Série "Stargate - SG1" (2)
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doctor222
Philo
TorriGilly
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
D'ailleurs pendant la scène où le peuple se rebelle et encercle le jumper, parmi les figurants il y a eu quelques fans de la série [sur tirage au sort d'un concours je crois] Quelle bande de veinards!!
La voilà [oui bon ok, avec la fameuse scène entre Sam & Jack Comme quoi, qu'importe la réalité, ils sont fait pour être ensemble ]
La voilà [oui bon ok, avec la fameuse scène entre Sam & Jack Comme quoi, qu'importe la réalité, ils sont fait pour être ensemble ]
TorriGilly- Duc(hesse)
- Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Carter parmi les scientifiques de fiction en connaissant beaucoup trop
http://www.sciencepresse.qc.ca/blogue/2014/07/18/scientifiques-savaient
A noter cet excellent blog graphique recensant les différences entre les scientifiques dans l'écran etc eux dans la vraie vie du monde vrai.
http://gensenblouseblanche.blogspot.fr/search/label/Cin%C3%A9ma
http://www.sciencepresse.qc.ca/blogue/2014/07/18/scientifiques-savaient
Si tous ces choix s’expliquent d’un point de vue narratif et dans le but de distraire le spectateur, ils présentent un type de scientifiques assez éloignés de la réalité. Il s’agit du stéréotype de l’omniscientifique. Il s’agit d’un scientifique qui présente des compétences et des connaissances dans tous les domaines. C’est d’autant plus frappant dans les séries du type Stargate-SG1 où le capitaine Carter est d’abord présenté comme une astro-physicienne mais se retrouve à étudier et analyser toutes les technologies aliènes qu’elle croisera dans la série. Elle comprend également rapidement comment ces technologies fonctionnent et sur quels principes physiques elles reposent. Et ce même si ces derniers ne sont encore qu’au stade de la théorie sur Terre (la série a une assez bonne base scientifique). On est face à des scientifiques plus proches des intellectuels du XVIIIe siècle qui étaient à la pointe dans plusieurs domaines. Buffon est reconnu pour ses travaux en mathématiques et en biologie. Actuellement, les scientifiques ont des connaissances très pointues sur un sujet très limité (leurs sujets d’études).
A noter cet excellent blog graphique recensant les différences entre les scientifiques dans l'écran etc eux dans la vraie vie du monde vrai.
http://gensenblouseblanche.blogspot.fr/search/label/Cin%C3%A9ma
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
La saison 8 est en ligne!
http://theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1990/stargate-sg1-1997-2007/stargate-sg-1-saison-8
http://theavengers.fr/index.php/hors-serie/annees-1990/stargate-sg1-1997-2007/stargate-sg-1-saison-8
Invité- Invité
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Retour de Stargate Atlantis sur NRJ 12
http://www.toutelatele.com/nrj12-adieu-talk-club-et-retour-annonce-de-stargate-atlantis-64909
http://www.toutelatele.com/nrj12-adieu-talk-club-et-retour-annonce-de-stargate-atlantis-64909
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
RDA était ces jours-ci à Auckland, pour l'Armaggedon Expo
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
J'ai le droit de pleurer? =')
TorriGilly- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Beau boulot !
Estuaire44- Empereur
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Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Oh, belle performance ! D'autant que c'est pas le générique le plus aisé à chanter : le rythme des basses est dur à garder, et les sopranos doivent faire pas mal de montagnes russes. Du beau travail ! Bon évidemment, réduire à 4 voix une partition symphonique demande à ce qu'on retranche pas mal de trucs (les glissandos et les trilles des bois par exemple), mais ça pète bien quand même !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Amanda Tapping à la dernière convention TGS, à Toulouse. Michael Shanks (Daniel) devrait participer à l'édition 2015.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Saison 9 (2005-2006)
Marquée par le départ de Richard Dean Anderson, désormais remplacé par Ben Bowder, la saison 9 va impliquer tout un bouleversement de la série. C’est d’autant plus vrai que la fin du grand conflit contre les Goa’ulds, hormis Ba’al, impose l’introduction de thématiques originales (Avalon) et d’adversaires renouvelés (les Oris). Les changements concernent également le SGC, avec l’arrivée de nouvelles figures (général, médecin en chef, Vala). Ils atteignent une telle ampleur que les producteurs envisagent un temps d’interrompre Stargate SG-1, pour y substituer un nouveau programme dérivé, Stargate Command. La série fut finalement maintenue.
Après un succès de curiosité pour le double épisode pilote de saison, le succès alla décroissant, l’audience se situant désormais au dessous de la barre des deux millions de spectateurs. Outre le départ de son acteur principal, Stargate SG-1 souffre en effet d’une certaine usure, mais aussi de la concurrence sur Sci-Fi de sa propre série dérivée Stargate Atlantis, en plein succès, ainsi que d’une nouvelle venue, Battlestar Galactica. Elle continue par ailleurs à nécessiter un budget conséquent (1,4 millions de dollars en moyenne par épisode). Sci-Fi crée néanmoins la sensation en commandant une dixième saison, positionnant ainsi Stargate SG-1 comme la plus longue série américaine de Science-fiction alors jamais produite, dépassant désormais les X-Files.
Marquée par le départ de Richard Dean Anderson, désormais remplacé par Ben Bowder, la saison 9 va impliquer tout un bouleversement de la série. C’est d’autant plus vrai que la fin du grand conflit contre les Goa’ulds, hormis Ba’al, impose l’introduction de thématiques originales (Avalon) et d’adversaires renouvelés (les Oris). Les changements concernent également le SGC, avec l’arrivée de nouvelles figures (général, médecin en chef, Vala). Ils atteignent une telle ampleur que les producteurs envisagent un temps d’interrompre Stargate SG-1, pour y substituer un nouveau programme dérivé, Stargate Command. La série fut finalement maintenue.
Après un succès de curiosité pour le double épisode pilote de saison, le succès alla décroissant, l’audience se situant désormais au dessous de la barre des deux millions de spectateurs. Outre le départ de son acteur principal, Stargate SG-1 souffre en effet d’une certaine usure, mais aussi de la concurrence sur Sci-Fi de sa propre série dérivée Stargate Atlantis, en plein succès, ainsi que d’une nouvelle venue, Battlestar Galactica. Elle continue par ailleurs à nécessiter un budget conséquent (1,4 millions de dollars en moyenne par épisode). Sci-Fi crée néanmoins la sensation en commandant une dixième saison, positionnant ainsi Stargate SG-1 comme la plus longue série américaine de Science-fiction alors jamais produite, dépassant désormais les X-Files.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
C'est à partir du départ de RDA que j'ai arrêté de regarder la série.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
C'est vrai que ce n'est plus la même chose sans lui.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Le Trésor d’Avalon (Avalon, 9-01/02, ***)
- While I would normally be thrilled to have so much testosterone at my disposal...Where's my Daniel ?
Les Goa’ulds vaincu et le général O’Neill étant appelé à de nouvelles fonctions, SG-1 s’est dissoute. Carter travaille désormais dans la Zone 51, Teal’c sur Chulak et Daniel se prépare à rallier Atlantis. Mandaté par le général Landry, nouveau chef du SGC, le colonel Mitchell a le plus grand mal à reformer l’équipe. Vala franchit soudain la Porte des Etoiles, détenant une tablette des Anciens conduisant à un fabuleux trésor. L’aventurière et SG-1 reconstituée (hormis Sam) découvrent la cachette, située à Avalon Merlin étant un Ancien ! Parmi les joyaux se trouve un étrange artefact, qui envoie les esprits de Daniel et Vala occuper les corps d’habitants de la galaxie d’origine des Anciens. Ils y découvrent qu’un autre peuple, les Oris, y a réalisé l’Ascension et a instauré une théocratie fanatique.
L’événement majeur de la première partie de ce double demeure la présentation du nouveau leader de SG-1. Or force est de constater que celle-ci n’emporte que médiocrement l’adhésion, nonobstant la sympathie et le talent de Ben Browder. Mitchell compose un héros américain brusquement standardisé vis-à-vis d’O’Neill, comme le ressassent à satiété les fastidieux flashbacks de sa participation à la Bataille de l’Antarctique, composant autant de clichés. Outre l’handicap de se substituer à l’emblématique O’Neill, Mitchell doit aussi lutter contre le fait que la le remplaçante naturelle en tait naturellement Sam. En quoi être un excellente et courageux pilote de chasse le qualifie-t-il pour diriger SG-1, voire simplement intégrer une équipe SG ? Sans aller évoquer de sexisme (même si Sam n’aura guère eu l’occasion d’exercer le commandement la saison précédente), on peut supposer un désir de maintenir SG-1 comme ensemble choral. Déjà soldate accomplie et scientifique hors pair, lui conférer le commandement déséquilibrerait l’équipe (M. Spock et Kirk en un seul personnage). Les péripéties minimalistes et parfois maladroites de l quête vite expédiée d’Avalon (en quoi un combat à l’épée peut-il représenter un test valide pour les Anciens ?) ne permettent pas encore à Mitchell de s’extirper des poncifs.
Demeure une adaptation maline des mythiques figures arthurienne, connue de tous, à l’univers Stargate. On découvre fort heureusement un pittoresque et divertissant Landry, grâce à l’excellent Beau Bridges trouvant d’emblée le personnage. Surtout le retour surprise de Vala confirme pleinement le succès de Prometheus Unbound. On savoure derechef sa vitalité, son cynisme aussi amoral que sexy et la réouverture de la chasse au Daniel. Claudia Black se montre vraiment formidable. Malgré un Teal’c meublant consciencieusement à Chulak et une docteur Lam cantonnée à quelques dialogues convenus, la seconde partie a d’ailleurs la bonne idée de ce centrer sur ce duo explosif, à la fois antagoniste et complice ; Ces deux là aiment tellement se détester que leur entrain devient irrésistiblement communicatif. Il va falloir trouver rapidement une chambre. La découverte de l’impressionnant décor du village évoque davantage l’aventure que les grottes minimalistes d’Avalon, tandis que l’effroyable bûcher de Vala frappe l’imagination illustre déjà le fanatisme des sectateurs et prêcheurs des Oris, dont il reconstitue l’emblème. Le pilote de saison s’achève toutefois sans que cette menace soit clairement mise en place. Un troisième opus va s’avérer nécessaire, alors que l’ensemble de l’arc introductif aurait pu être concentré dans le double épisode, avec un récit davantage nerveux, épuré de plusieurs scènes dispensables.
L'action prend place deux mois après celle de Moebius.
Les saisons 9 à 10 sont souvent considérées comme un nouvel Stargate SG-1, avec de nouveaux protagonistes et antagonistes. Les producteurs envisagèrent un temps de marquer une césure définitive et de débuter une série dérivée intitulée Stargate Command, mais décidèrent finalement de poursuivre Stargate SG-1.
De nouvelles figures s'installent : Le Colonel Mitchell, leader des chasseurs F-302 durant la Bataille de l'Antarctique, prend la tête de SG-1. Vala devient membre associée de SG-1. Le Général Landry est choisi par O'Neill comme son remplaçant aux commandes du SGC.
Ben Browder (Mitchell) était alors surtout connu pour le rôle récurrent de John Crichton dans Farscape (1999-2003). Il retrouve ici sa partenaire Claudia Black, qui y incarnait Aeryn Sun. L'épisode contient plusieurs discrètes références à cette série.
Browder devait initialement interpréter le Lieutenant-Colonel Sheppard, protagoniste de Stargate Atlantis. Mais il fut retenu par le tournage de The Peacekeeper Wars, une mini série concluant Farscape.
Mitchell indique avoir lu l'intégralité des rapports de mission de SG-1. Cela va devenir une plaisanterie récurrente de la saison, en clin d’œil au fait que Ben Browder ait tenu a consciencieusement visionner les 173 épisodes de Stargate SG-1 antérieurs à son arrivée.
S’il conserve la musique identificatrice de la série, le générique a désormais supprimé toute référence égyptienne, au profit des péripéties à venir. De même Ben Browder s’est substitué à Richard Dean Anderson.
Richard Dean Anderson est désormais indiqué comme Special appearance . Désirant prendre du recul, n'interviendra plus que dans trois épisodes de Stargate SG-1, ainsi que dans le téléfilm final Stragate Continuum. Il participera néanmoins épisodiquement à Stargate Universe, O'Neill dirigeant désormais le Homeworld Security.
Le Général Hank Landry est incarné par Beau Bridges (frère de Jeff et fils de Lloyd), un acteur à la solide carrière, au cinéma comme à la télévision. Depuis 2003 il a sa place sur le Hollywood Walk of Fame.
Le Dr. Carolyn Lam, également fille de Landry, devient la première figure médicale régulière à succéder à Janet (pratiquement aucun médecin n'aura été vu en saison . Elle est incarnée par Lexa Doig, populaire figure régulière des séries de Science-fiction et actuellement l'une des antagonistes majeures dans Continuum. Elle est l'épouse de Michael Shanks depuis 2003, l'ayant rencontré durant le tournage d'Andromeda (2000-2005).
Sam n'apparaît que brièvement et en vidéo. Amanda Tapping est alors en congé maternité, elle ne reprendra son rôle que lors de l'épisode Beachead (9-06).
Nouveaux ennemis de SG-1, les Oris font ici leur entrée, initiant une lutte se poursuivant jusqu'à Stargate Continuum. Il< proviennent de la même galaxie que les Anciens, mais sont nettement plus belliqueux et dominateurs. Empêchés d'intervenir directement par les Anciens, ils vont néanmoins lancer leurs multitudes d’adorateurs, originaires de cette galaxie, à la conquête de la Voie lactée. Animée par le zèle fanatique des Prêcheurs, formant l'avant garde et dotés de pouvoirs quasi magiques, la Croisade des Oris va également s'appuyer sur une flotte de vaisseaux spatiaux apparemment invincibles.
Daniel indique que la tombe d'Arthur a probablement été exhumée par Henry II, en 1278. Or le roi Henry II est décédé en 1189.
Teal'c arbore désormais une coiffure considérée comme gréco-romaine. Un choix que l'on va pudiquement qualifier d'audacieux. Par ailleurs Teal'c utilise désormais surtout des armes terriennes, au lieu de la lance énergétique jaffa.
Michael Shanks va lui porter barbe durant les cinq premiers épisodes de la saison, de manière à atténuer une ressemblance physique entre lui et Browder.
L’impressionnant décor du village ori constitue le plus vaste jamais réalisé pour la série (1 100 m²).Il sera ré exploité dans plusieurs épisodes ultérieurs, redécoré afin de s’adapter aux différents mondes successivement visités. A terme il va devenir une alternative rentable aux tournages dans les environs de Vancouver.
- While I would normally be thrilled to have so much testosterone at my disposal...Where's my Daniel ?
Les Goa’ulds vaincu et le général O’Neill étant appelé à de nouvelles fonctions, SG-1 s’est dissoute. Carter travaille désormais dans la Zone 51, Teal’c sur Chulak et Daniel se prépare à rallier Atlantis. Mandaté par le général Landry, nouveau chef du SGC, le colonel Mitchell a le plus grand mal à reformer l’équipe. Vala franchit soudain la Porte des Etoiles, détenant une tablette des Anciens conduisant à un fabuleux trésor. L’aventurière et SG-1 reconstituée (hormis Sam) découvrent la cachette, située à Avalon Merlin étant un Ancien ! Parmi les joyaux se trouve un étrange artefact, qui envoie les esprits de Daniel et Vala occuper les corps d’habitants de la galaxie d’origine des Anciens. Ils y découvrent qu’un autre peuple, les Oris, y a réalisé l’Ascension et a instauré une théocratie fanatique.
L’événement majeur de la première partie de ce double demeure la présentation du nouveau leader de SG-1. Or force est de constater que celle-ci n’emporte que médiocrement l’adhésion, nonobstant la sympathie et le talent de Ben Browder. Mitchell compose un héros américain brusquement standardisé vis-à-vis d’O’Neill, comme le ressassent à satiété les fastidieux flashbacks de sa participation à la Bataille de l’Antarctique, composant autant de clichés. Outre l’handicap de se substituer à l’emblématique O’Neill, Mitchell doit aussi lutter contre le fait que la le remplaçante naturelle en tait naturellement Sam. En quoi être un excellente et courageux pilote de chasse le qualifie-t-il pour diriger SG-1, voire simplement intégrer une équipe SG ? Sans aller évoquer de sexisme (même si Sam n’aura guère eu l’occasion d’exercer le commandement la saison précédente), on peut supposer un désir de maintenir SG-1 comme ensemble choral. Déjà soldate accomplie et scientifique hors pair, lui conférer le commandement déséquilibrerait l’équipe (M. Spock et Kirk en un seul personnage). Les péripéties minimalistes et parfois maladroites de l quête vite expédiée d’Avalon (en quoi un combat à l’épée peut-il représenter un test valide pour les Anciens ?) ne permettent pas encore à Mitchell de s’extirper des poncifs.
Demeure une adaptation maline des mythiques figures arthurienne, connue de tous, à l’univers Stargate. On découvre fort heureusement un pittoresque et divertissant Landry, grâce à l’excellent Beau Bridges trouvant d’emblée le personnage. Surtout le retour surprise de Vala confirme pleinement le succès de Prometheus Unbound. On savoure derechef sa vitalité, son cynisme aussi amoral que sexy et la réouverture de la chasse au Daniel. Claudia Black se montre vraiment formidable. Malgré un Teal’c meublant consciencieusement à Chulak et une docteur Lam cantonnée à quelques dialogues convenus, la seconde partie a d’ailleurs la bonne idée de ce centrer sur ce duo explosif, à la fois antagoniste et complice ; Ces deux là aiment tellement se détester que leur entrain devient irrésistiblement communicatif. Il va falloir trouver rapidement une chambre. La découverte de l’impressionnant décor du village évoque davantage l’aventure que les grottes minimalistes d’Avalon, tandis que l’effroyable bûcher de Vala frappe l’imagination illustre déjà le fanatisme des sectateurs et prêcheurs des Oris, dont il reconstitue l’emblème. Le pilote de saison s’achève toutefois sans que cette menace soit clairement mise en place. Un troisième opus va s’avérer nécessaire, alors que l’ensemble de l’arc introductif aurait pu être concentré dans le double épisode, avec un récit davantage nerveux, épuré de plusieurs scènes dispensables.
L'action prend place deux mois après celle de Moebius.
Les saisons 9 à 10 sont souvent considérées comme un nouvel Stargate SG-1, avec de nouveaux protagonistes et antagonistes. Les producteurs envisagèrent un temps de marquer une césure définitive et de débuter une série dérivée intitulée Stargate Command, mais décidèrent finalement de poursuivre Stargate SG-1.
De nouvelles figures s'installent : Le Colonel Mitchell, leader des chasseurs F-302 durant la Bataille de l'Antarctique, prend la tête de SG-1. Vala devient membre associée de SG-1. Le Général Landry est choisi par O'Neill comme son remplaçant aux commandes du SGC.
Ben Browder (Mitchell) était alors surtout connu pour le rôle récurrent de John Crichton dans Farscape (1999-2003). Il retrouve ici sa partenaire Claudia Black, qui y incarnait Aeryn Sun. L'épisode contient plusieurs discrètes références à cette série.
Browder devait initialement interpréter le Lieutenant-Colonel Sheppard, protagoniste de Stargate Atlantis. Mais il fut retenu par le tournage de The Peacekeeper Wars, une mini série concluant Farscape.
Mitchell indique avoir lu l'intégralité des rapports de mission de SG-1. Cela va devenir une plaisanterie récurrente de la saison, en clin d’œil au fait que Ben Browder ait tenu a consciencieusement visionner les 173 épisodes de Stargate SG-1 antérieurs à son arrivée.
S’il conserve la musique identificatrice de la série, le générique a désormais supprimé toute référence égyptienne, au profit des péripéties à venir. De même Ben Browder s’est substitué à Richard Dean Anderson.
Richard Dean Anderson est désormais indiqué comme Special appearance . Désirant prendre du recul, n'interviendra plus que dans trois épisodes de Stargate SG-1, ainsi que dans le téléfilm final Stragate Continuum. Il participera néanmoins épisodiquement à Stargate Universe, O'Neill dirigeant désormais le Homeworld Security.
Le Général Hank Landry est incarné par Beau Bridges (frère de Jeff et fils de Lloyd), un acteur à la solide carrière, au cinéma comme à la télévision. Depuis 2003 il a sa place sur le Hollywood Walk of Fame.
Le Dr. Carolyn Lam, également fille de Landry, devient la première figure médicale régulière à succéder à Janet (pratiquement aucun médecin n'aura été vu en saison . Elle est incarnée par Lexa Doig, populaire figure régulière des séries de Science-fiction et actuellement l'une des antagonistes majeures dans Continuum. Elle est l'épouse de Michael Shanks depuis 2003, l'ayant rencontré durant le tournage d'Andromeda (2000-2005).
Sam n'apparaît que brièvement et en vidéo. Amanda Tapping est alors en congé maternité, elle ne reprendra son rôle que lors de l'épisode Beachead (9-06).
Nouveaux ennemis de SG-1, les Oris font ici leur entrée, initiant une lutte se poursuivant jusqu'à Stargate Continuum. Il< proviennent de la même galaxie que les Anciens, mais sont nettement plus belliqueux et dominateurs. Empêchés d'intervenir directement par les Anciens, ils vont néanmoins lancer leurs multitudes d’adorateurs, originaires de cette galaxie, à la conquête de la Voie lactée. Animée par le zèle fanatique des Prêcheurs, formant l'avant garde et dotés de pouvoirs quasi magiques, la Croisade des Oris va également s'appuyer sur une flotte de vaisseaux spatiaux apparemment invincibles.
Daniel indique que la tombe d'Arthur a probablement été exhumée par Henry II, en 1278. Or le roi Henry II est décédé en 1189.
Teal'c arbore désormais une coiffure considérée comme gréco-romaine. Un choix que l'on va pudiquement qualifier d'audacieux. Par ailleurs Teal'c utilise désormais surtout des armes terriennes, au lieu de la lance énergétique jaffa.
Michael Shanks va lui porter barbe durant les cinq premiers épisodes de la saison, de manière à atténuer une ressemblance physique entre lui et Browder.
L’impressionnant décor du village ori constitue le plus vaste jamais réalisé pour la série (1 100 m²).Il sera ré exploité dans plusieurs épisodes ultérieurs, redécoré afin de s’adapter aux différents mondes successivement visités. A terme il va devenir une alternative rentable aux tournages dans les environs de Vancouver.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Ah, l'aventure reprend !
Où est passée ta présentation de la saison ?
Où est passée ta présentation de la saison ?
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Juste avant le message de Philo
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Ah, en effet. Sorry...
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Musique du film de 1994
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Le Livre des Origines (Origin, 9-03, ****)
- Great holy armies shall be gathered and trained to fight all who embrace Evil, in the Name of the Gods. Ships will be built to carry our warriors out among the stars, and we will spread Origin to all the Unbelievers. The Power of the Ori will be felt far and wide and the wicked shall be vanquished.
Vala et Daniel sont conduits devant le Doci, qui désire connaître leur provenance et leurs buts. Les Oris s’incarnent alors en lui et sondent le duo. Ils découvrent que la Voie Lactée est peuplée par des incroyants, jusqu’ici dissimulés à leur vue par les Anciens. Daniel et Vala réintègrent leurs corps après que Mitchell eut annihilé l’artefact grâce à la Vague. Daniel prévient alors Landry que les Anciens interdiront aux Oris d’intervenir directement, mais ne s’opposeront pas à une invasion de la galaxie par des humains fanatisés. Le SGC se prépare à la guerre. Un premier Prêcheur survient pour haranguer les foules, à la stupéfaction de Gerak, nouveau dirigeant des Jaffas.
La mise en place, parfois trop délayée, effectuée par le double épisode pilote de saison débouche ici sur une conclusion des plus haletantes. Les péripéties se succèdent sur un tempo élevé, électrisant un récit riche en perspectives stimulant agréablement l’imagination. Robert C. Cooper parachève l’astucieux concept des Oris en frappent l’esprit du spectateur en révélant d’emblée l’étendue de leur puissance et le spectaculaire sanctuaire de leur culte. Via la suggestive annonce de l’invasion galactique à venir, l’opus retrouve la tonalité épique propre au space-opera, genre dont relève désormais Stargate SG-1, bien davantage qu’à ses débuts. Toutefois le concept de Faux Dieux permet d’affirmer une continuité, tandis que leur puissance implique clairement une élévation de la menace vis-à-vis des Serpents, c’est astucieux. Le vocable grandiloquent des Prêcheurs se montre agréablement délirant, tout en soulignant l’horreur du totalitarisme religieux. Une réalisation tonique, aidée par des effets spéciaux et des maquillages réussis, confirment la grande qualité de l’opus. On note toutefois déjà une faiblesse, avec la reproduction de Prêcheurs robotisés et quasi identiques, fatalement ennuyeuse à terme, contrairement à des Goa’ulds chamarrés et relevant de nos multiples panthéons.
L’aventure soude un duo Daniel/Vala toujours aussi percutant et supportant aisément d’être is en vedette. Il demeure étonnant de ne les voir manifester guère d’empathie envers le jeune coule hôte que leurs actions ont malgré tout conduit au bûcher, même si leurs jours étaient sans doute comptés. On apprécie que les bracelets prétendument nuptiaux soient enfin évacués par Vala, ils n’auront en définitive pas apporté grand-chose à l’action. Mitchell se montre ici à la hauteur, gagnant ses galons de leader de SG-1, même si ne parvenant jamais de faire de l’ombre à un Jack O’Neill achevant ici de passer le témoin. Les auteurs ont à cette occasion la grande idée de nous offrir un ultime ping-pong verbal entre lui et Daniel, ces irrésistibles échanges vont bien nous manquer. Teal’c reste par contre en retrait, le projecteur se voyant davantage pointe sur Gerak, nouveau dirigeant des Jaffas auquel l’excellent Louis Gossett Jr. apporte toute une belle solidité. Julian Sands apparait évidemment lui aussi comme une recrue de choix pour le programme, il rend réellement électrique la confrontation entre Daniel et le Doci. Le nouveau décor se voit enfin efficacement planté, avec des adversaires ici prometteurs, davantage convaincants que les Wraiths s’en prenant alors à Atlantis.
Amanda Tapping ne participe pas à l'épisode.
L'uniforme d'O'Neill arbore deux étoiles, il a donc désormais atteint le grade de Major General.
Richard Dean Anderson n'apparaîtra plus au cours de cette saison.
Pour la première fois, les Oris apparaissent directement. Dans la cité sainte des Plaines de Célestis, ils se manifestent à travers leur grand prêtre, le Doci, grâce aux les Flammes de l'Illumination. Le Livre des Origines est le fondement de leur culte. Les immenses pouvoirs des Oris ont convaincu leur peuple et les Prêcheurs de leur nature divine, mais ce ne sont que des êtres ayant accompli l’Ascension, à l’instar des Anciens.
L'épisode fut proposé aux Gemini Awards, pour ses maquillages.
Première apparition de Gerak (Louis Gossett Jr.) nouveau dirigeant de la faction jaffa, issu de la faction traditionnaliste. Au cours de la saison 9, il va s’allier à SG-1 pour contrer les Oris, avnt de succomber à la persuasion du Doci et de devenir un Prieur. Teal’c le convainc alors de trahir les nouveaux Faux Dieux, mais, découvert, il sera brûlé vif (The Fourth Horseman)
Le Doci, le grand prêtre des Oris, est interprété par Julian Sands, acteur très populaire chez les amateurs de Fantastique, notamment pour le rôle du Warlock. Le Doci secondera Adria l’Orici, mais capitulera après que lui soit révélée la véritable nature des Oris (Stargate: The Ark of Truth).
- Great holy armies shall be gathered and trained to fight all who embrace Evil, in the Name of the Gods. Ships will be built to carry our warriors out among the stars, and we will spread Origin to all the Unbelievers. The Power of the Ori will be felt far and wide and the wicked shall be vanquished.
Vala et Daniel sont conduits devant le Doci, qui désire connaître leur provenance et leurs buts. Les Oris s’incarnent alors en lui et sondent le duo. Ils découvrent que la Voie Lactée est peuplée par des incroyants, jusqu’ici dissimulés à leur vue par les Anciens. Daniel et Vala réintègrent leurs corps après que Mitchell eut annihilé l’artefact grâce à la Vague. Daniel prévient alors Landry que les Anciens interdiront aux Oris d’intervenir directement, mais ne s’opposeront pas à une invasion de la galaxie par des humains fanatisés. Le SGC se prépare à la guerre. Un premier Prêcheur survient pour haranguer les foules, à la stupéfaction de Gerak, nouveau dirigeant des Jaffas.
La mise en place, parfois trop délayée, effectuée par le double épisode pilote de saison débouche ici sur une conclusion des plus haletantes. Les péripéties se succèdent sur un tempo élevé, électrisant un récit riche en perspectives stimulant agréablement l’imagination. Robert C. Cooper parachève l’astucieux concept des Oris en frappent l’esprit du spectateur en révélant d’emblée l’étendue de leur puissance et le spectaculaire sanctuaire de leur culte. Via la suggestive annonce de l’invasion galactique à venir, l’opus retrouve la tonalité épique propre au space-opera, genre dont relève désormais Stargate SG-1, bien davantage qu’à ses débuts. Toutefois le concept de Faux Dieux permet d’affirmer une continuité, tandis que leur puissance implique clairement une élévation de la menace vis-à-vis des Serpents, c’est astucieux. Le vocable grandiloquent des Prêcheurs se montre agréablement délirant, tout en soulignant l’horreur du totalitarisme religieux. Une réalisation tonique, aidée par des effets spéciaux et des maquillages réussis, confirment la grande qualité de l’opus. On note toutefois déjà une faiblesse, avec la reproduction de Prêcheurs robotisés et quasi identiques, fatalement ennuyeuse à terme, contrairement à des Goa’ulds chamarrés et relevant de nos multiples panthéons.
L’aventure soude un duo Daniel/Vala toujours aussi percutant et supportant aisément d’être is en vedette. Il demeure étonnant de ne les voir manifester guère d’empathie envers le jeune coule hôte que leurs actions ont malgré tout conduit au bûcher, même si leurs jours étaient sans doute comptés. On apprécie que les bracelets prétendument nuptiaux soient enfin évacués par Vala, ils n’auront en définitive pas apporté grand-chose à l’action. Mitchell se montre ici à la hauteur, gagnant ses galons de leader de SG-1, même si ne parvenant jamais de faire de l’ombre à un Jack O’Neill achevant ici de passer le témoin. Les auteurs ont à cette occasion la grande idée de nous offrir un ultime ping-pong verbal entre lui et Daniel, ces irrésistibles échanges vont bien nous manquer. Teal’c reste par contre en retrait, le projecteur se voyant davantage pointe sur Gerak, nouveau dirigeant des Jaffas auquel l’excellent Louis Gossett Jr. apporte toute une belle solidité. Julian Sands apparait évidemment lui aussi comme une recrue de choix pour le programme, il rend réellement électrique la confrontation entre Daniel et le Doci. Le nouveau décor se voit enfin efficacement planté, avec des adversaires ici prometteurs, davantage convaincants que les Wraiths s’en prenant alors à Atlantis.
Amanda Tapping ne participe pas à l'épisode.
L'uniforme d'O'Neill arbore deux étoiles, il a donc désormais atteint le grade de Major General.
Richard Dean Anderson n'apparaîtra plus au cours de cette saison.
Pour la première fois, les Oris apparaissent directement. Dans la cité sainte des Plaines de Célestis, ils se manifestent à travers leur grand prêtre, le Doci, grâce aux les Flammes de l'Illumination. Le Livre des Origines est le fondement de leur culte. Les immenses pouvoirs des Oris ont convaincu leur peuple et les Prêcheurs de leur nature divine, mais ce ne sont que des êtres ayant accompli l’Ascension, à l’instar des Anciens.
L'épisode fut proposé aux Gemini Awards, pour ses maquillages.
Première apparition de Gerak (Louis Gossett Jr.) nouveau dirigeant de la faction jaffa, issu de la faction traditionnaliste. Au cours de la saison 9, il va s’allier à SG-1 pour contrer les Oris, avnt de succomber à la persuasion du Doci et de devenir un Prieur. Teal’c le convainc alors de trahir les nouveaux Faux Dieux, mais, découvert, il sera brûlé vif (The Fourth Horseman)
Le Doci, le grand prêtre des Oris, est interprété par Julian Sands, acteur très populaire chez les amateurs de Fantastique, notamment pour le rôle du Warlock. Le Doci secondera Adria l’Orici, mais capitulera après que lui soit révélée la véritable nature des Oris (Stargate: The Ark of Truth).
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Ce lien qui nous unit… (The Ties That Bind, 9-04, ***)
- I noticed you've assigned a woman. Are you afraid that I might corrupt one of your impressionable young men ?
-No, I just thought I'd save someone the trouble of having to rebuff your advances.
-How do you know you succeeded ?
Malgré qu’ils aient été retirés, les bracelets goa’ulds continuent à agir sur Vala et Daniel, les empêchant de s’éloigner l’un de l’autre. SG-1 part à la recherche du scientifique auqel Vala a volé les artefacts. Cela va entrainer l’équipe à rencontrer plusieurs complices de cette dernière, escrocs et contrebandiers, jusqu’à affronter l’Alliance Luxienne. Finalement le scientifique leur révèle qu’il suffit d’attendre que l’effet s’estompe ! Pendant ce temps des Prêcheurs apparaissent un peu partout dans la Galaxie. Landry tente de convaincre une commission sénatoriale de maintenir les crédits du SGC, alors que celle-ci désire concentrer l’effort sur l’expédition d’Atlantis.
Certes cette histoire de chasse au trésor, au déroulement particulièrement élémentaire, présente l’épaisseur d’une bulle de savon. Mais la drôlerie demeure omniprésente, grâce à la personnalité de Vala, ici particulièrement mise en vedette, brillant de toute la gouaille et de la vitalité de Claudia Black. L’accumulation des embrouilles dans lesquelles elle s’est lancée suscite un redoutable effet de répétition, d’autant que le montage rapide des diverses séquences permet d’accumuler les gags. Les différents faisans rencontrés composent autant de figures pittoresques, d’autant que les acteurs invités s’en donnent à cœur joie. On apprécie de retrouver une galaxie truculente et volontiers humoristique, loin des conflits coutumiers, sur une tonalité proche de Space Race. La révélation d’une Alliance Luxienne autrement plus sinistre n’en revêt que davantage de force, par contraste.
L’autre moteur de l’épisode réside bien entendu dans l’exaspération croissante d’un Daniel aspirant à retrouver le calme de se chères études. Daniel a toujours sa manière bien à lui, ironique en diable, de montrer son agacement, un régal. Vala et lui composent un tonique couple antinomique, une formule certes classique mais ici d’une redoutable efficacité avec ses incessants échanges de piques acidulées. Si Mitchell prend efficacement la direction des opérations, on remarque que Teal’c continue à se cantonner au rôle de commentateur. Qu’il reparte sur Chulak n’apporte guère de surprise, pour l’heure les auteurs n’ont visiblement guère de tâches à lui confier. Par ailleurs, entre maquillages effets spéciaux et extérieurs forts réussis,), on observe que la saison 9 maintient la grande qualité de production de la série. Voir le SGC entrer en concurrence avec Atlantis auprès du Sénat prend des allures de méta récit caustique au moment où Sci-Fi a davantage les yeux de Chimène pour Stargate Atlantis !
Landry dirige le SGC depuis environ deux mois.
Le titre de travail de l'épisode était Treasure, Treasure, Treasure.
Les deux enfants aperçus sur la planète sont en fait ceux de Ben Browder.
Amanda Tapping ne participe pas à l'épisode.
Le pistolet que Vala pointe vers Arlos ressemble beaucoup à celui d'Aeryn Sun, dans Farscape, également interprétée par Claudia Black.
Profitant du vide créé par la chute des Goa'ulds, une association mafieuse de mercenaires, criminels et pirates prospère sous le nom d'Alliance Luxienne. Ponctuellement allés pour affronter la flotte ori, l’Alliance et SG-1 s’affronteront quand le cartel criminel tentera de commercialiser une drogue dévastatrice dans toute la galaxie. L’attaque de la base Icare par l’Allaince Luxienne sera encore à l'origine des événements de Stargate Universe.
Les scènes du monastère ont en fait été tournées dans les jardins du Shadbolt Center, un vaste espace culturel situé dans le Grand Vancouver.
- I noticed you've assigned a woman. Are you afraid that I might corrupt one of your impressionable young men ?
-No, I just thought I'd save someone the trouble of having to rebuff your advances.
-How do you know you succeeded ?
Malgré qu’ils aient été retirés, les bracelets goa’ulds continuent à agir sur Vala et Daniel, les empêchant de s’éloigner l’un de l’autre. SG-1 part à la recherche du scientifique auqel Vala a volé les artefacts. Cela va entrainer l’équipe à rencontrer plusieurs complices de cette dernière, escrocs et contrebandiers, jusqu’à affronter l’Alliance Luxienne. Finalement le scientifique leur révèle qu’il suffit d’attendre que l’effet s’estompe ! Pendant ce temps des Prêcheurs apparaissent un peu partout dans la Galaxie. Landry tente de convaincre une commission sénatoriale de maintenir les crédits du SGC, alors que celle-ci désire concentrer l’effort sur l’expédition d’Atlantis.
Certes cette histoire de chasse au trésor, au déroulement particulièrement élémentaire, présente l’épaisseur d’une bulle de savon. Mais la drôlerie demeure omniprésente, grâce à la personnalité de Vala, ici particulièrement mise en vedette, brillant de toute la gouaille et de la vitalité de Claudia Black. L’accumulation des embrouilles dans lesquelles elle s’est lancée suscite un redoutable effet de répétition, d’autant que le montage rapide des diverses séquences permet d’accumuler les gags. Les différents faisans rencontrés composent autant de figures pittoresques, d’autant que les acteurs invités s’en donnent à cœur joie. On apprécie de retrouver une galaxie truculente et volontiers humoristique, loin des conflits coutumiers, sur une tonalité proche de Space Race. La révélation d’une Alliance Luxienne autrement plus sinistre n’en revêt que davantage de force, par contraste.
L’autre moteur de l’épisode réside bien entendu dans l’exaspération croissante d’un Daniel aspirant à retrouver le calme de se chères études. Daniel a toujours sa manière bien à lui, ironique en diable, de montrer son agacement, un régal. Vala et lui composent un tonique couple antinomique, une formule certes classique mais ici d’une redoutable efficacité avec ses incessants échanges de piques acidulées. Si Mitchell prend efficacement la direction des opérations, on remarque que Teal’c continue à se cantonner au rôle de commentateur. Qu’il reparte sur Chulak n’apporte guère de surprise, pour l’heure les auteurs n’ont visiblement guère de tâches à lui confier. Par ailleurs, entre maquillages effets spéciaux et extérieurs forts réussis,), on observe que la saison 9 maintient la grande qualité de production de la série. Voir le SGC entrer en concurrence avec Atlantis auprès du Sénat prend des allures de méta récit caustique au moment où Sci-Fi a davantage les yeux de Chimène pour Stargate Atlantis !
Landry dirige le SGC depuis environ deux mois.
Le titre de travail de l'épisode était Treasure, Treasure, Treasure.
Les deux enfants aperçus sur la planète sont en fait ceux de Ben Browder.
Amanda Tapping ne participe pas à l'épisode.
Le pistolet que Vala pointe vers Arlos ressemble beaucoup à celui d'Aeryn Sun, dans Farscape, également interprétée par Claudia Black.
Profitant du vide créé par la chute des Goa'ulds, une association mafieuse de mercenaires, criminels et pirates prospère sous le nom d'Alliance Luxienne. Ponctuellement allés pour affronter la flotte ori, l’Alliance et SG-1 s’affronteront quand le cartel criminel tentera de commercialiser une drogue dévastatrice dans toute la galaxie. L’attaque de la base Icare par l’Allaince Luxienne sera encore à l'origine des événements de Stargate Universe.
Les scènes du monastère ont en fait été tournées dans les jardins du Shadbolt Center, un vaste espace culturel situé dans le Grand Vancouver.
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Prosélytisme (The Powers That Be, 9-05, **)
- It's going to be a long day.
- Indeed.
Vala entraine SG-1 sur une planète où elle fut jadis l’hôte du Goa’uld Qetesh, avant que celui-ci n’eut été vaincu par la Tok’ra, Elle prétend pouvoir utiliser son influence de pseudo pour contrer celle d’un Prêcheur récemment arrivé. Toutefois elle compte surtout récupérer un trésor en naquadah. Daniel la force à révéler l’imposture au peuple, ce qui provoque un procès où il se confronte au Prêcheur, autour du thème des faux dieux. Daniel est en passe de remporter la partie, quand le Prêcheur suscite un peste menaçant de décimer la population ; Celle-ci se soumet alors aux Oris, après que le Prêcheur eut « miraculeusement » annihilé le virus.
Après The Ties That Bind, The Powers That Be (titre qui amusera les amateurs d’Angel) constitue un second épisode centré sur Vala. La saison aura décidément eu l’excellente idée de tirer un excellent parti du passage de la pétulante héroïne, une séquence approchant déjà de sa conclusion. Toutefois ici aussi Vala se montre hilarante mais subit de fait des évènements impulsés par Daniel et Mitchell, elle n’est jamais réellement protagoniste, c’est dommage. le récit se montre partiellement frustrant, car il se découpe en trois parties trap marquées, aucune d’entre elles ne disposant dès lors de l’espace nécessaire pour pleinement se développer. Vala divertit en pseudo déesse, mais le sujet se contente de dérouler sur sa personnalité, sans ajouter aucune dimension supplémentaire. Le déroulement du procès résulte minimaliste et passablement verbeux.
L’affrontement entre Daniel et le Prêcheur s’avère la partie la plus forte de l’épisode, avec des dialogues finement écrits et apportant assez de subtilité à l’antagoniste pour ne pas verser dans la simple caricature. Le drame vécu par la population permet également de compléter le portrait de Vala, bien davantage compassionnelle et impliquée qu’il le semblait au premier abord. Le fait que SG-1 essuie en définitive une défaite en rase campagne apporte une certaine solennité à la conclusion et rehausse encore la menace signifiée par les Oris. Il se confirme toutefois que les différents Prêcheurs demeurent trop interchangeables. Le Dr. Lam a enfin l’occasion de participer à l’action. Lexa Doig se montre convaincante, mais les discussions entre Carolyn et son père relèvent par trop du cliché pour ne jamais intéresser. Teal’c reste malheureusement quasi invisible.
Amanda tapping ne participe pas à l'épisode.
Il s'agit du premier épisode de la série où Jack O'Neill n'est ni présent, ni mentionné.
Par le passé, Vala a été possédée par le Goa'uld Qetesh. Qetesh (ou Qadesh) est une antique déesse syro-égyptienne, associée à la fertilité et à l'extase sexuelle, parfois ultérieurement assimilée à Hathor.
Les Prêcheurs ont déjà visité au moins 43 mondes de la Voie Lactée.
Alors qu’à la fin de l’épisode précédent, Teal’c quittait SG-1 pour rejoindre la haut conseil jaffa, il est ici de retour sans qu’aucune explication ne soit donnée. Pourtant à son début la mission ne présente aucun caractère de crise ou de péril.
- It's going to be a long day.
- Indeed.
Vala entraine SG-1 sur une planète où elle fut jadis l’hôte du Goa’uld Qetesh, avant que celui-ci n’eut été vaincu par la Tok’ra, Elle prétend pouvoir utiliser son influence de pseudo pour contrer celle d’un Prêcheur récemment arrivé. Toutefois elle compte surtout récupérer un trésor en naquadah. Daniel la force à révéler l’imposture au peuple, ce qui provoque un procès où il se confronte au Prêcheur, autour du thème des faux dieux. Daniel est en passe de remporter la partie, quand le Prêcheur suscite un peste menaçant de décimer la population ; Celle-ci se soumet alors aux Oris, après que le Prêcheur eut « miraculeusement » annihilé le virus.
Après The Ties That Bind, The Powers That Be (titre qui amusera les amateurs d’Angel) constitue un second épisode centré sur Vala. La saison aura décidément eu l’excellente idée de tirer un excellent parti du passage de la pétulante héroïne, une séquence approchant déjà de sa conclusion. Toutefois ici aussi Vala se montre hilarante mais subit de fait des évènements impulsés par Daniel et Mitchell, elle n’est jamais réellement protagoniste, c’est dommage. le récit se montre partiellement frustrant, car il se découpe en trois parties trap marquées, aucune d’entre elles ne disposant dès lors de l’espace nécessaire pour pleinement se développer. Vala divertit en pseudo déesse, mais le sujet se contente de dérouler sur sa personnalité, sans ajouter aucune dimension supplémentaire. Le déroulement du procès résulte minimaliste et passablement verbeux.
L’affrontement entre Daniel et le Prêcheur s’avère la partie la plus forte de l’épisode, avec des dialogues finement écrits et apportant assez de subtilité à l’antagoniste pour ne pas verser dans la simple caricature. Le drame vécu par la population permet également de compléter le portrait de Vala, bien davantage compassionnelle et impliquée qu’il le semblait au premier abord. Le fait que SG-1 essuie en définitive une défaite en rase campagne apporte une certaine solennité à la conclusion et rehausse encore la menace signifiée par les Oris. Il se confirme toutefois que les différents Prêcheurs demeurent trop interchangeables. Le Dr. Lam a enfin l’occasion de participer à l’action. Lexa Doig se montre convaincante, mais les discussions entre Carolyn et son père relèvent par trop du cliché pour ne jamais intéresser. Teal’c reste malheureusement quasi invisible.
Amanda tapping ne participe pas à l'épisode.
Il s'agit du premier épisode de la série où Jack O'Neill n'est ni présent, ni mentionné.
Par le passé, Vala a été possédée par le Goa'uld Qetesh. Qetesh (ou Qadesh) est une antique déesse syro-égyptienne, associée à la fertilité et à l'extase sexuelle, parfois ultérieurement assimilée à Hathor.
Les Prêcheurs ont déjà visité au moins 43 mondes de la Voie Lactée.
Alors qu’à la fin de l’épisode précédent, Teal’c quittait SG-1 pour rejoindre la haut conseil jaffa, il est ici de retour sans qu’aucune explication ne soit donnée. Pourtant à son début la mission ne présente aucun caractère de crise ou de péril.
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Le Piège (Beachhead, 9-06, ****)
- General, join me for a glass of wine! It's from a world called... France !
Un Prêcheur s’empare d’un monde jaffa, afin de créer une tête de pont permettant à la flotte des Oris de traverser le vide intergalactique. Recouvrant la planète d’un champ de force, son but est de transformer celle-ci en trou noir, obtenant ainsi assez d’énergie pour créer une gigantesque Porte des Etoiles flottant dans l’espace. SG-1, Sam et le Promotheus interviennent, mais sont dupés par le Goa’uld Nerus, qui les incite à attaquer de toutes leurs forces. L’énergie dépensée est mise au service de l’ouvrage des Oris. Arrivé sur place, Gerak tombe aussi dans le piège. Tout semble perdu quand Vala, à bord d’un petit vaisseau, se sacrifie pour détruire la Porte, étant du même coup précipitée dans la Galaxie des Oris.
Beachhead frappe réellement les esprits, de diverses façons. il marque une nouvelle, et tonitruante élévation de la menace représentée par les Oris. Placé au sein d’une saison ayant su efficacement gérer cet aspect, il développe pareillement une intrigue révélant d’une manière savamment progressive l’ampleur du complot en cours. A son point culminant, la crise rejoint totalement les sommets épiques du Space opera, avec ses batailles spatiales, ses chantiers spatiaux colossaux, ses destructions de planètes, ses trous noirs, etc. Une véritable souffle d’épopée, admirablement servi par une mise en scène disposant de vastes moyens, vi des images de synthèses crées avec un vrai sens du spectaculaire. Si les Prêcheurs en eux-mêmes deviennent ennuyeux à force de répétitivité, on ne saurait dénier l’apparence quasi divine de la puissance de leurs Maîtres !
Le récit ne se contente toutefois pas d’accumuler les péripéties et sait tirer le meilleur parti des personnages. On retrouve évidemment avec bonheur Sam, qui reprend sa place avec un éloquent naturel. On peut regretter qu’elle n’ait pas davantage ‘interaction avec Vala, mais il se confirme que Stargate SG-1 ne peut pas être complètement elle-même sans Samantha Carter. Vala réussit sa sortie par le haut, avec une action n’allant pas sans simplifications rapides, mais qu’importe. Elle aura beaucoup apporté à la saison, en attendant le final, et aura joué un joker de haut vol pour Sam. Gerak confirme de son côté un joli potentiel narratif, par sa relation ambigüe avec la Tau’ri. Le seul personnage à détoner demeure Nerus. Certes joué avec roublardise par le vétéran Maury Chaykin, il semble incompréhensible qu’un tel sybarite si peu fanatique aille se placer dans la gueule du loup.
Enfin de retour, Sam arbore l'insigne de SG-1 sur son uniforme, alors même qu'elle n'a pas encore officiellement réintégré l'équipe.
Amanda Tapping reprend son rôle à l'issue de son congé maternité.
Le Général Landry démontre ses talents de basketteur à SG-1. Beau Bridges connut un excellent parcours universitaire dans cette discipline, même si sa taille limitée l’empêcha de faire carrière par la suite.
Trente sept minutes de l'épisode contiennent des images générées par ordinateur, ce qui fait de lui le plus richement doté de la série en la matière (dome énergétique, hologrammes, planètes, Super Porte des Oris, trou noir, Promothéus...).
L'épisode marque la fin de l'arc narratif de Vala. Précipitée dans la Galaxie des Oris, elle réapparaîtra néanmoins lors du final de saison, avant de définitivement intégrer SG-1 en saison 10.
- General, join me for a glass of wine! It's from a world called... France !
Un Prêcheur s’empare d’un monde jaffa, afin de créer une tête de pont permettant à la flotte des Oris de traverser le vide intergalactique. Recouvrant la planète d’un champ de force, son but est de transformer celle-ci en trou noir, obtenant ainsi assez d’énergie pour créer une gigantesque Porte des Etoiles flottant dans l’espace. SG-1, Sam et le Promotheus interviennent, mais sont dupés par le Goa’uld Nerus, qui les incite à attaquer de toutes leurs forces. L’énergie dépensée est mise au service de l’ouvrage des Oris. Arrivé sur place, Gerak tombe aussi dans le piège. Tout semble perdu quand Vala, à bord d’un petit vaisseau, se sacrifie pour détruire la Porte, étant du même coup précipitée dans la Galaxie des Oris.
Beachhead frappe réellement les esprits, de diverses façons. il marque une nouvelle, et tonitruante élévation de la menace représentée par les Oris. Placé au sein d’une saison ayant su efficacement gérer cet aspect, il développe pareillement une intrigue révélant d’une manière savamment progressive l’ampleur du complot en cours. A son point culminant, la crise rejoint totalement les sommets épiques du Space opera, avec ses batailles spatiales, ses chantiers spatiaux colossaux, ses destructions de planètes, ses trous noirs, etc. Une véritable souffle d’épopée, admirablement servi par une mise en scène disposant de vastes moyens, vi des images de synthèses crées avec un vrai sens du spectaculaire. Si les Prêcheurs en eux-mêmes deviennent ennuyeux à force de répétitivité, on ne saurait dénier l’apparence quasi divine de la puissance de leurs Maîtres !
Le récit ne se contente toutefois pas d’accumuler les péripéties et sait tirer le meilleur parti des personnages. On retrouve évidemment avec bonheur Sam, qui reprend sa place avec un éloquent naturel. On peut regretter qu’elle n’ait pas davantage ‘interaction avec Vala, mais il se confirme que Stargate SG-1 ne peut pas être complètement elle-même sans Samantha Carter. Vala réussit sa sortie par le haut, avec une action n’allant pas sans simplifications rapides, mais qu’importe. Elle aura beaucoup apporté à la saison, en attendant le final, et aura joué un joker de haut vol pour Sam. Gerak confirme de son côté un joli potentiel narratif, par sa relation ambigüe avec la Tau’ri. Le seul personnage à détoner demeure Nerus. Certes joué avec roublardise par le vétéran Maury Chaykin, il semble incompréhensible qu’un tel sybarite si peu fanatique aille se placer dans la gueule du loup.
Enfin de retour, Sam arbore l'insigne de SG-1 sur son uniforme, alors même qu'elle n'a pas encore officiellement réintégré l'équipe.
Amanda Tapping reprend son rôle à l'issue de son congé maternité.
Le Général Landry démontre ses talents de basketteur à SG-1. Beau Bridges connut un excellent parcours universitaire dans cette discipline, même si sa taille limitée l’empêcha de faire carrière par la suite.
Trente sept minutes de l'épisode contiennent des images générées par ordinateur, ce qui fait de lui le plus richement doté de la série en la matière (dome énergétique, hologrammes, planètes, Super Porte des Oris, trou noir, Promothéus...).
L'épisode marque la fin de l'arc narratif de Vala. Précipitée dans la Galaxie des Oris, elle réapparaîtra néanmoins lors du final de saison, avant de définitivement intégrer SG-1 en saison 10.
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Terre d’asile (Ex Deus Machina, 9-07, **)
- The bomb isn't in the building, sir. The bomb is the building !
Suite à la découverte de la dépouille d’un Jaffa sur Terre, SG-1 mène une enquête révélant que Ba’al s’est en fait réfugié sur Terre. Gerak envoie des troupes pour le faire prisonnier. Une course débute entre le SGC et les Jaffas pour s’emparer de la prise importante que représente le dernier des Grands Maîtres. Ba’al s’est emparé du Trust et fait pression sur le SGC avec un immeuble devenu une gigantesque bombe au Naquadah. Il est finalement capturé puis exécuté par Gerak, mais SG-1 découvre qu’il ne s’agissait que d’un clone.
Le format d’enquête policière ne réussit guère de coutume à Stargate SG-1 et cet opus-ci ne fra pas exception. Ce type d’histoire nécessite une grande rigueur dans son développement et la srie se trouve davantage à son aise quand elle portée par le souffle de l’exploration ou du Space –opera, la multiplication des péripéties faisant parfois pardonner certains raccourcis. Ici ces procédés abondent derechef, avec des interventions miraculeuses de l’agent Barrett ou encore ce thème des drones balancé avec désinvolture en dernière minute, avec un argument puissant du type « on a trouvé des machines dans la cave ». La participation des Jaffas aurait pu apporter un souffle supplémentaire, mais l’action demeure bien trop enchâssée pour cela, dans le sempiternel décor du Grand Conseil. Ex Deus Machina apparaît de fait comme un quasi Bottle show destiné à économiser après les conséquentes dépenses de Beachhead.
Au moins-cette fois-ci Teal’c peut-l participer à l’action, alors que les autres membres de SG-1 sont bien peu de choses à se mettre sous la dent. La téléportation de Sam par le Promotheus éveille la nostalgie du temps où c’était Thor qui procédait ainsi avec Jack, avec autrement plus de saveur. Fort heureusement, désormais en duo avec la belle Charlotte, Ba’al brille de tous ces feux, avec un Cliff Simon en grande forme. Notre ami se démarque toujours autant de ses pairs par son humour madré et son cynisme le préservant de l’orgueil stupide. Ses apparitions constituent le seul véritable atout d’un épisode que l’on peut dès lors considérer comme l’annonce d’un prometteur affrontement à venir (la Guerre des Clones, en quelque sorte).
La femme jaffa s’opposant à Gerak au Conseil se nomme Kal'el, ce qui est pratiquement le nom kryptonien de Superman. Ayant participé à la rébellion contre Moloch, elle est la représente des guerrières d’Ishta au Grand Conseil des Jaffas.
Présent en secret sur Terre depuis neuf mois, Ba'al dirige désormais le Trust.
Il s’est écoulé à peu près neuf mois depuis la Bataille de Dakara.
La journaliste relatant la mystérieuse disparition du building est Julia Donovan, avec qui SG-1 a eu maille à partir par le passé (épisodes Promotheus et Covenant). Ils ‘agit de son ultime apparition dans la série, hormis dans la réalité alternative de The Road Not Taken, en saison 10.
On apprend que Sam a profité de son interlude hors du SGC pour s’occuper de Cassandra.
Charlotte Mayfield est la Goa’uld gérant les entreprises financières de Ba’al, le secondant à la tête du Trust. A l’issue de la série, elle devient sans doute l’ultime Goa’uld encore présente sur Terre.
Quand Benett s’aventure à demander à Sam si elle est désormais célibataire, celle-ci répond que non, pas exactement. Or l’on sait que désormais elle n’est plus sous le commandement direct de Jack O’Neill, qui interdisait toute relation amoureuse, selon le protocole militaire.
- The bomb isn't in the building, sir. The bomb is the building !
Suite à la découverte de la dépouille d’un Jaffa sur Terre, SG-1 mène une enquête révélant que Ba’al s’est en fait réfugié sur Terre. Gerak envoie des troupes pour le faire prisonnier. Une course débute entre le SGC et les Jaffas pour s’emparer de la prise importante que représente le dernier des Grands Maîtres. Ba’al s’est emparé du Trust et fait pression sur le SGC avec un immeuble devenu une gigantesque bombe au Naquadah. Il est finalement capturé puis exécuté par Gerak, mais SG-1 découvre qu’il ne s’agissait que d’un clone.
Le format d’enquête policière ne réussit guère de coutume à Stargate SG-1 et cet opus-ci ne fra pas exception. Ce type d’histoire nécessite une grande rigueur dans son développement et la srie se trouve davantage à son aise quand elle portée par le souffle de l’exploration ou du Space –opera, la multiplication des péripéties faisant parfois pardonner certains raccourcis. Ici ces procédés abondent derechef, avec des interventions miraculeuses de l’agent Barrett ou encore ce thème des drones balancé avec désinvolture en dernière minute, avec un argument puissant du type « on a trouvé des machines dans la cave ». La participation des Jaffas aurait pu apporter un souffle supplémentaire, mais l’action demeure bien trop enchâssée pour cela, dans le sempiternel décor du Grand Conseil. Ex Deus Machina apparaît de fait comme un quasi Bottle show destiné à économiser après les conséquentes dépenses de Beachhead.
Au moins-cette fois-ci Teal’c peut-l participer à l’action, alors que les autres membres de SG-1 sont bien peu de choses à se mettre sous la dent. La téléportation de Sam par le Promotheus éveille la nostalgie du temps où c’était Thor qui procédait ainsi avec Jack, avec autrement plus de saveur. Fort heureusement, désormais en duo avec la belle Charlotte, Ba’al brille de tous ces feux, avec un Cliff Simon en grande forme. Notre ami se démarque toujours autant de ses pairs par son humour madré et son cynisme le préservant de l’orgueil stupide. Ses apparitions constituent le seul véritable atout d’un épisode que l’on peut dès lors considérer comme l’annonce d’un prometteur affrontement à venir (la Guerre des Clones, en quelque sorte).
La femme jaffa s’opposant à Gerak au Conseil se nomme Kal'el, ce qui est pratiquement le nom kryptonien de Superman. Ayant participé à la rébellion contre Moloch, elle est la représente des guerrières d’Ishta au Grand Conseil des Jaffas.
Présent en secret sur Terre depuis neuf mois, Ba'al dirige désormais le Trust.
Il s’est écoulé à peu près neuf mois depuis la Bataille de Dakara.
La journaliste relatant la mystérieuse disparition du building est Julia Donovan, avec qui SG-1 a eu maille à partir par le passé (épisodes Promotheus et Covenant). Ils ‘agit de son ultime apparition dans la série, hormis dans la réalité alternative de The Road Not Taken, en saison 10.
On apprend que Sam a profité de son interlude hors du SGC pour s’occuper de Cassandra.
Charlotte Mayfield est la Goa’uld gérant les entreprises financières de Ba’al, le secondant à la tête du Trust. A l’issue de la série, elle devient sans doute l’ultime Goa’uld encore présente sur Terre.
Quand Benett s’aventure à demander à Sam si elle est désormais célibataire, celle-ci répond que non, pas exactement. Or l’on sait que désormais elle n’est plus sous le commandement direct de Jack O’Neill, qui interdisait toute relation amoureuse, selon le protocole militaire.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Pour l’honneur (Babylon, 9-08, *)
- «A world, once inhabited by Ancients. A village, shrouded in the Mist of Time. » It sounds like a movie trailer.
SG-1 tente de contacter les Sodans,, légendaires Jaffas s’étant affranchis des Goa’ulds voici des millénaires. Mais leur seigneur, Harkon, est désormais sous la coupe d’un Prêcheur et attaque SG-1. Capturé, Mitchell doit mener un duel d’honneur suite à mort d’un guerrier, en fait lui-même fait prisonnier par SG-1. Il s’avère que Mitchell doit affronter Volnek, le frère du guerrier, qui soigne ses blessures. Les hommes sympathisent et font semblant de se battre, avant que Mitchell ne regagne le SGC. Son nouvel ami va rassembler les Sodans refusant le joug des Oris.
Initialement lancé par un spectaculaire affrontement entre les Sodans et les équipes SG, le récit s’enlise ensuite dans une interminable veillée d’armes, entre Mitchell et son antagoniste. Dans un effet miroir assez surréaliste, mais avant tout soporifique, les deux hommes ne cessent de ressasser les mêmes arguments de scène en scène, tout comme Teal’c de son côté avec le prisonnier. On brasse de l’air avec application. Tout ceci pour déboucher sur un duel très vite expédié, sans haut fait majeur. Le public ne se voit guère récompensé de sa méritoire patience.
Certes tout ceci se déroule dans un fort joli décor à ciel ouvert, dont l’inspiration japonisante s’allie fort bien avec la forêt de la Colombie britannique. Mais l’on en a rapidement fait le tour, d’autant que la mise en scène ne brille pas par son inventivité. Pour couronner le tout Tony Todd cabotine sans aucune mesure sur registre de samouraï vitre lassant car en définitive Harkon n’intervient en rien dans l’action. Le clou du spectacle reste la présence de William B. Davis, venu en voisin car résidant de longue date à Vancouver. Or les auteurs parviennent à ne le faire participer qu’à deux fugitives scènes et sans qu’il ait à prononcer le moindre mot. Une sacrée performance.
La construction du superbe village des Sodans au sein de la forêt de Vancouver couta 800 000 dollars.
Les interprètes des deux frères Jolan and Volnek le sont réellement dans la vie, Jason George et Jarvis W. George.
Le Prêcheur du jour est interprété par William B. Davis, bien connu pour le rôle de l'Homme à la Cigarette, dans les X-Files.
Le Seigneur Harkon est interprété par Tony Todd, notamment connu pour Candyman.
Mitchell fait référence à la résurrection du Dr. McCoy. Il s'agit d'un clin d’œil aux événements de l'épisode Amok Time, de Star trek Classic, assez similaires à ceux du présent récit.
- «A world, once inhabited by Ancients. A village, shrouded in the Mist of Time. » It sounds like a movie trailer.
SG-1 tente de contacter les Sodans,, légendaires Jaffas s’étant affranchis des Goa’ulds voici des millénaires. Mais leur seigneur, Harkon, est désormais sous la coupe d’un Prêcheur et attaque SG-1. Capturé, Mitchell doit mener un duel d’honneur suite à mort d’un guerrier, en fait lui-même fait prisonnier par SG-1. Il s’avère que Mitchell doit affronter Volnek, le frère du guerrier, qui soigne ses blessures. Les hommes sympathisent et font semblant de se battre, avant que Mitchell ne regagne le SGC. Son nouvel ami va rassembler les Sodans refusant le joug des Oris.
Initialement lancé par un spectaculaire affrontement entre les Sodans et les équipes SG, le récit s’enlise ensuite dans une interminable veillée d’armes, entre Mitchell et son antagoniste. Dans un effet miroir assez surréaliste, mais avant tout soporifique, les deux hommes ne cessent de ressasser les mêmes arguments de scène en scène, tout comme Teal’c de son côté avec le prisonnier. On brasse de l’air avec application. Tout ceci pour déboucher sur un duel très vite expédié, sans haut fait majeur. Le public ne se voit guère récompensé de sa méritoire patience.
Certes tout ceci se déroule dans un fort joli décor à ciel ouvert, dont l’inspiration japonisante s’allie fort bien avec la forêt de la Colombie britannique. Mais l’on en a rapidement fait le tour, d’autant que la mise en scène ne brille pas par son inventivité. Pour couronner le tout Tony Todd cabotine sans aucune mesure sur registre de samouraï vitre lassant car en définitive Harkon n’intervient en rien dans l’action. Le clou du spectacle reste la présence de William B. Davis, venu en voisin car résidant de longue date à Vancouver. Or les auteurs parviennent à ne le faire participer qu’à deux fugitives scènes et sans qu’il ait à prononcer le moindre mot. Une sacrée performance.
La construction du superbe village des Sodans au sein de la forêt de Vancouver couta 800 000 dollars.
Les interprètes des deux frères Jolan and Volnek le sont réellement dans la vie, Jason George et Jarvis W. George.
Le Prêcheur du jour est interprété par William B. Davis, bien connu pour le rôle de l'Homme à la Cigarette, dans les X-Files.
Le Seigneur Harkon est interprété par Tony Todd, notamment connu pour Candyman.
Mitchell fait référence à la résurrection du Dr. McCoy. Il s'agit d'un clin d’œil aux événements de l'épisode Amok Time, de Star trek Classic, assez similaires à ceux du présent récit.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Euh, comment dire... Le Fumeur ne semble pas être tout à fait sorti indemme du missile de Roswell !
Dearesttara- Roi (Reine)
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Je dis bravo à Estuaire pour le marathon Stargate SG1, sortant d'en prendre avec les 268 Alfred Hitchcock présente. Pas évident de chroniquer d'aussi longues séries.
Invité- Invité
Re: Série "Stargate - SG1" (2)
C'est le look de tous les Prêcheurs, après qu'ils aient traversé les Flammes de l'Illumination leur donnant accès aux pouvoirs des Oris.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Prototype (Prototype, 9-09, **)
- Ascendometer says Khalek's about eighty-percent there.
- Ascendometer ?
- Mitchell. Wish I'd thought of it.
Durant l’explorationd ‘une planète, SG-1 découvre un laboratoire ressemblant fort à ceux de Nirti. L’équipe emmène au SGC un certain Khalek, découvert en stase et supposé avoir été l’objet des expériences de la Goa’uld. Daniel découvre que Khalek joue en fait la comédie et qu’il est en fait un être artificiel créé par Anubis, capable à terme d’atteindre l’Ascension. Khalek révèle alors de grands pouvoirs télé kinésiques et tente de rejoindre le laboratoire, afin d’achever son évolution. Il est contré par SG-1, qui parvient à l’abattre après un rude combat.
Arrivée à sa neuvième saison, Stargate SG-1 éprouve désormais des difficultés à créer du neuf, une usure somme toute inévitable. L’arrivée d’un nouveau scénariste, Alan McCullough, ne change rien à ce fait. Hormis quelques allusions cosmétiques à la situation militaire du moment, le récit narre essentiellement le combat opposant SG-1 à un extra-terrestre hostile coincé dans le SGC et tentant de rallier à tout prix la Porte. Or c’est exactement de quoi il s’agissait lors de la première confrontation avec Hathor, dès la saison 1. Bien d’autres opus du même genre ont suivi, d’ailleurs Anubis lui-même a connu une situation identique, d’où une saturation certaine. Le passage progressif à une Science fiction davantage classique fait également perdre leur magie à certains concepts de la série. C’était le cas pour la téléportation dans Ex Deus Machina, ici on découvre la concept d’Ascension, qui nous a tant fait rêver par son mystère, réduite aux indications de "l’Ascensiomètre" (sic). Dommage.
Venant après deux autres épisodes assez faibles, Prototype confirme en creux l’impact du départ de Richard Dean Anderson. L’humour et la personnalité de Jack O’Neill avait en effet su pimenter nombre de situations à l’intérêt limité : il n’en plus question désormais, malgré l’indéniable sympathie de Mitchell. L’épisode parvient néanmoins à susciter un final réussi, grâce à l’affrontement prenant entre Khalek et les forces du SGC, filmé avec l’efficacité coutumière de Stargate SG-1 en ce domaine. L’antagoniste se voit d’ailleurs interprété avec une solide conviction par Neil Jackson (Blade, Sleepy Hollow). Voir Daniel préconiser froidement ce qui demeure un assassinat suscite un frisson certain. Tandis que le Dr. Lam commence à gagner ses galons de médecin chef du SGC, on éprouve également le plaisir de retrouver le personnage agréablement complexe de Woolsey, toujours magistralement interprété par Robert Picardo
L’épisode marque l’arrivée d’un nouvel auteur, Alan McCullough. Il va écrire 19 épisodes en tout, pour Stargate SG-1 et ses deux séries dérivées.
Woolsey assure désormais la liaison entre le SGC et le comité international supervisant et finançant le Programme Stargate.
L’impact des balles atteignant la fenêtre blindée derrière laquelle se trouve Woolsey fut obtenue avec des boules de Paintball, remplies de vaseline.
Le but ultime de la création de Khalek par Anubis n’est pas révélé. Dans une première version, le script précisait qu’il s’agissait de créer des être capables de détruire les Anciens ayant effectué l’Ascension.
Landry énonce qu’il faudra au Promotheus deux semaines pour atteindre la planète de Khalek, située dans la Voie Lactée, alors qu’il avait fallu seulement 18 jours au vaisseau pour attendre Atlantis, dans la Galaxie de Pégase, dans Promotheus Unbound.
Ben Browder réalise ici ses cascades, sans doublure.
- Ascendometer says Khalek's about eighty-percent there.
- Ascendometer ?
- Mitchell. Wish I'd thought of it.
Durant l’explorationd ‘une planète, SG-1 découvre un laboratoire ressemblant fort à ceux de Nirti. L’équipe emmène au SGC un certain Khalek, découvert en stase et supposé avoir été l’objet des expériences de la Goa’uld. Daniel découvre que Khalek joue en fait la comédie et qu’il est en fait un être artificiel créé par Anubis, capable à terme d’atteindre l’Ascension. Khalek révèle alors de grands pouvoirs télé kinésiques et tente de rejoindre le laboratoire, afin d’achever son évolution. Il est contré par SG-1, qui parvient à l’abattre après un rude combat.
Arrivée à sa neuvième saison, Stargate SG-1 éprouve désormais des difficultés à créer du neuf, une usure somme toute inévitable. L’arrivée d’un nouveau scénariste, Alan McCullough, ne change rien à ce fait. Hormis quelques allusions cosmétiques à la situation militaire du moment, le récit narre essentiellement le combat opposant SG-1 à un extra-terrestre hostile coincé dans le SGC et tentant de rallier à tout prix la Porte. Or c’est exactement de quoi il s’agissait lors de la première confrontation avec Hathor, dès la saison 1. Bien d’autres opus du même genre ont suivi, d’ailleurs Anubis lui-même a connu une situation identique, d’où une saturation certaine. Le passage progressif à une Science fiction davantage classique fait également perdre leur magie à certains concepts de la série. C’était le cas pour la téléportation dans Ex Deus Machina, ici on découvre la concept d’Ascension, qui nous a tant fait rêver par son mystère, réduite aux indications de "l’Ascensiomètre" (sic). Dommage.
Venant après deux autres épisodes assez faibles, Prototype confirme en creux l’impact du départ de Richard Dean Anderson. L’humour et la personnalité de Jack O’Neill avait en effet su pimenter nombre de situations à l’intérêt limité : il n’en plus question désormais, malgré l’indéniable sympathie de Mitchell. L’épisode parvient néanmoins à susciter un final réussi, grâce à l’affrontement prenant entre Khalek et les forces du SGC, filmé avec l’efficacité coutumière de Stargate SG-1 en ce domaine. L’antagoniste se voit d’ailleurs interprété avec une solide conviction par Neil Jackson (Blade, Sleepy Hollow). Voir Daniel préconiser froidement ce qui demeure un assassinat suscite un frisson certain. Tandis que le Dr. Lam commence à gagner ses galons de médecin chef du SGC, on éprouve également le plaisir de retrouver le personnage agréablement complexe de Woolsey, toujours magistralement interprété par Robert Picardo
L’épisode marque l’arrivée d’un nouvel auteur, Alan McCullough. Il va écrire 19 épisodes en tout, pour Stargate SG-1 et ses deux séries dérivées.
Woolsey assure désormais la liaison entre le SGC et le comité international supervisant et finançant le Programme Stargate.
L’impact des balles atteignant la fenêtre blindée derrière laquelle se trouve Woolsey fut obtenue avec des boules de Paintball, remplies de vaseline.
Le but ultime de la création de Khalek par Anubis n’est pas révélé. Dans une première version, le script précisait qu’il s’agissait de créer des être capables de détruire les Anciens ayant effectué l’Ascension.
Landry énonce qu’il faudra au Promotheus deux semaines pour atteindre la planète de Khalek, située dans la Voie Lactée, alors qu’il avait fallu seulement 18 jours au vaisseau pour attendre Atlantis, dans la Galaxie de Pégase, dans Promotheus Unbound.
Ben Browder réalise ici ses cascades, sans doublure.
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Le Quatrième Cavalier de l’Apocalypse (The Fourth Horseman, 9-10/11, **)
- Why do you hesitate, Gerak ?
- If I help you, I will die... But I will die free !
SG-6 revient de mission après avoir été contaminée par le virus des Oris. Une pandémie mondiale se développe rapidement. L’Ancien Orlin intervient, redevenu humain sous la forme d’un jeune garçon. Avec l’aide de Sam et en se sacrifiant, il met au point une arme anti Prêcheur et un vaccin mais a besoin d’un échantillon du Prêcheur ayant infecté SG-6, celui des Sodans, Mitchell y parvient avec l’aide des Sodans, ceux-ci ayant compris la véritable nature des Oris. Converti, Gerak devient un Prêcheur, mais Teal’c le convainc de se rebeller, ce qui parachève la victoire
Le traditionnel double épisode de milieu de saison rempli son contrat en faisant intervenir l’ensemble des divers participants à la partie en cours, du Doci jusqu’aux Anciens, via Orlin, et en marquant une inflexion du récit, avec un succès majeur de SG-1. Malheureusement son déroulement manque cruellement d’intensité. De fait son contenu, trop limité pour un double opus, nécessite des phases de remplissage verbeux. C’est notamment le cas avec le pathos répétitif et larmoyant des diverses rencontres entre Sam et Orlin. L’épisode n »hésite pas à y aller à la truelle là-dessus, à l’instar des relations père/fille entre Landry et Carolyn, qui continuent à ne pas réellement intéresser, malgré le talent des interprètes..
De même évoquer une pandémie mondiale à travers des discussions entre deux portes entre Landry et ses subordonnés, ou via des flashs d’informations ne montrant strictement aucune image, ne saurait apporter un quelconque puissance au déroulement de l’action. Les auteurs abusent aussi légèrement du twist des conversions surprises, celle des Sodans répondant à celle de Gerak. Un chassé croisé à la soudaineté bien pratique, permettant de rentabiliser l’onéreux décor du village des sodans. On reste aussi frustré de l’absence totale de réelle scène d’action.
Heureusement Stargate SG-1 peut capitaliser sur ses personnages et son riche passé. Les retours de Maître Bra’tac et d’Hammond du Texas, même éphémère pour ce dernier, suscitent une vraie émotion. Le sacrifice de Gerak manifeste un vrai souffle. L’ampleur du récit permet cette fois de pleinement utiliser chacun des membres de SG61, dans un ensemble bien coordonné. Contrairement à Babylon, William B. Davis a l’occasion de pleinement s’exprimer lors d’une confrontation qu’il illumine se son talent. Autant d’élemnts appréciables, mais ne compensant pas le manque de nervosité de l’ensemble.
Le Général Hammond participe ici pour la dernière fois à l’action, hormis des apparitions dans des réalités alternatives. Il s’agit du 150ème épisode auquel participe Don S. Davis.
L’Ancien Orlin effectue son ultime apparition dans la série. Sean Patrick Flannery n’étant alors pas disponible pour reprendre le rôle, il fut décidé qu’Orlin s’incarnerait en un jeune garçon.
Maître Bra’tac est de retour, il n’avait jusqu’ici été seulement évoqué cette saison.
Le général Landry franchit la Porte des Etoiles pour la première fois.
William B, Davis, qui apparaît ici pour la dernière fois dans la série, conserve la même voix francophone que dans les X-Files, celle du Canadien Jacques Brunet, Celui-ci a également assuré la version francophone de Carmen Argenziano , dans le rôle de Jacob Carter.
Le café aperçu est l’Elements cafe, à Burnaby, dans le Grand Vancouver. Il se situe à deux pas des studios où est tournée la série.
L’épidémie fait en tout 3 000 victimes.
- Why do you hesitate, Gerak ?
- If I help you, I will die... But I will die free !
SG-6 revient de mission après avoir été contaminée par le virus des Oris. Une pandémie mondiale se développe rapidement. L’Ancien Orlin intervient, redevenu humain sous la forme d’un jeune garçon. Avec l’aide de Sam et en se sacrifiant, il met au point une arme anti Prêcheur et un vaccin mais a besoin d’un échantillon du Prêcheur ayant infecté SG-6, celui des Sodans, Mitchell y parvient avec l’aide des Sodans, ceux-ci ayant compris la véritable nature des Oris. Converti, Gerak devient un Prêcheur, mais Teal’c le convainc de se rebeller, ce qui parachève la victoire
Le traditionnel double épisode de milieu de saison rempli son contrat en faisant intervenir l’ensemble des divers participants à la partie en cours, du Doci jusqu’aux Anciens, via Orlin, et en marquant une inflexion du récit, avec un succès majeur de SG-1. Malheureusement son déroulement manque cruellement d’intensité. De fait son contenu, trop limité pour un double opus, nécessite des phases de remplissage verbeux. C’est notamment le cas avec le pathos répétitif et larmoyant des diverses rencontres entre Sam et Orlin. L’épisode n »hésite pas à y aller à la truelle là-dessus, à l’instar des relations père/fille entre Landry et Carolyn, qui continuent à ne pas réellement intéresser, malgré le talent des interprètes..
De même évoquer une pandémie mondiale à travers des discussions entre deux portes entre Landry et ses subordonnés, ou via des flashs d’informations ne montrant strictement aucune image, ne saurait apporter un quelconque puissance au déroulement de l’action. Les auteurs abusent aussi légèrement du twist des conversions surprises, celle des Sodans répondant à celle de Gerak. Un chassé croisé à la soudaineté bien pratique, permettant de rentabiliser l’onéreux décor du village des sodans. On reste aussi frustré de l’absence totale de réelle scène d’action.
Heureusement Stargate SG-1 peut capitaliser sur ses personnages et son riche passé. Les retours de Maître Bra’tac et d’Hammond du Texas, même éphémère pour ce dernier, suscitent une vraie émotion. Le sacrifice de Gerak manifeste un vrai souffle. L’ampleur du récit permet cette fois de pleinement utiliser chacun des membres de SG61, dans un ensemble bien coordonné. Contrairement à Babylon, William B. Davis a l’occasion de pleinement s’exprimer lors d’une confrontation qu’il illumine se son talent. Autant d’élemnts appréciables, mais ne compensant pas le manque de nervosité de l’ensemble.
Le Général Hammond participe ici pour la dernière fois à l’action, hormis des apparitions dans des réalités alternatives. Il s’agit du 150ème épisode auquel participe Don S. Davis.
L’Ancien Orlin effectue son ultime apparition dans la série. Sean Patrick Flannery n’étant alors pas disponible pour reprendre le rôle, il fut décidé qu’Orlin s’incarnerait en un jeune garçon.
Maître Bra’tac est de retour, il n’avait jusqu’ici été seulement évoqué cette saison.
Le général Landry franchit la Porte des Etoiles pour la première fois.
William B, Davis, qui apparaît ici pour la dernière fois dans la série, conserve la même voix francophone que dans les X-Files, celle du Canadien Jacques Brunet, Celui-ci a également assuré la version francophone de Carmen Argenziano , dans le rôle de Jacob Carter.
Le café aperçu est l’Elements cafe, à Burnaby, dans le Grand Vancouver. Il se situe à deux pas des studios où est tournée la série.
L’épidémie fait en tout 3 000 victimes.
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Dommage collatéral (Collateral Damage, 9-12, ****)
- I read your report. Not sure I've seen language like that used in an official Air Force document before.
- Sorry about that, sir.
- Oh, you should have seen what Colonel Carter and Dr. Jackson wrote.
Sur un monde protégé par les Asgards, SG-1 négocie un échange de technologie contre un appareil pouvant manipuler la mémoire, à des fins éducatives. Mitchell passe la nuit avec la responsable scientifique du projet, Reya. Au matin, Il se réveille avec le souvenir d’avoir assassiné celle-ci et découvre son cadavre. SG-1 devine que la mémoire et commence à étudier la mémoire de ce dernier, avec l’aide de deux collègues de Reya.
Comme souvent, le duo Mallozzi & Mullie séduit par la singularité de son propos. Chère au grand écrivain Philip K. Dick (on songe parfois ici aux meilleurs aspects de Total Recall), la thématique du simulacre mémoriel a été très peu usité jusqu’ici dans la série ; La diabolique mécanique du scénario expose brillamment les aspects énigmatiques et déstabilisant. Les auteurs ont la bonne idée de nous faire vivre pleinement le récit du point de vue de Mitchell, partageant ainsi son angoisse et ses déchirements, amis aussi son attachement à la rectitude morale comme phare dans la nuit. L’intrigue permet également de compléter le portait du colonel, en révélant les moments les plus marquants de son parcours antérieur au Programme Stargate. Ben Bowder effectue une superbe prestation, d’une impressionnante expressivité.
L’acteur forme un duo convaincant avec la charmante et très douée Anna Galvin, apportant un indispensable versant humain et émotionnel à ce qui demeurerait sinon un exposé clinique. Elément relativement rare au sein de la série, l’intrigue policière se montre cette fois d’une grande efficacité, implacable dans son déroulement tout en ménageant de tonitruants retournements de situation. Le twist final relatif à l’identité du véritable meurtrier est fort joliment amené rejoignant là aussi les simulacres de Dick. Comme dirigeant que l’on suspecte d’emblée, William Atherton réalise d’ailleurs une composition sans défaut. Hormis Sam, le reste de SG-1 reste assez en retrait, peu importe ici. La mise en scène brille également par son intensité s’appuyant sur un rendu quasi onirique des scènes de souvenirs, des effts spéciaux efficaces et des décors au design élégant.
Anna Galvin (Reya) va également participer à Stargate Atlantis et Stargate Universe. Elle joue dans de nombreuses séries relevant de la Science-fiction ou du Fantastique (Carprica, Supernatural, Smallville…)
Aucune Porte de Etoiles n’est vue au cours de l’épisode.
La jeune fille jouant au frisbee durant la scène où Mitchell discute avec son père est Tatiana, fille de Michael Shanks.
L’épisode est dédié à Jeff Upton, l’un des responsables des éclairages de la série, décédé le 15 juillet 2005.
Le titre de travail de l’épisode est Remembrance of Things Past.
- I read your report. Not sure I've seen language like that used in an official Air Force document before.
- Sorry about that, sir.
- Oh, you should have seen what Colonel Carter and Dr. Jackson wrote.
Sur un monde protégé par les Asgards, SG-1 négocie un échange de technologie contre un appareil pouvant manipuler la mémoire, à des fins éducatives. Mitchell passe la nuit avec la responsable scientifique du projet, Reya. Au matin, Il se réveille avec le souvenir d’avoir assassiné celle-ci et découvre son cadavre. SG-1 devine que la mémoire et commence à étudier la mémoire de ce dernier, avec l’aide de deux collègues de Reya.
Comme souvent, le duo Mallozzi & Mullie séduit par la singularité de son propos. Chère au grand écrivain Philip K. Dick (on songe parfois ici aux meilleurs aspects de Total Recall), la thématique du simulacre mémoriel a été très peu usité jusqu’ici dans la série ; La diabolique mécanique du scénario expose brillamment les aspects énigmatiques et déstabilisant. Les auteurs ont la bonne idée de nous faire vivre pleinement le récit du point de vue de Mitchell, partageant ainsi son angoisse et ses déchirements, amis aussi son attachement à la rectitude morale comme phare dans la nuit. L’intrigue permet également de compléter le portait du colonel, en révélant les moments les plus marquants de son parcours antérieur au Programme Stargate. Ben Bowder effectue une superbe prestation, d’une impressionnante expressivité.
L’acteur forme un duo convaincant avec la charmante et très douée Anna Galvin, apportant un indispensable versant humain et émotionnel à ce qui demeurerait sinon un exposé clinique. Elément relativement rare au sein de la série, l’intrigue policière se montre cette fois d’une grande efficacité, implacable dans son déroulement tout en ménageant de tonitruants retournements de situation. Le twist final relatif à l’identité du véritable meurtrier est fort joliment amené rejoignant là aussi les simulacres de Dick. Comme dirigeant que l’on suspecte d’emblée, William Atherton réalise d’ailleurs une composition sans défaut. Hormis Sam, le reste de SG-1 reste assez en retrait, peu importe ici. La mise en scène brille également par son intensité s’appuyant sur un rendu quasi onirique des scènes de souvenirs, des effts spéciaux efficaces et des décors au design élégant.
Anna Galvin (Reya) va également participer à Stargate Atlantis et Stargate Universe. Elle joue dans de nombreuses séries relevant de la Science-fiction ou du Fantastique (Carprica, Supernatural, Smallville…)
Aucune Porte de Etoiles n’est vue au cours de l’épisode.
La jeune fille jouant au frisbee durant la scène où Mitchell discute avec son père est Tatiana, fille de Michael Shanks.
L’épisode est dédié à Jeff Upton, l’un des responsables des éclairages de la série, décédé le 15 juillet 2005.
Le titre de travail de l’épisode est Remembrance of Things Past.
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Estuaire44 a écrit:Mitchell passe la nuit avec la responsable scientifique du projet, Reya. Au matin, Il se réveille avec le souvenir d’avoir assassiné celle-ci et découvre son cadavre.
C'est quasiment le synopsis de l'Avatar des X-Files que je lis (où figurait par hasard une certaine Amanda Tapping).
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Re: Série "Stargate - SG1" (2)
Bien vu ! C'est très vrai, même si je ne me souviens pas que Skinner avait de faux souvenirs. Mais les souvenirs sont trompeurs.
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