Série "Doctor Who"
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Re: Série "Doctor Who"
Comme toujours, tes références me laissent pantois...
The unquiet dead *** On enregistre l’arrivée de Mark Gatiss, dont le talent éclate d’entrée dans cette histoire centrée plaisamment sur l’époque victorienne. La reconstitution est un vrai régal, de l’opéra au manoir. Après deux épisodes centrés sur le relationnel, on repasse à l’action, mais le scénario résulte assez mince. Gatiss s’en sort en montrant une connaissance parfaite de cette époque, et par une jolie galerie de protagonistes.
C’est ainsi qu’en plus de voir une Rose divine dans sa robe de soirée (et un Docteur toujours aussi… Docteur), l’attention est captée par le trio de guests : le sinistre croque-mort, l’émouvante servante, et sa majesté Charles Dickens, dans lequel Simon Callow prend un plaisir manifeste à jouer, entre airs bougons, angoisse de la solitude, tristesse d’être devant un monde si limité, qui ouvre brutalement de nouvelles perspectives, et joie à peine dissimulée quand il se jette dans l’aventure. Il est le roi de l’épisode, dont il assure l’énergie motrice par son impressionnante présence. Gatiss joue d’abord prudemment sur de velours avec l’humour certes classique mais toujours efficace du choc des cultures : scène hilarante dans la voiture de Dickens avec le Docteur fan, ou Rose essayant de « débaucher » Gwyneth. Lorsque l’histoire des Gelths est développée - après un premier acte bien trop long - difficile toutefois de ne pas sentir que Gatiss n’est pas à l’aise : son histoire de possession démoniaque, au twist demeurant prévisible (très TZ d’ailleurs), lutte désespérément contre les clichés du genre, tout en opérant un mélange avec la SF un tantinet trop surchargé (zombies, faille spatio-temporelle, « pont » humain… on sature vite), malgré une séance de Table Tournante plutôt impressionnante. L’épisode est peut-être trop court, d’où une impression de surcharge, mais au moins qui rassure quant à l’imagination des auteurs.
Le point noir de cet épisode demeure la relative inutilité de la paire d’as, Dickens sauvant le monde tout seul, ce qui est une grâce pour le personnage, moins pour le Doc et la Rose. Avec un effet aussi réussi que l’épisode précédent, l’amertume du destin de l’infortunée Gwyneth prend vraiment aux tripes, avec un sacrifice héroïque très douloureux (superbe Eve Myles). Heureusement, la coda célèbre le triomphe de la magie de Noël, avec une foi inébranlable en l’Imaginaire, moteur de nos vies, dont Dickens aura l’insigne honneur de le voir prendre réalité l’espace d’un instant. Sa joie finale dans les rues de Cardiff termine cet épisode très divers, avec un énorme sourire sur le visage du spectateur - du moins sur le mien.
The unquiet dead *** On enregistre l’arrivée de Mark Gatiss, dont le talent éclate d’entrée dans cette histoire centrée plaisamment sur l’époque victorienne. La reconstitution est un vrai régal, de l’opéra au manoir. Après deux épisodes centrés sur le relationnel, on repasse à l’action, mais le scénario résulte assez mince. Gatiss s’en sort en montrant une connaissance parfaite de cette époque, et par une jolie galerie de protagonistes.
C’est ainsi qu’en plus de voir une Rose divine dans sa robe de soirée (et un Docteur toujours aussi… Docteur), l’attention est captée par le trio de guests : le sinistre croque-mort, l’émouvante servante, et sa majesté Charles Dickens, dans lequel Simon Callow prend un plaisir manifeste à jouer, entre airs bougons, angoisse de la solitude, tristesse d’être devant un monde si limité, qui ouvre brutalement de nouvelles perspectives, et joie à peine dissimulée quand il se jette dans l’aventure. Il est le roi de l’épisode, dont il assure l’énergie motrice par son impressionnante présence. Gatiss joue d’abord prudemment sur de velours avec l’humour certes classique mais toujours efficace du choc des cultures : scène hilarante dans la voiture de Dickens avec le Docteur fan, ou Rose essayant de « débaucher » Gwyneth. Lorsque l’histoire des Gelths est développée - après un premier acte bien trop long - difficile toutefois de ne pas sentir que Gatiss n’est pas à l’aise : son histoire de possession démoniaque, au twist demeurant prévisible (très TZ d’ailleurs), lutte désespérément contre les clichés du genre, tout en opérant un mélange avec la SF un tantinet trop surchargé (zombies, faille spatio-temporelle, « pont » humain… on sature vite), malgré une séance de Table Tournante plutôt impressionnante. L’épisode est peut-être trop court, d’où une impression de surcharge, mais au moins qui rassure quant à l’imagination des auteurs.
Le point noir de cet épisode demeure la relative inutilité de la paire d’as, Dickens sauvant le monde tout seul, ce qui est une grâce pour le personnage, moins pour le Doc et la Rose. Avec un effet aussi réussi que l’épisode précédent, l’amertume du destin de l’infortunée Gwyneth prend vraiment aux tripes, avec un sacrifice héroïque très douloureux (superbe Eve Myles). Heureusement, la coda célèbre le triomphe de la magie de Noël, avec une foi inébranlable en l’Imaginaire, moteur de nos vies, dont Dickens aura l’insigne honneur de le voir prendre réalité l’espace d’un instant. Sa joie finale dans les rues de Cardiff termine cet épisode très divers, avec un énorme sourire sur le visage du spectateur - du moins sur le mien.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Avec cet épisode on achève de découvrir les trois grandes familles d’épisodes du Docteur moderne : après les péripéties dans l’Angleterre contemporaine (souvent reliées au Compagnon), celles dans l’Espace, on découvre ici les voyages dans le passé souvent reliées à une personnalité historique. Ces récits auront l’habilité de toujours s’accorder au prestigieux invité du jour (murder party pour Agatha Christie, magie du théâtre pour le Barde ou de la peinture pour Vincent…) ici Gatiss a l’astuce de mettre en scène Dickens et sa passion pour les fantômes si présents dans son œuvre à l’époque des spirites victoriens. Il doit gérer l’adaptation de ces figures relevant du Fantastique à l’univers toujours purement SF du Docteur, ce qui conditionne quelque peu la mise en scène, mais il s ‘en sort habilement avec une pirouette, en reliant les « spectres » à la Guerre du Temps détruisant Gallifrey, d’où une jolie dramatisation. La reconstitution historique se montre particulièrement soignée, autorisant des jolis moments d’épouvante gothique.
Les artistes invités se montrent épatants, dont une déjà parfaite Eve Myles, à l’irrésistible accent gallois. Un hommage sera d’ailleurs rendu à Gwyneth, en en faisant l’ancêtre de la Gwen de Torchwood. On n‘est pas dans le happy ending chez le Docteur, les personnage sympathiques peuvent mourir n’importe quand (tout comme l’Incarnation du moment, tôt ou tard) Quant à Dickens, la série n’en a pas fini avec lui. Nine et Rose (quelle tenue, Dieu bon !), ils brillent par leur complicité totale, leur approche joyeuse et enthousiaste de l’Aventure, et le rayonnement de leur coup de foudre mutuel. On apprécie l’étonnante spécificité de la totale absence de dimensions sexuelle dans leur fusion, c’est devenu tellement original de nos jours. La faille de Cardiff jouera un grand rôle par la suite, permettant au TARDIS de « faire le plein » d’énergie temporelle et autorisant l’entrée dans notre monde de nombreuses créatures facétieuses, d’où le déploiement de Torchwood (la série est principalement tournée par BBC Wales).
Les artistes invités se montrent épatants, dont une déjà parfaite Eve Myles, à l’irrésistible accent gallois. Un hommage sera d’ailleurs rendu à Gwyneth, en en faisant l’ancêtre de la Gwen de Torchwood. On n‘est pas dans le happy ending chez le Docteur, les personnage sympathiques peuvent mourir n’importe quand (tout comme l’Incarnation du moment, tôt ou tard) Quant à Dickens, la série n’en a pas fini avec lui. Nine et Rose (quelle tenue, Dieu bon !), ils brillent par leur complicité totale, leur approche joyeuse et enthousiaste de l’Aventure, et le rayonnement de leur coup de foudre mutuel. On apprécie l’étonnante spécificité de la totale absence de dimensions sexuelle dans leur fusion, c’est devenu tellement original de nos jours. La faille de Cardiff jouera un grand rôle par la suite, permettant au TARDIS de « faire le plein » d’énergie temporelle et autorisant l’entrée dans notre monde de nombreuses créatures facétieuses, d’où le déploiement de Torchwood (la série est principalement tournée par BBC Wales).
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Allons bon, j'ai fini par trouver encore plus anti-Moffat que moi.
http://reviewer.lavoixdunord.fr/fr/series/dossiers/98033/doctor-who-saison-8-un-debut-penible-et-mal-maitrise-critique/
http://reviewer.lavoixdunord.fr/fr/series/dossiers/98033/doctor-who-saison-8-un-debut-penible-et-mal-maitrise-critique/
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Doctor Who"
Ferguson dans ses œuvres
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Doctor Who"
L'intégrale du Concert du Cinquantenaire, donné par la BBC au Royal Albert Hall.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Doctor Who"
The Caretaker (***)
L'épisode joue avec beaucoup d'humour et d'émotion des relations existant au sein du triangle pas amoureux mais presque Twelve/Clara/Pink. La révélation faite à Pink du TARDIS et Doc relevait du passage obligé, sinon du marronnier, déjà vécu avec Mickey et Rory, pour ne pas remonter plus loin. Le scénario évite de le rendre mécanique, en multipliant les péripéties et les chassés croisés au sein es couloirs de Coal Hill. La visite enfin approfondie de la mythique école séduira les Whovians de longue date. Le monstre de la semaine n'est guère développé, très logiquement vis à vis de sa nature de parfait MacGuffin uniquement destiné à susciter une crise révélatrice pour le trio. L'histoire se centre habilement sur Clara, ici directement sollicitée sur la nature de sa relation avec le Docteur (heureusement que tout ceci ne se déroule pas avec Eleven !) et la raison de sa participation à ses folles et périlleuses aventures. Jenna Coleman pétille dans les nombreux moments de pure comédie, tout en s'imposant marquante dans les moments d'émotion, en conciliatrice jamais désespéré. On apprécie qu'elle n'ait en définitive pas à trancher entre ses deux hommes, ce qui aurait inutilement mélodramatique. Le fait que Pink (toujours aussi superbement interprété) n'embarque pas encore promet des développements ultérieurs, on ,e renonce pas à vois un nouveau couple d'enseignants de Coal Hill à bord du TARDIS. Ayant repris du poil de la bête, Twelve s'installe sur un registre ronchon convenant idéalement à Capaldi et n'étant pas sans parfois évoquer le Premier. Seul regret, il faudrait que cette aversion anti-soldat de Twelve soit explicitée, cela devient quelque peu caricatural.
L'épisode joue avec beaucoup d'humour et d'émotion des relations existant au sein du triangle pas amoureux mais presque Twelve/Clara/Pink. La révélation faite à Pink du TARDIS et Doc relevait du passage obligé, sinon du marronnier, déjà vécu avec Mickey et Rory, pour ne pas remonter plus loin. Le scénario évite de le rendre mécanique, en multipliant les péripéties et les chassés croisés au sein es couloirs de Coal Hill. La visite enfin approfondie de la mythique école séduira les Whovians de longue date. Le monstre de la semaine n'est guère développé, très logiquement vis à vis de sa nature de parfait MacGuffin uniquement destiné à susciter une crise révélatrice pour le trio. L'histoire se centre habilement sur Clara, ici directement sollicitée sur la nature de sa relation avec le Docteur (heureusement que tout ceci ne se déroule pas avec Eleven !) et la raison de sa participation à ses folles et périlleuses aventures. Jenna Coleman pétille dans les nombreux moments de pure comédie, tout en s'imposant marquante dans les moments d'émotion, en conciliatrice jamais désespéré. On apprécie qu'elle n'ait en définitive pas à trancher entre ses deux hommes, ce qui aurait inutilement mélodramatique. Le fait que Pink (toujours aussi superbement interprété) n'embarque pas encore promet des développements ultérieurs, on ,e renonce pas à vois un nouveau couple d'enseignants de Coal Hill à bord du TARDIS. Ayant repris du poil de la bête, Twelve s'installe sur un registre ronchon convenant idéalement à Capaldi et n'étant pas sans parfois évoquer le Premier. Seul regret, il faudrait que cette aversion anti-soldat de Twelve soit explicitée, cela devient quelque peu caricatural.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
La chanteuse Foxes était l'invitée musicale de l'épisode de ce week end, avec une très jolie reprise du Don't Stop Me Now de Queen.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Doctor Who"
Les chansons de Doctor Who
http://www.doctorwhotv.co.uk/who-tunes-ranking-the-lyrical-songs-of-doctor-who-67685.htm
http://www.doctorwhotv.co.uk/who-tunes-ranking-the-lyrical-songs-of-doctor-who-67685.htm
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Un extrait de l'épisode Flatline
J'aime bien comme cette série arrive régulièrement à nous surprendre. En plus j'ai quasiment le même mini TARDIS, je vais le surveiller du coin de l'œil maintenant.
J'aime bien comme cette série arrive régulièrement à nous surprendre. En plus j'ai quasiment le même mini TARDIS, je vais le surveiller du coin de l'œil maintenant.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Bouts d'essai de Jenna Coleman
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Bientôt fini la saison 1 de Dr.Who (2005). Question, est-ce que Jack Harkness va revenir après le finale ? Parce que j'ai trouvé mon nouveau Dieu Vivant.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Harckness va être temporairement séparé du Docteur avec le finale de la saison 1, mais il sera là pour quelques unes des plus grandes batailles de Ten (contre le Maître , puis contre Davros, le Créateur des Daleks). Entre temps il aura gagné le bâton de maréchal des personnages secondaires, en devenant le protagoniste de sa propre série, Torchwood. On en a donc pas fini avec le génial Captain et son interprète perpétuellement en roue libre, John Barrowman.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
- Spoiler:
- Je me souviens avoir été très très surprise en apprenant que Jack et Face Of Boe ne faisaient qu'un
La saison 3 était plutôt décevante d'après mes souvenirs : je n'ai jamais trop accroché à Martha Jones, qui parait bien fade à côté de Rose. Il n'y avait jamais vraiment eu de mauvais épisodes dans les deux premières saisons, mais dans la 3 : The Shakespeare Code en particulier était un ratage total. De plus, les effets spéciaux paraissent véritablement datés dans cette saison, comparé aux autres. En revanche, la seconde partie de saison était géniale, avec l'innoubliable Blink (les Weeping Angels sont les adversaires les plus terrifiants) ou le double épisode très touchant Human Nature/The Family Of Blood.
En revanche, la saison 4 est véritablement une des meilleures en termes de scénarios (et j'avoue que Donna Noble est un personnage que j'adoooooooooooooore -Catherine Tate est une grande actrice) : excepté le nanardesque The Doctor's Daughter, tous les épisodes sont excellents... Et mon dieu, les scénaristes ont été terriblement cruels avec Donna dans le season finale
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
Et en plus, la saison 4 contient mon épisdoe préféré : Midnight !!!! J'en suis marquée et choquée à vie !
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
Midnight, oui un des meilleurs huis clos de série télé et un récit vraiment déstabilisant.
Poursuite de cette saison 8 toujours solide et agréable.
Kill the Moon *
L’épisode échoue là où le brillantissime Torchwood Children of Earth aura réussi.Dans les deux cas Un Compagnon se voit placé devant un choix impossible, choisir entre la survie d’une créature innocente et, potentiellement, celle de l’Humanité. Là où harknesse optait pour un réalisme cruel et devait ensuite assumer seul, Clara choisit pour un moralisme parfait et... la catastrophe n’arrive , pas le Docteur réapparaît pour dire que non, en fait tout va bien, champagne ! L’infantilisme de cette conclusion achève un épisode déjà bien trop chargé en images informatiques. Par l’actrice interprétant la cosmonaute est formidable. Pour tenter de dissiper le goût sirupeux de l’ensemble on crée une crise au sein du TARDIS, passablement bidon puisque jamais on croit que Clara va débarquer.
Mummy on the Orient Express ****
l’épisode fur précédé de trailers où Clara était absente, histoire de nous faire gober la crise précédente, une tentative assez pitoyable. On n’imagine pas cette saison 8 sans l’irrésistible Clara, alors à quoi bon ce pétard mouillé ? Par contre l’épisode convainc totalement par sa reconstitution soignée de l’Orient Express (dans l’Espaceeee, of course , tout ceci est parfaitement normal) et par son intrigue jonglant habilement entre whodunnit, suspense de trailer et pure épouvante. Un cocktail parfaitement dosé, avec de plus un élément devenu rare sous Moffat, un Mastermind vrai de vrai, comme dans les Sixties ; Son ironie cinglante, sa cruauté sans bornes et son autosatisfaction mégalomane nous régale, même si une voix off manque quelque peu de substance. Évidemment le Docteur sort le grand jeu pour contrer le Maître Plan, et évidemment le Mastermind parvient à s’enfuir : on en veut encore !!!. Bon, on confessera une sensiblerie, la scène de réconciliation entre le Doc et sa Clara fait son effet, c’est vrai. On regrettera simplement que l’Orient Express demeure essentiellement un décor, contraire au Titanic, jadis (dans l’Espaceeee, of course , tout ceci est parfaitement normal).
Flatline ***
Alors oui, l’épisode à recours massivement aux images générées par ordinateurs, mais elles s’avèrent d’une grande beauté avec une vraie poésie horrifique. Le scénario utilise joliment l’irruption d’un univers parallèle en deux dimensions et ses diverses conséquences, c’est vraiment très astucieux. Sur le sujet je recommande chaudement le roman Flatland, l’un des grands classiques de la SF spéculative. Que Twelve soit coincé dans un TARDIS miniaturisé et à court d‘énergie ne résulte pas seulement comme un gag mais plutôt comme un judicieux moyen de centrer l’épisode sur Clara, qui revêt crânement l’identité de son mentor et assure grave de chez grave. Clara à une manière délicieusement irrésistible d’être satisfaite de soi même. Après des débuts difficiles liés au concept inepte d’Impossible Girl, elle devient définitivement notre Compagnon féminin préféré de la série, après Rose, bien entendu. L’épisode, agréablement bizarre au sein d‘une série elle même passablement bizarre voit sa réussite en partie gâchée par des personnages secondaires passe-partout et clichés. Soigner le fond,c ‘est très bien, avec la forme, c’est encore mieux. Le duo principal fonctionne par contre toujours du feu de Dieu.
In the Forest of the Night **
De manière étonnante l’épisode renoue pleinement avec cette ambiance féerique qui caractérisait la plupart des aventures d’Eleven et Clara, cela lui apporte une spécificité dans une période plus âpre (y compris à bord du TARDIS) et orientée action. L’original et superbe décor d’un Londres recouvert en une nuit d‘une impénétrable forêt fait sensation. Malheureusement il sert principalement d‘écrin à des allées et devenues dépourvus d’intensité dramatique.L’absence d’antagoniste mais aussi la présence continue d’enfants y est pour beaucoup, on sait bien que rien ne va leur arriver, ce serait inimaginable dans cette série. On décrite la forêt comme le » plus ancien cauchemar de l’Humanité », on ne ressent jamais cela. Montrer le Docteur renoncer avant de trouver la clé de l’énigme reste aussi passablement artificiel et prévisible. La romance entre Pink et Clara dmeure par contre charmante. Le dénouement subtil de l’énigme et sa morale écologiste digne d’une jolie fable se montrent convaincants in fine.
En avant pour le double épisode final !!
Poursuite de cette saison 8 toujours solide et agréable.
Kill the Moon *
L’épisode échoue là où le brillantissime Torchwood Children of Earth aura réussi.Dans les deux cas Un Compagnon se voit placé devant un choix impossible, choisir entre la survie d’une créature innocente et, potentiellement, celle de l’Humanité. Là où harknesse optait pour un réalisme cruel et devait ensuite assumer seul, Clara choisit pour un moralisme parfait et... la catastrophe n’arrive , pas le Docteur réapparaît pour dire que non, en fait tout va bien, champagne ! L’infantilisme de cette conclusion achève un épisode déjà bien trop chargé en images informatiques. Par l’actrice interprétant la cosmonaute est formidable. Pour tenter de dissiper le goût sirupeux de l’ensemble on crée une crise au sein du TARDIS, passablement bidon puisque jamais on croit que Clara va débarquer.
Mummy on the Orient Express ****
l’épisode fur précédé de trailers où Clara était absente, histoire de nous faire gober la crise précédente, une tentative assez pitoyable. On n’imagine pas cette saison 8 sans l’irrésistible Clara, alors à quoi bon ce pétard mouillé ? Par contre l’épisode convainc totalement par sa reconstitution soignée de l’Orient Express (dans l’Espaceeee, of course , tout ceci est parfaitement normal) et par son intrigue jonglant habilement entre whodunnit, suspense de trailer et pure épouvante. Un cocktail parfaitement dosé, avec de plus un élément devenu rare sous Moffat, un Mastermind vrai de vrai, comme dans les Sixties ; Son ironie cinglante, sa cruauté sans bornes et son autosatisfaction mégalomane nous régale, même si une voix off manque quelque peu de substance. Évidemment le Docteur sort le grand jeu pour contrer le Maître Plan, et évidemment le Mastermind parvient à s’enfuir : on en veut encore !!!. Bon, on confessera une sensiblerie, la scène de réconciliation entre le Doc et sa Clara fait son effet, c’est vrai. On regrettera simplement que l’Orient Express demeure essentiellement un décor, contraire au Titanic, jadis (dans l’Espaceeee, of course , tout ceci est parfaitement normal).
Flatline ***
Alors oui, l’épisode à recours massivement aux images générées par ordinateurs, mais elles s’avèrent d’une grande beauté avec une vraie poésie horrifique. Le scénario utilise joliment l’irruption d’un univers parallèle en deux dimensions et ses diverses conséquences, c’est vraiment très astucieux. Sur le sujet je recommande chaudement le roman Flatland, l’un des grands classiques de la SF spéculative. Que Twelve soit coincé dans un TARDIS miniaturisé et à court d‘énergie ne résulte pas seulement comme un gag mais plutôt comme un judicieux moyen de centrer l’épisode sur Clara, qui revêt crânement l’identité de son mentor et assure grave de chez grave. Clara à une manière délicieusement irrésistible d’être satisfaite de soi même. Après des débuts difficiles liés au concept inepte d’Impossible Girl, elle devient définitivement notre Compagnon féminin préféré de la série, après Rose, bien entendu. L’épisode, agréablement bizarre au sein d‘une série elle même passablement bizarre voit sa réussite en partie gâchée par des personnages secondaires passe-partout et clichés. Soigner le fond,c ‘est très bien, avec la forme, c’est encore mieux. Le duo principal fonctionne par contre toujours du feu de Dieu.
In the Forest of the Night **
De manière étonnante l’épisode renoue pleinement avec cette ambiance féerique qui caractérisait la plupart des aventures d’Eleven et Clara, cela lui apporte une spécificité dans une période plus âpre (y compris à bord du TARDIS) et orientée action. L’original et superbe décor d’un Londres recouvert en une nuit d‘une impénétrable forêt fait sensation. Malheureusement il sert principalement d‘écrin à des allées et devenues dépourvus d’intensité dramatique.L’absence d’antagoniste mais aussi la présence continue d’enfants y est pour beaucoup, on sait bien que rien ne va leur arriver, ce serait inimaginable dans cette série. On décrite la forêt comme le » plus ancien cauchemar de l’Humanité », on ne ressent jamais cela. Montrer le Docteur renoncer avant de trouver la clé de l’énigme reste aussi passablement artificiel et prévisible. La romance entre Pink et Clara dmeure par contre charmante. Le dénouement subtil de l’énigme et sa morale écologiste digne d’une jolie fable se montrent convaincants in fine.
En avant pour le double épisode final !!
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Fini la saison 1, enfin ! Bon voilà, c'est que du lourd : dynamisation fantastique de la nouvelle série, réalisation luxueuse, maîtrise de petits arcs narratifs... je regrette la disparition des serials de l'ancienne série, avec des épisodes de 25 minutes enchaînés formant une grande grande aventure, des clés de Marinus aux joyeux aztèques, et bien sûr ses cliffhangers de la mortquitue et ses titres survitaminés. Russell T. Davies a opté pour une nouvelle voie, plus classique, plus prudente avec des épisodes presque indépendants. Si les loners sont simplement corrects, les épisodes plus Mythologiques (en particulier les doubles épisodes) sont un spectacle total. Davies était bien l'homme qu'il fallait pour ressusciter la série : il lui apporte énergie, faste, imagination débridée, profondeur, quelques grands moments de délire (Jaaaaaack !). Les scénarios pêchent cependant sur le fait que souvent les premiers tiers des épisodes ne sont dédiés qu'à la mise en place de l'univers du jour, avant l'irruption de la menace. Défaut accentué jusqu'au bout par The long game qui délaye carrément sur tout l'épisode. A contrario, The empty child ne perd pas de temps et parvient à nous présenter le décor ET la menace en cinq minutes chrono (excellent boulot de Steven Moffat). Mais d'une manière générale, RTD maîtrise chaque aspect de la série, se joue de la SF et de ses gadgets, et se montre un auteur redoutable dans les scènes de suspense et les interactions entre personnages.
Ceux-ci constituent la réussite majeure de ce reboot. Christopher Eccleston a déchaîné mon enthousiasme : son Docteur est le Docteur virtuose des sentiments, contenant en lui toutes les couches psychologiques opposées possibles : compassion variable, parfois dur et sombre, parfois rigolard et lumineux, introverti de caractère mais capables d'exacerbations frénétiques, extrêmement émotionnel, mais foncièrement stoïque. Sa propension au sacrifice (Father's day, The parting of the ways) est réellement communicative et touchante. Le final de la série est d'une surpuissance émotionnelle ravageuse. Nine est un Docteur absolument fantastique, et je me demande comment Ten est parvenu à aller plus loin de l'avis général, ça me semble impossible. Mais bon, après Cathy Gale, il y a eu Emma Peel ; alors, voyons ce que ça va donner.
Rose Tyler est l'atout cœur. Portée par une enivrante Billie Piper, au quotient sympathie aussi surélevé que celui de Belle, Rose se hisse sans problème au niveau de mes chouchous Ian et Barbaraet Susan et même au-delà. L'alliance fragilité-héroïsme de son personnage est certes guère original, mais il s'agit du bois dont on fait les meilleurs héros, et effectivement, Rose nous conquiert d'entrée, et devient rapidement un engrenage indispensable de ces aventures bigger than life. On la sent émerveillée d'exaucer un rêve de fou, de voyager dans le TARDIS, le rêve ultime en quelque sorte. Elle se montre d'un courage, d'une loyauté et d'une émotion implacables, tout en assumant ses côtés moins reluisants : comportement peu honorable envers sa mère et son petit ami, égoïsme mais plus par faiblesse que par méchanceté (Father's day), etc. Mais cela humanise un personnage qui n'est de toute façon pas un héros sans reproche. Cela est très bien observé de la part de Davies. Rose, flamboyante à chaque instant, fait que l'on ne peut qu'être amoureux d'elle, c'est LE Compagnon Idéal, et je suis encore plus sceptique quant à un autre Compagnon pouvant rivaliser avec elle.
Jack Harkness, avec un John Barrowman complètement allumé, est la caution délirium maxima de la saison. Je le considère comme le Spike de la série : entrée en scène en retard mais avec la délicatesse d'un Dalek, en roue libre perpétuel, hilarant dans ses dragues (garçon, fille, alien, Timelord lui-même...), et de fer et de feu quand il s'agit de sortir les armes (le coup du laser caché dans une certaine partie de son anatomie, c'est juste énorme). Il est impératif que je regarde Torchwood désormais.
Quant aux méchants, ils sont souvent de bonne facture, mais il y'a toujours ce frisson supplémentaire quand on entend ce bruit crépitant et une voix métallique chevrotante s'écrier EX-TER-MI-NATE. Le retour des Daleks (deux fois !) est vraiment jouissif. J'ai aimé la plupart des épisodes, avec une préférence pour le pilote, les enfants qui appellent leur maman - malgré un cliffhanger arnaque - et le grand final avec sa satire en folie de la télévision et sa big battle royale. Can't wait season 2. Mais l'ère du 9e Docteur a été vraiment réussie de bout en bout, et je regrette vraiment le départ d'Eccleston, même si la scène finale est absolument fantastique d'émotion et de faste.
1. Rose (Rose) : ****
2. La fin du monde (The end of the world) : ***
3. Des morts inassouvis (The unquiet dead) : ***
4. L'Humanité en péril (Aliens of London) : ****
5. Troisième Guerre mondiale (World War Three) : ***
6. Dalek (Dalek) : ***
7. Un jeu interminable (The long game) : **
8. Fêtes des pères (Father's day) : ***
9. Drôle de mort (The empty child) : ****
10. Le Docteur danse (The Doctor dances) : ***
11. L'explosion de Cardiff (Boom Town) : ***
12. Le grand méchant loup (Bad wolf) : ****
13. À la croisée des chemins (The parting of the ways) : ****
Moyenne : 3.31/4
Top 5 :
1. Bad Wolf/Parting of the ways
2. Rose
3. The empty child/The Doctor dances
4. Dalek
5. Aliens of London/World War Three
Ceux-ci constituent la réussite majeure de ce reboot. Christopher Eccleston a déchaîné mon enthousiasme : son Docteur est le Docteur virtuose des sentiments, contenant en lui toutes les couches psychologiques opposées possibles : compassion variable, parfois dur et sombre, parfois rigolard et lumineux, introverti de caractère mais capables d'exacerbations frénétiques, extrêmement émotionnel, mais foncièrement stoïque. Sa propension au sacrifice (Father's day, The parting of the ways) est réellement communicative et touchante. Le final de la série est d'une surpuissance émotionnelle ravageuse. Nine est un Docteur absolument fantastique, et je me demande comment Ten est parvenu à aller plus loin de l'avis général, ça me semble impossible. Mais bon, après Cathy Gale, il y a eu Emma Peel ; alors, voyons ce que ça va donner.
Rose Tyler est l'atout cœur. Portée par une enivrante Billie Piper, au quotient sympathie aussi surélevé que celui de Belle, Rose se hisse sans problème au niveau de mes chouchous Ian et Barbara
Jack Harkness, avec un John Barrowman complètement allumé, est la caution délirium maxima de la saison. Je le considère comme le Spike de la série : entrée en scène en retard mais avec la délicatesse d'un Dalek, en roue libre perpétuel, hilarant dans ses dragues (garçon, fille, alien, Timelord lui-même...), et de fer et de feu quand il s'agit de sortir les armes (le coup du laser caché dans une certaine partie de son anatomie, c'est juste énorme). Il est impératif que je regarde Torchwood désormais.
Quant aux méchants, ils sont souvent de bonne facture, mais il y'a toujours ce frisson supplémentaire quand on entend ce bruit crépitant et une voix métallique chevrotante s'écrier EX-TER-MI-NATE. Le retour des Daleks (deux fois !) est vraiment jouissif. J'ai aimé la plupart des épisodes, avec une préférence pour le pilote, les enfants qui appellent leur maman - malgré un cliffhanger arnaque - et le grand final avec sa satire en folie de la télévision et sa big battle royale. Can't wait season 2. Mais l'ère du 9e Docteur a été vraiment réussie de bout en bout, et je regrette vraiment le départ d'Eccleston, même si la scène finale est absolument fantastique d'émotion et de faste.
1. Rose (Rose) : ****
2. La fin du monde (The end of the world) : ***
3. Des morts inassouvis (The unquiet dead) : ***
4. L'Humanité en péril (Aliens of London) : ****
5. Troisième Guerre mondiale (World War Three) : ***
6. Dalek (Dalek) : ***
7. Un jeu interminable (The long game) : **
8. Fêtes des pères (Father's day) : ***
9. Drôle de mort (The empty child) : ****
10. Le Docteur danse (The Doctor dances) : ***
11. L'explosion de Cardiff (Boom Town) : ***
12. Le grand méchant loup (Bad wolf) : ****
13. À la croisée des chemins (The parting of the ways) : ****
Moyenne : 3.31/4
Top 5 :
1. Bad Wolf/Parting of the ways
2. Rose
3. The empty child/The Doctor dances
4. Dalek
5. Aliens of London/World War Three
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Très belle analyse, je te rejoins totalement sur la performance de d'Ecclestone, Nine aurait certainement mérité une seconde saison.(apparemment l'acteur se serait brouillé avec la prod, pour des raisons demeurées obscures). En plus de son talent, Ecclestone a été très solide psychologiquement, car si maintenant le Nouveau Docteur est sur un rythme de croisière (et quelle croisière), à l'époque sa résurrection aura été un pari de fou.
Tous les Whovians étaient à la fois en attente mais aussi parfois dubitatifs devant une série effectivement très différente. Dès que quelques chose était jugé en dehors des clous (les "vents" des Aliens de WW3, le côté jugé presque quasi scandaleux d'une Rose s’amourachant de tous les beaux gars rencontrés) ça a été la danse du scalp, alors le Docteur lui même... Je me souviens de la pression d'alors, c'était énorme (presse, journaux télé, internet...). RTD est un merveilleux conteur et un Whovian pur sucre depuis son enfance, mais il a aussi gagné son pari grâce à ses comédiens, c'est très clair.
Parmi les atouts de la saison j'aurais aussi cité Jackie, mère courage et reprenant le petit peuple de Londres, un vrai coup de coeur. ma scène préférée de la saison est quand elle, Mickey et Rose s'allient pour faire redémarrer le TARDIS pour rallier le Docteur, lors du final. Torchwood est une série géniale, mais plus sombre et adulte que DW (c'est un peu Angel vis à vis de Buffy) et cela déteint sur Harkness, un peu plus grave.
Tous les Whovians étaient à la fois en attente mais aussi parfois dubitatifs devant une série effectivement très différente. Dès que quelques chose était jugé en dehors des clous (les "vents" des Aliens de WW3, le côté jugé presque quasi scandaleux d'une Rose s’amourachant de tous les beaux gars rencontrés) ça a été la danse du scalp, alors le Docteur lui même... Je me souviens de la pression d'alors, c'était énorme (presse, journaux télé, internet...). RTD est un merveilleux conteur et un Whovian pur sucre depuis son enfance, mais il a aussi gagné son pari grâce à ses comédiens, c'est très clair.
Parmi les atouts de la saison j'aurais aussi cité Jackie, mère courage et reprenant le petit peuple de Londres, un vrai coup de coeur. ma scène préférée de la saison est quand elle, Mickey et Rose s'allient pour faire redémarrer le TARDIS pour rallier le Docteur, lors du final. Torchwood est une série géniale, mais plus sombre et adulte que DW (c'est un peu Angel vis à vis de Buffy) et cela déteint sur Harkness, un peu plus grave.
Mon top 5 :
1 The empty child/The Doctor dances (Rose et Jack dansant au clair de Big Ben est l'un des instants les plus romantiques que j'ai vu dans une série télé, scénario somptueux, énigmatique et horrifique à souhait)
2 Bad Wolf/Parting of the ways (très grand final, entre dinguerie des jeux et space op grand train, et quels fantastique adieu à Nine !)
3 Rose (un pilote parfait, pour les nouveaux venus comme pour les autres, un immense coup de coeur pour Rose)
4 L'explosion de Cardiff (ville sublime, méchante ignoble et émouvante à fois, belle clémence du Docteur, ce n'est pas si fréquent, Nine peut être très très dur)
5 Fathers' Day (très touchant, c'est bien que nos héros aient des faiblesses humaines, la brouille entre Nine et Rose nous fait ressenti à quel point nous sommes déjà attachés au duo)
1 The empty child/The Doctor dances (Rose et Jack dansant au clair de Big Ben est l'un des instants les plus romantiques que j'ai vu dans une série télé, scénario somptueux, énigmatique et horrifique à souhait)
2 Bad Wolf/Parting of the ways (très grand final, entre dinguerie des jeux et space op grand train, et quels fantastique adieu à Nine !)
3 Rose (un pilote parfait, pour les nouveaux venus comme pour les autres, un immense coup de coeur pour Rose)
4 L'explosion de Cardiff (ville sublime, méchante ignoble et émouvante à fois, belle clémence du Docteur, ce n'est pas si fréquent, Nine peut être très très dur)
5 Fathers' Day (très touchant, c'est bien que nos héros aient des faiblesses humaines, la brouille entre Nine et Rose nous fait ressenti à quel point nous sommes déjà attachés au duo)
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Merci beaucoup de ta réponse Estuaire, j'appréhende mieux l'ébullition qu'il y a eu à l'époque.
Bon, j'ai pas résisté, je me suis immédiatement jeté sur Born Again/The Christmas Invasion. J'avais la tomate bien en main, jurant que rien pourrait remplacer mon p'tit Nine. Au final, je me suis lancé la tomate à moi-même. Parce que voilà, David Tennant est arrivé, et là, il a tout cassé : s'il délaisse le côté sombre de Nine, qui sied à l'évidence mieux à Eccleston qu'à lui, il prend en revanche toutes ses autres caractéristiques mais il les multiplie par 10000 : ruptures de ton saisissantes, extraversion totalement délirante (dérapage sur le Roi Lion inclus), débit frénétique, affirmation progressive de sa propre identité (tout comme Tennant devait convaincre le public qu'il ferait un Ten aussi différent mais pas moins irrésistible que son prédécesseur, un vrai méta-récit), côté action plus accentué. Ten est un surexcité permanent, qui même quand il semble calme, bout d'une flamme dévorante. Tennant m'a tout simplement tué à chaque apparition ! Coup de coeur absolu pour l'exécution du Sycorax (No second chances, I'm that sort of a man) ; message reçu Doc !
Si je regrette que Mickey demeure un élément du décor, et que Jackie n'ait pas beaucoup à défendre (malgré l'abattage sans fin de Camille Coduri), Rose ne cesse de gagner en courage et en abnégation, tout en traversant une bien humaine période de découragement bien compréhensible. Bon, RTD joue sur du velours avec une énième invasion extraterrestre, mais il retarde judicieusement le réveil du Tigre (grâce à un thermos de thé bien sûr, la britishness de cette série est vraiment hilarante) pour bien faire sentir le poids de le menace. Dialoguiste chevronné, Davies sert à Tennant des répliques toutes plus tonitruantes les unes que les autres. Ça y'est, je le vénère déjà ! Les modus operandi des Sycorax sont intelligents et imaginatifs, avec un crescendo toujours plus fou, des Pères Noëls sulfateurs au duels de cape et d'épée revus et corrigés. Beaucoup aimé la prestation de Pénélope Wilton en Premier ministre solide et dure, sa dispute éthique avec Doc quand elle désintègre le vaisseau est la cerise sur le gâteau, la vengeance de Ten est aussi simple qu'à mourir de rire. Un pilote de saison parfait, et je suis plus que jamais impatient de voir la suite des aventures de Rose et Ten ! (****)
Bon, j'ai pas résisté, je me suis immédiatement jeté sur Born Again/The Christmas Invasion. J'avais la tomate bien en main, jurant que rien pourrait remplacer mon p'tit Nine. Au final, je me suis lancé la tomate à moi-même. Parce que voilà, David Tennant est arrivé, et là, il a tout cassé : s'il délaisse le côté sombre de Nine, qui sied à l'évidence mieux à Eccleston qu'à lui, il prend en revanche toutes ses autres caractéristiques mais il les multiplie par 10000 : ruptures de ton saisissantes, extraversion totalement délirante (dérapage sur le Roi Lion inclus), débit frénétique, affirmation progressive de sa propre identité (tout comme Tennant devait convaincre le public qu'il ferait un Ten aussi différent mais pas moins irrésistible que son prédécesseur, un vrai méta-récit), côté action plus accentué. Ten est un surexcité permanent, qui même quand il semble calme, bout d'une flamme dévorante. Tennant m'a tout simplement tué à chaque apparition ! Coup de coeur absolu pour l'exécution du Sycorax (No second chances, I'm that sort of a man) ; message reçu Doc !
Si je regrette que Mickey demeure un élément du décor, et que Jackie n'ait pas beaucoup à défendre (malgré l'abattage sans fin de Camille Coduri), Rose ne cesse de gagner en courage et en abnégation, tout en traversant une bien humaine période de découragement bien compréhensible. Bon, RTD joue sur du velours avec une énième invasion extraterrestre, mais il retarde judicieusement le réveil du Tigre (grâce à un thermos de thé bien sûr, la britishness de cette série est vraiment hilarante) pour bien faire sentir le poids de le menace. Dialoguiste chevronné, Davies sert à Tennant des répliques toutes plus tonitruantes les unes que les autres. Ça y'est, je le vénère déjà ! Les modus operandi des Sycorax sont intelligents et imaginatifs, avec un crescendo toujours plus fou, des Pères Noëls sulfateurs au duels de cape et d'épée revus et corrigés. Beaucoup aimé la prestation de Pénélope Wilton en Premier ministre solide et dure, sa dispute éthique avec Doc quand elle désintègre le vaisseau est la cerise sur le gâteau, la vengeance de Ten est aussi simple qu'à mourir de rire. Un pilote de saison parfait, et je suis plus que jamais impatient de voir la suite des aventures de Rose et Ten ! (****)
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
La saison 2 est la meilleure (ma préférée avec la 4 et cette sacrée Donna) : Eccleston était très bien dans son genre, mais alors Tennant est un génie et la relation Ten/Rose est bouleversante (Doomsday...il faut du temps pour s'en remettre)
Après, Ten aura aussi certains côtés plus sombres...
Après, Ten aura aussi certains côtés plus sombres...
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
Effectivement le pilote de saison propulse directement Ten au sommet, la scène où il apparaît en majesté (et en pyjama) aux portes du TARDIS est une entrée en matière assez irrésistible. Beaucoup de bonnes idées bien fondues comme on aime (mention spéciale au sapin de Noël tueur) mais un scénario solide et structuré, derrière la folie ambiante. Jackie a une tout de même une jolie scène quand Ten s'efforce désespérément de lui demander de la boucler.
Entre les deux saisons Children in Need avait diffusé une petite discussion précédant l'épisode.Dernière édition par Estuaire44 le Mer 29 Oct 2014 - 16:40, édité 1 fois
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Merci de m'annoncer ça, Cetp65 ! Ca met en confiance pour l'avenir !
A E44 : Oui, j'ai vu le mini-épisode (sous-titré Born again sur wikipédia) avant de regarder l'invasion de Noël. Tennant était déjà bien déchaîné !
A E44 : Oui, j'ai vu le mini-épisode (sous-titré Born again sur wikipédia) avant de regarder l'invasion de Noël. Tennant était déjà bien déchaîné !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Avec le recul, on se rend compte que, dans un épisode récent de la saison 8 (Flatline), Clara s'est retrouvée dans une position similaire à celle de Rose face au chef des Sycorax: devoir assurer le rôle, sinon l'identité, d'un Docteur indisponible. on applaudit des deux mains la virtuosité et le brio de Clara, mais on n'est finalement plus touché par la fragilité humaine de Rose, qui la rend in fine davantage héroïque encore. Clara est un Compagnon formidable mais Rose reste encore aujourd'hui la meilleure d'entre eux, pour l'époque contemporaine.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Clara était handicapée par une saison 7 (à l'exception de l'excellent The Snowmen) globalement désastreuse, notamment à cause de cette ridicule histoire d'Impossible Girl. Jamais ils nous aurait fait ce coup là avant, signe que la série s’essouffle tout de même un peu. Néanmoins, la saison 8 relève admirablement le niveau d'après ce que j'ai pu en voir (j'en suis à l'épisode Robot Of Sherwood) et le personnage devient beaucoup plus intéressant.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
Mes notes saison 2 d'après mes souvenirs :
The Christmas Invasion ***
New Earth ****
Tooth And Claw **
School Reunion ****
The Girl In The Fireplace ****
Rise Of The Cybermen ****
The Age Of Steel ****
The Idiot's Lanter **
The Impossible Planet ****
The Satan Pit ****
Love & Monsters **** (l'épisode le plus étrange et déconcertant de la série)
Fear Her **
Army Of Ghosts ****
Doomsday ****
The Christmas Invasion ***
New Earth ****
Tooth And Claw **
School Reunion ****
The Girl In The Fireplace ****
Rise Of The Cybermen ****
The Age Of Steel ****
The Idiot's Lanter **
The Impossible Planet ****
The Satan Pit ****
Love & Monsters **** (l'épisode le plus étrange et déconcertant de la série)
Fear Her **
Army Of Ghosts ****
Doomsday ****
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
...et saison 3
The Runaway Bride **** (faire un épisode ultra-comique après la claque émotionnelle de Doomsday était risqué, mais pari gagné !)
Smith & Jones ***
The Shakespeare Code * (affligeant)
Gridlock ****
Daleks In Manhattan **
Evolution Of The Daleks *
The Lazarus Experiment *
42 ***
Human Nature ****
The Family Of Blood ****
Blink **** (un des meilleurs de la série)
Utopia ***
The Sound of Drums ****
The Last of The Time Lords ****
The Runaway Bride **** (faire un épisode ultra-comique après la claque émotionnelle de Doomsday était risqué, mais pari gagné !)
Smith & Jones ***
The Shakespeare Code * (affligeant)
Gridlock ****
Daleks In Manhattan **
Evolution Of The Daleks *
The Lazarus Experiment *
42 ***
Human Nature ****
The Family Of Blood ****
Blink **** (un des meilleurs de la série)
Utopia ***
The Sound of Drums ****
The Last of The Time Lords ****
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
Cetp65 a écrit:Clara était handicapée par une saison 7 (à l'exception de l'excellent The Snowmen) globalement désastreuse, notamment à cause de cette ridicule histoire d'Impossible Girl. Jamais ils nous aurait fait ce coup là avant, signe que la série s’essouffle tout de même un peu. Néanmoins, la saison 8 relève admirablement le niveau d'après ce que j'ai pu en voir (j'en suis à l'épisode Robot Of Sherwood) et le personnage devient beaucoup plus intéressant.
Entièrement d'accord, non seulement le concept d'Impossible Girl n'a cessé de produire des effets idiots (jusqu'à une conclusion tellement bidon que je la considère comme une escroquerie pure et simple) mais en plus cela a miné la relation Docteur/Compagnon, l'un des socles de la série. Dommage car Jenna Coleman est vraiment très bien. Dès que cela a été réglé, Clara a gagné en intérêt, lors des tous derniers épisodes Eleven. Elle est l'un des atouts majeurs d'une saison 8 que je trouve en grand progrès, après une 7 si faible et à bout de souffle que cela m'a inquiété pour le devenir de la série.
A propos du public féminin et de l'arrivée de Tennant
http://fc07.deviantart.net/fs28/f/2008/167/3/2/You__re_Not_My_Doctor_by_aimeekitty.jpg
A propos du finale de la saison 1 de Torchwood (le Temps part en sucette, mais le Jack va assurer tout seul comme un prince)
http://fc03.deviantart.net/fs32/f/2008/226/8/2/Call____Torchwood_n_Doctor_Who_by_aimeekitty.jpg
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Oui, Jenna Coleman est vraiment très bien, même si je trouve que cela fait un petit moment que l'on a pas eu le droit à un épisode pouvant exploiter à fond le jeu d'acteur des compagnons (comme les splendides Father's Day ou Doomsday avec Rose, ou Turn Left avec Donna -on passera la pauvre Martha sous silence )
Pour Lazarus Experiment, c'est peut-être plus de l'énervement qu'autre chose. L'épisode n'est pas si mauvais, mais le coup des sorcières de Shakespeare et du double-épisode qui massacre les Daleks en les rendant ridicules et insupportables n'a tellement exaspérée, qu'il me fallait un chef d'oeuvre pour m’empêcher d'écrire des lettres de menaces aux scénaristes. La première moitié de la saison 3 (heureusement la seconde est beaucoup mieux) est catastrophique (à l'exception de Gridlocks) : effets spéciaux fauchés comme jamais (heureusement, ça s'améliore lors de la saison 4) et scénarios débiles. De plus, les scénaristes ont rendu Martha exaspérante avec sa pseudo jalousie-peine d'amour parce que le Docteur n'arrête pas de parler de Rose ! Je n'ai pas non plus été convaincue par la fade Freema Agyeman...
Pour Lazarus Experiment, c'est peut-être plus de l'énervement qu'autre chose. L'épisode n'est pas si mauvais, mais le coup des sorcières de Shakespeare et du double-épisode qui massacre les Daleks en les rendant ridicules et insupportables n'a tellement exaspérée, qu'il me fallait un chef d'oeuvre pour m’empêcher d'écrire des lettres de menaces aux scénaristes. La première moitié de la saison 3 (heureusement la seconde est beaucoup mieux) est catastrophique (à l'exception de Gridlocks) : effets spéciaux fauchés comme jamais (heureusement, ça s'améliore lors de la saison 4) et scénarios débiles. De plus, les scénaristes ont rendu Martha exaspérante avec sa pseudo jalousie-peine d'amour parce que le Docteur n'arrête pas de parler de Rose ! Je n'ai pas non plus été convaincue par la fade Freema Agyeman...
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
En saison 8 The Caretaker , Kill The Moon ou Flatline vont être l'occasion de mettre davantage le focus sur Clara/Jenna Coleman.
C'est sûr que la saison 2 nous a habitué à la crème de la crème, dès que c'est un peu de dessous cela se note. Il y a beaucoup de vrai dans ce que tu dis de Martha, mais je lui conserve de la tendresse. C'était perdu d'avance mais elle s'est bien battue. Et puis sa manière de quitter le TARDIS a de la classe je trouve. Mais bon, c'est vrai qu'elle est un peu fade vis à vis de Rose et Donna. Evolution of the Daleks, je suis d'accord, c'est très en dessous d s standards de la période Tennant/Davies.
C'est sûr que la saison 2 nous a habitué à la crème de la crème, dès que c'est un peu de dessous cela se note. Il y a beaucoup de vrai dans ce que tu dis de Martha, mais je lui conserve de la tendresse. C'était perdu d'avance mais elle s'est bien battue. Et puis sa manière de quitter le TARDIS a de la classe je trouve. Mais bon, c'est vrai qu'elle est un peu fade vis à vis de Rose et Donna. Evolution of the Daleks, je suis d'accord, c'est très en dessous d s standards de la période Tennant/Davies.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Oui c'est vrai qu'au final, c'est Martha qui s'en sort le mieux, et qui a l'intelligence de partir avant que sa vie soit complètement bousillée (parce que bon le sort réservé à Rose est affreusement triste et celui de Donna terriblement cruel...les adieux d'Amy et Rory étaient également très émouvants). Ses apparitions dans la saison 4 par contre, c était vraiment en trop (d'ailleurs, si le double épisode The Sontaran Stratagem/The Poison Sky reste très correct -à l'image d'une saison 4 vraiment excellente en termes de scénarios-, The Doctor's Daughter en constitue l'unique fausse note).
Donna, je l'aime beaucoup. Catherine Tate a un potentiel comique immense (ça c'est pas un scoop) mais également un très beau talent dramatique (Turn Left, Journey's End).
Donna, je l'aime beaucoup. Catherine Tate a un potentiel comique immense (ça c'est pas un scoop) mais également un très beau talent dramatique (Turn Left, Journey's End).
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
Et Martha réapparaît aussi en saison 2 de Torchwood, comme quoi elle est n'est partie que pour mieux revenir !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Je ne connais pas trop Torchwood...je n'ai vu que la première saison...
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
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