Vampires
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Le CAFÉ Avengers (Ouvert sous modération)
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Re: Vampires
Bon, il se confirme que que je suis un psychopathe. j'ai beaucoup aimé The Dark Compass, même si je reconnais qu’il a ses faiblesses. Le téléfilm fourmille d’idées, qu’il va organiser en deux axes principaux.
Dans un premier temps, Moffat va opter pour une approche certes classique, mais développée ici avec brio : la révélation d’un monde à travers un regard neuf. Dracula opère de manière finalement assez similaire à ce que proposait déjà la BBC en 1966, avec Adam Adamant Lives !. Au sortir d’un long sommeil, un autre Victorien y découvrait pareillement le monde contemporain. Mais Adam était un Héros et surtout le monde d’alors était le joyeux Swinging London, si plein de vie et d’espoir. Dracula arrive dans l’Angleterre (l’Occident) de 2020, autant dire que tout à changé et pas pour le meilleur, bonne année ! Avec son détachement et sa morgue au combien aristocratiques, Dracula devient le parfait témoin critique de notre temps, dont il ne laissera éblouir, ni par les merveilles technologiques, ni par le progrès social.
Un excellent dialogue, un de plus, exprime ce cœur du récit : I knew the Future would bring Wonders, I never imagined it would make them ordinary. La charge de Moffat étonne par sa force au cours d’un d’un épisode constituant, en vérité, son Black Mirror bien à lui. Via Dracula nous découvrons les Humains comme devenus des Vampires s’abreuvant des ressources la Terre jusqu’à l’épuiser, par leur soif de confort et de technologie. Autant de leurres dérisoires dont ils s’entourent pour masquer leur vide existentiel.
Et c‘est là que Lucy va jouer tout son rôle. Depuis Dante et- Béatrice, les voyageurs abordant un nouveau monde ont besoin d’un guide. Pour Diana de Themyscira ce fut Steve Trevor, pour Dracula cela sera Lucy. Pour être juste, cette idée de Moffat n’a rien d’original, elle était déjà largement présente chez Anne Rice, où Lestat devenait le Sire de jeunes gens (à commencer par son cher Louis), afin de rester en phase avec la modernité, de parvenir à la comprendre. Alors oui, Lucy est creuse, mais c’est pleinement cohérent et assumé, car en la buvant, c’est de notre époque dont s’imbibe Dracula. Dans le pamphlet de Steven Moffat, Lucy devient la quintessence de la jeunesse de notre époque. Dès lors son nihilisme, sa vacuité, justifie précisément qu’elle se donne volontairement au Comte, puisque elle ressent déjà être une morte-vivante.
Le saut temporel n’est pas un simple gadget chez Moffat & Gatiss, au contraire il indique que tout l’épouvante gothique des Victoriens n’est rien face à l’horreur réelle et glaciale de la modernité, D’ailleurs, de manière parlante, c’est cette modernité elle-même qui tue Dracula in fine, puisque l’on y vit désormais assez vieux pour développer des cancers. Un problème que, statistiquement, ne connaissaient pas les victuailles du Comte, naguère. La primauté accordée à l’horreur contemporaine ne fait heureusement pas renoncer au Gore, après tout les frigos sont si pratiques pour conserver la viande froide. Mais c’est bien Lucy, par ce qu’elle est, par son néant, qui exprime le mieux cette noirceur de notre Monde, elle est The Dark Compass.
Après, pour être honnête, je pense que cela aurait été plus éloquent si l’on avait créé une jeune femme totalement contemporaine, au lieu d’aller chercher un personnage du roman pour ne pas désespérer les puristes. Cela vient parasiter l’ensemble et s’avère totalement gratuit puisque, chez la Lucy littéraire, personnage assez secondaire de l’œuvre, le plus marquant reste la caricature perverse et morbide de la maternité, qu’elle exprime après son Éveil à la Nuit. Chez Stoker, c’est la Lucy morte qui intéresse, chez Moffat, c’est la vivante, d’où une contradiction. Les quelques autres personnages conservés (Quincey Morris, Jack Seward) n’apportent pas grand-chose non plus. Renfield c’est autre chose, mais grâce au fabuleux numéro de Mark Gatiss.
L’autre volet de l’épisode est son regard introspectif sur Dracula, porté cette fois par Van Helsing. Dracula contemple le Monde, et Van Helsing contemple Dracula, à chacun sa proie. Là aussi notre sombre modernité, si dépourvue de Merveilleux même horrifique, dévore le Comte puisqu’elle le réduit à un objet d d‘étude clinique. Que cela soit par des justifications scientifiques ou psychanalytiques (la pulsion de mort chère à Freud), on le dépouille de son aura et de son folklore, on le rend plus ordinaire, lui-aussi. Il s‘agit d’une approche assez originale et audacieuse du Mythe du Vampire, participant pleinement à la noirceur du projet global (rien à voir avec les mitochondries de la Force, non, voilà, non).
Et pourtant, selon le principe de « qui trop embrasse, mal étreint », j’y vois une faiblesse d’un opus hésitant entre divers sujets. C’est subjectif, mais je trouve le premier sujet bien plus universel et interpellant pour le public et Moffat aurait certainement pu l’approfondir encore en disposant de plus de temps. En fait il faudrait deux épisodes, pour éviter une certaine sensation de trop grande rapidité, notamment lors du dénouement. Cette impression de trop plein se ressent d‘autant plus fortement que l’auteur complexifie parfois inutilement sa narration, mais demander à Steven « mon esprit est un labyrinthe » Moffat de renoncer à la complexité, c’est demander à un poisson de respirer hors de l’eau. L’acharnement mis à absolument inclure toutes les composantes du Mythe du Vampire à sa théorie ou à unifier toutes les parties de l’histoire est également contre-productif, on perd aussi du temps là-dessus. Moffat est un immense scénariste, mais parfois fasciné par sa propre virtuosité dont il veut à tout prix qu’elle revêt le plus d’impact possible, quitte à en faire trop.
On connaît aussi son inclinaison pour les couples à l’histoire contrariée et (fatalement) complexe : Jackman et Claire, Clara et Pink, Amy et Rory, le Docteur et River Song. Sherlock et Irène Adler… Il y excelle mais c’est pourtant ici que l’on trouve le plus profond défaut de The Dark Compass : son volet le plus porteur (le regard sur notre Monde) est porté par le moins intéressant de ses deux couples. Il y a discordance entre l’intérêt des messages et de leur vecteur. Malgré tout l’intérêt de Lucy et le talent de Lydia West, ce couple ne saurait rivaliser avec celui formé entre Dracula et les incarnations de Van Helsing, plus fort et transgressif dramatiquement, et installé depuis le tout début. Le socle de la série n’est pas utilisé pour développer son discours premier, cela rend fatalement ce dernier moins perceptible par le public.
Bon, j’ai déjà été beaucoup trop long, alors je passe très vite sur les qualité du volet 3 déjà présentes dans les deux premiers : l’interprétation, les décors, la musique, la mise en scène encore rehaussée par Paul McGuigan. Mais, en bon fan de la Slayer de Sunnydale, je tiens à dire que j’ai trouvé qu’il y avait ici décidément comme un côté Buffy contre les Vampires. Van Helsing est féminisée et, à la fin du volet 2, Dracula coulait dans son cercueil comme Angel et sa faisant capturer par l’Initiative locale comme Spike. Dans le volet 3 on trouve des décors effectivement très à la Initiative, les Vampires tombent en poussière, on trouve un Bronze façon 2020 et un cimetière… Est-ce que le Dracula de Moffat ne rendrait pas la politesse à une série ayant elle-même dédiée un épisode au Comte et dans lequel Alex devenait le Renfield ici joué par Mark Gatiss ? (***)
Dans un premier temps, Moffat va opter pour une approche certes classique, mais développée ici avec brio : la révélation d’un monde à travers un regard neuf. Dracula opère de manière finalement assez similaire à ce que proposait déjà la BBC en 1966, avec Adam Adamant Lives !. Au sortir d’un long sommeil, un autre Victorien y découvrait pareillement le monde contemporain. Mais Adam était un Héros et surtout le monde d’alors était le joyeux Swinging London, si plein de vie et d’espoir. Dracula arrive dans l’Angleterre (l’Occident) de 2020, autant dire que tout à changé et pas pour le meilleur, bonne année ! Avec son détachement et sa morgue au combien aristocratiques, Dracula devient le parfait témoin critique de notre temps, dont il ne laissera éblouir, ni par les merveilles technologiques, ni par le progrès social.
Un excellent dialogue, un de plus, exprime ce cœur du récit : I knew the Future would bring Wonders, I never imagined it would make them ordinary. La charge de Moffat étonne par sa force au cours d’un d’un épisode constituant, en vérité, son Black Mirror bien à lui. Via Dracula nous découvrons les Humains comme devenus des Vampires s’abreuvant des ressources la Terre jusqu’à l’épuiser, par leur soif de confort et de technologie. Autant de leurres dérisoires dont ils s’entourent pour masquer leur vide existentiel.
Et c‘est là que Lucy va jouer tout son rôle. Depuis Dante et- Béatrice, les voyageurs abordant un nouveau monde ont besoin d’un guide. Pour Diana de Themyscira ce fut Steve Trevor, pour Dracula cela sera Lucy. Pour être juste, cette idée de Moffat n’a rien d’original, elle était déjà largement présente chez Anne Rice, où Lestat devenait le Sire de jeunes gens (à commencer par son cher Louis), afin de rester en phase avec la modernité, de parvenir à la comprendre. Alors oui, Lucy est creuse, mais c’est pleinement cohérent et assumé, car en la buvant, c’est de notre époque dont s’imbibe Dracula. Dans le pamphlet de Steven Moffat, Lucy devient la quintessence de la jeunesse de notre époque. Dès lors son nihilisme, sa vacuité, justifie précisément qu’elle se donne volontairement au Comte, puisque elle ressent déjà être une morte-vivante.
Le saut temporel n’est pas un simple gadget chez Moffat & Gatiss, au contraire il indique que tout l’épouvante gothique des Victoriens n’est rien face à l’horreur réelle et glaciale de la modernité, D’ailleurs, de manière parlante, c’est cette modernité elle-même qui tue Dracula in fine, puisque l’on y vit désormais assez vieux pour développer des cancers. Un problème que, statistiquement, ne connaissaient pas les victuailles du Comte, naguère. La primauté accordée à l’horreur contemporaine ne fait heureusement pas renoncer au Gore, après tout les frigos sont si pratiques pour conserver la viande froide. Mais c’est bien Lucy, par ce qu’elle est, par son néant, qui exprime le mieux cette noirceur de notre Monde, elle est The Dark Compass.
Après, pour être honnête, je pense que cela aurait été plus éloquent si l’on avait créé une jeune femme totalement contemporaine, au lieu d’aller chercher un personnage du roman pour ne pas désespérer les puristes. Cela vient parasiter l’ensemble et s’avère totalement gratuit puisque, chez la Lucy littéraire, personnage assez secondaire de l’œuvre, le plus marquant reste la caricature perverse et morbide de la maternité, qu’elle exprime après son Éveil à la Nuit. Chez Stoker, c’est la Lucy morte qui intéresse, chez Moffat, c’est la vivante, d’où une contradiction. Les quelques autres personnages conservés (Quincey Morris, Jack Seward) n’apportent pas grand-chose non plus. Renfield c’est autre chose, mais grâce au fabuleux numéro de Mark Gatiss.
L’autre volet de l’épisode est son regard introspectif sur Dracula, porté cette fois par Van Helsing. Dracula contemple le Monde, et Van Helsing contemple Dracula, à chacun sa proie. Là aussi notre sombre modernité, si dépourvue de Merveilleux même horrifique, dévore le Comte puisqu’elle le réduit à un objet d d‘étude clinique. Que cela soit par des justifications scientifiques ou psychanalytiques (la pulsion de mort chère à Freud), on le dépouille de son aura et de son folklore, on le rend plus ordinaire, lui-aussi. Il s‘agit d’une approche assez originale et audacieuse du Mythe du Vampire, participant pleinement à la noirceur du projet global (rien à voir avec les mitochondries de la Force, non, voilà, non).
Et pourtant, selon le principe de « qui trop embrasse, mal étreint », j’y vois une faiblesse d’un opus hésitant entre divers sujets. C’est subjectif, mais je trouve le premier sujet bien plus universel et interpellant pour le public et Moffat aurait certainement pu l’approfondir encore en disposant de plus de temps. En fait il faudrait deux épisodes, pour éviter une certaine sensation de trop grande rapidité, notamment lors du dénouement. Cette impression de trop plein se ressent d‘autant plus fortement que l’auteur complexifie parfois inutilement sa narration, mais demander à Steven « mon esprit est un labyrinthe » Moffat de renoncer à la complexité, c’est demander à un poisson de respirer hors de l’eau. L’acharnement mis à absolument inclure toutes les composantes du Mythe du Vampire à sa théorie ou à unifier toutes les parties de l’histoire est également contre-productif, on perd aussi du temps là-dessus. Moffat est un immense scénariste, mais parfois fasciné par sa propre virtuosité dont il veut à tout prix qu’elle revêt le plus d’impact possible, quitte à en faire trop.
On connaît aussi son inclinaison pour les couples à l’histoire contrariée et (fatalement) complexe : Jackman et Claire, Clara et Pink, Amy et Rory, le Docteur et River Song. Sherlock et Irène Adler… Il y excelle mais c’est pourtant ici que l’on trouve le plus profond défaut de The Dark Compass : son volet le plus porteur (le regard sur notre Monde) est porté par le moins intéressant de ses deux couples. Il y a discordance entre l’intérêt des messages et de leur vecteur. Malgré tout l’intérêt de Lucy et le talent de Lydia West, ce couple ne saurait rivaliser avec celui formé entre Dracula et les incarnations de Van Helsing, plus fort et transgressif dramatiquement, et installé depuis le tout début. Le socle de la série n’est pas utilisé pour développer son discours premier, cela rend fatalement ce dernier moins perceptible par le public.
Bon, j’ai déjà été beaucoup trop long, alors je passe très vite sur les qualité du volet 3 déjà présentes dans les deux premiers : l’interprétation, les décors, la musique, la mise en scène encore rehaussée par Paul McGuigan. Mais, en bon fan de la Slayer de Sunnydale, je tiens à dire que j’ai trouvé qu’il y avait ici décidément comme un côté Buffy contre les Vampires. Van Helsing est féminisée et, à la fin du volet 2, Dracula coulait dans son cercueil comme Angel et sa faisant capturer par l’Initiative locale comme Spike. Dans le volet 3 on trouve des décors effectivement très à la Initiative, les Vampires tombent en poussière, on trouve un Bronze façon 2020 et un cimetière… Est-ce que le Dracula de Moffat ne rendrait pas la politesse à une série ayant elle-même dédiée un épisode au Comte et dans lequel Alex devenait le Renfield ici joué par Mark Gatiss ? (***)
Dernière édition par Estuaire44 le Ven 10 Jan 2020 - 10:35, édité 1 fois
Estuaire44- Empereur
- Date d'inscription : 10/04/2007
Dearesttara aime ce message
Re: Vampires
Merci pour cette fabuleuse critique, Estuaire (et merci de l'avoir publiée sur YouTube ). Tu me fais porter un tout autre regard sur ce 3e épisode, c'est sans doute l'une des plus belles analyses que j'ai pu voir sur une série quelle qu'elle soit. Les côtés "Black Mirror" et déboulonnage du mythe, c'est tout à fait ça, et maintenant que je me repasse l'épisode dans ma tête, tout s'éclaire d'une différente lumière. Bravo, c'est juste brillant.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Vampires
Merci ! C'est une opinion parml d'autres possibles, après j'essaie d'argumenter, c'est normal. J'ai oublié Bill et Heather dans les couples au parcours (inévitablement) complexes de Moffat, je n'aurais pas dû.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Vampires
J'ai pris quelques notes pour un futur à venir.
Sinon, en classique, il y a "Carmilla" de Sheridan Le Fanu.
En revanche, je déconseille vivement "Dracula l'Immortel" de Dacre Stocker (petit-neveu de) qui est une suite inutile et mal faite du roman de grand-tonton qu'il donne envie de relire.
Sinon, en classique, il y a "Carmilla" de Sheridan Le Fanu.
En revanche, je déconseille vivement "Dracula l'Immortel" de Dacre Stocker (petit-neveu de) qui est une suite inutile et mal faite du roman de grand-tonton qu'il donne envie de relire.
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Vampires
Van Helsing ce soit sur NRJ 12, une série B très divertissante
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Vampires
Perplexitude sur les deux infos. Le roman a une idée qui n'est pas mauvaise mais le sujet est-il Stocker gestionnaire ou Stocker romancier ? J'ai peur que l'un déborde sur l'autre. Si je le trouve en bibliothèque, j'y jetterai un œil.
Jason Momoa en Dracula ? Je trouve l'idée ridicule ! Et le sujet de la série m'effraye, plus que le Comte !
En tout cas, ravi de voir néanmoins que Dracula reste une valeur sûre et reste surtout le seul et unique vampire médiatique !
Jason Momoa en Dracula ? Je trouve l'idée ridicule ! Et le sujet de la série m'effraye, plus que le Comte !
En tout cas, ravi de voir néanmoins que Dracula reste une valeur sûre et reste surtout le seul et unique vampire médiatique !
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Vampires
'est peut-être parce qu'il a joué un seigneur de la guerre sanguinaire dans GoT, qui peut (très vaguement) faire penser au Vlad historique. Mais le sujet de la série me laisse également très sceptique !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Vampires
On ne fera jamais mieux que Christopher Lee. La Hammer ne meurt jamais !
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Vampires
C'est bien dit !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Vampires
Promo pour la saison 2 de What we do in the shadows
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Vampires
En lisant ce résumé, j'ai un peu pensé à la saga romanesque "Vampire Academy" dont l'héroïne, Rose, est aussi de double nature (les dhampirs selon l'auteur), d'esprit rebelle et romantique que ses aventures font grandir.
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Re: Vampires
Je n'ai pas trop accroché à The Square, trop froid et un peu trop démonstratif sur la cruauté humaine. Mais ça reste une vraie proposition de cinéma que je salue. Bang y est excellent dans un rôle à mille lieues de Dracula.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Vampires
Pareil, je suis en train de le voir, hormis sa prestation je trouve l'ensemble assez fabriqué. Par contre le film est fait pour parler à un jury de cinéma, il coche toutes les cases.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Vampires
Un Escape Game Dracula
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Vampires
L'authentique bande annonce de Die Hard Dracula (1998), titulaire d'une très belle note de 1,9 sur IMDB. Art total.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Vampires
Jamais entendu parler de cette chose ! Je crois comprendre pourquoi !
Camarade Totoff- Prince(sse)
- Age : 44
Localisation : Vitry sur Seine
Date d'inscription : 26/02/2015
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Dearesttara aime ce message
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