Série "Kojak"
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Re: Série "Kojak"
En 1975, Kojak était une série que j'aimais, mais plusieurs de celles que je plaçais devant comme "Mannix", "Le Saint", "L'homme de fer", "Opération vol", se retrouvent aujourd'hui loin derrière. Kojak comme "Columbo", a bien vieilli. J'ai une bonne partie de la série mais en VHS, lors des rediffusions le dimanche soir sur TMC il y a quelques années (vers 2003-2004).
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Ce n'était pas, et de loin, une de mes séries préférées dans les années 70 et même lors des rediffusions. C'est vrai qu'elle a vieilli mais beaucoup moins que certaines en effet.Patricks a écrit:En 1975, Kojak était une série que j'aimais, mais plusieurs de celles que je plaçais devant comme "Mannix", "Le Saint", "L'homme de fer", "Opération vol", se retrouvent aujourd'hui loin derrière. Kojak comme "Columbo", a bien vieilli. J'ai une bonne partie de la série mais en VHS, lors des rediffusions le dimanche soir sur TMC il y a quelques années (vers 2003-2004).
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Peut etre que Mannix ou le Saint se voulaient a l'époque plus "moderne" que Kojak.
Les séries qui se veulent super dans le vent au moment de leurs diffusion sont celles qui vieillissent le plus mal.
Moi c'est pareil. je preferais Mannix, et a presént je prefere Kojak.
Les séries qui se veulent super dans le vent au moment de leurs diffusion sont celles qui vieillissent le plus mal.
Moi c'est pareil. je preferais Mannix, et a presént je prefere Kojak.
alonzo2309- Vicomte(sse)
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Date d'inscription : 12/01/2011
Re: Série "Kojak"
20 Elegy in an Asphalt Graveyard - Vengeance de femme. §§§§
Kojak est affecté par la mort d’une connaissance, une call-girl retrouvée pendue dans son salon. Il ne fait aucun doute pour le lieutenant qu’il s’agit d’un meurtre.
Cet épisode au rythme lent et pesant a la particularité de faire découvrir le lieutenant Theo Kojak sous des aspects rarement explorés dans la série jusqu’à présent. La singularité de l’épisode est soulignée par l’interprétation de Telly Savalas d’une chanson post-générique qui démontre des talents qui n’ont rien à envier aux meilleurs crooners. Le policier est attristé par le décès d’Azure Dee qu’il connaissait depuis six ans et on assiste à une belle performance de l’acteur qui dépeint son personnage sous un angle différent de l’accoutumée : Kojak tance Weaver et Stavros sur leurs résultats mais son visage se ferme soudainement et devient grave à la vue du nom de la personne décédée : ‘Are you sure about this name ?’. Dans l’appartement de la jeune femme, le policier porte la victime, la place sur le canapé et la rechausse puis, dans la séquence suivante, il reconnaît son erreur après avoir suspecté Billy Jo, un livreur, l’ancien petit ami de Dee. Kojak est interpellé par le changement de vie d’Azure Dee, une call-girl sélective qui côtoyait le luxe et avait deux amants : un d’âge mur et un autre beaucoup plus jeune. Les deux tueurs ont effacé toute trace du meurtre, qui devait passer pour un suicide, mais ils n’ont pas pris le courrier du jour dont la facture téléphonique qui s’avère instructive. L’enquête mène alors Kojak à un couple de notables,Tyler et Regina Meadows, et, plus tard, au frère de Tyler qui allait épouser Azure Dee. Sans savoir le mobile de l’assassinat, le spectateur connaît le méchant très tôt et, lors de la première scène du couple Meadows, une altercation s’achève par une gifle et un ‘You bastard’ de Madame ! De son coté, Billy Jo est revanchard mais il ne sert qu’à brouiller les pistes du scénario (et à proposer la seule séquence d’action de l’épisode) car le lieutenant découvre surtout la liaison antérieure de la jeune femme avec un juge qui met fin à ses jours en apprenant la nouvelle. Les pièces du puzzle se placent lentement lorsque Kojak apprend que Tyler Meadows avait fait chanter le juge pour qu’il intervienne favorablement sur une affaire de société. Comment Tyler pouvait-il ensuite empêcher son frère d’épouser la call-girl, qui fut également sa maitresse, au risque qu’elle révèle toute l’histoire ? Le policier sait mais n’a pas de preuve et le seul recours du lieutenant se trouve… dans le titre français. Deux points négatifs sont néanmoins à relever dans l’épisode ; le mauvais casting qui fait passer le frère de Tyler pour son fils et l’idée saugrenue qui amène Kojak à faire analyser les coussins du canapé (et prouvera que Dee a été étouffée avant d’être pendue). C’est un très bon épisode noir à l’aspect inhabituel et sans scène d’action spectaculaire mais le meurtre sauvage d’une connaissance implique personnellement Kojak, flic jusqu’alors apparemment insensible. Le début est parfait- la chanson de Telly Savalas sur fond d’images by night de quartiers chauds new-yorkais, les deux tueurs aux chapeaux en caméra subjective dans l’appartement d’Azure Dee sur une musique de Vivaldi et l’arrivée de Kojak sur les lieux du drame. La suite est intéressante et comporte même des passages mémorables, comme l’échange entre Kojak et O’Malley cité ci-dessous, et l’absence d’action ne pénalise pas une intrigue mystérieuse qui se conclut, une fois n’est pas coutume, par un final à la Poirot.
- Telly Savalas interprète la superbe chanson Azure Dee au début et à la fin de l’épisode. Les paroles sont de James McAdams et la musique de John Cacavas.
- Christian Nyby (1913-1993) a réalisé un autre excellent épisode de la série, A Killing in the Second House, également de la seconde saison.
- Denyce Liston, qui interprète brièvement Azure Dee, jouera dans deux autres épisodes de la série.
- Kojak à Weaver devant le corps pendu :’Cut her down’.
- Kojak, alors que Billy Jo s’enfuit en le voyant : ’That’s a hell of a welcome !’.
- O’Malley, le gardien de la résidence, a beaucoup d’estime pour la décédée et il essaie de relativiser les agissements de la dame :’Miss Dee would entertain occasionally.’ [Miss Dee divertissait occasionnellement]. Kojak: ’You mean she was turning tricks’ [Vous voulez dire qu’elle faisait le tapin] ce que réfute O’Malley: ‘Not as bad as you think. She was not a common call-girl’. [Ce n’est pas ce que vous pensez, elle n’était pas une call-girl ordinaire.]
- La Buick est marron dans l’insert de l’autoroute lorsque Kojak se rend chez les Meadows mais elle est noire lorsque le policier se gare devant la demeure.
- Il y a de la neige lorsque Kojak arrive à pied chez le juge Lavery ; une excellente scène entre les deux protagonistes dans laquelle le lieutenant montre qu’il veut la vérité à tout prix : ‘I don’t care for my badge. I don’t care for my pension.’ L’épisode fut tourné pendant l’hiver 74-75.
Kojak est affecté par la mort d’une connaissance, une call-girl retrouvée pendue dans son salon. Il ne fait aucun doute pour le lieutenant qu’il s’agit d’un meurtre.
Cet épisode au rythme lent et pesant a la particularité de faire découvrir le lieutenant Theo Kojak sous des aspects rarement explorés dans la série jusqu’à présent. La singularité de l’épisode est soulignée par l’interprétation de Telly Savalas d’une chanson post-générique qui démontre des talents qui n’ont rien à envier aux meilleurs crooners. Le policier est attristé par le décès d’Azure Dee qu’il connaissait depuis six ans et on assiste à une belle performance de l’acteur qui dépeint son personnage sous un angle différent de l’accoutumée : Kojak tance Weaver et Stavros sur leurs résultats mais son visage se ferme soudainement et devient grave à la vue du nom de la personne décédée : ‘Are you sure about this name ?’. Dans l’appartement de la jeune femme, le policier porte la victime, la place sur le canapé et la rechausse puis, dans la séquence suivante, il reconnaît son erreur après avoir suspecté Billy Jo, un livreur, l’ancien petit ami de Dee. Kojak est interpellé par le changement de vie d’Azure Dee, une call-girl sélective qui côtoyait le luxe et avait deux amants : un d’âge mur et un autre beaucoup plus jeune. Les deux tueurs ont effacé toute trace du meurtre, qui devait passer pour un suicide, mais ils n’ont pas pris le courrier du jour dont la facture téléphonique qui s’avère instructive. L’enquête mène alors Kojak à un couple de notables,Tyler et Regina Meadows, et, plus tard, au frère de Tyler qui allait épouser Azure Dee. Sans savoir le mobile de l’assassinat, le spectateur connaît le méchant très tôt et, lors de la première scène du couple Meadows, une altercation s’achève par une gifle et un ‘You bastard’ de Madame ! De son coté, Billy Jo est revanchard mais il ne sert qu’à brouiller les pistes du scénario (et à proposer la seule séquence d’action de l’épisode) car le lieutenant découvre surtout la liaison antérieure de la jeune femme avec un juge qui met fin à ses jours en apprenant la nouvelle. Les pièces du puzzle se placent lentement lorsque Kojak apprend que Tyler Meadows avait fait chanter le juge pour qu’il intervienne favorablement sur une affaire de société. Comment Tyler pouvait-il ensuite empêcher son frère d’épouser la call-girl, qui fut également sa maitresse, au risque qu’elle révèle toute l’histoire ? Le policier sait mais n’a pas de preuve et le seul recours du lieutenant se trouve… dans le titre français. Deux points négatifs sont néanmoins à relever dans l’épisode ; le mauvais casting qui fait passer le frère de Tyler pour son fils et l’idée saugrenue qui amène Kojak à faire analyser les coussins du canapé (et prouvera que Dee a été étouffée avant d’être pendue). C’est un très bon épisode noir à l’aspect inhabituel et sans scène d’action spectaculaire mais le meurtre sauvage d’une connaissance implique personnellement Kojak, flic jusqu’alors apparemment insensible. Le début est parfait- la chanson de Telly Savalas sur fond d’images by night de quartiers chauds new-yorkais, les deux tueurs aux chapeaux en caméra subjective dans l’appartement d’Azure Dee sur une musique de Vivaldi et l’arrivée de Kojak sur les lieux du drame. La suite est intéressante et comporte même des passages mémorables, comme l’échange entre Kojak et O’Malley cité ci-dessous, et l’absence d’action ne pénalise pas une intrigue mystérieuse qui se conclut, une fois n’est pas coutume, par un final à la Poirot.
- Telly Savalas interprète la superbe chanson Azure Dee au début et à la fin de l’épisode. Les paroles sont de James McAdams et la musique de John Cacavas.
- Christian Nyby (1913-1993) a réalisé un autre excellent épisode de la série, A Killing in the Second House, également de la seconde saison.
- Denyce Liston, qui interprète brièvement Azure Dee, jouera dans deux autres épisodes de la série.
- Kojak à Weaver devant le corps pendu :’Cut her down’.
- Kojak, alors que Billy Jo s’enfuit en le voyant : ’That’s a hell of a welcome !’.
- O’Malley, le gardien de la résidence, a beaucoup d’estime pour la décédée et il essaie de relativiser les agissements de la dame :’Miss Dee would entertain occasionally.’ [Miss Dee divertissait occasionnellement]. Kojak: ’You mean she was turning tricks’ [Vous voulez dire qu’elle faisait le tapin] ce que réfute O’Malley: ‘Not as bad as you think. She was not a common call-girl’. [Ce n’est pas ce que vous pensez, elle n’était pas une call-girl ordinaire.]
- La Buick est marron dans l’insert de l’autoroute lorsque Kojak se rend chez les Meadows mais elle est noire lorsque le policier se gare devant la demeure.
- Il y a de la neige lorsque Kojak arrive à pied chez le juge Lavery ; une excellente scène entre les deux protagonistes dans laquelle le lieutenant montre qu’il veut la vérité à tout prix : ‘I don’t care for my badge. I don’t care for my pension.’ L’épisode fut tourné pendant l’hiver 74-75.
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
21 The Goodluck Bomber- Le poseur de bombes. §
Un poseur de bombes met en échec la police new-yorkaise et Kojak requiert l’aide d’un ancien artificier criminel mais lorsque ce dernier demande un million de dollars, le lieutenant sent qu’il y a anguille sous roche.
Quelque soit la série, en regardant certains épisodes, on se demande parfois pourquoi les producteurs ont accepté que des histoires insignifiantes gâchent l’ensemble d’une saison. Inévitablement pour faire le chiffre et c’est le cas avec cette intrigue soporifique de poseur de bombes dont les engins ne peuvent être désamorcés. Cela n’a rien à voir avec l’excellent Dynamo-thérapie de la première saison et c’est dû à plusieurs raisons. D’abord, l’absence de suspense et les longues séances de déminage ennuyeuses et sans intérêt et, surtout, le méchant d’alors, Danny Zucco (superbement interprété par Steven Keats), avait de la consistance contrairement à Joe Milner qui est ici le pâlot Richard Bradford, qui est bien l’homme d’un rôle. Il est méconnaissable avec une moustache et une bonne dizaine de kilos en plus et son jeu est insipide. Entre les interminables séquences de déminage – la seconde dure près de sept minutes et elle constitue le passage le plus pénible de la série jusqu’à présent-, il y a peu de places pour des scènes intéressantes. Tout est prévisible car on se doute dès le début que Milner/Bradford est le coupable et l’utilisation de montres rares dans le mécanisme de chaque bombe permet à Kojak de faire le lien avec le criminel. Le seul bon point de l’épisode est la façon avec laquelle Kojak amène Milner à se découvrir, à minimiser son importance et à l’inciter à se rendre à Staten Island où il a placé son cinquième et dernier engin diabolique. Très peu pour un épisode ; à ne voir qu’une fois et à oublier…
- Jack Ging (1931), le lieutenant Becker, est présent dans quelques Clint Eastwood dans de petits rôles : Pendez-les haut et court, Un frisson dans la nuit, L’homme des hautes plaines. Il est aussi le lieutenant Dan Ives dans 8 Mannix.
- Richard Bradford (1937), Joe Milner, est McGill dans les 30 épisodes de L’homme à la valise en 1967-68.
Un poseur de bombes met en échec la police new-yorkaise et Kojak requiert l’aide d’un ancien artificier criminel mais lorsque ce dernier demande un million de dollars, le lieutenant sent qu’il y a anguille sous roche.
Quelque soit la série, en regardant certains épisodes, on se demande parfois pourquoi les producteurs ont accepté que des histoires insignifiantes gâchent l’ensemble d’une saison. Inévitablement pour faire le chiffre et c’est le cas avec cette intrigue soporifique de poseur de bombes dont les engins ne peuvent être désamorcés. Cela n’a rien à voir avec l’excellent Dynamo-thérapie de la première saison et c’est dû à plusieurs raisons. D’abord, l’absence de suspense et les longues séances de déminage ennuyeuses et sans intérêt et, surtout, le méchant d’alors, Danny Zucco (superbement interprété par Steven Keats), avait de la consistance contrairement à Joe Milner qui est ici le pâlot Richard Bradford, qui est bien l’homme d’un rôle. Il est méconnaissable avec une moustache et une bonne dizaine de kilos en plus et son jeu est insipide. Entre les interminables séquences de déminage – la seconde dure près de sept minutes et elle constitue le passage le plus pénible de la série jusqu’à présent-, il y a peu de places pour des scènes intéressantes. Tout est prévisible car on se doute dès le début que Milner/Bradford est le coupable et l’utilisation de montres rares dans le mécanisme de chaque bombe permet à Kojak de faire le lien avec le criminel. Le seul bon point de l’épisode est la façon avec laquelle Kojak amène Milner à se découvrir, à minimiser son importance et à l’inciter à se rendre à Staten Island où il a placé son cinquième et dernier engin diabolique. Très peu pour un épisode ; à ne voir qu’une fois et à oublier…
- Jack Ging (1931), le lieutenant Becker, est présent dans quelques Clint Eastwood dans de petits rôles : Pendez-les haut et court, Un frisson dans la nuit, L’homme des hautes plaines. Il est aussi le lieutenant Dan Ives dans 8 Mannix.
- Richard Bradford (1937), Joe Milner, est McGill dans les 30 épisodes de L’homme à la valise en 1967-68.
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
22 Unwanted Partners - Partenaires indésirables. §§§
Crocker doute qu’un ami d’enfance soit impliqué dans un racket de boites de nuit et la mort d’un homme.
Cet épisode marque le début d'une certaine mise en relief des personnages constants de la série ; cette fois-ci, il s’agit de Crocker mais il ne sera pas le seul de la fin de saison. Un employé est assassiné lors d’une tentative de racket d’une boite de nuit et Kojak apprend par un de ses indics qu’un ami d’enfance de Crocker est dans le coup. Le détective Valano refait une apparition surprenante après un an d’absence. Infiltré pour démanteler la vague de rackets, il renseigne le lieutenant mais la rencontre avec Kojak du début de l’épisode interpelle : dans quelle enquête ce personnage a-t-il participé ? Benny Mareno, le copain de collège de Crocker et ancien repris de justice, est surveillé par les inspecteurs et le groupe de truands auquel il appartient est finalement lâché par Arnie, leur patron, l’oncle de Benny, qui les considère ‘grillés’. L’intrigue est axée sur les rapports Crocker/Mareno et leur copine commune, devenue la femme du gangster, et il n’y a pas d’enquête à proprement parler, seulement des filatures. Crocker admet difficilement que son ami est irrécupérable mais il obtient néanmoins de son chef d’essayer de le capturer vivant. L’histoire est intense et captivante et elle ne comporte pas de passage larmoyant généralement associé à ce genre de situation. Comme tous bons épisodes, les répliques acerbes de Kojak font mouche ; la séquence initiale, où il remet en place Grubert, le propriétaire du night-club, qui vient d’apostropher Crocker par ‘kid’, est croustillante. Quelques autres scènes se détachent dans une solide histoire policière jouée par des acteurs convaincants : le double jeu de Grubert, qui débranche les écoutes et permet à Arnie de s’en tirer en contrepartie de son témoignage, et le final tragique mais prévisible où Valano abat Mareno en légitime défense.
- Une bonne histoire pour cet épisode mais ce n’est pas étonnant car le scénariste est Burton Armus. Il était détective dans le Bronx lorsque Telly Savalas l’engagea comme conseiller technique pour la série ce qu’il fit pour 93 épisodes. Il a parfois un petit rôle (‘himself’ au générique). Il fut également scénariste et producteur pour d’autres séries et il fut nominé plusieurs fois pour NYPD Blue.
- Brad Dexter (1917-2002), Arnie, était l'un des 7 mercenaires dans le film de John Sturges en 1960. Il aimait dire à ce propos qu’il était le mercenaire que personne ne se souvenait. Il sauva Frank Sinatra de la noyade sur le tournage de L’île des braves. Dexter reçut la Red Cross pour bravoure mais Sinatra coupa les ponts avec Dexter lorsque celui-ci lui conseilla de ne pas épouser Mia Farrow, alors âgée de 20 ans.
- Michael Delano (1940) reprend le rôle du détective Valano qu’il tient dans l’épisode Dark Sunday de la première saison. Il a joué un rôle différent dans un autre épisode, One for the Morgue.
- Richard Karlan (1919-2004) est déjà le capitaine qui s’oppose verbalement à Kojak dans The Best War in Town. Il a joué de nombreux petits rôles ; entre autres dans quatre épisodes des Incorruptibles et trois de Kojak.
- La chanson du début d’épisode dans la discothèque s’intitule Born To Be Wild, paroles et musique de Mars Bonfire. Cette chanson, écrite par Mars Bonfire en 1968, rendit célèbre le groupe de rock canadien Steppenwolf. Elle est souvent utilisée dans la culture populaire comme chanson de référence aux bikers. Cette chanson est considérée comme ayant inspiré le nom du genre heavy metal. En effet le second couplet de la chanson mentionne le « heavy metal thunder » (« lourd tonnerre métallique ») en parlant du bruit des moteurs de motos, première référence écrite au « heavy metal ». (Source : Wikipedia).
https://www.youtube.com/watch?v=_Bjtr2Dq-pA
- Kojak à Stavros qui rentre dans le bureau avec un café : ‘I didn’t ask for coffee’. A la réponse de Stavros : ’It’s mine’, Kojak s’exclame : ‘You selfish beast !’.
- Kojak à Grubert en prenant sa licence encadrée : ‘The glass is a little dusty. Do you mind if I remove it?’ [La glace est un peu poussiéreuse. Ca vous dérange si je la retire?] Et Kojak casse la vitre du cadre sur le comptoir.
- McNeil fait allusion à sa femme, Lillian ; une sorte d’anticipation pour un prochain épisode….
Crocker doute qu’un ami d’enfance soit impliqué dans un racket de boites de nuit et la mort d’un homme.
Cet épisode marque le début d'une certaine mise en relief des personnages constants de la série ; cette fois-ci, il s’agit de Crocker mais il ne sera pas le seul de la fin de saison. Un employé est assassiné lors d’une tentative de racket d’une boite de nuit et Kojak apprend par un de ses indics qu’un ami d’enfance de Crocker est dans le coup. Le détective Valano refait une apparition surprenante après un an d’absence. Infiltré pour démanteler la vague de rackets, il renseigne le lieutenant mais la rencontre avec Kojak du début de l’épisode interpelle : dans quelle enquête ce personnage a-t-il participé ? Benny Mareno, le copain de collège de Crocker et ancien repris de justice, est surveillé par les inspecteurs et le groupe de truands auquel il appartient est finalement lâché par Arnie, leur patron, l’oncle de Benny, qui les considère ‘grillés’. L’intrigue est axée sur les rapports Crocker/Mareno et leur copine commune, devenue la femme du gangster, et il n’y a pas d’enquête à proprement parler, seulement des filatures. Crocker admet difficilement que son ami est irrécupérable mais il obtient néanmoins de son chef d’essayer de le capturer vivant. L’histoire est intense et captivante et elle ne comporte pas de passage larmoyant généralement associé à ce genre de situation. Comme tous bons épisodes, les répliques acerbes de Kojak font mouche ; la séquence initiale, où il remet en place Grubert, le propriétaire du night-club, qui vient d’apostropher Crocker par ‘kid’, est croustillante. Quelques autres scènes se détachent dans une solide histoire policière jouée par des acteurs convaincants : le double jeu de Grubert, qui débranche les écoutes et permet à Arnie de s’en tirer en contrepartie de son témoignage, et le final tragique mais prévisible où Valano abat Mareno en légitime défense.
- Une bonne histoire pour cet épisode mais ce n’est pas étonnant car le scénariste est Burton Armus. Il était détective dans le Bronx lorsque Telly Savalas l’engagea comme conseiller technique pour la série ce qu’il fit pour 93 épisodes. Il a parfois un petit rôle (‘himself’ au générique). Il fut également scénariste et producteur pour d’autres séries et il fut nominé plusieurs fois pour NYPD Blue.
- Brad Dexter (1917-2002), Arnie, était l'un des 7 mercenaires dans le film de John Sturges en 1960. Il aimait dire à ce propos qu’il était le mercenaire que personne ne se souvenait. Il sauva Frank Sinatra de la noyade sur le tournage de L’île des braves. Dexter reçut la Red Cross pour bravoure mais Sinatra coupa les ponts avec Dexter lorsque celui-ci lui conseilla de ne pas épouser Mia Farrow, alors âgée de 20 ans.
- Michael Delano (1940) reprend le rôle du détective Valano qu’il tient dans l’épisode Dark Sunday de la première saison. Il a joué un rôle différent dans un autre épisode, One for the Morgue.
- Richard Karlan (1919-2004) est déjà le capitaine qui s’oppose verbalement à Kojak dans The Best War in Town. Il a joué de nombreux petits rôles ; entre autres dans quatre épisodes des Incorruptibles et trois de Kojak.
- La chanson du début d’épisode dans la discothèque s’intitule Born To Be Wild, paroles et musique de Mars Bonfire. Cette chanson, écrite par Mars Bonfire en 1968, rendit célèbre le groupe de rock canadien Steppenwolf. Elle est souvent utilisée dans la culture populaire comme chanson de référence aux bikers. Cette chanson est considérée comme ayant inspiré le nom du genre heavy metal. En effet le second couplet de la chanson mentionne le « heavy metal thunder » (« lourd tonnerre métallique ») en parlant du bruit des moteurs de motos, première référence écrite au « heavy metal ». (Source : Wikipedia).
https://www.youtube.com/watch?v=_Bjtr2Dq-pA
- Kojak à Stavros qui rentre dans le bureau avec un café : ‘I didn’t ask for coffee’. A la réponse de Stavros : ’It’s mine’, Kojak s’exclame : ‘You selfish beast !’.
- Kojak à Grubert en prenant sa licence encadrée : ‘The glass is a little dusty. Do you mind if I remove it?’ [La glace est un peu poussiéreuse. Ca vous dérange si je la retire?] Et Kojak casse la vitre du cadre sur le comptoir.
- McNeil fait allusion à sa femme, Lillian ; une sorte d’anticipation pour un prochain épisode….
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Re: Série "Kojak"
23 Two-Four-Six for Two Hundred – Quiproquo. §§
Le vol d’un camion de peinture dans un entrepôt amène Kojak à s’intéresser à deux gangsters qui ont projeté de piller la chambre forte d’un hôtel.
L’histoire de ce casse est assez banale et son originalité réside dans trois facteurs ; le vol d’un camion qui appartient à une entreprise qui ne travaille que la nuit, un code très énigmatique et la fête de la St Patrick’s, qui trouve son importance dans le dénouement. La séquence initiale est la seule scène d’action de l’épisode ; le duo Stavros/Saperstein s’y comporte comme des pieds nickelés et ils sont à deux doigts d’être suspendus ; on n’est guère surpris vu les gaffes accumulées par Stavros depuis presque deux saisons ! L’arrestation du truand Pataki à l’entrepôt n’empêche pas que le camion convoité soit volé peu après malgré l’intervention de Crocker. Kojak n’a qu’une suite de chiffres entendue sur place comme piste mais l’enquête s’oriente vers deux gangsters chevronnés, Cassidy York et Harry Collins. Le premier est rusé et intelligent, le second rustre et violent. Ils ont planifié de grimer une équipe de truands en peintres pour obtenir l’accès au coffre d’un hôtel select. Quelques éléments de l’intrigue sont un peu ‘gros’ ; Cassidy York joue l’avocat de Pataki et lui explique, entre quatre yeux, dans le bureau de Kojak, ce qui va se passer et, dans un autre passage, York place sa charge d’explosifs très facilement sur le coffre de l’hôtel. Une histoire trop classique qui se démarque du ‘maintes-fois-déjà-vu’ par la découverte du code (numéros de chambres) et la dernière scène de la banderole mais l’épisode est mineur et il ne reste pas dans les mémoires.
- La fête de la Saint-Patrick ou fête nationale irlandaise est une fête chrétienne (catholique) qui célèbre, le 17 mars, saint Patrick, le saint patron de l’Irlande. New York abrite la plus grande parade pour la Saint-Patrick, avec plus de deux millions de spectateurs sur la Cinquième Avenue, devant les tours du sanctuaire dédié à Saint-Patrick, construit au XIXe siècle dans le style flamboyant. Les premières manifestations de la Saint-Patrick à New York remontent à 1762, quand les soldats irlandais défilèrent dans la ville le 17 mars. (Source : Wikipedia). Sur la banderole, on peut lire : ‘Erin Go Bragh’, une allégeance à l’Irlande.
- Beaucoup de plans de New-York, du World Trade Center et, surtout, des sirènes de voitures de police ‘meublent’ l’épisode (‘Estimated time of arrival : two minutes’).
- George Loros (1944), Corso, est le tueur de Mauvaises actions, également de la seconde saison.
- Après leur gaffe, McNeil ordonne à Stavros et Saperstein d’être en uniforme à sept heures du matin pour la St Patrick’s car il y a un manque de policiers sur place. Saperstein rétorque qu’il est juif mais McNeil lui répond :’So was the mayor of Dublin !’. Pas certain que cela passerait de nos jours…Lors de la dernière réplique, McNeil propose la même chose au lieutenant qui esquive :’I’m not Irish. I don’t even look Irish. Do I?’[Je ne suis pas irlandais et je n’ai même pas l’air irlandais !]
- Les décors de l’entrepôt sont ceux utilisés pour l’épisode Dark Sunday de la première saison, également une histoire contant un vol (d’armes de la police).
Le vol d’un camion de peinture dans un entrepôt amène Kojak à s’intéresser à deux gangsters qui ont projeté de piller la chambre forte d’un hôtel.
L’histoire de ce casse est assez banale et son originalité réside dans trois facteurs ; le vol d’un camion qui appartient à une entreprise qui ne travaille que la nuit, un code très énigmatique et la fête de la St Patrick’s, qui trouve son importance dans le dénouement. La séquence initiale est la seule scène d’action de l’épisode ; le duo Stavros/Saperstein s’y comporte comme des pieds nickelés et ils sont à deux doigts d’être suspendus ; on n’est guère surpris vu les gaffes accumulées par Stavros depuis presque deux saisons ! L’arrestation du truand Pataki à l’entrepôt n’empêche pas que le camion convoité soit volé peu après malgré l’intervention de Crocker. Kojak n’a qu’une suite de chiffres entendue sur place comme piste mais l’enquête s’oriente vers deux gangsters chevronnés, Cassidy York et Harry Collins. Le premier est rusé et intelligent, le second rustre et violent. Ils ont planifié de grimer une équipe de truands en peintres pour obtenir l’accès au coffre d’un hôtel select. Quelques éléments de l’intrigue sont un peu ‘gros’ ; Cassidy York joue l’avocat de Pataki et lui explique, entre quatre yeux, dans le bureau de Kojak, ce qui va se passer et, dans un autre passage, York place sa charge d’explosifs très facilement sur le coffre de l’hôtel. Une histoire trop classique qui se démarque du ‘maintes-fois-déjà-vu’ par la découverte du code (numéros de chambres) et la dernière scène de la banderole mais l’épisode est mineur et il ne reste pas dans les mémoires.
- La fête de la Saint-Patrick ou fête nationale irlandaise est une fête chrétienne (catholique) qui célèbre, le 17 mars, saint Patrick, le saint patron de l’Irlande. New York abrite la plus grande parade pour la Saint-Patrick, avec plus de deux millions de spectateurs sur la Cinquième Avenue, devant les tours du sanctuaire dédié à Saint-Patrick, construit au XIXe siècle dans le style flamboyant. Les premières manifestations de la Saint-Patrick à New York remontent à 1762, quand les soldats irlandais défilèrent dans la ville le 17 mars. (Source : Wikipedia). Sur la banderole, on peut lire : ‘Erin Go Bragh’, une allégeance à l’Irlande.
- Beaucoup de plans de New-York, du World Trade Center et, surtout, des sirènes de voitures de police ‘meublent’ l’épisode (‘Estimated time of arrival : two minutes’).
- George Loros (1944), Corso, est le tueur de Mauvaises actions, également de la seconde saison.
- Après leur gaffe, McNeil ordonne à Stavros et Saperstein d’être en uniforme à sept heures du matin pour la St Patrick’s car il y a un manque de policiers sur place. Saperstein rétorque qu’il est juif mais McNeil lui répond :’So was the mayor of Dublin !’. Pas certain que cela passerait de nos jours…Lors de la dernière réplique, McNeil propose la même chose au lieutenant qui esquive :’I’m not Irish. I don’t even look Irish. Do I?’[Je ne suis pas irlandais et je n’ai même pas l’air irlandais !]
- Les décors de l’entrepôt sont ceux utilisés pour l’épisode Dark Sunday de la première saison, également une histoire contant un vol (d’armes de la police).
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
La première partie de la saison 3 sort en France chez Elephant le 22 février 2012, toujours au prix d’une saison entière dans les autres pays ! (30€)
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Pour les anglophones, il est conseillé d'acheter la version US pratiquement au même prix mais... remasterisée et complète ! Sortie le 20 mars 2012.
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Décès de Dan Frazer ce 16 décembre, à l'âge de 90 ans. Cet acteur avait particpé à de nombreuses séries, mais était surtout remémoré pour le rôle du Capitaine Frank McNeil, le supérieur de Kojak.
http://www.nytimes.com/2011/12/20/arts/television/dan-frazer-fretful-supervisor-on-kojak-dies-at-90.html
http://www.nytimes.com/2011/12/20/arts/television/dan-frazer-fretful-supervisor-on-kojak-dies-at-90.html
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Kojak"
Quel hasard ! J'ai vu un épisode ce matin et je me demandais quel âge pouvait avoir maintenant Dan Frazer ! Quelle ironie du sort. A part ce rôle de McNeil, Dan Frazer, décrit par Burton Armus, le conseiller technique de la série comme un grand professionnel (traduction de l'interview très intéressante sous peu), avait un rôle de gangster dans un épisode des Incorruptibles.
Merci du lien, Estuaire.
Merci du lien, Estuaire.
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
En hommage à Dan Fraser (1921-2011)
24 The Trade-Off - C'est ma femme, Theo! §§
La femme du capitaine McNeil est kidnappée pour forcer Kojak à l’échanger contre les preuves qui impliquent un gangster dans un trafic de cocaïne.
Après Crocker, c’est au tour de McNeil d’être sur le devant de la scène dans un épisode distrayant qui sent néanmoins la fin de saison. Il n’y a pas de temps mort ni de passage ‘bouche-trou’ malgré la présence de la femme de McNeil. Après huit ans de surveillance, Manny Steiner est enfin arrêté pour trafic de cocaïne dans une longue et bonne séquence introductive dans laquelle Kojak prend plaisir à titiller le gangster : ‘It looks like smack !’. L’enlèvement rapide limite à une seule scène la présence de Lillian McNeil et c’est tant mieux ! Le lieutenant n’est pas en service lorsqu’il reçoit l’appel des ravisseurs et il tente de gérer la crise sans en avertir ses inspecteurs ni, bien entendu, le capitaine. Le deal est un échange de Lillian McNeil contre les preuves du trafic de Steiner. Kojak cherche seul et, préoccupé, il délègue les taches subalternes à des inspecteurs désorientés et c’est au sergent Vine qu’il va se confier. Une séquence bizarre car on ne sent pas Kojak s’en remette au jugement d’un de ses hommes. En tout cas, Vine, absent de toute la saison, fait nettement de l’ombre à Crocker, relégué au niveau de Stavros et Saperstein dans cette aventure. McNeil aperçoit le mot de sa femme dans la main de Kojak (superbement bien joué) et la fin s’emballe par la découverte de l’indice astucieux sur l’enveloppe (‘Follow the instructions to the letter’) et la filature du truand travesti en blonde ! C’est en définitive une histoire correcte avec des personnages intéressants, en particulier les deux méchants, Manny, le gangster dandy, et Blaise, l’homme de main moustachu aux basses besognes.
- Première apparition dans la seconde saison du sergent Al Vine interprété par Bruce Kirby. Il est présent dans six épisodes dont trois de la première saison. Kirby est aussi un sergent dans le pilote, The Marcus-Nelson Murders. Il est aussi le…sergent George Kramer dans six épisodes deColumbo.
- Jean Le Bouvier (1920-1983) n’a fait qu’une seule apparition dans le rôle de Mrs Lillian McNeil. Comme dirait McNeil : ‘She’s going to drive me bananas’ [Elle va me rendre fou.] Peut-être un jeu de mots car en 1971, Fraser a participé au film Bananas de Woody Allen, effectivement passablement allumé !
- On apprend que les McNeil sont mariés depuis vingt-deux ans. C’était la même chose pour Dan Frazer, décédé récemment le 16 décembre 2011. Il avait épousé Lillian Lee, même prénom que dans l’épisode, en 1943 et ils étaient restés ensemble jusqu’à la mort de celle-ci en 1999.
- Victor Kilian (1891-1979), Clarence le poivrot (pas crédité), fut battu à mort lors du cambriolage de sa maison (‘The lady talked funny’).
- Robert E. Swanson n’a écrit qu’un seul épisode de la série et il est surtout connu pour avoir produit Arabesque.
- C’est très rare qu’un scénario nous fasse découvrir Kojak en dehors de son travail. Ici, il est dans une salle de billards.
- Kojak à Crocker:’Make the decision, Crocker, that’s what the city pays you for!’
- Deux scènes déjà vues dans l’épisode de la première saison Deliver Us Some Evil: la grille d’entrée de la demeure de Steiner et le van bleu dans les rues de New York.
- A noter le ridicule du titre français…
24 The Trade-Off - C'est ma femme, Theo! §§
La femme du capitaine McNeil est kidnappée pour forcer Kojak à l’échanger contre les preuves qui impliquent un gangster dans un trafic de cocaïne.
Après Crocker, c’est au tour de McNeil d’être sur le devant de la scène dans un épisode distrayant qui sent néanmoins la fin de saison. Il n’y a pas de temps mort ni de passage ‘bouche-trou’ malgré la présence de la femme de McNeil. Après huit ans de surveillance, Manny Steiner est enfin arrêté pour trafic de cocaïne dans une longue et bonne séquence introductive dans laquelle Kojak prend plaisir à titiller le gangster : ‘It looks like smack !’. L’enlèvement rapide limite à une seule scène la présence de Lillian McNeil et c’est tant mieux ! Le lieutenant n’est pas en service lorsqu’il reçoit l’appel des ravisseurs et il tente de gérer la crise sans en avertir ses inspecteurs ni, bien entendu, le capitaine. Le deal est un échange de Lillian McNeil contre les preuves du trafic de Steiner. Kojak cherche seul et, préoccupé, il délègue les taches subalternes à des inspecteurs désorientés et c’est au sergent Vine qu’il va se confier. Une séquence bizarre car on ne sent pas Kojak s’en remette au jugement d’un de ses hommes. En tout cas, Vine, absent de toute la saison, fait nettement de l’ombre à Crocker, relégué au niveau de Stavros et Saperstein dans cette aventure. McNeil aperçoit le mot de sa femme dans la main de Kojak (superbement bien joué) et la fin s’emballe par la découverte de l’indice astucieux sur l’enveloppe (‘Follow the instructions to the letter’) et la filature du truand travesti en blonde ! C’est en définitive une histoire correcte avec des personnages intéressants, en particulier les deux méchants, Manny, le gangster dandy, et Blaise, l’homme de main moustachu aux basses besognes.
- Première apparition dans la seconde saison du sergent Al Vine interprété par Bruce Kirby. Il est présent dans six épisodes dont trois de la première saison. Kirby est aussi un sergent dans le pilote, The Marcus-Nelson Murders. Il est aussi le…sergent George Kramer dans six épisodes deColumbo.
- Jean Le Bouvier (1920-1983) n’a fait qu’une seule apparition dans le rôle de Mrs Lillian McNeil. Comme dirait McNeil : ‘She’s going to drive me bananas’ [Elle va me rendre fou.] Peut-être un jeu de mots car en 1971, Fraser a participé au film Bananas de Woody Allen, effectivement passablement allumé !
- On apprend que les McNeil sont mariés depuis vingt-deux ans. C’était la même chose pour Dan Frazer, décédé récemment le 16 décembre 2011. Il avait épousé Lillian Lee, même prénom que dans l’épisode, en 1943 et ils étaient restés ensemble jusqu’à la mort de celle-ci en 1999.
- Victor Kilian (1891-1979), Clarence le poivrot (pas crédité), fut battu à mort lors du cambriolage de sa maison (‘The lady talked funny’).
- Robert E. Swanson n’a écrit qu’un seul épisode de la série et il est surtout connu pour avoir produit Arabesque.
- C’est très rare qu’un scénario nous fasse découvrir Kojak en dehors de son travail. Ici, il est dans une salle de billards.
- Kojak à Crocker:’Make the decision, Crocker, that’s what the city pays you for!’
- Deux scènes déjà vues dans l’épisode de la première saison Deliver Us Some Evil: la grille d’entrée de la demeure de Steiner et le van bleu dans les rues de New York.
- A noter le ridicule du titre français…
Dernière édition par denis le Jeu 22 Déc 2011 - 23:49, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
- Jean Le Bouvier (1920-1983) n’a fait qu’une seule apparition dans le rôle de Mrs Lillian McNeil. Comme dirait McNeil : ‘She’s going to drive me bananas’ [Elle va me rendre fou.]
Là il y a peut-être un jeu de mots, Denis : en 1971 Fraser a participé au film Bananas de Woody Allen, effectivement passablement allumé !
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Kojak"
Bien vu ! C'est en effet possible! Je vais l'ajouter : Thanks.Estuaire44 a écrit:- Jean Le Bouvier (1920-1983) n’a fait qu’une seule apparition dans le rôle de Mrs Lillian McNeil. Comme dirait McNeil : ‘She’s going to drive me bananas’ [Elle va me rendre fou.]
Là il y a peut-être un jeu de mots, Denis : en 1971 Fraser a participé au film Bananas de Woody Allen, effectivement passablement allumé !
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
25 I Want to Report a Dream – Spiritisme. §§
Une dame âgée, qui pratique assidument le spiritisme, a des visions prémonitoires des assassinats par strangulation de femmes mariées. Le meurtrier, qui est un client du médium,a été perturbé par sa mère infidèle et il se venge des femmes volages.
On termine cette seconde saison par un épisode sans scène d’action et avec un coupable connu très tôt ce qui fait un peu penser à un Columbo. Certains passages sont bigrement prenants mais ces histoires de médiums, quelque soit la série, contiennent inévitablement des séances de spiritisme bien laborieuses. A coté de cela, on est enchanté par la réalisation de Telly Savalas, excellente comme le montre ces deux exemples. La scène de la vision meurtrière de la première victime et, surtout, l’excellent passage du taxi filmé du lumineux ; on devine que l’assassin monte dans le cab car le taxi s’affaisse légèrement puis le lumineux change et la caméra, au départ du véhicule, fait un lent travelling pour se figer sur le corps de la jeune femme blonde dans la neige. L’intrigue bénéficie du jeu d’Andy Robinson dans le rôle de Leon, un chauffeur de ‘yellow cab’, qui rentre en contact avec son père par l’intermédiaire de la voyante et il explique à son ‘paternel’ qu’il part en croisade contre les femmes infidèles comme sa mère l’a été avec lui. Robinson est bien plus à l’aise dans ces personnages de déjantés (Scorpio est la référence) que dans des rôles sympathiques qui ne lui vont pas du tout (dans les Rues de San Francisco par exemple). Si on ajoute à cela la musique d’atmosphère, on peut prétendre à un excellent épisode. Néanmoins, Miss Eudora Temple, jouée par Ruth Gordon, est assez pénible et ses interventions ennuyeuses, en particulier celle au commissariat avec la psychanalyste. Elle semble avoir reconnu le meurtrier sur le portrait-robot mais elle refuse de coopérer avec des ‘incroyants’ et le dénouement avec McNeil, dans la peau du mari de la première victime pour localiser le tueur, est peu crédible. Une fin de saison mitigée et même décevante car il est évident que le spectateur s’attend à mieux mais Robinson/Leon est trop en retrait et il est malheureusement sacrifié dans une intrigue qui fait la part belle à la voyante monotone et souvent fastidieuse.
- Après The Betrayal, cet épisode est le second réalisé par Telly Savalas lors de cette seconde saison. Trois autres le seront également dans les saisons suivantes.
- Andrew Robinson (1942), Leon, est surtout connu pour le rôle de tueur infâme dans Dirty Harry en 1971. Il a joué dans un autre épisode de la cinquième saison. Il a participé également à d’autres séries policières - L’homme de fer, Les rues de San Francisco (deux épisodes) mais surtout, dans un autre genre, Star Trek où il est Garak dans 37 épisodes.
- Après le billard de l’épisode précédent, Kojak est chez le dentiste et on a droit à l’histoire du patient qui a tué son dentiste. ‘He can’t stand the pain’ d’après le praticien. ‘He can’t stand the bill’ s’exclame le lieutenant!
- On sent Kojak très attiré par la bonne, Miss Cunningham, interprétée par Tracy Reed, ‘Miss Teenage Los Angeles’ (‘Call me Theo !’) puis par Helen Fielding, la femme délaissée par son mari, qui fréquente le Jubilee Bar. Il lui retire sa cigarette : ‘You smoke too much’ avant de la lui remettre entre les lèvres après avoir tiré une bouffée : ‘Put it out’. Helen Fielding sera la dernière proie…
- Lenka Peterson (1925) était déjà le docteur Barbara Kirk dans l’excellent Cross Your Heart and Hope to Die du milieu de saison. A cette occasion, fait exceptionnel, Kojak fait référence à l’affaire Harrington, le meurtrier de cet épisode. C’est la première fois qu’il y a un lien entre deux histoires.
- Kojak s’adressant au meurtrier imaginaire : ‘Freak, wherever you are, take a night-off, okay?’[Tordu, où que tu sois, prend une nuit de congé, Ok?]
FIN DE LA SECONDE SAISON.
Une dame âgée, qui pratique assidument le spiritisme, a des visions prémonitoires des assassinats par strangulation de femmes mariées. Le meurtrier, qui est un client du médium,a été perturbé par sa mère infidèle et il se venge des femmes volages.
On termine cette seconde saison par un épisode sans scène d’action et avec un coupable connu très tôt ce qui fait un peu penser à un Columbo. Certains passages sont bigrement prenants mais ces histoires de médiums, quelque soit la série, contiennent inévitablement des séances de spiritisme bien laborieuses. A coté de cela, on est enchanté par la réalisation de Telly Savalas, excellente comme le montre ces deux exemples. La scène de la vision meurtrière de la première victime et, surtout, l’excellent passage du taxi filmé du lumineux ; on devine que l’assassin monte dans le cab car le taxi s’affaisse légèrement puis le lumineux change et la caméra, au départ du véhicule, fait un lent travelling pour se figer sur le corps de la jeune femme blonde dans la neige. L’intrigue bénéficie du jeu d’Andy Robinson dans le rôle de Leon, un chauffeur de ‘yellow cab’, qui rentre en contact avec son père par l’intermédiaire de la voyante et il explique à son ‘paternel’ qu’il part en croisade contre les femmes infidèles comme sa mère l’a été avec lui. Robinson est bien plus à l’aise dans ces personnages de déjantés (Scorpio est la référence) que dans des rôles sympathiques qui ne lui vont pas du tout (dans les Rues de San Francisco par exemple). Si on ajoute à cela la musique d’atmosphère, on peut prétendre à un excellent épisode. Néanmoins, Miss Eudora Temple, jouée par Ruth Gordon, est assez pénible et ses interventions ennuyeuses, en particulier celle au commissariat avec la psychanalyste. Elle semble avoir reconnu le meurtrier sur le portrait-robot mais elle refuse de coopérer avec des ‘incroyants’ et le dénouement avec McNeil, dans la peau du mari de la première victime pour localiser le tueur, est peu crédible. Une fin de saison mitigée et même décevante car il est évident que le spectateur s’attend à mieux mais Robinson/Leon est trop en retrait et il est malheureusement sacrifié dans une intrigue qui fait la part belle à la voyante monotone et souvent fastidieuse.
- Après The Betrayal, cet épisode est le second réalisé par Telly Savalas lors de cette seconde saison. Trois autres le seront également dans les saisons suivantes.
- Andrew Robinson (1942), Leon, est surtout connu pour le rôle de tueur infâme dans Dirty Harry en 1971. Il a joué dans un autre épisode de la cinquième saison. Il a participé également à d’autres séries policières - L’homme de fer, Les rues de San Francisco (deux épisodes) mais surtout, dans un autre genre, Star Trek où il est Garak dans 37 épisodes.
- Après le billard de l’épisode précédent, Kojak est chez le dentiste et on a droit à l’histoire du patient qui a tué son dentiste. ‘He can’t stand the pain’ d’après le praticien. ‘He can’t stand the bill’ s’exclame le lieutenant!
- On sent Kojak très attiré par la bonne, Miss Cunningham, interprétée par Tracy Reed, ‘Miss Teenage Los Angeles’ (‘Call me Theo !’) puis par Helen Fielding, la femme délaissée par son mari, qui fréquente le Jubilee Bar. Il lui retire sa cigarette : ‘You smoke too much’ avant de la lui remettre entre les lèvres après avoir tiré une bouffée : ‘Put it out’. Helen Fielding sera la dernière proie…
- Lenka Peterson (1925) était déjà le docteur Barbara Kirk dans l’excellent Cross Your Heart and Hope to Die du milieu de saison. A cette occasion, fait exceptionnel, Kojak fait référence à l’affaire Harrington, le meurtrier de cet épisode. C’est la première fois qu’il y a un lien entre deux histoires.
- Kojak s’adressant au meurtrier imaginaire : ‘Freak, wherever you are, take a night-off, okay?’[Tordu, où que tu sois, prend une nuit de congé, Ok?]
FIN DE LA SECONDE SAISON.
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
La saison 2 a une moyenne de 2,68 pour 25 épisodes (moins bien que la première à 3). La série est à 2,83 après deux saisons.
Les meilleurs épisodes de la seconde saison :
Saison 2
A Killing in the Second House - Chantage à la mort.
Elegy in an Asphalt Graveyard - Vengeance de femme
Slay Ride – Défenestration
Acts of Desperate Men - Acte de désespoir
Cross Your Heart and Hope to Die - Amour fou
The Best War in Town - La guerre des gangs
Les meilleurs épisodes de la seconde saison :
Saison 2
A Killing in the Second House - Chantage à la mort.
Elegy in an Asphalt Graveyard - Vengeance de femme
Slay Ride – Défenestration
Acts of Desperate Men - Acte de désespoir
Cross Your Heart and Hope to Die - Amour fou
The Best War in Town - La guerre des gangs
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Bravo pour ces excellentes critiques.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Kojak"
Merci Cetp65. Je vais faire une pause avant la saison 3. Avec la saison 5 des Avengers de la collection Optimum en postant comme pour la 4, de nouvelles infos supplémentaires et les commentaires des bonus.Cetp65 a écrit:Bravo pour ces excellentes critiques.
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Le bonus sur Kojak par Denis avev une interview d'un des scénaristes de la série est en ligne!
http://theavengers.fr/supplement/hors/kojak_bonus.htm#2
http://theavengers.fr/supplement/hors/kojak_bonus.htm#2
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Dans ce dossier, il y a des erreurs concernant la version allemande ainsi que les éditions DVD.Steed3003 a écrit:Le bonus sur Kojak par Denis avev une interview d'un des scénaristes de la série est en ligne!
http://theavengers.fr/supplement/hors/kojak_bonus.htm#2
Playback est Universal en Angleterre, mais les saison 2 à 5 sont distribuées par Medium Rare en Angleterre et par Universum (pas à confondre avec Universal) en Allemagne.Playback en Angleterre et en Allemagne emboîtaient le pas.
Pas tout à fait. Les épisodes diffusés dans les années 70 sont coupés à une durée de 42 à 44 minutes. Les 37 épisodes diffusés en 1991 pour la première fois, sont normalemant complets. Les 20 épisodes diffusés quelques années plus tard pour la première fois, sont tous complets. Au total, 62 épisodes ont été coupés à une durée de moins de 45 minutes, dont 14 de la première saison (complets sur DVD).tous les épisodes sont systématiquement amputés de trois minutes !
C'est faux ! Les coupures en Allemangne n'ont absolument rien à voir avec la publicité. En fait, les 62 épisodes coupés ont éte diffusé à partir de 21h00 (en 1978 même à partir de 21h45). ARD (première station allemande diffusant KOJAK) et ZDF ne peut pas diffuser des spots publicitaires après 20h00 - c'est interdit par la loi. Donc, les coupures sont justement pour faire les épisodes plus courts pour l'horaire (45 minutes pour un épisodes au maximum).En effet, à la télévision allemande, le créneau horaire d’une heure dispose de quinze minutes de publicité et les versions télévisées amputées de trois minutes sont celles mises sur le marché !
Les épisodes de 1991, par contre, ont été diffusés à partir de 17h35 - toujours dans deux parties de 25 minutes avec une pause du publicité. Donc, pas nécessaire de les couper à prèsque 45 minutes. De temps à temps, il y avait des petits coupures dans ces épisodes pour réduire la violence de la série.
Les 20 épisodes de RTL II (station commerciale) ont éte interrompu deux foix par la pub. Pas de coupures dans les masters télé pour ces épisodes. (Pendant une heure, une station commercial peut diffuser 12 minutes de pub au maximum.)
Norbert- Vicomte(sse)
- Age : 58
Localisation : Allemagne
Date d'inscription : 21/06/2006
Re: Série "Kojak"
Tu parles du dossier DVD? Il est différent de celui du scénariste. Je vais reprendre tes détails vu que les infos allemandes sont sur des DVD que je ne possède pas. J'ai pris les infos soit sur le forum allemand, soit dans les critiques DVD.
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Universum en effet. C'est ce qu'il est écrit : Le premier pays où toute la série est sortie (Universum Film GmbH).Sinon, avec tous ces détails, il faudrait que je rajoute une page spéciale Allemagne. Je vais essayer de condenser tes écrits avec la prochaine MAJ, qui aura lieu vu que de nombreuses éditions sont toujours en train de sortir (USA/France).Norbert a écrit:Playback est Universal en Angleterre, mais les saison 2 à 5 sont distribuées par Medium Rare en Angleterre et par Universum (pas à confondre avec Universal) en Allemagne.
Intéressant ça. Non, pourquoi ces coupes?Norbert a écrit:Donc, les coupures sont justement pour faire les épisodes plus courts pour l'horaire (45 minutes pour un épisodes au maximum).
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Pour respecter les horaires.denis a écrit:Non, pourquoi ces coupes?
20h00 Journal (15 minutes)
22h30 Journal (30 minutes)
Donc, il y avait 2 heures et 15 minutes pour les programmes entres les deux journaux télévisés.
C'est pour
- une émission d'une heure, une d'une demi-heure et une de 45 minutes
- une émission de 90 minutes et une de 45 minutes
- trois émissions de 45 minutes
- deux émissions d'une durée variable
Norbert- Vicomte(sse)
- Age : 58
Localisation : Allemagne
Date d'inscription : 21/06/2006
Re: Série "Kojak"
Ok, merci de ces renseignements. J'avais oublié le sacro-saint journal. Ceci dit, je les préfère aux journaux français : l'essentiel en quinze minutes !
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Bravo !
Correctifs :
- Le titre de l'épisode 3 est Tais-toi, sinon tu mourras et non Tais-toi sinon tu meurs ! Même chose en anglais, il faut lire Hush now, or you'll die et non Hush now, don't you die.
- Le lien de l'épisode 4 renvoie vers le 3, le 5 vers le 4, etc. Jusqu'à l'épisode 19 qui envoie à l'épisode 18. Ensuite, le 21 renvoie au 19, et le 22 au 20.
Correctifs :
- Le titre de l'épisode 3 est Tais-toi, sinon tu mourras et non Tais-toi sinon tu meurs ! Même chose en anglais, il faut lire Hush now, or you'll die et non Hush now, don't you die.
- Le lien de l'épisode 4 renvoie vers le 3, le 5 vers le 4, etc. Jusqu'à l'épisode 19 qui envoie à l'épisode 18. Ensuite, le 21 renvoie au 19, et le 22 au 20.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Kojak"
Bah, je ne sais pas où tu vas pêcher cela, mais en tout cas, le titre VO est bien : Hush Now, Don't You Die.Dearesttara a écrit:- Le titre de l'épisode 3 est Tais-toi, sinon tu mourras et non Tais-toi sinon tu meurs ! Même chose en anglais, il faut lire Hush now, or you'll die et non Hush now, don't you die.
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
Après recherche, je constate que les deux titres sont valables. Mais sur le sommaire c'est "You'll die", et sur l'épisode "don't you die". Il faut choisir !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Kojak"
Sur le DVD et les sites américains, c'est Don't You Die. En fait, je n'ai pas trouvé sur le net l'autre version. Quant au titre français, c'est, par contre, avec réserves, c'est celui du site Le magazine des séries. Je n'ai pas les DVD français.Dearesttara a écrit:Après recherche, je constate que les deux titres sont valables. Mais sur le sommaire c'est "You'll die", et sur l'épisode "don't you die". Il faut choisir !
Invité- Invité
Re: Série "Kojak"
You'll die semble bien valable, la chaîne CBS a programmé l'épisode le 2/12/1976, et l'a exploité sous ce titre :
http://epguides.com/CBSLateMovie/
Il y'avait d'autres liens avec ce titre comme celui-là : http://www.tv-links.eu/tv-shows/Kojak_26427/season_2/episode_3/
La traduction devrait respecter le temps du futur. Donc je mettrais "tu mourras" et non "tu meurs".
http://epguides.com/CBSLateMovie/
Il y'avait d'autres liens avec ce titre comme celui-là : http://www.tv-links.eu/tv-shows/Kojak_26427/season_2/episode_3/
La traduction devrait respecter le temps du futur. Donc je mettrais "tu mourras" et non "tu meurs".
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
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