Série "The L Word"
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
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Re: Série "The L Word"
Il y a du banni dans l'air..........
Voici la traduction :
Eh ben !
Pour un feuilleton...
C'est un feuilleton !!
Voici la traduction :
Eh ben !
Pour un feuilleton...
C'est un feuilleton !!
Philo- Fondateur
- Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Série "The L Word"
On retrouve l'ordre naturel des épisodes, tant mieux, même si cela signifie que le disparu ne refera pas surface...
Épisode charnière que celui-ci, particulièrement intense. La série semble sortir d'une enfance heureuse et naïve, au moment où de nombreux personnages affrontent des crises ébranlant leurs certitudes et un certain confort où s'était installée leur histoire. Alors que les relations s'entrecroisaient jusqu'ici dans une espèce de paradis ouaté de tolérance et d'insertion sociale réussie, les premières difficultés liées à l'homosexualité surgissent. Les personnages et l'univers évoluent de manière très intéressante, la série s'assombrissant tout en gagnant réalisme et âpreté.
Dana, qui gérait jusqu'ici assez facilement sa carrière et la dissimulation de son homosexualité (In the Closet, selon l'expression consacrée) affronte une première vraie turbulence avec l'enracinement de sa relation avec l'adorable Lara. Les scènes sont sobrement écrites, sans exagération, la série développe décidément un parler vrai très efficace. La communauté homosexuelle, qui semblait jusqu'ici harmonieusement, unie montre désormais des lignes de failles très marquées, notamment sociales. Ce fait se voit évoqué avec éloquence lors de la rencontre entre Shane et un compagnon des heures difficiles, où des réalités sordides sont évoquées sans fard.
On montre d'un cran dans le drame avec la scène émotionnellement très forte du rejet de son petit enfant par le père de Bette, admirablement tournée. Bette la solide montre une vraie faille dans son besoin d'approbation paternelle tandis que Tina se révèle toujours admirable, soutenant sa compagne alors que celle-ci s'est montrée résolument odieuse avec elle toute la journée. Mais le pic de cette évolution vers davantage de noirceur réside bien entendu dans le Big Bang du couple Jenny/Tim. La scène de la révélation se révèle un vrai bijou, avec un silence bien plus parlant et cruel que n'importe quelle parole (chapeau à l'acteur Eric Mabius très expressif). La suite se montre plus désarçonnante avec cette histoire pour le moins improbable de mariage. (Évidemment il ne fallait pas s'attendre à une explication directe et orageuse avec le Tim).
C'est que, d'une manière particulièrement habile, chaque personnage se trouve à l'heure d'un choix très révélateur sur sa personnalité. Certaines s'en sortent par le haut, comme Shane, opposant la générosité à l'horreur sociale, ou Kit, très courageuse et digne dans sa solidarité avec sa soeur. Bette semble elle choisir le déni du réel, mais c'est bien Jenny et Tim qui apparaissent écrits sous le jour le plus défavorable, avec une pathétique fuite en avant pour lui (how surprising) et un basse manoeuvre peu glorieuse pour elle, s'imaginant recoller par les morceaux en s'enferrant dans le mensonge afin de poursuivre son double jeu comme si de rien n'était. C'est mal parti, d'autant que Marina lui manifeste un soutien pour le moins minimaliste, ne laissant par présager le meilleur pour la poursuite de leur relation sur la durée. L'avenir semble mal engagé pour une écrivaine que la série assombrit toujours à plaisir. Dana reste encore dans l'expectative : même si elle semble prête à franchir le Rubicon, les jeux sont ouverts. Hum...
L Word, toujours supérieurement écrite, réalisée et interprétée (la totale implication des actrices ne cesse d'étonner et de ravir) commence à se démarquer sérieusement de Sex and the City, plus légère et résolument humoristique. L'épisode a cependant l'habileté ne ne pas sombrer dans le pathos, en insérant quelques scènes résolument hilarantes, comme un prologue d'anthologie au coeur d'années 70 joyeusement caricaturées, renvoyant à une conclusion pareillement énorme, avec un policier très à l'Ouest que l'on espère bien revoir. Comme la chapelle des marieurs, toute la séquence de Alice et de sa mère (et Shane !) se montre également très drôle. On s'interroge néanmoins sur la capacité de Alice à aller au delà de ces vignettes humoristiques où elle excelle. On aura rarement vuune telle alternance de scènes joyeuse ou dramatiques, ce qui pourrait conférer à l'épisode un dommageable aspect de patchwork mais la qualité de l'écriture parvient à rendre le tout parfaitement fluide.
Un épisode particulièrement réussi, qui rassure après le léger surplace du précédent.
Épisode charnière que celui-ci, particulièrement intense. La série semble sortir d'une enfance heureuse et naïve, au moment où de nombreux personnages affrontent des crises ébranlant leurs certitudes et un certain confort où s'était installée leur histoire. Alors que les relations s'entrecroisaient jusqu'ici dans une espèce de paradis ouaté de tolérance et d'insertion sociale réussie, les premières difficultés liées à l'homosexualité surgissent. Les personnages et l'univers évoluent de manière très intéressante, la série s'assombrissant tout en gagnant réalisme et âpreté.
Dana, qui gérait jusqu'ici assez facilement sa carrière et la dissimulation de son homosexualité (In the Closet, selon l'expression consacrée) affronte une première vraie turbulence avec l'enracinement de sa relation avec l'adorable Lara. Les scènes sont sobrement écrites, sans exagération, la série développe décidément un parler vrai très efficace. La communauté homosexuelle, qui semblait jusqu'ici harmonieusement, unie montre désormais des lignes de failles très marquées, notamment sociales. Ce fait se voit évoqué avec éloquence lors de la rencontre entre Shane et un compagnon des heures difficiles, où des réalités sordides sont évoquées sans fard.
On montre d'un cran dans le drame avec la scène émotionnellement très forte du rejet de son petit enfant par le père de Bette, admirablement tournée. Bette la solide montre une vraie faille dans son besoin d'approbation paternelle tandis que Tina se révèle toujours admirable, soutenant sa compagne alors que celle-ci s'est montrée résolument odieuse avec elle toute la journée. Mais le pic de cette évolution vers davantage de noirceur réside bien entendu dans le Big Bang du couple Jenny/Tim. La scène de la révélation se révèle un vrai bijou, avec un silence bien plus parlant et cruel que n'importe quelle parole (chapeau à l'acteur Eric Mabius très expressif). La suite se montre plus désarçonnante avec cette histoire pour le moins improbable de mariage. (Évidemment il ne fallait pas s'attendre à une explication directe et orageuse avec le Tim).
C'est que, d'une manière particulièrement habile, chaque personnage se trouve à l'heure d'un choix très révélateur sur sa personnalité. Certaines s'en sortent par le haut, comme Shane, opposant la générosité à l'horreur sociale, ou Kit, très courageuse et digne dans sa solidarité avec sa soeur. Bette semble elle choisir le déni du réel, mais c'est bien Jenny et Tim qui apparaissent écrits sous le jour le plus défavorable, avec une pathétique fuite en avant pour lui (how surprising) et un basse manoeuvre peu glorieuse pour elle, s'imaginant recoller par les morceaux en s'enferrant dans le mensonge afin de poursuivre son double jeu comme si de rien n'était. C'est mal parti, d'autant que Marina lui manifeste un soutien pour le moins minimaliste, ne laissant par présager le meilleur pour la poursuite de leur relation sur la durée. L'avenir semble mal engagé pour une écrivaine que la série assombrit toujours à plaisir. Dana reste encore dans l'expectative : même si elle semble prête à franchir le Rubicon, les jeux sont ouverts. Hum...
L Word, toujours supérieurement écrite, réalisée et interprétée (la totale implication des actrices ne cesse d'étonner et de ravir) commence à se démarquer sérieusement de Sex and the City, plus légère et résolument humoristique. L'épisode a cependant l'habileté ne ne pas sombrer dans le pathos, en insérant quelques scènes résolument hilarantes, comme un prologue d'anthologie au coeur d'années 70 joyeusement caricaturées, renvoyant à une conclusion pareillement énorme, avec un policier très à l'Ouest que l'on espère bien revoir. Comme la chapelle des marieurs, toute la séquence de Alice et de sa mère (et Shane !) se montre également très drôle. On s'interroge néanmoins sur la capacité de Alice à aller au delà de ces vignettes humoristiques où elle excelle. On aura rarement vuune telle alternance de scènes joyeuse ou dramatiques, ce qui pourrait conférer à l'épisode un dommageable aspect de patchwork mais la qualité de l'écriture parvient à rendre le tout parfaitement fluide.
Un épisode particulièrement réussi, qui rassure après le léger surplace du précédent.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Tout d'abord HAAAAA LARA elle est magnifique cette fille
Ensuite:que quelqu'un frappe Bette,je ne comprends pas que Tina la laisse lui parler comme ça.Ensuite lorsque Bette aura eu la claque qu'elle mérite faudra passer à cette ordure de Conrad qui voit beaucoup trop de film porno,puis ensuite ce policier qui parle à Tim et pour finir le flic du pré-générique.
Melvin je suis d'accord que ce n'est pas le meilleur modèle de tolérance mais la remarque de Tina n'était pas non très fine:ce n'est pas parce que le bébé est noir que tout d'un coup il ressemblera au père de Bette.
La seule chose que je regrette c'est qu'il n'y ait pas eu assez de scène entre Shane et son pote,l'épisode aurait du plus exploiter leur passé.
En ce qui concerne Jenny,elle veut rester avec Tim surtout parce qu'elle est perdue,après est-ce qu'elle l'aime encore je ne sais pas mais c'est quelqu'un pour qui elle a de l'affection et qui représente un élément stable de sa vie parce qu'en ce moment elle ne pourrait même pas définir ses préférences.
Ensuite:que quelqu'un frappe Bette,je ne comprends pas que Tina la laisse lui parler comme ça.Ensuite lorsque Bette aura eu la claque qu'elle mérite faudra passer à cette ordure de Conrad qui voit beaucoup trop de film porno,puis ensuite ce policier qui parle à Tim et pour finir le flic du pré-générique.
Melvin je suis d'accord que ce n'est pas le meilleur modèle de tolérance mais la remarque de Tina n'était pas non très fine:ce n'est pas parce que le bébé est noir que tout d'un coup il ressemblera au père de Bette.
La seule chose que je regrette c'est qu'il n'y ait pas eu assez de scène entre Shane et son pote,l'épisode aurait du plus exploiter leur passé.
En ce qui concerne Jenny,elle veut rester avec Tim surtout parce qu'elle est perdue,après est-ce qu'elle l'aime encore je ne sais pas mais c'est quelqu'un pour qui elle a de l'affection et qui représente un élément stable de sa vie parce qu'en ce moment elle ne pourrait même pas définir ses préférences.
Lala- Duc(hesse)
- Age : 38
Localisation : Paris
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
D'accord pour Shane et son invité, l'épisode ne fait qu'ouvrir une fenêtre. Mais il est déjà très rempli par ailleurs en même temps. C'est le revers de la médaille d'avoir retenu autant de personnages, forcément à un moment ou à un autre certains manquent d'espace. Mais, si on frole le trop plein, la série arrive à s'en sortir à peu près pour l'instant (Alice est clairement tenue en réserve et Dana est un peu en retrait, sans doute en attendant le verdict de la craquante Lara sur les choix à venir de sa compagne). Bon cela fait deux épisodes où Shane est peu mise à contribution, un voyant commence à passer à l'orange sur le tableau de bord de L Word...
Oui, autant Bette est souvent charmante et sprirituelle, autant elle envoie parfois des phrases d'une violence à Tina... Evidemment cela choque plus chez une femme que chez un macho de base, mais tout de même
Tina a vaincu ses propres préjugés pour accepter un donneur de couleur et elle espère que Melvin accomplira un effort d'acceptation à peu près équivalent. C'est ce qu'elle essaie de dire, de manière terriblement maladroite c'est vrai, mais elle est désarçonnée par la violence de la crispation apparaissant entre le père et la fille. j'aime beaucoup Tina, qui a salement dégusté dans cette histoire et qui prend pas mal sur elle.
Alors pour jenny, je suis sans doute cynique mais si éprouve certainement une survivance d'affection pour Tim, elle vise surtout , sans grande dignité, à maintenir un statu quo où elle gagne sur les deux tableaux, y compris matériellement. je n'ai pas aimé qu'elle raconte que c'était la première et la dernière fois, à un moment le mensonge cela suffit. J'espère qu'elle ne va pas devenir la "méchante" de la série, le personnge a plus de potentiel et de complexité que ça. Je l'ai préférée dans l'épisode précédent.
Sinon je crois bien que le flic de l'hallucinante scène du début est le même que celui de la non moins azimutée conclusion. Oui, sa carrière a visiblement été un fiasco, de même que sa vie. je ne trouve tout simplement pas d'adjectif pour le qualifier. Mais il est tellement énorme que les scènes en deviennent drôles, même s'il s'agit d'un humour bien grinçant.
Oui, autant Bette est souvent charmante et sprirituelle, autant elle envoie parfois des phrases d'une violence à Tina... Evidemment cela choque plus chez une femme que chez un macho de base, mais tout de même
Tina a vaincu ses propres préjugés pour accepter un donneur de couleur et elle espère que Melvin accomplira un effort d'acceptation à peu près équivalent. C'est ce qu'elle essaie de dire, de manière terriblement maladroite c'est vrai, mais elle est désarçonnée par la violence de la crispation apparaissant entre le père et la fille. j'aime beaucoup Tina, qui a salement dégusté dans cette histoire et qui prend pas mal sur elle.
Alors pour jenny, je suis sans doute cynique mais si éprouve certainement une survivance d'affection pour Tim, elle vise surtout , sans grande dignité, à maintenir un statu quo où elle gagne sur les deux tableaux, y compris matériellement. je n'ai pas aimé qu'elle raconte que c'était la première et la dernière fois, à un moment le mensonge cela suffit. J'espère qu'elle ne va pas devenir la "méchante" de la série, le personnge a plus de potentiel et de complexité que ça. Je l'ai préférée dans l'épisode précédent.
Sinon je crois bien que le flic de l'hallucinante scène du début est le même que celui de la non moins azimutée conclusion. Oui, sa carrière a visiblement été un fiasco, de même que sa vie. je ne trouve tout simplement pas d'adjectif pour le qualifier. Mais il est tellement énorme que les scènes en deviennent drôles, même s'il s'agit d'un humour bien grinçant.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Pour Shane,t'inquiètes pas ça va vite reprendre notament avec l'arrivée de Rosanna Arquette
Lala- Duc(hesse)
- Age : 38
Localisation : Paris
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
Ah, ah, une deuxième gloire de mes années 80 !!!!! Big piece of news ! J'espère qu'elle aura au moins une scène avec Jenny Beals, ce serait collector !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
The L Word *(exclusivement réservé à Lala & Estuaire44 & Philo)
Alors là, la soirée Titanic. On s’installe un peu en avance sur l’écran, on subit comme de coutume quelques minutes du sirupeux et douteux Weeds et puis on se frotte frénétiquement les mains car l’étrange lucarne annonce non pas mais un mais deux épisodes de L Word.
Ah ah, ah. Le premier se révèle tout simplement une rediff de celui de la semaine dernière. Verrou temporel ou intense impéritie ? Bon on se le revoit parce qu’il est vraiment bon. Comme on se souvient bien des principales scènes, on s’intéresse aux à côtés et là on voit bien comment le placement de marques reste important dans cette série. Cela perturbe même plusieurs scènes, en particulier celle du restaurant avec le père de Bette.
Alors on arrive au bout, on se dit que l’on va savoir dans l’épisode suivant si le Tim va enfin s’enfuir en courant de West Hollywood. Et alors là c’est top moumoute car en fait on nous sert le fameux épisode manquant d’il y a deux ou trois semaines. Et les situations ont tellement évolué en tous domaines que forcément l’on éprouve désormais du mal à s’y intéresser. Dommage car dans l’absolu il se révèle une nouvelle fois supérieurement écrit et interprété, avec une série de confrontations permettant à chaque personnage de révéler davantage de sa vérité intime.
On retrouve la hiérarchie désormais classique d’intérêt, avec Alice (la plus Sex and The City des filles) et Diana sur une ligne de choc secondaire et Shane toujours aussi fascinante dans sa totale liberté revendiquée mais vécue sans nulle cruauté, bien au contraire.
Les deux moments forts demeurent :
- La rencontre très réussie entre Bette, que l’on adore passionnée par son boulot, et la malicieuse « hasbienne » (on apprend du vocabulaire en plus). Jennifer Beals est toujours aussi sensible et de plus particulièrement en beauté ce soir, dois-je dire. Eloquente citation de Stendhal au passage, ce n’est pas si fréquent dans une série américaine (dans une série française non plus)
- De manière très habile la série débouche ensuite précisément sur une magnifique évocation de cette cristallisation chère à l’auteur, avec Jenny qui accepte enfin son sentiment envers Marina. La scène apparaît lumineuse dans sa simplicité, en évitant tout verbiage inutile pour laisser s’exprimer principalement le talent des deux formidables actrices. Le langage des expressions et des corps exprime avec une éloquence sans égale la nature extraordinaire de cette rencontre. Et puis ce n’est pas si souvent que l’on a l’occasion de voir Jenny (et Mia) ainsi irradier d’un bonheur sans mélange, on s’en réjouit.
Quel dommage vraiment que tout ceci se voit émoussé par le décalage temporel et les bouleversements récents! Si la programmation demeure aussi chaotique les vaillants couche tard découvrant la série risquent fort de décrocher...
Ah ah, ah. Le premier se révèle tout simplement une rediff de celui de la semaine dernière. Verrou temporel ou intense impéritie ? Bon on se le revoit parce qu’il est vraiment bon. Comme on se souvient bien des principales scènes, on s’intéresse aux à côtés et là on voit bien comment le placement de marques reste important dans cette série. Cela perturbe même plusieurs scènes, en particulier celle du restaurant avec le père de Bette.
Alors on arrive au bout, on se dit que l’on va savoir dans l’épisode suivant si le Tim va enfin s’enfuir en courant de West Hollywood. Et alors là c’est top moumoute car en fait on nous sert le fameux épisode manquant d’il y a deux ou trois semaines. Et les situations ont tellement évolué en tous domaines que forcément l’on éprouve désormais du mal à s’y intéresser. Dommage car dans l’absolu il se révèle une nouvelle fois supérieurement écrit et interprété, avec une série de confrontations permettant à chaque personnage de révéler davantage de sa vérité intime.
On retrouve la hiérarchie désormais classique d’intérêt, avec Alice (la plus Sex and The City des filles) et Diana sur une ligne de choc secondaire et Shane toujours aussi fascinante dans sa totale liberté revendiquée mais vécue sans nulle cruauté, bien au contraire.
Les deux moments forts demeurent :
- La rencontre très réussie entre Bette, que l’on adore passionnée par son boulot, et la malicieuse « hasbienne » (on apprend du vocabulaire en plus). Jennifer Beals est toujours aussi sensible et de plus particulièrement en beauté ce soir, dois-je dire. Eloquente citation de Stendhal au passage, ce n’est pas si fréquent dans une série américaine (dans une série française non plus)
- De manière très habile la série débouche ensuite précisément sur une magnifique évocation de cette cristallisation chère à l’auteur, avec Jenny qui accepte enfin son sentiment envers Marina. La scène apparaît lumineuse dans sa simplicité, en évitant tout verbiage inutile pour laisser s’exprimer principalement le talent des deux formidables actrices. Le langage des expressions et des corps exprime avec une éloquence sans égale la nature extraordinaire de cette rencontre. Et puis ce n’est pas si souvent que l’on a l’occasion de voir Jenny (et Mia) ainsi irradier d’un bonheur sans mélange, on s’en réjouit.
Quel dommage vraiment que tout ceci se voit émoussé par le décalage temporel et les bouleversements récents! Si la programmation demeure aussi chaotique les vaillants couche tard découvrant la série risquent fort de décrocher...
L'un des nombreux trailers de cette saison 1. Show Time a visiblement particulièrement soigné la com autour de cette série.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Bon ba alors j'ai rien raté vu que mon enregistrement programmé n'a pas marché
Edit:je viens de vidéo raaaaaa trop bien faite,j'adore la musique,j'adore la voix de Kate Moenning.
Edit:je viens de vidéo raaaaaa trop bien faite,j'adore la musique,j'adore la voix de Kate Moenning.
Lala- Duc(hesse)
- Age : 38
Localisation : Paris
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
Actuellement en déplacement, mais à la faveur d'une connection occasionnelle, voci les dernières chroniques de la Planète L .
Episode très dynamique, multipliant des scènes étranges venues d'ailleurs que l'on imagine mal dans toute autre série, preuve que The L Word développe bien sa spécificité. On débute avec Shane seule femme dans une boîte gay masculine (de puis le début de la saison on ressent comme une camaraderie légèrement teintée d'ironie envers la maison d'en face), puis avec la même Shane en pleine descente se faire incendier par son patron (hilarant) avant de réussir la coupe du siècle, avec une satire de moeurs de la Jet Set de L.A. toujours finement ciselée.
Après on passe d'Alice écoutant des filles du Planet préparer « la nuit du Clit » et renouant avec le très Quatrième Dimension « Homme lesbien » (le type le plus malin de l'univers des séries télé), à Dana et lara se montrant très « euphoriques » en passant par Tina en proie à la version locale de la Ling d'Ally McBeal, complète en pétard après avoir appris que le donneur de sperme était son copain. Une journée comme une autre à West Hollywood.
Pendant ce temps Timouchet franchit les dernières limites du risible en accumulant les scènes pitoyables, à la police, chez ses copains et pire encore chez Marina (où, il se montre d'un ridicule fini). La série donne tout de même l'impression de de s'acharner sur lui, ce serait lui rendre service (et à nous) que lui indiquer la porte de sortie.
Mais le segment le plus fort de l'épisode demeure tout de même le trip (dans tous les sens du mot) très road movie de Jen, où l'incroyable Mia Kirshner se montre une nouvelle fois absolument bouleversante. Il s'agit sans doute ici du plus beau numéro d'actrice que la série nous ait offerte depuis son commencement, alors qu'elle se montre très prolixe en la matière. Jenny est totalement « lost in translation », le désarroi des sentiments dans toute sa son essence. J'ai adoré la « Jenny's Touch » très présente dans ce poème composant une déclaration d'amour à base d'évocation très gore de différents organes vitaux. Pour l'anecdote cette histoire de coeur arraché m'a immédiatement fait penser à Indiana Jones, je dois être un Geek moi aussi.
Au total un scénario sans temps morts, alignant sans faiblir des scènes aussi pimentées que passablement dingues. Les dialogues pétillent et la mise en scène sait admirablement varier ses effets. Les images de bette à New York sont ainsi absolument somptueuses, avec de plus une jolie Guest Star en la personne de Lisa Gay Hamilton (The Practice). On aime que la série trace son propre sillon et développe un ton vraiment original. Mon épisode préféré pour le moment.
Allez, quelques petites réserves,ce ne serait pas fun sinon. L'insertion de produits se poursuit encore et toujours, avec notamment une bouteille de Perrier figée sur l'axe de l'image, perturbant l'excellente scène de poker. Que des marques aussi prestigieuses se positionnent épisode après épisode dans cette série très particulière reste un signal, positif de l'évolution des moeurs mais les procédés employés apparaissent souvent très lourds. Cette histoire de portables coupés ou indisponibles sent tout de même le fabriqué, il est ainsi très surprenant que Bette n'ait pas l'idée de contacter l'une des copines !
Ah et puis petit message au réalisateur : ce n'est pas la peine de se casser la tête à reconstituer LA à Vancouver (avec succès) pour que, dès que Jenny sorte de la ville, on retrouve les forêts et les montagnes de cette région bien connue depuis une certaine série. Pour pallier à cette difficulté on tente, sous prétexte d'hallucinogènes, de surexposer l'image sous une lumière écrasante (on se croirait dans l'épisode mexicain des X-Files « John Doe » !) mais ce n'est pas au vieux singe que l'on va apprendre à faire la grimace !
Plus important on regrette que le personnage de Marina se montre finalement moins développé que les autres, elle semble cantonnée dans son rôle de perturbatrice entre Tim et Jenny. Elle de développe pas d'histoire en propre à la différence des autres personnages, c'est dommage de sous employer une actrice aussi géniale que Karina Lombard !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
ça m'ennerve c'est un des épisodes que j'avais raté la première fois et ba là rebelotte
L'épisode que j'attends surtout c'est la fête sur le bateau,complètement barré.C'est mercredi prochain il me semble ou alors dans deux semaine.
L'épisode que j'attends surtout c'est la fête sur le bateau,complètement barré.C'est mercredi prochain il me semble ou alors dans deux semaine.
Lala- Duc(hesse)
- Age : 38
Localisation : Paris
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
Actuellement en précommande "The L Word book", un album de photos de tournage prises par Jenny Beals. Avec également des commentaires par les actrices, des scripts...
http://www.shewired.com/Article.cfm?Section=1&ID=24474
http://lwordbook.com/
http://www.shewired.com/Article.cfm?Section=1&ID=24474
http://lwordbook.com/
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
L'un des meilleurs épisodes de la saison 1
ça part dans tous les sens
Les fameuses barbantes sont quand même les plus touchantes.J'adore quand elles partent du bateau cachées sous le foulard de Bette,très belle complicité pendant que Dana tente d'oublier Lara,Alice arrive à conclure avec Lisa.Shane un peu en retrait dans l'histoire mais toujours là pour ses copines et puis elle nous offre un très joli sourire à la fin.
J'adore la danse de séduction de Marina quand Jenny et elle arrivent sur le bateau.On assiste à la reformation du couple lorsque patatra Marina gache tout en annonçant le retour de Francesca,femme de tête comme elle.Lors de cette dernière scène on a du mal à saisir réellement les sentiments de Marina pour Jenny:est-ce que c'est quelqu'un qu'elle aime beaucoup mais ça s'arrête là?Ou alors est-ce qu'elle en est amoureuse?Lors de la scène du lit elle parle de vouloir être dans un univers parallèle avec Jenny,pour echaper à ce qui va arriver.Mais lorsqu'elle parle de sa compagne il y a énormément d'admiration et d'affection.Certe à la fin de la saison et au début de la saison 2 Marina est très clairement amoureuse de Jenny mais dans cet épisode elle laisse planer le doute et la pauvre Jenny se sent légèrement utilisée.
Quant à la dernière scène,on a mal pour Jenny mais on comprend un peu l'attitude de Tim.
ça part dans tous les sens
Les fameuses barbantes sont quand même les plus touchantes.J'adore quand elles partent du bateau cachées sous le foulard de Bette,très belle complicité pendant que Dana tente d'oublier Lara,Alice arrive à conclure avec Lisa.Shane un peu en retrait dans l'histoire mais toujours là pour ses copines et puis elle nous offre un très joli sourire à la fin.
J'adore la danse de séduction de Marina quand Jenny et elle arrivent sur le bateau.On assiste à la reformation du couple lorsque patatra Marina gache tout en annonçant le retour de Francesca,femme de tête comme elle.Lors de cette dernière scène on a du mal à saisir réellement les sentiments de Marina pour Jenny:est-ce que c'est quelqu'un qu'elle aime beaucoup mais ça s'arrête là?Ou alors est-ce qu'elle en est amoureuse?Lors de la scène du lit elle parle de vouloir être dans un univers parallèle avec Jenny,pour echaper à ce qui va arriver.Mais lorsqu'elle parle de sa compagne il y a énormément d'admiration et d'affection.Certe à la fin de la saison et au début de la saison 2 Marina est très clairement amoureuse de Jenny mais dans cet épisode elle laisse planer le doute et la pauvre Jenny se sent légèrement utilisée.
Quant à la dernière scène,on a mal pour Jenny mais on comprend un peu l'attitude de Tim.
Lala- Duc(hesse)
- Age : 38
Localisation : Paris
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
Effectivement nouvel excellent épisode hier soir. Après avoir mis quelques épisodes, certes toujours plaisants, à développer sa vraie personnalité et son originalité profonde, The L Word a désormais atteint son rythme de.. croisière (c'est le cas de le dire ici). La multiplicité des personnages , longtemps perçue comme un quasi handicap, à gérer permet désormais un kaléidoscope de scènes aux tonalités diverses, mais le plus souvent parfaitement agencées.
Après la scénette d'introduction traditionnelle (un procédé très 007 !) particulièrement sensuelle ici, à l'image de l'épisode, le récit débute idéalement avec une Marina particulièrement radieuse sur le standard de Luz Casal Un ano de Amor. Ce personnage reste un total mystère, apparemment très attachée à Jenny (quelques scènes très éloquente sur le bateau de nouveau sur Luz Casal mais aussi.. horizontalement) mais n'hésitant à la jeter lors du retour de sa régulière, avec quelques très vagues phrases de réconfort. Entre charisme lumineux, sentimet vrai dureté et absence totale de remords, Marina fascine mais dépiste en même temps, une vraie réussite d'autant que Karina Lombard irradie littéralement. On attend avec impatience de fraire vraiment connaissance avec sa moitié, cel doit être quelqu'un à niveau.
On aime bien Jenny mais la voir effondrée devant les mensonges de marina, alors qu'elle vient elle même de s'y enferrer avec le Tim, reste assez plaisamment ironique L'arroseuse arrosée etc. Tim le Vaillant se rappelle brusquement qu'il a une survivance de fierté à défendre, ce qui l'entraîne à être sans doute un tantinet rude avec Jen, mais honnêtement on a un peu de mal à lui en vouloir. C'est un le cul de sac pour notre Jenny, mais bon elle va rebondir, ne serait-ce que parce que la série ne peut définitivement plus se passer d'elle...
Le trio infernal Marina/Jenny/Timouchet apparaît à son meilleur ici, mais les deux grands moments de lépisode proviennent du Clan, avec une intervention (phénomène très américain, aperçu dans différentes séries, y compris une inoubliable dans Dead Zone) à; pleurer de rire et ensuite un des ses moments purement L Word qu'on adore : cette fête très spéciale virant à une Cité des femmes exacerbée à la Fellini, mais sur un yacht très jet set. L'atmosphère est particulièrement "électrique" (genre centrale à fusion) et tandis, que la croisière immobile s'amuse, les personnages et les comédiennes se mettent totalement en roue libre, pour la plus grande joie du spectateur.
Il se confirme que Shane, the Queen of the Teuf, tient admirablement l'alcool (avec un côté Terminator de la picole). Elle se montre aussi hilarante qu'attachante durant tout le récit. En fin d'épisode l'incroyable Kate Moenning nous offre un pure instant de grâce en dansant sur la rambarde du navire, parfait symbole de Shane en perpétuel équilibre instable au dessus du chaos de l'existence, mais toujours souriante, radieuse et positive. Un enchantement. Dans le registre del 'humour on apprécie aussi la romance bien hallucinée comme on l'aime entre Alice et l'homme lesbien venu d'Alpha du Centaure. Un très grand moment d'intense n'importe quoi ! A l'image de Dana s'étant totalement déchirée après sa rupture et incendiant le dance floor. Etc, toute la soirée apparaît comme une sarabande endiablée d'images totalemnt dingues, , où par contraste transparaît la tendresse sereine entre Bette et Tina, qui sont tout sauf barbantes! (la séance du Yoga est à pleurer de rire)
On espère cependant que le récit ne va pas trop verser dans l'euphorie, notamment avec une réconciliation comme si de rien n'était entre Dana et la charmante Lara, après le rebondissement trop providentiel du "plan à la Navratilova"). The L Word este une série où les mauvais choix se paient cash, ce serait bien dommage d'altérer cette véracité participant vivement à son intérêt.
Seul regret de cet épisode effectivement particulièrement réussi, je trouve que l'histoire de Kit et de son fils ne fonctionne pas du tout. C'est théâtral, mélo et très fabriqué. Mais heureusement cela demeure secondaire et nous vaut tout de même une belle scène entre soeurs.
On dépasse tout juste la mi saison, bien d'autres rebondissements en perspectives !
Après la scénette d'introduction traditionnelle (un procédé très 007 !) particulièrement sensuelle ici, à l'image de l'épisode, le récit débute idéalement avec une Marina particulièrement radieuse sur le standard de Luz Casal Un ano de Amor. Ce personnage reste un total mystère, apparemment très attachée à Jenny (quelques scènes très éloquente sur le bateau de nouveau sur Luz Casal mais aussi.. horizontalement) mais n'hésitant à la jeter lors du retour de sa régulière, avec quelques très vagues phrases de réconfort. Entre charisme lumineux, sentimet vrai dureté et absence totale de remords, Marina fascine mais dépiste en même temps, une vraie réussite d'autant que Karina Lombard irradie littéralement. On attend avec impatience de fraire vraiment connaissance avec sa moitié, cel doit être quelqu'un à niveau.
On aime bien Jenny mais la voir effondrée devant les mensonges de marina, alors qu'elle vient elle même de s'y enferrer avec le Tim, reste assez plaisamment ironique L'arroseuse arrosée etc. Tim le Vaillant se rappelle brusquement qu'il a une survivance de fierté à défendre, ce qui l'entraîne à être sans doute un tantinet rude avec Jen, mais honnêtement on a un peu de mal à lui en vouloir. C'est un le cul de sac pour notre Jenny, mais bon elle va rebondir, ne serait-ce que parce que la série ne peut définitivement plus se passer d'elle...
Le trio infernal Marina/Jenny/Timouchet apparaît à son meilleur ici, mais les deux grands moments de lépisode proviennent du Clan, avec une intervention (phénomène très américain, aperçu dans différentes séries, y compris une inoubliable dans Dead Zone) à; pleurer de rire et ensuite un des ses moments purement L Word qu'on adore : cette fête très spéciale virant à une Cité des femmes exacerbée à la Fellini, mais sur un yacht très jet set. L'atmosphère est particulièrement "électrique" (genre centrale à fusion) et tandis, que la croisière immobile s'amuse, les personnages et les comédiennes se mettent totalement en roue libre, pour la plus grande joie du spectateur.
Il se confirme que Shane, the Queen of the Teuf, tient admirablement l'alcool (avec un côté Terminator de la picole). Elle se montre aussi hilarante qu'attachante durant tout le récit. En fin d'épisode l'incroyable Kate Moenning nous offre un pure instant de grâce en dansant sur la rambarde du navire, parfait symbole de Shane en perpétuel équilibre instable au dessus du chaos de l'existence, mais toujours souriante, radieuse et positive. Un enchantement. Dans le registre del 'humour on apprécie aussi la romance bien hallucinée comme on l'aime entre Alice et l'homme lesbien venu d'Alpha du Centaure. Un très grand moment d'intense n'importe quoi ! A l'image de Dana s'étant totalement déchirée après sa rupture et incendiant le dance floor. Etc, toute la soirée apparaît comme une sarabande endiablée d'images totalemnt dingues, , où par contraste transparaît la tendresse sereine entre Bette et Tina, qui sont tout sauf barbantes! (la séance du Yoga est à pleurer de rire)
On espère cependant que le récit ne va pas trop verser dans l'euphorie, notamment avec une réconciliation comme si de rien n'était entre Dana et la charmante Lara, après le rebondissement trop providentiel du "plan à la Navratilova"). The L Word este une série où les mauvais choix se paient cash, ce serait bien dommage d'altérer cette véracité participant vivement à son intérêt.
Seul regret de cet épisode effectivement particulièrement réussi, je trouve que l'histoire de Kit et de son fils ne fonctionne pas du tout. C'est théâtral, mélo et très fabriqué. Mais heureusement cela demeure secondaire et nous vaut tout de même une belle scène entre soeurs.
On dépasse tout juste la mi saison, bien d'autres rebondissements en perspectives !
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Just for fun, l'un des passages les plus dingues et hilrants de cette saison. Alice est vraiment à pleurer de rire en concierge de la série. Des fois je me dis que cela aurait été une excellente idée de l'installer comme narratrice, mais cela aurait sans doute fait un peu trop SatC.
Sinon un regret tout de même, au bilan de cette première moitié de saison. Les personnaes se divisent clairement en deux catégories : ceux de premier plan, moteurs principaux de l'intrigue (Tina/Bette et Marina/Jen/Tim) et les autres, principalement utiliosés pour donner du liant au récit par ces scénettes (ou de petits fils rouges temporaires) partioculièrement divertissantes mais secondaires, des vignettes. (Shane, Alice au pays des merveilles, Dana et Kit). Après on a encore les rencontres ponctuelles ou semi récurrentes.
Et bien on aimerait que Shane passe enfin le goupe des cadors, on aimerait la voir plus et au premier rang de l'action. pour l'instant son grand potentiel est continuellement sous exploité, ce n'est pas normal. Malheureusement les techniques d'écritures étant ce quelles sont, je crains qu'il ne faille attendre la saison 2 pour cela. En fait, pour l'instant ele continue à apporter un vrai plus aux histoires, c'est déjà beaucoup.
Sinon un regret tout de même, au bilan de cette première moitié de saison. Les personnaes se divisent clairement en deux catégories : ceux de premier plan, moteurs principaux de l'intrigue (Tina/Bette et Marina/Jen/Tim) et les autres, principalement utiliosés pour donner du liant au récit par ces scénettes (ou de petits fils rouges temporaires) partioculièrement divertissantes mais secondaires, des vignettes. (Shane, Alice au pays des merveilles, Dana et Kit). Après on a encore les rencontres ponctuelles ou semi récurrentes.
Et bien on aimerait que Shane passe enfin le goupe des cadors, on aimerait la voir plus et au premier rang de l'action. pour l'instant son grand potentiel est continuellement sous exploité, ce n'est pas normal. Malheureusement les techniques d'écritures étant ce quelles sont, je crains qu'il ne faille attendre la saison 2 pour cela. En fait, pour l'instant ele continue à apporter un vrai plus aux histoires, c'est déjà beaucoup.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Ben elle est moins humaine,elle peut se montrer cassante...non franchement c'est Fancesca la bitchEstuaire44 a écrit:On attend avec impatience de fraire vraiment connaissance avec sa moitié, cel doit être quelqu'un à niveau.
Quant à une possible réconciliation Dana/Lara sans vouloir te spoiler aucunement,tu vas devoir attendre bien longtemps.
Edit:oui pour Shane il faut attendre la saison 2 pour qu'elle ait une plus grande importance.Mais déjà vers la fin de la saison 1 ça va commencer.
Lala- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
Bon, ben spéciale Michael jackson ce soir sur Virgin 17. Super.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Donc pas de The L Word?Pas de Marina?
Nooooo this is not happening
Nooooo this is not happening
Lala- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
Bah non, pas de Tim pleurant sa mère non plus. (j'essaie de positiver)
Tiens on a vu Erin Danies (Dana), en guest dans Dexter, il y a deux semaines. Apparition très sympa et tonique (2006) mais rôle anecdotique (une voisine ayant un chien bruyant)
Tiens on a vu Erin Danies (Dana), en guest dans Dexter, il y a deux semaines. Apparition très sympa et tonique (2006) mais rôle anecdotique (une voisine ayant un chien bruyant)
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Du très grand The L Word hier soir avec en prime deux épisodes et ça va être comme ça je crois pendant le reste de la saison 1
Commençons tout d'abord par Bette.Jennifer beals incroyablement talentueuse dans ces deux épisodes.Elle cache tout mais à l'intérieur ça craquelle.On nous la montrer plein de certitudes en début de saison et la voilà qui commence à douter de sa futur maternité.Il y a cette dernière scène après avoir fait déguerpir des opposants à cette exposition:on la voit de dos,elle craque et quand elle se retourne elle se reprend.Certe Tina a besoin encore plus de soutient mais cette scène la caractérise énormément.Forte,droite mais avec énormément de faiblesse et de fragilité.
Le premier épisode d'hier soir a mis en confrontation Bette et une autre femme,celle-ci lui reprochait de ne pas mettre en avant ses origines.De part les propos de Bette,on sent qu'il y a eu beaucoup d'épreuves traversées mais je trouve dommage que les scénaristes ne soient pas allés plus loin dans le passé de Bette.
En tout cas,les scènes entre ces deux femmes étaient vraiment intéressante.
Par contre,ce qui m'ennerve chez Betty c'est que lorsque Tina tente de prendre une certaine indépendance vis à vis de ses décisions,sa compagne le prend mal.
Quant à Fae Bucklay .Pourtant c'est avec elle que Bette aura une de ses plus belles scènes à la fin du prochain épisode,cette fin ça vous et
Alice et Lisa mwahahahahaaaa
Dana,heureusement qu'Alice est là pour la soutenir
Shane se refait de plus en plus présente et j'adore quand elle s'ennerve et ça y est son histoire avec Cherry commence,c'est une autre Shane que l'on va voir.
Marina se révèle et montre enfin ses sentiments
Commençons tout d'abord par Bette.Jennifer beals incroyablement talentueuse dans ces deux épisodes.Elle cache tout mais à l'intérieur ça craquelle.On nous la montrer plein de certitudes en début de saison et la voilà qui commence à douter de sa futur maternité.Il y a cette dernière scène après avoir fait déguerpir des opposants à cette exposition:on la voit de dos,elle craque et quand elle se retourne elle se reprend.Certe Tina a besoin encore plus de soutient mais cette scène la caractérise énormément.Forte,droite mais avec énormément de faiblesse et de fragilité.
Le premier épisode d'hier soir a mis en confrontation Bette et une autre femme,celle-ci lui reprochait de ne pas mettre en avant ses origines.De part les propos de Bette,on sent qu'il y a eu beaucoup d'épreuves traversées mais je trouve dommage que les scénaristes ne soient pas allés plus loin dans le passé de Bette.
En tout cas,les scènes entre ces deux femmes étaient vraiment intéressante.
Par contre,ce qui m'ennerve chez Betty c'est que lorsque Tina tente de prendre une certaine indépendance vis à vis de ses décisions,sa compagne le prend mal.
Quant à Fae Bucklay .Pourtant c'est avec elle que Bette aura une de ses plus belles scènes à la fin du prochain épisode,cette fin ça vous et
Alice et Lisa mwahahahahaaaa
Dana,heureusement qu'Alice est là pour la soutenir
Shane se refait de plus en plus présente et j'adore quand elle s'ennerve et ça y est son histoire avec Cherry commence,c'est une autre Shane que l'on va voir.
Marina se révèle et montre enfin ses sentiments
Lala- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
Beaucoup de choses effectivement dans ces deux épisodes, peut-être un peu trop, notamment dans le premier ou cela va vraiment à cent à l’heure. Heureusement le découpage narratif reste impeccable.
Inévitablement quand on sature un récit il y a des défauts, ces deux excellents épisodes (ils passent très vite, signe positif qui ne trompe pas) présentent effectivement quelques faiblesses. Tout d’abord la visite de la copine de Jenny bon, euh.. Cela bêtifie à tout va , Jen devient légère comme une bulle de savon , je ne l’aime pas trop comme ça ; La visite du prof était autrement plus intense. L’histoire semble se déquilibrer toujours plus entre Bette et tina, cette dernière étant nettement plus mise en avant. On se rend compte qu’alors que la fin de saison approche à grands pas l’on ne connaît finalement que bien partiellement les personnages, Bette ne cesse ne répéter à son agresseuse « Black Panther » qu’elle ne la connaît pas, qu’elle ignore comme elle s’est débrouille en tant que noire et lesbienne pour évoluer dans ce monde. Mais.. Nous non plus en fait ! On en reste principalement dans le relationnel immédiat, c’est un peu la limite de la série.
Bon, ceci mis à part on passe une excellente soirée, car ces épisodes constituent encore de forts jolis exemples du savoir faire de la série : émotion, humour et endroits sans doute situés dans une galaxie très très lointaine.
Dans la Twilight Zone on retrouve bien entendu la fameuse Nuit du Clit, assez hallucinante y compris en tant que bide cosmique. Tiens, je m’en souviens de ces anneaux… On aussi la journée des épouses républicaines, faisant furieusement penser aux dîners de famille chez les Scully et donnant juste envie de sauter par la fenêtre, peu importe le nombre d’étage. On s’amuse aussi beaucoup avec la séance psy de groupe totalement ridicule, avec des personnages excellemment décrits (on sent du vécu derrière pas mal de passage de The L Word, un vrai plus). On pourrait y ajouter le tournage du clip mais TLW subi ici une malédiction commune à toutes les séries (et à quelques films, ah, ah, ah) dès qu’un rappeur apparaît, l’intérêt s’enfuit. Le guet Snoop Machin a du amuser ses fans, globalement il est sinistrement nul.
Le rayon humour est tenu avec verve et énergie par Alice et Shane, particulièrement toniques. La première poursuit son odyssée avec l’homme lesbien (ça sent la fin) ets e m^mle toujours aussi irrésistiblement des affaires des copines. Le personnage est de plus en plus enroue libre au fil des épisodes et c’est tant mieux. Shane poursuit sa découverte du grand monde dde Beverly Hills, ce qui nous apporte toujours des scènes aussi frappées. The L Word pend ici des allures de « le Diable s’habille en Prada », mais se montre autrement plus marrant que son modèle, notamment grâce à une Shane toujours aussi zen et à l’angle particulier de la série. Mais aussi à la grande guest de la soirée, rien de moins que Rosanna Arquette, toujours aussi belle et mutine. L’actrice a visiblement tout compris à l’esprit de la série et s’y intègre impeccablement. Un personnage en or massif et une love story que l’on espère voir se poursuivre avec Shane. Le cocu magnifique vaut aussi le détour, il ne fait décidément pas bon être un mâle dans cette série…
Mais cette partie humoristique, aussi pêchue soit-elle, demeure finalement secondaire, la dominante de la soirée s’orientant vers le drame, intense mais toujours sans pathos dégoulinant (on sourit toujours par moments). Dana poursuit l’épreuve de la « sortie de placard », avec plusieurs moments déchirants en famille, mais l’histoire est racontée comme une naissance, douloureuse mais libératoire avec un ton parfaitement juste. Erin Daniels interprète parfaitement Dana, quelle que soit la tonalité de la scène, une vraie démonstration. J’ai bien aimé le personnage du frère, joliment croqué en quelques scènes ; Le voir poser sa min sur la vitre de la voiture était assez émouvant.
Le couple Bette Tina affronte l’épreuve de la perte de l’enfant ce qui nous vaut une scène déchirant avec une Tina en larmes, quelque peu parasité par l’arrivée des illuminés . je trouve que le télescopage arrive un peu trop vite, mais c’est encore une conséquence de rythme de folie de cette série. Jennifer Beals est juste incroyable (une fois de plus) durant cette scène. Bette est soumise à d’autres agressions, comme celle de la soeur » très remontée mais surtout de cette [censuré] aussi ridicule que détestable. Chapeau à Helen Shaver, autre guest de la soirée, qui arrive en deux minutes à rendre son personnage de gourou parfaitement visqueux et haïssable, de la belle ouvrage et une scène impeccablement filmée. Notre Bette semble de plus en plus s’enfermer dans le spleen au film des épisodes ‘depuis le retour du bâteau) et aussi doucement qu’inexorablement se fissurer. On ne sait pas trop ou elle va mais le couple a l’air de battre de l’aile même si Tina ne s’en rend pas encore compte.
Tim/Jen/Marina continuent à vivre leur histoire de manière quasi autonome du reste de la série. Tim «tu reste pour une seule nuit » continue à soigner son profil de looser et Jen se montre nettement plus intéressante dans le second épisode que dans le premier, très Ally McBeal. On aime quand elle exprime son côté obscur, d’autant qu’elle commence à se rebiffer et à sortir les griffes, une nouveauté bienvenue (quelques attitudes à la Mandy de 24h ce soir, c’était assez amusant à observer). La meilleure scène de la soirée reste d’ailleurs ce dîner si festif chez Marina/Francesca, à la chaude ambiance non pas à couper au couteau mais à la tronçonneuse. Très grand moment, avec une remarquable Francesca, souveraine des lieux, avec tout de même un vrai panache même si assez inhumaine de dureté par ailleurs. Par réaction, on ne sait pas trop, Marina semble se « féminiser » et laisser affleurer davantage ses sentiments. On peut même se demander si Marina ne singeait pas l’absente jusqu’ici, Elle fend l’armure mais on sent bien que cela n’ira pas beaucoup plus loin.
Une soirée réussie très dense. Coupler deux épisodes est une bonne idée, trois ce serait trop riche!
Inévitablement quand on sature un récit il y a des défauts, ces deux excellents épisodes (ils passent très vite, signe positif qui ne trompe pas) présentent effectivement quelques faiblesses. Tout d’abord la visite de la copine de Jenny bon, euh.. Cela bêtifie à tout va , Jen devient légère comme une bulle de savon , je ne l’aime pas trop comme ça ; La visite du prof était autrement plus intense. L’histoire semble se déquilibrer toujours plus entre Bette et tina, cette dernière étant nettement plus mise en avant. On se rend compte qu’alors que la fin de saison approche à grands pas l’on ne connaît finalement que bien partiellement les personnages, Bette ne cesse ne répéter à son agresseuse « Black Panther » qu’elle ne la connaît pas, qu’elle ignore comme elle s’est débrouille en tant que noire et lesbienne pour évoluer dans ce monde. Mais.. Nous non plus en fait ! On en reste principalement dans le relationnel immédiat, c’est un peu la limite de la série.
Bon, ceci mis à part on passe une excellente soirée, car ces épisodes constituent encore de forts jolis exemples du savoir faire de la série : émotion, humour et endroits sans doute situés dans une galaxie très très lointaine.
Dans la Twilight Zone on retrouve bien entendu la fameuse Nuit du Clit, assez hallucinante y compris en tant que bide cosmique. Tiens, je m’en souviens de ces anneaux… On aussi la journée des épouses républicaines, faisant furieusement penser aux dîners de famille chez les Scully et donnant juste envie de sauter par la fenêtre, peu importe le nombre d’étage. On s’amuse aussi beaucoup avec la séance psy de groupe totalement ridicule, avec des personnages excellemment décrits (on sent du vécu derrière pas mal de passage de The L Word, un vrai plus). On pourrait y ajouter le tournage du clip mais TLW subi ici une malédiction commune à toutes les séries (et à quelques films, ah, ah, ah) dès qu’un rappeur apparaît, l’intérêt s’enfuit. Le guet Snoop Machin a du amuser ses fans, globalement il est sinistrement nul.
Le rayon humour est tenu avec verve et énergie par Alice et Shane, particulièrement toniques. La première poursuit son odyssée avec l’homme lesbien (ça sent la fin) ets e m^mle toujours aussi irrésistiblement des affaires des copines. Le personnage est de plus en plus enroue libre au fil des épisodes et c’est tant mieux. Shane poursuit sa découverte du grand monde dde Beverly Hills, ce qui nous apporte toujours des scènes aussi frappées. The L Word pend ici des allures de « le Diable s’habille en Prada », mais se montre autrement plus marrant que son modèle, notamment grâce à une Shane toujours aussi zen et à l’angle particulier de la série. Mais aussi à la grande guest de la soirée, rien de moins que Rosanna Arquette, toujours aussi belle et mutine. L’actrice a visiblement tout compris à l’esprit de la série et s’y intègre impeccablement. Un personnage en or massif et une love story que l’on espère voir se poursuivre avec Shane. Le cocu magnifique vaut aussi le détour, il ne fait décidément pas bon être un mâle dans cette série…
Mais cette partie humoristique, aussi pêchue soit-elle, demeure finalement secondaire, la dominante de la soirée s’orientant vers le drame, intense mais toujours sans pathos dégoulinant (on sourit toujours par moments). Dana poursuit l’épreuve de la « sortie de placard », avec plusieurs moments déchirants en famille, mais l’histoire est racontée comme une naissance, douloureuse mais libératoire avec un ton parfaitement juste. Erin Daniels interprète parfaitement Dana, quelle que soit la tonalité de la scène, une vraie démonstration. J’ai bien aimé le personnage du frère, joliment croqué en quelques scènes ; Le voir poser sa min sur la vitre de la voiture était assez émouvant.
Le couple Bette Tina affronte l’épreuve de la perte de l’enfant ce qui nous vaut une scène déchirant avec une Tina en larmes, quelque peu parasité par l’arrivée des illuminés . je trouve que le télescopage arrive un peu trop vite, mais c’est encore une conséquence de rythme de folie de cette série. Jennifer Beals est juste incroyable (une fois de plus) durant cette scène. Bette est soumise à d’autres agressions, comme celle de la soeur » très remontée mais surtout de cette [censuré] aussi ridicule que détestable. Chapeau à Helen Shaver, autre guest de la soirée, qui arrive en deux minutes à rendre son personnage de gourou parfaitement visqueux et haïssable, de la belle ouvrage et une scène impeccablement filmée. Notre Bette semble de plus en plus s’enfermer dans le spleen au film des épisodes ‘depuis le retour du bâteau) et aussi doucement qu’inexorablement se fissurer. On ne sait pas trop ou elle va mais le couple a l’air de battre de l’aile même si Tina ne s’en rend pas encore compte.
Tim/Jen/Marina continuent à vivre leur histoire de manière quasi autonome du reste de la série. Tim «tu reste pour une seule nuit » continue à soigner son profil de looser et Jen se montre nettement plus intéressante dans le second épisode que dans le premier, très Ally McBeal. On aime quand elle exprime son côté obscur, d’autant qu’elle commence à se rebiffer et à sortir les griffes, une nouveauté bienvenue (quelques attitudes à la Mandy de 24h ce soir, c’était assez amusant à observer). La meilleure scène de la soirée reste d’ailleurs ce dîner si festif chez Marina/Francesca, à la chaude ambiance non pas à couper au couteau mais à la tronçonneuse. Très grand moment, avec une remarquable Francesca, souveraine des lieux, avec tout de même un vrai panache même si assez inhumaine de dureté par ailleurs. Par réaction, on ne sait pas trop, Marina semble se « féminiser » et laisser affleurer davantage ses sentiments. On peut même se demander si Marina ne singeait pas l’absente jusqu’ici, Elle fend l’armure mais on sent bien que cela n’ira pas beaucoup plus loin.
Une soirée réussie très dense. Coupler deux épisodes est une bonne idée, trois ce serait trop riche!
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
"The Real L Word" : Show Time lance cet été un reality show très proche de l'univers de The L Word. On y suivra la vie d'une communauté lesbienne située à West Hollywood, tadis que la créatrice, productrice et scénariste de la série sera encore ici aux commandes.
http://www.realitytvworld.com/news/showtime-debut-the-real-l-word-lesbian-reality-series-on-june-20-10615.php
Hum, si Ilene Chaiken s'investit là dedans c'est que le film envisagé ne prend pas bonne tournure...
http://www.realitytvworld.com/news/showtime-debut-the-real-l-word-lesbian-reality-series-on-june-20-10615.php
Hum, si Ilene Chaiken s'investit là dedans c'est que le film envisagé ne prend pas bonne tournure...
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Oui ba plutot que de produire de la real tv,ça serait bien qu'elle avance dans son spin off sur Alice
Lala- Duc(hesse)
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Re: Série "The L Word"
Ouch, la L soirée débuté affreusement mal avec ce qui apparaît bien comme le plus mauvais épisode depuis le début de cette première saison. Grosse panne d’inspiration pour l’auteure de la série : alors que jusqu’ici elle parvenait à unifier les différents fils de son intrigue autour d’épisodes à thèmes, là tout parait brouillon, éclaté, inutile. Des scènes bien trop brèves et nombreuses s’empilent, avec un sentiment de trop grande facilité. Shane doit gérer une fille à la dérive et hop, en 30 secondes elles deviennent super copines (bon c’est Shane, mais tout de même) avec au passage une scène de golf miniature très « baseball de chez X-files ». Cela va trop bien, trop rapidement pour Shane y compris professionnellement. Gnan gnan en vue ! Tina a besoin d’un dérivatif, et hop l’un des membres du groupe psy lui offre de participer à une association convenant idéalement, qui hip apporte très précisément à Bette l’arme qu’il lui faut contre l’effroyable Fae Buckley.
Tout cela se déroule avec beaucoup trop d’artificialité, c’est un peu The L Word qui percute le monde des contes de fées. On ne sait pas trop quoi faire des autres personnages, alors on se lange dans des segments sont creux, avec la grosses d’Alice à laquelle personne ne croit ou la scène entre Tim et Jen à propos de l’élève de celui-ci. Personne n’y croit déclare Tim, il a raison. Le plus pénible demeure la rencontre avortée entre cette même Jen et Dana. Cela se veut drôle mais c’est en fait très lourd. Et surtout le procédé scénaristique apparaît transparent comme du cristal : avec Tim on prolonge artificiellement mais c’est mort, marina ne va pas à l’évidence rompre avec Francesca, alors que va-t-on faire de Jenny pour la garder dans la série durant deuxième saison, elle qui n’a jusqu’ici développé quasiment aucune relation avec le clan ? L’opération « Il faut sauver le soldat Jenny » est lancée avec force fracas, il s’agit de tisser des liens au plus vite. Virage mal négocié ici. Et puis Kit et son rappeur gominé se la pétant en permanence, on n’en peut plus.
Quelques moments surnagent dans cette morne narration, comme le débat télévisé incroyablement violent (Fae Buckley est vraiment la pourriture intégrale dont la série avait besoin), les frictions dans le couple Marina/Francesca (toujours aussi impressionnante, un roc blond), on cherche à nous faire croire que cela reste possible avec jenny, mais cela reste joliment écrit et superbement interprété (la série peut toujours compter sur ses actrices quand le scénario fait défaut). Et puis on a toujours l’endroit étrange venu de l’autre bout de l’univers qui apporte toujours un scène réussie à l’épisode, en l’occurrence le bar lesbien fifties, dont on sent bien qu’il existe vraiment. Des instantanés réussis mais qui ne sauvent pas un récit par trop éclaté et peu judicieux dans son propos.
Virage à 180° et hausse quantique ‘intérêt pour l’épisode suivant qui réussit tout ce que en quoi le précédent a échoué. L’auteur regroupe cette fois ses personnages dans une histoire l resserrée et cohérente lors de cette expédition à Palm Springs pour un réunion de l’association de golfeuses pro (si j’ai bien compris), ce qui vient renforcer la réputation L de ce milieu dont j’avais déjà entendu parler par ailleurs. Cette expédition s’avère très réussi et foncièrement hilarante, reconstituant à la puissance n l’ambiance « Cité des femmes » de la soirée sur le yacht. Pour ce qui est atmosphère exotique et légèrement dingue on est servi tout au long de l’histoire avec des seconds rôles en roue libre et totalement excités, à l’image de cette attachée de presse aussi marrante qu’horripilante.
Outre l’environnement très électrique le récit à l’idée géniale de faire révéler par chacune des héroïnes le moment où elle est « sortie du placard ».cela donne à l’épisode un petit côté de film à sketchs très pimenté et réussi, d’autant que ces différentes historiettes présentent à chaque fois une tonalité très différente, révélatrice de la personnalité du personnage. Mention spéciale au groupe métal pourri de la jeune Alice ou au plans floutés de Dana, joli coup ! L’enchevêtrement des différentes histoires apporte aussi un peu de ce background manquant au clan, évoquant enfin comment ses membres se sont connus (superbe rencontre entre Tina et Bette qui par ailleurs a rudement bien fait de changer de coupe, la perruque de l’Enfer). Tout sonne parfaitement juste, sans pathos ni passage inutile. Alors que l’on pensait ne pas avoir le coming ont out de Jenny (que l’on continue décidément à fusionner au groupe…) tout simplement parce qu’on le connaît déjà, le scénario a l’idée maîtresse de nous le faire revivre par les yeux de belle brune, bien joué ! Mia est une nouvelle fois incroyable.
Le récit évite tout impression de cette artificialité que ce procédé proche du clip show peut éventuellement présenter en continuant à faire vivre les personnages autour de leurs récits, .avec à chaque fois une scène finement ciselée à la clef. Alice la concierge est excitée comme une puce, on s’amuse franchement beaucoup en sa compagnie, de même qu’en voyant Dana en idole de jeunes groupes en folie. On apprécie que jenny conserve sa personnalité décalée et enténébrée, même au sein de cette liesse. Alors que Tina retrouve goût à la vie, on a droit un joli contrepoint avec la rencontre très crédible et sensible entre Bette et Candace. Celle ci, très solide et pondérée (une New-yorkaise à LA) est ce dont Bette à besoin, en ce moment, le récit sonne une nouvelle fois très juste. On frémit en s’apercevant que le couple a éviter le drame d’un cheveu. , tandis que Bette continue à se singulariser et à flotter. On n’a plus de mot pour dire le bien que l’on pense du jeu de Jenny Beals.
Quelques points secondaires mais très amusants, comme le retour azimuté de la mère d’Alice (Anne Archer est impayable) ou la tronche que tire Marina en voyant Jen partir s’amuser avec les copines, décidément rien ne manque à cet épisode particulièrement relevé. Seul point sombre : le placement de produit (Burger King, Perrier, Apple etc.) toujours aussi envahissant et surtout amené sans subtilité aucune, en totale rupture avec la finesse de la série.
Cultivons nous avec The L Word, d’après Wikipédia :
Palm Springs est une ville de Californie aux États-Unis.
Elle est située à 170 km à l'est de Los Angeles et est très réputée pour ses parcours de golf.
Son agréable climat doux et sec (354 jours de soleil par an et moins de 150 mm de précipitations annuelles) fait que cette petite ville est très appréciée comme lieu de villégiature pour les stars hollywoodiennes et les riches retraités californiens.
La ville accueille chaque année un festival lesbien (le Dinah Shore Week-End), fréquenté par environ 10 000 femmes1. Les homosexuels représentent aujourd'hui 30 % de la population de la ville1. Le conseil municipal compte plusieurs personnalités gays, comme les deux derniers maires (Steve Pougnet et Ron Oden). Un tournoi de golf féminin y a lieu également.
Et un rappel :
L'acteur britannique Patrick Macnee y habite depuis 1969.
Tout cela se déroule avec beaucoup trop d’artificialité, c’est un peu The L Word qui percute le monde des contes de fées. On ne sait pas trop quoi faire des autres personnages, alors on se lange dans des segments sont creux, avec la grosses d’Alice à laquelle personne ne croit ou la scène entre Tim et Jen à propos de l’élève de celui-ci. Personne n’y croit déclare Tim, il a raison. Le plus pénible demeure la rencontre avortée entre cette même Jen et Dana. Cela se veut drôle mais c’est en fait très lourd. Et surtout le procédé scénaristique apparaît transparent comme du cristal : avec Tim on prolonge artificiellement mais c’est mort, marina ne va pas à l’évidence rompre avec Francesca, alors que va-t-on faire de Jenny pour la garder dans la série durant deuxième saison, elle qui n’a jusqu’ici développé quasiment aucune relation avec le clan ? L’opération « Il faut sauver le soldat Jenny » est lancée avec force fracas, il s’agit de tisser des liens au plus vite. Virage mal négocié ici. Et puis Kit et son rappeur gominé se la pétant en permanence, on n’en peut plus.
Quelques moments surnagent dans cette morne narration, comme le débat télévisé incroyablement violent (Fae Buckley est vraiment la pourriture intégrale dont la série avait besoin), les frictions dans le couple Marina/Francesca (toujours aussi impressionnante, un roc blond), on cherche à nous faire croire que cela reste possible avec jenny, mais cela reste joliment écrit et superbement interprété (la série peut toujours compter sur ses actrices quand le scénario fait défaut). Et puis on a toujours l’endroit étrange venu de l’autre bout de l’univers qui apporte toujours un scène réussie à l’épisode, en l’occurrence le bar lesbien fifties, dont on sent bien qu’il existe vraiment. Des instantanés réussis mais qui ne sauvent pas un récit par trop éclaté et peu judicieux dans son propos.
Virage à 180° et hausse quantique ‘intérêt pour l’épisode suivant qui réussit tout ce que en quoi le précédent a échoué. L’auteur regroupe cette fois ses personnages dans une histoire l resserrée et cohérente lors de cette expédition à Palm Springs pour un réunion de l’association de golfeuses pro (si j’ai bien compris), ce qui vient renforcer la réputation L de ce milieu dont j’avais déjà entendu parler par ailleurs. Cette expédition s’avère très réussi et foncièrement hilarante, reconstituant à la puissance n l’ambiance « Cité des femmes » de la soirée sur le yacht. Pour ce qui est atmosphère exotique et légèrement dingue on est servi tout au long de l’histoire avec des seconds rôles en roue libre et totalement excités, à l’image de cette attachée de presse aussi marrante qu’horripilante.
Outre l’environnement très électrique le récit à l’idée géniale de faire révéler par chacune des héroïnes le moment où elle est « sortie du placard ».cela donne à l’épisode un petit côté de film à sketchs très pimenté et réussi, d’autant que ces différentes historiettes présentent à chaque fois une tonalité très différente, révélatrice de la personnalité du personnage. Mention spéciale au groupe métal pourri de la jeune Alice ou au plans floutés de Dana, joli coup ! L’enchevêtrement des différentes histoires apporte aussi un peu de ce background manquant au clan, évoquant enfin comment ses membres se sont connus (superbe rencontre entre Tina et Bette qui par ailleurs a rudement bien fait de changer de coupe, la perruque de l’Enfer). Tout sonne parfaitement juste, sans pathos ni passage inutile. Alors que l’on pensait ne pas avoir le coming ont out de Jenny (que l’on continue décidément à fusionner au groupe…) tout simplement parce qu’on le connaît déjà, le scénario a l’idée maîtresse de nous le faire revivre par les yeux de belle brune, bien joué ! Mia est une nouvelle fois incroyable.
Le récit évite tout impression de cette artificialité que ce procédé proche du clip show peut éventuellement présenter en continuant à faire vivre les personnages autour de leurs récits, .avec à chaque fois une scène finement ciselée à la clef. Alice la concierge est excitée comme une puce, on s’amuse franchement beaucoup en sa compagnie, de même qu’en voyant Dana en idole de jeunes groupes en folie. On apprécie que jenny conserve sa personnalité décalée et enténébrée, même au sein de cette liesse. Alors que Tina retrouve goût à la vie, on a droit un joli contrepoint avec la rencontre très crédible et sensible entre Bette et Candace. Celle ci, très solide et pondérée (une New-yorkaise à LA) est ce dont Bette à besoin, en ce moment, le récit sonne une nouvelle fois très juste. On frémit en s’apercevant que le couple a éviter le drame d’un cheveu. , tandis que Bette continue à se singulariser et à flotter. On n’a plus de mot pour dire le bien que l’on pense du jeu de Jenny Beals.
Quelques points secondaires mais très amusants, comme le retour azimuté de la mère d’Alice (Anne Archer est impayable) ou la tronche que tire Marina en voyant Jen partir s’amuser avec les copines, décidément rien ne manque à cet épisode particulièrement relevé. Seul point sombre : le placement de produit (Burger King, Perrier, Apple etc.) toujours aussi envahissant et surtout amené sans subtilité aucune, en totale rupture avec la finesse de la série.
Cultivons nous avec The L Word, d’après Wikipédia :
Palm Springs est une ville de Californie aux États-Unis.
Elle est située à 170 km à l'est de Los Angeles et est très réputée pour ses parcours de golf.
Son agréable climat doux et sec (354 jours de soleil par an et moins de 150 mm de précipitations annuelles) fait que cette petite ville est très appréciée comme lieu de villégiature pour les stars hollywoodiennes et les riches retraités californiens.
La ville accueille chaque année un festival lesbien (le Dinah Shore Week-End), fréquenté par environ 10 000 femmes1. Les homosexuels représentent aujourd'hui 30 % de la population de la ville1. Le conseil municipal compte plusieurs personnalités gays, comme les deux derniers maires (Steve Pougnet et Ron Oden). Un tournoi de golf féminin y a lieu également.
Et un rappel :
L'acteur britannique Patrick Macnee y habite depuis 1969.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Je viens de voir le premier épisode de mercredi soir(le second sera pour plus tard).je suis de ton avis Estuaire sur le fait que les scène s'enchainent trop rapidement et ne permets d'exploiter quoi que se soit.
Après je trouve que la scène entre Dana et Jenny est assez drole,la première qui n'est pas vraiment à l'aise et Jenny sort des banalités,je la trouve toute chou dans cette scène,elle s'y prend mal mais elle est attendrissante surtout quand elle dit "Tim m'a permit de rester...je lui paie un loyer...ça fait assez bizarre".
Mais elles ne portent jamais de soutif' quand elles sortent?
Francesca,que quelqu'un la frappe s'il vout plait.Par contre ce qui est bien c'est qu'on a une autre facette de Marina.
Quant au débat,je suis dans le même état qu'à la première diffusion de l'épisode.C'est d'une violence inouïe et la réaction de Bette,la pauvre.Le pire c'est que Fay s'approche d'elle pour la consoler alors que c'est elle qui a provoquée ses larmes.Fae Buckley est un grand personnage,je suis d'accord.Mais par contre que quelqu'un me sorte une bonne blague maintenant.Tu vas voir Estuaire,saison 3,épisode 12 c'est encore pire que ça.
Mais avant,il y a la scène de fin du dernier épisode de la saison 1(la semaine prochaine normalement) qui est très dure elle aussi.
Candace et Bette:my god que ça crépite quand elles sont dans la même pièce.
Après je trouve que la scène entre Dana et Jenny est assez drole,la première qui n'est pas vraiment à l'aise et Jenny sort des banalités,je la trouve toute chou dans cette scène,elle s'y prend mal mais elle est attendrissante surtout quand elle dit "Tim m'a permit de rester...je lui paie un loyer...ça fait assez bizarre".
Mais elles ne portent jamais de soutif' quand elles sortent?
Francesca,que quelqu'un la frappe s'il vout plait.Par contre ce qui est bien c'est qu'on a une autre facette de Marina.
Quant au débat,je suis dans le même état qu'à la première diffusion de l'épisode.C'est d'une violence inouïe et la réaction de Bette,la pauvre.Le pire c'est que Fay s'approche d'elle pour la consoler alors que c'est elle qui a provoquée ses larmes.Fae Buckley est un grand personnage,je suis d'accord.Mais par contre que quelqu'un me sorte une bonne blague maintenant.Tu vas voir Estuaire,saison 3,épisode 12 c'est encore pire que ça.
Mais avant,il y a la scène de fin du dernier épisode de la saison 1(la semaine prochaine normalement) qui est très dure elle aussi.
Candace et Bette:my god que ça crépite quand elles sont dans la même pièce.
Lala- Duc(hesse)
- Age : 38
Localisation : Paris
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
Donc ça y est pour le second
Alors c'est un gros pendant tout le long de l'épisode
Le meilleur c'est la scène très Bridget Jones avec Jenny qui raconte son histoire avec Marina devant d'autres nanas avec les réactions de ces dernières.
Jenny:et c'est là qu'elle me dit "Jenny je crois que je pourrais tomber amoureuse de toi"
une fille:attends,elle a dit "je crois"
Jenny:"je crois que je pourrais"
la fille:oui mais elle a dit "je crois" et elle s'est arrangée pour que tu l'occultes
En tout cas,j'aime bien la blonde qui lui vient en aide.
Alice et son groupe de métal ça aussi c'est un bon moment et puis Leisha Haley est tellement douée dans la comédie.En tout cas Alice cheveux long,sale,fringue pourris est tellement belle.
Puis petit détail très amusant en arrière fond lors de la scène où Shane parle au téléphone,c'est tellement sexe et alcool dans le couloir qu'il y a une femme qui se trompe de chambre et rentre dans celle de Shane and co et en ressort complètement en riant.
Grous coup de coeur pour toutes les femmes de cet évennement,elles m'ont tellement fait rire.Surtout que celle qui demande à Dana si elle a une copine,est la même qui drague Shane :)
Alors c'est un gros pendant tout le long de l'épisode
Le meilleur c'est la scène très Bridget Jones avec Jenny qui raconte son histoire avec Marina devant d'autres nanas avec les réactions de ces dernières.
Jenny:et c'est là qu'elle me dit "Jenny je crois que je pourrais tomber amoureuse de toi"
une fille:attends,elle a dit "je crois"
Jenny:"je crois que je pourrais"
la fille:oui mais elle a dit "je crois" et elle s'est arrangée pour que tu l'occultes
En tout cas,j'aime bien la blonde qui lui vient en aide.
Alice et son groupe de métal ça aussi c'est un bon moment et puis Leisha Haley est tellement douée dans la comédie.En tout cas Alice cheveux long,sale,fringue pourris est tellement belle.
Puis petit détail très amusant en arrière fond lors de la scène où Shane parle au téléphone,c'est tellement sexe et alcool dans le couloir qu'il y a une femme qui se trompe de chambre et rentre dans celle de Shane and co et en ressort complètement en riant.
Grous coup de coeur pour toutes les femmes de cet évennement,elles m'ont tellement fait rire.Surtout que celle qui demande à Dana si elle a une copine,est la même qui drague Shane :)
Lala- Duc(hesse)
- Age : 38
Localisation : Paris
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
C'est vrai que cela fait du bien 'avoir un épisode 100% (ou quasi) comique après la conclusion très dure du précédent ! La série développe vraiment une grande variété dans les atmosphères. Gasp, je risque fort de rater les deux derniers épisodes de la saison...
Dernière édition par Estuaire44 le Ven 26 Mar 2010 - 22:34, édité 1 fois
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Et tu peux pas l'enregistrer?
Sinon sur youtube,il y a les dernières scènes de l'épisode 13.
Sinon sur youtube,il y a les dernières scènes de l'épisode 13.
Lala- Duc(hesse)
- Age : 38
Localisation : Paris
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
Bah, avec mon récepteur TNT primitif... Mais bon, on se débrouillera, je ne vais pas rater Tim qui rentre en pleurant chez sa mère (98% de chances) ou qui renoue comme un prince avec Jenny (02 %).
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Ben là j'ai vu qu'il y avait l'extrait sur Dailymotion
Pour ce qui est de Tim,ben il souffre le pauvre mais lui au moins il respecte Jenny...c'est pas comme ses potes.
Par contre je peux te dire qu'il ne sera plus là dans la saison 2 et que mercredi dernier,tu as vu pour la dernière fois Marina(sauf si bien sur ton récepteur TNT fonctionne pour les deux derniers épisodes de la saison 1).
Pour ce qui est de Tim,ben il souffre le pauvre mais lui au moins il respecte Jenny...c'est pas comme ses potes.
Par contre je peux te dire qu'il ne sera plus là dans la saison 2 et que mercredi dernier,tu as vu pour la dernière fois Marina(sauf si bien sur ton récepteur TNT fonctionne pour les deux derniers épisodes de la saison 1).
Lala- Duc(hesse)
- Age : 38
Localisation : Paris
Date d'inscription : 05/10/2005
Re: Série "The L Word"
Ca ira, je viens de trouver les 2 épisodes complets sur You Tube. En VO Sous-titrée en japonais mais on va suivre !
je vais tout de même attendre pour les visionner au cas où je puisse malgré tout les voir à la télé.
Pour ce qui est de Tim, je peux te dire qu'il ne sera plus là dans la saison 2
u as vu pour la dernière fois Marina
je vais tout de même attendre pour les visionner au cas où je puisse malgré tout les voir à la télé.
Pour ce qui est de Tim, je peux te dire qu'il ne sera plus là dans la saison 2
u as vu pour la dernière fois Marina
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "The L Word"
Alors les deux derniers,je n'ai pas vu les voir hier soir mais je m'en rappelle très bien
Tonya:espece de tueuse de chat !RIP Monsieur Pissou
Bette et Candace:la scène dans la prison!!Cette scène est à mettre au même niveau que la scène du tatouage dans Never Again.Comment faire une scène de sexe réussit,sans rien montrer.
Ce que j'aime bien c'est que Bette est beaucoup plus fragile pendant cette période.
Le deuxième
Shane se prend une belle gamelle,elle qui voulait aimer se fait rejeter de tous les côtés et perd la chance d'avoir un salon de coiffure.La scène entre Shane et Cherry est admirablement bien jouée,très triste surtout.En tout cas merci à Rosanna Arquette d'être passée,ils sont doués chez les Arquette
La rupture:Tina envoie bouler Bette,mais celle ci se jette sur la blonde et de nouveau c'est elle qui la maitrise,comme toujours,ça m'a fait mal pour cette pauvre Tina,surtout qu'elle fait ça avec aucune douceur,au début,la pauvre Tina étouffe.La belle brune peut bien lui dire tous les "je t'aime" Tina en a marre(et je la comprend) et paf prend ça dans ta tronche Bette.
Alors que pour ces deux femmes il est question de supériorité pour Kit et Yvan c'est un rapport d'égal à égal,j'aime beaucoup la scène de danse dans le garage,c'était très joli.Et cette douceur rentre en opposition avec la violence entre Bette et Tina.
Jenny et Tim haaaa ces deux là sont compliqués mais passionnants.Alors que Jenny arrive à l'oublier petit à petit celui-ci n'y arrive pas trop,il a mal.Quand il la voit avec Robin il ne dit rien mais quand c'est l'autre type alors là il rale,il se sent trahi.
Mais je retiens surtout une chose:le message de Marina à Jenny ba oui mais bon fallait quand même se manifester avant,je maudit les scénaristes sur ce coup.
Tonya:espece de tueuse de chat !RIP Monsieur Pissou
Bette et Candace:la scène dans la prison!!Cette scène est à mettre au même niveau que la scène du tatouage dans Never Again.Comment faire une scène de sexe réussit,sans rien montrer.
Ce que j'aime bien c'est que Bette est beaucoup plus fragile pendant cette période.
Le deuxième
Shane se prend une belle gamelle,elle qui voulait aimer se fait rejeter de tous les côtés et perd la chance d'avoir un salon de coiffure.La scène entre Shane et Cherry est admirablement bien jouée,très triste surtout.En tout cas merci à Rosanna Arquette d'être passée,ils sont doués chez les Arquette
La rupture:Tina envoie bouler Bette,mais celle ci se jette sur la blonde et de nouveau c'est elle qui la maitrise,comme toujours,ça m'a fait mal pour cette pauvre Tina,surtout qu'elle fait ça avec aucune douceur,au début,la pauvre Tina étouffe.La belle brune peut bien lui dire tous les "je t'aime" Tina en a marre(et je la comprend) et paf prend ça dans ta tronche Bette.
Alors que pour ces deux femmes il est question de supériorité pour Kit et Yvan c'est un rapport d'égal à égal,j'aime beaucoup la scène de danse dans le garage,c'était très joli.Et cette douceur rentre en opposition avec la violence entre Bette et Tina.
Jenny et Tim haaaa ces deux là sont compliqués mais passionnants.Alors que Jenny arrive à l'oublier petit à petit celui-ci n'y arrive pas trop,il a mal.Quand il la voit avec Robin il ne dit rien mais quand c'est l'autre type alors là il rale,il se sent trahi.
Mais je retiens surtout une chose:le message de Marina à Jenny ba oui mais bon fallait quand même se manifester avant,je maudit les scénaristes sur ce coup.
Lala- Duc(hesse)
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