Série "Stargate - SG1" (1)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Bon anniversaire à Richard Dean Anderson/RDA/Rick, qui atteint ses 62 ans aujourd'hui ! De quoi réaliser encore bien des projets.
Estuaire44- Empereur
- Date d'inscription : 10/04/2007
TorriGilly- Duc(hesse)
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Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
En effet, il est du 23. Bah, on va attribuer ça à une faille spatio-temporelle...
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Teal'c viendra à Paris le 4-5 février 2012 au Paris Manga. Avis aux amateurs !
http://www.parismanga.fr/index.php?mact=News,cntnt01,detail,0&cntnt01articleid=16&cntnt01detailtemplate=detail_template&cntnt01returnid=15
http://www.parismanga.fr/index.php?mact=News,cntnt01,detail,0&cntnt01articleid=16&cntnt01detailtemplate=detail_template&cntnt01returnid=15
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Et y'a Rachel Luttrell aussi
Perso, j'ai déjà réservé mon billet depuis quelques jours lol
Perso, j'ai déjà réservé mon billet depuis quelques jours lol
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je pensais à toi en écrivant ce message ! Bon, ben, encore perdu une occasion de me taire !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ah mais je suis au courant depuis looooongtemps de sa venue lol! En décembre j'ai passé deux jours chez une amie Gater, et justement on se demandait qui viendrait cette année. On a espéré jusqu'au bout qu'Amanda vienne mais c'est en rentrant chez moi que j'ai vu que Chris venait tout juste d'être annoncé. Mais je ne vais pas me plaindre!! Et puis Rachel a été annoncée après. Deux guests pour le prix d'un, wooooh
Merci quand même d'avoir pensé à moi
Merci quand même d'avoir pensé à moi
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Un message dans une bouteille (Message in a Bottle,2-07, ***)
- Well, they could be saying "Take me to your Leader," for all I know, I have no idea.
Sur un monde mort et dépourvu d’oxygène, SG-1 découvre une mystérieuse orbe, construite il y des millénaires mais toujours en activité. L’artefact est apporté au SGC pour études mais se réveille soudain. Des micro organismes infectent les hommes, tout comme le réseau informatique. Un segment transperce jack et le clue au mur, empêchant de renvoyer l’objet à travers la Porte. Daniel et Sam parviennent néanmoins à entrer en contact avec les envahisseurs et à trouver un compromis, les entités se voyant offrir un monde vierge.
L’épisode ressemble beaucoup à Cold Lazarus (1-07), où SG-1, et déjà en particulier jack, effectuait une rencontre débutée par un malentendu et conclue positivement grâce à l’intelligence primant sur le conflit. Ce schéma se retrouvera d’ailleurs régulièrement au fil de la série, en contrepoint des épisodes guerriers. Message in a Bottle, certes relativement prévisible, se situe dans une bonne moyenne. En effet cette situation de crise permet de dresser un habile portrait des relations affectives unissant les différents de membres de l’équipe ; Le récit procède par touches légères et dialogues sonnant juste, évitant, le plus souvent, les situations trop démonstratives. On remarque d’excellentes idées, comme Teal’c s’essayant à l’humour pour tenter de distraire son ami. Un rude choc ! Cet épisode finalement davantage basé sur le relationnel que sur une action relativement statique, accorde également un bel espace à Janet, toujours incarnée avec sensibilité et talent par l’impeccable Teryl Rothery. On apprécie également la beauté étrange de l’artefact, aux plaques rivetées vaguement Steampunk. Un bel exemple du savoir faire des décorateurs de la série, d’autant que la vision du monde mort se montre glaçante à souhait. Les différentes évolutions de l’engin, toujours soudaines, produisent également leur effet, davantage que les trainées bleues phosphorescentes leur succédant.
On peut apercevoir le reflet de la caméra et de l'opérateur sur les visières des casques de cosmonautes de Sam et Jack.
Le matricule SGC de laplanète de l'orbe est P5C-353, celui où elle est envoyée est P4G-881.
Hammond indique qu'il faut deux officiers pour activer la séquence d'auto destruction, mais il y parvient ensuite tout seul.
Le lieutenant Graham Simmons fait son apparition. Cet officier scientifique non insensible au charme de Samantha Carter apparaîtra dans cinq épisodes.
One small step, one giant leap, that kind of stuff déclare Jack, une évidente référence aux célèbres paroles d'Amstrong quand il marcha sur la Lune.
Il est étrange de voir Carter uiliser un ascenceur alors qu'elle sait pertinemment que l'ordinateur les dirigeant à été infecté.
Quand l'ascenseur se bloque, le panneau électrique indique le 22ème étage, mais la porte indique le numéro 28.
Comme souvent les coordonnées programmées sur la Porte sont celles d'Abydos et Chulak, du fait du réemploi d'enregistrements.
- Well, they could be saying "Take me to your Leader," for all I know, I have no idea.
Sur un monde mort et dépourvu d’oxygène, SG-1 découvre une mystérieuse orbe, construite il y des millénaires mais toujours en activité. L’artefact est apporté au SGC pour études mais se réveille soudain. Des micro organismes infectent les hommes, tout comme le réseau informatique. Un segment transperce jack et le clue au mur, empêchant de renvoyer l’objet à travers la Porte. Daniel et Sam parviennent néanmoins à entrer en contact avec les envahisseurs et à trouver un compromis, les entités se voyant offrir un monde vierge.
L’épisode ressemble beaucoup à Cold Lazarus (1-07), où SG-1, et déjà en particulier jack, effectuait une rencontre débutée par un malentendu et conclue positivement grâce à l’intelligence primant sur le conflit. Ce schéma se retrouvera d’ailleurs régulièrement au fil de la série, en contrepoint des épisodes guerriers. Message in a Bottle, certes relativement prévisible, se situe dans une bonne moyenne. En effet cette situation de crise permet de dresser un habile portrait des relations affectives unissant les différents de membres de l’équipe ; Le récit procède par touches légères et dialogues sonnant juste, évitant, le plus souvent, les situations trop démonstratives. On remarque d’excellentes idées, comme Teal’c s’essayant à l’humour pour tenter de distraire son ami. Un rude choc ! Cet épisode finalement davantage basé sur le relationnel que sur une action relativement statique, accorde également un bel espace à Janet, toujours incarnée avec sensibilité et talent par l’impeccable Teryl Rothery. On apprécie également la beauté étrange de l’artefact, aux plaques rivetées vaguement Steampunk. Un bel exemple du savoir faire des décorateurs de la série, d’autant que la vision du monde mort se montre glaçante à souhait. Les différentes évolutions de l’engin, toujours soudaines, produisent également leur effet, davantage que les trainées bleues phosphorescentes leur succédant.
On peut apercevoir le reflet de la caméra et de l'opérateur sur les visières des casques de cosmonautes de Sam et Jack.
Le matricule SGC de laplanète de l'orbe est P5C-353, celui où elle est envoyée est P4G-881.
Hammond indique qu'il faut deux officiers pour activer la séquence d'auto destruction, mais il y parvient ensuite tout seul.
Le lieutenant Graham Simmons fait son apparition. Cet officier scientifique non insensible au charme de Samantha Carter apparaîtra dans cinq épisodes.
One small step, one giant leap, that kind of stuff déclare Jack, une évidente référence aux célèbres paroles d'Amstrong quand il marcha sur la Lune.
Il est étrange de voir Carter uiliser un ascenceur alors qu'elle sait pertinemment que l'ordinateur les dirigeant à été infecté.
Quand l'ascenseur se bloque, le panneau électrique indique le 22ème étage, mais la porte indique le numéro 28.
Comme souvent les coordonnées programmées sur la Porte sont celles d'Abydos et Chulak, du fait du réemploi d'enregistrements.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
J'adooore cet épisode!!
Pour la partie ship [ben oui, il y en a une ] : je trouve ça adorable quand Sam prend la main de Jack Oui, il m'en faut peu
Pour la partie ship [ben oui, il y en a une ] : je trouve ça adorable quand Sam prend la main de Jack Oui, il m'en faut peu
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Elle semble toute embarassée quand Daniel lui parle de l'assistant qui en pince pour elle !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Indeed mais elle finit par aller le voir à l'infirmerie, c'est mignon
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
A propos de RDA, qui profite de la vie, il a bien raison :
http://www.unificationfrance.com/spip.php?article18351
http://www.unificationfrance.com/spip.php?article18351
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
J'espère que tu as vu Torry Higginson dans ce (très moyen) téléfilm, TorriGilly ? Ainsi qu'un autre méchant de SG...
http://www.programme.tv/stonehenge-apocalypse-4132325.php
http://www.programme.tv/stonehenge-apocalypse-4132325.php
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Torri, pas Torry
Oui, je l'ai vu il y a quelques mois Il est très trèèèès moyen oui Mais revoir Torri fait plaisir
Et ouiii Tanith, quand je l'ai vu je me suis dit que je connaissais sa tête, mais impossible de savoir où. J'ai compris à la fin du film
Oui, je l'ai vu il y a quelques mois Il est très trèèèès moyen oui Mais revoir Torri fait plaisir
Et ouiii Tanith, quand je l'ai vu je me suis dit que je connaissais sa tête, mais impossible de savoir où. J'ai compris à la fin du film
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Oui, ce téléfilm assez médiocre a une belle distribution. Le héros est interprété par un certain Misha Collins, bien connu des amateurs de Supernatural (le gars en trench coat avec des ailes que l'on ne voit pas). A noter décidément des points commun avec Stargate puisqu'il joue un archéologue méprisé par la communauté scientifique pour ses thèses iconoclastes à propos de l'origine extraterrestre de Stonehenge (et non des Pyramides...).
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Le look Stargate est tout de même un tantinet sévère à l'extérieur du SGC !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Conseil de famille (Family, 2-08, ***)
- I will give one million shesh'ta to the Jaffa who brings Teal'c to me alive and another million for the heads of those who are with him.
- Well, if you've got a price on your head, you're doing your job.
Maître Bra’tac, arrivé de Chulak, révèle à Teal’c que son fils a été enlevé par Apophis, de retour dans sa capitale. SG-1 se précipite sur place, mais Teal’c a la mauvaise surprise de découvrir que Drey'auc s’est remariée avec un notable Jaffa, Fro’tak. Croyant Teal’c mort, elle a agi ainsi pour protéger Rya’c. Cependant, le couple se retrouve et Fro’tak, dépité, tente de les trahir. Il est alors abattu par O’Neill. SG-1 tend une embuscade et parvient à évacuer Rya’c, avant de revenir au SGC. Malgré les certitudes de Teal’c, O’Neill demeure méfiant. Il s’avère qu’Apophis a effectué un conditionnement de Rya’c et qu’il a dressé un piège similaire à celui tenté avec Cassandra. Teal’c se résout à employer un Zat'n'ktel, le choc électrique faisant alors retrouver ses esprits à son fils.
L’épisode souffre de quelques faiblesses, parfois gênantes. La survie d’Apophis se traite comme une forte révélation pour SG-1, partiellement sapée par le fait que le public est déjà au courant depuis bien longtemps. Le retour de notre ami le Serpent constitue une excellente nouvelle, mais il demeure frustrant de ne l’apercevoir que fugitivement, qui plus est via une simple retransmission. Même dans le cadre d’un traquenard, on pénètre dans son palais comme dans un moulin ! On apprécie néanmoins les informations sur l’évolution de la situation au sein de l’empire Goa’uld. Le plus embarrassant reste toutefois l’espèce de Telenovela dans laquelle s’engouffre le récit, dans sa première partie, avec un mélodrame pesant du plomb. De plus, au lieu d’exploiter le dilemme de Drey'auc, la situation se voit totalement expédiée avec la mort expresse de Fro’tak. Sa trahison et sa mort prennent moins de deux minutes, on a connu des scénarios de Stargate SG-1 plus finement construits.
Cette expulsion à la catapulte permet néanmoins à Family de trouver son véritable sujet : le bouleversant amour paternel de Teal’c. Le personnage, si marmoréen d’ordinaire, révèle ici tout un éventail d’émotions, entre fierté, responsabilité et souffrance. Ce portrait sonne juste, du fait d’un récit expressif mais surtout de la formidable prestation de Christopher Judge, qui saisit pleinement sa chance de dévoiler d’autres dimensions de son personnage. Une véritable émotion surgit, d’autant que Judge trouve un parfait partenaire en la personne du jeune Neil Denis. Quoique essentiellement spectatrice éplorée du drame, la sensibilité de Drey'auc se montre également précieuse. L’impact du récit permet d’oublier ce que le maintien de la famille de Teal’c sur Chulak comportait d’absurde, relevant du prétexte. Tout à fait judicieusement dans un opus centré sur le Jaffa, les autres membres de SG-1 demeurent en retrait, même si Jack se montre également parfait, oscillant entre amitié et méfiance viscérale, au combien justifiée. Maître Bra’tac conserve sa solidité et son pittoresque, même si plus grave qu’à l’accoutumée, on le comprend. Il confirme ici son statut de pilier de Stargate SG-1. Les amateurs d’action se réjouiront du bel emploi des diverses potentialités du Zat'n'ktel.
Drey'auc est désormais interprétée par Brook Susan Parker et non plus Salli Richardson.
Drey'auc et Rya'c vont vivre sur le Monde de Lumière, découvert dans La Thérorie de Broca (1-04). Cette planète sert décidément de terre d’accueil pour le SGC, car elle avait déjà été proposée aux Tollans, en saison 1.
- I will give one million shesh'ta to the Jaffa who brings Teal'c to me alive and another million for the heads of those who are with him.
- Well, if you've got a price on your head, you're doing your job.
Maître Bra’tac, arrivé de Chulak, révèle à Teal’c que son fils a été enlevé par Apophis, de retour dans sa capitale. SG-1 se précipite sur place, mais Teal’c a la mauvaise surprise de découvrir que Drey'auc s’est remariée avec un notable Jaffa, Fro’tak. Croyant Teal’c mort, elle a agi ainsi pour protéger Rya’c. Cependant, le couple se retrouve et Fro’tak, dépité, tente de les trahir. Il est alors abattu par O’Neill. SG-1 tend une embuscade et parvient à évacuer Rya’c, avant de revenir au SGC. Malgré les certitudes de Teal’c, O’Neill demeure méfiant. Il s’avère qu’Apophis a effectué un conditionnement de Rya’c et qu’il a dressé un piège similaire à celui tenté avec Cassandra. Teal’c se résout à employer un Zat'n'ktel, le choc électrique faisant alors retrouver ses esprits à son fils.
L’épisode souffre de quelques faiblesses, parfois gênantes. La survie d’Apophis se traite comme une forte révélation pour SG-1, partiellement sapée par le fait que le public est déjà au courant depuis bien longtemps. Le retour de notre ami le Serpent constitue une excellente nouvelle, mais il demeure frustrant de ne l’apercevoir que fugitivement, qui plus est via une simple retransmission. Même dans le cadre d’un traquenard, on pénètre dans son palais comme dans un moulin ! On apprécie néanmoins les informations sur l’évolution de la situation au sein de l’empire Goa’uld. Le plus embarrassant reste toutefois l’espèce de Telenovela dans laquelle s’engouffre le récit, dans sa première partie, avec un mélodrame pesant du plomb. De plus, au lieu d’exploiter le dilemme de Drey'auc, la situation se voit totalement expédiée avec la mort expresse de Fro’tak. Sa trahison et sa mort prennent moins de deux minutes, on a connu des scénarios de Stargate SG-1 plus finement construits.
Cette expulsion à la catapulte permet néanmoins à Family de trouver son véritable sujet : le bouleversant amour paternel de Teal’c. Le personnage, si marmoréen d’ordinaire, révèle ici tout un éventail d’émotions, entre fierté, responsabilité et souffrance. Ce portrait sonne juste, du fait d’un récit expressif mais surtout de la formidable prestation de Christopher Judge, qui saisit pleinement sa chance de dévoiler d’autres dimensions de son personnage. Une véritable émotion surgit, d’autant que Judge trouve un parfait partenaire en la personne du jeune Neil Denis. Quoique essentiellement spectatrice éplorée du drame, la sensibilité de Drey'auc se montre également précieuse. L’impact du récit permet d’oublier ce que le maintien de la famille de Teal’c sur Chulak comportait d’absurde, relevant du prétexte. Tout à fait judicieusement dans un opus centré sur le Jaffa, les autres membres de SG-1 demeurent en retrait, même si Jack se montre également parfait, oscillant entre amitié et méfiance viscérale, au combien justifiée. Maître Bra’tac conserve sa solidité et son pittoresque, même si plus grave qu’à l’accoutumée, on le comprend. Il confirme ici son statut de pilier de Stargate SG-1. Les amateurs d’action se réjouiront du bel emploi des diverses potentialités du Zat'n'ktel.
Drey'auc est désormais interprétée par Brook Susan Parker et non plus Salli Richardson.
Drey'auc et Rya'c vont vivre sur le Monde de Lumière, découvert dans La Thérorie de Broca (1-04). Cette planète sert décidément de terre d’accueil pour le SGC, car elle avait déjà été proposée aux Tollans, en saison 1.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
J'ai pratiquement laissé tomber la série SG1 lorsque RDA est parti.
J'ai aussi regardé quelques épisodes de "Atlantis", mais jamais de "Universe" ou "infinity", la version animée.
Par contre je viens de voir le film "SG1-Continuum"
et là, j'avoue que j'ai raté quelque chose...
J'ai aussi regardé quelques épisodes de "Atlantis", mais jamais de "Universe" ou "infinity", la version animée.
Par contre je viens de voir le film "SG1-Continuum"
et là, j'avoue que j'ai raté quelque chose...
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Beaux montages !!!!
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Photos géniales, comme d'habitude (pas un montage...)
Je reconnaïs bien Teal'c (il ne vieillit pas, le bougre), mais Teyla a complètement changé de look !
Je reconnaïs bien Teal'c (il ne vieillit pas, le bougre), mais Teyla a complètement changé de look !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Secrets (Secrets, 2-09, ****)
- Good thing you remembered their shield’s deflection is directly proportional to the kinetic energy directed at it !
- … Right ! …
Teal’c et Daniel se rendent sur Abydos, un an après la promesse faite par ce dernier à Kasuf. Ils ont la surprise d’y découvrir Sha’re ; alors qu’Amonet s’est mise en sommeil pour ne pas entraver la grossesss de l’enfant d’Apohis. La puissance du Serpent s’étant effondrée, il a dissimulé Sha’re sur Abydos, pour la préserver de ses ennemis. Daniel convainc Sha’re de l’accompagner sur Terre, amis au moment de franchir la Porte Heru’ur survient pour s’emparer de l’enfant. Les terriens se replient, mais Sha’re accouche, retombant de ce fait sous l’emprise d’Amonet. L’enfant est confié à Kasuf, tandis que Teal’c convainc par ruse Amonet qu’il a été enlevé par Heru’ur. Durant ce temps Sam et Jack se rendent à Washington, pour se voir remettre la Médaille de l’Air. Sam rencontre son père, Jacob. Ce général souffre d’un grave cancer et souhaite voir sa fille entrer à la NASA. Sam refuse sans pouvoir lui expliquer la nature de son travail. Jack à affaire à un journaliste très bien renseigné sur le Programme Stargate, mais il meurt très vite, renversé part une voiture. SG-1 se réunifie et triomphe de Heru’ur, qui s‘enfuit. Impuissante, l’équipe assiste ensuite à l’arrivée d’Apophis, qui emmène Sha’re à travers la Porte.
La scission d’un épisode en deux parties conduit le plus souvent à des récits trop succincts pour susciter réellement l’intérêt. L’inverse se produit ici, tant Secrets apparaît comme un épisode non seulement captivant, mais également crucial pour la suite de la série. La découverte de Sha’re puis la révélation du drame vécue par celle-ci apporte une sensible émotion, d’autant que l’intensité du jeu de Vaitiare Bandera et de Michael Shanks s’avère absolument remarquable (on peut d’ailleurs penser que leur relation n’y est pas étrangère). On retrouve Abydos avec plaisir, un endroit toujours impressionnant et véhiculant de nombreux souvenirs du film de 1994 mais aussi de Children of the Gods. On mesure également la différence de budget existant entre Stargate SG-1 et la production d’Emmerich ! Erick Avari est toujours aussi savoureux en Kasuf. Face au désarroi des sentiments chez Daniel, le sang réaliste de Teal’c impressionne autant qu’il effraie quelque peu, on pressent déjà le drame à venir. La tragédie en cours développe une relative complexité mais le récit demeure parfaitement agencé, de mime que les sauts entre les deux histoires. Ce suspense déjà intense se voit couronné par un final des plus explosifs, avec un spectaculaire affrontement opposant les héros à un Heru’ur guère plus marquant que lors de Thor’s Chariot. SG-1 sauve la mise à Apophis, dont la décrépitude transparaît toujours davantage. Le premier fil rouge de la série se poursuit, avec toujours autant de réussite.
L’épisode joue habilement du contrepoint, car, à ce retour aux sources, il oppose une nouveauté, lors de cette échappée hors du SGC, où Sam et Jack connaissent bien des mésaventures à Washington. Jacob accomplit une entre réussie dans l’univers Stargate. Carmen Argenziano impose déjà son talent, exprimant avec éloquence l’intelligente et la ténacité du personnage, parfois manipulateur. Un futur hôte parfait pour la Tok’ra ! Comme à son habitude, Amanda Tapping se révèle criante de vérité, heurtement pour Sam, l’embargo sera vite rompu. Outre d’appréciables extérieurs où Vancouver tente vaillamment de se faire passer pour la capitale américaine, les amateurs des X-Files gouteront fort la prestation de l’impeccable Chris Owens, d’autant que celui-ci se livre à un pastiche assez délectable de Fox Mulder : source mystérieuse, volonté de révéler une conspiration gouvernementale dissimulant l’existence de vie extra-terrestre, humours narquois… On se gale, un sommet étant atteint quand Jack signale à Hammond qu’il a « tout nié en bloc ». Stargate SG-1 termine promptement le pseudo Mulder, mais gardons nous d’y percevoir un ironie gouailleuse… Comme son titre l’indique, l’épisode a la suprême habileté d’unifier ces récits en apparence si distincts, autour du thème de secret. Chaque personnage a quelque chose à dissimuler hormis Daniel, bien entendu) et taire la vérité, même avec les meilleures intentions, conduit souvent au drame. Une moralité tranchante pour un épisode mené de main de maître et très original.
Quand Teal'c vise Sha're devant la Porte on entend le bruit del'ouverture du Zat, mais celui-ci demeure inerte. Il en va de même quand Teal'c tire sur un garde d'Horus.
L'épisode se déroule exactement une année d'Abydos après Children of the Gods, Daniel tenant sa promesse de retour après ce laps de temps.
On retrouve Kasuf, personnage du film de 1994.
Un clin d'oeil au film est d'ailleurs fait, quuand Jack déclare : Alright... if you're gonna go ahead with it, I wanna make sure you get one thing right. It's O'Neill, with two L's. There's another Colonel O'Neil with only one L - he has no sense of humor at all.
Vaitiare Bandera était vraiment enceinte durant le tournage de l'épisode. Michael Shanks est le père de sa future fille, Tatiana, leur couple s'étant formé sur le tournage de Children of the Gods. Trois ans plus tard l'actrice renonçait à a sa carrière pour se consacrer à son enfant.
On découvre le général Jacob Carter, père de Samantha et interprété par Carmen Argenziano. Il va prendre une grande importance dans la série en tant qu'Ambassadeur de la Tok'ra auprès du SGC, après sa fusion avec le Goa'uld Selmak, qui assurera sa survie.
L'épisode décalé Citizen Joe (8-15) reviendra sur la mort du journaliste en en donnant une version plus explicite.
Selig est interprété par Chris Owens, qui incarne Jeffrey Spender dans les X-Files.
La Médaille de l'Air (Air medal) est décernée à aSam et Jack. Créée en 1942 par Rossevelt à l'orée de la Guerre du Pacifique, elle récompense une action méritoire accomplie durant une mission de vol. Cependant l'uniforme de Sam ne comportera pas le ruban correspondant, bleu azur avec deux bandes jaunes verticales.
Sam désirait depuis l'enfance devenir une astronaute, mais ses projets furent brisés par la destruction de Challenger. Elle a travaillé deux ans au Pentagone sur le Projet Stargate, avant d'intégrer SG-1.
Amonet "la Cachée", est une déesse égyptienne primordiale, souvent représentée avec une couronne rouge. Elle est la représentation divine de l'air et de l'invisibilité. Elle s'est souvent associée à Amon,dieu du Soleil, comme déesse de la Lune.
Le bâtiment du NID et celui de L'US Air Force sont en réalité la Vancouver Art Gallery. Ce vaste musée, inauguré en 1931, contient une collection plus de 10 000 oeuvres, représentative de l'histoire artistique de la Colombie Britannique. La bâtiment est en fait l'ancien Palais de Justice de Vancouver dont les portiques, dome et colonnes ioniennes furent édifiées avec du marbre importé d'Alaska et du Tennesse (1906). Sa vaste esplanade, aperçue dans l'épisode, est traditionnellement le point de ralliement des divers manifestations de protestation organisése à Vancouver.
Le pub où Jack discute avec le journaliste existe vraiment, il s'agit de The Old Bailiff, au 800 Robson Street, à Vancouver. Il se situe effectivement à proximité immédiate de la Vancouver Art Gallery.
- Good thing you remembered their shield’s deflection is directly proportional to the kinetic energy directed at it !
- … Right ! …
Teal’c et Daniel se rendent sur Abydos, un an après la promesse faite par ce dernier à Kasuf. Ils ont la surprise d’y découvrir Sha’re ; alors qu’Amonet s’est mise en sommeil pour ne pas entraver la grossesss de l’enfant d’Apohis. La puissance du Serpent s’étant effondrée, il a dissimulé Sha’re sur Abydos, pour la préserver de ses ennemis. Daniel convainc Sha’re de l’accompagner sur Terre, amis au moment de franchir la Porte Heru’ur survient pour s’emparer de l’enfant. Les terriens se replient, mais Sha’re accouche, retombant de ce fait sous l’emprise d’Amonet. L’enfant est confié à Kasuf, tandis que Teal’c convainc par ruse Amonet qu’il a été enlevé par Heru’ur. Durant ce temps Sam et Jack se rendent à Washington, pour se voir remettre la Médaille de l’Air. Sam rencontre son père, Jacob. Ce général souffre d’un grave cancer et souhaite voir sa fille entrer à la NASA. Sam refuse sans pouvoir lui expliquer la nature de son travail. Jack à affaire à un journaliste très bien renseigné sur le Programme Stargate, mais il meurt très vite, renversé part une voiture. SG-1 se réunifie et triomphe de Heru’ur, qui s‘enfuit. Impuissante, l’équipe assiste ensuite à l’arrivée d’Apophis, qui emmène Sha’re à travers la Porte.
La scission d’un épisode en deux parties conduit le plus souvent à des récits trop succincts pour susciter réellement l’intérêt. L’inverse se produit ici, tant Secrets apparaît comme un épisode non seulement captivant, mais également crucial pour la suite de la série. La découverte de Sha’re puis la révélation du drame vécue par celle-ci apporte une sensible émotion, d’autant que l’intensité du jeu de Vaitiare Bandera et de Michael Shanks s’avère absolument remarquable (on peut d’ailleurs penser que leur relation n’y est pas étrangère). On retrouve Abydos avec plaisir, un endroit toujours impressionnant et véhiculant de nombreux souvenirs du film de 1994 mais aussi de Children of the Gods. On mesure également la différence de budget existant entre Stargate SG-1 et la production d’Emmerich ! Erick Avari est toujours aussi savoureux en Kasuf. Face au désarroi des sentiments chez Daniel, le sang réaliste de Teal’c impressionne autant qu’il effraie quelque peu, on pressent déjà le drame à venir. La tragédie en cours développe une relative complexité mais le récit demeure parfaitement agencé, de mime que les sauts entre les deux histoires. Ce suspense déjà intense se voit couronné par un final des plus explosifs, avec un spectaculaire affrontement opposant les héros à un Heru’ur guère plus marquant que lors de Thor’s Chariot. SG-1 sauve la mise à Apophis, dont la décrépitude transparaît toujours davantage. Le premier fil rouge de la série se poursuit, avec toujours autant de réussite.
L’épisode joue habilement du contrepoint, car, à ce retour aux sources, il oppose une nouveauté, lors de cette échappée hors du SGC, où Sam et Jack connaissent bien des mésaventures à Washington. Jacob accomplit une entre réussie dans l’univers Stargate. Carmen Argenziano impose déjà son talent, exprimant avec éloquence l’intelligente et la ténacité du personnage, parfois manipulateur. Un futur hôte parfait pour la Tok’ra ! Comme à son habitude, Amanda Tapping se révèle criante de vérité, heurtement pour Sam, l’embargo sera vite rompu. Outre d’appréciables extérieurs où Vancouver tente vaillamment de se faire passer pour la capitale américaine, les amateurs des X-Files gouteront fort la prestation de l’impeccable Chris Owens, d’autant que celui-ci se livre à un pastiche assez délectable de Fox Mulder : source mystérieuse, volonté de révéler une conspiration gouvernementale dissimulant l’existence de vie extra-terrestre, humours narquois… On se gale, un sommet étant atteint quand Jack signale à Hammond qu’il a « tout nié en bloc ». Stargate SG-1 termine promptement le pseudo Mulder, mais gardons nous d’y percevoir un ironie gouailleuse… Comme son titre l’indique, l’épisode a la suprême habileté d’unifier ces récits en apparence si distincts, autour du thème de secret. Chaque personnage a quelque chose à dissimuler hormis Daniel, bien entendu) et taire la vérité, même avec les meilleures intentions, conduit souvent au drame. Une moralité tranchante pour un épisode mené de main de maître et très original.
Quand Teal'c vise Sha're devant la Porte on entend le bruit del'ouverture du Zat, mais celui-ci demeure inerte. Il en va de même quand Teal'c tire sur un garde d'Horus.
L'épisode se déroule exactement une année d'Abydos après Children of the Gods, Daniel tenant sa promesse de retour après ce laps de temps.
On retrouve Kasuf, personnage du film de 1994.
Un clin d'oeil au film est d'ailleurs fait, quuand Jack déclare : Alright... if you're gonna go ahead with it, I wanna make sure you get one thing right. It's O'Neill, with two L's. There's another Colonel O'Neil with only one L - he has no sense of humor at all.
Vaitiare Bandera était vraiment enceinte durant le tournage de l'épisode. Michael Shanks est le père de sa future fille, Tatiana, leur couple s'étant formé sur le tournage de Children of the Gods. Trois ans plus tard l'actrice renonçait à a sa carrière pour se consacrer à son enfant.
On découvre le général Jacob Carter, père de Samantha et interprété par Carmen Argenziano. Il va prendre une grande importance dans la série en tant qu'Ambassadeur de la Tok'ra auprès du SGC, après sa fusion avec le Goa'uld Selmak, qui assurera sa survie.
L'épisode décalé Citizen Joe (8-15) reviendra sur la mort du journaliste en en donnant une version plus explicite.
Selig est interprété par Chris Owens, qui incarne Jeffrey Spender dans les X-Files.
La Médaille de l'Air (Air medal) est décernée à aSam et Jack. Créée en 1942 par Rossevelt à l'orée de la Guerre du Pacifique, elle récompense une action méritoire accomplie durant une mission de vol. Cependant l'uniforme de Sam ne comportera pas le ruban correspondant, bleu azur avec deux bandes jaunes verticales.
Sam désirait depuis l'enfance devenir une astronaute, mais ses projets furent brisés par la destruction de Challenger. Elle a travaillé deux ans au Pentagone sur le Projet Stargate, avant d'intégrer SG-1.
Amonet "la Cachée", est une déesse égyptienne primordiale, souvent représentée avec une couronne rouge. Elle est la représentation divine de l'air et de l'invisibilité. Elle s'est souvent associée à Amon,dieu du Soleil, comme déesse de la Lune.
Le bâtiment du NID et celui de L'US Air Force sont en réalité la Vancouver Art Gallery. Ce vaste musée, inauguré en 1931, contient une collection plus de 10 000 oeuvres, représentative de l'histoire artistique de la Colombie Britannique. La bâtiment est en fait l'ancien Palais de Justice de Vancouver dont les portiques, dome et colonnes ioniennes furent édifiées avec du marbre importé d'Alaska et du Tennesse (1906). Sa vaste esplanade, aperçue dans l'épisode, est traditionnellement le point de ralliement des divers manifestations de protestation organisése à Vancouver.
Le pub où Jack discute avec le journaliste existe vraiment, il s'agit de The Old Bailiff, au 800 Robson Street, à Vancouver. Il se situe effectivement à proximité immédiate de la Vancouver Art Gallery.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Le Fléau (Bane, 2-10, ***)
- Striking an officer is a quick way to a court martial.
- I'm not gonna hit you, Maybourne. I'm gonna shoot you.
SG-1 découvre une planète technologiquement avancée, totalement déserte. L’équipe évacue lorsqu’elle est assaillie par un essaim de monstrueux insectes, mais Teal’c est piqué par l’un d’entre eux. Son symbiote ne peut empêcher l’infection de se répandre, d’autant que l’ADN de l’insecte semble se substituer à celui de Teal’c. Un spécialiste de l’ADN établit que celui-ci est en train de se transformer en ces créatures. C’est ainsi qu’elles se reproduisent et ont exterminé toute la population de la planète. Désirant détenir une arme biologique, Maybourne intervient pour faire transférer Teal’c dans la Zone 51, mais le Jaffa parvient à s’enfuir. Sous l’emprise du venin, il se débarrasse de son symbiote. Epuisé, il reçoit l’aide d’Ally une adolescente. Celle-ci le dissimule à Maybourne et réussit à prévenir le SGC. Pendant ce temps SG-1 est parvenue à capturer un insecte vivant, servant de base à un antidote. Teal’c est sauvé in extremis.
Après les innovations et l’ambition scénaristiques de Secrets, Bane en revient à un schéma considérablement plus classique. On retrouve en effet la base même des aventures de SG-1 : exploration d’un monde inconnu, apparition d’un péril touchant éventuellement l’un de ses membres, efforts de toute l’équipe pour trouver une solution au problème. Malgré ce fond davantage prévisible, l’épisode va cependant maintenir un haut niveau d’intérêt, grâce à une forme des plus dynamiques. La dimension du récit apparaît ainsi particulièrement percutante, avec des insectes particulièrement hideux et choquants, ainsi qu’un processus de transformation s’aventurant bien plus loin qu’à l’accoutumée sur le terrain du Gore (scènes vidéos, ultime phase du mal chez Teal’c). Les effets spéciaux supportent d’ailleurs fort bien le passage du temps. Le fait d’introduire une jeune fille alors que Teal’c est potentiellement très dangereux introduit un frisson supplémentaire, même si l’on débouche malheureusement très vite sur une relation passablement mièvre. Toutefois la jeune Colleen Rennison se montre déjà épatante. Les scénaristes ont également l’excellente idée de briser le confinement de l’action au sein du SGC, d’où un suspense palpable autour de la traque de Teal’c et une démultiplication de l’enjeu. L’histoire n’oublie pas de s’intéresser au profil psychologique des personnages, la dérive de Teal’c se montre également intéressante de ce point de vue. On retrouve également avec plaisir le Colonel Maybourne, toujours un parfait exemple de ces méchants que vous adorez détester et qui nous vaut des échanges électriques avec Jack.
L'emblème d'Apophis présente sur le front de Teal'c a été réalisé en tranchant la peau au couteau, puis avec de l'or fondu répandu sur les plaies.
La ville terrien aperçue durant la fuite de teal’cest Seattle. Ce qui signifie un imposant parcours accompli en un temps record, la base de Cheyenne Mountain se situant au Colorado.
"Are you a Kimble ? Doctor Richard Kimble?" demande Ally à Teal'c. Elle veut en fait savoir s'il est en fuite, en faisant référence au héros de la célèbre série Le Fugitif
Colleen Rennison (Ally), interprétera ultérieurement Cassandra, la fille adoptive de Janet (Rite of Passage, 5-06).
Le pistolet à eau avec lequel Teal'c tire sur Daniel, était censé être vide, mais il fut rempli d'eau pour faire une surprise à Shanks, lors de la scène finale.
Le matricule SGC de la planète visitée par SG-1 est BP6-3Q1.
Au tout début de l'épisode (1’06’’) on peut voir passer une voiture à travers l'immeuble tout en verre près du visage de Jack.
Le décor futuriste de la planète morte est en fait la Plaza of Nations, sur Pacific Boulevard, à Vancouver. Il s'agissait d'une partie du pavillon de la Colombie Britannique, édifié pour l'exposition internationale de 1986, sur le site de False Creek. L'Expo 86 était dédiée aux transports et à la communication, tout en célébrant le premier centenaire de Vancouver et de l'arrivée sur la côte ouest du Canada du premier train de voyageurs. La Plaza des Nations et ses impressionnants buildings seront réemployés dans l'épisode 2010 (4-16), pour représenter la Terre du futur. Prévue initialement comme une structure temporaire, la Plaza fut en grande partie démolie en 2008, par mesure de sécurité. Elle avait abrité des évènements culturels et d''entreprise, ainsi qu'un casino.
- Striking an officer is a quick way to a court martial.
- I'm not gonna hit you, Maybourne. I'm gonna shoot you.
SG-1 découvre une planète technologiquement avancée, totalement déserte. L’équipe évacue lorsqu’elle est assaillie par un essaim de monstrueux insectes, mais Teal’c est piqué par l’un d’entre eux. Son symbiote ne peut empêcher l’infection de se répandre, d’autant que l’ADN de l’insecte semble se substituer à celui de Teal’c. Un spécialiste de l’ADN établit que celui-ci est en train de se transformer en ces créatures. C’est ainsi qu’elles se reproduisent et ont exterminé toute la population de la planète. Désirant détenir une arme biologique, Maybourne intervient pour faire transférer Teal’c dans la Zone 51, mais le Jaffa parvient à s’enfuir. Sous l’emprise du venin, il se débarrasse de son symbiote. Epuisé, il reçoit l’aide d’Ally une adolescente. Celle-ci le dissimule à Maybourne et réussit à prévenir le SGC. Pendant ce temps SG-1 est parvenue à capturer un insecte vivant, servant de base à un antidote. Teal’c est sauvé in extremis.
Après les innovations et l’ambition scénaristiques de Secrets, Bane en revient à un schéma considérablement plus classique. On retrouve en effet la base même des aventures de SG-1 : exploration d’un monde inconnu, apparition d’un péril touchant éventuellement l’un de ses membres, efforts de toute l’équipe pour trouver une solution au problème. Malgré ce fond davantage prévisible, l’épisode va cependant maintenir un haut niveau d’intérêt, grâce à une forme des plus dynamiques. La dimension du récit apparaît ainsi particulièrement percutante, avec des insectes particulièrement hideux et choquants, ainsi qu’un processus de transformation s’aventurant bien plus loin qu’à l’accoutumée sur le terrain du Gore (scènes vidéos, ultime phase du mal chez Teal’c). Les effets spéciaux supportent d’ailleurs fort bien le passage du temps. Le fait d’introduire une jeune fille alors que Teal’c est potentiellement très dangereux introduit un frisson supplémentaire, même si l’on débouche malheureusement très vite sur une relation passablement mièvre. Toutefois la jeune Colleen Rennison se montre déjà épatante. Les scénaristes ont également l’excellente idée de briser le confinement de l’action au sein du SGC, d’où un suspense palpable autour de la traque de Teal’c et une démultiplication de l’enjeu. L’histoire n’oublie pas de s’intéresser au profil psychologique des personnages, la dérive de Teal’c se montre également intéressante de ce point de vue. On retrouve également avec plaisir le Colonel Maybourne, toujours un parfait exemple de ces méchants que vous adorez détester et qui nous vaut des échanges électriques avec Jack.
L'emblème d'Apophis présente sur le front de Teal'c a été réalisé en tranchant la peau au couteau, puis avec de l'or fondu répandu sur les plaies.
La ville terrien aperçue durant la fuite de teal’cest Seattle. Ce qui signifie un imposant parcours accompli en un temps record, la base de Cheyenne Mountain se situant au Colorado.
"Are you a Kimble ? Doctor Richard Kimble?" demande Ally à Teal'c. Elle veut en fait savoir s'il est en fuite, en faisant référence au héros de la célèbre série Le Fugitif
Colleen Rennison (Ally), interprétera ultérieurement Cassandra, la fille adoptive de Janet (Rite of Passage, 5-06).
Le pistolet à eau avec lequel Teal'c tire sur Daniel, était censé être vide, mais il fut rempli d'eau pour faire une surprise à Shanks, lors de la scène finale.
Le matricule SGC de la planète visitée par SG-1 est BP6-3Q1.
Au tout début de l'épisode (1’06’’) on peut voir passer une voiture à travers l'immeuble tout en verre près du visage de Jack.
Le décor futuriste de la planète morte est en fait la Plaza of Nations, sur Pacific Boulevard, à Vancouver. Il s'agissait d'une partie du pavillon de la Colombie Britannique, édifié pour l'exposition internationale de 1986, sur le site de False Creek. L'Expo 86 était dédiée aux transports et à la communication, tout en célébrant le premier centenaire de Vancouver et de l'arrivée sur la côte ouest du Canada du premier train de voyageurs. La Plaza des Nations et ses impressionnants buildings seront réemployés dans l'épisode 2010 (4-16), pour représenter la Terre du futur. Prévue initialement comme une structure temporaire, la Plaza fut en grande partie démolie en 2008, par mesure de sécurité. Elle avait abrité des évènements culturels et d''entreprise, ainsi qu'un casino.
Estuaire44- Empereur
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TorriGilly- Duc(hesse)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
A partir du cas Stargate, une analyse intéressante d'un certain désamour actuel pour les séries SF aux USA :
http://www.audiencesusa.com/article-pourquoi-la-science-fiction-est-elle-un-genre-en-perte-de-vitesse-98200147.html
http://www.audiencesusa.com/article-pourquoi-la-science-fiction-est-elle-un-genre-en-perte-de-vitesse-98200147.html
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Et oui, Rick n'est malheureusement plus trop sexy...
http://fr.tv.yahoo.com/news/richard-dean-anderson-lincroyable-m%C3%A9tamorphose-h%C3%A9ros-macgyver-115200295.html
http://fr.tv.yahoo.com/news/richard-dean-anderson-lincroyable-m%C3%A9tamorphose-h%C3%A9ros-macgyver-115200295.html
TorriGilly- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Bah, c'est comme pour les sportifs de haut niveau, après des années de d'efforts et de sacrifice, quand on se retire on cherche à profiter des joies de l'existence et à rattraper un peu du temps écoulé, c'est humain. En soit rien de catastrophique non plus, simplement les acteurs ont le boulet supplémentaire d'être comparés à leur image fixée sur pellicule, alors que les années passent pour eux comme pour tout le monde.Ne mettons pas la charrue avant les boeufs, si un projet SG suffisamment convaincant pour lui se fait jour (rien en vue à ce jour), RDA fera ce qu'il faudra, pour l'instant il a bien raison de mener sa vie comme il l'entend. Article assez stupide et inutilement vachard, dans le fond comme dans la forme. En même temps quand on se "documente" dans Ici Paris, il ne faut pas s'attendre à des miracles.
Sinon reprise des critiques ce WE, je pense.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ce n'était pas non plus un reproche, maintenant il ressemble à un gros nounours qui dit "fait moi un câliiiin" Et puis, il a gardé la même personnalité alors perso ça me suffit
TorriGilly- Duc(hesse)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Teddy Bear from the Stars !
Dernière édition par Estuaire44 le Mer 22 Fév 2012 - 19:56, édité 1 fois
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Voilà tout à fait En plus il est mignon avec son chapeau sur la tête
TorriGilly- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Estuaire44 a écrit:Bah, c'est comme pour les sportifs de haut niveau, après des années de d'efforts et de sacrifice, quand on se retire on cherche à profiter des joies de l'existence et à rattraper un peu du temps écoulé, c'est humain.
Exact, Richard a un an et demis de plus que moi, je vais le suivre.
Remarquez, moi aussi je grossis, j'ai pris exactement 82 grammes.
Philo- Fondateur
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