Série "Stargate - SG1" (1)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Estuaire44 a écrit:Vaincu, le Goa’uld décide alors de se suicider, entrainant également Kawalsky dans la mort.
Un valeureux sous officier n’hésite pas à s’opposer seul au Goa’uld quand celui-ci programme la Porte et en subit un rude contrecoup. Il s’agit du sergent Walter Harriman, qui assurera le plus souvent le contrôle de la Porte et de l’Iris au fil de la série. Le personnage ainsi que son interprète, le sympathique Gary Jones, sont très populaires auprès des fans. Gary Jones a réalisé plusieurs apparitions au sein de séries SF et fantastiques, dont récemment le Sanctuary d’Amanda Tapping. Walter verra son rôle accru quand il deviendra l’assistant personnel du Général O’Neill, à la demande de Richard Dean Anderson.
Amanda Tapping fur légèrement blessée à la tête durant le tournage de la scène où Kawalsky projette Sam sur la paroi de l’ascenseur. Du fait des gros plans sur les visages, le recours à une doublure était impossible.
Il se suicide? C'est pas Teal'c qui le scalpe avec la porte? Faut que je revois l'épisode!
Harriman est en effet très apprécié des fans, il est souvent invité aux conventions et s'entend très très bien avec les autres acteurs [on remarque que ceux de l'équipe SG1 ne prennent pas la "grosse tête" ]
Amanda n'a jamais eu de chance sur le tournage, elle a souvent été blessée. Notamment lors des scènes où elle utilise une arme. J'avais lu quelque part que les MP5 lui envoyait les douilles sur le visage et elle s'est retrouvée plusieurs fois avec le visage marqué [Bon après elle est peut-être pas douée vu que ça n'arrivait qu'à elle ]. Quand ils sont passés aux MP90, qui envoient les douilles vers le bas, elle n'a plus eu de soucis
TorriGilly- Duc(hesse)
- Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Il faut dire que Jay Acovone n'y va pas de main morte, vu la force de l'impact on devine tout de suite que ce n'est pas du bidon !
Durant le combat le Goa'uld passe bien la tête par la Porte mais je ne pense pas qu'il s'agisse d'une attaque de Teal'c, plutôt d'une ultime tentative désespérée de fuite. La Porte n'est pas nocive en soi. Par contre, lors d'un briefing précédent, Teal'c avait annoncé que le Goa'uld préférerait le suicide à l'humiliation d'une captivité. Maintenant c'est vrai que l'action s'arrête sans justification explicite du décès.
Durant le combat le Goa'uld passe bien la tête par la Porte mais je ne pense pas qu'il s'agisse d'une attaque de Teal'c, plutôt d'une ultime tentative désespérée de fuite. La Porte n'est pas nocive en soi. Par contre, lors d'un briefing précédent, Teal'c avait annoncé que le Goa'uld préférerait le suicide à l'humiliation d'une captivité. Maintenant c'est vrai que l'action s'arrête sans justification explicite du décès.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Le grand site anglophone Gate World organise un grand marathon Stargate à compter du mois d'août, pour saluer le parcours accompli par la franchise.
http://www.gateworld.net/news/stargate-rewatch/
Un prologue débute dès cette semaine, avec le film de 1994
http://www.gateworld.net/news/2011/07/stargate-prewatch-stargate-the-movie/
Par ailleurs Christopher Judge vient d'annoncer sur Twitter qu'il participerait au prochain Batman. Affaire à suivre...
http://www.gateworld.net/news/stargate-rewatch/
Un prologue débute dès cette semaine, avec le film de 1994
http://www.gateworld.net/news/2011/07/stargate-prewatch-stargate-the-movie/
Par ailleurs Christopher Judge vient d'annoncer sur Twitter qu'il participerait au prochain Batman. Affaire à suivre...
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Non, mais on a vu quand même plusieurs cas où des gens meurent "à cause" d'elleEstuaire44 a écrit:La Porte n'est pas nocive en soi.
Bon, je me rerererererererererererererereregarde l'épisode demain
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
TorriGilly a écrit:Bon, je me rerererererererererererererereregarde l'épisode demain
Tu as déjà vu 16 fois cet épisode ? Mais c'est plus de l'amour, c'est d'la rage !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Dearesttara a écrit:
Tu as déjà vu 16 fois cet épisode ? Mais c'est plus de l'amour, c'est d'la rage !
Il y à pire. Je me suis repassé une bonne vingtaine de fois l'épisode ''Cauchemar'' de Buffy.
Pour ce qui est de Stargate, je n'ai jamais accroché après voir vu 3 ou 4 épisodes. Mais les critiques d'Estuaire sont très bien, comme d'habitude.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Stargate et moi, c'est une longue histoire d'amour. Ça a commencé quand j'avais 7 ans et ça a été mon premier coup de coeurDearesttara a écrit:Tu as déjà vu 16 fois cet épisode ? Mais c'est plus de l'amour, c'est d'la rage !
Je ne pourrai pas dire que je connais les épisodes sur le bout des doigts, même après les avoir vu des dizaines de fois [la preuve précédemment ] donc c'est toujours un plaisir de voir chacun des épisodes [si on retire la partie "Mitchell" ]
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
J'ai attaqué la 21e vision des 26 épisodes de "La princesse du rail" depuis décembre 2008, et vu 35 fois "les rois maudits" de 2005 à 2011. Records battus.
Invité- Invité
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ah oui, quand même
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je conserverai un silence pudique et de bon aloi sur le nombre de fois où j'ai rererere(...)rerererevu tel ou tel épisode des X-Files. Hum, je reprendrais bien un morceau de tarte.
(Emancipation, 1-04, )
(Emancipation, 1-04, )
- The hell with Culture ! A member of my team has been neutralized. That's a hostile act.
- How is it that you always come up with the worst case scenario?
-I practice.
SG-1 parvient sur une planète occupée par une population d'origine mongole, ayant conservé le niveau technologique et les costumes ancestraux. L'arrivée de Sam fait particulièrement sensation chez les natifs, car elle viole plusieurs de leurs coutumes. En effet, dans cette société guerrière et clanique, les femmes sont considérées comme inférieures et soumises aux hommes. Elles doivent demeurer dissimulées et se consacrer exclusivement aux taches domestiques. Agacée, Carter, accepte néanmoins de se plier aux règles (notamment vestimentaires), pour éviter un affrontement entre entre SG-1 et Moughal, le chef de la tribu les ayant accueilli.
Son fils Abu enlève néanmoins la belle Samantha, pour l'offrir à Turghan un seigneur de la guerre voisin, en échange de sa fille dont il est amoureux, Nya. Tughan s'empare de Sam mais rejette Abu, qui projette alors un enlèvement. SG-1 survient et libère Carter et évacue les tourtereaux mais Turghan rattrape sa fille et ordonne sa lapidation. Moughal fait alors appel à une ancienne lois prévoyant une résolution du conflit par un duel à mort. Carter défie Turghan et remporte le combat. Abu et Nya peuvent se marier, tandis que, sur l'impulsion de Sam, les antiques traditions sont supprimées par Moughal, abolissant notamment la soumission des femmes.
Après les tumultes du grand arc narratif inaugurant la série, Emancipation constitue le premier épisode sans confrontation directe avec les Goa'ulds. Surtout, il établit ce qui va devenir le récit type d'un épisode classique de Stargate SG-1 : l'exploration mouvementée d'une planète par l'équipe et la rencontre avec des habitants souvent issus de la Terre, s'exprimant d'ailleurs le plus souvent en Anglais. Paradoxalement, ce lancement de l'un des axes narratifs les plus féconds de la série va correspondre à l'un des épisodes les plus faibles de cette dernière.
En effet Emancipation commet l'erreur souvent fatale, de croire que les bons sentiments peuvent se substituer à un scénario solide. Le féminisme exprimé par l’épisode s’avère tout à fait sympathique et certainement sincère, mais ne justifie pas l’épuisante lenteur d’un récit bavard et saturé en clichés. On retrouve une énième fois le couple d’amoureux séparés par la rivalité des familles, la damoiselle en détresse secourue par son preux chevalier, le duel final débouchant sur l’heureuse conclusion de rigueur etc., poncifs que ne dynamise aucun rythme de narration ou de mise en scène. Les amateurs de Science-fiction suriront de plus une double peine car le contexte de la Porte se voit réduit à néant en ce monde bien trop proche du notre. Ce n’est plus de l’anticipation mais du mélodrame verbeux et recyclé. Le cabotinage des comédiens invités n’améliore pas le panorama.
Emancipation compte bien entendu comme atout de représenter le premier épisode à propulser Sam au premier rang de l’action. On doit d’ailleurs les scènes les plus divertissantes à la présence et à l’énergie d’Amanda Tapping, comme à son irrésistible verve comique. Cela se révèle d’ailleurs contagieux, les réactions des membres masculins de SG-1 face aux tribulations de leur amie valant parfois le coup d’œil. On ajoutera que la grande beauté d’Amanda se voit admirablement soulignée par sa tenue chamarrée, rompant agréablement avec l’uniformité des treillis de l’US Air Force. Par ailleurs la scène du combat nous vaut une jolie performance de l’actrice, en même temps que le seul moment t entraînant d’Emancupation. L’affrontement reste néanmoins modestement chorégraphié.
Malheureusement la mise en avant de carter s’effectue via un féminisme exprimé une par une fable confondante de naïveté, jusqu’à une happy end dont la miraculeuse immédiateté pantois. Tout cela apparaît beaucoup trop démonstratif et cousu de fil blanc, les promesses de maturité exprimées par The Enemy Within ne sont clairement pas tenues ici. Ce Woman’s Lib induit également une conséquence négative pour la portée du personnage de Sam. Une condamnation sans ambigüité, totalement justifiée, du machisme a déjà eu lieu au cours du pilote, lors de l’arrivée du capitaine. Ressasser celà, de plus si maladroitement, suscite un doublon inutile et tend à enfermer Carter dans une posture féministe réductrice. Samantha a bien d’autres potentialités à réaliser, ce qu’elle accomplira d’ailleurs heurtement par la suite. PAlors elle exprimera bien plus éloquemment l’égalité des deux sexes, par l’exemple plutôt que par une démonstration tirée à la ligne et enfantine.
Au total Emancipation constitue un opus des plus mineurs, présentant comme involontaire intérêt d’illustrer à quoi Stargate SG-1 aurait pu ressembler, un pensum politiquement correct exprimé sans talent ni finesse. On respire !
Les utilisateurs d'IMDB attribuent à Emancipation leur plus mauvaise note pour l'ensemble de la série, avec 6,1 sur 10.
Les producteurs étant également très déçus par l'épisode, il est d'ailleurs régulièrement omis lors des diffusions en syndication de la série.
En réaction à une allusion de Jack, tel(c se demande qui est « Oprah ». La célèbre animatrice de talk show Oprah Winfrey étant moins connue en France , la VF la réplique devient « C’est quoi, Nobel ? »
Le nom officiel de de la planète Simarka est P3X-593. Ces éléments ont été dévoilés parallèlement à la série par la production, car ils ne sont pas cité s durant l'épisode. , Hormis pour les planètes les plus importantes, cette codification sera retenue par SGC en vue de classification, compte tenu du nombre important de monde explorés.
On aperçoit Amanda Tapping en train de rire puis de pincer les lèvres quand SG-1se confronte aux chiens agressant Abu (0’58’’).
- How is it that you always come up with the worst case scenario?
-I practice.
SG-1 parvient sur une planète occupée par une population d'origine mongole, ayant conservé le niveau technologique et les costumes ancestraux. L'arrivée de Sam fait particulièrement sensation chez les natifs, car elle viole plusieurs de leurs coutumes. En effet, dans cette société guerrière et clanique, les femmes sont considérées comme inférieures et soumises aux hommes. Elles doivent demeurer dissimulées et se consacrer exclusivement aux taches domestiques. Agacée, Carter, accepte néanmoins de se plier aux règles (notamment vestimentaires), pour éviter un affrontement entre entre SG-1 et Moughal, le chef de la tribu les ayant accueilli.
Son fils Abu enlève néanmoins la belle Samantha, pour l'offrir à Turghan un seigneur de la guerre voisin, en échange de sa fille dont il est amoureux, Nya. Tughan s'empare de Sam mais rejette Abu, qui projette alors un enlèvement. SG-1 survient et libère Carter et évacue les tourtereaux mais Turghan rattrape sa fille et ordonne sa lapidation. Moughal fait alors appel à une ancienne lois prévoyant une résolution du conflit par un duel à mort. Carter défie Turghan et remporte le combat. Abu et Nya peuvent se marier, tandis que, sur l'impulsion de Sam, les antiques traditions sont supprimées par Moughal, abolissant notamment la soumission des femmes.
Après les tumultes du grand arc narratif inaugurant la série, Emancipation constitue le premier épisode sans confrontation directe avec les Goa'ulds. Surtout, il établit ce qui va devenir le récit type d'un épisode classique de Stargate SG-1 : l'exploration mouvementée d'une planète par l'équipe et la rencontre avec des habitants souvent issus de la Terre, s'exprimant d'ailleurs le plus souvent en Anglais. Paradoxalement, ce lancement de l'un des axes narratifs les plus féconds de la série va correspondre à l'un des épisodes les plus faibles de cette dernière.
En effet Emancipation commet l'erreur souvent fatale, de croire que les bons sentiments peuvent se substituer à un scénario solide. Le féminisme exprimé par l’épisode s’avère tout à fait sympathique et certainement sincère, mais ne justifie pas l’épuisante lenteur d’un récit bavard et saturé en clichés. On retrouve une énième fois le couple d’amoureux séparés par la rivalité des familles, la damoiselle en détresse secourue par son preux chevalier, le duel final débouchant sur l’heureuse conclusion de rigueur etc., poncifs que ne dynamise aucun rythme de narration ou de mise en scène. Les amateurs de Science-fiction suriront de plus une double peine car le contexte de la Porte se voit réduit à néant en ce monde bien trop proche du notre. Ce n’est plus de l’anticipation mais du mélodrame verbeux et recyclé. Le cabotinage des comédiens invités n’améliore pas le panorama.
Emancipation compte bien entendu comme atout de représenter le premier épisode à propulser Sam au premier rang de l’action. On doit d’ailleurs les scènes les plus divertissantes à la présence et à l’énergie d’Amanda Tapping, comme à son irrésistible verve comique. Cela se révèle d’ailleurs contagieux, les réactions des membres masculins de SG-1 face aux tribulations de leur amie valant parfois le coup d’œil. On ajoutera que la grande beauté d’Amanda se voit admirablement soulignée par sa tenue chamarrée, rompant agréablement avec l’uniformité des treillis de l’US Air Force. Par ailleurs la scène du combat nous vaut une jolie performance de l’actrice, en même temps que le seul moment t entraînant d’Emancupation. L’affrontement reste néanmoins modestement chorégraphié.
Malheureusement la mise en avant de carter s’effectue via un féminisme exprimé une par une fable confondante de naïveté, jusqu’à une happy end dont la miraculeuse immédiateté pantois. Tout cela apparaît beaucoup trop démonstratif et cousu de fil blanc, les promesses de maturité exprimées par The Enemy Within ne sont clairement pas tenues ici. Ce Woman’s Lib induit également une conséquence négative pour la portée du personnage de Sam. Une condamnation sans ambigüité, totalement justifiée, du machisme a déjà eu lieu au cours du pilote, lors de l’arrivée du capitaine. Ressasser celà, de plus si maladroitement, suscite un doublon inutile et tend à enfermer Carter dans une posture féministe réductrice. Samantha a bien d’autres potentialités à réaliser, ce qu’elle accomplira d’ailleurs heurtement par la suite. PAlors elle exprimera bien plus éloquemment l’égalité des deux sexes, par l’exemple plutôt que par une démonstration tirée à la ligne et enfantine.
Au total Emancipation constitue un opus des plus mineurs, présentant comme involontaire intérêt d’illustrer à quoi Stargate SG-1 aurait pu ressembler, un pensum politiquement correct exprimé sans talent ni finesse. On respire !
Les utilisateurs d'IMDB attribuent à Emancipation leur plus mauvaise note pour l'ensemble de la série, avec 6,1 sur 10.
Les producteurs étant également très déçus par l'épisode, il est d'ailleurs régulièrement omis lors des diffusions en syndication de la série.
En réaction à une allusion de Jack, tel(c se demande qui est « Oprah ». La célèbre animatrice de talk show Oprah Winfrey étant moins connue en France , la VF la réplique devient « C’est quoi, Nobel ? »
Le nom officiel de de la planète Simarka est P3X-593. Ces éléments ont été dévoilés parallèlement à la série par la production, car ils ne sont pas cité s durant l'épisode. , Hormis pour les planètes les plus importantes, cette codification sera retenue par SGC en vue de classification, compte tenu du nombre important de monde explorés.
On aperçoit Amanda Tapping en train de rire puis de pincer les lèvres quand SG-1se confronte aux chiens agressant Abu (0’58’’).
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Et voilà, nouvelle raison de regarder encore une fois cet épisode, je n'avais jamais remarquéEstuaire44 a écrit:On aperçoit Amanda Tapping en train de rire puis de pincer les lèvres quand SG-1se confronte aux chiens agressant Abu (0’58’’).
Bon, sinon c'est vrai que c'est épisode est sans plus comparé à ce qu'on peut voir tout au long de la série, mais il se laisse regarder quand même
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Un mauvais épisode de "Stargate" cela existe ? Je suis rassuré venant d'en voir un de "Enterprise" vraiment pas terrible. J'ai dû voir cet épisode en 1998 mais c'est plus le concept général de la série qui m'a dérouté et pas cet épisode "Emancipation".
Beaucoup ici semblent sous le charme de Amanda Tapping, je dois dire que je suis passé complètement à côté de cette comédienne, et ce qui m'incite à acheter "Sanctuary", c'est la ressemblance avec des romans de SF que je lis, car je n'y connais aucun acteur. De "Stargate", j'ai surtout retenu Richard Dean Anderson et si j'avais davantage aimé Mc Gyver, j'aurais sans doute mieux accroché.
Par contre, Scott Bakula par sa seule présence peut m'attirer dans une série qui sans lui ne m'aurait pas interessée.
Beaucoup ici semblent sous le charme de Amanda Tapping, je dois dire que je suis passé complètement à côté de cette comédienne, et ce qui m'incite à acheter "Sanctuary", c'est la ressemblance avec des romans de SF que je lis, car je n'y connais aucun acteur. De "Stargate", j'ai surtout retenu Richard Dean Anderson et si j'avais davantage aimé Mc Gyver, j'aurais sans doute mieux accroché.
Par contre, Scott Bakula par sa seule présence peut m'attirer dans une série qui sans lui ne m'aurait pas interessée.
Invité- Invité
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Fut-ce le cas de Code Quantum ? Ou l'as-tu vue pour son sujet ?
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Et oui Patricks, ça existe La série ne peut pas être parfaite, ce serait trop beau
Il faut qu'on t'appelle "Estuaire l'oeil de Lynx"? En tout cas, bien vu Mais on dirait qu'elle dit quelque chose aussi, non?
Ah bah voilà, c'est fait j'ai regardé le débutEstuaire44 a écrit:On aperçoit Amanda Tapping en train de rire puis de pincer les lèvres quand SG-1se confronte aux chiens agressant Abu (0’58’’)
Il faut qu'on t'appelle "Estuaire l'oeil de Lynx"? En tout cas, bien vu Mais on dirait qu'elle dit quelque chose aussi, non?
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
On pourrait croire que mes yeux s'attardent particulièrement sur Amanda...
C'est bien possible qu'elle dise qqc, mais quoi, mystère !
C'est bien possible qu'elle dise qqc, mais quoi, mystère !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Après avoir revu je pense que c'est "Come on", enfin, je crois.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je ne vois pas la forme du "O" de sa bouche pour le come on Personnellement, je dirai surtout qu'elle venait [encore?] de dire une bêtise
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Seuls les Anciens connaissent la réponse !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Pour ce cas là, oui je pense aussi
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Dearesttara a écrit:Fut-ce le cas de Code Quantum ? Ou l'as-tu vue pour son sujet ?
Non car je ne connaissais pas Scott Bakula à l'époque, c'est le magazine générations séries de Christophe Petit qui fi un tel ramdam autour de cette série que je décidai de l'enregistrer lors de sa 2e diffusion sur M6 (J'avais zappé la première diffusion en 1993 à la même case horaire, et en 1994, ils ont remis les 96 épisodes. Ma télé rendit l'âme et le temps d'en acheter une autre, j'ai raté deux épisodes, enregistrés en VHS lors d'une 3e diffusion "dragons et démons" et "Au bour du rêve".
Après, c'est une série que j'ai regardé assez souvent. Par contre, "Enterprise", je l'ai acheté pour Bak.
Invité- Invité
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
D'ac !
Vas-tu régulièrement sur Imdb Estuaire ? Parce que pour chaque épisode d'une série, il y a mention de commentaires, d'erreurs, etc. qu'on peut rajouter aux IS. Pour ma part, pour chaque épisode de House, je le fais systématiquement...
Vas-tu régulièrement sur Imdb Estuaire ? Parce que pour chaque épisode d'une série, il y a mention de commentaires, d'erreurs, etc. qu'on peut rajouter aux IS. Pour ma part, pour chaque épisode de House, je le fais systématiquement...
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Cela dépend des séries, pour certaines on trouve des sites spécialisés plus riches.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Estuaire44 a écrit:
En 2009 une version remastérisée du double épisode sortit en DVD, avec à la clef de ajouts et des surpressions de scènes et le remixage d’effets spéciaux, dont le vortex de la Porte, rendu plus semblable à ce qu’il deviendra tardivement dans la série, s’éloignant du modèle du film. La scène de nudité de Sha’re est également supprimée, pour éviter de restreindre le public visé.
Bref, ils ont coupé le plus intéressant
Invité- Invité
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Pour être honnête c'est vrai que l'on se rince un peu l'oeil au tout début mais la scène tourne vite à l'horreur, on ne pense alors plus du tout à la gaudriole. La scène est très forte en soi, moins que son équivalente des X-Files, où Gillian Anderson sort vraiment le grand jeu.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
La Théorie de Broca (The Broca Devide, 1-05, )
- She, uh… She tried to seduce me.
- Oh... You poor man.
SG-1 traverse la Porte à la recherche d'Apophis, pensant avoir déterminé le monde où le Goa'uld s'est réfugié après la bataille de Chulak. Or l'équipe trouve à la place un monde divisé en deux zones, l'une où éclairée perpétuellement par le soleil et l'autre plongée dans une nuit éternelle. La Porte d'arrivée se situe dans cette dernière et SG-1 subit l'attaque de ses habitants, des néandertaliens prognathes. Sortie d'affaire grâce à l'intervention des Marines de SG-3, Sg-1 atteint la région diurne et découvre alors ue civilisation aimable, correspondant à notre Age de Bronze. Ses souverains expliquent que les hommes de la préhistoires sont en fait d’anciens citoyens, déformés et rendus violents par une malédiction puis rejetés dans la nuit.
Ne trouvant aucune trace d’Apophis, Jack coupe court et évacue Sg-1, au grand dépit de Dauiel, fasciné par ce royaume minoen. De retour au SGC une épidémie éclate et se répand rapidement : la mutation était en fait due à un virus ramené par les explorateurs. Grâce aux efforts du Dr. Janet Fraiser et d’un jack contaminé acceptant de servir de cobaye, la maladie est jugulée, non sans que Teal’c ait du employer la force pour obtenir des échantillons de sang des natifs. .SG-1 peut alors libérer la population de ce fléau.
Elargissant cette opposition frontale entre lumière et ténèbres, qui rejoint tant d’archétypes culturels, The Broca Devide va bâtir un astucieux scénario basé sur le thème de la fracture et del’opposition. Les confrontations les plus diverses ne cessent ainsi de surgir au fil du récit, comme la rivalité entre SG-1 et SG-3 (Air Force et Marines) mais aussi plus personnelle entre Jack et Makepeace. Via la colère de Daniel se manifeste également une ligne de fracture entre militaires et scientifiques, sensiblement plus rudement qu’à l’accoutumée. Une frontière nette se voit également établie entre SGC et le reste du monde, suite à l’épidémie. La démarcation la plus éprouvante demeure celle entre les malades et les temporairement épargnés dans une atmosphère de crise aussi bien rendu que le permet le format bref de l’épisode.
Cette accumulation ne s’effectue pas à la hâte mais au contraire selon un scénario alerte et agencé pour tirer au mieux parti conjointement de potentialités de la Porte et de cette étrange planète On remarquera que le récit glisse rapidement sur les conditions abracadabrantesques justifiant une telle scission tout en y autorisant une vie semblable à celle de la Terre, mais, après tout, Stargate SG-1 n’est pas de la Hard Science. Par ailleurs les amateurs de Buffy contre les Vampires s’amuseront à relever plusieurs convergences avec Beer Bad. Surtout, l’exercice de style permet d’induire une réelle tension dramatique tout au long d’un épisode en permanence électrique. Comme une éclaircie après l’orage, l’émouvante conclusion touche réellement, bien loin du happy end factice de l’opus précédent.
Les habiles auteurs évitent également de laisser trop transparaître le procédé, en multipliant les à-côtés très réussis. C’est le cas de plusieurs réjouissants moments d’humour, excellemment dialogués, comme le délire autour de I Love Lucy, ou l’ébouriffante première ébauche de la relation Sam/Jack, avec une entrée en matière pour le moins décapante de Carter ! Mais l’évènement le plus notable demeure l’apparition de l’irremplaçable Dr. Janet Fraiser, confrontée à la première des nombreuses maladies exotiques que rapportera SG-1. Entre sympathie et caractère bien trempé, Janet s’impose d’emblée, grâce au naturel et à l’allant de Teryl Rothery. La qualité de l’interprétation (notamment de Richard Dean Anderson durant la maladie), mais aussi de la reconstitution de l’art minoen, parachèvent le succès de cet épisode à la fois dense et rendement mené, à l’habile scénario.
Paul Broca (1824-1880) fut un brillant chercheur en médecine et anthropologie, dont les travaux aidèrent entre autres à mieux comprendre les mécanismes de l’anévrisme et du cancer, ainsi que le fonctionnement du cerveau. En particulier il parvient à isoler la zone commandant la parole, située au sein du lobe frontal, et désormais désignée comme Aire de Broca. Ce fondateur de la chirurgie moderne du cerveau s’intéressa également à la pratique de la médecine durant la préhistoire, parvenant à reconstituer des trépanations remontant au néolithique. Il reste cependant partisan de l’existence d’un lien entre intelligence et taille du cerveau, en déduisant une infériorité féminine dans ce domaine.
Apparition du Dr. Janet Fraiser, le médecin en chef de SGC, aussi compétente qu’attachée à ses patients et amis. L’épatante Teryl Rothery l’incarnera durant 75 épisodes. Janet décède en saison 7, lors du 150ème opus de la série, Heros. Cet épisode (qu’elle s’est toujours refusée à visionner) vaudra à Teryl Rothery une nomination aux Leo Awards. Janet réapparaîtra dans Effet Domino (9-13), via un univers parallèle. Celle dont le rôle sera loin de se limiter à la seule infirmerie de SGC demeure une figure particulièrement appréciée par l’ensemble des fans de la série.
L’actrice choisit le prénom Janet, en clin d’œil à un personnage qu’elle interpréta dans The Outer Limits, Janet Preston, dans un rôle écrit et réalisé par les deux producteurs de Stargate SG-1(Trial by Fire).
On rencontre également pour la première fois le colonel Robert Makepeace, leader de SG-3, section de choc composée de rudes Marines. Même si très efficace au combat, cet agressif et ombrageux officier ne sympathisera jamais avec O'Neill. Il apparaîtra dans cinq épisodes, avant d'être démasqué comme agent du NID, aux ordres de Maybourne. (saison 3).
« Lucy, I’m home » déclare jack à Teal’c, en plaisantant. Il fait allusion à une célèbre réplique de i Love Lucy (1951-1957). Cette série toujours populaire aux Etats Unis à marqué l’histoire de la télévision. En effet il s’agit de la première sitcom réalisée, établissant les canons du genre, narratifs autant que techniques.
Les coordonnées de la destination d'Apophis sont 38-10-32. Hammond affirme qu'elles ont pu être observées par les habitants de Chulak, ce qui apparaît comme clairement impossible au vu de Children of the Gods. Apophis et ses Jaffas n'apparaissent pas du tout dans l'épisode, mais ils n'ont peut être fait que transiter par P3X-797.
Au début de l’épisode (2’55’’) Jack s’amuse à tracer un Z sur le vortex de la Porte, avant de le franchir. Il doit sans doute s’agir d’un clin d’œil à Zorro, Zorglub paraissant peu probable.
Lors du zoom montrant SG-1 en train de découvrir l’intérieur du palais, l’ombre de la caméra en déplacement est parfaitement visible sur la tête de taureau de droite (9’47’’).
- She, uh… She tried to seduce me.
- Oh... You poor man.
SG-1 traverse la Porte à la recherche d'Apophis, pensant avoir déterminé le monde où le Goa'uld s'est réfugié après la bataille de Chulak. Or l'équipe trouve à la place un monde divisé en deux zones, l'une où éclairée perpétuellement par le soleil et l'autre plongée dans une nuit éternelle. La Porte d'arrivée se situe dans cette dernière et SG-1 subit l'attaque de ses habitants, des néandertaliens prognathes. Sortie d'affaire grâce à l'intervention des Marines de SG-3, Sg-1 atteint la région diurne et découvre alors ue civilisation aimable, correspondant à notre Age de Bronze. Ses souverains expliquent que les hommes de la préhistoires sont en fait d’anciens citoyens, déformés et rendus violents par une malédiction puis rejetés dans la nuit.
Ne trouvant aucune trace d’Apophis, Jack coupe court et évacue Sg-1, au grand dépit de Dauiel, fasciné par ce royaume minoen. De retour au SGC une épidémie éclate et se répand rapidement : la mutation était en fait due à un virus ramené par les explorateurs. Grâce aux efforts du Dr. Janet Fraiser et d’un jack contaminé acceptant de servir de cobaye, la maladie est jugulée, non sans que Teal’c ait du employer la force pour obtenir des échantillons de sang des natifs. .SG-1 peut alors libérer la population de ce fléau.
Elargissant cette opposition frontale entre lumière et ténèbres, qui rejoint tant d’archétypes culturels, The Broca Devide va bâtir un astucieux scénario basé sur le thème de la fracture et del’opposition. Les confrontations les plus diverses ne cessent ainsi de surgir au fil du récit, comme la rivalité entre SG-1 et SG-3 (Air Force et Marines) mais aussi plus personnelle entre Jack et Makepeace. Via la colère de Daniel se manifeste également une ligne de fracture entre militaires et scientifiques, sensiblement plus rudement qu’à l’accoutumée. Une frontière nette se voit également établie entre SGC et le reste du monde, suite à l’épidémie. La démarcation la plus éprouvante demeure celle entre les malades et les temporairement épargnés dans une atmosphère de crise aussi bien rendu que le permet le format bref de l’épisode.
Cette accumulation ne s’effectue pas à la hâte mais au contraire selon un scénario alerte et agencé pour tirer au mieux parti conjointement de potentialités de la Porte et de cette étrange planète On remarquera que le récit glisse rapidement sur les conditions abracadabrantesques justifiant une telle scission tout en y autorisant une vie semblable à celle de la Terre, mais, après tout, Stargate SG-1 n’est pas de la Hard Science. Par ailleurs les amateurs de Buffy contre les Vampires s’amuseront à relever plusieurs convergences avec Beer Bad. Surtout, l’exercice de style permet d’induire une réelle tension dramatique tout au long d’un épisode en permanence électrique. Comme une éclaircie après l’orage, l’émouvante conclusion touche réellement, bien loin du happy end factice de l’opus précédent.
Les habiles auteurs évitent également de laisser trop transparaître le procédé, en multipliant les à-côtés très réussis. C’est le cas de plusieurs réjouissants moments d’humour, excellemment dialogués, comme le délire autour de I Love Lucy, ou l’ébouriffante première ébauche de la relation Sam/Jack, avec une entrée en matière pour le moins décapante de Carter ! Mais l’évènement le plus notable demeure l’apparition de l’irremplaçable Dr. Janet Fraiser, confrontée à la première des nombreuses maladies exotiques que rapportera SG-1. Entre sympathie et caractère bien trempé, Janet s’impose d’emblée, grâce au naturel et à l’allant de Teryl Rothery. La qualité de l’interprétation (notamment de Richard Dean Anderson durant la maladie), mais aussi de la reconstitution de l’art minoen, parachèvent le succès de cet épisode à la fois dense et rendement mené, à l’habile scénario.
Paul Broca (1824-1880) fut un brillant chercheur en médecine et anthropologie, dont les travaux aidèrent entre autres à mieux comprendre les mécanismes de l’anévrisme et du cancer, ainsi que le fonctionnement du cerveau. En particulier il parvient à isoler la zone commandant la parole, située au sein du lobe frontal, et désormais désignée comme Aire de Broca. Ce fondateur de la chirurgie moderne du cerveau s’intéressa également à la pratique de la médecine durant la préhistoire, parvenant à reconstituer des trépanations remontant au néolithique. Il reste cependant partisan de l’existence d’un lien entre intelligence et taille du cerveau, en déduisant une infériorité féminine dans ce domaine.
Apparition du Dr. Janet Fraiser, le médecin en chef de SGC, aussi compétente qu’attachée à ses patients et amis. L’épatante Teryl Rothery l’incarnera durant 75 épisodes. Janet décède en saison 7, lors du 150ème opus de la série, Heros. Cet épisode (qu’elle s’est toujours refusée à visionner) vaudra à Teryl Rothery une nomination aux Leo Awards. Janet réapparaîtra dans Effet Domino (9-13), via un univers parallèle. Celle dont le rôle sera loin de se limiter à la seule infirmerie de SGC demeure une figure particulièrement appréciée par l’ensemble des fans de la série.
L’actrice choisit le prénom Janet, en clin d’œil à un personnage qu’elle interpréta dans The Outer Limits, Janet Preston, dans un rôle écrit et réalisé par les deux producteurs de Stargate SG-1(Trial by Fire).
On rencontre également pour la première fois le colonel Robert Makepeace, leader de SG-3, section de choc composée de rudes Marines. Même si très efficace au combat, cet agressif et ombrageux officier ne sympathisera jamais avec O'Neill. Il apparaîtra dans cinq épisodes, avant d'être démasqué comme agent du NID, aux ordres de Maybourne. (saison 3).
« Lucy, I’m home » déclare jack à Teal’c, en plaisantant. Il fait allusion à une célèbre réplique de i Love Lucy (1951-1957). Cette série toujours populaire aux Etats Unis à marqué l’histoire de la télévision. En effet il s’agit de la première sitcom réalisée, établissant les canons du genre, narratifs autant que techniques.
Les coordonnées de la destination d'Apophis sont 38-10-32. Hammond affirme qu'elles ont pu être observées par les habitants de Chulak, ce qui apparaît comme clairement impossible au vu de Children of the Gods. Apophis et ses Jaffas n'apparaissent pas du tout dans l'épisode, mais ils n'ont peut être fait que transiter par P3X-797.
Au début de l’épisode (2’55’’) Jack s’amuse à tracer un Z sur le vortex de la Porte, avant de le franchir. Il doit sans doute s’agir d’un clin d’œil à Zorro, Zorglub paraissant peu probable.
Lors du zoom montrant SG-1 en train de découvrir l’intérieur du palais, l’ombre de la caméra en déplacement est parfaitement visible sur la tête de taureau de droite (9’47’’).
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Estuaire44 a écrit:
Au début de l’épisode (2’55’’) Jack s’amuse à tracer un Z sur le vortex de la Porte, avant de le franchir. Il doit sans doute s’agir d’un clin d’œil à Zorro, Zorglub paraissant peu probable.
C'est peut-être un Z comme Zaza (Astérix et le cadeau de César).
Ok, où est la porte de sortie ?
Toujours excellent Estuaire ! Tu vas pouvoir tenir 10 saisons à ce régime ?
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
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Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Merci ! Pour le rythme cela sera selon l'inspiration et la disponibilité, on verra bien !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Episode très bien ficelé je trouve, j'ai beaucoup aimé Par contre, j'ai trouvé les décors et les costumes vraiment horribles
Première fois que Sam embrasse Jack [et c'est loin d'être la dernière ]. Personnellement, je ne pense pas qu'il y ai que le virus qui soit en cause. Si elle voulait vraiment un mâle dominant, elle aurait pu prendre Hammond
Teryl Rothery n'a pas seulement joué le personnage de Janet, elle a aussi endossé le rôle d'Asgard, pour les faire bouger [ce qui était plus dur avec les "mannequins asgards"]. j'avais une photo d'elle en "tenue" dans un magasine, il faudrait que je la retrouve
Première fois que Sam embrasse Jack [et c'est loin d'être la dernière ]. Personnellement, je ne pense pas qu'il y ai que le virus qui soit en cause. Si elle voulait vraiment un mâle dominant, elle aurait pu prendre Hammond
J'aime beaucoup cet épisode car c'est la première fois qu'on voir Janet. C'est un personnage que j'apprécie vraiment. Je la trouvais attachante, Teryl Rothery a parfaitement endossé son rôle. Je dois avouer que j'ai jamais autant pleurer devant un épisode que devant Heros.Estuaire44 a écrit:Apparition du Dr. Janet Fraiser, le médecin en chef de SGC, aussi compétente qu’attachée à ses patients et amis. L’épatante Teryl Rothery l’incarnera durant 75 épisodes. Janet décède en saison 7, lors du 150ème opus de la série, Heros. Cet épisode (qu’elle s’est toujours refusée à visionner) vaudra à Teryl Rothery une nomination aux Leo Awards. Janet réapparaîtra dans Effet Domino (9-13), via un univers parallèle. Celle dont le rôle sera loin de se limiter à la seule infirmerie de SGC demeure une figure particulièrement appréciée par l’ensemble des fans de la série.
Teryl Rothery n'a pas seulement joué le personnage de Janet, elle a aussi endossé le rôle d'Asgard, pour les faire bouger [ce qui était plus dur avec les "mannequins asgards"]. j'avais une photo d'elle en "tenue" dans un magasine, il faudrait que je la retrouve
TorriGilly- Duc(hesse)
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Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Hammond est réservé pour Hathor.
Il me semble qu'elle a simplement été la voix de l'un d'entre eux, Heimdall, dans l'épisode Revelations, sans qu'il soit question d'animation. Mais je peux me tromper.
Il me semble qu'elle a simplement été la voix de l'un d'entre eux, Heimdall, dans l'épisode Revelations, sans qu'il soit question d'animation. Mais je peux me tromper.
Estuaire44- Empereur
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Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je vais partir à la recherche de mon magasine
Je suis pressée que tu fasses cet épisodeEstuaire44 a écrit:Hammond est réservé pour Hathor.
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Moi aussi, pour diverses raisons...
C'est vraiment l'un de mes épisodes préférés de la saison ! Curieusement c'est aussi l'un de ceux dont je me souviens le mieux...
Ah, les Bad Girls de Stargate SG-1 !
C'est vraiment l'un de mes épisodes préférés de la saison ! Curieusement c'est aussi l'un de ceux dont je me souviens le mieux...
Ah, les Bad Girls de Stargate SG-1 !
Estuaire44- Empereur
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Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
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