Série "Stargate - SG1" (2)
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doctor222
Philo
TorriGilly
7 participants
CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
TorriGilly a écrit:
Le pire moment de ma vie!!
A l’œuvre, on reconnaît la shippeuse.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Je ne vois pas de quoi tu parles
C'est déjà trop long!! Non mais quelle idée, franchementEstuaire44 a écrit:Courage, la plaisanterie sera terminée vers la fin de saison !
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Et encore, toi t'as pas vu Clair de Lune. Ils nous ont fait la plaisanterie non pas une mais... quatre fois !! A chaque fois que David et Maddie se rabibochaient, on prenait le champagne, puis dès qu'un beau gosse ou une belle fille s'invitait, c'était plutôt un Desert Eagle 50 à air comprimé que t'avais envie de prendre...
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Avec SG-1 ce sera plutôt un FN P90, ouille !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Discordes (Sacrifices, 8-09, ***)
- May you love and fight as warriors! Just not with each other.
Traquées par Moloch, les forces d’Ishta se replient au SGC, en attendant qu’une planète refuge leur soit trouvée. Rya’c désire convoler avec Kar’yn, à la grande colère de Teal’c, qui estime cela contraire aux vœux de guerrier de son fils. Les jeunes gens se querellent, tandis que Teal’c et Ishta s’opposent quant la conduite à tenir face à Moloch. Malgré une traitrise, les efforts combinés des Jaffas et du SGC permettent d’abattre le tyran. Ceci scelle une réconciliation et le mariage a lieu.
Il est dommage que l’épisode perde du temps avec l’historiette entre Rya’c et Kar’yn toute en clichés autour des figures imposées du dépit amoureux, de l’opposition parentale et d’un féminisme pétri de bons sentiments. Les jeunes acteurs s’en tirent plutôt bien, mais tout cela reste bien trop prévisible pour capter réellement l’attention. La survenue d’Ishta et de son armée à la Xéna provoque toutefois un choc amusant entre ce quasi univers de Fantasy et celui du SGC, relevant de la pure Science-fiction. Le tout au grand effarement d’O’Neill, tandis que Richard Dean Anderson saisit l’occasion de multiplier d’irrésistibles facéties. Pour le reste, l’infiltration puis la bataille ouverte menée par Ishta et Teal’c développent un récit d’aventures efficace, riche en scènes d’action.
Le tout relève de la plus pure tradition de Stargate Sg-1 (y compris pour le Goa’uld archétypal qu’est Moloch), avec une certaine redite mais aussi un effet de madeleine proustienne fort plaisant au moment où cette période débute son crépuscule. Mis en perspective avec les commencements de la série, la péripétie permet de mesurer le chemin parcouru par les Terriens en matière d’armement et à quel point les Goa’ulds, figés dans leur orgueil, peuvent désormais se voir surpassés. La superbe et talentueuse Jolene Blalock compose toujours une imposante reine amazone, on ne peut que regretter qu’il s’agisse de son ultime participation à la série. Teal’c se voit décidément mis à l’honneur avec un troisième épisode centré sur lui quasiment d’affilée, après Affinity et Avatar. Tant mieux !
Le titre de travail de l'épisode était My Big Fat Jaffa Wedding, un clin d'oeil à la comédie à succès de 2002 My Big Fat Greek Wedding.
Il s'agit du dernier des quatre épisodes écrits par Christopher Judge pour la série.
Le jaffa Aron est interprété par le frère de Judge, Jeff.
Ba'al s'est emparé des super Soldats d'Anubis et récupère maintenant les domaines de Moloch.
Ishta, Rya’c et Kar’yn ne réapparaitront plus dans la série.
- May you love and fight as warriors! Just not with each other.
Traquées par Moloch, les forces d’Ishta se replient au SGC, en attendant qu’une planète refuge leur soit trouvée. Rya’c désire convoler avec Kar’yn, à la grande colère de Teal’c, qui estime cela contraire aux vœux de guerrier de son fils. Les jeunes gens se querellent, tandis que Teal’c et Ishta s’opposent quant la conduite à tenir face à Moloch. Malgré une traitrise, les efforts combinés des Jaffas et du SGC permettent d’abattre le tyran. Ceci scelle une réconciliation et le mariage a lieu.
Il est dommage que l’épisode perde du temps avec l’historiette entre Rya’c et Kar’yn toute en clichés autour des figures imposées du dépit amoureux, de l’opposition parentale et d’un féminisme pétri de bons sentiments. Les jeunes acteurs s’en tirent plutôt bien, mais tout cela reste bien trop prévisible pour capter réellement l’attention. La survenue d’Ishta et de son armée à la Xéna provoque toutefois un choc amusant entre ce quasi univers de Fantasy et celui du SGC, relevant de la pure Science-fiction. Le tout au grand effarement d’O’Neill, tandis que Richard Dean Anderson saisit l’occasion de multiplier d’irrésistibles facéties. Pour le reste, l’infiltration puis la bataille ouverte menée par Ishta et Teal’c développent un récit d’aventures efficace, riche en scènes d’action.
Le tout relève de la plus pure tradition de Stargate Sg-1 (y compris pour le Goa’uld archétypal qu’est Moloch), avec une certaine redite mais aussi un effet de madeleine proustienne fort plaisant au moment où cette période débute son crépuscule. Mis en perspective avec les commencements de la série, la péripétie permet de mesurer le chemin parcouru par les Terriens en matière d’armement et à quel point les Goa’ulds, figés dans leur orgueil, peuvent désormais se voir surpassés. La superbe et talentueuse Jolene Blalock compose toujours une imposante reine amazone, on ne peut que regretter qu’il s’agisse de son ultime participation à la série. Teal’c se voit décidément mis à l’honneur avec un troisième épisode centré sur lui quasiment d’affilée, après Affinity et Avatar. Tant mieux !
Le titre de travail de l'épisode était My Big Fat Jaffa Wedding, un clin d'oeil à la comédie à succès de 2002 My Big Fat Greek Wedding.
Il s'agit du dernier des quatre épisodes écrits par Christopher Judge pour la série.
Le jaffa Aron est interprété par le frère de Judge, Jeff.
Ba'al s'est emparé des super Soldats d'Anubis et récupère maintenant les domaines de Moloch.
Ishta, Rya’c et Kar’yn ne réapparaitront plus dans la série.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Sans pitié (Endgame, 8-10, ****)
- I'd hate to be the guy who explains this to the President.
Grâce aux technologies Tok’ra, Asgards et Goa’ulds qu’il a collecté, le Trust parvient à téléporter la Porte des Etoiles du SGC dans l’ancien vaisseau d’Osiris. Elle s’en sert pour expédier le gaz mortel anti symbiote dans les mondes Goa’ulds, massacrant indifféremment Jaffas loyaux ou rebelles ; Sam et Daniel remonte le fil de la machination de puis la Terre, tandis que Teal’c empêché une crise majeure avec la Tok’ra. Les membres de SG-1 se retrouvent à bord du vaisseau du trust et parviennent à récupérer la Porte ainsi que la majeure partie du gaz.
Après une hilarante introduction (pauvre Walter), l’intrigue rend un bel hommage aux auteurs de Stargate SG-1, maîtrisent parfaitement un vaste univers et capables de lier plusieurs fils narratifs afin de rendre le plus crédible possible le cauchemar ici décrit. La succession des évènements conduisant au déferlement destructeur de la paranoïa du Trust résulte complexe, mais tient parfaitement la route. Grâce à plusieurs images chocs révélant l’amplitude des massacres, l’épisode constitue par ailleurs une efficace dénonciation de l’horreur des armes de destruction massive, chimiques ou bactériologiques. Pour un fois l’enquête menée sur Terre ne résulte pas trop simpliste et se montre efficacement menée. Son écho avec les évènements connus par Teal’c à travers al galaxie insufflent du liant et de l’intensité au récit, jusqu’à la stimulante confrontation finale.
La présence Brandy Ledford vaut un joli guesting à la série, l’actrice donnant beaucoup de chien et d’allure à son personnage de Tok’ra infiltrée entant qu’officier de Ba’al. L’ensemble de la distribution se montre d’ailleurs à la hauteur. L’épisode appelle néanmoins une réserve périphérique : une fois de plus Sam n’apparaît que nominalement chef de SG-1. Elle agit en binôme avec Daniel tandis que Teal’c intervient indépendamment. La forte présence toujours tenue par O’Neill, tant sur le registre de l’humour que du commandement effectif, participe à cet état de fait, mais pas seulement. Qu’arrivée à mi-saison Carter ne soit toujours pas pleinement investie dans son nouveau rôle dans le cadre de missions hors monde ne peut que correspondre à une réticence des auteurs, passablement injustifiée et qui se confirmera en saison 9 avec l’arrivée de Mitchell.
Il s'agit du seul épisode de mi saison de la série à ne pas se constituer en première partie d'un double épisode et s'achevant sur un cliffhanger.
Ancien mannequin, Brandy Ledford (Zarin) est se fit connaître dans Alerte à Malibu et décocha de nombreux rôles dans des séries de Science-fiction. Elle est ainsi l'androïde Doyle, dans la série Andromeda et l’Agente Monroe dans L’Homme invisible.
- I'd hate to be the guy who explains this to the President.
Grâce aux technologies Tok’ra, Asgards et Goa’ulds qu’il a collecté, le Trust parvient à téléporter la Porte des Etoiles du SGC dans l’ancien vaisseau d’Osiris. Elle s’en sert pour expédier le gaz mortel anti symbiote dans les mondes Goa’ulds, massacrant indifféremment Jaffas loyaux ou rebelles ; Sam et Daniel remonte le fil de la machination de puis la Terre, tandis que Teal’c empêché une crise majeure avec la Tok’ra. Les membres de SG-1 se retrouvent à bord du vaisseau du trust et parviennent à récupérer la Porte ainsi que la majeure partie du gaz.
Après une hilarante introduction (pauvre Walter), l’intrigue rend un bel hommage aux auteurs de Stargate SG-1, maîtrisent parfaitement un vaste univers et capables de lier plusieurs fils narratifs afin de rendre le plus crédible possible le cauchemar ici décrit. La succession des évènements conduisant au déferlement destructeur de la paranoïa du Trust résulte complexe, mais tient parfaitement la route. Grâce à plusieurs images chocs révélant l’amplitude des massacres, l’épisode constitue par ailleurs une efficace dénonciation de l’horreur des armes de destruction massive, chimiques ou bactériologiques. Pour un fois l’enquête menée sur Terre ne résulte pas trop simpliste et se montre efficacement menée. Son écho avec les évènements connus par Teal’c à travers al galaxie insufflent du liant et de l’intensité au récit, jusqu’à la stimulante confrontation finale.
La présence Brandy Ledford vaut un joli guesting à la série, l’actrice donnant beaucoup de chien et d’allure à son personnage de Tok’ra infiltrée entant qu’officier de Ba’al. L’ensemble de la distribution se montre d’ailleurs à la hauteur. L’épisode appelle néanmoins une réserve périphérique : une fois de plus Sam n’apparaît que nominalement chef de SG-1. Elle agit en binôme avec Daniel tandis que Teal’c intervient indépendamment. La forte présence toujours tenue par O’Neill, tant sur le registre de l’humour que du commandement effectif, participe à cet état de fait, mais pas seulement. Qu’arrivée à mi-saison Carter ne soit toujours pas pleinement investie dans son nouveau rôle dans le cadre de missions hors monde ne peut que correspondre à une réticence des auteurs, passablement injustifiée et qui se confirmera en saison 9 avec l’arrivée de Mitchell.
Il s'agit du seul épisode de mi saison de la série à ne pas se constituer en première partie d'un double épisode et s'achevant sur un cliffhanger.
Ancien mannequin, Brandy Ledford (Zarin) est se fit connaître dans Alerte à Malibu et décocha de nombreux rôles dans des séries de Science-fiction. Elle est ainsi l'androïde Doyle, dans la série Andromeda et l’Agente Monroe dans L’Homme invisible.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Vulnérable (Gemini, 8-11, ***)
-They’ll be there in 30 minutes, or it’s free.
Le Réplicateur Carter établit le contact avec le SGC, demandant qu’on la détruise avec le disrupteur. Elle est lasse de l’esclavage dans laquelle la maintient Numéro 5. De plus celui-ci sera bientôt de retour, désormais immunisé contre l’arme des Anciens. Ceci conduit Carter à travailler avec son double pour trouver une parade, malgré les réticences d’O’Neill. Il s’avère que tout ceci n’était qu’une ruse de Numéro 5, destinée à percer le mystère du disrupteur. Mais le Réplicateur Carter la reprend à son compte et abat son créateur. Elle est alors sur le point d’envahir la galaxie, à la tête de Réplicateurs à nouveau invincibles.
L’intrigue tranche agréablement avec les scénarios coutumiers de DeLuise, certes habile dans le domaine des comédies mais cédant trop souvent aux bons sentiments démonstratifs (notamment autour des Unas). Le Réplicarter constitue une excellente surprise, portée par l’excellent jeu d’Amanda Tapping incarnant avec conviction le double maléfique de son personnage coutumier. L’intrigue apporte toute sa dimension à ce nouvel antagoniste de premier plan, autrement plus inquiétant que les Goa’ulds en début de déliquescence. Cela s’explique par ses vastes pouvoirs, oscillant entre Matrix et Terminator version T-1000, mas surtout, judicieusement, par sa vive intelligence, reflet de celle de Sam mais distordue par sa personnalité monstrueuse. De son côté découvrir Sam percevoir l’existence de son alter ego maléfique comme la conséquence de ses fautes s’avère émouvant.
La mise en scène réussit quelques jolis coups, avec des trucages rendant crédible la présence simultanée des deux Carter ou les conversations dans le réseau réplicateurs restituées de manière très esthétique. On regrettera toutefois un ralentissement du rythme en milieu de parcours, entre la révalation du Réplicarter etc elle de sa supercherie, avec des redites de l’action en cours entre Sam et Jack destinées à meubler. Il reste également dommageable que la saison 8, après avoir dénié à Sam le commandement effectif d’une SG-1 perpétuellement dispersée (Daniel étant l’absent du jour, après Teal’c), la rende avec tant d’insistance coupable d’une grave bévue, on se situe aux confins de l’acharnement.
Après son apparition dans New Order, l'épisode marque le retour du Réplicateur Carter (souvent surnommé RépliCarter), qui va occuper une place de premier plan durant le reste de la saison.
Daniel est quasi absent, car en route vers Atlantis à bord du Prométhée. L’action de l’épisode se déroule simultanément avec celle du suivant, Prometheus Unbound, où il est fort occupé à faire connaissance avec Vala Mal Doran.
-They’ll be there in 30 minutes, or it’s free.
Le Réplicateur Carter établit le contact avec le SGC, demandant qu’on la détruise avec le disrupteur. Elle est lasse de l’esclavage dans laquelle la maintient Numéro 5. De plus celui-ci sera bientôt de retour, désormais immunisé contre l’arme des Anciens. Ceci conduit Carter à travailler avec son double pour trouver une parade, malgré les réticences d’O’Neill. Il s’avère que tout ceci n’était qu’une ruse de Numéro 5, destinée à percer le mystère du disrupteur. Mais le Réplicateur Carter la reprend à son compte et abat son créateur. Elle est alors sur le point d’envahir la galaxie, à la tête de Réplicateurs à nouveau invincibles.
L’intrigue tranche agréablement avec les scénarios coutumiers de DeLuise, certes habile dans le domaine des comédies mais cédant trop souvent aux bons sentiments démonstratifs (notamment autour des Unas). Le Réplicarter constitue une excellente surprise, portée par l’excellent jeu d’Amanda Tapping incarnant avec conviction le double maléfique de son personnage coutumier. L’intrigue apporte toute sa dimension à ce nouvel antagoniste de premier plan, autrement plus inquiétant que les Goa’ulds en début de déliquescence. Cela s’explique par ses vastes pouvoirs, oscillant entre Matrix et Terminator version T-1000, mas surtout, judicieusement, par sa vive intelligence, reflet de celle de Sam mais distordue par sa personnalité monstrueuse. De son côté découvrir Sam percevoir l’existence de son alter ego maléfique comme la conséquence de ses fautes s’avère émouvant.
La mise en scène réussit quelques jolis coups, avec des trucages rendant crédible la présence simultanée des deux Carter ou les conversations dans le réseau réplicateurs restituées de manière très esthétique. On regrettera toutefois un ralentissement du rythme en milieu de parcours, entre la révalation du Réplicarter etc elle de sa supercherie, avec des redites de l’action en cours entre Sam et Jack destinées à meubler. Il reste également dommageable que la saison 8, après avoir dénié à Sam le commandement effectif d’une SG-1 perpétuellement dispersée (Daniel étant l’absent du jour, après Teal’c), la rende avec tant d’insistance coupable d’une grave bévue, on se situe aux confins de l’acharnement.
Après son apparition dans New Order, l'épisode marque le retour du Réplicateur Carter (souvent surnommé RépliCarter), qui va occuper une place de premier plan durant le reste de la saison.
Daniel est quasi absent, car en route vers Atlantis à bord du Prométhée. L’action de l’épisode se déroule simultanément avec celle du suivant, Prometheus Unbound, où il est fort occupé à faire connaissance avec Vala Mal Doran.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
En détresse (Prometheus Unbound, 8-12, ****)
- Did you have fun taking off my clothes?
- It was your idea.
- No, I meant when I was conscious. So I could distract you and kick you in the head.
Sans nouvelles d’Atlantis, le Général Hammond décide d’y conduire une mission de secours, à bord du Promotheus. Il emmené Daniel avec lui, au grand dépit d’O’Neill. Mais l’expédition tombe dans le piège d’une belle flibustière, Vala. Ayant récupéré l’armure et l’armement d’un Super Soldat, elle expédie l’équipage dans son propre vaisseau, un Al’kesh en ruines et s’empare du Promotheus. Resté à Bord Daniel entreprend de l’affronter, entre combats, ruses et jeux de séduction (à sens unique de la part de Vala). Hammond réussit à remettre l’Alkesh en marche, tandis que Daniel finit par récupérer le vaisseau terrien. Mais Vala parvient à s’enfuir.
Du fait de la séparation survenant entre Daniel et le reste de l’équipage, le récit se scinde mécaniquement en deux sections quasi indépendantes, un procédé souvent utilisé au cours de la série, et qui cette fois fonctionne parfaitement bien. En effet l'épisode propose ainsi deux segments aux tonalités agréablement diverses. Les militaires du Promotheus connaissent une aventure archétypale de Space-opera, tout à fait similaire à ce que connaissent leurs homologues de Star Trek. On se situe donc en terrain ultra-balisé et prévisible, mais les péripéties surviennent à un tempo suffisamment élevé pour capter l'attention (malgré l'humour un peu pesant autour d'une crise de hoquet). De plus les auteurs ont l'excellente idée de faire revenir Hammond pour l'occasion, ce qui suscite bien entendu une émotion particulière, d'autant que le général paie de sa personne ! Don S. Davis se montre toujours aussi impeccable. On apprécie vivement que la série libère de plus en plus Walter de ses claviers pour le mêler à l’action
La mémorable entrée en scène de Vala Mal Doran (rarement personnage tardif fut aussi spectaculairement introduit) emporte l'adhésion tant la tonique et sensuelle Claudia Black crépite d’entrée de sa vitalité bien connue des mateurs de Farscape. Elle compose une Vala attrape-coeur en diable, aventurière à la fois amorale et sympathique, dans la grande lignée des rebelles refusant de prendre la vie au sérieux. Tout en autorisant une visite approfondie du décor du Promotheus, son duel avec Daniel séduit par ses rebondissements, son charme et ses dialogues incisifs une variante réussie de la figure des couples antinomiques dont la rencontre produit infailliblement des étincelles. Évidemment l'opus bénéfice de lamie en perspective du rôle ultérieur tenu par Vala, mais, tel quel il demeure délectable. La jonction entre les deux segments résulte également réussi, avec un sketch initial hilarant autour d'O'Neill (Hammond ayant sa manière bien à lui de rappeler qui est le patron) et le final spectaculaire de la bataille spatiale. On accepte pleinement la facilité scénaristique de l'évasion de Vala, car riche en promesses.
En même temps qu'il a été nommé à la tête du Homeworld Security, Hammond a été promu au grade de Lieutenant Général (Général de division, en France).
Aucune Porte des Étoiles n'apparaît au cours de l'épisode.
L'action se déroule simultanément à celle de l'épisode précédent, Gemini, où Daniel ne figurait quasiment pas. Sam est ici absente pour la toute première fois, et Teal'c pour l'unique fois de la série manque aussi à l'appel.
Vala Mal Doran effectue ici son entrée en lcie, pour sa seule apparition de la saison. Durant les saisons 9 et 10, l'aventurière délurée va devenir membre associé, puis à part entière, de SG-1. Elle jouera un rôle important lors de la lutte contre la Croisade des Oris, tout en poursuivant son flirt au long cours avec Daniel. L'actrice Claudia Black y retrouvera Ben Browder, son partenaire de Farscape, qui interprétera le Colonel Mitchell, nouveau leader de l'équipe.
Grâce à un nouvel apport Asgard, le Promotheus peut désormais passer en hyper propulsion et atteindre d’autres galaxies, dont celle de Pégase.
Une nouvelle mission de secours, cette fois à bord du Daedalus, parviendra à rallier la Cité des Anciens, juste à temps pour apporter une aide cruciale lors de la grande bataille concluant la saison 1 de Stargate Atlantis.
- Did you have fun taking off my clothes?
- It was your idea.
- No, I meant when I was conscious. So I could distract you and kick you in the head.
Sans nouvelles d’Atlantis, le Général Hammond décide d’y conduire une mission de secours, à bord du Promotheus. Il emmené Daniel avec lui, au grand dépit d’O’Neill. Mais l’expédition tombe dans le piège d’une belle flibustière, Vala. Ayant récupéré l’armure et l’armement d’un Super Soldat, elle expédie l’équipage dans son propre vaisseau, un Al’kesh en ruines et s’empare du Promotheus. Resté à Bord Daniel entreprend de l’affronter, entre combats, ruses et jeux de séduction (à sens unique de la part de Vala). Hammond réussit à remettre l’Alkesh en marche, tandis que Daniel finit par récupérer le vaisseau terrien. Mais Vala parvient à s’enfuir.
Du fait de la séparation survenant entre Daniel et le reste de l’équipage, le récit se scinde mécaniquement en deux sections quasi indépendantes, un procédé souvent utilisé au cours de la série, et qui cette fois fonctionne parfaitement bien. En effet l'épisode propose ainsi deux segments aux tonalités agréablement diverses. Les militaires du Promotheus connaissent une aventure archétypale de Space-opera, tout à fait similaire à ce que connaissent leurs homologues de Star Trek. On se situe donc en terrain ultra-balisé et prévisible, mais les péripéties surviennent à un tempo suffisamment élevé pour capter l'attention (malgré l'humour un peu pesant autour d'une crise de hoquet). De plus les auteurs ont l'excellente idée de faire revenir Hammond pour l'occasion, ce qui suscite bien entendu une émotion particulière, d'autant que le général paie de sa personne ! Don S. Davis se montre toujours aussi impeccable. On apprécie vivement que la série libère de plus en plus Walter de ses claviers pour le mêler à l’action
La mémorable entrée en scène de Vala Mal Doran (rarement personnage tardif fut aussi spectaculairement introduit) emporte l'adhésion tant la tonique et sensuelle Claudia Black crépite d’entrée de sa vitalité bien connue des mateurs de Farscape. Elle compose une Vala attrape-coeur en diable, aventurière à la fois amorale et sympathique, dans la grande lignée des rebelles refusant de prendre la vie au sérieux. Tout en autorisant une visite approfondie du décor du Promotheus, son duel avec Daniel séduit par ses rebondissements, son charme et ses dialogues incisifs une variante réussie de la figure des couples antinomiques dont la rencontre produit infailliblement des étincelles. Évidemment l'opus bénéfice de lamie en perspective du rôle ultérieur tenu par Vala, mais, tel quel il demeure délectable. La jonction entre les deux segments résulte également réussi, avec un sketch initial hilarant autour d'O'Neill (Hammond ayant sa manière bien à lui de rappeler qui est le patron) et le final spectaculaire de la bataille spatiale. On accepte pleinement la facilité scénaristique de l'évasion de Vala, car riche en promesses.
En même temps qu'il a été nommé à la tête du Homeworld Security, Hammond a été promu au grade de Lieutenant Général (Général de division, en France).
Aucune Porte des Étoiles n'apparaît au cours de l'épisode.
L'action se déroule simultanément à celle de l'épisode précédent, Gemini, où Daniel ne figurait quasiment pas. Sam est ici absente pour la toute première fois, et Teal'c pour l'unique fois de la série manque aussi à l'appel.
Vala Mal Doran effectue ici son entrée en lcie, pour sa seule apparition de la saison. Durant les saisons 9 et 10, l'aventurière délurée va devenir membre associé, puis à part entière, de SG-1. Elle jouera un rôle important lors de la lutte contre la Croisade des Oris, tout en poursuivant son flirt au long cours avec Daniel. L'actrice Claudia Black y retrouvera Ben Browder, son partenaire de Farscape, qui interprétera le Colonel Mitchell, nouveau leader de l'équipe.
Grâce à un nouvel apport Asgard, le Promotheus peut désormais passer en hyper propulsion et atteindre d’autres galaxies, dont celle de Pégase.
Une nouvelle mission de secours, cette fois à bord du Daedalus, parviendra à rallier la Cité des Anciens, juste à temps pour apporter une aide cruciale lors de la grande bataille concluant la saison 1 de Stargate Atlantis.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Une vieille connaissance (It’s Good to Be King, 8-13, ***)
- Jack. Great to see you. How long has it been?
- Oh, since you got us stranded off-world and tried to kill me.
- That takes me back. I guess congratulations are in order. You made General.
- You made King.
La guerre entre Goa'ulds va atteindre le monde où Maybourne s'est réfugié. SG-1 part l'avertir mais découvre qu'il est devenu roi de la population médiévale locale, grâce à sa découverte e de prophéties laissées sur place par un Ancien. Daniel et Sam découvre un mini vaisseau Ancien, capable de voyager dans le temps. Jack franchit la Porte pour actionner l'artefact, mais les troupes d'Arès surviennent à leur tour. Grâce à une collaboration avec Maybourne, SG-1 vainc les envahisseurs et rapporte le vaisseau au SGC. Maybourne peut poursuivre son règne éclairé et progressiste, aimé de tous ses sujets.
L'épisode se montre plein d'allant et d'humour, la très bonne idée d'un Maybourne devenu roi, sur un mode de clair pastiche du The Man Who Would Be King de Kipling, apportant une vraie saveur au récit. La situation autorise un parfait ultime récital de Tom McBeath, toujours parfait sur le registre de la canaillerie et concluant ici idéalement la longue évolution de son personnage. Entre combat spatial et affrontements au sol, l'opus ravira également les amateurs d'action, dans un ensemble typique du ton Stargate SG-1. Ceux privilégiant la Science-fiction pure apprécieront de trouver dans ce Jumper couplé à une machine temporelle comme une esquisse simplifiée du TARDIS. Évidemment que la série commence à boucler ici les destins individuels de ses personnages réguliers impulse une certaine nostalgie, d'autant que le reste de la saison signifiera une fermeture progressive des différents dossiers; mais, à tout prendre il s'agit d'un vrai professionnalisme d'auteurs désireux de ne rien laisser en suspens.
Malheureusement le succès de l'épisode s'avère incomplet. On regrette quelques facilités scénaristiques (quid des troupes d'Arès établies en dehors du village ?), tandis que le décor bon marché de la bourgade-capitale fait vraiment toc. En dehors de Tom McBeath, les comédiens invités du jour n'ont rien de transcendant, notamment ceux interprétant le Primat d'Arès et la capitaine de la garde de Maybourne. Que le moteur temporel ne soit en définitive jamais activé suscite inévitablement de la frustration. Que l'on sache qu'il interviendra lors du final de saison n'y change pas grand chose. Surtout on désespère décidément de voir les auteurs enfin installer Sam dans son rôle de leader effectif de SG-1. Alors qu'elle avait enfin l'opportunité de diriger une mission hors monde, voici que Jack déboule au bout d'un quart d'heure, alors que se profile la bataille. Notre amie retrouve son sempiternel rôle de scientifique. C'est décidément un réel plafond de verre, aussi infranchissable qu'injustifiée, que la série édifie au-dessus de Carter.
Sam comprend le fonctionnement des Time Jumpers, qui participent également à l'épisode de Stargate Atlantis diffusé la même soirée, Before I Sleep.
On apprend que les Seigneurs du Système Bastet et Olokun ont péri. Ba'al est en train d'écraser ses ultimes opposants, seuls Yu et Amaterasu résistent encore.
L'épisode comporte des clins d’œil à des gags cinématographiques autour de la royauté (Mel Brooks et Monty Python).
Arès, fils de Zeus et d'Héra, est le dieu de la guerre du panthéon grec. Il est aussi l'un des plus dangereux adversaires d'Hercule, mais aussi le soupirant obstiné de Xéna, au sein d'une Grèce aussi improbable que divertissante.
La Porte de la planète de Maybourne se situe en fait dans le parc Tynehead, dans le grand Vancouver. Sa faune, ainsi que ses montagnes, rivières et forêts le rendent très populaire auprès des excursionnistes. Le parc sert de décors à plusieurs épisodes, c'est ainsi là que fut tournée la réapparition de Daniel, en début de saison 7.
Ultime apparition d'Harry Maybourne, ennemi puis allié de Jack O'Neill, qui pourra désormais couler des jours heureux sur son monde d'élection.
- Jack. Great to see you. How long has it been?
- Oh, since you got us stranded off-world and tried to kill me.
- That takes me back. I guess congratulations are in order. You made General.
- You made King.
La guerre entre Goa'ulds va atteindre le monde où Maybourne s'est réfugié. SG-1 part l'avertir mais découvre qu'il est devenu roi de la population médiévale locale, grâce à sa découverte e de prophéties laissées sur place par un Ancien. Daniel et Sam découvre un mini vaisseau Ancien, capable de voyager dans le temps. Jack franchit la Porte pour actionner l'artefact, mais les troupes d'Arès surviennent à leur tour. Grâce à une collaboration avec Maybourne, SG-1 vainc les envahisseurs et rapporte le vaisseau au SGC. Maybourne peut poursuivre son règne éclairé et progressiste, aimé de tous ses sujets.
L'épisode se montre plein d'allant et d'humour, la très bonne idée d'un Maybourne devenu roi, sur un mode de clair pastiche du The Man Who Would Be King de Kipling, apportant une vraie saveur au récit. La situation autorise un parfait ultime récital de Tom McBeath, toujours parfait sur le registre de la canaillerie et concluant ici idéalement la longue évolution de son personnage. Entre combat spatial et affrontements au sol, l'opus ravira également les amateurs d'action, dans un ensemble typique du ton Stargate SG-1. Ceux privilégiant la Science-fiction pure apprécieront de trouver dans ce Jumper couplé à une machine temporelle comme une esquisse simplifiée du TARDIS. Évidemment que la série commence à boucler ici les destins individuels de ses personnages réguliers impulse une certaine nostalgie, d'autant que le reste de la saison signifiera une fermeture progressive des différents dossiers; mais, à tout prendre il s'agit d'un vrai professionnalisme d'auteurs désireux de ne rien laisser en suspens.
Malheureusement le succès de l'épisode s'avère incomplet. On regrette quelques facilités scénaristiques (quid des troupes d'Arès établies en dehors du village ?), tandis que le décor bon marché de la bourgade-capitale fait vraiment toc. En dehors de Tom McBeath, les comédiens invités du jour n'ont rien de transcendant, notamment ceux interprétant le Primat d'Arès et la capitaine de la garde de Maybourne. Que le moteur temporel ne soit en définitive jamais activé suscite inévitablement de la frustration. Que l'on sache qu'il interviendra lors du final de saison n'y change pas grand chose. Surtout on désespère décidément de voir les auteurs enfin installer Sam dans son rôle de leader effectif de SG-1. Alors qu'elle avait enfin l'opportunité de diriger une mission hors monde, voici que Jack déboule au bout d'un quart d'heure, alors que se profile la bataille. Notre amie retrouve son sempiternel rôle de scientifique. C'est décidément un réel plafond de verre, aussi infranchissable qu'injustifiée, que la série édifie au-dessus de Carter.
Sam comprend le fonctionnement des Time Jumpers, qui participent également à l'épisode de Stargate Atlantis diffusé la même soirée, Before I Sleep.
On apprend que les Seigneurs du Système Bastet et Olokun ont péri. Ba'al est en train d'écraser ses ultimes opposants, seuls Yu et Amaterasu résistent encore.
L'épisode comporte des clins d’œil à des gags cinématographiques autour de la royauté (Mel Brooks et Monty Python).
Arès, fils de Zeus et d'Héra, est le dieu de la guerre du panthéon grec. Il est aussi l'un des plus dangereux adversaires d'Hercule, mais aussi le soupirant obstiné de Xéna, au sein d'une Grèce aussi improbable que divertissante.
La Porte de la planète de Maybourne se situe en fait dans le parc Tynehead, dans le grand Vancouver. Sa faune, ainsi que ses montagnes, rivières et forêts le rendent très populaire auprès des excursionnistes. Le parc sert de décors à plusieurs épisodes, c'est ainsi là que fut tournée la réapparition de Daniel, en début de saison 7.
Ultime apparition d'Harry Maybourne, ennemi puis allié de Jack O'Neill, qui pourra désormais couler des jours heureux sur son monde d'élection.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
C'st confirmé, la nouvelle trilogie Stargate au cinéma sera un reboot complet, ne tenant compte ni des séries, ni même du film initial.
http://www.themarysue.com/stargate-reboot-will-have-to-start-over/
http://www.themarysue.com/stargate-reboot-will-have-to-start-over/
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Qu'ils aient abandonné le raccord au film initial est une bonne idée, mais reste à savoir si commercialement, il aurait pas été plus judicieux de tenir en compte la série.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
S'ils sont malins, tout en développant une nouvelle histoire, ils inséreront quelques références cryptées aux séries, histoire de ne pas se brouiller avec les Gaters.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Tu iras le voir donc ?
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Au moins le premier, ce sera toujours amusant de comparer avec SG-1. Pour les suivants cela dépendra du niveau.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Alerte maximum (Full Alert, 8-14, *)
- That's why I came to you.
- Yes, you've always struck me as the hero type.
Les dirigeants du Trust sont désormais possédés par des Goa’ulds et incorporent Kinsey au nez et à la barbe de SG-1. Ils s’emploient à créer une crise internationale en jouant sur la paranoïa de gouvernants, afin qu’un conflit destructeur leur ouvre le chemin à l’arme des Anciens. SG-1 parvient à contrer le complot et à détruire l’Al’kesh servant de base aux conspirateurs. La destinée de Kinsey demeure inconnue.
Particulièrement décevant, cet épisode accumule les maladresses. Le scénario voyant SG-1 s’opposer victorieusement à la course à l’abyme entre des blocs antagoniste nous a été déjà maintes fois servi par le passé (New Ground, The Other Side, ou encore le très récent Icon). La version du jour résulte particulièrement paresseuse et elliptique, les auteurs se contentant visiblement de capitaliser sur le frisson supplémentaire qu’est censée apporter une localisation cette fois terrestre. Mais il ne suffit pas de décrire des évènements de manière éculée et statique entre deux acteurs confinés dans un même décor pour donner de la consistance à une ambiance. Ponctuer les interventions d’O’Neill de références à l’échelle DEFCON fait perdre son humour au personnage sans gagner en intensité, tant tout ceci demeura gratuit et abuse de la narration. L’échappée de Daniel en Russie et à rencontre avec la piquante militaire apporte un peu d’air mais demeure anecdotique.
Le scénario glisse aussi beaucoup trop vite sur la transformation du Trust, ce qui résulte passablement artificiel et prive les Goa’ulds d’une véritable incarnation. I reste étonnant de voire les Goa’ulds commettre des impairs aussi énormes que pratiques. On regrette particulièrement que, pour son ultime apparition, Kinsey se vit purement et simplement escamoté au bout de quelques minutes. Même si Ronny Cox confirme sa maîtrise du rôle, Il aurait été autrement plus digne et porteur de laisser le veux renard mener un ultime combat contre O’Neill. Par ailleurs conclure par l’interrogative un parcours suivi depuis si longtemps relève de la faute professionnelle. La seule véritable bonne nouvelle de l’opus demeure la confirmation de la présence accrue désormais attribuée à Walter, désormais plus disert et dans l’action qu’il ne l’avait jamais été lors des saisons antérieures.
Les agents du Trust se sont choisis des noms de super héros pour pseudonymes : Mr. Parker, Mr. Wayne et Mr. Kent.
L'ancien Sénateur puis Vice Président Robert Kinsey, ennemi au long cours de SG-1, effectue ici sa sortie de scène, après avoir été possédé par un Goa'uld
La demeure du Trust est la Rosemary Mansion (1915), à Vancouver. Déjà aperçue dans la série (48 Hours, 5.14), elle est caractéristique du style néo-Tudorien du grand architecte canadien Samuel Maclure.
- That's why I came to you.
- Yes, you've always struck me as the hero type.
Les dirigeants du Trust sont désormais possédés par des Goa’ulds et incorporent Kinsey au nez et à la barbe de SG-1. Ils s’emploient à créer une crise internationale en jouant sur la paranoïa de gouvernants, afin qu’un conflit destructeur leur ouvre le chemin à l’arme des Anciens. SG-1 parvient à contrer le complot et à détruire l’Al’kesh servant de base aux conspirateurs. La destinée de Kinsey demeure inconnue.
Particulièrement décevant, cet épisode accumule les maladresses. Le scénario voyant SG-1 s’opposer victorieusement à la course à l’abyme entre des blocs antagoniste nous a été déjà maintes fois servi par le passé (New Ground, The Other Side, ou encore le très récent Icon). La version du jour résulte particulièrement paresseuse et elliptique, les auteurs se contentant visiblement de capitaliser sur le frisson supplémentaire qu’est censée apporter une localisation cette fois terrestre. Mais il ne suffit pas de décrire des évènements de manière éculée et statique entre deux acteurs confinés dans un même décor pour donner de la consistance à une ambiance. Ponctuer les interventions d’O’Neill de références à l’échelle DEFCON fait perdre son humour au personnage sans gagner en intensité, tant tout ceci demeura gratuit et abuse de la narration. L’échappée de Daniel en Russie et à rencontre avec la piquante militaire apporte un peu d’air mais demeure anecdotique.
Le scénario glisse aussi beaucoup trop vite sur la transformation du Trust, ce qui résulte passablement artificiel et prive les Goa’ulds d’une véritable incarnation. I reste étonnant de voire les Goa’ulds commettre des impairs aussi énormes que pratiques. On regrette particulièrement que, pour son ultime apparition, Kinsey se vit purement et simplement escamoté au bout de quelques minutes. Même si Ronny Cox confirme sa maîtrise du rôle, Il aurait été autrement plus digne et porteur de laisser le veux renard mener un ultime combat contre O’Neill. Par ailleurs conclure par l’interrogative un parcours suivi depuis si longtemps relève de la faute professionnelle. La seule véritable bonne nouvelle de l’opus demeure la confirmation de la présence accrue désormais attribuée à Walter, désormais plus disert et dans l’action qu’il ne l’avait jamais été lors des saisons antérieures.
Les agents du Trust se sont choisis des noms de super héros pour pseudonymes : Mr. Parker, Mr. Wayne et Mr. Kent.
L'ancien Sénateur puis Vice Président Robert Kinsey, ennemi au long cours de SG-1, effectue ici sa sortie de scène, après avoir été possédé par un Goa'uld
La demeure du Trust est la Rosemary Mansion (1915), à Vancouver. Déjà aperçue dans la série (48 Hours, 5.14), elle est caractéristique du style néo-Tudorien du grand architecte canadien Samuel Maclure.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
A la Fedcon de juin 2014 (à l'origine une convention Star Trek allemande, qui s'est progressivement ouverte à d'autres séries SF/Fantastiques)
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Les Réplicateurs arrivent...
http://www.fredzone.org/replicateurs-stargate-sg-1-reels-010
http://www.fredzone.org/replicateurs-stargate-sg-1-reels-010
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
J'en veux un!!
Au fait Estuaire, j'ai téléchargé l'épisode 1 de Stargate SG1 Unleashed, je voulais le démarrer avec toi à la dernière réunion mais je n'ai pas pu venir [et Philo a légèrement oublié de transmettre le message ]. Du coup je l'ai démarré toute seule comme une grande et... c'est plutôt pas mal
Au fait Estuaire, j'ai téléchargé l'épisode 1 de Stargate SG1 Unleashed, je voulais le démarrer avec toi à la dernière réunion mais je n'ai pas pu venir [et Philo a légèrement oublié de transmettre le message ]. Du coup je l'ai démarré toute seule comme une grande et... c'est plutôt pas mal
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
effectivement, cela avait l'air de bien fonctionner. Tu nous feras une démo, la prochaine fois !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Pas de soucis
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Rien à perdre (Citizen Joe, 8-15, **)
- You're Brigadier General Jack O'Neill, head of Stargate Command at Cheyenne Mountain. You used to lead SG-1 which is now lead by Lt. Colonel Samantha Carter. You once visited a planet called Argos where the nanites in your blood caused you to age artificially. You had the entire repository of the Ancients knowledge downloaded into your brain. Twice. You have a thing for The Simpsons, fishing, Mary Steenburgen, the color peridot and you're a terrible ping-pong player.
- Have we met?
- My name's Joe Spencer. I'm a barber.
Joe, un paisible coiffeur, découvre un jour un pierre lui révélant d’étranges visions : des militaires de l’US Air Force voyageraient à travers une Porte menant vers d’autres planètes et combattraient de terribles aliens. Durant sept années Joe suit les aventures du groupe nommé SG-1, devenant de plus en plus fasciné, jusqu’à détruire sa vie familiale et professionnelle. Comprenant qu’il perçoit la réalité, il décide alors de se confronter au Général O’Neill.
Marquant une respiration avant d’aborder la charnière qu’est Reckoning, l’épisode se veut l’occasion d’un coup d‘œil dans le rétroviseur du Stargate « classique » sur le point de s’achever. L’intension est louable mais l’on ne peut que regretter que l’exercice revête la forme d’un simple clip show, soit un choix passe-partout d’autant plus dommageable que la série y a déjà eu recours à maintes reprises. Comme souvent très inventif, Damian Kindler va toutefois tout tenter pour secouer le carcan de ce type d’opus. Les extraits présentés ne se limitent pas à une sélection de scènes spectaculaires mais brossent effectivement à grands traits l’essentiel du parcours de nos héros.
Surtout l’auteur permet au récit liant ces divers extraits d’être autre chose qu’un passe-plat. La narration en flash back énigmatique, alternativement humoristique ou émouvante et capitalisant sur le naturel de Dan Castellanata, maintient le plus souvent son intérêt. Kindler pousse la malice jusqu’à instaurer un méta récit ludique, instaurant un parallèle entre les réactions de Joe et celles des fans de la série, le procédé permettant de revenir sur les moments de la série ayant suscité une polémique. L’opus suscite ainsi quelques moments d’humour (d’autant que l’auteur rend volontairement absurde la résolution de l’énigme), une série comme Supernatural saura consacrer plus d’espace à son similaire Chuck Shurley.
Wormhole X-Treme ! a été annulé après un unique épisode, du fait d'une audience catastrophique.
Les tenues longues et sombres portées par Sam s'efforcent de dissimuler la grossesse d'Amanda Tapping.
De nombreuses références aux Simpson, le dessin-animé préférée de Jack, sont effectuées tout au long de l'épisode. Dan Castellanata (Joe) est en réalité la voix américaine d'Homer.
Il s'agit du dernier clip-show de la série. Les épisodes repris sont : Within the Serpent's Grasp, The Serpent's Lair, The Fifth Race, 1969, A Hundred Days, Wormhole X-Treme!, Meridian, Abyss, Fallen, Orpheus, Evolution," Heroes, Lost City. Plusieurs autres sont simplement évoqués.
Le salon de coiffure de Joe en est un véritable, situé à Ladner, dans le Grand Vancouver.
- You're Brigadier General Jack O'Neill, head of Stargate Command at Cheyenne Mountain. You used to lead SG-1 which is now lead by Lt. Colonel Samantha Carter. You once visited a planet called Argos where the nanites in your blood caused you to age artificially. You had the entire repository of the Ancients knowledge downloaded into your brain. Twice. You have a thing for The Simpsons, fishing, Mary Steenburgen, the color peridot and you're a terrible ping-pong player.
- Have we met?
- My name's Joe Spencer. I'm a barber.
Joe, un paisible coiffeur, découvre un jour un pierre lui révélant d’étranges visions : des militaires de l’US Air Force voyageraient à travers une Porte menant vers d’autres planètes et combattraient de terribles aliens. Durant sept années Joe suit les aventures du groupe nommé SG-1, devenant de plus en plus fasciné, jusqu’à détruire sa vie familiale et professionnelle. Comprenant qu’il perçoit la réalité, il décide alors de se confronter au Général O’Neill.
Marquant une respiration avant d’aborder la charnière qu’est Reckoning, l’épisode se veut l’occasion d’un coup d‘œil dans le rétroviseur du Stargate « classique » sur le point de s’achever. L’intension est louable mais l’on ne peut que regretter que l’exercice revête la forme d’un simple clip show, soit un choix passe-partout d’autant plus dommageable que la série y a déjà eu recours à maintes reprises. Comme souvent très inventif, Damian Kindler va toutefois tout tenter pour secouer le carcan de ce type d’opus. Les extraits présentés ne se limitent pas à une sélection de scènes spectaculaires mais brossent effectivement à grands traits l’essentiel du parcours de nos héros.
Surtout l’auteur permet au récit liant ces divers extraits d’être autre chose qu’un passe-plat. La narration en flash back énigmatique, alternativement humoristique ou émouvante et capitalisant sur le naturel de Dan Castellanata, maintient le plus souvent son intérêt. Kindler pousse la malice jusqu’à instaurer un méta récit ludique, instaurant un parallèle entre les réactions de Joe et celles des fans de la série, le procédé permettant de revenir sur les moments de la série ayant suscité une polémique. L’opus suscite ainsi quelques moments d’humour (d’autant que l’auteur rend volontairement absurde la résolution de l’énigme), une série comme Supernatural saura consacrer plus d’espace à son similaire Chuck Shurley.
Wormhole X-Treme ! a été annulé après un unique épisode, du fait d'une audience catastrophique.
Les tenues longues et sombres portées par Sam s'efforcent de dissimuler la grossesse d'Amanda Tapping.
De nombreuses références aux Simpson, le dessin-animé préférée de Jack, sont effectuées tout au long de l'épisode. Dan Castellanata (Joe) est en réalité la voix américaine d'Homer.
Il s'agit du dernier clip-show de la série. Les épisodes repris sont : Within the Serpent's Grasp, The Serpent's Lair, The Fifth Race, 1969, A Hundred Days, Wormhole X-Treme!, Meridian, Abyss, Fallen, Orpheus, Evolution," Heroes, Lost City. Plusieurs autres sont simplement évoqués.
Le salon de coiffure de Joe en est un véritable, situé à Ladner, dans le Grand Vancouver.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
La dernière chance (Reckoning, 8-16/17, 4)
- With your insolence you're dooming not just all of your world, but all of humanity.
- I think big.
Le Réplicateur Carter assassine les derniers Grands Maîtres s’opposant à Ba’al, avant de s’emparer de leur flotte et de se lancer à la conquête de la Voie Lactée. Prévenu par Jacob, O’Neill mobilise SG-1 et tous ses alliés pour faire face à la menace. La bataille finale se déroule dans le temple sacré des Jaffas, qui contient également l’arme ultime des Anciens. SG-1 veut s’en servir pour détruire les Réplicateurs, tandis qu’Anubis, devenu le maître de Ba’al, désire annihiler toute vie dans la galaxie. Une bataille d’esprit oppose le Réplicateur Carter à Daniel, se concluant par la mort de l’archéologue. SG-1 remporte la victoire grâce à l’aide d’un Ba’al tenant à la vie. les Réplicateurs sont détruits et la rébellion des Jaffas triomphe enfin des Goa’ulds.
Epique et choral, Reckoning permet à Stargate SG-1 de dignement conclure sa trame historique principale, concluant, pour l’essentiel, le conflit initié dès le film de 1994. Au lieu de poursuivre les conclusions cadencées dossier par dossier (Maybourne puis Kinsey), ce qui aurait fini par devenir mécanique et prévisible, la série a l’excellente idée d’offrir un feu d’artifice global à son public. Combats dans l’espace, au sol, dans la Matrice… L’action se montre trépidante et particulièrement variée. Le scénario sait également alterner ses effets, avec une première partie divisés en plusieurs conflits, ceux s’unifiant dans une conflagration globale et centralisée, rendue du coup particulièrement prenante. Le récit ne s’atomise pas grâce à l’incontournable rôle de chef d’orchestre tenu par un O’Neill au meilleur de sa forme (notamment lors d’une confrontation avec Ba’al particulièrement hilarante), Richard Dean Anderson apporte une nouvelle fois immensément à la série.
Au-delà de superbes effets spéciaux, le double épisode prend également le temps de rendre hommage aux principales figures de la série, également en dehors des combats. Ba’al se voit particulièrement bien traité, Cliff Simon conférant une présence et charme canaille à ce Grand Maître autrement plus madré et réaliste que ses congénères bouffis d’orgueil. La grande réussite du double opus conduit à considérer avec bienveillance certaines facilités scénaristiques n’altérant pas en profondeur son brio (Anubis revenu de son monde glacé sans que l’on sache comment, triomphe de la rébellion expédié à la va-vite). La nouvelle mort de Daniel poursuit l’une des amusantes plaisanteries récurrentes de la série et annoncel’épisode suivant, qui clouera cet arc majeur.
Il s'agit du premier épisode mettant simultanément en scène les trois grands alliés extraterrestres de SG-1 : Maître Bra'tac, Jacob/Selmac et Thor. L’épisode suivant (Threads) sera le dernier.
Mort de Yu, le plus âgé des Maîtres Goa'ulds subsistants et le plus ancien des adversaires de SG-1 encore en lice, présent dès la troisième saison.
Ba'al et Anubis subsistent encore, mais l'empire goa'uld est vaincu : la Terre et ses alliés remportent le conflit initié dès le commencement de la série, voire depuis le film initial.
La destruction du Réplicateur Carter marque également la fin de cette menace dans la Voie Lactée, même si l'expédition d'Atlantis affrontera de nouveau les machines dans la Galaxie de Pégase.
Le Réplicateur Carter tue Daniel, mais celui-ci sera de nouveau sauvé par Oma Desala et l'accès à l'Ascension.
Peter DeLuise réalise un nouveau caméo, il est l'un des soldats pointant son arme vers l'hologramme de Ba'al. Martin Wood est également présent, discutant avec Siler.
L’épisode fut proposé aux Emmy Awards 2005, pour la qualité de ses effets spéciaux.
Comme de nombreuses autres productions, Stargate SG-1 enregistre la participation d'un célèbre chanteur de rap, en la personne d'Isaac Hayes (Tolok). Celui-ci est également la voix de Chef dans South Park.
Il n'est pas expliqué comment Anubis a pu s'échapper du piège glacé de Lockdown pour prendre l’ascendant sur Ba’al, ni pourquoi il se contente désormais d'un hôte humain classique, au lieu de reprendre son apparence ténébreuse.
- With your insolence you're dooming not just all of your world, but all of humanity.
- I think big.
Le Réplicateur Carter assassine les derniers Grands Maîtres s’opposant à Ba’al, avant de s’emparer de leur flotte et de se lancer à la conquête de la Voie Lactée. Prévenu par Jacob, O’Neill mobilise SG-1 et tous ses alliés pour faire face à la menace. La bataille finale se déroule dans le temple sacré des Jaffas, qui contient également l’arme ultime des Anciens. SG-1 veut s’en servir pour détruire les Réplicateurs, tandis qu’Anubis, devenu le maître de Ba’al, désire annihiler toute vie dans la galaxie. Une bataille d’esprit oppose le Réplicateur Carter à Daniel, se concluant par la mort de l’archéologue. SG-1 remporte la victoire grâce à l’aide d’un Ba’al tenant à la vie. les Réplicateurs sont détruits et la rébellion des Jaffas triomphe enfin des Goa’ulds.
Epique et choral, Reckoning permet à Stargate SG-1 de dignement conclure sa trame historique principale, concluant, pour l’essentiel, le conflit initié dès le film de 1994. Au lieu de poursuivre les conclusions cadencées dossier par dossier (Maybourne puis Kinsey), ce qui aurait fini par devenir mécanique et prévisible, la série a l’excellente idée d’offrir un feu d’artifice global à son public. Combats dans l’espace, au sol, dans la Matrice… L’action se montre trépidante et particulièrement variée. Le scénario sait également alterner ses effets, avec une première partie divisés en plusieurs conflits, ceux s’unifiant dans une conflagration globale et centralisée, rendue du coup particulièrement prenante. Le récit ne s’atomise pas grâce à l’incontournable rôle de chef d’orchestre tenu par un O’Neill au meilleur de sa forme (notamment lors d’une confrontation avec Ba’al particulièrement hilarante), Richard Dean Anderson apporte une nouvelle fois immensément à la série.
Au-delà de superbes effets spéciaux, le double épisode prend également le temps de rendre hommage aux principales figures de la série, également en dehors des combats. Ba’al se voit particulièrement bien traité, Cliff Simon conférant une présence et charme canaille à ce Grand Maître autrement plus madré et réaliste que ses congénères bouffis d’orgueil. La grande réussite du double opus conduit à considérer avec bienveillance certaines facilités scénaristiques n’altérant pas en profondeur son brio (Anubis revenu de son monde glacé sans que l’on sache comment, triomphe de la rébellion expédié à la va-vite). La nouvelle mort de Daniel poursuit l’une des amusantes plaisanteries récurrentes de la série et annoncel’épisode suivant, qui clouera cet arc majeur.
Il s'agit du premier épisode mettant simultanément en scène les trois grands alliés extraterrestres de SG-1 : Maître Bra'tac, Jacob/Selmac et Thor. L’épisode suivant (Threads) sera le dernier.
Mort de Yu, le plus âgé des Maîtres Goa'ulds subsistants et le plus ancien des adversaires de SG-1 encore en lice, présent dès la troisième saison.
Ba'al et Anubis subsistent encore, mais l'empire goa'uld est vaincu : la Terre et ses alliés remportent le conflit initié dès le commencement de la série, voire depuis le film initial.
La destruction du Réplicateur Carter marque également la fin de cette menace dans la Voie Lactée, même si l'expédition d'Atlantis affrontera de nouveau les machines dans la Galaxie de Pégase.
Le Réplicateur Carter tue Daniel, mais celui-ci sera de nouveau sauvé par Oma Desala et l'accès à l'Ascension.
Peter DeLuise réalise un nouveau caméo, il est l'un des soldats pointant son arme vers l'hologramme de Ba'al. Martin Wood est également présent, discutant avec Siler.
L’épisode fut proposé aux Emmy Awards 2005, pour la qualité de ses effets spéciaux.
Comme de nombreuses autres productions, Stargate SG-1 enregistre la participation d'un célèbre chanteur de rap, en la personne d'Isaac Hayes (Tolok). Celui-ci est également la voix de Chef dans South Park.
Il n'est pas expliqué comment Anubis a pu s'échapper du piège glacé de Lockdown pour prendre l’ascendant sur Ba’al, ni pourquoi il se contente désormais d'un hôte humain classique, au lieu de reprendre son apparence ténébreuse.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Ça commence à devenir une habitudeEstuaire44 a écrit:Le Réplicateur Carter tue Daniel, mais celui-ci sera de nouveau sauvé par Oma Desala et l'accès à l'Ascension.
TorriGilly- Duc(hesse)
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Pour la vie (Threads, 8-18, **)
- I thought I lost him four years ago. Since then, we've been closer than we ever were in my whole life. In a way, Selmak gave me the father I never thought I'd know.
Anubis dupe les Jaffas récemment libérés et est sur le point de s’emparer de l’arme absolue des Anciens, afin de détruire toute vie dans la Galaxie. Daniel est sauvé par Oma Desala, qui le place à mi-chemin de l’Ascension, au sein d’une étrange cafétéria dont les clients sont les Anciens. Daniel tente en vain de les convaincre d’intervenir, le seul se montrant amical étant en fait Anubis, par ruse. Oma entraine Anubis dans un affrontement sans fin, paralysant son armée. Pendant ce temps Jacob succombe suite au décès de Selmak et Sam rompt avec Pete.
L’épisode présente le mérite de poursuivre le vaste mouvement d’ensemble initié par Reckoning, tout en variant les effets. Au fracas des grandes batailles galactiques succède une trame plus intimiste, s’attachant au destin individuel des quatre membres de SG-1 et de leurs proches. L’idée s’avère excellente, permettant d’appréhender le chemin parcouru depuis l’origine de la série, tout en ouvrant des perspectives prometteuses pour nos amis à l’issue de leur grande œuvre : Teal’c et l’avenir de la nation jaffa, Daniel tournant définitivement le dos aux frustrantes promesses de l’Ascension, Sam et Jack considérant tacitement leur avenir possiblement commun. Le panorama séduit, d’autant que le récit parachève la conclusion du parcours de Jacob et Anubis.
Malheureusement le scénario va accumuler les contresens atténuant son succès. L’inutile décès de Jacob tombe franchement dans l’ornière d’un pathos hospitalier plus digne de Grey’s Anatomy que de Stargate SG-1. La scène de séparation entre Sam et Pete demeure désespérément morne, à l’image d’une relation n’ayant jamais véritablement trouvé sa place au sein de la série. L’idée très Twilight Zone de la cafétéria sise à mi-chemin des plans d’existence constitue une jolie audace, mais peine à trouver un second souffle une fois l’effet de surprise dissipé. Oma et Daniel ne font pour l’essentiel que rabâcher une situation connue et l’on devine très vite l’identité d’Anubis (dont on perçoit mal ce qu’il a à gagner à se trouver là). Heureusement la pittoresque interprétation de George Dzundza maintient l’intérêt au cours d’échanges essentiellement gratuits. L’idée du duel infini entre Oma et Anubis résulte très inspirée de Star trek (The Alternative Factor).
Sortie de scène d'Anubis, entraîné dans une duel sans fin par Oma Desala : Ba'al demeure le seul Goa'uld encore en lice. Même privé de l’essentiel de ses armées, il parviendra à exercer une menace au cours des deux dernières saisons et ne sera enfin vaincu que lors de Stargate Continuum.
L'épisode existe en deux versions : une de 60 minutes lors de la diffusion originale et une autre de 45 minutes, en syndication. La première parution en DVD de la série contenait la version courte, avant que la colère des fans ne conduise la MGM à rapidement rectifier le tir.
Jacob apparaît ici pour la dernière fois, il décède suite à la mort de son symbiote et ami, Selmak.
Sam indique que Jacob aurait du mourir voici quatre ans, mais Selmak est intervenu lors de l'épisode The Tok'ra, en saison 3, soit à peu près six ans.
Jim/Anubis sifflote Amazing Grace, ce qui s'avère ironique quand sa véritable personnalité est révélée.
Peter DeLuise accomplit un nouveau scénario, il est l'officier se trouvant à côté de Sam, quand celle-ci reçoit l'appel de Pete.
Le décor du café se situant à mi-chemin de l'Ascension est celui de Der Waffle House, soit le point de ralliement des personnages de l'épatant Dead Like Me (2003), eux mêmes coincés entre deux plans d'existence. Les deux séries sont produites par la MGM. Le clin d’œil est particulièrement ajusté car la banquette où s'assoit Daniel est précisément celle de la bande de George. Daniel commande également la spécialité locale, les waffles (gaufres) et fait allusion à des funérailles. L'une des clientes ressemble aussi beaucoup à Roxy et les discussions sont filmées très à la manière de Dead Like Me.
Plusieurs unes très amusantes du journal The Ascended Times sont aperçues dans le café : Astral Diner to be given infinite status, Yoga NOT the path to Enlightenment, Ethereal Awareness Seminar to be held in Talnak Quadrant, Edge of Universe Discovered et Wraith On Way To Atlantis (annonçant la proche conclusion de la première saison de la série dérivée).
La performance d’Amanda Tapping lors de cet épisode lui valut un Leo Award (récompense canadienne), tandis que Michael Shanks fit partie des acteurs proposés.
- I thought I lost him four years ago. Since then, we've been closer than we ever were in my whole life. In a way, Selmak gave me the father I never thought I'd know.
Anubis dupe les Jaffas récemment libérés et est sur le point de s’emparer de l’arme absolue des Anciens, afin de détruire toute vie dans la Galaxie. Daniel est sauvé par Oma Desala, qui le place à mi-chemin de l’Ascension, au sein d’une étrange cafétéria dont les clients sont les Anciens. Daniel tente en vain de les convaincre d’intervenir, le seul se montrant amical étant en fait Anubis, par ruse. Oma entraine Anubis dans un affrontement sans fin, paralysant son armée. Pendant ce temps Jacob succombe suite au décès de Selmak et Sam rompt avec Pete.
L’épisode présente le mérite de poursuivre le vaste mouvement d’ensemble initié par Reckoning, tout en variant les effets. Au fracas des grandes batailles galactiques succède une trame plus intimiste, s’attachant au destin individuel des quatre membres de SG-1 et de leurs proches. L’idée s’avère excellente, permettant d’appréhender le chemin parcouru depuis l’origine de la série, tout en ouvrant des perspectives prometteuses pour nos amis à l’issue de leur grande œuvre : Teal’c et l’avenir de la nation jaffa, Daniel tournant définitivement le dos aux frustrantes promesses de l’Ascension, Sam et Jack considérant tacitement leur avenir possiblement commun. Le panorama séduit, d’autant que le récit parachève la conclusion du parcours de Jacob et Anubis.
Malheureusement le scénario va accumuler les contresens atténuant son succès. L’inutile décès de Jacob tombe franchement dans l’ornière d’un pathos hospitalier plus digne de Grey’s Anatomy que de Stargate SG-1. La scène de séparation entre Sam et Pete demeure désespérément morne, à l’image d’une relation n’ayant jamais véritablement trouvé sa place au sein de la série. L’idée très Twilight Zone de la cafétéria sise à mi-chemin des plans d’existence constitue une jolie audace, mais peine à trouver un second souffle une fois l’effet de surprise dissipé. Oma et Daniel ne font pour l’essentiel que rabâcher une situation connue et l’on devine très vite l’identité d’Anubis (dont on perçoit mal ce qu’il a à gagner à se trouver là). Heureusement la pittoresque interprétation de George Dzundza maintient l’intérêt au cours d’échanges essentiellement gratuits. L’idée du duel infini entre Oma et Anubis résulte très inspirée de Star trek (The Alternative Factor).
Sortie de scène d'Anubis, entraîné dans une duel sans fin par Oma Desala : Ba'al demeure le seul Goa'uld encore en lice. Même privé de l’essentiel de ses armées, il parviendra à exercer une menace au cours des deux dernières saisons et ne sera enfin vaincu que lors de Stargate Continuum.
L'épisode existe en deux versions : une de 60 minutes lors de la diffusion originale et une autre de 45 minutes, en syndication. La première parution en DVD de la série contenait la version courte, avant que la colère des fans ne conduise la MGM à rapidement rectifier le tir.
Jacob apparaît ici pour la dernière fois, il décède suite à la mort de son symbiote et ami, Selmak.
Sam indique que Jacob aurait du mourir voici quatre ans, mais Selmak est intervenu lors de l'épisode The Tok'ra, en saison 3, soit à peu près six ans.
Jim/Anubis sifflote Amazing Grace, ce qui s'avère ironique quand sa véritable personnalité est révélée.
Peter DeLuise accomplit un nouveau scénario, il est l'officier se trouvant à côté de Sam, quand celle-ci reçoit l'appel de Pete.
Le décor du café se situant à mi-chemin de l'Ascension est celui de Der Waffle House, soit le point de ralliement des personnages de l'épatant Dead Like Me (2003), eux mêmes coincés entre deux plans d'existence. Les deux séries sont produites par la MGM. Le clin d’œil est particulièrement ajusté car la banquette où s'assoit Daniel est précisément celle de la bande de George. Daniel commande également la spécialité locale, les waffles (gaufres) et fait allusion à des funérailles. L'une des clientes ressemble aussi beaucoup à Roxy et les discussions sont filmées très à la manière de Dead Like Me.
Plusieurs unes très amusantes du journal The Ascended Times sont aperçues dans le café : Astral Diner to be given infinite status, Yoga NOT the path to Enlightenment, Ethereal Awareness Seminar to be held in Talnak Quadrant, Edge of Universe Discovered et Wraith On Way To Atlantis (annonçant la proche conclusion de la première saison de la série dérivée).
La performance d’Amanda Tapping lors de cet épisode lui valut un Leo Award (récompense canadienne), tandis que Michael Shanks fit partie des acteurs proposés.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
TorriGilly a écrit:
Ça commence à devenir une habitude
Décidément, on ressuscite beaucoup dans les séries américaines !
Cette idée de cafeteria située entre la vie et la mort me rappelle le final de Code Quantum ; Sam Beckett disparaît à jamais après son séjour là-bas.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Un épisode qui m'a profondément ennuyé. J'ai reprit Stargate dans l'ordre. actuellement je regarde la saison 4, mais dans le désordres, enfin disons que je sautes certains épisodes pour regarder ceux qui m'intéresse le plus.
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Retour vers le Futur (Moebius, 8-19/20, ****)
- Now, just because my reproductive organs are on the inside instead of the outside... God, that's horrible! Who would ever say that?
Dans l’héritage de Catherine Langford, Daniel découvre que, durant l’Antiquité, Ra possédait un ZPM. Grâce à la machine temporelle des Anciens, SG-1 et O’Neill se rendent à cette époque, en Egypte, afin de récupérer cet artefact permettant de contacter l’expédition d’Atlantis. Mais ils modifient les évènements et Ra quitte la Terre en emportant la Porte des Etoiles. Daniel laisse alors un message expliquant tout l’histoire dans une tombe qui sera découverte à notre époque. Alertés par l’US Air Force, les membres alternatifs d’une SG-1 n’ayant jamais existé vont avoir la lourde tâche de réinstaurer la véritable trame temporelle.
Moebius constitue un superbe coup d’audace de la part d’auteurs sortant idéalement le grand jeu au moment de conclure la première grande époque de la série (sinon Stargate SG-1 elle même, comme il le paraissait alors). Opter pour un épisode totalement décalé au lieu d’une conclusion épique mais traditionnelle représentait un choix risqué, d’autant que l’intrigue n’y va pas avec le dos de la cuillère : après tant de voyages dans l’Espace, relevant du Planet puis du Space Opera, bas culer dans le déplacement temporel reste un joli pied de nez, d’autant que cela va remettre ni plus ni moins que l’ensemble de l’action narrée jusqu’ici. Le pari s’avère gagné haut la main, tant ce récit hors normes va s’avérer prenant, multipliant les moments forts et les saveurs diverses.
Le risque pressenti par Carter d’une modification de la trame temporelle induit une classique mais plaisante problématique, dans le sillage du Un coup de tonnerre du grand Ray Bradbury. Retrouver l’héritage de Catherine Langford, Ra et l’Egypte antique assure un plaisant retour aux sources de l’univers Stargate, un judicieux procédé porté à son paroxysme quand, devant nos yeux éberlués mais ravis, se déroule tout un remake de Children of the Gods, spectaculaire et multipliant les retrouvailles. Entre temps l’opus se sera offert une magistrale variation humoristique sur l’inépuisable thème du What If (à l’instar du Turn Left du Docteur), montrant ce qu’il adviendrait des membres de SG-1 si la Porte n’avait pas été découverte.
Le récit force un tantinet le trait pour que les survivants des deux équipes reforment une SG-1 complète, mais cela nous vaut une ultime aventure emblématique du style de la série, tout en multipliant les clins d’œil (Daniel mourant bien entendu une nouvelle fois sous nos yeux, Sam et Jack finissant enfin par passer à l’acte… dans une réalité alternative !). On regrettera une conclusion trop abrupte, se dispensant de toute résolution des paradoxes en cours afin de retomber miraculeusement sur la situation initiale, ZPM en prime. Mais l’on sait que l’ADN de la série ne se situe pas dans ce domaine et cet épisode, relevant de la meilleure Science-fiction d’aventures, nous aura formidablement diverti tout en rendant le meilleur des hommages au parcours de SG-1, c’est bien là l’essentiel.
Sam indique qu'en 3 000 avant JC l'orbite de la Terre était différente, ce qui est faux. De même les Constellations n’ont pu changer d’emplacement à ce point.
On apprend que le Dr. Catherine Langford est morte. Amie de Daniel, elle était la fille de l’archéologue découvreur de la Porte et fut à l'origine du film initial, comme de la série elle même.
Ra, le grand antagoniste du film initial, apparaît ici pour la première fois dans la série.
L’épisode remporta un Leo Award pour ses costumes.
De nombreux acteurs emblématiques des différentes époques de Stargate SG-1 reprennent ici leurs rôles, pour ce qui était alors perçu comme l'ultime épisode de la série.
Il s'agit du dernier épisode où Richard Dean Anderson apparaît en acteur récurrent.
On apprend ici que le prénom de McKay est Rodney (du moins l'un de ses prénoms).
SG-1 franchit la Porte en Jumper pour la seule et unique fois, ces vaisseaux miniatures vont toutefois devenir l'un des symboles de Stargate Atlantis.
Le ZPM rapporté par SG-1 sera mis en œuvre lors de l'épisode The Siege, de Stargate Atlantis, permettant d’enfin rétablir le contact entre le SGC et l'expédition.
Le titre original fait référence au mathématicien et astronome August Ferdinand Möbius (1790-168) ; A côté d'importants travaux théoriques, il créa plusieurs objets mathématiques aux propriétés contradictoires avec l'espace euclidien à trois dimensions. Le fameux ruban portant son nom, bande compacte ne comportant qu'une seule face et non deux, sert de fondation à d'autres constructions mathématiques, dont les propriétés supposent l'existence d'une quatrième dimension (Bouteille de Klein, Surface de Boy). Le Ruban de Moëbius est aussi souvent utilisé ou référencé en Science-fiction, notamment pour représenter une torsion de l'espace-temps conduisant au déplacement temporel.
Top 5 de la saison 8
1) La dernière chance
Un conclusion épique et au suspense constant pout l’axe narratif principal de la série. La chute commune des Réplicateurs et des Goa’ulds entremêle efficacement tous les acteurs du vaste conflit narré depuis le commencement de Stargate SG-1, avec O’Neill comme indispensable chef d’orchestre.
2) Retour vers le Futur
L’époque classique de Stargate SG-1 s’achève astucieusement par un épisode irrésistiblement décalé. L’introduction du voyage temporel autorise un passionnant retour aux sources de la série ; tout en exploitant joliment les grandes potentialités de ce style d’histoire, ainsi que les clins d’œil humoristiques.
3) Heure H
Un changement d’optique original permet de suivre cette fois l’aventure du point de vue du nouveau responsable du SGC, le Général O’Neill : vie de la base, lubies des scientifiques, disparition de SG-1 en mission … Un malstrom quotidien, auquel l’humour et le sang froid de notre héros permettront de faire face
4) En détresse
Au tour d’un Space Opera classique mais de qualité, l’épisode permet de retrouver encore une fois le Général Hammond et de présenter la future pétulante associée de SG-1 que deviendra Vala. Le face à face entre elle et le déjà martyr Daniel s’avère aussi rafraichissant que divertissant.
5) Avatar
Cet épisode ambitieux développe un habile parallèle entre le cauchemar virtuel vécu par Teal’c et l’événementiel narratif propre à une partie de FPS. L’exercice de style se double d’une approche originale de l’inusable thème du verrou temporel, ainsi que d’une grande prestation de Christopher Judge.
- Now, just because my reproductive organs are on the inside instead of the outside... God, that's horrible! Who would ever say that?
Dans l’héritage de Catherine Langford, Daniel découvre que, durant l’Antiquité, Ra possédait un ZPM. Grâce à la machine temporelle des Anciens, SG-1 et O’Neill se rendent à cette époque, en Egypte, afin de récupérer cet artefact permettant de contacter l’expédition d’Atlantis. Mais ils modifient les évènements et Ra quitte la Terre en emportant la Porte des Etoiles. Daniel laisse alors un message expliquant tout l’histoire dans une tombe qui sera découverte à notre époque. Alertés par l’US Air Force, les membres alternatifs d’une SG-1 n’ayant jamais existé vont avoir la lourde tâche de réinstaurer la véritable trame temporelle.
Moebius constitue un superbe coup d’audace de la part d’auteurs sortant idéalement le grand jeu au moment de conclure la première grande époque de la série (sinon Stargate SG-1 elle même, comme il le paraissait alors). Opter pour un épisode totalement décalé au lieu d’une conclusion épique mais traditionnelle représentait un choix risqué, d’autant que l’intrigue n’y va pas avec le dos de la cuillère : après tant de voyages dans l’Espace, relevant du Planet puis du Space Opera, bas culer dans le déplacement temporel reste un joli pied de nez, d’autant que cela va remettre ni plus ni moins que l’ensemble de l’action narrée jusqu’ici. Le pari s’avère gagné haut la main, tant ce récit hors normes va s’avérer prenant, multipliant les moments forts et les saveurs diverses.
Le risque pressenti par Carter d’une modification de la trame temporelle induit une classique mais plaisante problématique, dans le sillage du Un coup de tonnerre du grand Ray Bradbury. Retrouver l’héritage de Catherine Langford, Ra et l’Egypte antique assure un plaisant retour aux sources de l’univers Stargate, un judicieux procédé porté à son paroxysme quand, devant nos yeux éberlués mais ravis, se déroule tout un remake de Children of the Gods, spectaculaire et multipliant les retrouvailles. Entre temps l’opus se sera offert une magistrale variation humoristique sur l’inépuisable thème du What If (à l’instar du Turn Left du Docteur), montrant ce qu’il adviendrait des membres de SG-1 si la Porte n’avait pas été découverte.
Le récit force un tantinet le trait pour que les survivants des deux équipes reforment une SG-1 complète, mais cela nous vaut une ultime aventure emblématique du style de la série, tout en multipliant les clins d’œil (Daniel mourant bien entendu une nouvelle fois sous nos yeux, Sam et Jack finissant enfin par passer à l’acte… dans une réalité alternative !). On regrettera une conclusion trop abrupte, se dispensant de toute résolution des paradoxes en cours afin de retomber miraculeusement sur la situation initiale, ZPM en prime. Mais l’on sait que l’ADN de la série ne se situe pas dans ce domaine et cet épisode, relevant de la meilleure Science-fiction d’aventures, nous aura formidablement diverti tout en rendant le meilleur des hommages au parcours de SG-1, c’est bien là l’essentiel.
Sam indique qu'en 3 000 avant JC l'orbite de la Terre était différente, ce qui est faux. De même les Constellations n’ont pu changer d’emplacement à ce point.
On apprend que le Dr. Catherine Langford est morte. Amie de Daniel, elle était la fille de l’archéologue découvreur de la Porte et fut à l'origine du film initial, comme de la série elle même.
Ra, le grand antagoniste du film initial, apparaît ici pour la première fois dans la série.
L’épisode remporta un Leo Award pour ses costumes.
De nombreux acteurs emblématiques des différentes époques de Stargate SG-1 reprennent ici leurs rôles, pour ce qui était alors perçu comme l'ultime épisode de la série.
Il s'agit du dernier épisode où Richard Dean Anderson apparaît en acteur récurrent.
On apprend ici que le prénom de McKay est Rodney (du moins l'un de ses prénoms).
SG-1 franchit la Porte en Jumper pour la seule et unique fois, ces vaisseaux miniatures vont toutefois devenir l'un des symboles de Stargate Atlantis.
Le ZPM rapporté par SG-1 sera mis en œuvre lors de l'épisode The Siege, de Stargate Atlantis, permettant d’enfin rétablir le contact entre le SGC et l'expédition.
Le titre original fait référence au mathématicien et astronome August Ferdinand Möbius (1790-168) ; A côté d'importants travaux théoriques, il créa plusieurs objets mathématiques aux propriétés contradictoires avec l'espace euclidien à trois dimensions. Le fameux ruban portant son nom, bande compacte ne comportant qu'une seule face et non deux, sert de fondation à d'autres constructions mathématiques, dont les propriétés supposent l'existence d'une quatrième dimension (Bouteille de Klein, Surface de Boy). Le Ruban de Moëbius est aussi souvent utilisé ou référencé en Science-fiction, notamment pour représenter une torsion de l'espace-temps conduisant au déplacement temporel.
Top 5 de la saison 8
1) La dernière chance
Un conclusion épique et au suspense constant pout l’axe narratif principal de la série. La chute commune des Réplicateurs et des Goa’ulds entremêle efficacement tous les acteurs du vaste conflit narré depuis le commencement de Stargate SG-1, avec O’Neill comme indispensable chef d’orchestre.
2) Retour vers le Futur
L’époque classique de Stargate SG-1 s’achève astucieusement par un épisode irrésistiblement décalé. L’introduction du voyage temporel autorise un passionnant retour aux sources de la série ; tout en exploitant joliment les grandes potentialités de ce style d’histoire, ainsi que les clins d’œil humoristiques.
3) Heure H
Un changement d’optique original permet de suivre cette fois l’aventure du point de vue du nouveau responsable du SGC, le Général O’Neill : vie de la base, lubies des scientifiques, disparition de SG-1 en mission … Un malstrom quotidien, auquel l’humour et le sang froid de notre héros permettront de faire face
4) En détresse
Au tour d’un Space Opera classique mais de qualité, l’épisode permet de retrouver encore une fois le Général Hammond et de présenter la future pétulante associée de SG-1 que deviendra Vala. Le face à face entre elle et le déjà martyr Daniel s’avère aussi rafraichissant que divertissant.
5) Avatar
Cet épisode ambitieux développe un habile parallèle entre le cauchemar virtuel vécu par Teal’c et l’événementiel narratif propre à une partie de FPS. L’exercice de style se double d’une approche originale de l’inusable thème du verrou temporel, ainsi que d’une grande prestation de Christopher Judge.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Moebius, c'est l'un de mes épisodes préférés, il est très drôle et en même temps c'est un bel hommage à toute la série et au film
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Oui, c'est vraiment un superbe cadeau pour les fans !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
D'ailleurs pendant la scène où le peuple se rebelle et encercle le jumper, parmi les figurants il y a eu quelques fans de la série [sur tirage au sort d'un concours je crois] Quelle bande de veinards!!
La voilà [oui bon ok, avec la fameuse scène entre Sam & Jack Comme quoi, qu'importe la réalité, ils sont fait pour être ensemble ]
La voilà [oui bon ok, avec la fameuse scène entre Sam & Jack Comme quoi, qu'importe la réalité, ils sont fait pour être ensemble ]
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
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