Série "Stargate - SG1" (1)
+11
Lala
Dearesttara
Cetp65
Micksteed
TorriGilly
Estuaire44
DominiqueDB
klokloh
MaraJadeB
Evelyne
Philo
15 participants
CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
Page 17 sur 34
Page 17 sur 34 • 1 ... 10 ... 16, 17, 18 ... 25 ... 34
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Magnifique! Décidément, on a perdu un grand monsieur de la musique!!
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Y'avait pourtant rien de spécial dans mon café ce matin...
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Allez, chiche !
Sinon, Daniel nous propose une conférence
https://www.youtube.com/watch?v=pAHgB-k-jD8&feature=related
Sinon, Daniel nous propose une conférence
https://www.youtube.com/watch?v=pAHgB-k-jD8&feature=related
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ouaais merci Estuaire!
Bon, j'aime beaucoup Daniel, mais la conférence... Non, ça rira pour le moment
Bon, j'aime beaucoup Daniel, mais la conférence... Non, ça rira pour le moment
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ouaaais!! En ce moment y'a l'épisode le plus ship de SG1 qui passe!!
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
A ne pas confondre avec les ships (vaisseaux) spatiaux !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Yep, là y'en n'a pas tellement
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ho, mais quel beau couple !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ah bah entre Rodney et Sam, ça a toujours été une grande histoire d'amour
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
C'est aussi pour leurs prévisibles prises de tête que j'ai aussi envie de voir la période SGA de Sam.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Haha, y'a de bons moment épiques entre eux dans la saison 4!!
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Excellent documentaire sur SG1 et SGA
https://www.youtube.com/playlist?list=PL99861D12358B0B93&feature=plcp
https://www.youtube.com/playlist?list=PL99861D12358B0B93&feature=plcp
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je conclue ce WE la deuxième saison de MillenniuM, encore une grosse semaine pour les commentaires audio de la saison 3 des Avengers et on passe à la saison 3 de SG-1. En même temps je débuterai un marathon Avengers Emma/Tara/TNA. Sokar, Apophis, Hathor, Urgo et Réplicateurs fourbissent leurs armes. Enfin, Urgo, faut voir.
Une évocation étonnament astucieuse de THE mariage.
https://www.youtube.com/watch?v=uJ8hp_Pah4o&feature=related
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Haha j'adore cette vidéo, les passages sont plutôt bien trouvés Le plus drôle, c'est quand on connait les vraies scènes
Bref, en tout cas vivement ta saison 3!
Bref, en tout cas vivement ta saison 3!
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Une petite pensée pour les dirigeants de Syfy )
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
SAISON 3 (1999-2000)
Après une saison 2 ayant marqué l’enracinement de Stargate SG-1 dans le panorama des séries américaine, la troisième va signifier une nouvelle étape du développement d’une série devenant réellement culte. Le cocktail d’humour, d’action et de récit épique rencontre un public élargi au-delà du public traditionnel de la Science-fiction, tout en gagnant encore en efficacité. Stargate SG-1 ne quitte plus les premières places de l’audimat, d’autant que les producteurs savant s’assurer l’exclusivité de talents originaux s’étant affirmé lors de la période précédente, comme Peter DeLuise. Les acteurs ont désormais gagné en métier et maîtrisent parfaitement des personnages au profil encre davantage enrichi, auxquels la saison trois accordera judicieusement des arcs narratifs personnels. Après quelques inévitables recherches, l’interactivité de héros au sein de leur équipe et leurs relations atteignent leur parfait équilibre. Alors que la saison 2 avait vu une montée en puissance de Sam, cette saison verra un approfondissement similaire pour Teal’c quoique dans la dernière partie du parcours.
La mythologie de Stargate SG-1, l’un de ses points forts, bénéficie d’une soudaine expansion, les auteurs ne se contentant pas d’exploiter l’inépuisable filon des divinités antiques. A côté des rivalités byzantines toujours plaisantes entre Seigneurs du Système, les Réplicateurs sont révélés avec force, au terme d’un dévoilement progressif. Ils s’affirment d’emblée comme une menace d’un autre niveau, frappant les esprits dst téléspectateurs. Leur impact se voit d’autant plus conforté que la série se positionne en pointe sur le secteur alors en pleine expansion des images générées par ordinateur. La mise en scène de la plupart des épisodes demeure inventive et nerveuse, incorporant harmonieusement les nouvelles technologies. A la série évite cependant l’accueil de la recherche excessive d’effets spéciaux.
Bien au contraire, Stargate SG-1 pérennise son succès en conservant l’accent sur l’écriture s de bonnes histoires, n’hésitant pas à parfois instaurer une vraie gravité, au-delà de l’humour habituel des protagonistes. C’est notamment le cas lors de d’une dramatique histoire d’amour vécue par O’Neill sur un autre monde ou lors de la tragique conclusion de la quête de Sha’re, un anti happy end absolu et courageux, pour l’arc narratif historique de la série. La saison 3 se montre également féconde, lançant de nouveaux récits se prolongeant ultérieurement, assurant de la sorte le maintien de l’intérêt du récit après cette grande échéance. Elle développe ainsi l’un des thèmes constitutifs les plus riches et ambitieux de l’univers Stargate, avec l’ouverture encore partielle sur l’Ascension des Anciens. Un vaste projet, qui gagnera en ampleur au fil des saisons et qui connaîtra encore de vaste échos dans Stargate Atlantis.
Après une saison 2 ayant marqué l’enracinement de Stargate SG-1 dans le panorama des séries américaine, la troisième va signifier une nouvelle étape du développement d’une série devenant réellement culte. Le cocktail d’humour, d’action et de récit épique rencontre un public élargi au-delà du public traditionnel de la Science-fiction, tout en gagnant encore en efficacité. Stargate SG-1 ne quitte plus les premières places de l’audimat, d’autant que les producteurs savant s’assurer l’exclusivité de talents originaux s’étant affirmé lors de la période précédente, comme Peter DeLuise. Les acteurs ont désormais gagné en métier et maîtrisent parfaitement des personnages au profil encre davantage enrichi, auxquels la saison trois accordera judicieusement des arcs narratifs personnels. Après quelques inévitables recherches, l’interactivité de héros au sein de leur équipe et leurs relations atteignent leur parfait équilibre. Alors que la saison 2 avait vu une montée en puissance de Sam, cette saison verra un approfondissement similaire pour Teal’c quoique dans la dernière partie du parcours.
La mythologie de Stargate SG-1, l’un de ses points forts, bénéficie d’une soudaine expansion, les auteurs ne se contentant pas d’exploiter l’inépuisable filon des divinités antiques. A côté des rivalités byzantines toujours plaisantes entre Seigneurs du Système, les Réplicateurs sont révélés avec force, au terme d’un dévoilement progressif. Ils s’affirment d’emblée comme une menace d’un autre niveau, frappant les esprits dst téléspectateurs. Leur impact se voit d’autant plus conforté que la série se positionne en pointe sur le secteur alors en pleine expansion des images générées par ordinateur. La mise en scène de la plupart des épisodes demeure inventive et nerveuse, incorporant harmonieusement les nouvelles technologies. A la série évite cependant l’accueil de la recherche excessive d’effets spéciaux.
Bien au contraire, Stargate SG-1 pérennise son succès en conservant l’accent sur l’écriture s de bonnes histoires, n’hésitant pas à parfois instaurer une vraie gravité, au-delà de l’humour habituel des protagonistes. C’est notamment le cas lors de d’une dramatique histoire d’amour vécue par O’Neill sur un autre monde ou lors de la tragique conclusion de la quête de Sha’re, un anti happy end absolu et courageux, pour l’arc narratif historique de la série. La saison 3 se montre également féconde, lançant de nouveaux récits se prolongeant ultérieurement, assurant de la sorte le maintien de l’intérêt du récit après cette grande échéance. Elle développe ainsi l’un des thèmes constitutifs les plus riches et ambitieux de l’univers Stargate, avec l’ouverture encore partielle sur l’Ascension des Anciens. Un vaste projet, qui gagnera en ampleur au fil des saisons et qui connaîtra encore de vaste échos dans Stargate Atlantis.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Dans l’antre des Goa’uld (Into the Fire, 3-01, ***)
- I was witness to the final breath of Apophis. I watched him tremble with fear at what lay beyond.
Hathor choisît Jack comme hôte pour son nouveau symbiote. Grâce à la Tok’ra, Hammond parvient à localiser sa forteresse. Il envoie alors une expédition de secours regroupant plusieurs équipes SG, mais celle-ci, mise en échec, doit se replier dans les tunnels de la Tok’ra. Pendant ce temps Teal’c découvre que Chulak vit toujours dans la crainte des goa’ulds. Avec l’appui de Maître Bra’tac il parvient à lever quelques troupes, puis à venir en aide à Hammond. Sam et une agente infiltrée de la Tok’ra parviennent à tuer le symbiote, après quoi Jack réussit à abattre Hathor. Lui et Sam détruisent le générateur d’énergie de la base, tandis que les différents alliés passent à l’attaque. Unis, ils finissent par remporter la victoire.
Into the fire corrige agréablement le tir après une décevante première partie, Out of Mind se limitant essentiellement à un clip show astucieux, un choix bien décevant pour un final de saison. En effet, sans tout à à fait développer un scénario magistralement novateur, il narre une intrigue fort efficace, aux nombreux renversements de situation bien amenés. Démarrant judicieusement la nouvelle période sur un tempo sans cesse soutenu, le scénario laisse ainsi la part belle aux scènes d’action. Spectaculaires et entraînants, les combats savent aussi varier leurs effets : assauts au sein de la forteresse de la Déesse rousse, en forêt, dans le confinement souterrain, avec un matériel terrien ou sous le feu de l’armement jaffa… Un véritable feu d’artifice, avec en point d’orge l’ébouriffante Aiguille et ces impressionnantes tourelles goa’ulds, deux matériels que l’on ne verra malheureusement plus par la suite. Mais il faut bien dire que la surveillance des Portes par les Serpents restera toujours un poème.
Comme si souvent dans Stargate SG-1, l’actien ne prend cependant pas le pas sur la psychologie et le relationnel. Les personnages, toujours excellemment interprétés, démurent au premier plan et font entendre leur musique. Jack se montre toujours aussi ébouriffant et hilarant, même en plein drame personnel (à l’évidence les dialoguistes se régalent), tandis que Sam force une nouvelle fois l’admiration. Le discours de Teal’c apparaît un peu trop mis en scène, mais le charisme naturel de Christopher Judge permet de passer outre. Le duo formé avec ce vieux renard de Bra’tac puis avec un Hammond refranchissant enfin la Porte fonctionne à merveille. On apprécie l’hommage aux rendus aux autres équipes SG, cessant de figurer comme éléments de décor, ou à la Tok’ra, si précieuse cinquième colonne. Cette armée des ombres, sombrement efficace et sans lyrisme guerrier aucun, agit ici à son meilleur niveau. La véritable vedette d’Into the Fire demeure cependant encore et toujours l’incandescente Hathor, aussi magnétique et irrésistiblement sensuelle que jadis. Sa lascivité voluptueuse, mêlée à une impitoyable intelligence et à un vraie majesté, la positionne décidément comme l’une des plus irrésistibles Bad Girls des séries télévisées. Suanna Braun est extraordinaire, tandis que les trop rares scènes de son personnage font toujours mouche, notamment lors des confrontations avec O’Neill.
Elle nous apporte cependant le plus vif regret suscité par l’épisode: sa disparition définitive. La scène se montre remarquablement cruelle et d’une ironique justice, mais ce choix suscite une indéniable frustration, tant Hathor aurait pu encore constituer une formidable adversaire. Les rares autres antagonistes féminins de SG-1 se montreront certes souvent brillants, mais jamais à la hauteur de la Mère de tous les Pharaons (et ne parlons même pas des reines wraiths). Son inégalabe pluriel de majesté nous manquera de saison en saison, nous ne sommes pas amusés. Comme autre vive déception, on notera la prestation singulièrement faible de Daniel, paraissant amorphe, voire totalement absent, tout au long du récit. Michael Shanks semble de plus en bien petite forme. C’est d’autant plus dommage qu’il y avait une trame à exploiter entre lui et Hathor. Quoiqu’il en soit Into the Fire s’affirme comme un percutant lancement de saison. On remarque qu’il se passe aisément d’un dialogue de conclusion. La simple rencontre entre les différents alliés et amis suffit à instaurer une vraie émotion, preuve de la consistance désormais atteinte par les protagonistes.
Pour la première fois, toute une navette (l’Aiguille) passe à travers une Porte. Cela deviendra une image très fréquente dans Stargate Atlantis. La Porte gigantesque assemblée dans l’espace par les adorateurs des Oris permettra le transfert de vaisseaux entiers.
La disparition d'Hathor demeurera malheureusement définitive.
La coiffure de Daniel a changé depuis l'épisode précédent, pourtant en continuité immédiate avec celui-ci.
Hammond a créé trois nouvelles équipes SG, dont le nombre s'élève désormais à 15. L'expédition de secours dirigée par le colonel Makepeace regroupe les SG 3, 5, 6 et 11.
Quand Hathor projette le Dr Raully, on peut distinguer le filin et le harnais que porte l'actrice Samantha Ferris.
- I was witness to the final breath of Apophis. I watched him tremble with fear at what lay beyond.
Hathor choisît Jack comme hôte pour son nouveau symbiote. Grâce à la Tok’ra, Hammond parvient à localiser sa forteresse. Il envoie alors une expédition de secours regroupant plusieurs équipes SG, mais celle-ci, mise en échec, doit se replier dans les tunnels de la Tok’ra. Pendant ce temps Teal’c découvre que Chulak vit toujours dans la crainte des goa’ulds. Avec l’appui de Maître Bra’tac il parvient à lever quelques troupes, puis à venir en aide à Hammond. Sam et une agente infiltrée de la Tok’ra parviennent à tuer le symbiote, après quoi Jack réussit à abattre Hathor. Lui et Sam détruisent le générateur d’énergie de la base, tandis que les différents alliés passent à l’attaque. Unis, ils finissent par remporter la victoire.
Into the fire corrige agréablement le tir après une décevante première partie, Out of Mind se limitant essentiellement à un clip show astucieux, un choix bien décevant pour un final de saison. En effet, sans tout à à fait développer un scénario magistralement novateur, il narre une intrigue fort efficace, aux nombreux renversements de situation bien amenés. Démarrant judicieusement la nouvelle période sur un tempo sans cesse soutenu, le scénario laisse ainsi la part belle aux scènes d’action. Spectaculaires et entraînants, les combats savent aussi varier leurs effets : assauts au sein de la forteresse de la Déesse rousse, en forêt, dans le confinement souterrain, avec un matériel terrien ou sous le feu de l’armement jaffa… Un véritable feu d’artifice, avec en point d’orge l’ébouriffante Aiguille et ces impressionnantes tourelles goa’ulds, deux matériels que l’on ne verra malheureusement plus par la suite. Mais il faut bien dire que la surveillance des Portes par les Serpents restera toujours un poème.
Comme si souvent dans Stargate SG-1, l’actien ne prend cependant pas le pas sur la psychologie et le relationnel. Les personnages, toujours excellemment interprétés, démurent au premier plan et font entendre leur musique. Jack se montre toujours aussi ébouriffant et hilarant, même en plein drame personnel (à l’évidence les dialoguistes se régalent), tandis que Sam force une nouvelle fois l’admiration. Le discours de Teal’c apparaît un peu trop mis en scène, mais le charisme naturel de Christopher Judge permet de passer outre. Le duo formé avec ce vieux renard de Bra’tac puis avec un Hammond refranchissant enfin la Porte fonctionne à merveille. On apprécie l’hommage aux rendus aux autres équipes SG, cessant de figurer comme éléments de décor, ou à la Tok’ra, si précieuse cinquième colonne. Cette armée des ombres, sombrement efficace et sans lyrisme guerrier aucun, agit ici à son meilleur niveau. La véritable vedette d’Into the Fire demeure cependant encore et toujours l’incandescente Hathor, aussi magnétique et irrésistiblement sensuelle que jadis. Sa lascivité voluptueuse, mêlée à une impitoyable intelligence et à un vraie majesté, la positionne décidément comme l’une des plus irrésistibles Bad Girls des séries télévisées. Suanna Braun est extraordinaire, tandis que les trop rares scènes de son personnage font toujours mouche, notamment lors des confrontations avec O’Neill.
Elle nous apporte cependant le plus vif regret suscité par l’épisode: sa disparition définitive. La scène se montre remarquablement cruelle et d’une ironique justice, mais ce choix suscite une indéniable frustration, tant Hathor aurait pu encore constituer une formidable adversaire. Les rares autres antagonistes féminins de SG-1 se montreront certes souvent brillants, mais jamais à la hauteur de la Mère de tous les Pharaons (et ne parlons même pas des reines wraiths). Son inégalabe pluriel de majesté nous manquera de saison en saison, nous ne sommes pas amusés. Comme autre vive déception, on notera la prestation singulièrement faible de Daniel, paraissant amorphe, voire totalement absent, tout au long du récit. Michael Shanks semble de plus en bien petite forme. C’est d’autant plus dommage qu’il y avait une trame à exploiter entre lui et Hathor. Quoiqu’il en soit Into the Fire s’affirme comme un percutant lancement de saison. On remarque qu’il se passe aisément d’un dialogue de conclusion. La simple rencontre entre les différents alliés et amis suffit à instaurer une vraie émotion, preuve de la consistance désormais atteinte par les protagonistes.
Pour la première fois, toute une navette (l’Aiguille) passe à travers une Porte. Cela deviendra une image très fréquente dans Stargate Atlantis. La Porte gigantesque assemblée dans l’espace par les adorateurs des Oris permettra le transfert de vaisseaux entiers.
La disparition d'Hathor demeurera malheureusement définitive.
La coiffure de Daniel a changé depuis l'épisode précédent, pourtant en continuité immédiate avec celui-ci.
Hammond a créé trois nouvelles équipes SG, dont le nombre s'élève désormais à 15. L'expédition de secours dirigée par le colonel Makepeace regroupe les SG 3, 5, 6 et 11.
Quand Hathor projette le Dr Raully, on peut distinguer le filin et le harnais que porte l'actrice Samantha Ferris.
Dernière édition par Estuaire44 le Mer 6 Juin 2012 - 19:06, édité 1 fois
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Seth (Seth, 3-02, **)
- Jaffa jokes? Let's hear one of them.
- A Serpent guard, a Horus guard, and a Setesh guard meet on a neutral planet. It is a tense moment. The Serpent guard's eyes glow. The Horus guard's beak glistens. The Setesh guard's nose drips.
Jacob se rend au SGC et révèle à ses amis de la présence d'un Goa'uld, Seth (ou Setesh), dissimulé sur Terre depuis des millénaires. Daniel détermine que celui-ci a assouvi son complexe de divinité en devenant le gourou d'une [censuré] totalitaire, regroupée dans une résidence-forteresse. SG-1 et Jacob se rendent sur place et découvrent que l'ATF a déjà mis le site en observation. Ils font connaissance avec le père d'un jeune homme embrigadé, Tom, menant son propre combat pour libérer ce dernier. Avec son aide, nos héros s'infiltrent par un tunnel dans la résidence de Seth. Capturés ils parviennent néanmoins à s'échapper. Les membres de la [censuré] ont subi un lavage de cerveau, mais SG-1 entreprend de les en libérer, grâce aux décharges électriques des Zaks et à l'aide de Tom. Seth perd le contrôle et tente de s'enfuir, après avoir blessé Jacob/Selmak. Celui-ci confie son armement tok'ra à Sam, qui parvient à tuer le Goa'uld. La bombe que Seth avait programmée pour anéantir le site est désamorcée à temps. Parallèlement à l'action principal une discussion opposée Jacob et Sam au sujet du frère de celle-ci. Après avoir assisté aux retrouvailles de Tom et de son père, Jacob décide de se réconcilier avec son fils.
L'épouvantable drame du siège de Waco (1993) reste encore très présent dans les esprits lors de la diffusion de l'épisode. Les auteurs ont visiblement décidé de largement s'en inspirer, pour en donner une véritable version parallèle, située dans l'univers Stargate (un procédé bien connu des amateurs de jeux de rôles historiques ou contemporains). Le sérieux et l'ampleur du travail d'adaptation impressionne réellement. Évidente ressemblance physique entre Setesh et Koresh (même les noms sont proches), similitude entre le messianisme de Koresh et l'imposture Goa'uld, ordonnancement des lieux et des évènements, dérèglement sexuel, attitude va-t'en-guerre généralement prêtée aux fédéraux... La convergence se révèle parfaitement orchestrée, hormis, bien entendu, le quasi happy end final, les pertes humaines s'avérant ici considérablement moins élevées que lors de l'affaire de Waco.
Malheureusement le scénario se cantonne pour l'essentiel son projet à cet aspect, l'enrobant d'une histoire aux allures de prétexte A la différence de l'exceptionnel The Field Where I Died des X-Files, le récit n'essaie nullement d'élargir son postulat de base en vue d'atteindre une narration davantage ambitieuse. Au contraire on se limite à une infiltration / mission de sauvetage certes efficace et distrayante, mais aussi tout à fait classique sous couvert d'éléments importés de Science-fiction. On y distingue également plusieurs poncifs comme la figure du père en détresse ou les rugueux fédéraux les doigts sur la gâchette. Certaines facilités répondent également à l'appel, comme la miraculeuse recherche sur Internet (Google, nouvelle cavalerie des scénaristes en mal d'inspiration), ou ces chocs électriques réveillant miraculeusement les esprits, dignes d'un cartoon.
D'une manière plus transversale il demeure également décevant, presque pathétique, de découvrir un Goa'uld disposant de sa technologie et de milliers d'année ne parvenir qu'à occuper une situation aussi médiocre, quelque soient ses contraintes. Une déception avivée par le jeu assez terne de Robert Duncan et le fait qu'avec Seth il s'agisse d'une figure maléfique particulièrement connue du panthéon égyptien. Insérer l'histoire sur Terre paraît également frustrant, si le scénario le justifiant ne se révèle à la hauteur. Renoncer à l'appel au voyage propre à la série suscite sans doute de substantielles économies, mais aussi une diminution d'intérêt.
L'épisode comporte toutefois plusieurs aspects positifs, notamment l'humour coutumier de la série, du fait des saillies de Jack ou bien entendu de la désormais mythique blague jaffa. Les conférences de Daniel produisent toujours leur effet en titillant agréablement l'imagination, on en redemande. Sam demeure cependant le grand atout de Seth, par son rôle dans l'action mais aussi ses scènes très émouvantes avec Jacob, hélas trop externes au récit principal. On apprécie que cela soit-elle qui abatte Seth et non Jack, qui compte déjà Hathor à son palmarès cette saison. Stargate SG-1 continue à peaufiner ses protagonistes, tout en veillant à sa structure chorale. Tel quel, cet opsu apparaît comme une exercice de style fonctionnant quelque peu à vide et comme une parenthèse au sein de la série. La prometteuse idée de Go'aulds présents sur Terre ne se ra heureusement pas abandonnée par la suite.
L'ATF (Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives) est l'organisme fédéral américain gérant les enjeux fiscaux et de sécurité liés aux armes, à l'alcool et au tabac. Distinct du FBI, il relève directement du Département de la Justice. Remontant à 1886 et disposant de moyens d'intervention très importants, l'ATF a réussi plusieurs coups d'éclat, notamment durant la Prohibition, avec Eliot Ness. Comme relaté dans l'épisode, il fut en charge de l'affaire de Waco à ses commencements, du fait de l'arsenal amassé par les Davidiens. La tournure dramatique prise par le siège, notamment lors de l'échec sanglant du premier assaut (quatre agents tués), fit relever l'ATF par le FBI.
Seth est isolé sur Terre depuis des millénaires mais son armement Goa'uld reste en parfait état de marche. Il possède également un champ de force, alors que cette technologie était présentée comme nouvelle dans The Nox.
Robert Duncan (Seth), a préalablement interprété le père de Daniel dans The Gamekeeper.
Quand Daniel évoque la présence de Seth au Moyen âge, l'image que l'on voit à l'écran est tirée du jeu de rôle Vampire, La Mascarade (issu de l'univers multi-jeux du Monde des Ténèbres), s'attachant notamment aux activités des vampires à cette époque. L'image représente le clan vampirique des Séthites, vénérant le dieu Seth (au lieu de l'ancêtre Cain, pour la grande majorité des autres clans).
Jack cite "Dorothy" en discutant avec Daniel, une nouvelle référence au Magicien d'Oz.
On assiste au premier rire de Teal'c, lors de la relation de la si hilarante blague Jaffa sur les Gardes de Setesh. Un moment devenu culte parmi les fans de Stargate SG-1.
La résidence de Seth est en fait Minnekhada Lodge, située dans le parc de régional de Minnekhada. Il s'agit d'un imposant pavillon de chasse bâti en 1934 par le gouverneur en second de la Colombie Britannique et visitable par le public. Situé à l'est de Vancouver, ce parc de 200 hectares est réputé pour la variété de ses paysages et de sa faune, en particulier les oiseaux.
Seth est un dieu guerrier, dont le courroux et la violence représentent le chaos s'opposant à l'ordonnancement de l'univers. Le "Dieu Rouge", meurtrier de son frère Osiris, est également associé au désert et aux cheveux roux.
- Jaffa jokes? Let's hear one of them.
- A Serpent guard, a Horus guard, and a Setesh guard meet on a neutral planet. It is a tense moment. The Serpent guard's eyes glow. The Horus guard's beak glistens. The Setesh guard's nose drips.
Jacob se rend au SGC et révèle à ses amis de la présence d'un Goa'uld, Seth (ou Setesh), dissimulé sur Terre depuis des millénaires. Daniel détermine que celui-ci a assouvi son complexe de divinité en devenant le gourou d'une [censuré] totalitaire, regroupée dans une résidence-forteresse. SG-1 et Jacob se rendent sur place et découvrent que l'ATF a déjà mis le site en observation. Ils font connaissance avec le père d'un jeune homme embrigadé, Tom, menant son propre combat pour libérer ce dernier. Avec son aide, nos héros s'infiltrent par un tunnel dans la résidence de Seth. Capturés ils parviennent néanmoins à s'échapper. Les membres de la [censuré] ont subi un lavage de cerveau, mais SG-1 entreprend de les en libérer, grâce aux décharges électriques des Zaks et à l'aide de Tom. Seth perd le contrôle et tente de s'enfuir, après avoir blessé Jacob/Selmak. Celui-ci confie son armement tok'ra à Sam, qui parvient à tuer le Goa'uld. La bombe que Seth avait programmée pour anéantir le site est désamorcée à temps. Parallèlement à l'action principal une discussion opposée Jacob et Sam au sujet du frère de celle-ci. Après avoir assisté aux retrouvailles de Tom et de son père, Jacob décide de se réconcilier avec son fils.
L'épouvantable drame du siège de Waco (1993) reste encore très présent dans les esprits lors de la diffusion de l'épisode. Les auteurs ont visiblement décidé de largement s'en inspirer, pour en donner une véritable version parallèle, située dans l'univers Stargate (un procédé bien connu des amateurs de jeux de rôles historiques ou contemporains). Le sérieux et l'ampleur du travail d'adaptation impressionne réellement. Évidente ressemblance physique entre Setesh et Koresh (même les noms sont proches), similitude entre le messianisme de Koresh et l'imposture Goa'uld, ordonnancement des lieux et des évènements, dérèglement sexuel, attitude va-t'en-guerre généralement prêtée aux fédéraux... La convergence se révèle parfaitement orchestrée, hormis, bien entendu, le quasi happy end final, les pertes humaines s'avérant ici considérablement moins élevées que lors de l'affaire de Waco.
Malheureusement le scénario se cantonne pour l'essentiel son projet à cet aspect, l'enrobant d'une histoire aux allures de prétexte A la différence de l'exceptionnel The Field Where I Died des X-Files, le récit n'essaie nullement d'élargir son postulat de base en vue d'atteindre une narration davantage ambitieuse. Au contraire on se limite à une infiltration / mission de sauvetage certes efficace et distrayante, mais aussi tout à fait classique sous couvert d'éléments importés de Science-fiction. On y distingue également plusieurs poncifs comme la figure du père en détresse ou les rugueux fédéraux les doigts sur la gâchette. Certaines facilités répondent également à l'appel, comme la miraculeuse recherche sur Internet (Google, nouvelle cavalerie des scénaristes en mal d'inspiration), ou ces chocs électriques réveillant miraculeusement les esprits, dignes d'un cartoon.
D'une manière plus transversale il demeure également décevant, presque pathétique, de découvrir un Goa'uld disposant de sa technologie et de milliers d'année ne parvenir qu'à occuper une situation aussi médiocre, quelque soient ses contraintes. Une déception avivée par le jeu assez terne de Robert Duncan et le fait qu'avec Seth il s'agisse d'une figure maléfique particulièrement connue du panthéon égyptien. Insérer l'histoire sur Terre paraît également frustrant, si le scénario le justifiant ne se révèle à la hauteur. Renoncer à l'appel au voyage propre à la série suscite sans doute de substantielles économies, mais aussi une diminution d'intérêt.
L'épisode comporte toutefois plusieurs aspects positifs, notamment l'humour coutumier de la série, du fait des saillies de Jack ou bien entendu de la désormais mythique blague jaffa. Les conférences de Daniel produisent toujours leur effet en titillant agréablement l'imagination, on en redemande. Sam demeure cependant le grand atout de Seth, par son rôle dans l'action mais aussi ses scènes très émouvantes avec Jacob, hélas trop externes au récit principal. On apprécie que cela soit-elle qui abatte Seth et non Jack, qui compte déjà Hathor à son palmarès cette saison. Stargate SG-1 continue à peaufiner ses protagonistes, tout en veillant à sa structure chorale. Tel quel, cet opsu apparaît comme une exercice de style fonctionnant quelque peu à vide et comme une parenthèse au sein de la série. La prometteuse idée de Go'aulds présents sur Terre ne se ra heureusement pas abandonnée par la suite.
L'ATF (Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives) est l'organisme fédéral américain gérant les enjeux fiscaux et de sécurité liés aux armes, à l'alcool et au tabac. Distinct du FBI, il relève directement du Département de la Justice. Remontant à 1886 et disposant de moyens d'intervention très importants, l'ATF a réussi plusieurs coups d'éclat, notamment durant la Prohibition, avec Eliot Ness. Comme relaté dans l'épisode, il fut en charge de l'affaire de Waco à ses commencements, du fait de l'arsenal amassé par les Davidiens. La tournure dramatique prise par le siège, notamment lors de l'échec sanglant du premier assaut (quatre agents tués), fit relever l'ATF par le FBI.
Seth est isolé sur Terre depuis des millénaires mais son armement Goa'uld reste en parfait état de marche. Il possède également un champ de force, alors que cette technologie était présentée comme nouvelle dans The Nox.
Robert Duncan (Seth), a préalablement interprété le père de Daniel dans The Gamekeeper.
Quand Daniel évoque la présence de Seth au Moyen âge, l'image que l'on voit à l'écran est tirée du jeu de rôle Vampire, La Mascarade (issu de l'univers multi-jeux du Monde des Ténèbres), s'attachant notamment aux activités des vampires à cette époque. L'image représente le clan vampirique des Séthites, vénérant le dieu Seth (au lieu de l'ancêtre Cain, pour la grande majorité des autres clans).
Jack cite "Dorothy" en discutant avec Daniel, une nouvelle référence au Magicien d'Oz.
On assiste au premier rire de Teal'c, lors de la relation de la si hilarante blague Jaffa sur les Gardes de Setesh. Un moment devenu culte parmi les fans de Stargate SG-1.
La résidence de Seth est en fait Minnekhada Lodge, située dans le parc de régional de Minnekhada. Il s'agit d'un imposant pavillon de chasse bâti en 1934 par le gouverneur en second de la Colombie Britannique et visitable par le public. Situé à l'est de Vancouver, ce parc de 200 hectares est réputé pour la variété de ses paysages et de sa faune, en particulier les oiseaux.
Seth est un dieu guerrier, dont le courroux et la violence représentent le chaos s'opposant à l'ordonnancement de l'univers. Le "Dieu Rouge", meurtrier de son frère Osiris, est également associé au désert et aux cheveux roux.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Joli trailer de cette saison 3
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Rick et le Shat à la Fedcon
http://www.sallesobscures.com/reportage-189
Aux temps jadis...
http://www.20min.ch/ro/news/insolite/story/22024759
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
La blague de Teal'c, énormissime, même cultissime Gros moment de solitude pour lui, il me fait presque pitié Mais moi je suis morte de rire à chaque fois
Rick à la FedCon... J'ai une amie qui y est allée. Apparemment, il a passé son temps à parler de sa fille "si fantastique, si incroyable, si..." Et puis la photo dédicacée à son nom à 100€... Mais ça reste RDA, donc...
Rick à la FedCon... J'ai une amie qui y est allée. Apparemment, il a passé son temps à parler de sa fille "si fantastique, si incroyable, si..." Et puis la photo dédicacée à son nom à 100€... Mais ça reste RDA, donc...
C'est Ferris, pas Farris si je ne me trompe pasEstuaire44 a écrit:Samantha Farris.
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Corrigé, merci !
Diplomatie (Fair Game, 3-03, ****)
- Thank Yu... Sorry.
Lors de la cérémonie d'élévation de Sam au grade de Major, Jack est soudainement téléporté dans le vaisseau de Thor, en orbite terrestre. Celui-ci lui apprend que les Seigneurs du Système ont été choqués par la mort d'Hathor et que leur flotte combinée dépasse de loin celle d'Apophis. L'Asgard, dont les forces sont toujours mobilisées contre leur propre adversaire, préconise la tenue d'une conférence devant assurer la sécurité de la Terre. Jack, assisté par Daniel, parlera pour son peuple, tandis que trois Grands Maîtres arrivent au SGC par la Porte : Yu, Nirrti et Chronos. Les négociations s'avèrent malaisées, les Goa'ulds exigeant notamment que la Terre renonce à la Porte. Chronos est alors grièvement blessé, lors d'une tentative d'assassinat. Tout accuse Teal'c, dont le père a été assassiné par Chronos. Éclate alors une périlleuse crise diplomatique. Mais Sam prouve que la coupable est en fait la sombre Nirrti, qui possède une technologie la rendant invisible. Débiteurs envers le Terriens, Yu et Chronos valident le traité de non agression, garanti par les Asgards, tout en acceptant le maintien de la Porte. Toutefois, hors de la Terre, les équipes SG demeureront des cibles.
Cet épisode particulièrement riche et passionnant débute par une authentique scène d'anthologie. La cérémonie permet de rendre un hommage au combien mérité à Carter, tout en permettant de mesurer le chemin parcouru depuis les débuts de la série. Le twist particulièrement percutant de la téléportation de Jack produit une surprise d'un rare impact, un procédé que la série reprendra par la suite, toujours avec bonheur. De plus on peut y voir un plaisant clin d'œil à la mythologie des enlèvements extraterrestres, si chère aux X-Files (la série d'en face), rejoignant ainsi l'apparence de Petit Gris de Thor. Le complicité de celui-ci et de Jack fait toujours plaisir à voir, distillant comme si souvent un humour réjouissant. Les moues du visage finalement très expressif de l'Asgard s'avèrent assez irrésistibles ! Par contre la série accuse pour une fois son âge, lors de l'animation du déplacement de Thor, maladroite selon les critères d'aujourd'hui.
Après les épisodes précédents, riches en scènes d'action, l'intense et mouvementée intrigue diplomatique du jour apporte un renouvellement bienvenu, illustrant la variété des thématiques de Stargate SG-1. Selon un concept déjà développé en son temps par Babylon 5, cette rencontre permet de souligner l'ampleur atteinte pat l'univers Stargate, tout en plant le décor pour l'actuelle saison et les suivantes; on apprécie vivement la cohérence de l'ensemble, bâtie sur le long terme. Les auteurs ont la grande habileté de renforcer ces sentiments en multipliant les références précises à des opus antérieurs (Hathor, la Porte arctique, Jolinar, les Reetou...). De plus ils profitent judicieusement de l'occasion pour encore accroître le décor, avec une nouvelle annonce des futurs Réplicateurs, ou, avec le drame familial de Teal'c, l'approfondissement de l'historique des protagonistes.
Dans ce domaine l'élément majeur demeure toutefois l'irruption conjointe de trois nouveaux Grands Maîtres, suscitant un renouvellement des panthéons fort bienvenu. Chacun se révèle fort bien écrit et nanti d'un caractère distinct de ses petits camarades. On avouera un faible pour la ténébreuse et tortueuse Nirrti, même si elle ne nous fera pas oublier Hathor. Face à son dispositif dérivé des Reetou, impossible de ne pas songer à la cape d'invisibilité d'Harry Potter ! Chronos semble le plus limité des trois, sans doute du fait de sa trop grande proximité avec Apophis ou Heru'ur. Assez logiquement, il sera d'ailleurs le premier de trois à quitter la scène ! Ces trois excellents personnages se voient habilement utilisés lors de l'étonnement pimenté Whodunit, relevant encore la trame principale. Teal'c est remarquablement travesti en suspect, de même que l'enquête menée par Sam se montre parfaitement agencée. On regrettera simplement la maladresse d'Hammond instituant Teal'c comme hôte des Goa'ulds, un manque de finesse étonnant chez notre général. La superbe vision du vaisseau du puissant Thor conclue idéalement ce captivant épisode, capital pour la suite de la série.
C'est sans doute Chronos qui a envoyé l'assassin de Jolinar.
Les Réplicateurs sont pour la première fois évoqués, comme étant la menace mobilisant les forces des Asgards. Ils sont déjà décrits comme bien plus redoutables que les Goa'ulds. Les Réplicateurs apparaîtront dans Nemesis, l'ultime épisode de la saison.
Carter reçoit une première promotion, passant du grade de Capitaine à celui de Major. Elle poursuivra ultérieurement cette progression, en devant successivement Lieutenant-Colonel puis Colonel. L'un des sommets de sa carrière deviendra ultérieurement la direction de la Cité d'Atlantis, dans la série dérivée Stargate Atlantis.
L'épisode marque l'apparition de trois nouveaux Seigneurs Goa'ulds, issus d'autres panthéons que l'égyptien et que l'on reverra ultérieurement : Chronos, Nirrti (déjà évoquée dans Singularity) et Yu.
Nirrti, "celle qui supprime", est une déesse hindoue de l'entropie, incarnant la mort, les ténèbres et la destruction. On lui accorde de nombreuses offrandes, comme à un mauvais esprit à qui l'on demande de s'éloigner. Scientifique obsédée par l’idée des humains génétiquement renforcés et soldats à sa dévotion, Nirrti apparaîtra dans trois épisodes et périra de la main de ses propres créations (Metamorphosis, 6-16).
Yu-Huang, l'Empereur de Jade, est la divinité principale du Taôisme. A la tête de la bureaucratie céleste, il régente les domaines divins, tout comme l''Empereur de Chine, la Terre. Yu le Grand fut également un Empereur légendaire, fondateur de la dynastie Xia, à l'orée de l'histoire chinoise. Yu, Goa'uld très ancien, a peut être été les deux à la fois. Plus diplomate et modéré que d’autres Grands Maîtres, atteint par une dégénérescence, Yu s’opposera avec acharnement à Anubis, puis à Ba’al. Il apparaîtra dans neuf épisodes et sera exécuté par le Réplicateur Carter (Reckoning, 8-16).
Chronos est le plus jeune des Titans et le père de Zeus comme des frères et sœurs de ce dernier, les Chronides. Chronos est la personnification du Temps dévorant tout, jusqu'à ses propres enfants. Il sera abattu par Zeus, qui délivrera sa famille et deviendra le souverain des Dieux de l'Olympe. Ce puissant Seigneur du Système apparaîtra dans trois épisodes. Il est responsable de la mort du père de Teal’c et se ra abattu par le double robotique de ce dernier (Double Jeopardy, 4-21).
Chronos, Nirrti et Yu réapparaitront brièvement dans Stargate Continuum, dans la trame alternative où ils reconnaissent la domination de Ba’al.
- Thank Yu... Sorry.
Lors de la cérémonie d'élévation de Sam au grade de Major, Jack est soudainement téléporté dans le vaisseau de Thor, en orbite terrestre. Celui-ci lui apprend que les Seigneurs du Système ont été choqués par la mort d'Hathor et que leur flotte combinée dépasse de loin celle d'Apophis. L'Asgard, dont les forces sont toujours mobilisées contre leur propre adversaire, préconise la tenue d'une conférence devant assurer la sécurité de la Terre. Jack, assisté par Daniel, parlera pour son peuple, tandis que trois Grands Maîtres arrivent au SGC par la Porte : Yu, Nirrti et Chronos. Les négociations s'avèrent malaisées, les Goa'ulds exigeant notamment que la Terre renonce à la Porte. Chronos est alors grièvement blessé, lors d'une tentative d'assassinat. Tout accuse Teal'c, dont le père a été assassiné par Chronos. Éclate alors une périlleuse crise diplomatique. Mais Sam prouve que la coupable est en fait la sombre Nirrti, qui possède une technologie la rendant invisible. Débiteurs envers le Terriens, Yu et Chronos valident le traité de non agression, garanti par les Asgards, tout en acceptant le maintien de la Porte. Toutefois, hors de la Terre, les équipes SG demeureront des cibles.
Cet épisode particulièrement riche et passionnant débute par une authentique scène d'anthologie. La cérémonie permet de rendre un hommage au combien mérité à Carter, tout en permettant de mesurer le chemin parcouru depuis les débuts de la série. Le twist particulièrement percutant de la téléportation de Jack produit une surprise d'un rare impact, un procédé que la série reprendra par la suite, toujours avec bonheur. De plus on peut y voir un plaisant clin d'œil à la mythologie des enlèvements extraterrestres, si chère aux X-Files (la série d'en face), rejoignant ainsi l'apparence de Petit Gris de Thor. Le complicité de celui-ci et de Jack fait toujours plaisir à voir, distillant comme si souvent un humour réjouissant. Les moues du visage finalement très expressif de l'Asgard s'avèrent assez irrésistibles ! Par contre la série accuse pour une fois son âge, lors de l'animation du déplacement de Thor, maladroite selon les critères d'aujourd'hui.
Après les épisodes précédents, riches en scènes d'action, l'intense et mouvementée intrigue diplomatique du jour apporte un renouvellement bienvenu, illustrant la variété des thématiques de Stargate SG-1. Selon un concept déjà développé en son temps par Babylon 5, cette rencontre permet de souligner l'ampleur atteinte pat l'univers Stargate, tout en plant le décor pour l'actuelle saison et les suivantes; on apprécie vivement la cohérence de l'ensemble, bâtie sur le long terme. Les auteurs ont la grande habileté de renforcer ces sentiments en multipliant les références précises à des opus antérieurs (Hathor, la Porte arctique, Jolinar, les Reetou...). De plus ils profitent judicieusement de l'occasion pour encore accroître le décor, avec une nouvelle annonce des futurs Réplicateurs, ou, avec le drame familial de Teal'c, l'approfondissement de l'historique des protagonistes.
Dans ce domaine l'élément majeur demeure toutefois l'irruption conjointe de trois nouveaux Grands Maîtres, suscitant un renouvellement des panthéons fort bienvenu. Chacun se révèle fort bien écrit et nanti d'un caractère distinct de ses petits camarades. On avouera un faible pour la ténébreuse et tortueuse Nirrti, même si elle ne nous fera pas oublier Hathor. Face à son dispositif dérivé des Reetou, impossible de ne pas songer à la cape d'invisibilité d'Harry Potter ! Chronos semble le plus limité des trois, sans doute du fait de sa trop grande proximité avec Apophis ou Heru'ur. Assez logiquement, il sera d'ailleurs le premier de trois à quitter la scène ! Ces trois excellents personnages se voient habilement utilisés lors de l'étonnement pimenté Whodunit, relevant encore la trame principale. Teal'c est remarquablement travesti en suspect, de même que l'enquête menée par Sam se montre parfaitement agencée. On regrettera simplement la maladresse d'Hammond instituant Teal'c comme hôte des Goa'ulds, un manque de finesse étonnant chez notre général. La superbe vision du vaisseau du puissant Thor conclue idéalement ce captivant épisode, capital pour la suite de la série.
C'est sans doute Chronos qui a envoyé l'assassin de Jolinar.
Les Réplicateurs sont pour la première fois évoqués, comme étant la menace mobilisant les forces des Asgards. Ils sont déjà décrits comme bien plus redoutables que les Goa'ulds. Les Réplicateurs apparaîtront dans Nemesis, l'ultime épisode de la saison.
Carter reçoit une première promotion, passant du grade de Capitaine à celui de Major. Elle poursuivra ultérieurement cette progression, en devant successivement Lieutenant-Colonel puis Colonel. L'un des sommets de sa carrière deviendra ultérieurement la direction de la Cité d'Atlantis, dans la série dérivée Stargate Atlantis.
L'épisode marque l'apparition de trois nouveaux Seigneurs Goa'ulds, issus d'autres panthéons que l'égyptien et que l'on reverra ultérieurement : Chronos, Nirrti (déjà évoquée dans Singularity) et Yu.
Nirrti, "celle qui supprime", est une déesse hindoue de l'entropie, incarnant la mort, les ténèbres et la destruction. On lui accorde de nombreuses offrandes, comme à un mauvais esprit à qui l'on demande de s'éloigner. Scientifique obsédée par l’idée des humains génétiquement renforcés et soldats à sa dévotion, Nirrti apparaîtra dans trois épisodes et périra de la main de ses propres créations (Metamorphosis, 6-16).
Yu-Huang, l'Empereur de Jade, est la divinité principale du Taôisme. A la tête de la bureaucratie céleste, il régente les domaines divins, tout comme l''Empereur de Chine, la Terre. Yu le Grand fut également un Empereur légendaire, fondateur de la dynastie Xia, à l'orée de l'histoire chinoise. Yu, Goa'uld très ancien, a peut être été les deux à la fois. Plus diplomate et modéré que d’autres Grands Maîtres, atteint par une dégénérescence, Yu s’opposera avec acharnement à Anubis, puis à Ba’al. Il apparaîtra dans neuf épisodes et sera exécuté par le Réplicateur Carter (Reckoning, 8-16).
Chronos est le plus jeune des Titans et le père de Zeus comme des frères et sœurs de ce dernier, les Chronides. Chronos est la personnification du Temps dévorant tout, jusqu'à ses propres enfants. Il sera abattu par Zeus, qui délivrera sa famille et deviendra le souverain des Dieux de l'Olympe. Ce puissant Seigneur du Système apparaîtra dans trois épisodes. Il est responsable de la mort du père de Teal’c et se ra abattu par le double robotique de ce dernier (Double Jeopardy, 4-21).
Chronos, Nirrti et Yu réapparaitront brièvement dans Stargate Continuum, dans la trame alternative où ils reconnaissent la domination de Ba’al.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Aaaah, la première promotion de Sam, la classe! J'ai adoré cet épisode!
C'était bref oui, mais moi j'ai adoré les revoir Ils n'ont pas pris une rideEstuaire44 a écrit:Chronos, Nirrti et Yu réapparaîtront brièvement dans Stargate Continuum, dans la trame alternative où ils reconnaissent la domination de Ba’al.
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Amanda & Katrin Bowen dans Get cooking with the stars :
http://blip.tv/leftcoast-tv-/get-cooking-with-the-stars-amanda-tapping-w-katrin-bowen-6189327
Bon, perso je m'attendais à un truc plus élaboré niveau cuisine... Mais bon, douée comme elle est *ironie* Amanda ne s'est pas blessée, alors tout va bien
http://blip.tv/leftcoast-tv-/get-cooking-with-the-stars-amanda-tapping-w-katrin-bowen-6189327
Bon, perso je m'attendais à un truc plus élaboré niveau cuisine... Mais bon, douée comme elle est *ironie* Amanda ne s'est pas blessée, alors tout va bien
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
C'est le bon côté de l'armée, Sam a tout compris : au mess on vous prépare la tambouille, en mission on a les rations de survie. Ps question d'approcher d'un fourneau !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Et surtout, Sam dit elle-même que c'est une piètre cuisinière
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Page 17 sur 34 • 1 ... 10 ... 16, 17, 18 ... 25 ... 34
Sujets similaires
» Série "Stargate - SG1" (2)
» Série "Au-delà du réel" - la série d'origine
» Serie ''Mad Men''
» Série "MI-5"
» Série ''The Big C''
» Série "Au-delà du réel" - la série d'origine
» Serie ''Mad Men''
» Série "MI-5"
» Série ''The Big C''
CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
Page 17 sur 34
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum