Série "Stargate - SG1" (1)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
MacGyver cartonne toujours !
http://www.toutelatele.com/macgyver-le-roi-de-la-bricole-fait-le-bonheur-de-d8-48072
http://www.toutelatele.com/macgyver-le-roi-de-la-bricole-fait-le-bonheur-de-d8-48072
Estuaire44- Empereur
- Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Naomi se décide à passer à l'action directe, mais cela sent encore la bonne embrouille
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ce qu'aurait été l'intéressante suite d'Atlantis.
http://www.unificationfrance.com/?26331-Stargate-Atlantis-Ce-que-nous
http://www.unificationfrance.com/?26331-Stargate-Atlantis-Ce-que-nous
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Mauvaise nouvelle NRJ12 ne rediffusera pas SGA après SG1
http://www.toutelatele.com/deprogrammation-nrj12-annule-stargate-atlantis-avant-meme-sa-diffusion-48242
http://www.toutelatele.com/deprogrammation-nrj12-annule-stargate-atlantis-avant-meme-sa-diffusion-48242
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je vais boycotter NRJ12
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Deux figures de la série à Toulouse
http://www.unificationfrance.com/?26549-TGS-Ohanami-Des-acteurs-de
http://www.unificationfrance.com/?26549-TGS-Ohanami-Des-acteurs-de
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Encore des gâteaux Stargate
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Miam, a bon les desserts !
Estuaire44- Empereur
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Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
C'est sûr qu'entre les glaces de Teal'c et les Jell-O bleues de Sam, y'a de quoi faire
TorriGilly- Duc(hesse)
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Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Du côté de SPN, Naomi est de retour, toujours en chasse de Castiel, et elle n'est pas contente. Grand numéro d'Amanda, qui visiblement s'éclate bien en Big Bad de la saison. Cela fonctionne bien avec Mark Sheppard.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Que poseriez-vous comme question à un doubleur de la série, pas récurrent, deux épisodes ?
Invité- Invité
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Mmmmh... Bon, je sais je fais pas dans l'original mais :
- Est-ce qu'il en garde un bon souvenir?
- Est-ce qu'il aurait aimé rester plus longtemps?
- Est-ce que c'est un friand de SF?
...
- Est-ce qu'il en garde un bon souvenir?
- Est-ce qu'il aurait aimé rester plus longtemps?
- Est-ce que c'est un friand de SF?
...
Elle fait un peu goa'uld sur la finEstuaire44 a écrit:
TorriGilly- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 04/01/2010
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
SAISON 5 (2001-2002)
Initié en saison 4, le mouvement conduisant Stargate SG-1 à s’éloigner de la vision mythologique issue du film originel, pour se rapprocher d’un space-opera plus classique, va se poursuivre dans la présente. A cette fin, las connaissances concernant des Réplicateurs, d’essence purement technologique, vont s’approfondir, jusqu’à dévoiler le secret de leur origine. La saison 5 apparaît également comme celle de la maturité. Evitant une inutile surchauffe, L’univers Stargate ne développe plus de nouveaux axes majeurs, mais là aussi approfondit ceux existant déjà : coexistence avec le projet russe, développement d’alliances passées et d’arcs personnels (Cassandra).
Les membres de SG-1 développent des dialogues autour de thème davantage profonds. Le cap du centième épisode est franchi, un moment toujours pivot marquant l’entrée dans le club des séries au long cours (et ce n’est pas fini). L’avènement se voit d’ailleurs fêté comme ils e doit, avec le mémorable Wormhole X-treme, opus éminemment décalé et volontiers autocritique, manifestant que l’humour et l’inventivité demeurent malgré tout au cœur de la toujours si distrayante Stargate SG-1. Désormais davantage contrebalancé par d’autres sources d’inspiration, le versant mythologique n’en disparaît pas pour autant. Il s’entremêle finement aux autres sujets, qu’il continue à irriguer. La montée au pouvoir d’Anubis constitue ainsi un arrière fond porteur pour l’ensemble de la saison. Désormais confrontée à des fronts plus nombreux et variés, SG-1 ne va certes pas connaître une période de repos, mais au contraire de tension.
Cette même tension se retrouve également derrière les caméras. Sous l’effet d’une lassitude face au manque d’évolution de son personnage, mais aussi sans doute face à l’évolution générale de la série, poussant mécaniquement à minorer l’importance de l’égyptologue Daniel Jackson, Michael Shanks annonce son départ. Le coup de tonnerre ébranle non seulement la production, mais aussi les fans, très attachés à l’atmosphère très soudée des tournages (Stargate SG-1 est une grande famille). La porte laissée ouverte à des apparitions ponctuelles la saison suivante, via l’astuce de l’Ascension, n’atténue que modérément le choc.
L’approche de la fin de saison coïncida également avec un questionnement autour du devenir de Stargate SG-1. Showtime parvient au terme de l’accord initial et, malgré le succès enregistré (y compris en syndication), il se fait progressivement jour que ce diffuseur ne souhaite pas poursuivre l’expérience. Les raisons relèvent à la fois de la programmation de Showtime, moins grand public, et l’ardoise présentée par la MGM, jugée excessive. Les fans traumatisés, voyant le navire Stargate prendre l’eau de toutes parts, lancent plusieurs campagnes sur le Net, sur les deux fronts. Apophis allait-il connaître une revanche posthume ? Fort heureusement un accord fut trouvé entre la MGM et le nouveau diffuseur Sci-Fi (Syfy aujourd’hui), Après avoir franchi le difficile virage de la maturité, Stargate SG-1 allait ^pouvoir poursuivre son parcours.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ennemis jurés (Enemies, 5-01, ****)
- I'm enjoying their style. Shoot first, send flowers later. It works
La confrontation entre SG-1 et Apohis est interrompue par l’arrivée d’un vaisseau des Réplicateurs. SG-1 parvient à prendre du champ, mais découvre à son retour que les Jaffas du Serpent ont été massacrés par les Réplicateurs. Un message de Teal’c arrive : il a survécu et demande de l’aide. Il a en fait été conditionné par Apophis et sert de cheval de Troie à Apophis qui s’empare du Ha’tak de nos héros. Mais des Réplicateurs se sont infiltrés à bord du mini vaisseau d’Apophis. Un combat aux multiples péripéties débute alors entre les trois parties, au terme duquel SG-1 parvient à s’échapper à bord du cargo embarqué, avec un Teal’c toujours sous influence. Les Réplicateurs et Apophis s’écrasent sur la capitale de ce dernier : le Serpent est mort.
Grâce à cet épisode des plus prenants, la nouvelle saison débute par un indéniable coup d’éclat. On se situe désormais de plein pied dans le Space-opera le plus flamboyant. Tout le catalogue en est exploité : batailles spatiales, armes lasers, planètes gazeuses, robots invasifs, final explosif, etc. Mais la vivacité extrême de la narration apporte un souffle créatif à ce qui demeure loin de se limiter à un simple empilement de figures obligées. Péripéties et twists ne cessent en effet de s’enchainer, jusqu’au bout du suspense. Les toujours inventifs auteurs exploitent en effet pleinement les options offertes par un combat à trois, démultipliant les combinaisons envisageables lors d’un choc frontal. Martin Wood se montre toujours aussi à l’aise dans l’action et l’exploitation de superbes décors. Les effets spéciaux tiennent parfaitement la route et souffrent relativement peu de l’usure du temps, comme souvent en ce qui concerne les batailles spatiales de l’univers Stargate ou les terrifiantes vagues de Réplicateurs. Malgré ses rebonds incessants le scénario demeure tout à fait solide et cohérent, un joli exploit. Tout juste regrettera-t-on que le champ de force d’Apophis, destiné aux armes énergétiques soit capable d’arrêter aussi les Réplicateurs, mais il a peut être été amélioré entre temps.
Les auteurs se montrent également suffisamment fins pour ne pas limiter leur histoire aux seuls affrontements et retournements de situations, aussi percutants et prenants soient-ils. La psychologie des personnages n’est ainsi pas négligée, tant s’en faut. Si Sam et Daniel apparaissent relativement en retrait, on savoure tout au long du récit les savoureuses prises du bec entre Jack et Jacob, parfois plus raisin que figue. Le spectacle s’avère d’autant plus gouteux que , pour une fois, O’Neill tombe sur un remarquable adversaire en matière de bagout et de mauvaise foi, capable de lui rabaisser son caquet de temps à autres. Inutile de préciser. que Sam se régale également. Richard Dean Anderson et Carmen Argenziano s’entendent comme larrons en foire durant ce fil rouge permettant idéalement au spectateur de reprendre son souffle afin de profiter pleinement du rebondissement suivant, sans saturer. L’intrigue permet également d’entrevoir ce qu’à pu être Teal’c par le passé, ce qui s’avère assez effrayant. Surtout Enemies accordent une judicieuse épitaphe à un Apophis se révélant toujours aussi enivré de sa force cruelle, incapable d’apprendre de ses erreurs et par conséquent condamné.
L'emplacement du trou dans le vêtement de Teal'c n'est pas celui de l'impact observé dans l'épisode précédent.
L'épisode introduit de nouveaux modèles de Réplicateurs, plus variés que les arachnides originels. On découvre également pour la première fois un vaisseau spatial des Réplicateurs, le premier d'une succession de différents modèles.
Enemies voit la mort, cette fois-ci définitive, d'Apophis, le premier grand adversaire de SG-1, présent depuis le début de la série. Le Serpent réapparaîtra néanmoins, grâce à des flashbacks, des hallucinations ou encore des trames temporelles alternatives. Comme l’avzit prédit la Tok’ra, l'absence d'un pouvoir dominant va entraîner une longue période de chaos chez les Seigneurs du Système goa'uld, jusqu'à la progressive émergence du jovial Anubis.
- I'm enjoying their style. Shoot first, send flowers later. It works
La confrontation entre SG-1 et Apohis est interrompue par l’arrivée d’un vaisseau des Réplicateurs. SG-1 parvient à prendre du champ, mais découvre à son retour que les Jaffas du Serpent ont été massacrés par les Réplicateurs. Un message de Teal’c arrive : il a survécu et demande de l’aide. Il a en fait été conditionné par Apophis et sert de cheval de Troie à Apophis qui s’empare du Ha’tak de nos héros. Mais des Réplicateurs se sont infiltrés à bord du mini vaisseau d’Apophis. Un combat aux multiples péripéties débute alors entre les trois parties, au terme duquel SG-1 parvient à s’échapper à bord du cargo embarqué, avec un Teal’c toujours sous influence. Les Réplicateurs et Apophis s’écrasent sur la capitale de ce dernier : le Serpent est mort.
Grâce à cet épisode des plus prenants, la nouvelle saison débute par un indéniable coup d’éclat. On se situe désormais de plein pied dans le Space-opera le plus flamboyant. Tout le catalogue en est exploité : batailles spatiales, armes lasers, planètes gazeuses, robots invasifs, final explosif, etc. Mais la vivacité extrême de la narration apporte un souffle créatif à ce qui demeure loin de se limiter à un simple empilement de figures obligées. Péripéties et twists ne cessent en effet de s’enchainer, jusqu’au bout du suspense. Les toujours inventifs auteurs exploitent en effet pleinement les options offertes par un combat à trois, démultipliant les combinaisons envisageables lors d’un choc frontal. Martin Wood se montre toujours aussi à l’aise dans l’action et l’exploitation de superbes décors. Les effets spéciaux tiennent parfaitement la route et souffrent relativement peu de l’usure du temps, comme souvent en ce qui concerne les batailles spatiales de l’univers Stargate ou les terrifiantes vagues de Réplicateurs. Malgré ses rebonds incessants le scénario demeure tout à fait solide et cohérent, un joli exploit. Tout juste regrettera-t-on que le champ de force d’Apophis, destiné aux armes énergétiques soit capable d’arrêter aussi les Réplicateurs, mais il a peut être été amélioré entre temps.
Les auteurs se montrent également suffisamment fins pour ne pas limiter leur histoire aux seuls affrontements et retournements de situations, aussi percutants et prenants soient-ils. La psychologie des personnages n’est ainsi pas négligée, tant s’en faut. Si Sam et Daniel apparaissent relativement en retrait, on savoure tout au long du récit les savoureuses prises du bec entre Jack et Jacob, parfois plus raisin que figue. Le spectacle s’avère d’autant plus gouteux que , pour une fois, O’Neill tombe sur un remarquable adversaire en matière de bagout et de mauvaise foi, capable de lui rabaisser son caquet de temps à autres. Inutile de préciser. que Sam se régale également. Richard Dean Anderson et Carmen Argenziano s’entendent comme larrons en foire durant ce fil rouge permettant idéalement au spectateur de reprendre son souffle afin de profiter pleinement du rebondissement suivant, sans saturer. L’intrigue permet également d’entrevoir ce qu’à pu être Teal’c par le passé, ce qui s’avère assez effrayant. Surtout Enemies accordent une judicieuse épitaphe à un Apophis se révélant toujours aussi enivré de sa force cruelle, incapable d’apprendre de ses erreurs et par conséquent condamné.
L'emplacement du trou dans le vêtement de Teal'c n'est pas celui de l'impact observé dans l'épisode précédent.
L'épisode introduit de nouveaux modèles de Réplicateurs, plus variés que les arachnides originels. On découvre également pour la première fois un vaisseau spatial des Réplicateurs, le premier d'une succession de différents modèles.
Enemies voit la mort, cette fois-ci définitive, d'Apophis, le premier grand adversaire de SG-1, présent depuis le début de la série. Le Serpent réapparaîtra néanmoins, grâce à des flashbacks, des hallucinations ou encore des trames temporelles alternatives. Comme l’avzit prédit la Tok’ra, l'absence d'un pouvoir dominant va entraîner une longue période de chaos chez les Seigneurs du Système goa'uld, jusqu'à la progressive émergence du jovial Anubis.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Le Seuil (Threshold, 5-02, ***)
- Apophis? You mean that scum-sucking, overdressed, boom box-voiced, snake in the head, latest on our long list of dead bad guys ?
Afin de permettre à Teal’c d’échapper à l’emprise post mortem d’Apophis, Maître Bra’tac le prive de son symbiote. En effet, malgré l’opposition de Janet, il entreprend un rituel jaffa consistant à emmener Te’alc au seuil de sa mort, afin qu’il revive sa vie en pensée. Durant ce voyage immobile, les membres de SG-1 se succèdent auprès de leur ami, qui se remémore en songe les grandes étapes de sa progressive opposition au Faux Dieu, jusqu’à la libération.
Le premier intérêt de l’épisode consiste à nous permettre d’enfin retrouver l’irremplaçable Bra’tac. Tony Amendola se montre toujours savoureux et le récit permt de mettre en valeur le double visage du vieux maître, entre pittoresque viril et sagesse de la voie du guerrier. Après les préambules, on craint un instant que Threshold ne tourne au clip show, tant le sujet s’y prête. Fort heureusement, Brad Wright opte plutôt pour nous faire découvrir le chainon manquant du parcours de Teal’c, préalable à la rencontre fatidique de Children of the Gods. Sans révélation majeure (on percevait plus ou moins clairement que l’évolution du Jaffa s’effectuerait de la sorte), les diverses scénettes présentées apparaissent révélatrices et le plus souvent dignes d’intérêt. La révélation de la non divinité du Serpent s’effectue avec une grande justesse de ton. Il était peut-être trop tôt pour que le « retour » d’Apophis suscite un effet, mais l’essentiel ne réside pas là. Stargate SG-1 qui n’a jamais été une série militariste, n’hésite pas à monter le hideux visage de la guerre et de l’endoctrinement.
La narration se montre riche concernant Teal’c et son rapport avec Bra’tac, qui n’est pas sans évoquer la relation entre Skywalker et Yoda. On apprécie que l’auteur ne craigne pas de parfois représenter t’ancien Teal’c sous un jour particulièrement sombre, ce qui évite d’édulcprer le récit. L’épisode ne deveint, brièvement, un clip show que lorsque l’on retrouve les évènements clef du pilote, mais cela s’insère parfaitement dans le déroulement de l’histoire. A contrario les diverses interventions des membres de SG-1 paraissent assez soulignées et superfétatoires, il aurait sans doute mieux valu se center quasi exclusivement sur le passé du Jaffa. De même, le suspense médicalisé final résulte prévisible et éminemment classique, mais cela permet de mettre en avant Janet, ce qui représente toujours une bonne idée, et n’entrave l’émotion vraie des retrouvailles finales. Un prolongement astucieux au pilote de saison, porté par un excellent Christopher Judge et rendant un bel hommage à ce personnage bien moins marmoréen qu’il n’y paraît que sera toujours le puissant Te’alc.
Quand la larve est retirée du corps de Teal'c, elle est similaire à un Goa'uld adulte. On la revoit ultérieurement dans un aquarium, cette fois avec ses traits habituels.
Bra'tac a 137 ans et son symbiote va arriver à maturité dans deux années. Une nouvelle larve ne pourra pas être implantée, car elle rejettera un hôte trop vieux. C'est ainsi que périssent les vieux Jaffas. En fait son symbiote sera tué auparavant, tout comme celui de Teal'c Le problème de la maturation des symbiotes et de leur nécessaire remplacement chez les Jaffas sera heureusement résolu grâce à l'introduction de la trétonine.
On n’avait plus vu Maître Bra’tac depuis Maternal Instinct (3.20), dont la diffusion remonte alors à près d’un an et demi. Un clin d’œil à cette longue absence est réalisé lors des salutations entre lui et Teal’c.
Le clip show au tour de l'histoire de Teal'c comprend des extraits des épisodes suivants : Family, Singularity, Bane, Holiday, Crossroads, 1969, Children of the Gods, Bloodlines, The Gamekeeper et The Serpent's Lair.
Pater Deluise, friand de l'exercice, réalise ici un subtil caméo. Durant la discussion entre Hammond et O'Neill dans la salle de surveillance de Teal'c, la réflexion des bougies sur la vitre fait apparaître les lettres P et D, soient les initiales du réalisateur.
La série suit l'évolution technique : les ordinateurs du SGC sont désormais munis d'écrans plats.
- Apophis? You mean that scum-sucking, overdressed, boom box-voiced, snake in the head, latest on our long list of dead bad guys ?
Afin de permettre à Teal’c d’échapper à l’emprise post mortem d’Apophis, Maître Bra’tac le prive de son symbiote. En effet, malgré l’opposition de Janet, il entreprend un rituel jaffa consistant à emmener Te’alc au seuil de sa mort, afin qu’il revive sa vie en pensée. Durant ce voyage immobile, les membres de SG-1 se succèdent auprès de leur ami, qui se remémore en songe les grandes étapes de sa progressive opposition au Faux Dieu, jusqu’à la libération.
Le premier intérêt de l’épisode consiste à nous permettre d’enfin retrouver l’irremplaçable Bra’tac. Tony Amendola se montre toujours savoureux et le récit permt de mettre en valeur le double visage du vieux maître, entre pittoresque viril et sagesse de la voie du guerrier. Après les préambules, on craint un instant que Threshold ne tourne au clip show, tant le sujet s’y prête. Fort heureusement, Brad Wright opte plutôt pour nous faire découvrir le chainon manquant du parcours de Teal’c, préalable à la rencontre fatidique de Children of the Gods. Sans révélation majeure (on percevait plus ou moins clairement que l’évolution du Jaffa s’effectuerait de la sorte), les diverses scénettes présentées apparaissent révélatrices et le plus souvent dignes d’intérêt. La révélation de la non divinité du Serpent s’effectue avec une grande justesse de ton. Il était peut-être trop tôt pour que le « retour » d’Apophis suscite un effet, mais l’essentiel ne réside pas là. Stargate SG-1 qui n’a jamais été une série militariste, n’hésite pas à monter le hideux visage de la guerre et de l’endoctrinement.
La narration se montre riche concernant Teal’c et son rapport avec Bra’tac, qui n’est pas sans évoquer la relation entre Skywalker et Yoda. On apprécie que l’auteur ne craigne pas de parfois représenter t’ancien Teal’c sous un jour particulièrement sombre, ce qui évite d’édulcprer le récit. L’épisode ne deveint, brièvement, un clip show que lorsque l’on retrouve les évènements clef du pilote, mais cela s’insère parfaitement dans le déroulement de l’histoire. A contrario les diverses interventions des membres de SG-1 paraissent assez soulignées et superfétatoires, il aurait sans doute mieux valu se center quasi exclusivement sur le passé du Jaffa. De même, le suspense médicalisé final résulte prévisible et éminemment classique, mais cela permet de mettre en avant Janet, ce qui représente toujours une bonne idée, et n’entrave l’émotion vraie des retrouvailles finales. Un prolongement astucieux au pilote de saison, porté par un excellent Christopher Judge et rendant un bel hommage à ce personnage bien moins marmoréen qu’il n’y paraît que sera toujours le puissant Te’alc.
Quand la larve est retirée du corps de Teal'c, elle est similaire à un Goa'uld adulte. On la revoit ultérieurement dans un aquarium, cette fois avec ses traits habituels.
Bra'tac a 137 ans et son symbiote va arriver à maturité dans deux années. Une nouvelle larve ne pourra pas être implantée, car elle rejettera un hôte trop vieux. C'est ainsi que périssent les vieux Jaffas. En fait son symbiote sera tué auparavant, tout comme celui de Teal'c Le problème de la maturation des symbiotes et de leur nécessaire remplacement chez les Jaffas sera heureusement résolu grâce à l'introduction de la trétonine.
On n’avait plus vu Maître Bra’tac depuis Maternal Instinct (3.20), dont la diffusion remonte alors à près d’un an et demi. Un clin d’œil à cette longue absence est réalisé lors des salutations entre lui et Teal’c.
Le clip show au tour de l'histoire de Teal'c comprend des extraits des épisodes suivants : Family, Singularity, Bane, Holiday, Crossroads, 1969, Children of the Gods, Bloodlines, The Gamekeeper et The Serpent's Lair.
Pater Deluise, friand de l'exercice, réalise ici un subtil caméo. Durant la discussion entre Hammond et O'Neill dans la salle de surveillance de Teal'c, la réflexion des bougies sur la vitre fait apparaître les lettres P et D, soient les initiales du réalisateur.
La série suit l'évolution technique : les ordinateurs du SGC sont désormais munis d'écrans plats.
Dernière édition par Estuaire44 le Mer 8 Mai 2013 - 23:27, édité 1 fois
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ascension (Ascension, 5-03, **)
- You've never seen Star Wars?
- Well, you know, me and sci-fi.
Alors qu’elle inspecte un artefact découvert sur une planète déserte, Sam est contactée par une entité extra-terrestre, ce qui lui fait perdre conscience. De retour sur Terre, l’être se présente à elle comme étant Orlin, un Ancien ayan réalisé l’Ascension. Les autres membres du SGC ne croient pas Sam, car elle est la seule à le voir. Sam et Orlin sympathisent, ce dernier avouant être tombé immédiatement amoureux de notre héroïne. Il lui explique qu’il a été banni pour avoir offert l’artefact aux habitants de la planète, en fait une arme destinée à les protéger des Goa’ulds. Mais ils sont devenus des conquérants, ce qui a obligé les Anciens à les anéantir. Orlin est découvert par Simmons mais lui et Sam parviennent à se rendre sur le monde détruit pour empêcher qu’un test catastrophique de l’arme ne se déroule. Pardonné par les siens, Orlin doit repartir.
L’épisode se bâtit sur de louables intentions. Il permet effectivement d’engranger de précieuses informations concernant les Anciens (désormais identifiés comme les bâtisseurs des Portes), l’Ascension et les règles l’accompagnant, ce qui sera ultérieurement mis à profit avec Daniel. Dans la ligné de l’opus précédent pour Teal’c, on perçoit bien que les auteurs désirent approfondir le la vie personnelle de Sam et montrer la brillante astrophysicienne côté jardin. La découverte de sa maison, idéalement à son image (et aux nombreuses photographies de jeunesse aux côté de Jacob), s’avère fort plaisante, de même que l’opportunité de découvrir une aventure pleinement centrée sur elle. Les auteurs réussissent quelques jolis coups, comme le twist de la Porte des Etoiles bricolée au sous-sol, un clin d’œil aux légendes de l’informatique, ou l’aspect vaudeville humoristique lors de la vite de Jack et Teal’c. .
Malheureusement plusieurs contre-sens viennent entacher l’épisode, jusqu’à altérer sa réussite. L’incrédulité massive à laquelle fait face Sam s’avère ainsi dépourvue de crédibilité après toutes les aventures et rencontres vécues par SG-1. Il reste invraisemblable que personne n’envisage qu’elle puisse avoir raison. L’évènement majeur que constitue une telle rencontre avec un Ancien aurait mérité un traitement plus travaillé qu’un énième Alien suivant SG-1 à travers la Porte, l’un des clichés de la Série. Surtout avec ses airs d’amoureux transi mâtiné de Forrest Gump, Orlin l’Ancien ne produit pas une grande impression. Quel contraste entre sa personnalité effacée et bonasse avec celle d’Oma Desala. Celle-ci également bénéficié d’un épisode mystique autrement plus porteur et maîtrisé, tandis qu’ici le récit s’éparpille entre bluette, comédie et conspirationnisme, lesté d’une fin trop brusque. Ascension apparaît comme une occasion partiellement manquée, malgré une excellente interprétation et de jolies vues de la superbe banlieue aisée de Vancouver.
A l'occasion de l'anniversaire de Sam, Orlin offre à celle-ci une émeraude comme pierre de naissance. Cela confirme la date de naissance de notre héroïne telle que révélée dans Entity, le 17/10/1965, car l'émeraude est la pierre d'age de 35 à 40 ans (Sam a 35 ans à la date de diffusion de l'épisode, le 13/07/2001). Le système des pierres de naissance a été édicté par la guilde des joailliers américains, en 1912. Il permet d'indiquer l'age, le mois de naissance, mais aussi le signe du Zodiaque. Si on conserve la date du 17/10/65, la pierre de mois de Sam est l'opale et celle du Zodiaque est la chrysolite (la Balance).
Jack indique n'avoir jamais vu Star Wars, il avait néanmoins indiqué Luke Skywalker comme identité d'emprunt dans 1969.
Orlin sera de retour lors du double épisode de la saison 9, The Fourth Horseman. Sous l'apparence d'un jeune garçon, il s'alliera à SG-1 lors de la lutte contre les Oris.
Apparition du colonel Frank Simmons, qui s'opposera à SG-1 dans cinq épisodes des saisons 5 et 6. Officiellement rattaché au NID, il s'alliera en fait aux Goa'ulds, notamment à Nirrti. Devenu l’hôte de l'un d'entre eux, il sera tué par Jack lors des événements de Prometheus (6-11)
Simmons est interprété par l'excellent John de Lancie, figure régulière des séries américaines, notamment fantastiques et de science-fiction. Il est ainsi très connu des Trekkies pour son rôle de l'omnipotent Q dans Star Trek The Next Generation, Star Trek Deep Space Nine et Star Trek Voyager. Il apparaît également à plusieurs reprises dans Charmed, dans le rôle d'Odin, l'un des principaux Fondateurs. De Lancie fut le partenaire de Richard Dean Anderson sur la série Legend, mêlant Science-fiction et Western (1995).
D'une manière assez similaire à celle décrite dans l’épisode, le major John Sheppard développera aussi une relation avec une Ancienne exilée sur une planète pour avoir voulu aider les Humains (Sanctuary, Stargate Atlantis, 1-13).
La maison de Samantha Carter est en fait une résidence privée, située sur Grand Boulevard, dans le nord de Vancouver.
Le parc où Sam se promène avec Orlin est Boulevard Park, situé dans les environs, également sur Grand Boulevard. Ancien chemin de trolleys, le site a été ornementé d'arbres représentant l'ensemble des variétés de la Colombie britannique.
On remarque que Carter conduit une somptueuse Volvo P1800 grise, soit la même voiture que le célèbre Simon Templar, alias le Saint.
- You've never seen Star Wars?
- Well, you know, me and sci-fi.
Alors qu’elle inspecte un artefact découvert sur une planète déserte, Sam est contactée par une entité extra-terrestre, ce qui lui fait perdre conscience. De retour sur Terre, l’être se présente à elle comme étant Orlin, un Ancien ayan réalisé l’Ascension. Les autres membres du SGC ne croient pas Sam, car elle est la seule à le voir. Sam et Orlin sympathisent, ce dernier avouant être tombé immédiatement amoureux de notre héroïne. Il lui explique qu’il a été banni pour avoir offert l’artefact aux habitants de la planète, en fait une arme destinée à les protéger des Goa’ulds. Mais ils sont devenus des conquérants, ce qui a obligé les Anciens à les anéantir. Orlin est découvert par Simmons mais lui et Sam parviennent à se rendre sur le monde détruit pour empêcher qu’un test catastrophique de l’arme ne se déroule. Pardonné par les siens, Orlin doit repartir.
L’épisode se bâtit sur de louables intentions. Il permet effectivement d’engranger de précieuses informations concernant les Anciens (désormais identifiés comme les bâtisseurs des Portes), l’Ascension et les règles l’accompagnant, ce qui sera ultérieurement mis à profit avec Daniel. Dans la ligné de l’opus précédent pour Teal’c, on perçoit bien que les auteurs désirent approfondir le la vie personnelle de Sam et montrer la brillante astrophysicienne côté jardin. La découverte de sa maison, idéalement à son image (et aux nombreuses photographies de jeunesse aux côté de Jacob), s’avère fort plaisante, de même que l’opportunité de découvrir une aventure pleinement centrée sur elle. Les auteurs réussissent quelques jolis coups, comme le twist de la Porte des Etoiles bricolée au sous-sol, un clin d’œil aux légendes de l’informatique, ou l’aspect vaudeville humoristique lors de la vite de Jack et Teal’c. .
Malheureusement plusieurs contre-sens viennent entacher l’épisode, jusqu’à altérer sa réussite. L’incrédulité massive à laquelle fait face Sam s’avère ainsi dépourvue de crédibilité après toutes les aventures et rencontres vécues par SG-1. Il reste invraisemblable que personne n’envisage qu’elle puisse avoir raison. L’évènement majeur que constitue une telle rencontre avec un Ancien aurait mérité un traitement plus travaillé qu’un énième Alien suivant SG-1 à travers la Porte, l’un des clichés de la Série. Surtout avec ses airs d’amoureux transi mâtiné de Forrest Gump, Orlin l’Ancien ne produit pas une grande impression. Quel contraste entre sa personnalité effacée et bonasse avec celle d’Oma Desala. Celle-ci également bénéficié d’un épisode mystique autrement plus porteur et maîtrisé, tandis qu’ici le récit s’éparpille entre bluette, comédie et conspirationnisme, lesté d’une fin trop brusque. Ascension apparaît comme une occasion partiellement manquée, malgré une excellente interprétation et de jolies vues de la superbe banlieue aisée de Vancouver.
A l'occasion de l'anniversaire de Sam, Orlin offre à celle-ci une émeraude comme pierre de naissance. Cela confirme la date de naissance de notre héroïne telle que révélée dans Entity, le 17/10/1965, car l'émeraude est la pierre d'age de 35 à 40 ans (Sam a 35 ans à la date de diffusion de l'épisode, le 13/07/2001). Le système des pierres de naissance a été édicté par la guilde des joailliers américains, en 1912. Il permet d'indiquer l'age, le mois de naissance, mais aussi le signe du Zodiaque. Si on conserve la date du 17/10/65, la pierre de mois de Sam est l'opale et celle du Zodiaque est la chrysolite (la Balance).
Jack indique n'avoir jamais vu Star Wars, il avait néanmoins indiqué Luke Skywalker comme identité d'emprunt dans 1969.
Orlin sera de retour lors du double épisode de la saison 9, The Fourth Horseman. Sous l'apparence d'un jeune garçon, il s'alliera à SG-1 lors de la lutte contre les Oris.
Apparition du colonel Frank Simmons, qui s'opposera à SG-1 dans cinq épisodes des saisons 5 et 6. Officiellement rattaché au NID, il s'alliera en fait aux Goa'ulds, notamment à Nirrti. Devenu l’hôte de l'un d'entre eux, il sera tué par Jack lors des événements de Prometheus (6-11)
Simmons est interprété par l'excellent John de Lancie, figure régulière des séries américaines, notamment fantastiques et de science-fiction. Il est ainsi très connu des Trekkies pour son rôle de l'omnipotent Q dans Star Trek The Next Generation, Star Trek Deep Space Nine et Star Trek Voyager. Il apparaît également à plusieurs reprises dans Charmed, dans le rôle d'Odin, l'un des principaux Fondateurs. De Lancie fut le partenaire de Richard Dean Anderson sur la série Legend, mêlant Science-fiction et Western (1995).
D'une manière assez similaire à celle décrite dans l’épisode, le major John Sheppard développera aussi une relation avec une Ancienne exilée sur une planète pour avoir voulu aider les Humains (Sanctuary, Stargate Atlantis, 1-13).
La maison de Samantha Carter est en fait une résidence privée, située sur Grand Boulevard, dans le nord de Vancouver.
Le parc où Sam se promène avec Orlin est Boulevard Park, situé dans les environs, également sur Grand Boulevard. Ancien chemin de trolleys, le site a été ornementé d'arbres représentant l'ensemble des variétés de la Colombie britannique.
On remarque que Carter conduit une somptueuse Volvo P1800 grise, soit la même voiture que le célèbre Simon Templar, alias le Saint.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
La mini porte a été reproduite et est exposée lors des conventions Chevron à Londres
[mode hystérique on]
Torri Higginson m'a accepté comme amie sur Facebook lundi. First AAAAAAAAAAAAAH
Et là elle vient de me souhaiter un bon anniversaire. 2nd AAAAAAAAAAAAAAAH : I think you may need a bigger nose to go with those glasses. (en rapport avec ma photo de profil où je pose avec elle) I hope you have a great birthday!
[mode hystérique off]
Sinon, y'a Amanda qui revient sur ses fausses couches. Je trouve ça bien qu'elle en parle, c'est généralement tabou...
http://www.wevancouver.com/news/206606891.html
[mode hystérique on]
Torri Higginson m'a accepté comme amie sur Facebook lundi. First AAAAAAAAAAAAAH
Et là elle vient de me souhaiter un bon anniversaire. 2nd AAAAAAAAAAAAAAAH : I think you may need a bigger nose to go with those glasses. (en rapport avec ma photo de profil où je pose avec elle) I hope you have a great birthday!
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Sinon, y'a Amanda qui revient sur ses fausses couches. Je trouve ça bien qu'elle en parle, c'est généralement tabou...
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Dernière édition par TorriGilly le Jeu 9 Mai 2013 - 11:34, édité 1 fois
TorriGilly- Duc(hesse)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Merci pour l'info sur la mini Porte, je la rajoute aux IS.
Superbe cadeau d'anniversaire de la part de Torri Higginson !
La mini Porte bricolée tel MacGyver par Orlin a été reproduite et est régulièrement exposée durant les conventions Chevron, à Londres (merci à Torrigilly pour l’information).
Superbe cadeau d'anniversaire de la part de Torri Higginson !
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Le Cinquième Homme (The Fifth Man, 5-04, *)
- Well, I wasn't going to let you die, Lieutenant. That's, like, a ton of paperwork.
- Paperwork?
- It's a joke. My way of deflecting attention from my own obvious heroism. You'll get used to it.
Jack et le lieutenant Tyler, membre de SG-1 depuis un mois, doivent rester en arrière suite à une attaque de Jaffas. Revenu au SGC, le reste de l’équipe a la surprise de constater que personne ne connaît Tyler. Simmons en profite pour déclencher une enquête épluchant le passé des membres de SG-1 et à charge contre Hammond. Les secours sont bloqués, jusqu’à ce que Janet parvienne à trouver la clé de l’énigme : Tyler est en fait un Alien, un Reol, qui secrète une substance altérant perceptions et souvenirs. Mais il est amical et lui et Jack sympathisent, avant d’âtre sauvés par le reste de l’équipe. SG-1 s’est fait un nouvel allié.
Hormis le retournement de situation initial effectivement réussi concernant la non existence de Tyler, l épisode brasse essentiellement de l’air. Le duo Malluzi et Muliie, qui nous a habitué à une toute autre créativité, usent et abusent du vieux truc de scénariste consistant à gagner quelques précieuses minutes en faisant récapituler la situation par les personnages. C’est le cas entre Sam et ses deux acolytes (seul intérêt : on perçoit clairement qui la cheftaine de SG-1 en l’absence de Jack), mais aussi entre Simmons et Hammond, Jack et Tyler, tout au long de « l’action. ». Les auteurs accomplissent une remarquable innovation, en inventant le clip show sans images, puisque les entretiens de Simmons (De Lancie toujours formidablement visqueux) se résument pour l’essentiel à un survol rapide des évènements précédents. L’évocation de l’arrière plan conspirationniste demeure inconsistant, se résumant à quelques déclarations particulièrement vagues d’Hammond.
Pendant ce temps Jack crapahute façon Rambo et à lui tout seul ventile façon puzzle un bataillon entier de Jaffas. Des scènes à l’intérêt proportionnel à la quantité d’explosifs utilisée. Encore plus costaud que le Polynectar d’Harry Potter, le pouvoir du Reol est astucieux mais ne connaît aucune application concrète dans les évènements, hormis l’enfumage initial. Son seul impact est de permettre d’assurer des économies à la production, puisque permettant de pas utiliser de trucages. L’illusion se maintient d’ailleurs jusqu’au bout, alors qu’elle est devenue inutile, c’est toujours ça de gagné. Le personnage se révèle remarquablement plat et prévisible, avec un interprète n’ayant guère l’occasion de démontrer son talent, à l’inverse de Sean Patrick Flanery dans le rôle précédent d’Orlin. Un épisode mineur, malgré une nouvelle intervention réussie de Janet.
Les sécrétions hallucinogènes du Reol, utilisées comme camouflages par la Tok'ra, seront réemployées dans les épisodes Summit (Daniel s'infiltrant dans un conseil de Seigneurs du Système en se faisant passer pour l'un eux) et Company of Thieves (Mitchell pénétrant cette fois l'Alliance luxienne).
Les images des Chasseurs de la Mort sont de nouveau récupérées sur les prises de vue du film de 1994.
La planète où se déroulent les événements est P7S-441.
On apprend que Jack est originaire de Chicago et qu'il a été élevé dans le Minnesota.
- Well, I wasn't going to let you die, Lieutenant. That's, like, a ton of paperwork.
- Paperwork?
- It's a joke. My way of deflecting attention from my own obvious heroism. You'll get used to it.
Jack et le lieutenant Tyler, membre de SG-1 depuis un mois, doivent rester en arrière suite à une attaque de Jaffas. Revenu au SGC, le reste de l’équipe a la surprise de constater que personne ne connaît Tyler. Simmons en profite pour déclencher une enquête épluchant le passé des membres de SG-1 et à charge contre Hammond. Les secours sont bloqués, jusqu’à ce que Janet parvienne à trouver la clé de l’énigme : Tyler est en fait un Alien, un Reol, qui secrète une substance altérant perceptions et souvenirs. Mais il est amical et lui et Jack sympathisent, avant d’âtre sauvés par le reste de l’équipe. SG-1 s’est fait un nouvel allié.
Hormis le retournement de situation initial effectivement réussi concernant la non existence de Tyler, l épisode brasse essentiellement de l’air. Le duo Malluzi et Muliie, qui nous a habitué à une toute autre créativité, usent et abusent du vieux truc de scénariste consistant à gagner quelques précieuses minutes en faisant récapituler la situation par les personnages. C’est le cas entre Sam et ses deux acolytes (seul intérêt : on perçoit clairement qui la cheftaine de SG-1 en l’absence de Jack), mais aussi entre Simmons et Hammond, Jack et Tyler, tout au long de « l’action. ». Les auteurs accomplissent une remarquable innovation, en inventant le clip show sans images, puisque les entretiens de Simmons (De Lancie toujours formidablement visqueux) se résument pour l’essentiel à un survol rapide des évènements précédents. L’évocation de l’arrière plan conspirationniste demeure inconsistant, se résumant à quelques déclarations particulièrement vagues d’Hammond.
Pendant ce temps Jack crapahute façon Rambo et à lui tout seul ventile façon puzzle un bataillon entier de Jaffas. Des scènes à l’intérêt proportionnel à la quantité d’explosifs utilisée. Encore plus costaud que le Polynectar d’Harry Potter, le pouvoir du Reol est astucieux mais ne connaît aucune application concrète dans les évènements, hormis l’enfumage initial. Son seul impact est de permettre d’assurer des économies à la production, puisque permettant de pas utiliser de trucages. L’illusion se maintient d’ailleurs jusqu’au bout, alors qu’elle est devenue inutile, c’est toujours ça de gagné. Le personnage se révèle remarquablement plat et prévisible, avec un interprète n’ayant guère l’occasion de démontrer son talent, à l’inverse de Sean Patrick Flanery dans le rôle précédent d’Orlin. Un épisode mineur, malgré une nouvelle intervention réussie de Janet.
Les sécrétions hallucinogènes du Reol, utilisées comme camouflages par la Tok'ra, seront réemployées dans les épisodes Summit (Daniel s'infiltrant dans un conseil de Seigneurs du Système en se faisant passer pour l'un eux) et Company of Thieves (Mitchell pénétrant cette fois l'Alliance luxienne).
Les images des Chasseurs de la Mort sont de nouveau récupérées sur les prises de vue du film de 1994.
La planète où se déroulent les événements est P7S-441.
On apprend que Jack est originaire de Chicago et qu'il a été élevé dans le Minnesota.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Episode effectivement sûrement mauvais parce que je ne m'en souviens pas
Elle est quand même un peu plus petite que l'original si je me souviens bien, et y'a pas tous les câbles autour. Bref, elle marche moins bienEstuaire44 a écrit:Merci pour l'info sur la mini Porte, je la rajoute aux IS.
Je confirme, mon cœur a dû manquer un battementEstuaire44 a écrit:Superbe cadeau d'anniversaire de la part de Torri Higginson !
TorriGilly- Duc(hesse)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Mission Soleil rouge (Red Sky, 5-05, ***)
- Sir, I've been thinking...
- I'd be shocked if you ever stopped, Carter.
SG-1 explore K’Tau, planète placée sous la protection de l’Asgard Freyr, pour qui les habitants éprouvent une véritable vénération. Ils y sont reçus chaleureusement, en tant qu’envoyés des Dieux, par le chef de la communauté Elrad, mais suscitent la haine du prêtre Malchus. Le vortex provoque un dérèglement du soleil, virant au rouge et condamnant toute vie à court terme. Tandis que les Asgards refusent d’intervenir, pour ne pas violer le traité signé avec les Goa’ulds, les tentatives menées par SG-1suscitent une crise religieuse. Deux membres de SG-6 sont tués, mais les Terriens continuent d’apporter leur aide, malgré la colère d’O’Neill. Finalement Sam parvient à expédier des éléments stabilisateurs dans le soleil via la Porte, sans doute avec l’aide cachée des Asgards.
Cet épisode très riche confirme la propension de la saison à développer des épisodes ambitieux, avec ici une évocation remarquablement profonde, dans le cadre d’une série télévisée, du phénomène religieux. Evidemment l’auteur Roy Wikerson prend la précaution de traité du polythéisme nordique, ce qui ne choquera pas grand monde, mais l’on comprend aisément que ses propos s’élargissent aisément à d’autres croyances. Sous une apparence de classique histoire de Planet Opera, le constat s’avère des plus sévères. Il oppose l’ingéniosité et les impératifs moraux ne nécessitant pas d’ordonnancement divin des esprits libres de SG-1 à la rigidité mentale des religieux, suicidaire et bornée. L’auteur se montre d’autant plus implacable dans son réquisitoire qu’il y distingue les obscurantistes violents des croyants dignes et de bonne volonté, mais montre qu’à terme les effets induits restent les mêmes, l’étouffement de la créativité humaine. Par ailleurs Red Sky apparaît comme une vraie réussite visuelle, par la qualité de la reconstitution de la société et par sa photographie. L’épisode exploite également astucieusement la mythologie scandinave.
On regrettera quelques faiblesses dans la démonstration, comme le caractère tout de même caricatural de Malchus ou l’inexplicable et inexpliquée destruction d’une fusée gardée par des militaires d’élite, occasionnée par des personnes à la technologie retardée. Il n’en reste pas moins que ce récit amiteux et où l’action physique demeure secondaire illustre la variété des thèmes qu’autorise Stargate SG-1. De même que la dimension chorale de celle-ci, chaque membre de SG-1 apportant sa pierre à l’édifice. Par sa colère l’aveuglant, O’Neill évite que le récit devienne par trop manichéen, tandis que héros gagne en crédibilité par sa faiblesse humaine, qu’il parvient à surmonter. Sam incarne cette largeur d’esprit opiniâtre et féconde que permet la liberté, tandis que Daniel reste l’irremplaçable conscience du groupe. Teal’c réussit come toujours à se montrer à la fois silencieux et parfaitement expressif. L’épisode s’autorise un frappant détour par le Haut Conseil Asgard, tandis que Freyr, suffisant et imbuvable, se monte hilarant. Jack sera ravi de retrouver Thor !
Les événements se déroulent sur la planète K'Tau (P39-365). D'origine scandinave, son peuple est sous la protection de l'Asgard Freyr. Freyr, moins complice que Thor vis à vis d'O'Neill, réapparaîtra dans deux autres épisodes, Fail Safe (5-17) et Revelations (5-22).
Dans la mythologie nordique, Freyr est un important dieu de la fertilité, commandant la pluie comme le soleil. Il règne aux côtés de son ami Thor, sur les marches du Trône d'Odin.. La mort de Freyr, dans un combat contre les géants, sera l'un des principaux signes annonciateurs du Ragnarök, la Fin du Monde. Ces éléments sont repris dans l’épisode. Sous le nom de Froh , Freyr joue un rôle important dans L'Or du Rhin, de Wagner
C'est au tour du réalisateur Martin Wood d'effectuer un caméo, il est l'un des techniciens du SGC travaillant sur la fusée, aux côtés du sergent Siler.
Le temple de K'tau est en fait Christ Church (1894), située à Surrey, dans le grand Vancouver. Elle se situe dans la communauté de Cloverdale, où fut tournée la majeure partie de la série Smallville.
- Sir, I've been thinking...
- I'd be shocked if you ever stopped, Carter.
SG-1 explore K’Tau, planète placée sous la protection de l’Asgard Freyr, pour qui les habitants éprouvent une véritable vénération. Ils y sont reçus chaleureusement, en tant qu’envoyés des Dieux, par le chef de la communauté Elrad, mais suscitent la haine du prêtre Malchus. Le vortex provoque un dérèglement du soleil, virant au rouge et condamnant toute vie à court terme. Tandis que les Asgards refusent d’intervenir, pour ne pas violer le traité signé avec les Goa’ulds, les tentatives menées par SG-1suscitent une crise religieuse. Deux membres de SG-6 sont tués, mais les Terriens continuent d’apporter leur aide, malgré la colère d’O’Neill. Finalement Sam parvient à expédier des éléments stabilisateurs dans le soleil via la Porte, sans doute avec l’aide cachée des Asgards.
Cet épisode très riche confirme la propension de la saison à développer des épisodes ambitieux, avec ici une évocation remarquablement profonde, dans le cadre d’une série télévisée, du phénomène religieux. Evidemment l’auteur Roy Wikerson prend la précaution de traité du polythéisme nordique, ce qui ne choquera pas grand monde, mais l’on comprend aisément que ses propos s’élargissent aisément à d’autres croyances. Sous une apparence de classique histoire de Planet Opera, le constat s’avère des plus sévères. Il oppose l’ingéniosité et les impératifs moraux ne nécessitant pas d’ordonnancement divin des esprits libres de SG-1 à la rigidité mentale des religieux, suicidaire et bornée. L’auteur se montre d’autant plus implacable dans son réquisitoire qu’il y distingue les obscurantistes violents des croyants dignes et de bonne volonté, mais montre qu’à terme les effets induits restent les mêmes, l’étouffement de la créativité humaine. Par ailleurs Red Sky apparaît comme une vraie réussite visuelle, par la qualité de la reconstitution de la société et par sa photographie. L’épisode exploite également astucieusement la mythologie scandinave.
On regrettera quelques faiblesses dans la démonstration, comme le caractère tout de même caricatural de Malchus ou l’inexplicable et inexpliquée destruction d’une fusée gardée par des militaires d’élite, occasionnée par des personnes à la technologie retardée. Il n’en reste pas moins que ce récit amiteux et où l’action physique demeure secondaire illustre la variété des thèmes qu’autorise Stargate SG-1. De même que la dimension chorale de celle-ci, chaque membre de SG-1 apportant sa pierre à l’édifice. Par sa colère l’aveuglant, O’Neill évite que le récit devienne par trop manichéen, tandis que héros gagne en crédibilité par sa faiblesse humaine, qu’il parvient à surmonter. Sam incarne cette largeur d’esprit opiniâtre et féconde que permet la liberté, tandis que Daniel reste l’irremplaçable conscience du groupe. Teal’c réussit come toujours à se montrer à la fois silencieux et parfaitement expressif. L’épisode s’autorise un frappant détour par le Haut Conseil Asgard, tandis que Freyr, suffisant et imbuvable, se monte hilarant. Jack sera ravi de retrouver Thor !
Les événements se déroulent sur la planète K'Tau (P39-365). D'origine scandinave, son peuple est sous la protection de l'Asgard Freyr. Freyr, moins complice que Thor vis à vis d'O'Neill, réapparaîtra dans deux autres épisodes, Fail Safe (5-17) et Revelations (5-22).
Dans la mythologie nordique, Freyr est un important dieu de la fertilité, commandant la pluie comme le soleil. Il règne aux côtés de son ami Thor, sur les marches du Trône d'Odin.. La mort de Freyr, dans un combat contre les géants, sera l'un des principaux signes annonciateurs du Ragnarök, la Fin du Monde. Ces éléments sont repris dans l’épisode. Sous le nom de Froh , Freyr joue un rôle important dans L'Or du Rhin, de Wagner
C'est au tour du réalisateur Martin Wood d'effectuer un caméo, il est l'un des techniciens du SGC travaillant sur la fusée, aux côtés du sergent Siler.
Le temple de K'tau est en fait Christ Church (1894), située à Surrey, dans le grand Vancouver. Elle se situe dans la communauté de Cloverdale, où fut tournée la majeure partie de la série Smallville.
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Rite initiatique (Rite of Passage, 5-06, **)
- I thought I wanted a knight and it flew into my hand. Jack calls 'em horses.
- Yeah, well, that's Colonel O'Neill for you.
- He always pretends he's not as smart as he really is.
Du fait d’un rétrovirus jadis installé par Nirrti, Cassandra tombe gravement malade, tout en générant un champ électromagnétique. Il s’agit d’une séquelle du plan initié par la Goa’uld, visant à se doter de d’hôtes surpuissants. SG-1 mène l’enquête sur le monde originel de Cassandra et découvre le laboratoire secret de Nirrti. Mais celle-ci est présente, toujours invisible, étant parvenue à s’échapper après le mort de Chronos. Elle passe la Porte avec SG-1 et espionne les recherches de Janet sur Cassandra. Elle est néanmoins capturée par Jack et accepte de guérir Cassandra en échange de sa libération.
L’intrigue souffre d’une trop grande impression de facilité. SG-1 découvre le laboratoire en quelques minutes, Nirrti est aisément capturée, sans avoir causé aucun dol au SGC, puis elle cède sur la plupart de ses exigences, etc. Tout ceci reste très linéaire et manque d’évènement réellement saillant pour développe rune vraie tension dramatique. Le récit joue plutôt sur l’émotionnel, avec un certain pathos autour du destin tragique de Cassandra et de son angoisse à l’approche probable de la mort. Par moments, on se croirait davantage dans une série hospitalière (tendance Grey’s Anatomy plus que Scrubs, hélas), plutôt que dans Stargate SG-1. Le rapprochement entre les transformations de l’adolescence et celles subies par Cassie est assez pesant. De plus le mélodrame se voit en partie déjoué par le jeu démonstratif de la jeune Colleen Rennison.
Fort heureusement Rite of Passage demeure malgré tout un épisode d’actrices, car Amanda Tapping et Terryl Rothery excellent dans le domaine de l’émotion. Cette dernière démontre qu’elle a les épaules pour pouvoir soutenir le rôle principal d’un opus. Le tableau de Janet en Mère courage prête à toutes les extrémités pour sauver sa fille s’avère, lui, réellement émouvant. On apprécie également la nouvelle jolie prestation de Jacqueline Samuda, incarnant une Nirrti venimeuse et glaciale à souhait, préférant agir davantage dans l’ombre qu’Hathor ou Osiris. Une ennemie intéressante et originale au sein des Goa’ulds, que l’on se réjouit de pouvoir retrouver par la suite. Le décor de son laboratoire se montre d’ailleurs judicieusement froid et sans ostentation mégalomane.
Cassandra n'est plus interprétée par Katie Suart, mais par Colleen Rennison.
Le réalisateur Peter Deluise effectue un nouveau caméo, il est le militaire recevant le rapport de Daniel durant la réunion.
Durant la scène d'ouverture les bougies du gâteau d'anniversaire apparaissent soudain éteintes, sans raison apparente.
- I thought I wanted a knight and it flew into my hand. Jack calls 'em horses.
- Yeah, well, that's Colonel O'Neill for you.
- He always pretends he's not as smart as he really is.
Du fait d’un rétrovirus jadis installé par Nirrti, Cassandra tombe gravement malade, tout en générant un champ électromagnétique. Il s’agit d’une séquelle du plan initié par la Goa’uld, visant à se doter de d’hôtes surpuissants. SG-1 mène l’enquête sur le monde originel de Cassandra et découvre le laboratoire secret de Nirrti. Mais celle-ci est présente, toujours invisible, étant parvenue à s’échapper après le mort de Chronos. Elle passe la Porte avec SG-1 et espionne les recherches de Janet sur Cassandra. Elle est néanmoins capturée par Jack et accepte de guérir Cassandra en échange de sa libération.
L’intrigue souffre d’une trop grande impression de facilité. SG-1 découvre le laboratoire en quelques minutes, Nirrti est aisément capturée, sans avoir causé aucun dol au SGC, puis elle cède sur la plupart de ses exigences, etc. Tout ceci reste très linéaire et manque d’évènement réellement saillant pour développe rune vraie tension dramatique. Le récit joue plutôt sur l’émotionnel, avec un certain pathos autour du destin tragique de Cassandra et de son angoisse à l’approche probable de la mort. Par moments, on se croirait davantage dans une série hospitalière (tendance Grey’s Anatomy plus que Scrubs, hélas), plutôt que dans Stargate SG-1. Le rapprochement entre les transformations de l’adolescence et celles subies par Cassie est assez pesant. De plus le mélodrame se voit en partie déjoué par le jeu démonstratif de la jeune Colleen Rennison.
Fort heureusement Rite of Passage demeure malgré tout un épisode d’actrices, car Amanda Tapping et Terryl Rothery excellent dans le domaine de l’émotion. Cette dernière démontre qu’elle a les épaules pour pouvoir soutenir le rôle principal d’un opus. Le tableau de Janet en Mère courage prête à toutes les extrémités pour sauver sa fille s’avère, lui, réellement émouvant. On apprécie également la nouvelle jolie prestation de Jacqueline Samuda, incarnant une Nirrti venimeuse et glaciale à souhait, préférant agir davantage dans l’ombre qu’Hathor ou Osiris. Une ennemie intéressante et originale au sein des Goa’ulds, que l’on se réjouit de pouvoir retrouver par la suite. Le décor de son laboratoire se montre d’ailleurs judicieusement froid et sans ostentation mégalomane.
Cassandra n'est plus interprétée par Katie Suart, mais par Colleen Rennison.
Le réalisateur Peter Deluise effectue un nouveau caméo, il est le militaire recevant le rapport de Daniel durant la réunion.
Durant la scène d'ouverture les bougies du gâteau d'anniversaire apparaissent soudain éteintes, sans raison apparente.
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Maîtres et serviteurs (Beast of Burden, 5-07, *)
- Interesting weapon. Tell me how to work it again.
- Give it to me. I'll show ya.
De méchants marchands d’esclaves asservissent des Unas, afin de les utiliser comme bêtes de somme. Mais ils commettent l’erreur de s’en prendre à Chaka, l’Una ami de Daniel. Le vaillant archéologue humaniste rameute ses camarades de SG-1. Après une confrontation avec Burrock, le chef des esclavagistes, ils sauveront Chaka et contribueront à initier une révolte des Unas.
Beast of Burden représente la preuve par l’exemple que les bons sentiments ne suscitent pas forcément de bons épisodes. Passé à l’écriture, Peter Deluise écrit une sincère et juste dénonciation de l’esclavage, mais recoure pour cela à une accumulation d’images d’Epinal toutes plus naïves et démonstratives que les unes que les autres. Les tableaux vivants s’amoncellent, avec forces hurlements des Unas et déferlement de sadisme chez leurs bourreaux. Malheureusement il en oublie du coup d’écrire un véritable scénario, l’intrigue se résumant à quelques vas et viens élémentaires, jusqu’à un prévisible dénouement. Seule la scène de conclusion présente une vraie force, avec le courroux de Daniel le poussant peu ou prou à accepter l’usage de la violence. On apprécie également la prestation de Larry Drake, toujours aussi à l’aise dans les rôles d’antagonistes, ainsi que celle des interprètes des Unas.. Mais énoncer une évidence, l’esclavage c’dst mal, avec forces renforts d’effets théâtraux n’a jamais suffit à animer un véritable récit. A cette époque de la série, tant de fils narratifs passionnants ont été lancés par ailleurs qu’il s’avère dommageable de gâcher ainsi un épisode.
Le titre original (bête de somme) reprend celui d'un grand succès des Rolling Stones (1978, album Some Girls)
On retrouve Chaka, l'Una avec lequel Daniel s'est lié d'amitié dans The First Ones (4-08)
Un dessin représentant Chaka apparaîtra dans l'épisode Edward de Sanctuary.
Les vues de la planète de Burrock sont en fait filmés à « Bordertown ». Ce vaste décor de Western à ciel ouvert figurait déjà Edora dans l'épisode A Hundred Days (3-17). il fut construit pour la série Bordertown (1989-1991) et se situe à Maple bridge, dans le grand Vancouver.
- Interesting weapon. Tell me how to work it again.
- Give it to me. I'll show ya.
De méchants marchands d’esclaves asservissent des Unas, afin de les utiliser comme bêtes de somme. Mais ils commettent l’erreur de s’en prendre à Chaka, l’Una ami de Daniel. Le vaillant archéologue humaniste rameute ses camarades de SG-1. Après une confrontation avec Burrock, le chef des esclavagistes, ils sauveront Chaka et contribueront à initier une révolte des Unas.
Beast of Burden représente la preuve par l’exemple que les bons sentiments ne suscitent pas forcément de bons épisodes. Passé à l’écriture, Peter Deluise écrit une sincère et juste dénonciation de l’esclavage, mais recoure pour cela à une accumulation d’images d’Epinal toutes plus naïves et démonstratives que les unes que les autres. Les tableaux vivants s’amoncellent, avec forces hurlements des Unas et déferlement de sadisme chez leurs bourreaux. Malheureusement il en oublie du coup d’écrire un véritable scénario, l’intrigue se résumant à quelques vas et viens élémentaires, jusqu’à un prévisible dénouement. Seule la scène de conclusion présente une vraie force, avec le courroux de Daniel le poussant peu ou prou à accepter l’usage de la violence. On apprécie également la prestation de Larry Drake, toujours aussi à l’aise dans les rôles d’antagonistes, ainsi que celle des interprètes des Unas.. Mais énoncer une évidence, l’esclavage c’dst mal, avec forces renforts d’effets théâtraux n’a jamais suffit à animer un véritable récit. A cette époque de la série, tant de fils narratifs passionnants ont été lancés par ailleurs qu’il s’avère dommageable de gâcher ainsi un épisode.
Le titre original (bête de somme) reprend celui d'un grand succès des Rolling Stones (1978, album Some Girls)
On retrouve Chaka, l'Una avec lequel Daniel s'est lié d'amitié dans The First Ones (4-08)
Un dessin représentant Chaka apparaîtra dans l'épisode Edward de Sanctuary.
Les vues de la planète de Burrock sont en fait filmés à « Bordertown ». Ce vaste décor de Western à ciel ouvert figurait déjà Edora dans l'épisode A Hundred Days (3-17). il fut construit pour la série Bordertown (1989-1991) et se situe à Maple bridge, dans le grand Vancouver.
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
La Tombe (The Tomb, 5-08, ****)
- You know, I'm a big fan of the Russians, and international relations are a bit of a hobby of mine, however, I do believe that SG-1 should handle this one... Alone.
SG-1 et son équivalent russe font équipe pour secourir une autre équipe venue du froid. Celle-ci ne donne plus de nouvelles, alors qu’elle explorait une gigantesque ziggourat.Le courant passe mal entre Jack et son homologue, tous deux méfiants. Le commandant russe tente en outre de récupérer en secret l’Œil de Tiamat, un puissant artefact présent sur les lieux. Un éboulement bloque les sauveteurs à l’intérieur du temple. Ils découvrent alors qu’ils partagent les lieux avec le Goa’uld Mardouk,, le symbiote s’étant emparé d’un monstre tentaculaire ayant massacré la première équipe. SG-1 et une seule survivante russe parviennent à s’échapper après avoir tué Mardouk, mais l’Œil de Tiamat est perdu. Le principe d’une collaboration avec les Russes reste néanmoins acté.
La mise en place d’une situation finalement relativement complexe s’avère un modèle d’efficacité, dans la meilleure tradition anglo-saxonne. Cela permet d’entrer rapidement dans le vif de sujet, le récit nous plongeant au cœur de l’action Nous découvrons ainsi la véritable vedette de l’épisode : le superbe décor du labyrinthe mortel de la ziggourat. Les corridors de style savamment babylonien apportent une nouveauté bienvenue au sein d’une série encore dominée par le style égyptien. Outre son aspect pure esthétique, le plateau s’avère étonnamment anxiogène, non seulement parce qu’il induit un huis clos enténébré absolument claustrophobique, mais aussi parce qu’il donne physiquement l’impression de pouvoir s’effondrer à tout moment sur nos héros. Ce piège sépulcral devient un parfait écrin pour l’horreur tentaculaire traquant les humains, elle aussi rendue particulièrement abominable par les artistes de la série. Filmé avec talent par un Peter DeLuise au sommet de son art, The Tomb devient ainsi un pur cauchemar, sans doute l’un des épisodes les plus éprouvants de Stargate SG-1, n’ayant rien à envier aux classiques du même ordre au cinéma.
Le duo Mallozi & Mullie est bien trop fin pour seulement se cantonner au purement horrifique. Il joue également pleinement la carte du relationnel, avec un Jack O’Neill rendu nerveux par la présence de l’autre ennemi héréditaire. Jusqu’à monter une irritabilité que Richard Dean Anderson rend absolument irrésistible. D’abord élément de pure comédie, ce facteur introduit ensuite judicieusement un tension supplémentaire entre SG-1 et les Russes, mais aussi au sein de l’équipe elle même. De quoi encore exacerber plaisamment l’ambiance. Les auteurs ne peuvent éviter de rendre les Russes plus retords que les Américains, mais cela se contrebalance par la mort héroïque de leur leader, se sacrifiant pour sauver Jack. On pourra certes tiquer devant les pertes tusses et l’invulnérabilité de SG-1, mais c’est là un privilège inhérent aux héros d’une série ! Les auteurs poussent la malice jusqu’à développer une insidieuse running joke au fil du récit, multipliant les parallèles avec la Moria : Daniel éprouvant les pires difficultés à décrypter le message d’ouverture, tel Gandalf, tunnels dévastés d’une antique civilisation, joutnal des disparus, trésor légendaire, monstre éveille pour avoir trop cherché... Un régal. Cet approfondissement particulièrement convaincant du fil scénaristique russe augure du meilleur pour la suite.
Au début de l'épisode le major Vallarine prononce une phrase en russe. Elle signifie Le pays le plus puissant du monde et ils sont incapables de faire un café correct.
Il s'avère que Teal'c peut détecter la présence d'un symbiote chez un individu, cela n'avait pas été le cas jusqu'ici.
L'épisode remporta le Leo Award du meilleur design des décors.
La dépouille du soldat russe est illuminée par la lumière du soleil, alors que l'on se trouve dans une pièce sans fenêtres.
Nouveau caméo du réalisateur Peter Deluise : il figure parmi les photographies des soldats russes disparus.
L'uniforme d'un soldat russe arbore un logo chiffré 3B1, correspondant dans l'alphabet cyrillique à ZV-1, soit la traduction de « La Porte des Etoiles 1 », Zvyozdnye Vorota Odeen. L'équipe russe se nomme aussi SG-1.
L'antique ziggourat se trouve sur la planète P2X-338.
Elle est dédiée à Marduk, figure importante de la mythologie babylonienne. Dieu suprême du panthéon mésopotamien, il triompha des dieux primordiaux du chaos (parmi lesquels Tiamat), afin d'assurer l'ordre de l'univers. Il est également le dieu de la fertilité apportée par les fleuves Tigre et Euphrate. A Babylone, son sanctuaire, l'Esagil, était associé à la formidable ziggourat mitoyenne, Etermenanki, demeurée dans la tradition populaire comme étant la Tour de Babel. Ce bâtiment, présent sur près de 2000 ans amis aujourd'hui disparu, atteignait sept étages et 90 mètres de hauteur, ce qui était colossal pour l'époque.
Le goa'uld Marduk était déjà cité dans l'épisode Thor's Hammer, comme celui ayant enlevé Jenna.
Son nom n'est pas encore cité, mais l'épisode marque l'apparition du colonel Chekov, l'équivalent de Jack O'Neill dans le programme russe de la Porte des Étoiles. Tout au long de la série, il s’avérera un allié de SG-1 parfois rude, mais néanmoins loyal. Il sera tué lors de la destruction de son vaisseau par les Oris (Flesh and Blood, 10-01). Le nom de Chekov fut choisi en hommage au pilote russe de l'Enterprise, Pavel Chekov (Star Trek Classic). Apparaissant dans 10 épisodes, Chekov est incarné par Gary Chalk, apparu dans de nombreux films et séries fantastiques et important voxographe canadien.
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SG-1 et son équivalent russe font équipe pour secourir une autre équipe venue du froid. Celle-ci ne donne plus de nouvelles, alors qu’elle explorait une gigantesque ziggourat.Le courant passe mal entre Jack et son homologue, tous deux méfiants. Le commandant russe tente en outre de récupérer en secret l’Œil de Tiamat, un puissant artefact présent sur les lieux. Un éboulement bloque les sauveteurs à l’intérieur du temple. Ils découvrent alors qu’ils partagent les lieux avec le Goa’uld Mardouk,, le symbiote s’étant emparé d’un monstre tentaculaire ayant massacré la première équipe. SG-1 et une seule survivante russe parviennent à s’échapper après avoir tué Mardouk, mais l’Œil de Tiamat est perdu. Le principe d’une collaboration avec les Russes reste néanmoins acté.
La mise en place d’une situation finalement relativement complexe s’avère un modèle d’efficacité, dans la meilleure tradition anglo-saxonne. Cela permet d’entrer rapidement dans le vif de sujet, le récit nous plongeant au cœur de l’action Nous découvrons ainsi la véritable vedette de l’épisode : le superbe décor du labyrinthe mortel de la ziggourat. Les corridors de style savamment babylonien apportent une nouveauté bienvenue au sein d’une série encore dominée par le style égyptien. Outre son aspect pure esthétique, le plateau s’avère étonnamment anxiogène, non seulement parce qu’il induit un huis clos enténébré absolument claustrophobique, mais aussi parce qu’il donne physiquement l’impression de pouvoir s’effondrer à tout moment sur nos héros. Ce piège sépulcral devient un parfait écrin pour l’horreur tentaculaire traquant les humains, elle aussi rendue particulièrement abominable par les artistes de la série. Filmé avec talent par un Peter DeLuise au sommet de son art, The Tomb devient ainsi un pur cauchemar, sans doute l’un des épisodes les plus éprouvants de Stargate SG-1, n’ayant rien à envier aux classiques du même ordre au cinéma.
Le duo Mallozi & Mullie est bien trop fin pour seulement se cantonner au purement horrifique. Il joue également pleinement la carte du relationnel, avec un Jack O’Neill rendu nerveux par la présence de l’autre ennemi héréditaire. Jusqu’à monter une irritabilité que Richard Dean Anderson rend absolument irrésistible. D’abord élément de pure comédie, ce facteur introduit ensuite judicieusement un tension supplémentaire entre SG-1 et les Russes, mais aussi au sein de l’équipe elle même. De quoi encore exacerber plaisamment l’ambiance. Les auteurs ne peuvent éviter de rendre les Russes plus retords que les Américains, mais cela se contrebalance par la mort héroïque de leur leader, se sacrifiant pour sauver Jack. On pourra certes tiquer devant les pertes tusses et l’invulnérabilité de SG-1, mais c’est là un privilège inhérent aux héros d’une série ! Les auteurs poussent la malice jusqu’à développer une insidieuse running joke au fil du récit, multipliant les parallèles avec la Moria : Daniel éprouvant les pires difficultés à décrypter le message d’ouverture, tel Gandalf, tunnels dévastés d’une antique civilisation, joutnal des disparus, trésor légendaire, monstre éveille pour avoir trop cherché... Un régal. Cet approfondissement particulièrement convaincant du fil scénaristique russe augure du meilleur pour la suite.
Au début de l'épisode le major Vallarine prononce une phrase en russe. Elle signifie Le pays le plus puissant du monde et ils sont incapables de faire un café correct.
Il s'avère que Teal'c peut détecter la présence d'un symbiote chez un individu, cela n'avait pas été le cas jusqu'ici.
L'épisode remporta le Leo Award du meilleur design des décors.
La dépouille du soldat russe est illuminée par la lumière du soleil, alors que l'on se trouve dans une pièce sans fenêtres.
Nouveau caméo du réalisateur Peter Deluise : il figure parmi les photographies des soldats russes disparus.
L'uniforme d'un soldat russe arbore un logo chiffré 3B1, correspondant dans l'alphabet cyrillique à ZV-1, soit la traduction de « La Porte des Etoiles 1 », Zvyozdnye Vorota Odeen. L'équipe russe se nomme aussi SG-1.
L'antique ziggourat se trouve sur la planète P2X-338.
Elle est dédiée à Marduk, figure importante de la mythologie babylonienne. Dieu suprême du panthéon mésopotamien, il triompha des dieux primordiaux du chaos (parmi lesquels Tiamat), afin d'assurer l'ordre de l'univers. Il est également le dieu de la fertilité apportée par les fleuves Tigre et Euphrate. A Babylone, son sanctuaire, l'Esagil, était associé à la formidable ziggourat mitoyenne, Etermenanki, demeurée dans la tradition populaire comme étant la Tour de Babel. Ce bâtiment, présent sur près de 2000 ans amis aujourd'hui disparu, atteignait sept étages et 90 mètres de hauteur, ce qui était colossal pour l'époque.
Le goa'uld Marduk était déjà cité dans l'épisode Thor's Hammer, comme celui ayant enlevé Jenna.
Son nom n'est pas encore cité, mais l'épisode marque l'apparition du colonel Chekov, l'équivalent de Jack O'Neill dans le programme russe de la Porte des Étoiles. Tout au long de la série, il s’avérera un allié de SG-1 parfois rude, mais néanmoins loyal. Il sera tué lors de la destruction de son vaisseau par les Oris (Flesh and Blood, 10-01). Le nom de Chekov fut choisi en hommage au pilote russe de l'Enterprise, Pavel Chekov (Star Trek Classic). Apparaissant dans 10 épisodes, Chekov est incarné par Gary Chalk, apparu dans de nombreux films et séries fantastiques et important voxographe canadien.
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Traquenard (Between Two Fires, 5-09, ***)
- Narim, would you get your head out of your ass ?
La chancelière de Tollana propose à SG-1 d’ouvrir des négociations, se déclarant désormais prête à échanger des canons ioniques contre du minerai. Narim demeure méfiant trouvant inexplicable cette volte face et il met en garde SG-1.L‘équipe mène l’enquête sur Tollana et découvre qu’un nouveau Grand Maître, au nom inconnu, a mis au point des vaisseaux capables de résister au canon ionique des Tollans. Ceux-ci préfèrent désormais collaborer pour éviter la destruction et préparent de terrifiantes bombes grâce au minerai livré. Aidé par SG-1, Narim préfère détruire les bombes et condamner son peuple, plutôt que de laisse faire. Il reste en arrière, pour partager le sort fatal des Tollans.
Evidemment le but premier de Between Two Fires est d’amorcer la progressive révélation d’Anubis et de l’élévation de sa puissance, qui va désormais occuper l’arrière fond de la saison. Astucieusement, et un rien cyniquement, les auteurs décident de sacrifier les Tollans, afin de marquer un coup d’éclat titillant l’imagination du spectateur à propos de l’ampleur de la nouvelle menace. Détruire l’un des piliers de l’univers Stargate tel qu’édifié durant les premières saisons illustre éloquemment qu’une nouvelle ère débute. Si le cahier des charges de l’épisode apparaît transparent, la manière d’y parvenir demeure convaincante. L’intrigue politico-militaire décrite se développe de manière suffisamment complexe pour maintenir l’intérêt, d’autant que les différents twists effectués sont percutants. Comme souvent cette saison, SG-1 se voit placée devant un choix moral malaisé, quoique rapidement tranché ici !
L’apparition de Tanith, toujours campé avec brio par Peter Wingfield, apporte une tension supplémentaire, même si en définitive nous n’aurons pas droit à une confrontation avec Teal’c. SG-1 s’avère en grande forme, mais les auteurs ont surtout l’élégance de ménager une belle porte de sortie pour Narim, héros tragique (excellent Garwin Sanford, toujours en phase avec Amanda Tapping). Décidément tomber amoureux de Sam ne porte pas chance, et, parmi ses soupirants les plus notables, Narim rejoint ici Martouf au champ d’honneur. Notre ami astrophysicienne aurait une réputation de chat noir que cela ne nous étonnerait pas. Pour l’instant seul Orlin s’en est sorti, mais vivre sur un plan supérieur et transcendant de l’existence offre parfois de menus avantages. L’épisode bénéficie également de superbes décors intérieurs, élégants et épurés, tandis que l’Université Simon Fraser propose toujours un panorama convaincant de la désormais défunte Tollana.
Quand le canon à ions pilonne l'édifice contenant les bombes, les passants ne semblent pas affectés par l'énorme explosion. Il s'agit à l’évidence d'une incrustation vidéo mal gérée.
L’apparition holographique de Narim est un clin d’œil au célèbre équivalent de la Princesse Leia Organa (Au secours Obi-Wan Kenobi, vous êtes mon seul espoir).
L'épisode marque l'ultime apparition des Tollans et de Narim. Les évènements indiquent clairement qu'ils sont sur le point d'être anéantis par les forces du maitre inconnu de Tanith, sans aucun doute Anubis. Celui-ci se manifeste d'ailleurs ici pour la première fois.
Comme précédemment dans Pretense (3-13), Tollana est représentée par les bâtiments de l'Université Simon Fraser, à Burnaby, dans le Grand Vancouver. Quand SG-1 évacue Tollana durant la bataille, on peut d'ailleurs brièvement distinguer le nom de l'université inscrit sur l'un des édifices.
La séquence montrant l'effet d’une des armes explosives des Tollans est la même que celle représentant une bombe atomique enrichie au Naquadah dans Chain reaction (4-15).
- Narim, would you get your head out of your ass ?
La chancelière de Tollana propose à SG-1 d’ouvrir des négociations, se déclarant désormais prête à échanger des canons ioniques contre du minerai. Narim demeure méfiant trouvant inexplicable cette volte face et il met en garde SG-1.L‘équipe mène l’enquête sur Tollana et découvre qu’un nouveau Grand Maître, au nom inconnu, a mis au point des vaisseaux capables de résister au canon ionique des Tollans. Ceux-ci préfèrent désormais collaborer pour éviter la destruction et préparent de terrifiantes bombes grâce au minerai livré. Aidé par SG-1, Narim préfère détruire les bombes et condamner son peuple, plutôt que de laisse faire. Il reste en arrière, pour partager le sort fatal des Tollans.
Evidemment le but premier de Between Two Fires est d’amorcer la progressive révélation d’Anubis et de l’élévation de sa puissance, qui va désormais occuper l’arrière fond de la saison. Astucieusement, et un rien cyniquement, les auteurs décident de sacrifier les Tollans, afin de marquer un coup d’éclat titillant l’imagination du spectateur à propos de l’ampleur de la nouvelle menace. Détruire l’un des piliers de l’univers Stargate tel qu’édifié durant les premières saisons illustre éloquemment qu’une nouvelle ère débute. Si le cahier des charges de l’épisode apparaît transparent, la manière d’y parvenir demeure convaincante. L’intrigue politico-militaire décrite se développe de manière suffisamment complexe pour maintenir l’intérêt, d’autant que les différents twists effectués sont percutants. Comme souvent cette saison, SG-1 se voit placée devant un choix moral malaisé, quoique rapidement tranché ici !
L’apparition de Tanith, toujours campé avec brio par Peter Wingfield, apporte une tension supplémentaire, même si en définitive nous n’aurons pas droit à une confrontation avec Teal’c. SG-1 s’avère en grande forme, mais les auteurs ont surtout l’élégance de ménager une belle porte de sortie pour Narim, héros tragique (excellent Garwin Sanford, toujours en phase avec Amanda Tapping). Décidément tomber amoureux de Sam ne porte pas chance, et, parmi ses soupirants les plus notables, Narim rejoint ici Martouf au champ d’honneur. Notre ami astrophysicienne aurait une réputation de chat noir que cela ne nous étonnerait pas. Pour l’instant seul Orlin s’en est sorti, mais vivre sur un plan supérieur et transcendant de l’existence offre parfois de menus avantages. L’épisode bénéficie également de superbes décors intérieurs, élégants et épurés, tandis que l’Université Simon Fraser propose toujours un panorama convaincant de la désormais défunte Tollana.
Quand le canon à ions pilonne l'édifice contenant les bombes, les passants ne semblent pas affectés par l'énorme explosion. Il s'agit à l’évidence d'une incrustation vidéo mal gérée.
L’apparition holographique de Narim est un clin d’œil au célèbre équivalent de la Princesse Leia Organa (Au secours Obi-Wan Kenobi, vous êtes mon seul espoir).
L'épisode marque l'ultime apparition des Tollans et de Narim. Les évènements indiquent clairement qu'ils sont sur le point d'être anéantis par les forces du maitre inconnu de Tanith, sans aucun doute Anubis. Celui-ci se manifeste d'ailleurs ici pour la première fois.
Comme précédemment dans Pretense (3-13), Tollana est représentée par les bâtiments de l'Université Simon Fraser, à Burnaby, dans le Grand Vancouver. Quand SG-1 évacue Tollana durant la bataille, on peut d'ailleurs brièvement distinguer le nom de l'université inscrit sur l'un des édifices.
La séquence montrant l'effet d’une des armes explosives des Tollans est la même que celle représentant une bombe atomique enrichie au Naquadah dans Chain reaction (4-15).
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Une pétition en ligne pour la reprise de SGU ( )
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18623701.html
De toutes manières Carlyle est ^ris par Once Upon a Time
http://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18623701.html
De toutes manières Carlyle est ^ris par Once Upon a Time
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je fais partie des fans un peu fous qui ont signés. Je pense qu'on n'arrivera à rien mais bon, on sait jamais
TorriGilly- Duc(hesse)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Les Faux Amis (2001, 5-10, ****)
- I swear, O'Neill, there's going to be an investigation into this !
- Well, that'll be fine. O'Neill, two L's!
Malgré les évènements de 2010, SG-1 finit tout de même par rencontrer les Aschens. Le contact a lieu fortuitement, sur une planète tierce, agricole et peu peuplée. Aussitôt la même mécanique se met en place et les Aschens proposent une alliance aux Terriens. La méfiance d’O’Neill se voit confirmée quand Hammond découvre que la planète contre laquelle le Jack du futur alternatif l’avait mis engarde est la capitale de leur confédération. De plus Daniel découvre que les indigènes ont vu leur population s’effondrer et leur société reculer après l’arrivée des Aschens. Mais le Sénateur Kinsey incite à la signature du traite, pour des raisons carriéristes. Aidée par l’Ambassadeur faxon, Sam finit tout de même par forcer les Aschens à révéler leurs plans.
2001 constitue un parfait prolongement au déjà formidable 2010. Brad Wright joue parfaitement de la perspective temporelle et des opportunités qu’offre le fait que 2001 se situe après 2010 dans la chronologie de la série, mais avant dans celle de nos héros. De la sorte SG-1 n’a pas seulement à se battre contre le subtil et létal complot des Aschens ou l’avidité obtuse du Sénateur, mais aussi contre le Destin lui même, ce qui ajoute une toute autre tension dramatique encore (un phénomène bien connu des amateurs de l’épatante série qu’est Tru Calling). L’auteur ne se contente pas de capitaliser sur cette opportunité et développent leur récit avec maestria.
Les Aschens demeurent de délectables méchants, reptiliens et perspicaces. La vision de la destinée du monde agricole suscite un véritable effroi glacé. De plus, malgré tout ce que le spectateur connaît, Wright accomplit le tour de force de rendre le pacte diabolique particulièrement tentant. Comme l’on pourrait le dire dans un autre univers, on a envie d’y croire. Le message fatidique joue pleinement son rôle, mais non sans que le SGC ait dut fournir un effort, un choix judicieux. Kinsey se montre toujours aussi savoureux, le type d’antagoniste que l’on aime détester. L’épisode loue ironiquement son sens politique puisque signer le traité l’aurait effectivement conduit à présider les Etats Unis. Il mettrait le fau à ce royaume pourvu qu’il puisse régner sur les cendres, dirait George R. R. Martin.
La visite souterraine de Daniel et Teal’c présente un coté Science-fiction surannée assez plaisant. Evidemment il nous faut accepter que de précieux documents tombent miraculeusement aux mains du seul Terrien capable de les exploiter. Mais il est bon que cela soit l’érudition de Daniel au lieu de la science de Sam, comme c’est plus souvent le cas, on varie les plaisirs. L’amateur de techno Science-friton pourra se régaler avec cette description astucieuse d’une moissonneuse anti gravité couplée à la Porte, une utilisation logistique originale et bien vue. Utiliser la Porte horizontalement induit toujours un effet visuel fort réussi. 2001 présente également le tragicomique de pointer une nouvelle fois la côté Veuve noire de Samantha Carter, puisqu’un nouveau soupirant se voit promptement expédié ad patres. Le seul moment décevant de l’épisode reste d’ailleurs quand les autres membres de SG-1 se soucient visiblement comme d’une guigne du sacrifice du diplomate. Un opus particulièrement riche et stimulant par ailleurs.
Mettant en scène les Aschens, 2001 établit une continuité avec celui de la saison précédente, 2010 (4-16). Sept mois se sont écoulés depuis la réception du message envoyé par la SG-1 du futur.
Quand Jack indique au Sénateur Kinsey qu'O'Neill, prend deux « l », il montre trois doigts. Que signifie le troisième doigt tendu ?
Carter mentionne cette fois que l'idée de transformer une géante gazeause en soleil provient d''Arthur C. Clarke. Les deux titres du double épisode se réfèrent également aux romans de l'écrivain.
Carter semble apprécier l'Ambassadeur Faxon. Celui-ci était devenu son mari durant les évènements de 2010.
Le texte alien du journal est obtenu en décalant le texte anglais d'une lettre, un tour de passe-passe bien connu des amateurs des Livres dont vous êtes le Héros. Le titre du journal devient ainsi The Voilan Voice et celui de l'article lu par Daniel : Vaccine from newcomers causes sterility.
La série effectue un nouveau clin d'oeil au Magicien d'Oz quand Jack déclare : Just when you think you're not in Kansas any more, it turns out you are.
- I swear, O'Neill, there's going to be an investigation into this !
- Well, that'll be fine. O'Neill, two L's!
Malgré les évènements de 2010, SG-1 finit tout de même par rencontrer les Aschens. Le contact a lieu fortuitement, sur une planète tierce, agricole et peu peuplée. Aussitôt la même mécanique se met en place et les Aschens proposent une alliance aux Terriens. La méfiance d’O’Neill se voit confirmée quand Hammond découvre que la planète contre laquelle le Jack du futur alternatif l’avait mis engarde est la capitale de leur confédération. De plus Daniel découvre que les indigènes ont vu leur population s’effondrer et leur société reculer après l’arrivée des Aschens. Mais le Sénateur Kinsey incite à la signature du traite, pour des raisons carriéristes. Aidée par l’Ambassadeur faxon, Sam finit tout de même par forcer les Aschens à révéler leurs plans.
2001 constitue un parfait prolongement au déjà formidable 2010. Brad Wright joue parfaitement de la perspective temporelle et des opportunités qu’offre le fait que 2001 se situe après 2010 dans la chronologie de la série, mais avant dans celle de nos héros. De la sorte SG-1 n’a pas seulement à se battre contre le subtil et létal complot des Aschens ou l’avidité obtuse du Sénateur, mais aussi contre le Destin lui même, ce qui ajoute une toute autre tension dramatique encore (un phénomène bien connu des amateurs de l’épatante série qu’est Tru Calling). L’auteur ne se contente pas de capitaliser sur cette opportunité et développent leur récit avec maestria.
Les Aschens demeurent de délectables méchants, reptiliens et perspicaces. La vision de la destinée du monde agricole suscite un véritable effroi glacé. De plus, malgré tout ce que le spectateur connaît, Wright accomplit le tour de force de rendre le pacte diabolique particulièrement tentant. Comme l’on pourrait le dire dans un autre univers, on a envie d’y croire. Le message fatidique joue pleinement son rôle, mais non sans que le SGC ait dut fournir un effort, un choix judicieux. Kinsey se montre toujours aussi savoureux, le type d’antagoniste que l’on aime détester. L’épisode loue ironiquement son sens politique puisque signer le traité l’aurait effectivement conduit à présider les Etats Unis. Il mettrait le fau à ce royaume pourvu qu’il puisse régner sur les cendres, dirait George R. R. Martin.
La visite souterraine de Daniel et Teal’c présente un coté Science-fiction surannée assez plaisant. Evidemment il nous faut accepter que de précieux documents tombent miraculeusement aux mains du seul Terrien capable de les exploiter. Mais il est bon que cela soit l’érudition de Daniel au lieu de la science de Sam, comme c’est plus souvent le cas, on varie les plaisirs. L’amateur de techno Science-friton pourra se régaler avec cette description astucieuse d’une moissonneuse anti gravité couplée à la Porte, une utilisation logistique originale et bien vue. Utiliser la Porte horizontalement induit toujours un effet visuel fort réussi. 2001 présente également le tragicomique de pointer une nouvelle fois la côté Veuve noire de Samantha Carter, puisqu’un nouveau soupirant se voit promptement expédié ad patres. Le seul moment décevant de l’épisode reste d’ailleurs quand les autres membres de SG-1 se soucient visiblement comme d’une guigne du sacrifice du diplomate. Un opus particulièrement riche et stimulant par ailleurs.
Mettant en scène les Aschens, 2001 établit une continuité avec celui de la saison précédente, 2010 (4-16). Sept mois se sont écoulés depuis la réception du message envoyé par la SG-1 du futur.
Quand Jack indique au Sénateur Kinsey qu'O'Neill, prend deux « l », il montre trois doigts. Que signifie le troisième doigt tendu ?
Carter mentionne cette fois que l'idée de transformer une géante gazeause en soleil provient d''Arthur C. Clarke. Les deux titres du double épisode se réfèrent également aux romans de l'écrivain.
Carter semble apprécier l'Ambassadeur Faxon. Celui-ci était devenu son mari durant les évènements de 2010.
Le texte alien du journal est obtenu en décalant le texte anglais d'une lettre, un tour de passe-passe bien connu des amateurs des Livres dont vous êtes le Héros. Le titre du journal devient ainsi The Voilan Voice et celui de l'article lu par Daniel : Vaccine from newcomers causes sterility.
La série effectue un nouveau clin d'oeil au Magicien d'Oz quand Jack déclare : Just when you think you're not in Kansas any more, it turns out you are.
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ultime Recours (Desperate Measures, 5-11, **)
- I played a lot of hide and seek as a kid. I could always find anyone, anywhere, but they could never find me.
- Because they didn't want to.
Carter est enlevée par les hommes d’Adria Conrad, un milliardaire acoquiné à Simmons. Conrad est mourant, son sel espoir de survie demeurant l’implantation d’un symbiote dérobé aux Russes. Sam l’intéresse du fait de son expérience avec Jolinar, car il désire échapper à l’emprise du Goa’uld. Pour retrouver Sam, Jack fait alliance avec Maybourne, avec qui il a sympathisé. Les deux hommes mènent l’assaut sur le repaire de Conrad, mais celui-ci, pressé par le temps, s’est fait implanter le symbiote et est devenu un hôte asservi. Simmons s’échappe avec le Goa’uld, et escompte bien tirer de lui des informations, tandis que Maybourne disparaît, soupçonné d’être l’auteur de cette manipulation. Sam est sauvée juste à temps, avant d’être disséquée.
Les épisodes conspirationnistes comptent rarement parmi les plus réussis de Stargate SG-1 et celui-ci ne fait pas exception à la règle. On perçoit en effet clairement que l’on se situe ici en dehors du domaine de prédiction des auteurs de la série. On ne passe pas impunément d’un genre à l’autre et les récits d’espionnage connaissent d’autres exigences que de l’épique Science-fiction d’aventure constituant l’ADN de la Stargate SG-1. Il y faut une intrique solide et maîtrisée, sans se laisser emporter par le souffle de l’aventure et de l’exotisme, qui peuvent justifier voire nécessiter des entorses au réalisme et des raccourcis scénaristiques. Or le duo Malluzi et Mullie ne varie absolument pas de style, d’où un différentiel extrêmement dommageable. Les auteures de The L Word, expertes dans la peinture des sentiments, avait pareillement tenté de composer une ultime saison très policière, avec un semblable échec, même si le naufrage s’avère moins absolu ici. Au total tout ce qui fait le sel d’un récit d’espionnage se voit anéanti par la trop grande facilité, sinon la désinvolture, des péripéties.
Maybourne sait tout, tout le temps, sans que l’on sache comment ; hormis de vagues explications. Il peut accéder n’importe où, briser un code informatique quasi instannément, etc. De son côté, Jack tombe instannément sur le témoin principal de l’enlèvement, Daniel a justement pile dans son dossier les données permettant de situer de situer el QG de Conrad, sans l’avoir particulièrement cherché etc. Ce n’est pas cela, une enquête. Par ailleurs, tout comme chez les Avengers, autre série d’aventure, proposer un méchant pathétique est rarement une bonne idée. Et dans le cadre d’une série d’espionnage Conrad laisse bien trop d’indices derrière lui pour être pris au sérieux. Desperate Measures reste néanmoins sauvé par le décor convaincant de l’hôpital désaffecte, mais surtout par d’excellents numéros d’acteurs, Amanda Tapping et le pittoresque Tom McBeath en tête .La relation de camaraderie mêlée de méfiance entre Jack et Maybourne résulte également très originale au sein de la série et résulte des plus savoureuses. L’épisode retrouve un allant en fin de parcours, quand on renoue avec la casse au Goa’uld. La situation finale se montre également prometteuse, appelant à un prochain développement de l’arc Conrad.
Jack O'Neill fait référence à la pile de National Geographics en sa possession. Dans la première version du script, il s'agit de numéros de Playboy.
Dans les dialogues, des références sont faites aux monstres rivaux du cinéma japonais, Godzilla et Mothra.
Sam conduit toujours sa superbe Volvo P1800 grise de 1961.
La majeure partie de l'épisode est tournée dans les locaux désaffectés du l'hôpital psychiatrique de Riverview, dans la ville de Coquitlam, à l'est de Vancouver. Une grande partie de cet hôpital construit en 1872 fut en effet progressivement fermée à compter des années 1990. Les cliniques abandonnées ont abrité de nombreux tournages se déroulant à Vancouver. Les cellules de l'épisode Eve des X-Files y sont ainsi situées, de même que les opus In my Time of Dying et Asylum de Supernatural, entre bien d'autres exemples. Trois autres épisodes de Stargate SG-1 s'y dérouleront : Icon, Ethon et Memento Mori.
- I played a lot of hide and seek as a kid. I could always find anyone, anywhere, but they could never find me.
- Because they didn't want to.
Carter est enlevée par les hommes d’Adria Conrad, un milliardaire acoquiné à Simmons. Conrad est mourant, son sel espoir de survie demeurant l’implantation d’un symbiote dérobé aux Russes. Sam l’intéresse du fait de son expérience avec Jolinar, car il désire échapper à l’emprise du Goa’uld. Pour retrouver Sam, Jack fait alliance avec Maybourne, avec qui il a sympathisé. Les deux hommes mènent l’assaut sur le repaire de Conrad, mais celui-ci, pressé par le temps, s’est fait implanter le symbiote et est devenu un hôte asservi. Simmons s’échappe avec le Goa’uld, et escompte bien tirer de lui des informations, tandis que Maybourne disparaît, soupçonné d’être l’auteur de cette manipulation. Sam est sauvée juste à temps, avant d’être disséquée.
Les épisodes conspirationnistes comptent rarement parmi les plus réussis de Stargate SG-1 et celui-ci ne fait pas exception à la règle. On perçoit en effet clairement que l’on se situe ici en dehors du domaine de prédiction des auteurs de la série. On ne passe pas impunément d’un genre à l’autre et les récits d’espionnage connaissent d’autres exigences que de l’épique Science-fiction d’aventure constituant l’ADN de la Stargate SG-1. Il y faut une intrique solide et maîtrisée, sans se laisser emporter par le souffle de l’aventure et de l’exotisme, qui peuvent justifier voire nécessiter des entorses au réalisme et des raccourcis scénaristiques. Or le duo Malluzi et Mullie ne varie absolument pas de style, d’où un différentiel extrêmement dommageable. Les auteures de The L Word, expertes dans la peinture des sentiments, avait pareillement tenté de composer une ultime saison très policière, avec un semblable échec, même si le naufrage s’avère moins absolu ici. Au total tout ce qui fait le sel d’un récit d’espionnage se voit anéanti par la trop grande facilité, sinon la désinvolture, des péripéties.
Maybourne sait tout, tout le temps, sans que l’on sache comment ; hormis de vagues explications. Il peut accéder n’importe où, briser un code informatique quasi instannément, etc. De son côté, Jack tombe instannément sur le témoin principal de l’enlèvement, Daniel a justement pile dans son dossier les données permettant de situer de situer el QG de Conrad, sans l’avoir particulièrement cherché etc. Ce n’est pas cela, une enquête. Par ailleurs, tout comme chez les Avengers, autre série d’aventure, proposer un méchant pathétique est rarement une bonne idée. Et dans le cadre d’une série d’espionnage Conrad laisse bien trop d’indices derrière lui pour être pris au sérieux. Desperate Measures reste néanmoins sauvé par le décor convaincant de l’hôpital désaffecte, mais surtout par d’excellents numéros d’acteurs, Amanda Tapping et le pittoresque Tom McBeath en tête .La relation de camaraderie mêlée de méfiance entre Jack et Maybourne résulte également très originale au sein de la série et résulte des plus savoureuses. L’épisode retrouve un allant en fin de parcours, quand on renoue avec la casse au Goa’uld. La situation finale se montre également prometteuse, appelant à un prochain développement de l’arc Conrad.
Jack O'Neill fait référence à la pile de National Geographics en sa possession. Dans la première version du script, il s'agit de numéros de Playboy.
Dans les dialogues, des références sont faites aux monstres rivaux du cinéma japonais, Godzilla et Mothra.
Sam conduit toujours sa superbe Volvo P1800 grise de 1961.
La majeure partie de l'épisode est tournée dans les locaux désaffectés du l'hôpital psychiatrique de Riverview, dans la ville de Coquitlam, à l'est de Vancouver. Une grande partie de cet hôpital construit en 1872 fut en effet progressivement fermée à compter des années 1990. Les cliniques abandonnées ont abrité de nombreux tournages se déroulant à Vancouver. Les cellules de l'épisode Eve des X-Files y sont ainsi situées, de même que les opus In my Time of Dying et Asylum de Supernatural, entre bien d'autres exemples. Trois autres épisodes de Stargate SG-1 s'y dérouleront : Icon, Ethon et Memento Mori.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
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