Série "Stargate - SG1" (1)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Prodige (Prodigy; 4-19, **)
-I've read a lot about you, Colonel, in General Hammond's reports.
- Yes… Sir?
Lors d’une conférence à l’Académie de l’US Air Force, Sam remarque l’élève-officier Jennifer Hailey. Celle-ci, scientifique prodige, a du mal à se plier à la discipline militaire et connaît de difficultés relationnelles.. Malgré des moments difficiles, Sam se convient de l’intérêt de la faire participer au programme Stargate. Afin de lui faire appréhender les potentialités de la Porte, Sam emmène Jennifer sur une lune tranquille, où Jack et Teal’c assure la protection d’une importante base scientifique, à la demande du Chef d’Etat Major. Mais des entités électriques passent à l’attaque, forçant l’équipe à se replier, grâce à une manœuvre héroïque de Jack. Entretemps l’épreuve aura permis aux deux femmes de sympathiser.
Tout au long de la saison le duo Mullie & Mallozi aura exploré de nouvelles voies, apportant un précieux renouvellement à la série. Il en va de même pour Prodigy, où ils s’efforcent de connecter le projet Stargate au quotidien de l’US Air Force.il en va ainsi avec la visite réussie du vrai général en chef, lors de la très divertissante introduction. La manœuvre apporte de la crédibilité aux personnages, en particulier à Sam, une nouvelle fois à l’honneur ici, mais aussi à jack, dont la mission de routine rappelle judicieusement que les interventions de SG-1 ne peuvent pas toujours se situer dans l’épique (il se rattrape bien évidemment sur la fin !). Les nuées de lucioles mortelles assiégeant nos amis ne sont pas évoquer sympathiquement Quand vient la nuit aux amateurs des X-Files.
Malheureusement plusieurs erreurs d’écriture viennent gâcher l’ensemble. Il en va ainsi pour la caractérisation pour le moins évolutive d’Hailey. Celle-ci montre successivement plusieurs visages totalement différents au cours de l’histoire, les auteurs allant à marche forcée de l’antagonisme à à la complicité finale avec Sam, au prix de plusieurs clichés, dont la sempiternelle rivalité féminine. Les deux segments de l’intrigue demeurent trop disjoints, la jeune élève-officier (interprétée avec expressivité par Elisabeth Rosen) demeurant inopérante jusqu’au bout, hormis l’émission d’une hypothèse aussi gratuite qu’inutile. Pour une fois Stargate SG-1 avoisine dangereusement le machisme quand la querelle féminine se voit tranchée par le bons sens et l’assurance masculine de Jack. Il reste également maladroit de rendre Sam aussi cassante avec une subordonnée, elle qui prend toujours avec le sourire les piques de ses supérieurs.
L'US Air Force coopéra toujours bien volontiers à la production de Stargate SG-1 et Michael E. Ryan tint ici son propre rôle de Chef d'Etat Major. Durant la rencontre organisée avec l'équipe, Richard Dean Anderson lui demanda si l'US Air Force comptait bien parmi ses rangs des colonels du même style que Jack O'Neill et le Général répondit qu'on y trouvait d'encore plus fortes têtes ! Michael E. Ryan n’a ensuite pas caché être depuis toujours un grand amateur de Science-fiction.
Hailey porte des lunettes rouges pour la protéger du rayonnement d'un laser vert, alors qu'il en faudrait de la même couleur.
A l'entrée du Vortex, Hailey se situe à la droite de Carter, en en sortant, c'est devenu à gauche.
On retrouvera le Cadet Jennifer Hailey dans Proving Ground (5-13). Elle finira par parvenir à intégrer une unité SG.
Daniel ne figure pas dans l’épisode car Michael Shanks se concentrait alors sur la réalisation de Double Jeopardy (4-21). Daniel est en mission outre monde, en compagnie de SG-11.
L'épisode marque l'apparition du Dr Bill Lee, scientifique civil attaché au SGC. Il va devenir un personnage récurrent, participant à 20 épisodes de Stargate SG-1, mais aussi à Atlantis et Universe. Le sympathique et enthousiaste Bill va devenir un grand spécialiste des diverses technologies extra-terrestres découvertes par les unités SG. Ses expérimentations produiront parfois des résultats pour le moins inattendus, mais il sera toujours un précieux soutien pour Samantha Carter. Bill Lee est interprété par Bill Dow, qui fut également le Dr. Chuck Burks des X-Files.
Les équations illustrant la conférence de carter sont réelles. La scène fut tournée au Science World de Vancouver. Ce vaste espace fondé en 1977est similaire à la Cité des Sciences de l’Industrie de La Villette. Elle accueille des expositions et activités tournes vers le grand public, mais aussi des salles de conférences destinées à l’enseignement scientifique.
La cadet situé près de Jennifer et posant une question est interprété par Ivon Bartok, l’assistant personnel de Richard Dean Anderson.
C’est une des toutes premières fois que Jack O’Neill doit composer la destination de la Porte. De petits morceaux de rubans furent installés afin d’indiquer où taper à Richard Dean Anderson. Les fans de la série ont toujours eu l’œil vigilant sur les détails techniques de la manipulation de la Porte des Etoiles !
-I've read a lot about you, Colonel, in General Hammond's reports.
- Yes… Sir?
Lors d’une conférence à l’Académie de l’US Air Force, Sam remarque l’élève-officier Jennifer Hailey. Celle-ci, scientifique prodige, a du mal à se plier à la discipline militaire et connaît de difficultés relationnelles.. Malgré des moments difficiles, Sam se convient de l’intérêt de la faire participer au programme Stargate. Afin de lui faire appréhender les potentialités de la Porte, Sam emmène Jennifer sur une lune tranquille, où Jack et Teal’c assure la protection d’une importante base scientifique, à la demande du Chef d’Etat Major. Mais des entités électriques passent à l’attaque, forçant l’équipe à se replier, grâce à une manœuvre héroïque de Jack. Entretemps l’épreuve aura permis aux deux femmes de sympathiser.
Tout au long de la saison le duo Mullie & Mallozi aura exploré de nouvelles voies, apportant un précieux renouvellement à la série. Il en va de même pour Prodigy, où ils s’efforcent de connecter le projet Stargate au quotidien de l’US Air Force.il en va ainsi avec la visite réussie du vrai général en chef, lors de la très divertissante introduction. La manœuvre apporte de la crédibilité aux personnages, en particulier à Sam, une nouvelle fois à l’honneur ici, mais aussi à jack, dont la mission de routine rappelle judicieusement que les interventions de SG-1 ne peuvent pas toujours se situer dans l’épique (il se rattrape bien évidemment sur la fin !). Les nuées de lucioles mortelles assiégeant nos amis ne sont pas évoquer sympathiquement Quand vient la nuit aux amateurs des X-Files.
Malheureusement plusieurs erreurs d’écriture viennent gâcher l’ensemble. Il en va ainsi pour la caractérisation pour le moins évolutive d’Hailey. Celle-ci montre successivement plusieurs visages totalement différents au cours de l’histoire, les auteurs allant à marche forcée de l’antagonisme à à la complicité finale avec Sam, au prix de plusieurs clichés, dont la sempiternelle rivalité féminine. Les deux segments de l’intrigue demeurent trop disjoints, la jeune élève-officier (interprétée avec expressivité par Elisabeth Rosen) demeurant inopérante jusqu’au bout, hormis l’émission d’une hypothèse aussi gratuite qu’inutile. Pour une fois Stargate SG-1 avoisine dangereusement le machisme quand la querelle féminine se voit tranchée par le bons sens et l’assurance masculine de Jack. Il reste également maladroit de rendre Sam aussi cassante avec une subordonnée, elle qui prend toujours avec le sourire les piques de ses supérieurs.
L'US Air Force coopéra toujours bien volontiers à la production de Stargate SG-1 et Michael E. Ryan tint ici son propre rôle de Chef d'Etat Major. Durant la rencontre organisée avec l'équipe, Richard Dean Anderson lui demanda si l'US Air Force comptait bien parmi ses rangs des colonels du même style que Jack O'Neill et le Général répondit qu'on y trouvait d'encore plus fortes têtes ! Michael E. Ryan n’a ensuite pas caché être depuis toujours un grand amateur de Science-fiction.
Hailey porte des lunettes rouges pour la protéger du rayonnement d'un laser vert, alors qu'il en faudrait de la même couleur.
A l'entrée du Vortex, Hailey se situe à la droite de Carter, en en sortant, c'est devenu à gauche.
On retrouvera le Cadet Jennifer Hailey dans Proving Ground (5-13). Elle finira par parvenir à intégrer une unité SG.
Daniel ne figure pas dans l’épisode car Michael Shanks se concentrait alors sur la réalisation de Double Jeopardy (4-21). Daniel est en mission outre monde, en compagnie de SG-11.
L'épisode marque l'apparition du Dr Bill Lee, scientifique civil attaché au SGC. Il va devenir un personnage récurrent, participant à 20 épisodes de Stargate SG-1, mais aussi à Atlantis et Universe. Le sympathique et enthousiaste Bill va devenir un grand spécialiste des diverses technologies extra-terrestres découvertes par les unités SG. Ses expérimentations produiront parfois des résultats pour le moins inattendus, mais il sera toujours un précieux soutien pour Samantha Carter. Bill Lee est interprété par Bill Dow, qui fut également le Dr. Chuck Burks des X-Files.
Les équations illustrant la conférence de carter sont réelles. La scène fut tournée au Science World de Vancouver. Ce vaste espace fondé en 1977est similaire à la Cité des Sciences de l’Industrie de La Villette. Elle accueille des expositions et activités tournes vers le grand public, mais aussi des salles de conférences destinées à l’enseignement scientifique.
La cadet situé près de Jennifer et posant une question est interprété par Ivon Bartok, l’assistant personnel de Richard Dean Anderson.
C’est une des toutes premières fois que Jack O’Neill doit composer la destination de la Porte. De petits morceaux de rubans furent installés afin d’indiquer où taper à Richard Dean Anderson. Les fans de la série ont toujours eu l’œil vigilant sur les détails techniques de la manipulation de la Porte des Etoiles !
Estuaire44- Empereur
- Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Entité (Entity, 4-20, ***)
- MALPs can't fly!
- Apparently they can...
- Shouldn't there have been a memo about this stuff ?
Une sonde du SGC pénètre dans un monde de structures métalliques, peuplés par des entités similaires à des intelligences artificielles informatiques. Les ondes radio de l’appareil causent fortuitement de graves dégâts sur ces créatures et l’une d’entre elles franchit la Porte pour mettre fin à la menace humaine. Contrée par SG-1, elle se réfugie successivement dans le réseau du SGC, une unité centrale qu’elle a fabriqué, puis le cerveau de Sam, devenue une marionnette. Jack menace l’entité de terribles représailles sur son monde, celle-ci stocke donc l’esprit de Sam sur support informatique avant d’être détruite. Grâce à Janet, Sam parvient ensuite à rejoindre son corps.
L’épisode souffre de trop s’inscrire dans une veine d’épisodes désormais parfaitement balisée, voyant une entité ayant pénétré le SGC tenter de rejoindre son monde à tout prix. Il ressemble ainsi beaucoup cette saison à Watergate, même si les modalités pratiques diffèrent. L’introduction d’une dimension cybernétique résulte néanmoins pertinente, annonçant déjà l’évolution prochaine des Réplicateurs, jusqu’au RépliCarter de la saison 8. La première partie du récit s’avère d’ailleurs parfaitement ludique et entrainante, avec une interface réussie entre l’univers Stargate et celui des Cyberpunks. La partie de cache-cache est amusante à suivre, tandis que la mise en scène marque plusieurs points : fenêtre ouverte sur un monde divergeant profondément de l’humain, une rareté au sein de la série, paranoïa suscitée par les caméras dirigées par l’IA (Big Brother is watching you) ou esthétique cyber du « nid » construit par l’entité.
La seconde partie, organisée autour de la possession de Sam par I’IA, marque le pas, avec un rythme nettement ralenti de l’action, comme le montrent les personnages la commentant plus qu’ils ne l’animent. On n’échappe pas non plus à un certain pathos autour de Jack. L’analyse par l’IA du sentiment amoureux éprouvé par Sam envers Jack aurait pu devenir intéressante, mais elle n’est qu’esquissée. La colère nihiliste de ce dernier demeure néanmoins un grand moment, de même que le voir se résoudre à tirer sur Carter, tout comme sur Daniel dans Absolute Power. Le twist de la personnalité de Sam projetée dans un ordinateur s’avère plaisamment cyber (A Ghost in the Machine). Les auteurs bottent néanmoins quelque peu en touche en faisant cesser l’action au moment où Sam va raconter son expérience, c’est assez frustrant.
Quand l'entité explore les dossiers informatiques du personnel, nous découvrons que le premier prénom de Jack est John.
Il sera fait référence aux évènements de l’épisode dans The Intruder, où l’équipe de Stargate Atlantis fait face à une menace très similaire.
Hammond signale qu’il a tenu informé de la situation toutes les équipes SG bloquées sur d’autres mondes. Or Sam avait auparavant précisé que la Porte et l’Iris étaient inactive. On peut donc se demander comme le général a procédé ! Une ligne directe avec Thor ?
Peter DeLuise réussit un nouveau caméo en apparaissant dans la base de données. Le nom indiqué est cependant Master Lee Van Cleef !
- MALPs can't fly!
- Apparently they can...
- Shouldn't there have been a memo about this stuff ?
Une sonde du SGC pénètre dans un monde de structures métalliques, peuplés par des entités similaires à des intelligences artificielles informatiques. Les ondes radio de l’appareil causent fortuitement de graves dégâts sur ces créatures et l’une d’entre elles franchit la Porte pour mettre fin à la menace humaine. Contrée par SG-1, elle se réfugie successivement dans le réseau du SGC, une unité centrale qu’elle a fabriqué, puis le cerveau de Sam, devenue une marionnette. Jack menace l’entité de terribles représailles sur son monde, celle-ci stocke donc l’esprit de Sam sur support informatique avant d’être détruite. Grâce à Janet, Sam parvient ensuite à rejoindre son corps.
L’épisode souffre de trop s’inscrire dans une veine d’épisodes désormais parfaitement balisée, voyant une entité ayant pénétré le SGC tenter de rejoindre son monde à tout prix. Il ressemble ainsi beaucoup cette saison à Watergate, même si les modalités pratiques diffèrent. L’introduction d’une dimension cybernétique résulte néanmoins pertinente, annonçant déjà l’évolution prochaine des Réplicateurs, jusqu’au RépliCarter de la saison 8. La première partie du récit s’avère d’ailleurs parfaitement ludique et entrainante, avec une interface réussie entre l’univers Stargate et celui des Cyberpunks. La partie de cache-cache est amusante à suivre, tandis que la mise en scène marque plusieurs points : fenêtre ouverte sur un monde divergeant profondément de l’humain, une rareté au sein de la série, paranoïa suscitée par les caméras dirigées par l’IA (Big Brother is watching you) ou esthétique cyber du « nid » construit par l’entité.
La seconde partie, organisée autour de la possession de Sam par I’IA, marque le pas, avec un rythme nettement ralenti de l’action, comme le montrent les personnages la commentant plus qu’ils ne l’animent. On n’échappe pas non plus à un certain pathos autour de Jack. L’analyse par l’IA du sentiment amoureux éprouvé par Sam envers Jack aurait pu devenir intéressante, mais elle n’est qu’esquissée. La colère nihiliste de ce dernier demeure néanmoins un grand moment, de même que le voir se résoudre à tirer sur Carter, tout comme sur Daniel dans Absolute Power. Le twist de la personnalité de Sam projetée dans un ordinateur s’avère plaisamment cyber (A Ghost in the Machine). Les auteurs bottent néanmoins quelque peu en touche en faisant cesser l’action au moment où Sam va raconter son expérience, c’est assez frustrant.
Quand l'entité explore les dossiers informatiques du personnel, nous découvrons que le premier prénom de Jack est John.
Il sera fait référence aux évènements de l’épisode dans The Intruder, où l’équipe de Stargate Atlantis fait face à une menace très similaire.
Hammond signale qu’il a tenu informé de la situation toutes les équipes SG bloquées sur d’autres mondes. Or Sam avait auparavant précisé que la Porte et l’Iris étaient inactive. On peut donc se demander comme le général a procédé ! Une ligne directe avec Thor ?
Peter DeLuise réussit un nouveau caméo en apparaissant dans la base de données. Le nom indiqué est cependant Master Lee Van Cleef !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Estuaire44 a écrit:Quand l'entité explore les dossiers informatiques du personnel, nous découvrons que le premier prénom de Jack est John.
Ce serait pas plutôt le deuxième prénom ?
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je me base sur l'ordre d'écriture.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Non non, c'est bien son premier prénom, qu'il n'aime pas du tout. Du coup il se fait appeler JackDearesttara a écrit:Ce serait pas plutôt le deuxième prénom ?
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Encore raté une occaz de me taire. Je me retranche dans un silence pragmatique (et forcé).
P.S : Quel est ce charmant et accueillant avatar, Torri ?
P.S : Quel est ce charmant et accueillant avatar, Torri ?
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Mais non, mais non, tu apprends jeune Padawan
C'est le chat de Cheshire d'Alice au Pays des Merveilles dans le film de Tim Burton
C'est le chat de Cheshire d'Alice au Pays des Merveilles dans le film de Tim Burton
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Répliques (Double Jeopardy, 4-21, ****)
- Who are you talking to?
- Earth: General Hamond and the other SG-1.
- Hey, you're the other SG-1, pal !
Harlan se rend au SGC pour révéler que les androïdes répliquant SG-1 ont finalement décidé de lutter contre les Goa’ulds, au lieur de rester sur leur monde d’origine (Tin Man). Ils sont présentement en grande difficulté face à Chronos, sur un monde jadis libéré par SG-1. Cette dernière vient en aide à ses doubles, mais ne peut éviter qu’ils tombent tour à tour au champ d’honneur. Leur sacrifice permet cependant de triompher du Seigneur du Système. Celui-ci est abattu par l’action combinée des deux Teal’c, qui vengent ainsi la mort de leur père.
Dans une montée en puissance annonçant judicieusement l’épique final de saison à venir, Double Jeopardy privilégie l’action à tout crin. Le pari se révèle gagnant, la nervosité du récit et le spectaculaire des impitoyables combats rendant le spectacle électrique à souhait. Michael Shanks se montre indéniablement convaincant derrière la caméra. La mort d’un Maître Goa’uld demeure toujours un grand moment, surtout quand il s’agit d’un individu aussi marquant que le charismatique et cruel Chronos. Son décès s’avère d’ailleurs bien plus scénarisé et haut en couleurs que celui d’Heru-ur cette saison. Mais les auteurs ne se limitent pas pour autant à cet aspect et optimisent pleinement la rencontre des deux SG-1. Retrouver des personnages appréciés apporte toujours une cohérence à un univers, c’est particulièrement le cas ici. Toutes les confrontations apparaissent savoureuses, celle entre les O’Neill se révélant la plus mémorable grâce à plusieurs irrésistibles prises de bec. De fait l’épisode devient vite un de ces stand-ups irrésistibles où excelle toujours Richard Dean Anderson.
On regrettera toutefois que la maléfique et blonde âme damnée de Cronos, un régal de sadisme, n’ait pas été davantage développée avant l’annihilation. Belinda Waymouth lui insuffle une vraie présence, tandis que la dame prend visiblement un malin plaisir à tourmenter Sam. Décidément les affrontements féminins s’avèrent sans pitié dans Stargate SG-1, ce qui ne surprendra pas l’amateur des Avengers ! On aurait aimé retrouver cette charmante personne ultérieurement, à l’instar d’un Tanith. On remarque que les auteurs parviennent à susciter l’émotion autour du destin héroïque de la seconde SG-1, dont la révélation constitue un twist percutant. Mais aussi qu’ils induisent un effet peut être involontaire. Cette mort finalement réaliste souligne que l’élément relevant le plus ici de la Science-fiction n’est finalement pas ici la Porte des Etoile Mais la persistante survie miraculeuse de tous les membres de SG-1 à l’issue de cette quatrième saison !
Carter indique que le matricule de la planète est P3X-279, alors que l'écran indique clairement P2X-279.
Michael Shanks passe derrière la caméra, une expérience qu’il ne renouvèlera pas ultérieurement. Daniel est de nouveau en mission outre monde et son androïde périt très tôt. .
On retrouve ici les répliques androïdes de SG-1, déjà découvertes dans Tin Man (1-19). Les maquilleurs font en sorte que les copies demeurent identiques au SG-1 de la première saison.
Jack s’exclame Better? It means...better! Better, stronger, faster!, ce qui est une référence à la voix off du générique de L’Homme qui valait trois milliards.
L’épisode voit le décès du puissant goa’uld Chronos, tué par la réplique de Teal’c. Celui-ci achève une vendetta personnelle propre aux deux versions, car Chronos avait fait exécuté le père du vrai Teal’c.
- Who are you talking to?
- Earth: General Hamond and the other SG-1.
- Hey, you're the other SG-1, pal !
Harlan se rend au SGC pour révéler que les androïdes répliquant SG-1 ont finalement décidé de lutter contre les Goa’ulds, au lieur de rester sur leur monde d’origine (Tin Man). Ils sont présentement en grande difficulté face à Chronos, sur un monde jadis libéré par SG-1. Cette dernière vient en aide à ses doubles, mais ne peut éviter qu’ils tombent tour à tour au champ d’honneur. Leur sacrifice permet cependant de triompher du Seigneur du Système. Celui-ci est abattu par l’action combinée des deux Teal’c, qui vengent ainsi la mort de leur père.
Dans une montée en puissance annonçant judicieusement l’épique final de saison à venir, Double Jeopardy privilégie l’action à tout crin. Le pari se révèle gagnant, la nervosité du récit et le spectaculaire des impitoyables combats rendant le spectacle électrique à souhait. Michael Shanks se montre indéniablement convaincant derrière la caméra. La mort d’un Maître Goa’uld demeure toujours un grand moment, surtout quand il s’agit d’un individu aussi marquant que le charismatique et cruel Chronos. Son décès s’avère d’ailleurs bien plus scénarisé et haut en couleurs que celui d’Heru-ur cette saison. Mais les auteurs ne se limitent pas pour autant à cet aspect et optimisent pleinement la rencontre des deux SG-1. Retrouver des personnages appréciés apporte toujours une cohérence à un univers, c’est particulièrement le cas ici. Toutes les confrontations apparaissent savoureuses, celle entre les O’Neill se révélant la plus mémorable grâce à plusieurs irrésistibles prises de bec. De fait l’épisode devient vite un de ces stand-ups irrésistibles où excelle toujours Richard Dean Anderson.
On regrettera toutefois que la maléfique et blonde âme damnée de Cronos, un régal de sadisme, n’ait pas été davantage développée avant l’annihilation. Belinda Waymouth lui insuffle une vraie présence, tandis que la dame prend visiblement un malin plaisir à tourmenter Sam. Décidément les affrontements féminins s’avèrent sans pitié dans Stargate SG-1, ce qui ne surprendra pas l’amateur des Avengers ! On aurait aimé retrouver cette charmante personne ultérieurement, à l’instar d’un Tanith. On remarque que les auteurs parviennent à susciter l’émotion autour du destin héroïque de la seconde SG-1, dont la révélation constitue un twist percutant. Mais aussi qu’ils induisent un effet peut être involontaire. Cette mort finalement réaliste souligne que l’élément relevant le plus ici de la Science-fiction n’est finalement pas ici la Porte des Etoile Mais la persistante survie miraculeuse de tous les membres de SG-1 à l’issue de cette quatrième saison !
Carter indique que le matricule de la planète est P3X-279, alors que l'écran indique clairement P2X-279.
Michael Shanks passe derrière la caméra, une expérience qu’il ne renouvèlera pas ultérieurement. Daniel est de nouveau en mission outre monde et son androïde périt très tôt. .
On retrouve ici les répliques androïdes de SG-1, déjà découvertes dans Tin Man (1-19). Les maquilleurs font en sorte que les copies demeurent identiques au SG-1 de la première saison.
Jack s’exclame Better? It means...better! Better, stronger, faster!, ce qui est une référence à la voix off du générique de L’Homme qui valait trois milliards.
L’épisode voit le décès du puissant goa’uld Chronos, tué par la réplique de Teal’c. Celui-ci achève une vendetta personnelle propre aux deux versions, car Chronos avait fait exécuté le père du vrai Teal’c.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Exode (Exodus, 4-22, ****)
- It's a Jaffa revenge thing.
L’Ha’tak du défunt Chronos est prêté à la Tok’ra, afin qu’elle puisse évacuer sa base et sa Porte sur un monde plus sécurisé. Tanith est alors capturé, mais il prévient à s’enfuir et à prévenir Apophis. Celui-ci se rend sur place avec toute sa flotte, désireux d’écraser les rebelles. Sam et Jacob ont alors l’idée de jeter la Porte de la Tok’ra dans le soleil, après l’avoir ouverte sur un trou noir, ce qui provoquerait une super nova annihilant les vaisseaux du Serpent. Le plan fonctionne, malgré l’intervention d’un Al’kesh venu récupérer Tanith. Cependant Teal’c est capturé par Apophis, dont le vaisseau amiral parvient à échapper au piège. Les deux nefs se font alors face, alors que l’explosion les a précipité à des années lumières de la Voie lactée.
Exodus remplit à la perfection son cahier des charges de final de saison, à double titre. Il se situe en effet à la convergence de plusieurs axes narratifs (Tok’ra, Tanith, Apophis, trou noir, X-301…), par l’action qu’y s’y déroule mais aussi par les dialogues entre personnages. De fait le spectateur prend rapidement conscience d’être face à un tournant majeur de la série, avec quasiment tous les acteurs du drame répondant à l’appel (le second volet de l’arc complètera d’ailleurs le panorama). L’intensité dramatique atteint ainsi un paroxysme, débouchant sur un cliffhanger particulièrement prenant. L’intrigue se révèle également astucieuse, cet aspect récapitulatif ne ralentissant en rien le rythme des évènements, mais au contraire suscitant plusieurs percutants rebondissements.
L’opus enthousiasme également par le grand spectacle qu’il assure. La série achène ici de gagner ici ses galons de Space opéra à part entière, avec ses batailles spatiales dopées aux excellentes images de synthèse, ou la démesure même de son scénario : détruire un système solaire pour vaincre l’ennemi. Significativement, on retrouve certaines images évoquant la Guerre des Etoiles (et non plus seulement la Porte), comme l’Al’kesh attaquant le gigantesque Ha’tak de Chronos, tel un chasseur de l’Alliance, l’Etoile de la Mort, Sam planifiant les évènements sur un hologramme tout comme l’amiral des Rebelles ou la fuite à l’ultime instant par le passage en propulsion hyper spatiales, etc. Exodus parachève ainsi le mouvement de la série la conduisant à se développer au-delà du Planète opéra et des explorations via la Porte.
L’ensemble convainc, non seulement par le judicieux emploi d’un conséquent budget (superbes images de la Porte dérivant dans l’espace ou du cataclysme stellaire) mais aussi parce que Stargate SG-1 demeure fidèle à son ton si caractéristique. Pas de surenchère ici dans des postures ou dialogues ronflants, mais toujours un humour malicieux et distancié, le O’Neill de Richard Anderson nous confirmant que l’on continue à ne pas se prendre trop au sérieux. Le relationnel se voit également préservé et apporte toujours plusieurs scènes fortes, comme la complicité entre Sam et Jacob ou la mémorable confrontation entre Tanith et un Teal’c plus implacable que jamais. Christopher Judge se montre une nouvelle fois impressionnant sur ce registre. On apprécie également que le duo Mallozzi & Mullie, nouvellement arrivé, se voit confier ce final, tant il a apporté à la série. une conclusion idéale pour cette saison très relevée, ouvrant la suivante sur un suspense des plus haletants !
L’épisode voit apparaître le premier Al’kesh. Ce vaisseau goa’uld, également utilisé par les Jaffas rebelles, sert de bombardier et de transport de troupes. Son armement est capable d’endommager les tunnels de la Tok’ra. De dimension bien plus réduite qu’un vaisseau mère Ha’tak, il se destine au soutien des troupes opérant au sol. Il est équipé d’anneaux de téléportation, d’un système de camouflage et d’un propulseur stellaire.
Comme presque toujours au long de la série, les scènes de désert sont tournées dans les dunes de sable de la ville de Richmond, sur le littoral à proximité de Vancouver. Le film Mission to Mars et plusieurs épisodes de Battlestar Galactica y seront également réalisés. Outre ce panorama, les différents sites remarquables de la ville sont représentés dans la plupart de séries tournées en Colombie britannique (aéroport international du Grand Vancouver, campus, jardins…). La localité pittoresque de Steveston Village sert ainsi de décor à Once Upon a Time.
La saison 4 s’achève sans que Maître Bra’tac y soit jamais apparu, même si son action est évoquée à plusieurs reprises. Dommage !
- It's a Jaffa revenge thing.
L’Ha’tak du défunt Chronos est prêté à la Tok’ra, afin qu’elle puisse évacuer sa base et sa Porte sur un monde plus sécurisé. Tanith est alors capturé, mais il prévient à s’enfuir et à prévenir Apophis. Celui-ci se rend sur place avec toute sa flotte, désireux d’écraser les rebelles. Sam et Jacob ont alors l’idée de jeter la Porte de la Tok’ra dans le soleil, après l’avoir ouverte sur un trou noir, ce qui provoquerait une super nova annihilant les vaisseaux du Serpent. Le plan fonctionne, malgré l’intervention d’un Al’kesh venu récupérer Tanith. Cependant Teal’c est capturé par Apophis, dont le vaisseau amiral parvient à échapper au piège. Les deux nefs se font alors face, alors que l’explosion les a précipité à des années lumières de la Voie lactée.
Exodus remplit à la perfection son cahier des charges de final de saison, à double titre. Il se situe en effet à la convergence de plusieurs axes narratifs (Tok’ra, Tanith, Apophis, trou noir, X-301…), par l’action qu’y s’y déroule mais aussi par les dialogues entre personnages. De fait le spectateur prend rapidement conscience d’être face à un tournant majeur de la série, avec quasiment tous les acteurs du drame répondant à l’appel (le second volet de l’arc complètera d’ailleurs le panorama). L’intensité dramatique atteint ainsi un paroxysme, débouchant sur un cliffhanger particulièrement prenant. L’intrigue se révèle également astucieuse, cet aspect récapitulatif ne ralentissant en rien le rythme des évènements, mais au contraire suscitant plusieurs percutants rebondissements.
L’opus enthousiasme également par le grand spectacle qu’il assure. La série achène ici de gagner ici ses galons de Space opéra à part entière, avec ses batailles spatiales dopées aux excellentes images de synthèse, ou la démesure même de son scénario : détruire un système solaire pour vaincre l’ennemi. Significativement, on retrouve certaines images évoquant la Guerre des Etoiles (et non plus seulement la Porte), comme l’Al’kesh attaquant le gigantesque Ha’tak de Chronos, tel un chasseur de l’Alliance, l’Etoile de la Mort, Sam planifiant les évènements sur un hologramme tout comme l’amiral des Rebelles ou la fuite à l’ultime instant par le passage en propulsion hyper spatiales, etc. Exodus parachève ainsi le mouvement de la série la conduisant à se développer au-delà du Planète opéra et des explorations via la Porte.
L’ensemble convainc, non seulement par le judicieux emploi d’un conséquent budget (superbes images de la Porte dérivant dans l’espace ou du cataclysme stellaire) mais aussi parce que Stargate SG-1 demeure fidèle à son ton si caractéristique. Pas de surenchère ici dans des postures ou dialogues ronflants, mais toujours un humour malicieux et distancié, le O’Neill de Richard Anderson nous confirmant que l’on continue à ne pas se prendre trop au sérieux. Le relationnel se voit également préservé et apporte toujours plusieurs scènes fortes, comme la complicité entre Sam et Jacob ou la mémorable confrontation entre Tanith et un Teal’c plus implacable que jamais. Christopher Judge se montre une nouvelle fois impressionnant sur ce registre. On apprécie également que le duo Mallozzi & Mullie, nouvellement arrivé, se voit confier ce final, tant il a apporté à la série. une conclusion idéale pour cette saison très relevée, ouvrant la suivante sur un suspense des plus haletants !
L’épisode voit apparaître le premier Al’kesh. Ce vaisseau goa’uld, également utilisé par les Jaffas rebelles, sert de bombardier et de transport de troupes. Son armement est capable d’endommager les tunnels de la Tok’ra. De dimension bien plus réduite qu’un vaisseau mère Ha’tak, il se destine au soutien des troupes opérant au sol. Il est équipé d’anneaux de téléportation, d’un système de camouflage et d’un propulseur stellaire.
Comme presque toujours au long de la série, les scènes de désert sont tournées dans les dunes de sable de la ville de Richmond, sur le littoral à proximité de Vancouver. Le film Mission to Mars et plusieurs épisodes de Battlestar Galactica y seront également réalisés. Outre ce panorama, les différents sites remarquables de la ville sont représentés dans la plupart de séries tournées en Colombie britannique (aéroport international du Grand Vancouver, campus, jardins…). La localité pittoresque de Steveston Village sert ainsi de décor à Once Upon a Time.
La saison 4 s’achève sans que Maître Bra’tac y soit jamais apparu, même si son action est évoquée à plusieurs reprises. Dommage !
Fin de cette saison 4, une pause puis je conclue celle des Avengers
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Beaucoup aimé Space Milkshake, comédie sci-fi certes passablement délirante, mais néanmoins d’un scénario solide, fleurant bon le pastiche azimuté de grands classiques tels Alien ou le Dragon de Cosmos 1999. Le tout ripoliné à l’absurde, en provenance non seulement du monstre (un canard mutant, option Craignos Monsters comme on aime) , mais aussi et surtout de l’équipage. Une belle brochette d’allumé(e)s et de taré(e)s, avec des comédiens tous excellents dans la comédie et totalement en roue libre, visiblement le tournage n’a pas du être triste. Le surjeu est permanent mais volontaire et maîtrisé, toujours un régal. Amanda Tapping enlève l’affaire avec son personnage jouant habilement sur les conventions des personnages féminins des films d’horreur (Cf. Scream). Monologues et scènes de bain sont rigoureusement incontournables, le personnge de femme exaspérée est vraiment bon. Mais tous les autres sont excellents, y compris une Kristin Kreuk, bien loin de la Lana Lang amorphe et coincée de Smallville. En ce qui me concerne, c’est une totale redécouverte de l’actrice, jouer l’androïde de service n’’allait pas de soi. Billy Boyd et Dunne multiplie les gags vachards.
Les effets spéciaux et les décors (dans la ligné d’Atlantis) sont corrects, même s’il est évident qu’il ne s’agit pas d’une super production. Le côté old school des effets spéciaux contribue même à cet agréable effet daté du film, à l’évidence écrit par de bons Geeks des familles. Evidement le film présentera une indéniable valeur ajoutée pour les Gaters et les amateurs de Sanctuary (Sanctuarians ?) mais les amateurs de comédie débridée et astucieuse y trouveront aussi leur compte. La problématique n’est pas idiote, l’amas de satellites en rotation pose déjà un vrai problème de pollution de l’espace. Evidemment, coup de cœur pour George Takei, la voie de Gary. Space Milkshake parvient à la fois à demeurer un vrai film de SF tout en plongeant dans les eaux azurées de la comédie non-sense, une belle performance. On aurait bien envie de revoir cet équpge de branquignols face à d’autres périls dans une série télé, voir un sitcom à la Lost in Space,, les personnages en ont le potentiel. (****)
Les effets spéciaux et les décors (dans la ligné d’Atlantis) sont corrects, même s’il est évident qu’il ne s’agit pas d’une super production. Le côté old school des effets spéciaux contribue même à cet agréable effet daté du film, à l’évidence écrit par de bons Geeks des familles. Evidement le film présentera une indéniable valeur ajoutée pour les Gaters et les amateurs de Sanctuary (Sanctuarians ?) mais les amateurs de comédie débridée et astucieuse y trouveront aussi leur compte. La problématique n’est pas idiote, l’amas de satellites en rotation pose déjà un vrai problème de pollution de l’espace. Evidemment, coup de cœur pour George Takei, la voie de Gary. Space Milkshake parvient à la fois à demeurer un vrai film de SF tout en plongeant dans les eaux azurées de la comédie non-sense, une belle performance. On aurait bien envie de revoir cet équpge de branquignols face à d’autres périls dans une série télé, voir un sitcom à la Lost in Space,, les personnages en ont le potentiel. (****)
Moment préféré du film
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
C'est tout un art de maîtriser la parodie. Excellente vidéo, E44, je raffole de ce genre de scènes où un personnage démolit un autre personnage avec entrain (mon côté Moonlighting-Housien sans doute).
Sinon, S3 étant occupé, je me charge de dire que la saison 4 est en ligne !
http://theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1990/stargate-sg1-1997-2007/stargate-sg-1-saison-4
Curieux, pas de Top 5 pour la saison 4 et pour la saison 3.
Sinon, S3 étant occupé, je me charge de dire que la saison 4 est en ligne !
http://theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1990/stargate-sg1-1997-2007/stargate-sg-1-saison-4
Curieux, pas de Top 5 pour la saison 4 et pour la saison 3.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Bonne vanne sur les Hobbits, au passage
OK, si cela manque je les envoie à Steed.
OK, si cela manque je les envoie à Steed.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Dearesttara a écrit:
Sinon, S3 étant occupé, je me charge de dire que la saison 4 est en ligne !
http://theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1990/stargate-sg1-1997-2007/stargate-sg-1-saison-4
En effet, merci Dear et aucun bug cette fois, ouf!
Invité- Invité
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Top 5 saison 3
1) De l'autre côté du Miroir : Le thème particulièrement riche des univers miroirs se voit exploité à la perfection, avec cette percutante vision d'une Terre envahie par Apophis. Une trépidante action s'accompagne d'un romantique éclairage sur la relation unissant Jack et Carter. L'un des artefacts les plus fascinants de l'univers Stargate connaît ici un retour pleinement réussi.
2) Némésis : Les Réplicateurs accomplissent une fracassante entrée en lice, à l'occasion de ce récit d'aventures à la fois haletant et anxiogène. Ce tournant majeur démultiplie encore les possibilités d'un univers ne cessant de s'enrichir de saison en saison. Ce final de saison en fanfare bénéficie en outre de superbes effets spéciaux et de la complicité malicieuse existant entre O'Neill et Thor.
3) Méthodes d'apprentissage : Un thème aussi fin qu'original, pour une Science-fiction intelligente et pleinement mature. On apprécie que Stargate SG-1 ait plusieurs cordes à son arc et sache à l'occasion renoncer aux scènes d'action pour privilégier d'autres types de récits. De l'excellent Planet Opéra et un beau portait de Jack O'Neill, personnage allant bien au-delà que son apparente décontraction.
4) Les Flammes de l'Enfer : Un superbe double épisode scandant la mi saison, s'appuyant sur un décor hors normes et un budget aussi conséquent qu'utilisé avec goût. Sokar constitue un adversaire de choix, digne des Grands Maîtres les plus marquants. Le récit sait aussi varier ses effets, notamment via un détour étonnant mais convaincant dans le domaine des univers truqués.
5) Diplomatie : L'un des meilleurs exemples de la riche veine des épisodes diplomatiques de Stargate SG-1, un genre d'histoire permettant d'optimiser l'ampleur de l'univers édifié. L'intrigue du jour s'avère également astucieuse, tandis qu'elle met en avant trois Grands maîtres particulièrement savoureux. La cérémonie de montée en grade de Carter apporte un joli moment d'émotion.
Top 5 saison 4
1) L'histoire sans fin : Stargate SG-1 réussit haut la main le passge devenu olbligé pour les séries du genre qu'est le verrou temporel. Un humour de chaque instant, parfois irrésistiblement en roue libre, n'empêche pas une construction scénaristique pertinente et solide. Une exercice de style mené de main de maître et s'appuyant sur une grande prestation d'un Richard Dean Anderson particulièrement à son affaire.
2) 2010 : Le scénario s'avère particulièrement riche et surprenant, jouant avec finesse du déplacement temporel comme du relationnel entre protagonistes, tout en édifiant une dystopie particulièrement glaçante. Le remarquable décor de la Plaza des Nations de Vancouver apporte une étonnante véracité, ainsi qu'une indéniable élégance, à cet épisode plaisamment original.
3) Exode : Cette quatrième saison frappe un grand coup avec ce final au scénario irrésistiblement démesuré et ambitieux, retenant le meilleur de la longue tradition du Space Opéra. De magnifiques effets spéciaux et de grandes performances d'acteur supportent idéalement cet opus pivot, au terme duquel Stagte SG-1 achève d'aborder de nouveaux rivages Après l'intermède Anise, Jacob demeure bien le meilleur repésentant de la Tok'ra.
4) La Malédiction : Au sein d'une saison particulièrement riche en évolutions pour l'univers Stargate cet épisode représente une confirmation bienvenue des fondamentaux de la série. L'ambiance égyptienne est reconstituée avec un soin et un grand sens esthétique. Osiris s'avère un nouvel adversaire grand train pour SG-1, notamment grâce à l'étonnante présence de la sublime Anna-Louise Plowman.
5) Expérimentation hasardeuse : On trouve beaucoup d'humour espiègle dans ce pastiche des récits de super héros. Toutefois les auteurs veillent à ne pas trop verser dans la comédie, conservant au récit une vraie teneur d'aventure. L'univers Stargate confirme son inépuisable propension à générer d'ingénieux artefacts. Les acteurs prennent un plaisir manifeste à cette joyeuse escapade hors du SGC.
1) De l'autre côté du Miroir : Le thème particulièrement riche des univers miroirs se voit exploité à la perfection, avec cette percutante vision d'une Terre envahie par Apophis. Une trépidante action s'accompagne d'un romantique éclairage sur la relation unissant Jack et Carter. L'un des artefacts les plus fascinants de l'univers Stargate connaît ici un retour pleinement réussi.
2) Némésis : Les Réplicateurs accomplissent une fracassante entrée en lice, à l'occasion de ce récit d'aventures à la fois haletant et anxiogène. Ce tournant majeur démultiplie encore les possibilités d'un univers ne cessant de s'enrichir de saison en saison. Ce final de saison en fanfare bénéficie en outre de superbes effets spéciaux et de la complicité malicieuse existant entre O'Neill et Thor.
3) Méthodes d'apprentissage : Un thème aussi fin qu'original, pour une Science-fiction intelligente et pleinement mature. On apprécie que Stargate SG-1 ait plusieurs cordes à son arc et sache à l'occasion renoncer aux scènes d'action pour privilégier d'autres types de récits. De l'excellent Planet Opéra et un beau portait de Jack O'Neill, personnage allant bien au-delà que son apparente décontraction.
4) Les Flammes de l'Enfer : Un superbe double épisode scandant la mi saison, s'appuyant sur un décor hors normes et un budget aussi conséquent qu'utilisé avec goût. Sokar constitue un adversaire de choix, digne des Grands Maîtres les plus marquants. Le récit sait aussi varier ses effets, notamment via un détour étonnant mais convaincant dans le domaine des univers truqués.
5) Diplomatie : L'un des meilleurs exemples de la riche veine des épisodes diplomatiques de Stargate SG-1, un genre d'histoire permettant d'optimiser l'ampleur de l'univers édifié. L'intrigue du jour s'avère également astucieuse, tandis qu'elle met en avant trois Grands maîtres particulièrement savoureux. La cérémonie de montée en grade de Carter apporte un joli moment d'émotion.
Top 5 saison 4
1) L'histoire sans fin : Stargate SG-1 réussit haut la main le passge devenu olbligé pour les séries du genre qu'est le verrou temporel. Un humour de chaque instant, parfois irrésistiblement en roue libre, n'empêche pas une construction scénaristique pertinente et solide. Une exercice de style mené de main de maître et s'appuyant sur une grande prestation d'un Richard Dean Anderson particulièrement à son affaire.
2) 2010 : Le scénario s'avère particulièrement riche et surprenant, jouant avec finesse du déplacement temporel comme du relationnel entre protagonistes, tout en édifiant une dystopie particulièrement glaçante. Le remarquable décor de la Plaza des Nations de Vancouver apporte une étonnante véracité, ainsi qu'une indéniable élégance, à cet épisode plaisamment original.
3) Exode : Cette quatrième saison frappe un grand coup avec ce final au scénario irrésistiblement démesuré et ambitieux, retenant le meilleur de la longue tradition du Space Opéra. De magnifiques effets spéciaux et de grandes performances d'acteur supportent idéalement cet opus pivot, au terme duquel Stagte SG-1 achève d'aborder de nouveaux rivages Après l'intermède Anise, Jacob demeure bien le meilleur repésentant de la Tok'ra.
4) La Malédiction : Au sein d'une saison particulièrement riche en évolutions pour l'univers Stargate cet épisode représente une confirmation bienvenue des fondamentaux de la série. L'ambiance égyptienne est reconstituée avec un soin et un grand sens esthétique. Osiris s'avère un nouvel adversaire grand train pour SG-1, notamment grâce à l'étonnante présence de la sublime Anna-Louise Plowman.
5) Expérimentation hasardeuse : On trouve beaucoup d'humour espiègle dans ce pastiche des récits de super héros. Toutefois les auteurs veillent à ne pas trop verser dans la comédie, conservant au récit une vraie teneur d'aventure. L'univers Stargate confirme son inépuisable propension à générer d'ingénieux artefacts. Les acteurs prennent un plaisir manifeste à cette joyeuse escapade hors du SGC.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Nouveau trailer pour Unleashed
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
NEED!!
Si vous ne savez pas quoi m'offrir pour mon anniversaire, je veux bien une tablette pour pouvoir l'installer
Je ferai mon top 5 demain
Si vous ne savez pas quoi m'offrir pour mon anniversaire, je veux bien une tablette pour pouvoir l'installer
Je ferai mon top 5 demain
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
En cas de sucès sur tablette, il n'est pas exclu que cela sorte sur consoles classiques et sur PC. On croise les doigts...
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je croise les orteils aussi!
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Mon top 5 saison 3 :
1 - De l'autre côté du miroir, je pleure à chaque fois devant.
2 - Méthodes d'apprentissages, Jack est génial dans cet épisode [et on voit Carter qui bave en dormant, mémorable ]
3 - Némésis, vive les réplicateurs
4 - Un étrange compagnon, pour Urgo
5 - Seth, juste pour la fameuse blague de Teal'c qui est à mourir de rire
Mon top 5 saison 4 :
1 - L'histoire sans fin, cet épisode est absolument génial, super drôle et y'a le passage mémorable : Jack qui se jette presque sur Sam pour l'embrasser
2 - Diviser pour conquérir, l'épisode en tant que tel est moyen mais y'a la déclaration de Jack et ça c'est magique, je ne m'en lasse pas
3 - Point de non-retour, parce que j'adore Martin [beaucoup beaucoup!!]
4 - Expérimentation hasardeuse, pour SG-1 en mode justicier
5 - 2010, je ne suis pas trop fan de cet épisode [parce que Sam s'est mise avec un ****** d'abruti, je l'avoue ] mais l'histoire est touchante je trouve, et originale.
1 - De l'autre côté du miroir, je pleure à chaque fois devant.
2 - Méthodes d'apprentissages, Jack est génial dans cet épisode [et on voit Carter qui bave en dormant, mémorable ]
3 - Némésis, vive les réplicateurs
4 - Un étrange compagnon, pour Urgo
5 - Seth, juste pour la fameuse blague de Teal'c qui est à mourir de rire
Mon top 5 saison 4 :
1 - L'histoire sans fin, cet épisode est absolument génial, super drôle et y'a le passage mémorable : Jack qui se jette presque sur Sam pour l'embrasser
2 - Diviser pour conquérir, l'épisode en tant que tel est moyen mais y'a la déclaration de Jack et ça c'est magique, je ne m'en lasse pas
3 - Point de non-retour, parce que j'adore Martin [beaucoup beaucoup!!]
4 - Expérimentation hasardeuse, pour SG-1 en mode justicier
5 - 2010, je ne suis pas trop fan de cet épisode [parce que Sam s'est mise avec un ****** d'abruti, je l'avoue ] mais l'histoire est touchante je trouve, et originale.
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ah oui, c'est vrai, la fameuse vanne de Teal'c !
Dommage qu'elle ne se situe pas dans un épisode plus relevé, mais cela reste un grand moment !
A propos de 2010, pn n'a pas fini de souffrir avec le fade Ambassadeur, je crois me souvenir qu'il est de retour en 2001, en saison 5, et que Sam sympathise de nouveau avec lui...
Dommage qu'elle ne se situe pas dans un épisode plus relevé, mais cela reste un grand moment !
A propos de 2010, pn n'a pas fini de souffrir avec le fade Ambassadeur, je crois me souvenir qu'il est de retour en 2001, en saison 5, et que Sam sympathise de nouveau avec lui...
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
D'ailleurs, justement, quelqu'un pourrait-il m'expliquer en quoi consiste l'humour Jaffa ? J'ai beau tourner en tous sens cette "fameuse" blague, elle résiste à tous mes efforts de décryptage !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Rassure-toi, le reste de SG-1 n'a pas compris non plus, de même que le reste de l'univers connu à ce jour. Il faut avoir un symbiote vivant dans son ventre pour ça.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Si j'ai bien compris, c'est la vanne pas drôle la plus drôle de tous les univers connus et inconnus. Okkkkkk...
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Absolutement
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Du beau monde prévu à la convention 2013, à Chicago
http://www.gateworld.net/news/2013/03/win-tickets-to-the-creation-chicago-2013-stargate-convention/
http://www.gateworld.net/news/2013/03/win-tickets-to-the-creation-chicago-2013-stargate-convention/
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Le parcours du jeu
Ici
Ici
Jeu sympa, mais pourrait effectivement être plus beau et plus fluide sur un PC. Par contre c'est dommage qu'il ne soit que la première partie d'une plus vaste aventure, un vieux truc pour faire acheter la suite. Du coup, c'est un peu bref.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ouais ça c'est dommage
Bon, n'empêche, voir Sam se jeter sur Jack ça en jette
Bon, n'empêche, voir Sam se jeter sur Jack ça en jette
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Tiens, en parlant de Richard
OMG
OMG
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Echec à Naomi dans le dernier épisode de SPN diffusé. La fin de saison s'annonce agitée.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
MacGyver cartonne toujours !
http://www.toutelatele.com/macgyver-le-roi-de-la-bricole-fait-le-bonheur-de-d8-48072
http://www.toutelatele.com/macgyver-le-roi-de-la-bricole-fait-le-bonheur-de-d8-48072
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
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