Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
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Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Vu sa position sur l'échiquier, c'est bien une tour; c'est la traduction française qui cloche. Vers la fin de l'épisode, on parle de tour (dans laquelle le 6 avec un aide maitrisent deux individus). Peut-être pour éviter la confusion. 'Rook' c'est aussi une sorte de corbeau en anglais.
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Pardonnez moi si jamais cela a déjà été évoqué ici, mais je me permets d'attirer l'attention des amateurs de la série Le Prisonnier (une de mes favorites...) que le fameux village de Portmeirion (que j'ai eu l'opportunité de visiter en 2010 : à recommander ! ) avait déjà été exploité dans plusieurs épisodes de Destination Danger (que j'adore aussi !) avec le même Patrick McGoohan (qui s'en est souvenu !)...
Plus de détails ici :
http://danger-man.co.uk/portmeirionDM.asp
Carl
Plus de détails ici :
http://danger-man.co.uk/portmeirionDM.asp
Carl
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Oui, dans Le paysage qui accuse, et Enterrons les morts, deux épisodes de la saison 1. J'ignore s'il a déjà été réutilisé dans les saisons suivantes.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Ca fait plus de 15 ans que je n'ai pas revu cet épisode mais il me semblait que tout tournait autour d'une énorme farce faite en hommage au n°6 : on lui offre une évasion (avec la complicité des habitants) pour lui faire plaisir, puis on le ramène au village pour lui faire comprendre du même coup que toute tentative est impossible et désespérée.denis a écrit:Comment peut-on arriver à une note similaire avec des avis différents ? La preuve. Sinon, les côtes, Dear, ne sont pas celles de Douvres mais des abords de Brighton. Depuis l'écriture de la fiche, Georgina Cookson et Sir Donald Sinden sont décédés (2011 et 2014).Cet épisode a toujours été synonyme pour moi de première partie sensationnelle et de fin ratée. Le N°6 se réveille et le village est complètement désert (à part un chat noir) : il s’empare d’un taxi Moke et se rend compte qu’il n’y a pas d’échappatoire par la route à cause de l’obstacle naturel constitué par les montagnes. Il construit un radeau (le 6 est excellent dans le travail du bois comme on l’a vu dans The Chimes) et navigue plusieurs semaines avant de rencontrer un navire hostile qu’il aborde (les deux occupants parlent allemand et se nourrissent de boites de fayots du Village). Il débarque sur la côte, monte dans un camion et arrive au milieu de Londres (superbe plan devant Marble Arch). Un début à L’heure perdue des Avengers. Après, ça se gâte quand il revient chez lui ; l’appartement et la voiture appartiennent à une femme et le N°6 se fait embobiner comme un enfant avant de se jeter dans la gueule du loup en se rendant dans ses anciens bureaux (dès l’apparition de Cargill, le téléspectateur sait qu’il y a coup tordu !). Il n’a pas pris de douche depuis des semaines et il ne doit pas sentir la rose, assis sur le canapé dévorant les sandwichs !Si la première partie est absente de dialogue, la seconde est trop bavarde et la fin se renifle à des kilomètres. On ne sait jamais pourquoi le village était désert (un rêve du N°6 ?), ni s’il y a une justification (Why ? comme N°6 l’écrit dans The General). On sait simplement que l’ancien employeur de l’agent fait partie du complot et que le Village est au large de Gibraltar. L’atout de cet épisode est les extérieurs (et aussi la musique très originale). Portmeirion désert, filmé comme je l’ai découvert vingt ans après le tournage, est sublime et je me revois tel McGoohan prendre des photos (de nos jours, ce n’est plus possible car l’accès est fermé après les heures d’ouverture). Mais aussi la côte et Londres. A noter que le numéro 2 n’est pas présent dans la petite séquence post-générique, vraisemblablement pour entretenir le suspense. La belle sauvageonne tsigane qui donne à boire à notre héros est Nike Arrighi que j’avais repérée dans deux épisodes de L’homme à la valise, tourné en même temps. Ah, j’allais oublier : les fans anglaises ont dû se pâmer devant les pyjamas bondiens très sexy du N°6 ! Avec un dénouement final différent, cet épisode aurait pu conclure la série.
Est-on vraiment sûr de la localisation du village, les appareillage sont ils fiables et tout ceci n'est-il pas un leurre, une mise-en-scène ?
Ce n'est pas dans cet épisode que celui-ci donne un nom (Peter Smith) supposé faux (car finalement nous n'en avons aucune certitude).
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Hammer into Anvil – Le marteau et l’enclume §§
Patrick Cargill est un numéro 2 magistral par sa perversité et son sadisme, mais le numéro 6 le casse, le broie et finit par le faire pleurnicher et demander son remplacement au numéro 1. C’est une victoire sans appel. Ceci dit, j’ai trouvé l’épisode répétitif, parfois illogique, auquel il manque un twist final inattendu. Le suicide du 73 n’a servi qu’à mettre le Prisonnier en rage. S’il était aussi simple de vaincre un numéro 2– il y eut de moins redoutables que celui-ci -, on se demande pourquoi le 6 est toujours en cage ! Le numéro 6 compte sur la peur paranoïaque du 2 face à l’autorité du 1 pour lui faire croire qu’il prépare un plan secret. Il fomente ainsi plusieurs évènements plus incroyables les uns que les autres (le coucou et le pigeon sont les pompons). Un épisode moyen pour moi malgré un superbe Patrick Cargill qui se délabre de minute en minute et la cocasse scène du 6 en train d’écouter les disques de L’arlésienne dans la boutique. Dommage que le 73, Hilary Dwyer, ait une participation si courte. Quel est ce kosho ridicule entre le 6 et le 14 ?
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
A sérib : On ne connait pas l'implication des habitants. Il paraît plus probable qu'ils ont été drogués et amenés quelque part (les bases souterraines ?). Il est patent que ce n'est en effet qu'une mauvaise farce des autorités pour jouer un bon tour au Numéro 6. Oui, le fameux Peter Smith a fait couler pas mal d'encre. C'est un nom passe-partout qui est probablement un faux, mais encore une fois pas de certitude.
Pour la localisation du Village, les infos se contredisent entre les épisodes, ce qui est sans doute une erreur de continuité. De toute manière, dans l'esprit de McGoohan, le Village est le monde entier, donc ça n'a pas d'importance l'endroit où se trouve CE Village. Il est possible par ailleurs que pour la même raison il y ait plusieurs Villages identiques et que le Village du Carillon ne soit pas celui du Retour. Mais si on fait le tour des hypothèses, ça peut durer longtemps !
A denis : j'ai trouvé cet épisode particulièrement intense, avec une belle réflexion sur la paranoïa que cause un pouvoir dictatorial, qui rappelle le Mirror de la Twilight Zone. Pour répondre à ta question, la machination de Numéro 6 ne marche que parce qu'il a analysé le Numéro 2 comme étant quelqu'un prêt à réagir au quart de tour au moindre soupçon, à cause de son pouvoir autocratique assumé. Les autres Numéros 2 sauvent les apparences, pas lui, c'est le Maître, un point c'est tout ; par conséquent la moindre remise en cause de son pouvoir le rend fou de colère ou d'angoisse. Le plan de Numéro 6, un bluff continu, échouerait à coup sûr devant les autres Numéro 2, plus posés et réfléchis que celui-là. C'est un plan adapté à l'adversaire du jour, la meilleure tactique qui soit.
Pour la localisation du Village, les infos se contredisent entre les épisodes, ce qui est sans doute une erreur de continuité. De toute manière, dans l'esprit de McGoohan, le Village est le monde entier, donc ça n'a pas d'importance l'endroit où se trouve CE Village. Il est possible par ailleurs que pour la même raison il y ait plusieurs Villages identiques et que le Village du Carillon ne soit pas celui du Retour. Mais si on fait le tour des hypothèses, ça peut durer longtemps !
A denis : j'ai trouvé cet épisode particulièrement intense, avec une belle réflexion sur la paranoïa que cause un pouvoir dictatorial, qui rappelle le Mirror de la Twilight Zone. Pour répondre à ta question, la machination de Numéro 6 ne marche que parce qu'il a analysé le Numéro 2 comme étant quelqu'un prêt à réagir au quart de tour au moindre soupçon, à cause de son pouvoir autocratique assumé. Les autres Numéros 2 sauvent les apparences, pas lui, c'est le Maître, un point c'est tout ; par conséquent la moindre remise en cause de son pouvoir le rend fou de colère ou d'angoisse. Le plan de Numéro 6, un bluff continu, échouerait à coup sûr devant les autres Numéro 2, plus posés et réfléchis que celui-là. C'est un plan adapté à l'adversaire du jour, la meilleure tactique qui soit.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
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Date d'inscription : 08/02/2010
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
It’s Your Funeral – L’enterrement §§§
Un épisode original où le Numéro six prend du galon en s’immisçant judicieusement dans une guerre de succession entre numéros deux. Averti d’un complot visant à assassiner un 2 vieillissant, le Prisonnier parvient à tirer avantage et affaiblir le prochain 2 – un jeune loup arriviste - avant que celui-ci ait pris pleinement les fonctions au Village. Les principales guest stars sont deux acteurs qu’on retrouvera dans Amicalement vôtre quelques années plus tard : Derren Nesbitt est un bon et excentrique numéro 2 – le seul gay de la série avec son homme de main n° 100 en rose – et Annette Andre (N°50) est mise plus en valeur que dans La danseuse. On ne peut pas dire que la série foisonne de jolies filles et après Jane Merrow, c’est la seconde à avoir un rôle consistant. Dans cet épisode, il y a aussi Wanda Ventham (N°8, qui épie le Prisonnier) avec un rôle plus modeste. La séquence d’introduction est excellente (‘Tell them I was not interested’). Le 6 ne tombe pas dans le panneau et il est tout de suite conscient, dans son pyjama sexy, que la belle est envoyée par le Dôme Vert (d’ailleurs, la porte est ouverte automatiquement). Mais, sans user de son charme, il parviendra à utiliser la fille, qui fut droguée la veille et manipulée à son insu, à bon escient. Comme prévu dans le plan du jeune numéro 2, le 6 l’avertit du complot visant à l’assassiner de peur que les habitants du Village soient punis, sauf que le 2 visé –le vieux – est la véritable cible.
A part l’introduction, la séquence des anticipations des activités journalières est cocasse - on y reconnaît de suite le peintre à sa diction (c’est Charles Lloyd Pack de la Poussière qui tue et ses fameuses chaussettes) – la longue séquence de kosho est tellement déconcertante qu’on l’apprécie ici, surtout qu’on comprend enfin le but final. J’ai noté aussi la tentative de faire passer le 6 pour un menteur et le discréditer avec la succession de 2 (qu’on n’a d’ailleurs jamais vu) et la bagarre finale. Dans les points négatifs ; le fait de piquer la montre du 6 pour l’envoyer voir l’horloger, le père de la fille, qui a préparé la bombe, et l’exemple d’épisode tourné en studio. Toutes les vues du village sont des inserts avec des figurants, le reste n’est qu’une reconstitution. Malgré des invraisemblances – mais quel épisode n’en a pas dans cette série ? - et des critiques négatives, cet épisode est divertissant et reste cohérent. En tout cas, même à l’époque, les économies pour les retraites étaient un sujet d’actualité !
A part l’introduction, la séquence des anticipations des activités journalières est cocasse - on y reconnaît de suite le peintre à sa diction (c’est Charles Lloyd Pack de la Poussière qui tue et ses fameuses chaussettes) – la longue séquence de kosho est tellement déconcertante qu’on l’apprécie ici, surtout qu’on comprend enfin le but final. J’ai noté aussi la tentative de faire passer le 6 pour un menteur et le discréditer avec la succession de 2 (qu’on n’a d’ailleurs jamais vu) et la bagarre finale. Dans les points négatifs ; le fait de piquer la montre du 6 pour l’envoyer voir l’horloger, le père de la fille, qui a préparé la bombe, et l’exemple d’épisode tourné en studio. Toutes les vues du village sont des inserts avec des figurants, le reste n’est qu’une reconstitution. Malgré des invraisemblances – mais quel épisode n’en a pas dans cette série ? - et des critiques négatives, cet épisode est divertissant et reste cohérent. En tout cas, même à l’époque, les économies pour les retraites étaient un sujet d’actualité !
Invité- Invité
A Change of Mind – J’ai changé d’avis §§
Comme The General, le message de l’épisode est primordial et toujours d’actualité, mais le déroulé de l’opus est le plus souvent lent, bavard et ennuyeux. L’intrigue tourne autour d’un Comité chargé de remettre dans le droit chemin ceux qui pensent et agissent hors-norme. Ils ne doivent pas se justifier mais se confesser et se repentir. Cela fait terriblement penser aux auteurs de ‘dérapages’ de nos jours, qui doivent s’auto-flageller pour être sorti du chemin balisé de la pensée unique. Le N°6 défie le Comité et il est déclaré ‘unmutual’ (asocial) et tout le monde l’évite. Là encore, c’est la politique socialiste d’obligation de socialiser, du ‘vivre ensemble’, qui est décrite et gare à ceux qui la dénigrent : ils sont vilipendés. Il y a même un sous-comité d’appel, composé de quatre boudins, pour remettre le 6 dans le chemin avant qu’il ne soit trop tard ; c’est le Terra Nova socialiste ! Le 6 résiste et se moque et il doit subir une ‘conversion sociale instantanée’ (en clair, une lobotomie) afin de lui supprimer toute agressivité et le rendre docile comme un mouton. A mettre en parallèle avec le politiquement correct que nous vomissent nos médias formatées à longueurs de journée afin d’empêcher la masse de réfléchir.
Finalement, le traitement n’est pas administré car le 6 a trop de valeur mais il pense qu’il l’a eu. Quand il réalise que ce n’est pas le cas, il finit par retourner la situation et le N°2 est, à on tour, taxé d’asocial. 4 pour l’idée, 2 pour l’épisode, car comme écrit plus haut, il n’y a pas grand chose d’intéressant : la séquence de l’ ‘opération’ est trop longue, le 2 sans saveur, la scène d’hypnose ne convainc pas (c’est pourtant celle qui est censée amener le twist final). Pour couronner le tout, l’épisode est exclusivement tourné en studio avec parfois des ‘backdrops’ (décors peints) et quelques rares inserts de Portmeirion. La seule scène tournée au Village pour cet épisode est la dernière, lorsque le 2 tente d’échapper aux villageois (mais la doublure trop mince fait sourire).
Il ne reste que le message et la présence d’Angela Browne que le Prisonnier préfère en robe plutôt qu’en pantalon (il a bien raison). Elle est la ravissante N°86, la doctoresse, dans un rôle principal où l’actrice est remarquable, comme lors de ses apparitions dans The Avengers et un épisode clé de L’homme à la valise. La meilleure scène de l’épisode – et une des meilleures de la série – est la préparation du thé et l’échange des tasses. ‘Stupid woman !’
Invité- Invité
Do Not Forsake Me, Oh My Darling - L’impossible pardon §
Dear, tu parles de N°30 plusieurs fois dans ta critique de It's Your Funeral, mais c'est le N°50 en fait (l'image du Blu-ray aide car le chiffre est noir et plus difficile à lire).
Sans intérêt. Patrick McGoohan avait besoin de temps pour tourner un film, et il n’apparait qu’au commencement et à la fin de cette aventure, qui marque le début de la fin (la scène finale est la seule que l’acteur tourna pour cet épisode). Pour être honnête, je pense n’avoir jamais vu en entier cet épisode et il n’a pas dû être diffusé très souvent tant il ne représente pas la série. Il y a déjà cette séquence pré-générique inhabituelle puis l’absence de dialogue numéro 2/6 post-générique. L’histoire de transmissions d’esprits n’a rien à voir avec Qui suis-je ??? des Avengers, car il n’y a pas d’humour et l’intrigue est creuse. En plus de cela, on repère facilement des erreurs de montage et de doublures très fréquemment (c’est Patrick McGoohan qui conduit la Lotus dans certains plans de Londres par exemple). Il y a quelques images de Portmeirion d’hélicoptère (des inserts), d’autres scènes sont reprises d’épisodes pour le flashback ou certains passages (la soirée/A.B. and C., N°6 marchant dans son logement/Once Upon a Time). Plus fort : à l’arrivée du Colonel en taxi, on voit même McGoohan à l’arrière ! Un épisode fait en dépit du bon sens.
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Je me suis toujours demandé quel était le sens tu titre original ?
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Le titre original, c'est ce que dit le N°6 (avec son apparence de Colonel) à sa fiancée Janet. Par contre, le titre français, là, aucune idée. Peut-être n'ont-ils pas vu tout l'épisode....
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Il fait partie des 3 épisodes atypiques diffusés pour la première fois chez nous en 1991.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
1991. Ok, c'est pour ça. J'ai dû voir des extraits sur le net, mais pas l'ensemble d'un seul coup.séribibi a écrit:Il fait partie des 3 épisodes atypiques diffusés pour la première fois chez nous en 1991.
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
denis a écrit:Sans intérêt. Patrick McGoohan avait besoin de temps pour tourner un film Un épisode fait en dépit du bon sens.
+1
Un épisode qui aurait mérité de rester inédit, il le fut longtemps en France.
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
C'est, en effet, le plus faible des 3 épisodes "récréatifs".
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
euh "la mort en marche", quasi film muet, les scénaristes avaient fumé avant d'écrire
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Une belle entorse aux codes de la série dans cet épisode : que font des enfants au Village ?
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Living in Harmony – Musique douce §
Harmony est un caprice de star : McGoohan adorait les westerns et il s’est servi de son jouet pour en faire un. Il n’y a pas de générique et le film commence directement par un cow-boy à cheval dans une vallée, de telle sorte qu’on peut penser visionner une des nombreuses séries western de l’époque. Sauf que les meilleures, comme Chaparral, étaient tournées totalement en extérieurs ce qui est loin d’être le cas ici. Ce western est certes divertissant et on a droit à tous les clichés du genre : le shérif, le saloon, la prison, les bagarres, le duel, le juge (N°2), la ‘girl’, le ‘bad boy’….D’ailleurs, celui-ci, muet et mal fagoté, est particulièrement énervant avec ses simagrées de demeuré (scène de la prison). Le problème est que cela n’a rien à voir avec The Prisoner et que les aficionados s’attendent à voir le 6 dans son village (pas en carton-pâte de préférence) avec une intrigue, une tentative d’évasion et un twist qui scotche au fauteuil. En fait, ce dernier est une ridicule tragi-comédie. Ce ‘western’ ne vaut pas les originaux même si McGoohan s’en tire très bien dans le rôle d’un shérif pacifiste, mais il n’arrive pas à la cheville d’un autre cow-boy énigmatique de westerns européens à la vogue de l’époque, Clint Eastwood. McGoohan s’est fait plaisir et a ainsi bouclé un épisode d’une série pour laquelle il n’avait plus d’idées (ou plus de scénaristes à la hauteur après le départ de Markstein), mais cela n’apporte rien à la série. Au contraire. A noter que cinq scènes furent censurées en Grande-Bretagne jusqu’en 1984 !
Invité- Invité
The Girl Who Was Death – La mort en marche §
Cet opus clôt la trilogie des épisodes déjantés bouche-trous. Des trois, c’est sûrement le ‘western’ qui aurait ma préférence, mais aucun ne fait honneur à la série. The Girl est une parodie qui emprunte beaucoup aux Avengers (You have just been poisoned – la fusée est la bombe), mais, à côté, la saison 6 de Tara King, c’est du sérieux collé-monté ! Référence aussi à James Bond (sans les filles collantes, hein, il ne faut pas plaisanter avec ça avec McGoohan !) et Mission Impossible (la scène au disquaire). Avec ce genre d’épisodes, une conclusion bizarroïde n’était pas à exclure et je comprends qu’à moitié que les fans du programme de l’époque furent surpris. Pourtant, tout avait bien commencé dans cet épisode avec un générique et une séquence 2/6 normaux. Ensuite, c’est indescriptible (et longtemps muet) et je me demande ce qu’avait pris le scénariste pour pondre cela. L’histoire d’un savant illuminé qui veut envoyer sa fusée-bombe sur Londres avec sa fille, Death, complètement démoniaque qui en fait voir de toutes les couleurs à N°6. En tout cas, les séries de l’époque –Avengers compris – étaient plutôt obnubilées par notre Empereur. La dernière scène, seul lien avec le Village, dans laquelle le 6 lit des histoires à des enfants est du n’importe quoi. On remarque Justine Lord, plutôt jolie même avec un casque à pointe, et la barmaid à la poitrine généreuse. En conclusion, les trois épisodes restés inédits chez nous jusqu’en 1991 forment une sorte d’excroissance à la série et n’en sont pas représentatifs. Ils peuvent aisément être laissés de côté…surtout que c’est ce que McGoohan a fait en étant aux USA laissant sa place à sa doublure (scènes de Sherlock Holmes par exemple).
Invité- Invité
Once Upon a Time – Il était une fois §§
Les grands moyens sont employés pour faire fléchir le N°6 : ‘Degree Absolute’. Un huis clos d’une semaine entre le N°2 et le 6, retombé en enfance, sous l’œil du majordome. Un seul survivra. On est de retour au Village; enfin, le souterrain du Village. Le N°2, c’est Leo McKern, excellent dans ce rôle et il le fallait ! Après l’étude du dossier du 6 et quelques flashbacks, le 2 décide que le degré absolu est la seule solution. Le lavage de cerveau à la lampe et le N°2 en train de chanter des comptines est cocasse. C’est ensuite la descente dans les sous-sols et le huis clos. La vie du N°6 est passée en revue avec toujours l’éternelle question : ‘Why did you resign ?’. Le 2 en figure autoritaire est inquiétant, mais le 6 gagne de l’assurance avec l’ ‘âge’ (et le conditionnement qui s’estompe). Le duel est phénoménal, même si parfois, on sent le remplissage. En tout cas, l’implication de McKern est palpable (il était au bord de la crise cardiaque parait-il !). Une bataille d’esprits que le 2 emporte même si McKern vole la vedette à McGoohan. Une excellente idée de départ qui tourne le plus souvent par la suite à de l’incohérence, du grotesque et de la folie pure. Il y a néanmoins d’excellents échanges tels que sur l’individualisme et la société (la notion de loup solitaire) et la ‘dernière minute’ est envoutante. Faut aimer cette ambiance surréaliste et théâtrale ; moi, j’ai dû mal. Le 6 est invité à voir le Numéro 1 par le Superviseur : un des plus gros cliffhangers de séries, supposé annoncer une seconde saison !
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Excellent épisode qui ne fut diffusé chez nous qu'en 1984 dans "Temps X". Les distributeurs français n'avaient pas compris à l'époque, et pendant longtemps, qu'il était relié au dernier ("Le dénouement"), qui fut -lui- bien diffusé dans nos contrées dés 1968.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Fall Out – Le dénouement §
Voilà, j'en ai terminé avec cette série culte. Pas de générique (c’est mauvais signe), mais un long résumé de Once Upon a Time à la place et Portmeirion est enfin dévoilé comme lieu de tournage. On reprend exactement là où on s’est arrêté. On conduit le 6 dans un couloir au son de All You Need Is Love (c’est sympathique) et on arrive devant une sorte de tribunal, qui va constituer l’essentiel de l’épisode. C’est bavard et ennuyeux, avant que le 6 ne rencontre le numéro 1 (lui-même sous deux déguisements), fasse décoller une fusée et retourne à Londres accompagné du 48 et de l’ancien 2, McKern ressuscité.
Cet ultime épisode me fait le même effet que la première fois : amusement et incrédulité. C’est du foutage de gueule et on se met à la place des téléspectateurs de l’époque, période – je le rappelle – où les épisodes étaient diffusés au rythme d’un par semaine. Tout ça pour ça a dû être la réaction de la majorité. Ah, cette fusée qui décolle du village….McGoohan voulait sûrement arrêter et la série ne devait pas être de toute façon renouvelée. Il a eu le courage ou le culot (pas le génie, faut pas exagérer !) de fournir ça, car c'est particulièrement difficile à regarder sans jeter un coup d’œil sur sa montre toutes les cinq minutes. Il faut néanmoins se placer dans le contexte : McGoohan était parti aux USA tourner un long métrage et il savait à son départ qu’il n’y aurait plus que quatre autres épisodes produits. En son absence et à son retour, les trois épisodes ‘bizarres’ furent tournés. L’acteur n’avait plus beaucoup de temps de conclure – et pas trop d’idée - et il se servit d’Once Upon, tourné juste après The Chimes, pour trouver une conclusion qui envoie ‘paitre ses détracteurs’ et qui, en même temps, saborde son jouet. De toute façon, une seconde saison n’aurait pas été envisageable vu le caractère impossible de McGoohan qui faisait vivre un enfer aux acteurs et à la production. D’ailleurs, l’égocentrisme de l’acteur/scénariste/producteur/réalisateur ressort dans l’ultime volet par la place qu’il prend sur le trône et les ‘Sir’ et ‘You are the greatest’ qui lui sont destinés !
Cette fin est complètement nulle mais c’est donc fait exprès. La série est devenue culte après coup, mais beaucoup – j’en fais partie – retiennent de la série ce qui faisait son charme au début : ce mélange réussi d'espionnage et de fantastique dans un village atypique. Ces intrigues tarabiscotées à diverses interprétations ont fait l’objet d’études et la série est encore décortiquée pour tenter de comprendre son message, mais elle a toujours résisté à son explication. La fin, qui n’apporte aucune solution, laisse la porte ouverte à notre propre interprétation et elle a contribué au statut atteint par la série. C'est aujourd'hui une œuvre à part, hors des canons traditionnels, et surtout intemporelle, car les sujets de société traités sont toujours d’actualité, comme les parallèles personnels que j’ai parfois tirés sur la liberté d’expression, les limites de la démocratie et le refus de la conformité. Et puis, le Village est une anticipation de la mondialisation qu’on vit actuellement.
Patrick McGoohan a réussi son coup : la série est devenue culte et on en parle encore presque un demi-siècle après et je ne pense pas que cela aurait été le cas si la fin avait été cartésienne.
La série permet d’avoir une lecture personnelle et pour moi, c’est une suite directe à Destination danger et le N°6 est John Drake. McGoohan l’a démenti mais George Markstein, un des concepteurs, l’a affirmé. Je crois plus volontiers le second dans ce cas. D’ailleurs, Markstein a détesté cette conclusion « surréaliste ». Je dois avouer que je décroche souvent après le douzième opus et les derniers ne font pas partie de mes préférés – je les considère dans l’ensemble ratés – mais cela ne m’empêche pas de penser que la série est globalement une réussite et qu’elle mérite son statut. D’ailleurs, je garde un merveilleux souvenir de ma découverte de Portmeirion et du 1, Buckingham Place. Mon top 5 de la série ; dans l’ordre : L’arrivée (Arrival), Double personnalité (The Schizoid Man), Echec et mat (Checkmate), A. B. et C. (A. B. and C.) et Le retour (Many Happy Returns).
Be Seeing You.
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
denis a écrit:C’est du foutage de gueule
100% d'accord, et comme toi, j'aime mieux le début de la série que les derniers épisodes loufoques.
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Très bonne conclusion et très bonnes critiques, même si j'aime "Le dénouement" (je le trouve délirant et le finish abrupt se concluant sur la 1ère séquence résonne longtemps après sa vision).
On peut d'ailleurs émettre l'hypothèse que le n°6, sous la pression et l'exercice éprouvant de contrôle mental imposé par le n°2, devient fou et imagine tout ce qui se passe.
Paradoxalement au tollé qu'il fit à l'époque un peu partout, en France, il est amusant de constater que cet épisode fut quasi-inédit chez nous jusqu'en 84 : 1 seule diffusion en mai 1968, diffusion qui plus est largement occultée par les évènements.
En 1984 donc, pratiquement personne ne connaissait cet ultime épisode, qui, par ailleurs, avait été diffusé 16 ans avant sans sa 1ère partie, le rendant d'autant plus incompréhensible.
On peut d'ailleurs émettre l'hypothèse que le n°6, sous la pression et l'exercice éprouvant de contrôle mental imposé par le n°2, devient fou et imagine tout ce qui se passe.
Paradoxalement au tollé qu'il fit à l'époque un peu partout, en France, il est amusant de constater que cet épisode fut quasi-inédit chez nous jusqu'en 84 : 1 seule diffusion en mai 1968, diffusion qui plus est largement occultée par les évènements.
En 1984 donc, pratiquement personne ne connaissait cet ultime épisode, qui, par ailleurs, avait été diffusé 16 ans avant sans sa 1ère partie, le rendant d'autant plus incompréhensible.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Pour le titre français "l'impossible pardon", j'ai une théorie : les traducteurs ont confondu "forgive" (pardonner) et forsake (abandonner). Le titre original étant bien sûr une référence à la chanson du Train sifflera trois fois.
Bonnes critiques de denis qui reflètent en effet la vision de la série par un œil cartésien. Je persiste à penser qu'il ne s'agit pas du meilleur angle de vue pour apprécier la série (métaphorico-symbolique derrière le divertissement). J'apprécie la trilogie décalée : une humanisation émouvante du Numéro 6, arraché à tout ce qu'il aimait par son kidnapping ; un western palpitant qui joue bien avec les codes du genre ; et bien sûr la parodie frénétique de John Drake (le scénario était au départ destiné à Destination Danger). Il était une fois demeure un modèle de tension furieuse (Leo McKern s'effondra sous la pression et fut incapable de tourner pendant quelques jours, il ne regrette toutefois pas l'expérience). Génie je maintiens : écrire/réaliser un final de série aussi rapidement et avec une telle richesse d'écriture, sans absolument aucun équivalent, c'est un exploit quasi unique. Le final pensé par Markstein était intéressant et plus "réaliste" - quoique se heurtant à quelques contradictions - sans être aussi génial que la solution de McGoohan. Une solution tirée directement de son expérience d'agent secret.
En fait, le Numéro 6 avait proposé à ses supérieurs, au début de sa carrière, de créer une retraite confortable pour des agents secrets plus en service présentant un "risque pour la sécurité" : on les maintiendrait prisonniers mais ils n'auraient pas cette impression due à l'atmosphère paradisiaque des lieux et à leur semi-liberté relative. Numéro 6 découvre plus tard que son idée a été prise mais "revue et corrigée" de manière à ce qu'elle devienne une prison, un camp d'interrogatoire, un régime dictatorial supprimant la liberté de penser, l'individualité, etc. Furieux et dégoûté, il démissionne sans donner d'explication tout en sachant très bien qu'il va se faire kidnapper et amener là-bas... sauf que le Village est tellement différent, tellement éloigné de ce à quoi il pouvait s'imaginer, que cela explique pourquoi il est perdu au début du pilote, surtout qu'il ne sait pas si c'est un Village de l'Est ou de l'Ouest. Dès lors, il cherche à trouver la localisation du Village - but de sa démission menant au kidnapping - et à s'évader pour trouver un moyen de le détruire de l'extérieur. Par ironie, ses supérieurs avaient créé un Numéro 1 factice, qui n'existait pas - ils commandaient certes aux Numéros 2, mais il n'y avait pas de "boss" - en fait le Numéro 1, c'est pour eux cet agent, Numéro 6, qui leur a donné l'idée de départ. Donc, chez Markstein, Numéro 6 était déjà le Numéro 1... à sa manière.
En tous cas, je vais m'attaquer bientôt à un dégraissage de mes chroniques, de manière à les rendre plus lisibles.
Bonnes critiques de denis qui reflètent en effet la vision de la série par un œil cartésien. Je persiste à penser qu'il ne s'agit pas du meilleur angle de vue pour apprécier la série (métaphorico-symbolique derrière le divertissement). J'apprécie la trilogie décalée : une humanisation émouvante du Numéro 6, arraché à tout ce qu'il aimait par son kidnapping ; un western palpitant qui joue bien avec les codes du genre ; et bien sûr la parodie frénétique de John Drake (le scénario était au départ destiné à Destination Danger). Il était une fois demeure un modèle de tension furieuse (Leo McKern s'effondra sous la pression et fut incapable de tourner pendant quelques jours, il ne regrette toutefois pas l'expérience). Génie je maintiens : écrire/réaliser un final de série aussi rapidement et avec une telle richesse d'écriture, sans absolument aucun équivalent, c'est un exploit quasi unique. Le final pensé par Markstein était intéressant et plus "réaliste" - quoique se heurtant à quelques contradictions - sans être aussi génial que la solution de McGoohan. Une solution tirée directement de son expérience d'agent secret.
En fait, le Numéro 6 avait proposé à ses supérieurs, au début de sa carrière, de créer une retraite confortable pour des agents secrets plus en service présentant un "risque pour la sécurité" : on les maintiendrait prisonniers mais ils n'auraient pas cette impression due à l'atmosphère paradisiaque des lieux et à leur semi-liberté relative. Numéro 6 découvre plus tard que son idée a été prise mais "revue et corrigée" de manière à ce qu'elle devienne une prison, un camp d'interrogatoire, un régime dictatorial supprimant la liberté de penser, l'individualité, etc. Furieux et dégoûté, il démissionne sans donner d'explication tout en sachant très bien qu'il va se faire kidnapper et amener là-bas... sauf que le Village est tellement différent, tellement éloigné de ce à quoi il pouvait s'imaginer, que cela explique pourquoi il est perdu au début du pilote, surtout qu'il ne sait pas si c'est un Village de l'Est ou de l'Ouest. Dès lors, il cherche à trouver la localisation du Village - but de sa démission menant au kidnapping - et à s'évader pour trouver un moyen de le détruire de l'extérieur. Par ironie, ses supérieurs avaient créé un Numéro 1 factice, qui n'existait pas - ils commandaient certes aux Numéros 2, mais il n'y avait pas de "boss" - en fait le Numéro 1, c'est pour eux cet agent, Numéro 6, qui leur a donné l'idée de départ. Donc, chez Markstein, Numéro 6 était déjà le Numéro 1... à sa manière.
En tous cas, je vais m'attaquer bientôt à un dégraissage de mes chroniques, de manière à les rendre plus lisibles.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Si des traducteurs confondent ‘forgive ‘et ‘forsake’, où va-t-on ? Je veux bien qu’il y ait une référence au Train sifflera trois fois pour le suivant, mais quel est le rapport avec L’impossible pardon ?
Je viens de voir le long documentaire (titre français : nous voulons des renseignements tourné en 2007) d’où je pense proviennent beaucoup des informations supplémentaires des fiches. Je vais faire une fiche bonus (comme Amicalement vôtre) sans évidemment reprendre tous les détails des fiches, ce qui serait fastidieux. George Markstein, décédé en 1987, apparaît comme d’autres dans des documents archivés et je trouve ses interventions judicieuses (rapport N°6/Drake, fin de la série…).
Sinon, pour le 30 et le 50, tu as vu ?
Je viens de voir le long documentaire (titre français : nous voulons des renseignements tourné en 2007) d’où je pense proviennent beaucoup des informations supplémentaires des fiches. Je vais faire une fiche bonus (comme Amicalement vôtre) sans évidemment reprendre tous les détails des fiches, ce qui serait fastidieux. George Markstein, décédé en 1987, apparaît comme d’autres dans des documents archivés et je trouve ses interventions judicieuses (rapport N°6/Drake, fin de la série…).
Sinon, pour le 30 et le 50, tu as vu ?
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Dans le long documentaire, il en ressort surtout du cartésien de la part des protagonistes. Si la série est toujours d’actualité, c'est pour de nombreux intervenants parce que les surveillances se sont accrues de nos jours, et qu'elles sont de plus en plus souvent citées dans les médias. Moi-même, dans mon avis sur J'ai changé d'avis, j'ai trouvé de nombreux parallèles avec ce qu'on voit aujourd'hui.Dearesttara a écrit:Bonnes critiques de denis qui reflètent en effet la vision de la série par un œil cartésien. Je persiste à penser qu'il ne s'agit pas du meilleur angle de vue pour apprécier la série (métaphorico-symbolique derrière le divertissement).
En tous cas, je vais m'attaquer bientôt à un dégraissage de mes chroniques, de manière à les rendre plus lisibles.
Même longues, j'ai lu tes critiques (après avoir écrit les miennes). Pas toujours d'accord, surtout sur la fin, mais c'est normal. Vu que tu n'as pas répondu, tu profiteras de tes 'dégraissages' pour vérifier le numéro de la miss dans It's Your Funeral.
Comptes-tu faire la chronique du livre de la collection Yris ?
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Ah oui, le problème de numéro. Je l'ai noté en pense-bête, et je ferai la vérification pendant ma révision des chroniques. Merci d'avoir attiré mon attention là-dessus.
Oui, je ferai la chronique du livre Yris, je l'enverrai bientôt à S3 en même temps que la saison 1 de Destination Danger, ce qui ne devrait plus tarder.
Oui, je ferai la chronique du livre Yris, je l'enverrai bientôt à S3 en même temps que la saison 1 de Destination Danger, ce qui ne devrait plus tarder.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Ok pour le bouquin. Je viens de me le procurer. J'attends ta critique.
Un extrait (officiel) du somptueux bonus connu en France sous le titre Nous voulons des renseignements.
Un extrait (officiel) du somptueux bonus connu en France sous le titre Nous voulons des renseignements.
Invité- Invité
Re: Série "Le Prisonnier" - The Prisoner
Les avis de Denis sur l'ensemble des épisodes du Prisonnier sont en ligne!
http://theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/le-prisonnier-1967-1968
http://theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1960/le-prisonnier-1967-1968
Invité- Invité
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