Série "Stargate - SG1" (1)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Oui, c'est spectaculaire et très évocateur, je suis très pressé d'en connaître un peu plus sur le scénario et sur l'époque de la série où l'action se situe (visiblement assez tôt), qui est le faux Dieu (déesse) du jour etc. . j'espère que l'on reverra d'autres visages connus, en tout c'est très prometteur... Et pas prévu sur ordinateur. Beuh.
Estuaire44- Empereur
- Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Quelqu'un m'a dit que ce serait sur tablette J'espère que ça va être diffusé sur console et pc plus tard. Je croise les doigts
En fait, ça devait être pour ce jeu la photo qu'avait posté Amanda
En fait, ça devait être pour ce jeu la photo qu'avait posté Amanda
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Oui, je pense aussi; la majorité des acteurs y participent. J'espère que ce sera aussi le cas pour leurs excellentes voix françaises !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Encore faut-il que le jeu sorte en France
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
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Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Effectivement !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je croise aussi les doigts pour que ça arrive... Et les orteils aussi
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
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Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Bonne nouvelle, Christopher sera finalement du voyage ! Les dernières news de Gateworld :
http://www.gateworld.net/news/2013/02/new-details-emerge-on-sg-1-unleashed/
http://www.gateworld.net/news/2013/02/new-details-emerge-on-sg-1-unleashed/
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Autre bonne nouvelle (décidément, c'est faste en ce moment); David Hewlett devrait prochainement mettre en scène son scénario de SF Cyber, à Toronto. On espère qu'il sera aussi devant la caméra, un Rodney hacker cela ne se manque pas ! E 2010, il avait déjà participé à san premier opus. Tant qu'on y est je vote pour une participation de sa soeur Kate.
http://twitchfilm.com/2013/02/stargate-atlantis-david-hewlett-preps-for-second-feature-scifi-horror-debug.html
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ah top!!
Oui oui oui, le frère et la soeur réunis, je vote pour aussi!!!
Oui oui oui, le frère et la soeur réunis, je vote pour aussi!!!
Heureusement qu'il est de la partie, il est dans le trailer Et puis j'aurais fait un scandale sinonEstuaire44 a écrit:Bonne nouvelle, Christopher sera finalement du voyage ! Les dernières news de Gateworld :
http://www.gateworld.net/news/2013/02/new-details-emerge-on-sg-1-unleashed/
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
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Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
J'aurais bien vu son Dog's Breakfast (Mon beau f, ma sœur et moi, 2006)
Estuaire44- Empereur
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Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Haha il est extra ce film, super drôle!!
TorriGilly- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ça fuse de partout concernant ce futur jeu
http://ugene.fr/video-stargate-sg-1-unleashed-le-jeu-video-mobile-stargate-sg-1/
http://ugene.fr/video-stargate-sg-1-unleashed-le-jeu-video-mobile-stargate-sg-1/
TorriGilly- Duc(hesse)
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Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Portrait d'Amanda Tapping
http://www.critictoo.com/les-chroniques/portrait-actrice-amanda-tapping-stargate-sanctuary/
http://www.critictoo.com/les-chroniques/portrait-actrice-amanda-tapping-stargate-sanctuary/
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je ne retiens qu'une chose, c'est une scientifique, ouais ouais ouais
Je me souviens qu'au festival Jules Verne, elle avait dit que si elle n'avait pas été actrice elle aurait fait biologiste. Et là j'étais trop fière
Je me souviens qu'au festival Jules Verne, elle avait dit que si elle n'avait pas été actrice elle aurait fait biologiste. Et là j'étais trop fière
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
En même temps Sam est près de tourner de l'oeil dans The Curse, quand Janet dissèque un symbiote...
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
C'est vilain de se moquer
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Hahaaa j'avais oublié sa tête C'est un peu la tête que j'ai faisais la semaine dernière quand on a disséqué une souris, et la semaine encore d'avant quand on a fouillé dans de l'humus à la rechercher de vers, d'acariens et d'autres bébêtes. Beurk! Et demain matin je dissèque une sardine. ReBeurk
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Le Venin du Serpent (The Serpent’s Venom, 4-14, ***)
- I just couldn't find Beck's Ancient Phoenician Symbology on CD at archaeology.com, so...
SG-1, aidée par Jacob, s’emploies à saboter une rencontre diplomatique devant sceller l’alliance d’Apophis et d’ Heru-ur et se déroulant dans un vaste champ de mines spatiales. Dans le même temps, Teal’c, en mission sur Chulak, est capturé par traitrise. D’abord torturé, il est ensuite proposé comme cadeau de réconciliation à Apophis par Heru-ur, mais parvient à s’échapper à l’assistance d’un jeune Jaffa convaincu par son héroïsme. Il est récupéré par SG-1 mais il s’avère que la conférence était un piège tendu par le Serpent. Ce dernier tue son rival et s’empare de sa flotte.
Idéalement situé en quasi mi-saison, The Serpent’s Venom présente le grand mérite de nous faire retrouver Apophis en personne, aux agissements non plus simplement évoqués. L’archi-ennemi de SG-1 se montre toujours aussi charismatique, impérieux et détestablement haïssable, tout un poème. Peter Williams visiblement se régale, nous aussi. L’intrigue principale progresse, tandis que l’apogée d’Apophis annonce déjà un flamboyant final de saison. On se réjouit aussi de voir disparaitre Heru-ur, pale copie d’Apophis, que sa similitude au Serpent privait d’intérêt véritable (quelle différence avec Osiris !). La série prend soin de marquer l’évènement par un budget supérieur à la moyenne, ce qui se traduit notamment par les artefacts réussis que constituent les mines, mais aussi par de spectaculaires effets spéciaux. Décidément l’ère des grandes batailles spatiales débute pour l’univers Stargate. L’intrigue ne départit pas d’un certain classicisme, mais se montre tonique à souhait. Elle dégage un indéniable suspense, notamment durant le segment Jacob/SG-1, mené tambour battant.
On adore que l’épisode ne sacrifie cependant pas tout à l’action et prenne le temps de développer le riche relationnel existant entre les protagonistes. Le récit s’impose comme un frappant exemple de la nature chorale de Stargate SG-1, où chaque personnage apporte sa pierre à l’édifice tout en existant par lui même. Il s’avère toujours plaisant de découvrir Sam et Daniel œuvrer de concert. Le Tel’tak confirme aussi qu’il représente un concept propice à de nombreux styles de missions et l’on ne présente évidemment plus les anneaux de transport, indissociables de la série. On regrettera toutefois l’aspect trop démonstratif et rabâcheur des mésaventures de Teal’c, dont les dialogues à rallonge se contentent de ressasser la problématique jaffa, déjà connue par cœur. Le pathos familial autour du jeune jaffa sonne également comme une redite. Si Christopher Judge nous offre un nouveau récital durant les éprouvantes scènes de torture, ses partenaires ne brillent pas par la finesse de leur jeu (litote). Reste que le twist connectant le deux histoires apporte une vrai valeur ajoutée et dynamise l’ensemble du récit.
Terok affirme à Teal'c que Brata'c a été torturé à mort. Un mensonge qui ne se verra infirmé que lors de la saison suivante (Threshold, 5-02).
L'épisode marque la disparition du Seigneur du Système Heru-ur, abattu par Apophis. Ce dernier s’empare des possessions du vaincu, atteignant ainsi le faîte de sa puissance.
Jacob informe Rak'nor que la rencontre se tiendra sur la troisième lune de Tichenor. Il s'agit d'un clin d'œil à James Tichenor, auteur, metteur en scène et spécialiste des effets spéciaux sur la série.
- I just couldn't find Beck's Ancient Phoenician Symbology on CD at archaeology.com, so...
SG-1, aidée par Jacob, s’emploies à saboter une rencontre diplomatique devant sceller l’alliance d’Apophis et d’ Heru-ur et se déroulant dans un vaste champ de mines spatiales. Dans le même temps, Teal’c, en mission sur Chulak, est capturé par traitrise. D’abord torturé, il est ensuite proposé comme cadeau de réconciliation à Apophis par Heru-ur, mais parvient à s’échapper à l’assistance d’un jeune Jaffa convaincu par son héroïsme. Il est récupéré par SG-1 mais il s’avère que la conférence était un piège tendu par le Serpent. Ce dernier tue son rival et s’empare de sa flotte.
Idéalement situé en quasi mi-saison, The Serpent’s Venom présente le grand mérite de nous faire retrouver Apophis en personne, aux agissements non plus simplement évoqués. L’archi-ennemi de SG-1 se montre toujours aussi charismatique, impérieux et détestablement haïssable, tout un poème. Peter Williams visiblement se régale, nous aussi. L’intrigue principale progresse, tandis que l’apogée d’Apophis annonce déjà un flamboyant final de saison. On se réjouit aussi de voir disparaitre Heru-ur, pale copie d’Apophis, que sa similitude au Serpent privait d’intérêt véritable (quelle différence avec Osiris !). La série prend soin de marquer l’évènement par un budget supérieur à la moyenne, ce qui se traduit notamment par les artefacts réussis que constituent les mines, mais aussi par de spectaculaires effets spéciaux. Décidément l’ère des grandes batailles spatiales débute pour l’univers Stargate. L’intrigue ne départit pas d’un certain classicisme, mais se montre tonique à souhait. Elle dégage un indéniable suspense, notamment durant le segment Jacob/SG-1, mené tambour battant.
On adore que l’épisode ne sacrifie cependant pas tout à l’action et prenne le temps de développer le riche relationnel existant entre les protagonistes. Le récit s’impose comme un frappant exemple de la nature chorale de Stargate SG-1, où chaque personnage apporte sa pierre à l’édifice tout en existant par lui même. Il s’avère toujours plaisant de découvrir Sam et Daniel œuvrer de concert. Le Tel’tak confirme aussi qu’il représente un concept propice à de nombreux styles de missions et l’on ne présente évidemment plus les anneaux de transport, indissociables de la série. On regrettera toutefois l’aspect trop démonstratif et rabâcheur des mésaventures de Teal’c, dont les dialogues à rallonge se contentent de ressasser la problématique jaffa, déjà connue par cœur. Le pathos familial autour du jeune jaffa sonne également comme une redite. Si Christopher Judge nous offre un nouveau récital durant les éprouvantes scènes de torture, ses partenaires ne brillent pas par la finesse de leur jeu (litote). Reste que le twist connectant le deux histoires apporte une vrai valeur ajoutée et dynamise l’ensemble du récit.
Terok affirme à Teal'c que Brata'c a été torturé à mort. Un mensonge qui ne se verra infirmé que lors de la saison suivante (Threshold, 5-02).
L'épisode marque la disparition du Seigneur du Système Heru-ur, abattu par Apophis. Ce dernier s’empare des possessions du vaincu, atteignant ainsi le faîte de sa puissance.
Jacob informe Rak'nor que la rencontre se tiendra sur la troisième lune de Tichenor. Il s'agit d'un clin d'œil à James Tichenor, auteur, metteur en scène et spécialiste des effets spéciaux sur la série.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Space Milkshaaaaaake
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
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Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Merci !!
Ca a l'air très bon, exactement ce que l'on en attendait !
Ca a l'air très bon, exactement ce que l'on en attendait !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Depuis le temps que je l'attendais, je suis super heureuse Mais je le serais encore plus si j'avais des sous-titres. Je suis à 7 minutes et quelques de visionnage j'ai pas vraiment tout compris
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je le verrai à tête reposée ce WE, mais c'est franchement fun. j'aurais préféré une sortie en France, mais tant pis, cela n'en prend pas le chemin. SGU aurait du ressembler à ça.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Haha, ça aurait été totalement à l'opposé du SGU que l'on connait, c'est super sombre, mais pourquoi pas, on aurait bien rigolé
J'ai arrêté, c'est ce que je vais faire aussi, ça va pas être possible ce soir c'est trop durEstuaire44 a écrit:Je le verrai à tête reposée ce WE
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
idem, traduire sur la durée d'uné épisode, ça va, sur tout un film on commence à fatiguer; on fera la petite critique tout de même.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Réaction en chaîne (Chain Reaction, 4-15, **)
- Half of all American citizens won't even vote, and the half that do vote are too stupid to know what they're doing!
- Which explains how you got elected
Le NID, jugeant Hammond trop timoré, menace sa famille afin qu’il se retire. Son remplaçant, le va-en-guerre Bauer, mène une politique catastrophique, dissolvant SG-1 et forçant Sam à conduire une expérience de bombe atomique au Naqquadah manquant de trouer à la catastrophe. Jack s’allie alors à Maybourne et parvient à faire pression sur le sénateur Kinsey, allié du NID : Hammond est réintégré.
Chain Reaction présente l’intérêt de varier la tonalité des épisodes, l’un des atouts de cette saison ou chaque aventure se différencie de la précédente. Le versant terrestre et politique de l’univers de la série s’enrichit, tandis que l’intrigue développe en creux un vibrant hommage au rôle clef tenu par le formidable Hammond, ainsi qu’à sa personnalité. Le récit peut s’appuyer sur les réjouissants numéros des interprètes toujours savoureux du visqueux Kinsey et du pittoresque Maybourne. La complicité entre ce dernier et O’neill reste d’ailleurs une jolie trouvaille des iconoclastes Mallozi & Mullie. Malheureusement ces divers éléments se trouvent gâchés par le manque de crédibilité, voire l’amateurisme, de l’ensemble.
Le thriller politico-espionnite n’est clairement pas le cœur de métier des auteurs. Il est cocasse de voir les tueurs d’élite du NID prendre soin de se garer, à deux reprises, pile sous la fenêtre des personnes visées, afin de bien prévenir celles-ci. Entrer hors champ appartient au b.a.-ba des forces d’intervention. Tout le côté hacking est léger au possible, entre autres continuelles invraisemblances. Maybourne appelle ainsi Jack sur le téléphone rouge d’Hammond, c’est ridicule. L’intrigue accumule les faiblesses, come les ellipses si pratiques ans le parcours de Maybourne ou le fait que le Président soit à ce point du côté de Jack sans que cela n’entraine de conséquences plus vastes. Susciter une paranoïa prégnant demande d’autres efforts que le recours à la va vite à quelques clichés et Stargate SG-1 répond à un autre logiciel que les X-Files. Les personnages s’avère aussi mal écrits Bauer, trop caricatural en baderne à la Folamour, s’avérant finalement un lâche, la barque est trop remplie. On s‘étonne aussi de découvrir Sam incapable de suggérer la moindre solution et se montrer cassante, voire ouvertement méprisante, envers un supérieur hiérarchique. C’est, disons, inhabituel.
Quand Jack arrive chez Hammond, on aperçoit un jeu de Puissance 4. A son départ une pastille rouge supplémentaire apparaît sans explication.
Quand Maybourne est prétendument sur Internet, la ligne d'adresse indique qu'il s'agit en fait d'un fichier présent sur son ordinateur.
L'immeuble de Maybourne se situe sur Kensington Place, non loin du Sunset Beach Park, où se tient la discussion.
La demeure du sénateur Kinsey est une résidence privée, se situant sur Groveland Road, dans l'ouest de Vancouver.
Le chien du sénateur est en fait celui de Richard Dean Anderson.
Laurence Dane interprète le Général Bauer (qui ne reste que 24h). Il avait auparavant été candidat au rôle d'Hammond.
Nous découvrons pour la seule et unique fois les deux petites-filles d'Hammond, Tessa et Kayla.
- Half of all American citizens won't even vote, and the half that do vote are too stupid to know what they're doing!
- Which explains how you got elected
Le NID, jugeant Hammond trop timoré, menace sa famille afin qu’il se retire. Son remplaçant, le va-en-guerre Bauer, mène une politique catastrophique, dissolvant SG-1 et forçant Sam à conduire une expérience de bombe atomique au Naqquadah manquant de trouer à la catastrophe. Jack s’allie alors à Maybourne et parvient à faire pression sur le sénateur Kinsey, allié du NID : Hammond est réintégré.
Chain Reaction présente l’intérêt de varier la tonalité des épisodes, l’un des atouts de cette saison ou chaque aventure se différencie de la précédente. Le versant terrestre et politique de l’univers de la série s’enrichit, tandis que l’intrigue développe en creux un vibrant hommage au rôle clef tenu par le formidable Hammond, ainsi qu’à sa personnalité. Le récit peut s’appuyer sur les réjouissants numéros des interprètes toujours savoureux du visqueux Kinsey et du pittoresque Maybourne. La complicité entre ce dernier et O’neill reste d’ailleurs une jolie trouvaille des iconoclastes Mallozi & Mullie. Malheureusement ces divers éléments se trouvent gâchés par le manque de crédibilité, voire l’amateurisme, de l’ensemble.
Le thriller politico-espionnite n’est clairement pas le cœur de métier des auteurs. Il est cocasse de voir les tueurs d’élite du NID prendre soin de se garer, à deux reprises, pile sous la fenêtre des personnes visées, afin de bien prévenir celles-ci. Entrer hors champ appartient au b.a.-ba des forces d’intervention. Tout le côté hacking est léger au possible, entre autres continuelles invraisemblances. Maybourne appelle ainsi Jack sur le téléphone rouge d’Hammond, c’est ridicule. L’intrigue accumule les faiblesses, come les ellipses si pratiques ans le parcours de Maybourne ou le fait que le Président soit à ce point du côté de Jack sans que cela n’entraine de conséquences plus vastes. Susciter une paranoïa prégnant demande d’autres efforts que le recours à la va vite à quelques clichés et Stargate SG-1 répond à un autre logiciel que les X-Files. Les personnages s’avère aussi mal écrits Bauer, trop caricatural en baderne à la Folamour, s’avérant finalement un lâche, la barque est trop remplie. On s‘étonne aussi de découvrir Sam incapable de suggérer la moindre solution et se montrer cassante, voire ouvertement méprisante, envers un supérieur hiérarchique. C’est, disons, inhabituel.
Quand Jack arrive chez Hammond, on aperçoit un jeu de Puissance 4. A son départ une pastille rouge supplémentaire apparaît sans explication.
Quand Maybourne est prétendument sur Internet, la ligne d'adresse indique qu'il s'agit en fait d'un fichier présent sur son ordinateur.
L'immeuble de Maybourne se situe sur Kensington Place, non loin du Sunset Beach Park, où se tient la discussion.
La demeure du sénateur Kinsey est une résidence privée, se situant sur Groveland Road, dans l'ouest de Vancouver.
Le chien du sénateur est en fait celui de Richard Dean Anderson.
Laurence Dane interprète le Général Bauer (qui ne reste que 24h). Il avait auparavant été candidat au rôle d'Hammond.
Nous découvrons pour la seule et unique fois les deux petites-filles d'Hammond, Tessa et Kayla.
Estuaire44- Empereur
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Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
2010 (2010, 4-16, ****)
- We've arrived at Level 28. Can anyone guess at what special room is on this floor?
-The Gate room!
- That's very, very close. Anyone else?
- Um, he's right. It's the Gate room.
- Well, what I'm sure many of you don't know is that officially, it was known as the "Embarkation room », because that's where the SG teams "embarked" from.
En 2010, dix ans plus en avant, la situation a totalement changé. SG-1 a rencontré un peuple très avances, les Aschens, qui a permis de vaincre les Goa’ulds. Leur technologie a également permis de transformer la Terre en utopie. Le SGC est démantelé, à la grande colère de Jack. La Porte sert de moyen de transport entre les mondes. Mais Sam et Janet découvrent qu’en fait, via leurs vaccins, les Aschens ont quasiment rendus les humains stériles, comptant les annihiler au fil du temps. Reconstituée, SG-1 se sacrifie fin de faire parvenir, via la Porte, un message à sa version du passé, lui enjoignant de ne pas se rendre sur le monde où elle doit rencontrer les Aschens.
2010 prend totalement à contrepied le spectateur lors de sa remarquable séquence d’introduction, dévoilant avec un remarquable sens de l’effet la situation originale, voire incongrue, du jour. Univers parallèle (Miroir quantique) ou monde illusoire (épisode suivant !), plusieurs théories se présentent à nous, avant que s’impose celle du hiatus temporel à grande échelle, une décennie. 1969, précédent opus sur le sujet, avait marqué un grand succès, l’élégante correspondance des titres (en attendant 2001), indique déjà qu’il en ira pareillement ici. Jusqu’à une conclusion efficace par sa brièveté, la narration tire joliment parti de ce changement de paradigme, réussissant plusieurs jolis coups, comme l’étude pertinente du devenir des héros, la transformation du SGC en musée, l’élection de Kinsey (qui se présente l’épisode président !), un audacieux mariage de Sam risquant d’ulcérer les fans, ou encore celle-ci se rendant (enfin !) dans la cabane de pêche de Jack… Mais dans une réalité alternative n’existant plus désormais. Décidément Stargate SG-1, pourtant avant tout un planète opéra, maîtrise à merveille les rouages du déplacement temporel. On ne s’étonne plus que ses ultimes épisode et téléfilm y soient consacrés. Toutefois l’habile Brad Wright ne cède pas à la tentation de se limiter à l’irrésistible alignement d’effets chocs. D’abord lumineux et paisible, son récit prend vite la forme d’une authentiqué dystopie, plus glaçante encore par contraste (tout à fait comme dans l’inoubliable Number 12 Looks Just Like You de La Quatrième Dimension). La mise à mort subtile et progressive de l’Humanité par les Aschens s’avère encore plus cauchemardesque que la violence brute des Goa’ulds.
La dimension eugénique de l’affaire est également bien trouvée, rattachant l’opus à tout une veine fascinante de la Science-fiction littéraire (tel le roman phare qu’est le Tous à Zanzibar de John Brunner). Le décor futuriste de la Plaza des Narions se voit idéalement employé, 2010 pouvant également copter sur le savoir faire de la série en matière d’effets spéciaux. Wright ne néglige pas le relationnel, que cela soit envers les Aschens des merveilles de suffisance imbuvable, ou lors de la chaleur de retrouvailles des membres de l’héroïque SG-1. On apprécie vivement l’importance accordée à la complicité de toujours entre Janet et Sam, celle-ci étant fort judicieusement choisie comme point de vue principal de l’action. La scène de l’étang entre Jack (Achille retiré sous sa tente) et Sam marque par son intensité, tandis que le mari de cette dernière demeure absolument transparent, mais qui s’en plaindra ? La qualité et la maîtrise globale de l’opus font que l’on passe volontiers sur quelque faiblesses, telle le phénomène solaire survenant tellement à point nommé ou la difficulté persistante à nous faire croire que personne n’ait remarqué la quasi disparition des naissances. 2010 reste bien l’un des sommets de cette quatrième saison.
L'idée des Aschen de transformer la géante gazeuse Jupiter en second Soleil est une référence à 2010 l'année du premier contact, suite de 2001, Odyssée de l'Espace. Arthur C. Clarke y étudie cette hypothèse qui permettrait de rendre la terre plus productive.
La première rencontre avec les Aschens s'effectuera malgré tout, lors de l'épisode 2001 (5-10), qui prolonge l'action de 2010.
C'est lors de cet épisode que nous découvrons que le prénom du sergent Harriman est Walter, sur une proposition de Richard Dean Anderson.
Le journal indique que le 27 juillet 2010 est un jeudi, alors qu'en fait il s'agit d'un mardi.
Malgré leurs prodiges technologiques en tous domaines, les Aschens ne sont visiblement pas parvenus à guérir la myopie, car Daniel porte toujours ses lunettes.
En 2010, le Général Hammond est supposé être mort d'un infarctus, ce sera malheureusement le cas pour Don S. Davis, décédé en 2008.
Ironiquement, Janet est ici encore vivante en 2010, alors que, dans la nouvelle trame temporelle créée par SG-1, elle mourra en 2004 (Heroes). Connaissant Janet, le savoir ne l’aurait pas arrêtée.
On peut remarquer d’autres éléments parmi les changements survenus dans le futur. Les Goa’ulds ont été vaincus et le Sénateur Kinsey a été élu Président. O’Neill et carter ont quitté l’armée, cette dernière ayant attient le grade de colonel. Elle a par ailleurs épousé un diplomate. La Porte est devenue un moyen commun de voyager entre les mondes et le SGC une attraction touristique, sous la houlette de Walter. Les Aschens ont guéri la plupart des maladies, dont le cancer et ont ralenti le vieillissement grâce à un vaccin. En l’espace de deux ans, ce vaccin a également occasionné une chute de 91% du taux mondial de natalité.
L’embarcadère de la Porte est en fait filmé dans la Plaza des Nations, à Vancouver. Cette urbanisation de type futuriste, aperçue dans plusieurs épisodes, se situe sur Pacific Boulevard, à Vancouver. Il s'agissait d'une partie du pavillon de la Colombie Britannique, édifié pour l'exposition internationale de 1986, sur le site de False Creek. L'Expo 86 était dédiée aux transports et à la communication, tout en célébrant le premier centenaire de Vancouver et de l'arrivée sur la côte ouest du Canada du premier train de voyageurs. Prévue initialement comme une structure temporaire, la Plaza fut en grande partie démolie en 2008, par mesure de sécurité. Elle avait abrité des évènements culturels et d''entreprise, ainsi qu'un casino.
- We've arrived at Level 28. Can anyone guess at what special room is on this floor?
-The Gate room!
- That's very, very close. Anyone else?
- Um, he's right. It's the Gate room.
- Well, what I'm sure many of you don't know is that officially, it was known as the "Embarkation room », because that's where the SG teams "embarked" from.
En 2010, dix ans plus en avant, la situation a totalement changé. SG-1 a rencontré un peuple très avances, les Aschens, qui a permis de vaincre les Goa’ulds. Leur technologie a également permis de transformer la Terre en utopie. Le SGC est démantelé, à la grande colère de Jack. La Porte sert de moyen de transport entre les mondes. Mais Sam et Janet découvrent qu’en fait, via leurs vaccins, les Aschens ont quasiment rendus les humains stériles, comptant les annihiler au fil du temps. Reconstituée, SG-1 se sacrifie fin de faire parvenir, via la Porte, un message à sa version du passé, lui enjoignant de ne pas se rendre sur le monde où elle doit rencontrer les Aschens.
2010 prend totalement à contrepied le spectateur lors de sa remarquable séquence d’introduction, dévoilant avec un remarquable sens de l’effet la situation originale, voire incongrue, du jour. Univers parallèle (Miroir quantique) ou monde illusoire (épisode suivant !), plusieurs théories se présentent à nous, avant que s’impose celle du hiatus temporel à grande échelle, une décennie. 1969, précédent opus sur le sujet, avait marqué un grand succès, l’élégante correspondance des titres (en attendant 2001), indique déjà qu’il en ira pareillement ici. Jusqu’à une conclusion efficace par sa brièveté, la narration tire joliment parti de ce changement de paradigme, réussissant plusieurs jolis coups, comme l’étude pertinente du devenir des héros, la transformation du SGC en musée, l’élection de Kinsey (qui se présente l’épisode président !), un audacieux mariage de Sam risquant d’ulcérer les fans, ou encore celle-ci se rendant (enfin !) dans la cabane de pêche de Jack… Mais dans une réalité alternative n’existant plus désormais. Décidément Stargate SG-1, pourtant avant tout un planète opéra, maîtrise à merveille les rouages du déplacement temporel. On ne s’étonne plus que ses ultimes épisode et téléfilm y soient consacrés. Toutefois l’habile Brad Wright ne cède pas à la tentation de se limiter à l’irrésistible alignement d’effets chocs. D’abord lumineux et paisible, son récit prend vite la forme d’une authentiqué dystopie, plus glaçante encore par contraste (tout à fait comme dans l’inoubliable Number 12 Looks Just Like You de La Quatrième Dimension). La mise à mort subtile et progressive de l’Humanité par les Aschens s’avère encore plus cauchemardesque que la violence brute des Goa’ulds.
La dimension eugénique de l’affaire est également bien trouvée, rattachant l’opus à tout une veine fascinante de la Science-fiction littéraire (tel le roman phare qu’est le Tous à Zanzibar de John Brunner). Le décor futuriste de la Plaza des Narions se voit idéalement employé, 2010 pouvant également copter sur le savoir faire de la série en matière d’effets spéciaux. Wright ne néglige pas le relationnel, que cela soit envers les Aschens des merveilles de suffisance imbuvable, ou lors de la chaleur de retrouvailles des membres de l’héroïque SG-1. On apprécie vivement l’importance accordée à la complicité de toujours entre Janet et Sam, celle-ci étant fort judicieusement choisie comme point de vue principal de l’action. La scène de l’étang entre Jack (Achille retiré sous sa tente) et Sam marque par son intensité, tandis que le mari de cette dernière demeure absolument transparent, mais qui s’en plaindra ? La qualité et la maîtrise globale de l’opus font que l’on passe volontiers sur quelque faiblesses, telle le phénomène solaire survenant tellement à point nommé ou la difficulté persistante à nous faire croire que personne n’ait remarqué la quasi disparition des naissances. 2010 reste bien l’un des sommets de cette quatrième saison.
L'idée des Aschen de transformer la géante gazeuse Jupiter en second Soleil est une référence à 2010 l'année du premier contact, suite de 2001, Odyssée de l'Espace. Arthur C. Clarke y étudie cette hypothèse qui permettrait de rendre la terre plus productive.
La première rencontre avec les Aschens s'effectuera malgré tout, lors de l'épisode 2001 (5-10), qui prolonge l'action de 2010.
C'est lors de cet épisode que nous découvrons que le prénom du sergent Harriman est Walter, sur une proposition de Richard Dean Anderson.
Le journal indique que le 27 juillet 2010 est un jeudi, alors qu'en fait il s'agit d'un mardi.
Malgré leurs prodiges technologiques en tous domaines, les Aschens ne sont visiblement pas parvenus à guérir la myopie, car Daniel porte toujours ses lunettes.
En 2010, le Général Hammond est supposé être mort d'un infarctus, ce sera malheureusement le cas pour Don S. Davis, décédé en 2008.
Ironiquement, Janet est ici encore vivante en 2010, alors que, dans la nouvelle trame temporelle créée par SG-1, elle mourra en 2004 (Heroes). Connaissant Janet, le savoir ne l’aurait pas arrêtée.
On peut remarquer d’autres éléments parmi les changements survenus dans le futur. Les Goa’ulds ont été vaincus et le Sénateur Kinsey a été élu Président. O’Neill et carter ont quitté l’armée, cette dernière ayant attient le grade de colonel. Elle a par ailleurs épousé un diplomate. La Porte est devenue un moyen commun de voyager entre les mondes et le SGC une attraction touristique, sous la houlette de Walter. Les Aschens ont guéri la plupart des maladies, dont le cancer et ont ralenti le vieillissement grâce à un vaccin. En l’espace de deux ans, ce vaccin a également occasionné une chute de 91% du taux mondial de natalité.
L’embarcadère de la Porte est en fait filmé dans la Plaza des Nations, à Vancouver. Cette urbanisation de type futuriste, aperçue dans plusieurs épisodes, se situe sur Pacific Boulevard, à Vancouver. Il s'agissait d'une partie du pavillon de la Colombie Britannique, édifié pour l'exposition internationale de 1986, sur le site de False Creek. L'Expo 86 était dédiée aux transports et à la communication, tout en célébrant le premier centenaire de Vancouver et de l'arrivée sur la côte ouest du Canada du premier train de voyageurs. Prévue initialement comme une structure temporaire, la Plaza fut en grande partie démolie en 2008, par mesure de sécurité. Elle avait abrité des évènements culturels et d''entreprise, ainsi qu'un casino.
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Pouvoir absolu (Absolute Power, 4-17, ***)
- A spark lights a flame, but a candle will only burn as long as the wick.
L'Harsiésis prend contact avec SG-1, avant d’accompagner l’équipe au SGC. Là, incité par Hammond et la Tok’ra, Daniel le sollicite afin d’avoir accès à la technologie goa’uld qu’il détient dans sa mémoire génétique. Shiffu lui transmet alors la connaissance d’un satellite militaire au terrible pouvoir dévastateur, capable de protéger la Terre. Daniel devient l’architecte du projet au fil des mois suivants, ce qui lui confère une immense autorité. Parallèlement il devient impérieux, paranoïaque et mégalomane, rompant les ponts avec ses anciens amis. Malgré les interventions de Sam et Jack, il finit par utiliser son arme pour détruire Moscou et assurer sa suprématie mondiale. Mais tout ceci n’était qu’un rêve envoyé par l’Harciésis et Daniel comprend que certaines portes doivent demeurer fermées.
L’épisode souffre d’un positionnement malheureux au sein de cette quatrième saison. En effet il succède immédiatement à 2001, qui, bien que les causes en diffèrent, nous décrit pareillement une dystopie survenue dans une réalité alternative. D’où un effet de redite rompant avec l’agréable variété des scénarios caractérisant la période. De plus l’aspect psychanalytique du scénario apparaît pour le moins fantaisiste (le conscient supposé pur s’opposant à l’inconscient par définition négatif) et fera frémir les amateurs de la discipline. Il semble également peu judicieux d’avoir choisi Daniel comme nouveau Docteur Folamour, on éprouve tout du long une incrédulité de granit sur la question. Le récit demeure également insuffisamment clair sur la nature du rêve, guidée par Shiffu ou purement généré par Daniel à partir d’un stimulus initial (ce qui serait autrement convaincant).
Malgré ces réserves non négligeables, on prend tout de même réellement du plaisir à suivre l’inexorable marche des évènements d’Absolute Power. Le dégradé des événements est suffisamment bien ajusté pour justement donner l’impression d’un cauchemar éveillé, le tout pimenté par plusieurs scènes fortes (Sam jetée en prison, Jack tentant d’abattre Daniel). On adore que, même au codeur d’une scène apocalyptique, Daniel et Jack conservent ce ton très particulier d’humour à froid distancié caractérisant leurs échanges de piques, l’un des plaisirs réguliers de Stargate SG-1. De plus, comme lors de chaque épisode centré sur Daniel, Michael Shanks sort le grand jeu et donne le meilleur pour apporter de la crédibilité à un Daniel devenu l’Homme à la Cigarette. Un beau combat. D’ailleurs Steven Williams est comme prévu de retour, pour un rôle de faucon n’allant pas ans évoquer X. L’épisode apporte également une précieuse évocation de la toute puissance (elle bien réelle) des Anciens, mime si ces derniers ne sont toujours pas identifiés. On perçoit clairement le potentiel de ce nouvel axe de développement de la série, comme la suite se chargera de le démontrer. Décidément les Maîtres de l’Ascension portent déjà le plus grand intérêt à Daniel !
La référence de Jack au Kansas est une nouvelle allusion au Magicien d‘Oz.
Nouveau caméo de Peter Deluise, en militaire des forces spéciales regardant le départ de Shifu.
La résidence de Daniel est en fait la superbe Hycroft Mansion, située sur McRae Avenue, à Vancouver. Cette villa édouardienne (1911) abrite depuis 1962 le Club des femmes universitaires de Vancouver. Elle fut édifiée par Alexander Duncan McRae, importante figure politique et économique de la Colombie britannique. Entre les deux guerres, les réceptions données par les McRae à Hycroft Mansion accueillaient toute la haute société de la ville, notamment pour le Nouvel An. Le bâtiment fut offert à la Province en 1942 et servit d’hôpital pour les anciens combattants, jusqu’en 1960.
- A spark lights a flame, but a candle will only burn as long as the wick.
L'Harsiésis prend contact avec SG-1, avant d’accompagner l’équipe au SGC. Là, incité par Hammond et la Tok’ra, Daniel le sollicite afin d’avoir accès à la technologie goa’uld qu’il détient dans sa mémoire génétique. Shiffu lui transmet alors la connaissance d’un satellite militaire au terrible pouvoir dévastateur, capable de protéger la Terre. Daniel devient l’architecte du projet au fil des mois suivants, ce qui lui confère une immense autorité. Parallèlement il devient impérieux, paranoïaque et mégalomane, rompant les ponts avec ses anciens amis. Malgré les interventions de Sam et Jack, il finit par utiliser son arme pour détruire Moscou et assurer sa suprématie mondiale. Mais tout ceci n’était qu’un rêve envoyé par l’Harciésis et Daniel comprend que certaines portes doivent demeurer fermées.
L’épisode souffre d’un positionnement malheureux au sein de cette quatrième saison. En effet il succède immédiatement à 2001, qui, bien que les causes en diffèrent, nous décrit pareillement une dystopie survenue dans une réalité alternative. D’où un effet de redite rompant avec l’agréable variété des scénarios caractérisant la période. De plus l’aspect psychanalytique du scénario apparaît pour le moins fantaisiste (le conscient supposé pur s’opposant à l’inconscient par définition négatif) et fera frémir les amateurs de la discipline. Il semble également peu judicieux d’avoir choisi Daniel comme nouveau Docteur Folamour, on éprouve tout du long une incrédulité de granit sur la question. Le récit demeure également insuffisamment clair sur la nature du rêve, guidée par Shiffu ou purement généré par Daniel à partir d’un stimulus initial (ce qui serait autrement convaincant).
Malgré ces réserves non négligeables, on prend tout de même réellement du plaisir à suivre l’inexorable marche des évènements d’Absolute Power. Le dégradé des événements est suffisamment bien ajusté pour justement donner l’impression d’un cauchemar éveillé, le tout pimenté par plusieurs scènes fortes (Sam jetée en prison, Jack tentant d’abattre Daniel). On adore que, même au codeur d’une scène apocalyptique, Daniel et Jack conservent ce ton très particulier d’humour à froid distancié caractérisant leurs échanges de piques, l’un des plaisirs réguliers de Stargate SG-1. De plus, comme lors de chaque épisode centré sur Daniel, Michael Shanks sort le grand jeu et donne le meilleur pour apporter de la crédibilité à un Daniel devenu l’Homme à la Cigarette. Un beau combat. D’ailleurs Steven Williams est comme prévu de retour, pour un rôle de faucon n’allant pas ans évoquer X. L’épisode apporte également une précieuse évocation de la toute puissance (elle bien réelle) des Anciens, mime si ces derniers ne sont toujours pas identifiés. On perçoit clairement le potentiel de ce nouvel axe de développement de la série, comme la suite se chargera de le démontrer. Décidément les Maîtres de l’Ascension portent déjà le plus grand intérêt à Daniel !
La référence de Jack au Kansas est une nouvelle allusion au Magicien d‘Oz.
Nouveau caméo de Peter Deluise, en militaire des forces spéciales regardant le départ de Shifu.
La résidence de Daniel est en fait la superbe Hycroft Mansion, située sur McRae Avenue, à Vancouver. Cette villa édouardienne (1911) abrite depuis 1962 le Club des femmes universitaires de Vancouver. Elle fut édifiée par Alexander Duncan McRae, importante figure politique et économique de la Colombie britannique. Entre les deux guerres, les réceptions données par les McRae à Hycroft Mansion accueillaient toute la haute société de la ville, notamment pour le Nouvel An. Le bâtiment fut offert à la Province en 1942 et servit d’hôpital pour les anciens combattants, jusqu’en 1960.
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
La Lumière (The Light, 4-18, *)
- Children of the Tau'ri also seem to enjoy colorful weapons that serve no function.
- It's fun !
Daniel et SG-5 tombent gravement malades quand ils reviennent d’un monde contenant un temple goa’uld désaffecté. L’une des salles du bâtiment diffuse une étrange lumière et SG-1 comprend que celle-ci est une forme de drogue pour Goa’ulds, suscitant une terrible dépendance. Sur place l’équipe découvre un jeune homme, Loran. Celui-ci avait jadis arrêté brusquement la machine, générant la lumière, occasionnant la mort de ses parents en état de manque. SG-1, aidé par un Daniel de retour, parvient à découvrir le bon procédé de fermeture, échappant ainsi au piège.
L’épisode bénéficie du magnifique décor du temple, raffiné et exotique à souhait, ainsi que de l’effet spécial effectivement fascinant de la fameuse lumière. Le problème réside dans la faiblesse insigne de l’intrigue s’y déroulant. Celle-ci se contente d’aligner des répétions multiples, que cela soit les fastidieux allers-retours avec le SGC ou la fascination exercée par la lumière, lors de scènes immobiles réitérées à satiété. Stargate SG-1 a multiplié les histoires tournant autour du périlleux mystère représenté par divers artefacts, en sachant le plus souvent ménager les rebondissements et la progression de l’intrigue pour dégager un vrai suspense. Ici le scénario subit a contrario un vaste surplace verbeux, jusqu’à une solution quasi risible d’immédiateté et de facilité (il fallait appuyer sur deux boutons et non sur un seul, diantre !). Le gamin n’apporte rien à l’intensité dramatique, par la mièvrerie de ses dialogues et le manque de présence de son interprète. On distingue aussi quelques maladresses, comme les membres de SG-5 périssant tous, Daniel survivant seul assez longtemps, sans que ce traitement de faveur ne reçoive jamais la moindre explication. The Light reste comme un cas d’école d’un sublime décor phagocytant un scénario dont le seul véritable moteur consiste à le filmer sous toutes les coutures.
Teal'c indique qu'il est âgé de 101 ans.
Vu de l’extérieur, l’immeuble de Daniel ne s’élève qu’à trois étages et ne comporte pas de balcons. Or son appartement bénéficie d’un balcon et, à l’évidence, d’une vue bien plus élevée.
L’immeuble se dénomme Five Fifty et est situé au 550 Beatty Street, à Vancouver.
L’épisode remporta un Leo Award pour le design de ses décors.
- Children of the Tau'ri also seem to enjoy colorful weapons that serve no function.
- It's fun !
Daniel et SG-5 tombent gravement malades quand ils reviennent d’un monde contenant un temple goa’uld désaffecté. L’une des salles du bâtiment diffuse une étrange lumière et SG-1 comprend que celle-ci est une forme de drogue pour Goa’ulds, suscitant une terrible dépendance. Sur place l’équipe découvre un jeune homme, Loran. Celui-ci avait jadis arrêté brusquement la machine, générant la lumière, occasionnant la mort de ses parents en état de manque. SG-1, aidé par un Daniel de retour, parvient à découvrir le bon procédé de fermeture, échappant ainsi au piège.
L’épisode bénéficie du magnifique décor du temple, raffiné et exotique à souhait, ainsi que de l’effet spécial effectivement fascinant de la fameuse lumière. Le problème réside dans la faiblesse insigne de l’intrigue s’y déroulant. Celle-ci se contente d’aligner des répétions multiples, que cela soit les fastidieux allers-retours avec le SGC ou la fascination exercée par la lumière, lors de scènes immobiles réitérées à satiété. Stargate SG-1 a multiplié les histoires tournant autour du périlleux mystère représenté par divers artefacts, en sachant le plus souvent ménager les rebondissements et la progression de l’intrigue pour dégager un vrai suspense. Ici le scénario subit a contrario un vaste surplace verbeux, jusqu’à une solution quasi risible d’immédiateté et de facilité (il fallait appuyer sur deux boutons et non sur un seul, diantre !). Le gamin n’apporte rien à l’intensité dramatique, par la mièvrerie de ses dialogues et le manque de présence de son interprète. On distingue aussi quelques maladresses, comme les membres de SG-5 périssant tous, Daniel survivant seul assez longtemps, sans que ce traitement de faveur ne reçoive jamais la moindre explication. The Light reste comme un cas d’école d’un sublime décor phagocytant un scénario dont le seul véritable moteur consiste à le filmer sous toutes les coutures.
Teal'c indique qu'il est âgé de 101 ans.
Vu de l’extérieur, l’immeuble de Daniel ne s’élève qu’à trois étages et ne comporte pas de balcons. Or son appartement bénéficie d’un balcon et, à l’évidence, d’une vue bien plus élevée.
L’immeuble se dénomme Five Fifty et est situé au 550 Beatty Street, à Vancouver.
L’épisode remporta un Leo Award pour le design de ses décors.
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Prodige (Prodigy; 4-19, **)
-I've read a lot about you, Colonel, in General Hammond's reports.
- Yes… Sir?
Lors d’une conférence à l’Académie de l’US Air Force, Sam remarque l’élève-officier Jennifer Hailey. Celle-ci, scientifique prodige, a du mal à se plier à la discipline militaire et connaît de difficultés relationnelles.. Malgré des moments difficiles, Sam se convient de l’intérêt de la faire participer au programme Stargate. Afin de lui faire appréhender les potentialités de la Porte, Sam emmène Jennifer sur une lune tranquille, où Jack et Teal’c assure la protection d’une importante base scientifique, à la demande du Chef d’Etat Major. Mais des entités électriques passent à l’attaque, forçant l’équipe à se replier, grâce à une manœuvre héroïque de Jack. Entretemps l’épreuve aura permis aux deux femmes de sympathiser.
Tout au long de la saison le duo Mullie & Mallozi aura exploré de nouvelles voies, apportant un précieux renouvellement à la série. Il en va de même pour Prodigy, où ils s’efforcent de connecter le projet Stargate au quotidien de l’US Air Force.il en va ainsi avec la visite réussie du vrai général en chef, lors de la très divertissante introduction. La manœuvre apporte de la crédibilité aux personnages, en particulier à Sam, une nouvelle fois à l’honneur ici, mais aussi à jack, dont la mission de routine rappelle judicieusement que les interventions de SG-1 ne peuvent pas toujours se situer dans l’épique (il se rattrape bien évidemment sur la fin !). Les nuées de lucioles mortelles assiégeant nos amis ne sont pas évoquer sympathiquement Quand vient la nuit aux amateurs des X-Files.
Malheureusement plusieurs erreurs d’écriture viennent gâcher l’ensemble. Il en va ainsi pour la caractérisation pour le moins évolutive d’Hailey. Celle-ci montre successivement plusieurs visages totalement différents au cours de l’histoire, les auteurs allant à marche forcée de l’antagonisme à à la complicité finale avec Sam, au prix de plusieurs clichés, dont la sempiternelle rivalité féminine. Les deux segments de l’intrigue demeurent trop disjoints, la jeune élève-officier (interprétée avec expressivité par Elisabeth Rosen) demeurant inopérante jusqu’au bout, hormis l’émission d’une hypothèse aussi gratuite qu’inutile. Pour une fois Stargate SG-1 avoisine dangereusement le machisme quand la querelle féminine se voit tranchée par le bons sens et l’assurance masculine de Jack. Il reste également maladroit de rendre Sam aussi cassante avec une subordonnée, elle qui prend toujours avec le sourire les piques de ses supérieurs.
L'US Air Force coopéra toujours bien volontiers à la production de Stargate SG-1 et Michael E. Ryan tint ici son propre rôle de Chef d'Etat Major. Durant la rencontre organisée avec l'équipe, Richard Dean Anderson lui demanda si l'US Air Force comptait bien parmi ses rangs des colonels du même style que Jack O'Neill et le Général répondit qu'on y trouvait d'encore plus fortes têtes ! Michael E. Ryan n’a ensuite pas caché être depuis toujours un grand amateur de Science-fiction.
Hailey porte des lunettes rouges pour la protéger du rayonnement d'un laser vert, alors qu'il en faudrait de la même couleur.
A l'entrée du Vortex, Hailey se situe à la droite de Carter, en en sortant, c'est devenu à gauche.
On retrouvera le Cadet Jennifer Hailey dans Proving Ground (5-13). Elle finira par parvenir à intégrer une unité SG.
Daniel ne figure pas dans l’épisode car Michael Shanks se concentrait alors sur la réalisation de Double Jeopardy (4-21). Daniel est en mission outre monde, en compagnie de SG-11.
L'épisode marque l'apparition du Dr Bill Lee, scientifique civil attaché au SGC. Il va devenir un personnage récurrent, participant à 20 épisodes de Stargate SG-1, mais aussi à Atlantis et Universe. Le sympathique et enthousiaste Bill va devenir un grand spécialiste des diverses technologies extra-terrestres découvertes par les unités SG. Ses expérimentations produiront parfois des résultats pour le moins inattendus, mais il sera toujours un précieux soutien pour Samantha Carter. Bill Lee est interprété par Bill Dow, qui fut également le Dr. Chuck Burks des X-Files.
Les équations illustrant la conférence de carter sont réelles. La scène fut tournée au Science World de Vancouver. Ce vaste espace fondé en 1977est similaire à la Cité des Sciences de l’Industrie de La Villette. Elle accueille des expositions et activités tournes vers le grand public, mais aussi des salles de conférences destinées à l’enseignement scientifique.
La cadet situé près de Jennifer et posant une question est interprété par Ivon Bartok, l’assistant personnel de Richard Dean Anderson.
C’est une des toutes premières fois que Jack O’Neill doit composer la destination de la Porte. De petits morceaux de rubans furent installés afin d’indiquer où taper à Richard Dean Anderson. Les fans de la série ont toujours eu l’œil vigilant sur les détails techniques de la manipulation de la Porte des Etoiles !
-I've read a lot about you, Colonel, in General Hammond's reports.
- Yes… Sir?
Lors d’une conférence à l’Académie de l’US Air Force, Sam remarque l’élève-officier Jennifer Hailey. Celle-ci, scientifique prodige, a du mal à se plier à la discipline militaire et connaît de difficultés relationnelles.. Malgré des moments difficiles, Sam se convient de l’intérêt de la faire participer au programme Stargate. Afin de lui faire appréhender les potentialités de la Porte, Sam emmène Jennifer sur une lune tranquille, où Jack et Teal’c assure la protection d’une importante base scientifique, à la demande du Chef d’Etat Major. Mais des entités électriques passent à l’attaque, forçant l’équipe à se replier, grâce à une manœuvre héroïque de Jack. Entretemps l’épreuve aura permis aux deux femmes de sympathiser.
Tout au long de la saison le duo Mullie & Mallozi aura exploré de nouvelles voies, apportant un précieux renouvellement à la série. Il en va de même pour Prodigy, où ils s’efforcent de connecter le projet Stargate au quotidien de l’US Air Force.il en va ainsi avec la visite réussie du vrai général en chef, lors de la très divertissante introduction. La manœuvre apporte de la crédibilité aux personnages, en particulier à Sam, une nouvelle fois à l’honneur ici, mais aussi à jack, dont la mission de routine rappelle judicieusement que les interventions de SG-1 ne peuvent pas toujours se situer dans l’épique (il se rattrape bien évidemment sur la fin !). Les nuées de lucioles mortelles assiégeant nos amis ne sont pas évoquer sympathiquement Quand vient la nuit aux amateurs des X-Files.
Malheureusement plusieurs erreurs d’écriture viennent gâcher l’ensemble. Il en va ainsi pour la caractérisation pour le moins évolutive d’Hailey. Celle-ci montre successivement plusieurs visages totalement différents au cours de l’histoire, les auteurs allant à marche forcée de l’antagonisme à à la complicité finale avec Sam, au prix de plusieurs clichés, dont la sempiternelle rivalité féminine. Les deux segments de l’intrigue demeurent trop disjoints, la jeune élève-officier (interprétée avec expressivité par Elisabeth Rosen) demeurant inopérante jusqu’au bout, hormis l’émission d’une hypothèse aussi gratuite qu’inutile. Pour une fois Stargate SG-1 avoisine dangereusement le machisme quand la querelle féminine se voit tranchée par le bons sens et l’assurance masculine de Jack. Il reste également maladroit de rendre Sam aussi cassante avec une subordonnée, elle qui prend toujours avec le sourire les piques de ses supérieurs.
L'US Air Force coopéra toujours bien volontiers à la production de Stargate SG-1 et Michael E. Ryan tint ici son propre rôle de Chef d'Etat Major. Durant la rencontre organisée avec l'équipe, Richard Dean Anderson lui demanda si l'US Air Force comptait bien parmi ses rangs des colonels du même style que Jack O'Neill et le Général répondit qu'on y trouvait d'encore plus fortes têtes ! Michael E. Ryan n’a ensuite pas caché être depuis toujours un grand amateur de Science-fiction.
Hailey porte des lunettes rouges pour la protéger du rayonnement d'un laser vert, alors qu'il en faudrait de la même couleur.
A l'entrée du Vortex, Hailey se situe à la droite de Carter, en en sortant, c'est devenu à gauche.
On retrouvera le Cadet Jennifer Hailey dans Proving Ground (5-13). Elle finira par parvenir à intégrer une unité SG.
Daniel ne figure pas dans l’épisode car Michael Shanks se concentrait alors sur la réalisation de Double Jeopardy (4-21). Daniel est en mission outre monde, en compagnie de SG-11.
L'épisode marque l'apparition du Dr Bill Lee, scientifique civil attaché au SGC. Il va devenir un personnage récurrent, participant à 20 épisodes de Stargate SG-1, mais aussi à Atlantis et Universe. Le sympathique et enthousiaste Bill va devenir un grand spécialiste des diverses technologies extra-terrestres découvertes par les unités SG. Ses expérimentations produiront parfois des résultats pour le moins inattendus, mais il sera toujours un précieux soutien pour Samantha Carter. Bill Lee est interprété par Bill Dow, qui fut également le Dr. Chuck Burks des X-Files.
Les équations illustrant la conférence de carter sont réelles. La scène fut tournée au Science World de Vancouver. Ce vaste espace fondé en 1977est similaire à la Cité des Sciences de l’Industrie de La Villette. Elle accueille des expositions et activités tournes vers le grand public, mais aussi des salles de conférences destinées à l’enseignement scientifique.
La cadet situé près de Jennifer et posant une question est interprété par Ivon Bartok, l’assistant personnel de Richard Dean Anderson.
C’est une des toutes premières fois que Jack O’Neill doit composer la destination de la Porte. De petits morceaux de rubans furent installés afin d’indiquer où taper à Richard Dean Anderson. Les fans de la série ont toujours eu l’œil vigilant sur les détails techniques de la manipulation de la Porte des Etoiles !
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