 ans, était un acteur confirmé. Lors de l’arrivée au domicile de Sir Clive Todd, c’était l’idée de Patrick Macnee que Steed mette le casque à plumet sur sa tête. Il y avait une alchimie entre les deux acteurs, Macnee et Rigg, mais ce n’était pas facile pour cette dernière qui a dû retourner des scènes jouées par Elizabeth Shepherd. (Ndlr : Stewart mentionne qu’Elizabeth Shepherd a tourné des scènes de l’épisode avant d’être remerciée. J’ai toujours entendu parler des épisodes The Town of No Return et The Murder Market concernant Shepherd mais pas celui-ci !).
Peter Graham Scott a fait un superbe travail et Robert Banks Stewart fut impressionné ; ils n’avaient jamais travaillé ensemble auparavant. L’atmosphère était totalement différente que celle des épisodes vidéos. Brian Clemens apportait souvent certaines idées et le script était modifié.
La série a fait sensation quand elle est apparue sur les écrans il y a 46 ans (Ndlr : saison 4 et au moment de l’interview). Les acteurs découvraient le script une semaine avant le tournage ; Cela prenait deux semaines pour avoir une ébauche à partir de l’idée originale puis une semaine pour clarifier.
La conversation s’oriente ensuite vers l’acteur écossais Ian McNaughton, Dr. Fergus Campbell, dans l’épisode. Il est devenu producteur par la suite et il joue le rôle d’un docteur écossais dans Les aigles.
Robert Banks Stewart révèle ensuite qu’il devait être le scénariste du premier James Bond, Casino Royale, avec Patrick McGoohan dans le rôle de l’agent 007. Le producteur décéda pendant la rédaction du script et le projet termina sur une étagère. Plus tard, toujours sur Bond, Stewart évoque que Connery sera toujours Bond ; il a eu les meilleurs dialogues et Roger Moore les plus mauvais.
La scène avec Davinia Todd permet de parler de Georgina Ward (Ndlr : une des plus belles Avengers girls). Stewart se souvient que c’était une très belle femme. Elle a peu de choses à faire dans l’épisode mais elle le fait bien : porter le bikini ! Bernard Archard était un très bon acteur avec un visage intéressant. Patricia Haines est évoquée (dans son costume de Robin des Bois à sa première apparition) ; une excellente actrice disparue trop tôt, à 45 ans, d’un cancer mais elle fumait beaucoup. Stewart s’attarde sur Martin Miller, le professeur Spencer, pas crédité au générique ce qui l’étonne beaucoup. Un merveilleux vieil acteur juif. La scène du poirier est un must pour le scénariste.
Stewart partit travailler en Australie ce qui le tint éloigné ; ce qui ne lui permit pas d’écrire plus de deux histoires pour la série (celle-ci et La danse macabre). D’ailleurs, occupé à autre chose, il n’a jamais assisté au tournage mais il fut enchanté par cet épisode.
Aucun acteur britannique n’a, par la suite, réussi aussi bien aux USA que Patrick Macnee dans une série jusqu’à Edward Woodward dans Equalizer. Stewart se rappelle qu’il a oublié Patrick McGoohan pour Destination danger et Le prisonnier, la série controversée aux USA et qui déconcerte toujours les britanniques.
Stewart signale que l’écriteau dans la chambre 'If you can't sleep, ring for a mistress' n’est pas de lui et il se demande si cela vient de Scott ou Clemens (Ndlr : Patrick Macnee souligne dans son livre Blind in one ear qu'il y avait au-dessus des couchettes à l'armée : 'If you want a mistress in the night, ring twice'). Lorsque Mrs Peel remet à Steed une poupée avec un visage noire, Stewart souligne qu’on ne verrait plus ça de nos jours car c’est politiquement incorrect et cela serait coupé au montage (Ndlr : j’ai passé la scène plusieurs fois et je ne vois pas le ‘délit’ à moins que la poupée en question soit connue). Il n’est pas expliqué dans l’épisode pourquoi Steed a déconnecté l’appareil qui lui permet de ne pas être hypnotisé. C’est une idée de Scott d’après Stewart. Lorsque Emma est immobile sur une chaise et a le regard fixe en état second sur le film, Stewart dit : I love that shot’.
Stewart trouve que les décors de la série sont bien meilleurs que ceux des séries de l’époque comme Le Saint. L’histoire était constituée pour qu’il y ait deux pauses et trois actes. Il y avait une sorte de dramatique à la fin de chaque acte. Il n’y avait pas pour les scénaristes de ‘bible’ pour savoir ce qu’il fallait insérer dans l’histoire et les scénaristes ne se concertaient pas sur leurs idées.
Il n’y avait pas beaucoup de tournage à l’extérieur, 10 jours de tournage dont un à l’extérieur. L’intrigue était assez basique pour être un mélange de suspense et de comédie.
Il était plus intéressant pour les scénaristes que la série fut sur film. Brian Clemens avait choisi son équipe. Le noir et blanc est le sommet de la série qui a perdu sa magie avec la couleur (un peu comme Destination danger) pour Stewart et Wiseman. Le noir et blanc est superbe avec les contrastes et l’éclairage et l’histoire s’intègre parfaitement au noir et blanc.
La bagarre finale derrière la scène, en ombres, ne fait pas partie du script mais elle est très Avengeresque.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Les commentaires sur l'image et les transcripts de commentaires audio sont en ligne:
http://www.theavengers.fr
http://www.theavengers.fr
Invité- Invité
Les Avengers et le politiquement correct
Lorsque Mrs Peel remet à Steed une poupée avec un visage noire, Stewart souligne qu’on ne verrait plus ça de nos jours car c’est politiquement incorrect et cela serait coupé au montage (Ndlr : j’ai passé la scène plusieurs fois et je ne vois pas le ‘délit’ à moins que la poupée en question soit connue).
En effet, la poupée en question est Golliwogg (ou ‘golly doll’) ; un personnage des livres pour enfants de la fin du XIXème siècle décrit comme une poupée de chiffon. Produit par des fabricants de jouets, le ‘golliwog’ était très prisé en Amérique du Nord, au Royaume Uni et en Australie dans les années 60. La poupée, comme celle vue dans l’épisode, a une peau très noire, des yeux cerclés de blanc, des lèvres de clown et les cheveux frisés.
http://en.wikipedia.org/wiki/Golliwogg
Le golliwog est masculin et, pour cette raison, il était souvent, avec l’ours en peluche, le compagnon des jeunes garçons. L’image de la poupée a suscité de vifs débats. Doit-elle être préservée en tant que tradition de l’enfance ou supprimée car véhicule de racisme envers les descendants africains ? Cette perception a fait reculer les ventes et les fabricants l’ont retirée des magasins….ou ont changé le nom.
Après la publication du premier livre de Florence Kate Upton en 1895, le terme ‘golliwog’ fut utilisé aussi bien en tant que référence au jouet pour enfants que pour un terme raciste pour les Noirs. Au Royaume Uni, golliwog devint ‘wog’, un terme utilisé pour les gens à la peau noire.
La poupée devint un jouet populaire tout au long du 20ième siècle et elle fut incorporée dans la culture britannique sous forme de livres, jouets et divers objets.
Petit à petit, le ‘politiquement correct’ s’imposa et, au début des années 2000, la figurine fut retirée des confitures et marmelades sous prétexte qu’elle n’était pas connue des nouvelles générations mais certains artifices se négocient maintenant très chers, étant de véritables objets de collection.
Au début des années 80, les nouvelles éditions de Noddy d’Enid Blyton ont remplacé Mr Golly par Mr Sparks !
En mars 2007, la police de Manchester a confisqué deux poupées golliwogs dans une boutique après une plainte. En septembre de la même année, l’enseigne Zara a mis en vente en Grande Bretagne un T-shirt avec une petite fille Golliwog ce qui fut mal accueilli.
En février 2009, une journaliste de la BBC a comparé, hors antenne, le joueur de tennis français Tsonga à un golliwog. Elle fut sommée de s’excuser par la BBC. Elle a déclaré que c’était une plaisanterie et refusa de faire une ‘"unconditional apology". Elle dit que c’était en référence au motif golliwog vu dans son enfance sur les pots de confiture.
En effet, la poupée en question est Golliwogg (ou ‘golly doll’) ; un personnage des livres pour enfants de la fin du XIXème siècle décrit comme une poupée de chiffon. Produit par des fabricants de jouets, le ‘golliwog’ était très prisé en Amérique du Nord, au Royaume Uni et en Australie dans les années 60. La poupée, comme celle vue dans l’épisode, a une peau très noire, des yeux cerclés de blanc, des lèvres de clown et les cheveux frisés.
http://en.wikipedia.org/wiki/Golliwogg
Le golliwog est masculin et, pour cette raison, il était souvent, avec l’ours en peluche, le compagnon des jeunes garçons. L’image de la poupée a suscité de vifs débats. Doit-elle être préservée en tant que tradition de l’enfance ou supprimée car véhicule de racisme envers les descendants africains ? Cette perception a fait reculer les ventes et les fabricants l’ont retirée des magasins….ou ont changé le nom.
Après la publication du premier livre de Florence Kate Upton en 1895, le terme ‘golliwog’ fut utilisé aussi bien en tant que référence au jouet pour enfants que pour un terme raciste pour les Noirs. Au Royaume Uni, golliwog devint ‘wog’, un terme utilisé pour les gens à la peau noire.
La poupée devint un jouet populaire tout au long du 20ième siècle et elle fut incorporée dans la culture britannique sous forme de livres, jouets et divers objets.
Petit à petit, le ‘politiquement correct’ s’imposa et, au début des années 2000, la figurine fut retirée des confitures et marmelades sous prétexte qu’elle n’était pas connue des nouvelles générations mais certains artifices se négocient maintenant très chers, étant de véritables objets de collection.
Au début des années 80, les nouvelles éditions de Noddy d’Enid Blyton ont remplacé Mr Golly par Mr Sparks !
En mars 2007, la police de Manchester a confisqué deux poupées golliwogs dans une boutique après une plainte. En septembre de la même année, l’enseigne Zara a mis en vente en Grande Bretagne un T-shirt avec une petite fille Golliwog ce qui fut mal accueilli.
En février 2009, une journaliste de la BBC a comparé, hors antenne, le joueur de tennis français Tsonga à un golliwog. Elle fut sommée de s’excuser par la BBC. Elle a déclaré que c’était une plaisanterie et refusa de faire une ‘"unconditional apology". Elle dit que c’était en référence au motif golliwog vu dans son enfance sur les pots de confiture.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
denis a écrit:Lorsque Mrs Peel remet à Steed une poupée avec un visage noire, Stewart souligne qu’on ne verrait plus ça de nos jours car c’est politiquement incorrect et cela serait coupé au montage (Ndlr : j’ai passé la scène plusieurs fois et je ne vois pas le ‘délit’ à moins que la poupée en question soit connue).
En effet, la poupée en question est Golliwogg (ou ‘golly doll’) ; un personnage des livres pour enfants de la fin du XIXème siècle décrit comme une poupée de chiffon. Produit par des fabricants de jouets, le ‘golliwog’ était très prisé en Amérique du Nord, au Royaume Uni et en Australie dans les années 60. La poupée, comme celle vue dans l’épisode, a une peau très noire, des yeux cerclés de blanc, des lèvres de clown et les cheveux frisés.
http://en.wikipedia.org/wiki/Golliwogg
Le golliwog est masculin et, pour cette raison, il était souvent, avec l’ours en peluche, le compagnon des jeunes garçons. L’image de la poupée a suscité de vifs débats. Doit-elle être préservée en tant que tradition de l’enfance ou supprimée car véhicule de racisme envers les descendants africains ? Cette perception a fait reculer les ventes et les fabricants l’ont retirée des magasins….ou ont changé le nom.
Après la publication du premier livre de Florence Kate Upton en 1895, le terme ‘golliwog’ fut utilisé aussi bien en tant que référence au jouet pour enfants que pour un terme raciste pour les Noirs. Au Royaume Uni, golliwog devint ‘wog’, un terme utilisé pour les gens à la peau noire.
La poupée devint un jouet populaire tout au long du 20ième siècle et elle fut incorporée dans la culture britannique sous forme de livres, jouets et divers objets.
Petit à petit, le ‘politiquement correct’ s’imposa et, au début des années 2000, la figurine fut retirée des confitures et marmelades sous prétexte qu’elle n’était pas connue des nouvelles générations mais certains artifices se négocient maintenant très chers, étant de véritables objets de collection.
Au début des années 80, les nouvelles éditions de Noddy d’Enid Blyton ont remplacé Mr Golly par Mr Sparks !
En mars 2007, la police de Manchester a confisqué deux poupées golliwogs dans une boutique après une plainte. En septembre de la même année, l’enseigne Zara a mis en vente en Grande Bretagne un T-shirt avec une petite fille Golliwog ce qui fut mal accueilli.
En février 2009, une journaliste de la BBC a comparé, hors antenne, le joueur de tennis français Tsonga à un golliwog. Elle fut sommée de s’excuser par la BBC. Elle a déclaré que c’était une plaisanterie et refusa de faire une ‘"unconditional apology". Elle dit que c’était en référence au motif golliwog vu dans son enfance sur les pots de confiture.
Whaou on en apprend tous les jours, je ne connaissez pas du tout cette poupée Merci pour ses petites infos que je trouve intéressante Merci Denis !
Doudi- Marquis(e)
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Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Déjà vu dans un épisode de la première saison d''Extras''.
Cetp65- Prince(sse)
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Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Autres Bonus du DVD 1/7
Les épisodes ont seulement quatre chapitres.
Il y a une dizaine de bonus. Les deux commentaires des épisodes The Town of No Return et The Master Minds. Les génériques différents de The Master Minds et l’encart publicitaire déjà cités.
Il y a la présentation américaine de l’échiquier, que nous connaissons (elle n’est pas restaurée), une abondante galerie de photographies et des fichiers DVD/Rom qu’on peut consulter sur ordinateur.
Il y a l’épisode intégral (non restauré) de la série ABC, Armchair Theatre intitulé The Hothouse avec Diana Rigg. Il date de 1964. D’intérêt très limité, j’ai décroché au bout d’une vingtaine de minutes pour passer le reste en accéléré (ça dure 53 minutes exactement).
Le plus intéressant est l’interview téléphonique d’Elisabeth Shepherd d’une dizaine de minutes intitulé The Series of No Return.
Elle connaissait la série avant d’y participer mais elle n’était pas une fan (‘a devotee’) pour rentrer précipitamment et la regarder.
Il n’y a pas eu d’audition mais seulement un entretien avec Julian Whittle. Ce dernier était enthousiaste que la série passe sur film et il a dit qu’elle serait de ce fait dix fois meilleure qu’avant. Il était très ambitieux mais la phrase que se souvient très bien Elizabeth Shepherd est celle-ci : ‘We welcome your own ideals’. C’était pour elle une sorte de licence pour apporter ses contributions. Elle dit que les producteurs étaient plus motivés à l’engager qu’elle à obtenir le rôle. Julian Whittle voulait qu’Emma Peel soit plus chaleureuse et spirituelle que Cathy Gale mais Shepherd ne le voyait pas dans les scripts. C’est pour cela quelle dit avoir voulu changer les scripts.
Au sujet de l’épisode The Town of No Return, elle déclare que Peter Scott était adorable mais le problème est qu’elle devait s’insérer dans quelque chose de déjà conçu.
Elle ne se souvient plus du tournage contrairement au ‘backstage’ (les coulisses) et tout ce qui entourait le cuir et le fétichisme ambiant. Si on voulait du cuir, elle insista qu’il soit rouge pour changer de Cathy Gale.
En ce qui concerne Patrick Macnee, elle reste évasive sur leur relation disant que Macnee ne voulait sûrement pas gâcher le succès de la série. (‘He didn’t want the franchise messed up’). Elle ne se souvient pas d’avoir vu des prises car la tension était déjà palpable.
Elle évoque une scène de judo avec Ray Austin qui trouvait que ses longs cheveux blonds étaient une vulnérabilité. Elle préconisa une coupe ‘juvenile’ mais Austin trouva que cela ne serait pas assez ‘glamorous’. Elle a ensuite suggéré long d’un côté, court de l’autre…
Elle se situe en avance sur son temps et elle voulait une Emma Peel moderne et s’éloigner du cuir et autres artifices qui en étaient contraire.
Elle évoque ensuite son départ et son rôle dans Corridor People qui était beaucoup plus pervers.
Bien entendu, elle aurait aimé jouer dans The Avengers et elle est très contente que son passage ait été incorporé dans l’histoire de la série.
A la fin de l’interview, la scène du presbytère et des mains d’Emma Peel est montrée : la seule participation d’Elizabeth Shepherd dans la version définitive.
Les épisodes ont seulement quatre chapitres.
Il y a une dizaine de bonus. Les deux commentaires des épisodes The Town of No Return et The Master Minds. Les génériques différents de The Master Minds et l’encart publicitaire déjà cités.
Il y a la présentation américaine de l’échiquier, que nous connaissons (elle n’est pas restaurée), une abondante galerie de photographies et des fichiers DVD/Rom qu’on peut consulter sur ordinateur.
Il y a l’épisode intégral (non restauré) de la série ABC, Armchair Theatre intitulé The Hothouse avec Diana Rigg. Il date de 1964. D’intérêt très limité, j’ai décroché au bout d’une vingtaine de minutes pour passer le reste en accéléré (ça dure 53 minutes exactement).
Le plus intéressant est l’interview téléphonique d’Elisabeth Shepherd d’une dizaine de minutes intitulé The Series of No Return.
Elle connaissait la série avant d’y participer mais elle n’était pas une fan (‘a devotee’) pour rentrer précipitamment et la regarder.
Il n’y a pas eu d’audition mais seulement un entretien avec Julian Whittle. Ce dernier était enthousiaste que la série passe sur film et il a dit qu’elle serait de ce fait dix fois meilleure qu’avant. Il était très ambitieux mais la phrase que se souvient très bien Elizabeth Shepherd est celle-ci : ‘We welcome your own ideals’. C’était pour elle une sorte de licence pour apporter ses contributions. Elle dit que les producteurs étaient plus motivés à l’engager qu’elle à obtenir le rôle. Julian Whittle voulait qu’Emma Peel soit plus chaleureuse et spirituelle que Cathy Gale mais Shepherd ne le voyait pas dans les scripts. C’est pour cela quelle dit avoir voulu changer les scripts.
Au sujet de l’épisode The Town of No Return, elle déclare que Peter Scott était adorable mais le problème est qu’elle devait s’insérer dans quelque chose de déjà conçu.
Elle ne se souvient plus du tournage contrairement au ‘backstage’ (les coulisses) et tout ce qui entourait le cuir et le fétichisme ambiant. Si on voulait du cuir, elle insista qu’il soit rouge pour changer de Cathy Gale.
En ce qui concerne Patrick Macnee, elle reste évasive sur leur relation disant que Macnee ne voulait sûrement pas gâcher le succès de la série. (‘He didn’t want the franchise messed up’). Elle ne se souvient pas d’avoir vu des prises car la tension était déjà palpable.
Elle évoque une scène de judo avec Ray Austin qui trouvait que ses longs cheveux blonds étaient une vulnérabilité. Elle préconisa une coupe ‘juvenile’ mais Austin trouva que cela ne serait pas assez ‘glamorous’. Elle a ensuite suggéré long d’un côté, court de l’autre…
Elle se situe en avance sur son temps et elle voulait une Emma Peel moderne et s’éloigner du cuir et autres artifices qui en étaient contraire.
Elle évoque ensuite son départ et son rôle dans Corridor People qui était beaucoup plus pervers.
Bien entendu, elle aurait aimé jouer dans The Avengers et elle est très contente que son passage ait été incorporé dans l’histoire de la série.
A la fin de l’interview, la scène du presbytère et des mains d’Emma Peel est montrée : la seule participation d’Elizabeth Shepherd dans la version définitive.
Invité- Invité
Bonus du DVD 2/7
5 bonus sur ce second DVD
Dial a Deadly Number
Commentaires de Roger Marshall, scénariste, avec la participation de Jaz Wiseman.
Attention, je n’ai pas fait de pause pour prendre des notes. C’est à la volée et si quelqu’un possède l’édition et qu’il a remarqué d’autres détails, qu’il n’hésite pas à les ajouter !
Les commentaires de cet épisode sont particulièrement décousus. On peut se féliciter de la spontanéité mais c’est parfois au détriment de la fluidité et de l’intérêt. Ainsi, à des questions de Wiseman, Roger Marshall répond souvent par : ‘I can’t remember’ ou un ‘yes’ suivi d’un long blanc.
Marshall trouve que le titre de l’épisode est très bien.
On pensait que la musique de Dankworth ne pouvait être améliorée mais celle de Laurie Johnson colle mieux au style sophistiqué de la série.
D’où vient l’idée des ‘pagers’ utilisés dans l’épisode ? A l’époque, bien entendu, les téléphones portables n’existaient pas mais les médecins dans les hôpitaux avaient ce genre d’appareil et l’idée fut de généraliser l’usage pour l’épisode et de le faire porter dans des poches proche du cœur ce qui pourrait entraîner la mort. Les décès de l’épisode sont donc parfaitement plausibles pour Roger Marshall. Certaines recherches furent faites auprès de médecins. L’intrigue de base était les ‘pagers’ dont une aiguille permettait de toucher le cœur. Par conséquent, rien de fantastique dans le scénario pour Roger Marshall car cela aurait pu arriver. On apprend seulement que Marshall était intéressé par le monde de la haute finance par un ‘yes’.
L’intégralité de l’épisode fut tournée en studio y compris la scène du garage même s’il y a un échange entre les deux hommes où Wiseman pense que cette scène fut filmée dans un parking de la production tandis que Marshall pense que c’est un studio. L’épisode eut beaucoup de succès lors de sa sortie en cassette vidéo. La distribution est magnifique ; Cliff Evans, un charmant acteur, et Peter Bowles, un acteur Avengers. Les acteurs réalisaient que c’était une bonne série et ils voulaient y participer.
Roger Marshall ne savait pas qui serait Mrs Peel lorsqu’il a commencé à écrire le scénario de Dial a Deadly Number. Il se souvient d’avoir été sur le tournage de The Town of No Return dans le Norfolk avec Brian Clemens et il vit Elisabeth Shepherd dans le rôle. Un après-midi, ils ont trouvé l’aérodrome qui servira de tournage à l’épisode The Hour That Never Was.
Le budget fut augmenté à partir du passage au film mais les scénaristes étaient moins impliqués que durant les saisons Gale. Il n’y avait pas de ‘bible’, pas de directives impliquant les personnages principaux. Steed et Mrs Peel auraient pu être amants mais trois personnes qui regardent la série auraient eu un point de vue différent. La conception d’un script durait deux à trois semaines et les réécritures étaient en fonction de l’urgence. Deux semaines après la remise du script, il revenait au scénariste avec des idées provenant de quelqu’un d’autre. Brian Clemens, le script editor, modifiait beaucoup ce que les scénaristes proposaient. Pas pour les deux premiers qui furent terminés avant le début de tournage de la série.
La réalisation de Don Leaver fut excellente pour le scénariste ; les gros plans, Mrs Peel à travers le verre lors du duel à la cave… Pour Marshall, on pouvait déjà pressentir que Diana Rigg allait faire une grande carrière. Julian Whittle était l’éminence grise au bout du couloir et Harry Pottle a fait un excellent décor mais il ne l’a jamais rencontré.
Les Américains étaient en avance et ne prenaient pas de vidéo. Les épisodes de la saison quatre étaient conçus comme de véritables films et les metteurs en scène d’expérience apportaient plus que les jeunes pour les séries télévisées. Le noir et blanc avait une superbe atmosphère et le passage à la couleur fit perdre quelque chose. La série fait partie des ‘swinging sixties’ et de la culture pop des années 60.
Jaz Wiseman oriente la discussion sur les autres épisodes écrits par Marshall ; The Danger Makers avec la fameuse scène où Mrs Peel doit passer un test électriquement dangereux ; The Girl from Auntie que le scénariste n’apprécie pas du tout même s’il ne se souvient pas si Diana Rigg était en vacances pour l’occasion. Silent Dust, il ne sait plus pourquoi le titre initial a été changé, ‘Everything dies’. Au sujet de A Funny Thing Happened on the Way to the Station et la réécriture de son scénario sous le nom de Brian Sheriff, Marshall déclare que c’était l’humour de Clemens ce qui le laisse froid. Cet épisode est ‘a travesty’, il y a quelques bonnes scènes mais il s’égare ; ‘it lost its way’ ; c’était la fin de la série comme il la concevait.
La discussion s’égare souvent sur d’autres séries, comme Maverick, où Henry Mancini produisait une musique de jazz pour chaque épisode, ou The Sweeney (Regan en France) pour laquelle Roger Marshall semble avoir des souvenirs plus vivaces. Contrairement à The Avengers, il n’y eut aucun problème à faire The Sweeney 52 semaines par an.
Dans le final, il précise que l’idée de lire l’étiquette de la bouteille est de lui et il est triste lors du générique de voir tous ces noms si chers de disparus.
Les autres bonus
- Les tests couleurs des années 80 conservés par Dave Rogers de l’épisode Death at Bargain Prices. Deux courts passages ; lorsque Steed rencontre Mrs Peel dans le magasin et la bagarre finale lorsque Mrs Peel claque des doigts.
- Une scène différente du tag final (avec également l’autre générique) de l'épisode Death at Bargain Prices.
- Les galleries photos très fournies.
- DVD Rom.
Dial a Deadly Number
Commentaires de Roger Marshall, scénariste, avec la participation de Jaz Wiseman.
Attention, je n’ai pas fait de pause pour prendre des notes. C’est à la volée et si quelqu’un possède l’édition et qu’il a remarqué d’autres détails, qu’il n’hésite pas à les ajouter !
Les commentaires de cet épisode sont particulièrement décousus. On peut se féliciter de la spontanéité mais c’est parfois au détriment de la fluidité et de l’intérêt. Ainsi, à des questions de Wiseman, Roger Marshall répond souvent par : ‘I can’t remember’ ou un ‘yes’ suivi d’un long blanc.
Marshall trouve que le titre de l’épisode est très bien.
On pensait que la musique de Dankworth ne pouvait être améliorée mais celle de Laurie Johnson colle mieux au style sophistiqué de la série.
D’où vient l’idée des ‘pagers’ utilisés dans l’épisode ? A l’époque, bien entendu, les téléphones portables n’existaient pas mais les médecins dans les hôpitaux avaient ce genre d’appareil et l’idée fut de généraliser l’usage pour l’épisode et de le faire porter dans des poches proche du cœur ce qui pourrait entraîner la mort. Les décès de l’épisode sont donc parfaitement plausibles pour Roger Marshall. Certaines recherches furent faites auprès de médecins. L’intrigue de base était les ‘pagers’ dont une aiguille permettait de toucher le cœur. Par conséquent, rien de fantastique dans le scénario pour Roger Marshall car cela aurait pu arriver. On apprend seulement que Marshall était intéressé par le monde de la haute finance par un ‘yes’.
L’intégralité de l’épisode fut tournée en studio y compris la scène du garage même s’il y a un échange entre les deux hommes où Wiseman pense que cette scène fut filmée dans un parking de la production tandis que Marshall pense que c’est un studio. L’épisode eut beaucoup de succès lors de sa sortie en cassette vidéo. La distribution est magnifique ; Cliff Evans, un charmant acteur, et Peter Bowles, un acteur Avengers. Les acteurs réalisaient que c’était une bonne série et ils voulaient y participer.
Roger Marshall ne savait pas qui serait Mrs Peel lorsqu’il a commencé à écrire le scénario de Dial a Deadly Number. Il se souvient d’avoir été sur le tournage de The Town of No Return dans le Norfolk avec Brian Clemens et il vit Elisabeth Shepherd dans le rôle. Un après-midi, ils ont trouvé l’aérodrome qui servira de tournage à l’épisode The Hour That Never Was.
Le budget fut augmenté à partir du passage au film mais les scénaristes étaient moins impliqués que durant les saisons Gale. Il n’y avait pas de ‘bible’, pas de directives impliquant les personnages principaux. Steed et Mrs Peel auraient pu être amants mais trois personnes qui regardent la série auraient eu un point de vue différent. La conception d’un script durait deux à trois semaines et les réécritures étaient en fonction de l’urgence. Deux semaines après la remise du script, il revenait au scénariste avec des idées provenant de quelqu’un d’autre. Brian Clemens, le script editor, modifiait beaucoup ce que les scénaristes proposaient. Pas pour les deux premiers qui furent terminés avant le début de tournage de la série.
La réalisation de Don Leaver fut excellente pour le scénariste ; les gros plans, Mrs Peel à travers le verre lors du duel à la cave… Pour Marshall, on pouvait déjà pressentir que Diana Rigg allait faire une grande carrière. Julian Whittle était l’éminence grise au bout du couloir et Harry Pottle a fait un excellent décor mais il ne l’a jamais rencontré.
Les Américains étaient en avance et ne prenaient pas de vidéo. Les épisodes de la saison quatre étaient conçus comme de véritables films et les metteurs en scène d’expérience apportaient plus que les jeunes pour les séries télévisées. Le noir et blanc avait une superbe atmosphère et le passage à la couleur fit perdre quelque chose. La série fait partie des ‘swinging sixties’ et de la culture pop des années 60.
Jaz Wiseman oriente la discussion sur les autres épisodes écrits par Marshall ; The Danger Makers avec la fameuse scène où Mrs Peel doit passer un test électriquement dangereux ; The Girl from Auntie que le scénariste n’apprécie pas du tout même s’il ne se souvient pas si Diana Rigg était en vacances pour l’occasion. Silent Dust, il ne sait plus pourquoi le titre initial a été changé, ‘Everything dies’. Au sujet de A Funny Thing Happened on the Way to the Station et la réécriture de son scénario sous le nom de Brian Sheriff, Marshall déclare que c’était l’humour de Clemens ce qui le laisse froid. Cet épisode est ‘a travesty’, il y a quelques bonnes scènes mais il s’égare ; ‘it lost its way’ ; c’était la fin de la série comme il la concevait.
La discussion s’égare souvent sur d’autres séries, comme Maverick, où Henry Mancini produisait une musique de jazz pour chaque épisode, ou The Sweeney (Regan en France) pour laquelle Roger Marshall semble avoir des souvenirs plus vivaces. Contrairement à The Avengers, il n’y eut aucun problème à faire The Sweeney 52 semaines par an.
Dans le final, il précise que l’idée de lire l’étiquette de la bouteille est de lui et il est triste lors du générique de voir tous ces noms si chers de disparus.
Les autres bonus
- Les tests couleurs des années 80 conservés par Dave Rogers de l’épisode Death at Bargain Prices. Deux courts passages ; lorsque Steed rencontre Mrs Peel dans le magasin et la bagarre finale lorsque Mrs Peel claque des doigts.
- Une scène différente du tag final (avec également l’autre générique) de l'épisode Death at Bargain Prices.
- Les galleries photos très fournies.
- DVD Rom.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Comparaison Studio Canal/Optimum
Pas de coupe sur l’édition française. Par contre, l’image était abimée tout au long de l’épisode avec des passages plus ou moins touchés. L’édition Optimum présente une édition superbement restaurée…mais pas parfaite.
Prenons trois passages restaurés au hasard : lorsque Henry Boardman remet la carte de Yuill à Steed, la zébrure a disparu ; lorsque Steed prend congé des Boardman, l’image est parfaite (c’était le passage le plus abimé, ce que je soulignais dans ma critique de 2004) ; Les Avengers découvrent le corps de Yuill et au moment où Mrs Peel déclare : ’A true gentleman doesn’t know about a lady’s promiscuity’, l’image était endommagée de son coté, ce n’est plus le cas.
Par contre, l’édition Optimum présente toujours des imperfections lorsque Ruth Boardman explique à ses convives l’avantage de cet appartement pour son mari, regardez le bras de Mrs Peel. D’ailleurs, à cette occasion, on remarque que l’image permet d’avoir un angle plus large sur l’édition Optimum (sur l’édition Canal, le bras est ‘coupé’). Evidement, la définition et le rendu noir et blanc est superbe sur Optimum et seulement convenable sur Studio Canal.
Pas de coupe sur l’édition française. Par contre, l’image était abimée tout au long de l’épisode avec des passages plus ou moins touchés. L’édition Optimum présente une édition superbement restaurée…mais pas parfaite.
Prenons trois passages restaurés au hasard : lorsque Henry Boardman remet la carte de Yuill à Steed, la zébrure a disparu ; lorsque Steed prend congé des Boardman, l’image est parfaite (c’était le passage le plus abimé, ce que je soulignais dans ma critique de 2004) ; Les Avengers découvrent le corps de Yuill et au moment où Mrs Peel déclare : ’A true gentleman doesn’t know about a lady’s promiscuity’, l’image était endommagée de son coté, ce n’est plus le cas.
Par contre, l’édition Optimum présente toujours des imperfections lorsque Ruth Boardman explique à ses convives l’avantage de cet appartement pour son mari, regardez le bras de Mrs Peel. D’ailleurs, à cette occasion, on remarque que l’image permet d’avoir un angle plus large sur l’édition Optimum (sur l’édition Canal, le bras est ‘coupé’). Evidement, la définition et le rendu noir et blanc est superbe sur Optimum et seulement convenable sur Studio Canal.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Death at Bargain Prices
Comparaison Studio Canal/Optimum
Pas de coupe entre les deux versions. J’en ai profité pour relire la dure critique de Steed 3003 et une phrase m’a surpris : Il est aussi étonnant qu'elle vienne travailler au grand magasin en combinaison de cuir !
En fait, Mrs Peel est en tenue de travail, elle a été transférée du rayon lingerie à celui des jouets et elle est en tenue qui colle avec le slogan du magasin : ‘Pinters bring the space age to children of all ages’.
L’image Optimum est restaurée sauf sur un point. Evidemment, les premières vues de l’épisode, celles de Londres et du magasin désert sont propres sur l’édition britannique, sans taches, ni points blancs. L’image fixe du titre a aussi été nettoyée. Mais à 15’42, l’image d’Optimum a toujours une imperfection (au niveau du visage de Mrs Peel) lorsqu’elle s’entretient avec Jarvis qui est le ‘house dick’ (une ‘devil mind’ et un jeu de mots, mais rien de vulgaire en fait, le flic de la maison).
Sinon, le 7 février 1965 est bien un dimanche…
Comparaison Studio Canal/Optimum
Pas de coupe entre les deux versions. J’en ai profité pour relire la dure critique de Steed 3003 et une phrase m’a surpris : Il est aussi étonnant qu'elle vienne travailler au grand magasin en combinaison de cuir !
En fait, Mrs Peel est en tenue de travail, elle a été transférée du rayon lingerie à celui des jouets et elle est en tenue qui colle avec le slogan du magasin : ‘Pinters bring the space age to children of all ages’.
L’image Optimum est restaurée sauf sur un point. Evidemment, les premières vues de l’épisode, celles de Londres et du magasin désert sont propres sur l’édition britannique, sans taches, ni points blancs. L’image fixe du titre a aussi été nettoyée. Mais à 15’42, l’image d’Optimum a toujours une imperfection (au niveau du visage de Mrs Peel) lorsqu’elle s’entretient avec Jarvis qui est le ‘house dick’ (une ‘devil mind’ et un jeu de mots, mais rien de vulgaire en fait, le flic de la maison).
Sinon, le 7 février 1965 est bien un dimanche…
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Too Many Christmas Trees
Info supp
- La salle des banquets est une référence à celle de Miss Havisham dans le roman Great Expectations de Dickens écrit en 1861.
Comparaison Studio Canal/Optimum
Pas de coupe entre les deux versions contrairement à la version diffusée sur Continentales où, par exemple, le rêve initial de Steed est tronqué. Par contre, la restauration est perceptible à tout instant ; cet épisode étant très ‘noir et blanc’. Lors des rêves de Steed, l’apparition du Père Noël et de la maison bénéficient d’un noir profond ce qui change de la version blanchâtre de Studio Canal. Les nombreuses lumières pâlottes et l’obscurité sont parfaitement rendues sur la version britannique, comparez, par exemple, les scènes dans le Hall of Great Expectations….En tout cas, nos attentes sont, elles, comblées avec la version Optimum.
Info supp
- La salle des banquets est une référence à celle de Miss Havisham dans le roman Great Expectations de Dickens écrit en 1861.
Comparaison Studio Canal/Optimum
Pas de coupe entre les deux versions contrairement à la version diffusée sur Continentales où, par exemple, le rêve initial de Steed est tronqué. Par contre, la restauration est perceptible à tout instant ; cet épisode étant très ‘noir et blanc’. Lors des rêves de Steed, l’apparition du Père Noël et de la maison bénéficient d’un noir profond ce qui change de la version blanchâtre de Studio Canal. Les nombreuses lumières pâlottes et l’obscurité sont parfaitement rendues sur la version britannique, comparez, par exemple, les scènes dans le Hall of Great Expectations….En tout cas, nos attentes sont, elles, comblées avec la version Optimum.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Encore un report de Date pour l'ultime édition intégrale maintenant prévu pour le 9 mai 2011 !
&urlrefer=search]http://www.play.com/DVD/DVD/4-/17123295/The-Complete-Avengers-50th-Anniversary-Limited-Edition/Product.html?searchtype=allproducts&searchsource=0&searchstring=The+Complete+Avengers+50th+Anniversary+Edition+[DVD]&urlrefer=search
&urlrefer=search]http://www.play.com/DVD/DVD/4-/17123295/The-Complete-Avengers-50th-Anniversary-Limited-Edition/Product.html?searchtype=allproducts&searchsource=0&searchstring=The+Complete+Avengers+50th+Anniversary+Edition+[DVD]&urlrefer=search
Doudi- Marquis(e)
- Age : 33
Localisation : Nord (59)
Date d'inscription : 08/08/2010
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Mais qu'ils se grouillent bon sang, on en peut plus d'attendre !!
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Grave !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!Dearesttara a écrit:Mais qu'ils se grouillent bon sang, on en peut plus d'attendre !!
Doudi- Marquis(e)
- Age : 33
Localisation : Nord (59)
Date d'inscription : 08/08/2010
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Une superbe critique de la saison 4 des éditions Optimum, je traduis dès que j'ai le temps.
http://cathoderaytube.blogspot.com/2010/06/avengers-complete-series-four-review.html
http://cathoderaytube.blogspot.com/2010/06/avengers-complete-series-four-review.html
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Silent Dust
Comparaison Studio Canal/Optimum
Voilà l’exemple d’épisode qu’il faut absolument voir sur l’édition anglaise (voir aussi détails de la fiche) car nous avons sur la version Optimum les deux passages originaux, traduits en français sur Studio Canal même en passant la VO: le panneau de "Fellows Fertilizers Ltd, service de documentation agricole" et les avis de recherche de Omrod et Mellors. L’image Studio Canal est correcte dans l’ensemble mais abimée en particulier pendant le trajet en voiture de Steed et du ministre, et lorsque Claire va ouvrir la porte à Steed. L’épilogue a une image massacrée, truffée de saletés (elle est meilleure mais pas parfaite sur Optimum). Les doublures sont plus visibles (Mrs Peel à la barrière et lors de la scène du fouet et Steed lorsqu’il saute par deux fois une barrière). Par contre, le défaut d’image, pendant une quinzaine de secondes, lorsque les quatre complices boivent un verre après la visite de Steed, est toujours visible sur la version Optimum (côté gauche Omrod).
Comparaison Studio Canal/Optimum
Voilà l’exemple d’épisode qu’il faut absolument voir sur l’édition anglaise (voir aussi détails de la fiche) car nous avons sur la version Optimum les deux passages originaux, traduits en français sur Studio Canal même en passant la VO: le panneau de "Fellows Fertilizers Ltd, service de documentation agricole" et les avis de recherche de Omrod et Mellors. L’image Studio Canal est correcte dans l’ensemble mais abimée en particulier pendant le trajet en voiture de Steed et du ministre, et lorsque Claire va ouvrir la porte à Steed. L’épilogue a une image massacrée, truffée de saletés (elle est meilleure mais pas parfaite sur Optimum). Les doublures sont plus visibles (Mrs Peel à la barrière et lors de la scène du fouet et Steed lorsqu’il saute par deux fois une barrière). Par contre, le défaut d’image, pendant une quinzaine de secondes, lorsque les quatre complices boivent un verre après la visite de Steed, est toujours visible sur la version Optimum (côté gauche Omrod).
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
The Hour That Never Was
Commentaires de Gerry O’Hara, réalisateur, avec la participation de Jaz Wiseman
Gerry O’Hara évoque le tournage de l’épisode ; c’est parfois intéressant mais certains passages, qui n’ont rien à voir avec la série, sont également pénibles. Le réalisateur est, à certains moments, difficilement audible et on l’entend boire en aspirant assez souvent ; Gerry O’Hara a 86 ans !
Il se souvient avoir voulu acheter le chien qu’on voit traverser devant la Bentley. Le réalisateur précise, comme il le fera pendant tout l’épisode, que le script de Roger Marshall était exceptionnellement bon, le meilleur sur lequel il a travaillé. Le script est avant tout visuel ce qui convient parfaitement au réalisateur : 90% de l’épisode provient du script original et n’importe quel réalisateur serait mort d’envie de tourner un tel épisode.
Il y a beaucoup d’échanges plein d’esprit entre les deux acteurs, Patrick Macnee et Diana Rigg. Cette dernière était l’inventrice dans ce genre de scènes et Patrick savait ce qu’il avait à faire. Diana Rigg était une fille très inventive, toujours très polie et agréable.
Le passage où Mrs Peel marche sur le parapet du pont est une idée d’O’Hara. Diana Rigg donnait son avis et lorsque quelque chose la dérangeait, elle refusait poliment de le faire. Les scènes de l’accident et le réveil de Steed, seul, dans la Bentley furent tournées le même jour.
L’épisode fut pratiquement tourné qu’en extérieurs, à un ou deux miles des studios Elstree. Les scènes du mess sont en studio et les décors de Harry Pottle sont remarquables et le piano est ‘a lovely touch’. Gerry O’Hara s’est rendu à l’aérodrome Bovingdon deux semaines avant le début du tournage et il fut ravi de ce qu’il trouva. Roger Marshall avait confié à Gerry O’Hara qu’il s’était inspiré de l’énigme de la Mary Celeste pour bâtir l’intrigue de l’épisode. http://fr.wikipedia.org/wiki/Mary_Celeste
O’Hara souligne qu’un bâtiment de l’aérodrome avait la forme d’un chapeau melon et une scène fut tournée où Steed passe devant et met son chapeau sur la tête. Le réalisateur était débutant à l’époque et il ne fut pas consulté pour la distribution mais il connaissait Julian Wintle. Il n’a pas réalisé que la série avait une tournure plus fantastique dans la saison quatre ; le tournage dura onze jours et il se souvint de la difficulté à faire bouger les chaines. Il apprécie particulièrement la séquence avec Roy Kinnear, le clochard. On n’avait pas besoin de le diriger, il savait ce qu’il fallait faire.
A ce moment, Gerry O’Hara va parler pendant cinq bonnes minutes du tournage de son autre épisode de la saison, Small Game for Big Hunters, et plus particulièrement de Bill Fraser, le colonel Rawlings, un grand acteur de théâtre qui savait, lui aussi, ce qu’il avait à faire. C’était aussi un très bon script visuel (NDLR : de Philip Levene) mais il était trop court pour O’Hara et il a parfois dû meubler et rallonger des scènes. Il y avait quatre ou cinq minutes de bon en moyenne par jour de tournage.
Gerry O’Hara a souvent déjeuné au restaurant avec Patrick Macnee et il n’a jamais changé, toujours très bien habillé : il est Steed comme Sean Connery est James Bond.
Les tenues vestimentaires étaient inspirées de Carnaby Street ; Pour les scènes d’action, le final, c‘était Ray Austin qui s’en occupait. Ce qui était intéressant est qu’on pouvait tout faire avec The Avengers.
La conversation, vers la fin de l’entretien, s’égare sur d’autres réalisations d’épisodes de séries de Gerry O’Hara : L’homme à la valise mais surtout Les professionnels, une série de bons et de méchants qui convenait mieux au réalisateur.
Commentaires de Gerry O’Hara, réalisateur, avec la participation de Jaz Wiseman
Gerry O’Hara évoque le tournage de l’épisode ; c’est parfois intéressant mais certains passages, qui n’ont rien à voir avec la série, sont également pénibles. Le réalisateur est, à certains moments, difficilement audible et on l’entend boire en aspirant assez souvent ; Gerry O’Hara a 86 ans !
Il se souvient avoir voulu acheter le chien qu’on voit traverser devant la Bentley. Le réalisateur précise, comme il le fera pendant tout l’épisode, que le script de Roger Marshall était exceptionnellement bon, le meilleur sur lequel il a travaillé. Le script est avant tout visuel ce qui convient parfaitement au réalisateur : 90% de l’épisode provient du script original et n’importe quel réalisateur serait mort d’envie de tourner un tel épisode.
Il y a beaucoup d’échanges plein d’esprit entre les deux acteurs, Patrick Macnee et Diana Rigg. Cette dernière était l’inventrice dans ce genre de scènes et Patrick savait ce qu’il avait à faire. Diana Rigg était une fille très inventive, toujours très polie et agréable.
Le passage où Mrs Peel marche sur le parapet du pont est une idée d’O’Hara. Diana Rigg donnait son avis et lorsque quelque chose la dérangeait, elle refusait poliment de le faire. Les scènes de l’accident et le réveil de Steed, seul, dans la Bentley furent tournées le même jour.
L’épisode fut pratiquement tourné qu’en extérieurs, à un ou deux miles des studios Elstree. Les scènes du mess sont en studio et les décors de Harry Pottle sont remarquables et le piano est ‘a lovely touch’. Gerry O’Hara s’est rendu à l’aérodrome Bovingdon deux semaines avant le début du tournage et il fut ravi de ce qu’il trouva. Roger Marshall avait confié à Gerry O’Hara qu’il s’était inspiré de l’énigme de la Mary Celeste pour bâtir l’intrigue de l’épisode. http://fr.wikipedia.org/wiki/Mary_Celeste
O’Hara souligne qu’un bâtiment de l’aérodrome avait la forme d’un chapeau melon et une scène fut tournée où Steed passe devant et met son chapeau sur la tête. Le réalisateur était débutant à l’époque et il ne fut pas consulté pour la distribution mais il connaissait Julian Wintle. Il n’a pas réalisé que la série avait une tournure plus fantastique dans la saison quatre ; le tournage dura onze jours et il se souvint de la difficulté à faire bouger les chaines. Il apprécie particulièrement la séquence avec Roy Kinnear, le clochard. On n’avait pas besoin de le diriger, il savait ce qu’il fallait faire.
A ce moment, Gerry O’Hara va parler pendant cinq bonnes minutes du tournage de son autre épisode de la saison, Small Game for Big Hunters, et plus particulièrement de Bill Fraser, le colonel Rawlings, un grand acteur de théâtre qui savait, lui aussi, ce qu’il avait à faire. C’était aussi un très bon script visuel (NDLR : de Philip Levene) mais il était trop court pour O’Hara et il a parfois dû meubler et rallonger des scènes. Il y avait quatre ou cinq minutes de bon en moyenne par jour de tournage.
Gerry O’Hara a souvent déjeuné au restaurant avec Patrick Macnee et il n’a jamais changé, toujours très bien habillé : il est Steed comme Sean Connery est James Bond.
Les tenues vestimentaires étaient inspirées de Carnaby Street ; Pour les scènes d’action, le final, c‘était Ray Austin qui s’en occupait. Ce qui était intéressant est qu’on pouvait tout faire avec The Avengers.
La conversation, vers la fin de l’entretien, s’égare sur d’autres réalisations d’épisodes de séries de Gerry O’Hara : L’homme à la valise mais surtout Les professionnels, une série de bons et de méchants qui convenait mieux au réalisateur.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Comparaison Studio Canal/Optimum
Pas de coupe mais l’image, très abimée sur la version Studio Canal, a été nettoyée la plupart du temps. Le film est bourré de parasites et il est de très mauvaise qualité sur certains passages de la version française. Pour comparer, la séquence lorsque Steed se réveille seul dans la Bentley se passe de commentaire. Toutes les taches, griffes, saletés ont disparu sur la version Optimum.
Pas de coupe mais l’image, très abimée sur la version Studio Canal, a été nettoyée la plupart du temps. Le film est bourré de parasites et il est de très mauvaise qualité sur certains passages de la version française. Pour comparer, la séquence lorsque Steed se réveille seul dans la Bentley se passe de commentaire. Toutes les taches, griffes, saletés ont disparu sur la version Optimum.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Steed3003 a placé sur les fiches des épisodes de la saison quatre les comparaisons Studio Canal/Optimum et les commentaires de scénaristes ou réalisateurs effectués pour certains épisodes.
Les autres épisodes suivront bientôt.
Les autres épisodes suivront bientôt.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Si je comprends bien, faut être bon en anglais pour avoir les épisodes complets.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Ou garder l'édition Studio Canal en plus. L'Optimum a les épisodes entiers et une meilleure image. C'est indéniable.
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
A reçu avant-hier le coffret intégral contenant le fameux disque bonus...Ca vaut le coup, le petit film MINIKILLERS a été remastérisé superbement (Son très correct contrairement aux vidéos Youtube) et concernant ces couleurs vives...elles sont redevenues superbes (Nous n'avons plus ce ton jaunâtre).
Quant à l'extrait couleur de DAS DIADEM, on comprend plus l'histoire, enfin ce que l'héroine fait plutôt, grâce à la couleur. (Ex : Quand Diana réalise qu'elle a oublié la clé, elle était en fait en train de développer des photos dans une chambre noire or ce détail n'est presque pas visible sur la copie Noir et Blanc.
Sinon, un autre bonus intéressant : une bande annonce de l'époque présentant des scènes d'action (combat final dans RETURN OF THE CYBERNAUTS) et la bande annonce du film allemand ( Emma Peel, Ma rencontre avec John Steed) qui finalement se révèle banale (juste constituée d'images du générique de début et fin de la cinquième saison).
Sinon le coffret est superbe (forme d'un gros livres) présentant des photos des différentes époques. Néanmoins, sortir les disques se révèle être une tâche délicate (ils semblent coller) et les traces arrivent facilement sur les disques. Mais bon, c'est la collection à acquérir, surtout que tous les défauts des coffrets individuels ont été corrigés à présent.
Quant à l'extrait couleur de DAS DIADEM, on comprend plus l'histoire, enfin ce que l'héroine fait plutôt, grâce à la couleur. (Ex : Quand Diana réalise qu'elle a oublié la clé, elle était en fait en train de développer des photos dans une chambre noire or ce détail n'est presque pas visible sur la copie Noir et Blanc.
Sinon, un autre bonus intéressant : une bande annonce de l'époque présentant des scènes d'action (combat final dans RETURN OF THE CYBERNAUTS) et la bande annonce du film allemand ( Emma Peel, Ma rencontre avec John Steed) qui finalement se révèle banale (juste constituée d'images du générique de début et fin de la cinquième saison).
Sinon le coffret est superbe (forme d'un gros livres) présentant des photos des différentes époques. Néanmoins, sortir les disques se révèle être une tâche délicate (ils semblent coller) et les traces arrivent facilement sur les disques. Mais bon, c'est la collection à acquérir, surtout que tous les défauts des coffrets individuels ont été corrigés à présent.
Joris- Prince(sse)
- Age : 34
Localisation : Metz (57)
Date d'inscription : 10/06/2006
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Tous les coffrets DVD présentent des problèmes : pour celui de la série Granada, j'ai dû utiliser des boitiers cd car tout tombait, certains dvd sont "collants" alors qu'achetés neufs (hawaii police d'état saison 3, code quantum saison 3)
Parfois, pour des DVD de films d'Hitchock, le dvd est tellement enfoncé qu'on a l'impression de le tordre en le sortant de son socle
Parfois, pour des DVD de films d'Hitchock, le dvd est tellement enfoncé qu'on a l'impression de le tordre en le sortant de son socle
Invité- Invité
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Moi j'aurais bientôt le précieux coffret j'ai hâte
Doudi- Marquis(e)
- Age : 33
Localisation : Nord (59)
Date d'inscription : 08/08/2010
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
Joris a écrit:Ca vaut le coup, le petit film MINIKILLERS a été remastérisé superbement (Son très correct contrairement aux vidéos Youtube) et concernant ces couleurs vives...elles sont redevenues superbes (Nous n'avons plus ce ton jaunâtre).
je suis ravi que cela te plaise. C'est moi qui est trouvé la copie 8mm ayant servi à ce nouveau télécinéma.
Re: Réédition dvd chez Optimum en Angleterre
ENORME MERCI à toi, Jerome alors !
Le générique en comparaison avec la version non remastérisé de Youtube est différent côté son, on voit l'énorme restauration ayant été faite. Et les couleurs sont parfaites dans la version Optimum. Ca vous a pris combien de temps pour tout ce travail ?
Le générique en comparaison avec la version non remastérisé de Youtube est différent côté son, on voit l'énorme restauration ayant été faite. Et les couleurs sont parfaites dans la version Optimum. Ca vous a pris combien de temps pour tout ce travail ?
Joris- Prince(sse)
- Age : 34
Localisation : Metz (57)
Date d'inscription : 10/06/2006
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