Série "Stargate - SG1" (1)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Même une mort ridicule, je prendsDearesttara a écrit:Si j'en crois les critiques d'E44, il semble que les Anges réussissent particulièrement leurs fins de vie avec des bonnes grosses morts spectaculaires. Torri, à tes risques et périls !
TorriGilly- Duc(hesse)
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Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Wow, ça c'est des ailes!!
J'en veux des belles pour Amanda
J'en veux des belles pour Amanda
TorriGilly- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Suspense ! Histoire de ne pas faire de spoiler sur les évènements à venir, l’équipe de Supernatural n’a jamais révélé le nombre total d’épisodes auquel participera en tout Amanda, et donc si son personnage, Naomi, restera jusqu’en fin de saison. Pour l’heure, elle a participé à 3 des 13 épisodes diffusés (sur 23). Ceci dit, dans celui diffusé hier, les Winchester Brothers commencent à suspecter son emprise sur leur copain Castiel. Autant dire que le compte à rebours a débuté…
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
On a faillit perdre Jonas!!
http://www.tmz.com/2013/01/24/parker-lewis-star-shattered-leg-extreme-blood-loss-after-boat-crash-belize/
http://www.tmz.com/2013/01/24/parker-lewis-star-shattered-leg-extreme-blood-loss-after-boat-crash-belize/
TorriGilly- Duc(hesse)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Ce n'est pas passé loin ! Comme quoi on ne sait jamais ce que la vie nous réserve.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Tout à fait
TorriGilly- Duc(hesse)
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Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
SAISON 4 (2000-2001)
Cette quatrième saison marque une nouvelle étape dans le développement narratif de Stargate SG-1. La production termine les épisodes lui ayant été commandés d’emblée par Showtime. Stargate SG-1 sera renouvelée, fort heureusement, mais cette fois pour une seule saison, renouvelable. D’un point de vue narratif, une première grande partie s’achève avec la mort d’Apophis, le grand ennemi récurrent de nos héros depuis le pilote de la série. Ce début du déclin des Faux Dieux et l’impressionnante émergence des Réplicateurs entraine un relatif glissement de la nature de la série. Celle-ci accorde une part moindre à la mythologie, aspect issu du film fondateur de 1994, pour désormais commencer à évoluer vers une Science-fiction plus classique, annonçant déjà la future Stargate Atlantis. Parallèlement de nouveaux auteurs sont intégrés à l’équipe, avec le duo Joseph Mallozi & Paul Mullie. Ce sang neuf va susciter une floraison de nouveaux sujets.
Ce mouvement se déroule d’ailleurs en accord avec celui de l’univers Stargate, où l’âge héroïque de la découverte des mondes derrière la Porte s’est achevé, pour déboucher sur un effort de guerre plus organisé. L’accent se voit moins mis sur l’exploration et davantage sur la recherche des technologies nécessaires, sur un ton plus militaire face à un péril dont la perception s’est accrue. Cet aspect conduit la production à accorder une plus grande attention encore au réalisme de l’appareil militaire. Les passerelles sont renforcées avec l’US Air Force, jusqu’à conduire l’authentique chef d’étant major de cette arme à participer à l’épisode Prodigy ! Cette évolution ne sera pas conséquences sur le développement de la relation romantique entre Jack O’Neill et Samantha Carter, contrecarrée par les règles de l’armée et les nécessités de cette heure périlleuse pour la Terre. Les auteurs vont jouer de cette situation tacite et contrariée à travers plusieurs épisodes marquants (Divide and Conquer ; Window of Oportunity, Beneath the Surface), un fil rouge marqué de cette saison une nouvelle fois de grande qualité.
Cette quatrième saison marque une nouvelle étape dans le développement narratif de Stargate SG-1. La production termine les épisodes lui ayant été commandés d’emblée par Showtime. Stargate SG-1 sera renouvelée, fort heureusement, mais cette fois pour une seule saison, renouvelable. D’un point de vue narratif, une première grande partie s’achève avec la mort d’Apophis, le grand ennemi récurrent de nos héros depuis le pilote de la série. Ce début du déclin des Faux Dieux et l’impressionnante émergence des Réplicateurs entraine un relatif glissement de la nature de la série. Celle-ci accorde une part moindre à la mythologie, aspect issu du film fondateur de 1994, pour désormais commencer à évoluer vers une Science-fiction plus classique, annonçant déjà la future Stargate Atlantis. Parallèlement de nouveaux auteurs sont intégrés à l’équipe, avec le duo Joseph Mallozi & Paul Mullie. Ce sang neuf va susciter une floraison de nouveaux sujets.
Ce mouvement se déroule d’ailleurs en accord avec celui de l’univers Stargate, où l’âge héroïque de la découverte des mondes derrière la Porte s’est achevé, pour déboucher sur un effort de guerre plus organisé. L’accent se voit moins mis sur l’exploration et davantage sur la recherche des technologies nécessaires, sur un ton plus militaire face à un péril dont la perception s’est accrue. Cet aspect conduit la production à accorder une plus grande attention encore au réalisme de l’appareil militaire. Les passerelles sont renforcées avec l’US Air Force, jusqu’à conduire l’authentique chef d’étant major de cette arme à participer à l’épisode Prodigy ! Cette évolution ne sera pas conséquences sur le développement de la relation romantique entre Jack O’Neill et Samantha Carter, contrecarrée par les règles de l’armée et les nécessités de cette heure périlleuse pour la Terre. Les auteurs vont jouer de cette situation tacite et contrariée à travers plusieurs épisodes marquants (Divide and Conquer ; Window of Oportunity, Beneath the Surface), un fil rouge marqué de cette saison une nouvelle fois de grande qualité.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Aaaaaah la saison 4, la saison ship par excellence
Je suis au taquet Estuaire, j'attends impatiemment les critiques!!
Je suis au taquet Estuaire, j'attends impatiemment les critiques!!
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
C'est parti !
Sinon NRJ12 vient de relancer sa diffusion de Stargate, 3 épisodes par Samedi, on en est à la saison 6.
Sinon NRJ12 vient de relancer sa diffusion de Stargate, 3 épisodes par Samedi, on en est à la saison 6.
Victoires illusoires (Small Victories, 4-01, ****)
- You have demonstrated their weakness may be found through a less... sophisticated approach. We are no longer capable of such thinking.
- Wait a minute. You're actually saying that you need someone dumber than you are ?
- You may have come to the right place.
Une semaine après les évènements précédents, SG-1 est parvenue à revenir au SGC. Le Réplicateur ayant survécu à l’immersion du vaisseau de Thor s’empare d’un sous-marin russe et massacre l’équipage, avant de commencer à se multiplier. SG-1 va tenter d’intervenir discrètement, sans provoquer d’incident international, tandis que Sam va aider Thor à défendre sa planète. Teal’c et Jack parviennent à supprimer le Réplicateur originel avant que le sous-marin ne soit coulé par la marine. Ils sont téléportés à la dernière seconde par Thor et Sam, victorieux de leur côté.
Small Victories débute par une séquence horrifique digne des X-Files, conduisant à un meurtre horrifique de la même eau que les rituels inauguraux de la série de Chris Carter (où d’ailleurs un sous-marin fut pareillement la proie d’une entité extra-terrestre). Après cet intermède glaçant, on ne retrouve qu’avec plus de chaleur les couloirs du SGC, que le metteur en scène prend habilement le temps de nous montrer, afin de renforcer l’impression de retour au bercail en ce début de saison. Ce moment de détente permet de remarquer que Sam arbore une coupe de cheveux un brin plus décontractée, qui lui va à ravir. Et que Teal’c a opté pour une barbichette décolorée résolument hideuse, augurant des désastres capillaires à venir. On apprécie également déjà un beau moment de complicité entre Sam et Jack.
Après cette introduction réussie dans la nouvelle saison, le récit en scinde en deux tronçons à la tonalité tout à fait diverse, mais d’un similaire vif intérêt. Les affrontements à l’arme automatique contre les Réplicateurs au sein d’un espace confiné pourraient faire doublon avec l’épisode précédent, mais le passage d’un vaisseau futuriste à un sous-marin change totalement le registre. Disposer d’un véritable submersible représente un indéniable atout, tant pour la véracité de l’ensemble que pour l’intensité dramatique. On retrouve ici le caractère oppressant propre à ce type de véhicule, tant de fois employé en littérature comme au cinéma. Le recours à la caméra subjective renforce encore le stress, tout au long de cette incursion en enfer. On songe aux meilleurs jeux vidéo FPS, en particulier à Space Hulk. Les Réplicateurs manifestent toujours le même impact, que la disparition de l’effet de surprise n’a en rien émoussé.
La partition de Sam varie joliment le tempo, bien davantage basée sur l’intellect, tel un gigantesque jeu d’échecs spatial. Ce versant ne paraît pas aseptisé pour autant. Visuellement magnifique, il permet de découvrir enfin une large vue d’un monde asgard avec une tonalité de science-fiction certes traditionnelle, mais épurée et élégante Cela sied parfaitement à ce conflit entre Asgards et Réplicateurs qui n’a plus rien à voir avec la tonalité mythologique des premières saisons. Le design des deux vaisseaux s’avère égalent une réussite esthétique de même que le décor intérieur. Le ping-pong verbal entre Thor et Sam fonctionne du tonnerre, l’idée que le progrès scientifique ne soit pas la panacée est fort bien vue. Amanda interprète son personnage à fois grisée et déstabilisée par ce qu’elle découvre, mais conservant néanmoins les deux pieds sur Terre. Les deux segments convergent en consacrant la victoire de l’astuce sur la machinerie infernale, avec un emploi astucieux des caractéristiques des Réplicateurs. Une entrée en matière tout à fait percutante pour cette quatrième saison, sans aucun temps mort.
Le sous-marin utilisé appartenait effectivement à la flotte russe. Lors d’une tournée amicale au Canada, son état major accepta cette participation au tournage. A propos du bruit entendu dans le lance-torpilles, les deux membres d'équipage font référence, en russe, aux « bestioles du précédent épisode ». Aucun sous-titre n'est fourni, il s'agit d'une plaisanterie insérée par Martin Wood.
Thor affirme avoir drainé toute l'énergie du SGC, or la Porte des Étoiles demeure active.
En apprenant qu'il ne pourra pas aller pêcher, Jack s'exclame « D'oh ! », soit l'expression favorite d'Homer Simpson.
Les cheveux de Sam sont désormais plus longs, tandis que Teal'c arbore une barbiche.
Ultime espoir des Asgards et joyau de leur technologie, le grand vaisseau spécialement dédié à la lutte contre les Réplicateurs est nommé le Jack O'Neill, en honneur à leur grand allié et ami.
- You have demonstrated their weakness may be found through a less... sophisticated approach. We are no longer capable of such thinking.
- Wait a minute. You're actually saying that you need someone dumber than you are ?
- You may have come to the right place.
Une semaine après les évènements précédents, SG-1 est parvenue à revenir au SGC. Le Réplicateur ayant survécu à l’immersion du vaisseau de Thor s’empare d’un sous-marin russe et massacre l’équipage, avant de commencer à se multiplier. SG-1 va tenter d’intervenir discrètement, sans provoquer d’incident international, tandis que Sam va aider Thor à défendre sa planète. Teal’c et Jack parviennent à supprimer le Réplicateur originel avant que le sous-marin ne soit coulé par la marine. Ils sont téléportés à la dernière seconde par Thor et Sam, victorieux de leur côté.
Small Victories débute par une séquence horrifique digne des X-Files, conduisant à un meurtre horrifique de la même eau que les rituels inauguraux de la série de Chris Carter (où d’ailleurs un sous-marin fut pareillement la proie d’une entité extra-terrestre). Après cet intermède glaçant, on ne retrouve qu’avec plus de chaleur les couloirs du SGC, que le metteur en scène prend habilement le temps de nous montrer, afin de renforcer l’impression de retour au bercail en ce début de saison. Ce moment de détente permet de remarquer que Sam arbore une coupe de cheveux un brin plus décontractée, qui lui va à ravir. Et que Teal’c a opté pour une barbichette décolorée résolument hideuse, augurant des désastres capillaires à venir. On apprécie également déjà un beau moment de complicité entre Sam et Jack.
Après cette introduction réussie dans la nouvelle saison, le récit en scinde en deux tronçons à la tonalité tout à fait diverse, mais d’un similaire vif intérêt. Les affrontements à l’arme automatique contre les Réplicateurs au sein d’un espace confiné pourraient faire doublon avec l’épisode précédent, mais le passage d’un vaisseau futuriste à un sous-marin change totalement le registre. Disposer d’un véritable submersible représente un indéniable atout, tant pour la véracité de l’ensemble que pour l’intensité dramatique. On retrouve ici le caractère oppressant propre à ce type de véhicule, tant de fois employé en littérature comme au cinéma. Le recours à la caméra subjective renforce encore le stress, tout au long de cette incursion en enfer. On songe aux meilleurs jeux vidéo FPS, en particulier à Space Hulk. Les Réplicateurs manifestent toujours le même impact, que la disparition de l’effet de surprise n’a en rien émoussé.
La partition de Sam varie joliment le tempo, bien davantage basée sur l’intellect, tel un gigantesque jeu d’échecs spatial. Ce versant ne paraît pas aseptisé pour autant. Visuellement magnifique, il permet de découvrir enfin une large vue d’un monde asgard avec une tonalité de science-fiction certes traditionnelle, mais épurée et élégante Cela sied parfaitement à ce conflit entre Asgards et Réplicateurs qui n’a plus rien à voir avec la tonalité mythologique des premières saisons. Le design des deux vaisseaux s’avère égalent une réussite esthétique de même que le décor intérieur. Le ping-pong verbal entre Thor et Sam fonctionne du tonnerre, l’idée que le progrès scientifique ne soit pas la panacée est fort bien vue. Amanda interprète son personnage à fois grisée et déstabilisée par ce qu’elle découvre, mais conservant néanmoins les deux pieds sur Terre. Les deux segments convergent en consacrant la victoire de l’astuce sur la machinerie infernale, avec un emploi astucieux des caractéristiques des Réplicateurs. Une entrée en matière tout à fait percutante pour cette quatrième saison, sans aucun temps mort.
Le sous-marin utilisé appartenait effectivement à la flotte russe. Lors d’une tournée amicale au Canada, son état major accepta cette participation au tournage. A propos du bruit entendu dans le lance-torpilles, les deux membres d'équipage font référence, en russe, aux « bestioles du précédent épisode ». Aucun sous-titre n'est fourni, il s'agit d'une plaisanterie insérée par Martin Wood.
Thor affirme avoir drainé toute l'énergie du SGC, or la Porte des Étoiles demeure active.
En apprenant qu'il ne pourra pas aller pêcher, Jack s'exclame « D'oh ! », soit l'expression favorite d'Homer Simpson.
Les cheveux de Sam sont désormais plus longs, tandis que Teal'c arbore une barbiche.
Ultime espoir des Asgards et joyau de leur technologie, le grand vaisseau spécialement dédié à la lutte contre les Réplicateurs est nommé le Jack O'Neill, en honneur à leur grand allié et ami.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Aaaaah ma coiffure préférée [avec la coiffure "ébouriffée" de fin de série]. C'est comme avec Scully, on reconnait la saison grâce à sa coiffureEstuaire44 a écrit:Ce moment de détente permet de remarquer que Sam arbore une coupe de cheveux un brin plus décontractée, qui lui va à ravir. [...] Les cheveux de Sam sont désormais plus longs
Preuve que je suis en manque, je ne vois absolument pas de quelle scène tu veux parlerEstuaire44 a écrit:On apprécie également déjà un beau moment de complicité entre Sam et Jack.
Je crois que demain, ça va être revisionnage de cet épisode!
Quel farceur ce Martin, je crois que je vais apprendre le russe juste pour comprendre çaEstuaire44 a écrit:les deux membres d'équipage font référence, en russe, aux « bestioles du précédent épisode ». Aucun sous-titre n'est fourni, il s'agit d'une plaisanterie insérée par Martin Wood.
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
En début d'épisode Jack est sur le point de partir pour un week end de repos, et il invite de nouveau Sam à l'accompagner pour pécher au bord de son lac. Elle aimerait beaucoup mais elle doit analyser les fragments de Réplicateur recueillis. Jack est un peu déçu mais comprend. De toutes manières l'alerte sonne aussitôt après !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Aaaah ouiiiiiii je ne me souvenais pas que c'était dans cet épisode
Pauvre Jack, le nombre de râteaux qu'il se prend
Pauvre Jack, le nombre de râteaux qu'il se prend
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
L’autre côté (The Other Side, 4-02, ***)
- I was speaking metaphorically.
- Yeah. Well stop it. It's not fair to Teal'c
Un peuple originaire de la Terre, les Eurondiens, contacte le SGC via la Porte des Etoiles, pour appeler à l’aide. Ils affirment être envahis et sont prêt à échanger de précieuses technologies contre le deutérium nécessaire à leur armement. SG-1 se rend sur place, et Jack est enthousiasmé par les merveilles montrées par le dirigeant Alar et son bras droit Farell. Daniel demeure méfiant et exige d’en savoir plus avant de modifier le cours de la guerre, ce qui provoque une crise avec O’Neill. Cependant il se révèle que les Eurondiens forment un état racial, ayant lancé une guerre d’extermination contre leurs voisins. SG-1 les abandonne alors à leur sort, sur le point d’être anéantis.
L’épisode souffre d’un temps d’action d’exposition beaucoup trop long, l’action ne démarrant vraiment qu’à mi parcours. Bénéficier d’impressionnants décors matériels (salle de commande ou de réception, tunnels) ou virtuels (corps cryogénistes, générateur) est à double tranchant. Deluise prend trop son temps afin de les montrer et de les rentabiliser, d’où un récit parfois languissant. On remarque au passage que l’immense chambre d’hibernation ressemble énormément à son équivalent de l’épisode New Earth de Doctor Who (2006). La mise en scène tire aussi un parti facile des scènes de combat aérien à rallonges, ce qui n’apporte en définitive pas grand-chose.
En seconde partie The Other Side trouve néanmoins son second souffle. En sous-main l’intrigue déploie un intéressante réflexion sur la nature de la vérité, montrant que celle-ci peut évoluer selon le point de vue où l’on se place, même si certains invariants fondamentaux demeurent. Le scénario se montre nettement plus ambitieux qu’une simple intrigue politique manichéenne. Un habile prolongement se déroule d’ailleurs au sein de SG-1, avec une crise éclatant entre Jack et Daniel, allant bien au-delà de leurs habituelles controverses amicales. On apprécie que l’auteur joue ainsi sur les failles d’un groupe évitant le piège du monolithisme. Le parallèle progressivement révélé entre Nazis et Orondiens (bunker, fanatisme racial, eau lourde, mais aussi tentation de la collaboration scientifique après la défaite) s’avère audacieux, de même que l’abrupte conclusion. L’épisode bénéfice aussi de l’excellente prestation des acteurs invités du jour, parfaits en diplomates retors mais trahis par leurs leur fanatisme.
Farrel est interprétée par Anne Marie Loder, qui épousera le réalisateur de l'épisode, Peter DeLuise, en 2001. Elle sera également aperçue dans l’épisode Bounty (10-15) et dans Sanctuary (Fragments), ainsi que dans de nombreuses séries, notamment fantastiques.
Alar est lui joué par René Auberjonois, qui, au cours de sa longue carrière, fut notamment Odo dans Star Strek Deep Space Nine. Il est un important acteur de voix (radio, dessins animés, jeux vidéo, etc.)
Peter DeLuise réalise un nouveau caméo en tout début d’épisode, en interprétant le soldat criant aux autres de se dépêcher.
Le bunker des Eurondiens donne l’impression d’être bâti sur deux niveaux, mais le décor était en fait de plein pied. Une surexposition d’images créa ensuite l’illusion.
- I was speaking metaphorically.
- Yeah. Well stop it. It's not fair to Teal'c
Un peuple originaire de la Terre, les Eurondiens, contacte le SGC via la Porte des Etoiles, pour appeler à l’aide. Ils affirment être envahis et sont prêt à échanger de précieuses technologies contre le deutérium nécessaire à leur armement. SG-1 se rend sur place, et Jack est enthousiasmé par les merveilles montrées par le dirigeant Alar et son bras droit Farell. Daniel demeure méfiant et exige d’en savoir plus avant de modifier le cours de la guerre, ce qui provoque une crise avec O’Neill. Cependant il se révèle que les Eurondiens forment un état racial, ayant lancé une guerre d’extermination contre leurs voisins. SG-1 les abandonne alors à leur sort, sur le point d’être anéantis.
L’épisode souffre d’un temps d’action d’exposition beaucoup trop long, l’action ne démarrant vraiment qu’à mi parcours. Bénéficier d’impressionnants décors matériels (salle de commande ou de réception, tunnels) ou virtuels (corps cryogénistes, générateur) est à double tranchant. Deluise prend trop son temps afin de les montrer et de les rentabiliser, d’où un récit parfois languissant. On remarque au passage que l’immense chambre d’hibernation ressemble énormément à son équivalent de l’épisode New Earth de Doctor Who (2006). La mise en scène tire aussi un parti facile des scènes de combat aérien à rallonges, ce qui n’apporte en définitive pas grand-chose.
En seconde partie The Other Side trouve néanmoins son second souffle. En sous-main l’intrigue déploie un intéressante réflexion sur la nature de la vérité, montrant que celle-ci peut évoluer selon le point de vue où l’on se place, même si certains invariants fondamentaux demeurent. Le scénario se montre nettement plus ambitieux qu’une simple intrigue politique manichéenne. Un habile prolongement se déroule d’ailleurs au sein de SG-1, avec une crise éclatant entre Jack et Daniel, allant bien au-delà de leurs habituelles controverses amicales. On apprécie que l’auteur joue ainsi sur les failles d’un groupe évitant le piège du monolithisme. Le parallèle progressivement révélé entre Nazis et Orondiens (bunker, fanatisme racial, eau lourde, mais aussi tentation de la collaboration scientifique après la défaite) s’avère audacieux, de même que l’abrupte conclusion. L’épisode bénéfice aussi de l’excellente prestation des acteurs invités du jour, parfaits en diplomates retors mais trahis par leurs leur fanatisme.
Farrel est interprétée par Anne Marie Loder, qui épousera le réalisateur de l'épisode, Peter DeLuise, en 2001. Elle sera également aperçue dans l’épisode Bounty (10-15) et dans Sanctuary (Fragments), ainsi que dans de nombreuses séries, notamment fantastiques.
Alar est lui joué par René Auberjonois, qui, au cours de sa longue carrière, fut notamment Odo dans Star Strek Deep Space Nine. Il est un important acteur de voix (radio, dessins animés, jeux vidéo, etc.)
Peter DeLuise réalise un nouveau caméo en tout début d’épisode, en interprétant le soldat criant aux autres de se dépêcher.
Le bunker des Eurondiens donne l’impression d’être bâti sur deux niveaux, mais le décor était en fait de plein pied. Une surexposition d’images créa ensuite l’illusion.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Alors là... C'est un épisode qui ne m'a absolutement pas marqué, il va peut-être falloir que je le regarde un nouvelle fois
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Expérimentation hasardeuse (Upgrades, 4-03, ****)
- I thought the devices were supposed to enhance them physically, not make them stupid.
Anise, émissaire de la Tok’ra, propose à SG-1 de tester des bracelets provenant d’une race disparue et supposés accroître la force et la vitesse des Humains. Cela fonctionne et nos héros deviennent de vrais super-héros. Cependant, les bracelets ne peuvent s’ôter et épuisent dramatiquement leurs organismes, tout en exerçant une influence euphorisante. Malgré les ordres d’Hammond, ceci pousse SG-1 à se rendre sur une base d’Apophis afin d’y détruire un aisseau révolutionnaire grâce à ces pouvoirs, ce qu’avait prévu la Tok’ra depuis le début. La mission réussit mais les bracelets sont alors rejetés par leurs hôtes, heureusement sauvés par Teal’c. Non rancuniers, les Terriens acceptent de continuer à collaborer avec Anise.
Upgrades souligne l’agréable propension de cette saison 4 à varier la tonalité de ses épisodes. Après un récit d’action et de suspense (Small Victories), puis un drame politique et moral (The Other Side), nous découvrons ici un opus fort divertissant, louchant ouvertement vers la comédie, mais aussi les aventures de super-héros. Ces dernières années ce genre d’histoires est devenu un passage quasi obligé pour les séries fantastiques ou de Science-fiction, incitées notamment par les adaptations à succès de Comics sur grand et petit écran. la réussite n’a pas toujours été au rendez-vous, la greffe de cet univers très codifié sur ceux des séries concernées n’allant pas sans mal et conduisant à de épisode décalés souvent modérément convaincants. Ce sera d’ailleurs le cas pour Sanctuary (Hero et Hero II : Broken Arrow).
A contrario la réussite d’Upgrades repose largement sur la parfaite soudure opérée avec l’univers Stargate, particulièrement riche en artefacts étranges et doté de cette inépuisable source de scénarios qu’est la Tok’ra. Par ailleurs, Stargate SG-1 constitue dès son lancement un terreau fertile pour l’humour, grâce à des auteurs particulièrement aiguisés et à cette irremplaçable locomotive qu’est Richard Dean Anderson. Celui-ci se régale particulièrement dans le registre du jour et ses camarades jouent le jeu avec un bel enthousiasme. Découvrir Samantha s’encanailler est assez irrésistible, de même que voir l’équipe se muer en une espèce de Ligue de Justice irresponsable et facétieuse. Teal’c n’est heureusement pas négligé de son côté.
L’épisode s’offre un atout maître supplémentaire avec le parfait casting de la sculpturale Vanessa Angel, même si cela nous prive de Jacob. En effet cette histoire de don miraculeux virant à la catastrophe correspond au fondement scénaristique de son emblématique comédie Code Lisa, d’où un effet miroir des plus réjouissants. La première partie du récit développe toute une succession de gags malicieux autour des super pouvoirs récemment acquis, une structure narrative annonçant déjà le prochain succès de Window of Opportunity. La seconde introduit suffisamment d’action pour combler les amateurs, tout en exploitant joliment la nature florentine de la Tok’ra. Décors et effets spéciaux se montrent de toute beauté, notamment concernant la vitesse. Ils surpassent clairement ceux de la série Flash, tournée dix ans plus tôt et demeurent tout à fait performants aujourd’hui.
Anise/Freya est interprétée par Vanessa Angel, notamment connue pour le rôle titre de Code Lisa (1994-1998). Cette ambassadrice de la Tok'ra va également apparaître dans les deux épisodes suivants. Elle fut originellement conçue comme une riposte au grand succès alors connu par la très séduisante Seven of Nine, dans Star Trek Voyager. Mais Peter DeLuise indique qu'il apparut très vite que Stargate SG-1 fonctionnait très bien sans ce personnage (y compris du point de vue des audiences) et Anise ne reparut pas par la suite. Vanessa Angel avait auparavant postulé pour le rôle de la troublante Seven of Nine, pour lequel fut retenue Jeri Ryan.
Sur les artefacts est gravée une phrase signifiant "Un grand pouvoir engendre une grande responsabilité". Cette formule, devenue culte dans l'univers des super héros, remonte à la création de Spiderman par Stan Lee.
L'O'Malley, le bar-grill où se déroule le dîner, est en fait le restaurant Horizons, situé à Burnaby, dans le grand Vancouver (décor extérieur comme intérieur). L'établissement, inauguré en 1986, est réputé pour sa cuisine traditionnelle de Colombie britannique (viandes et produits de la mer), mais aussi pour ses superbes panoramas, autorisés par de larges fenêtres et une situation en altitude : montagnes des alentours, somptueux jardins, vue de la ville.
Les totems aperçus sur PX9-757 appartiennent en fait à une œuvre d'art japonaise située dans le Parc de Burnaby. Celle-ci est également visible depuis l'Horizons, situé à proximité. Les Totems de Kamui Mintara (la Résidence des Dieux) proviennent d’un échange culturel entre Vancouver et l'île d’Hokkaido, dans le nord du Japon. Ils sont caractéristiques de l'art aïnou.
- I thought the devices were supposed to enhance them physically, not make them stupid.
Anise, émissaire de la Tok’ra, propose à SG-1 de tester des bracelets provenant d’une race disparue et supposés accroître la force et la vitesse des Humains. Cela fonctionne et nos héros deviennent de vrais super-héros. Cependant, les bracelets ne peuvent s’ôter et épuisent dramatiquement leurs organismes, tout en exerçant une influence euphorisante. Malgré les ordres d’Hammond, ceci pousse SG-1 à se rendre sur une base d’Apophis afin d’y détruire un aisseau révolutionnaire grâce à ces pouvoirs, ce qu’avait prévu la Tok’ra depuis le début. La mission réussit mais les bracelets sont alors rejetés par leurs hôtes, heureusement sauvés par Teal’c. Non rancuniers, les Terriens acceptent de continuer à collaborer avec Anise.
Upgrades souligne l’agréable propension de cette saison 4 à varier la tonalité de ses épisodes. Après un récit d’action et de suspense (Small Victories), puis un drame politique et moral (The Other Side), nous découvrons ici un opus fort divertissant, louchant ouvertement vers la comédie, mais aussi les aventures de super-héros. Ces dernières années ce genre d’histoires est devenu un passage quasi obligé pour les séries fantastiques ou de Science-fiction, incitées notamment par les adaptations à succès de Comics sur grand et petit écran. la réussite n’a pas toujours été au rendez-vous, la greffe de cet univers très codifié sur ceux des séries concernées n’allant pas sans mal et conduisant à de épisode décalés souvent modérément convaincants. Ce sera d’ailleurs le cas pour Sanctuary (Hero et Hero II : Broken Arrow).
A contrario la réussite d’Upgrades repose largement sur la parfaite soudure opérée avec l’univers Stargate, particulièrement riche en artefacts étranges et doté de cette inépuisable source de scénarios qu’est la Tok’ra. Par ailleurs, Stargate SG-1 constitue dès son lancement un terreau fertile pour l’humour, grâce à des auteurs particulièrement aiguisés et à cette irremplaçable locomotive qu’est Richard Dean Anderson. Celui-ci se régale particulièrement dans le registre du jour et ses camarades jouent le jeu avec un bel enthousiasme. Découvrir Samantha s’encanailler est assez irrésistible, de même que voir l’équipe se muer en une espèce de Ligue de Justice irresponsable et facétieuse. Teal’c n’est heureusement pas négligé de son côté.
L’épisode s’offre un atout maître supplémentaire avec le parfait casting de la sculpturale Vanessa Angel, même si cela nous prive de Jacob. En effet cette histoire de don miraculeux virant à la catastrophe correspond au fondement scénaristique de son emblématique comédie Code Lisa, d’où un effet miroir des plus réjouissants. La première partie du récit développe toute une succession de gags malicieux autour des super pouvoirs récemment acquis, une structure narrative annonçant déjà le prochain succès de Window of Opportunity. La seconde introduit suffisamment d’action pour combler les amateurs, tout en exploitant joliment la nature florentine de la Tok’ra. Décors et effets spéciaux se montrent de toute beauté, notamment concernant la vitesse. Ils surpassent clairement ceux de la série Flash, tournée dix ans plus tôt et demeurent tout à fait performants aujourd’hui.
Anise/Freya est interprétée par Vanessa Angel, notamment connue pour le rôle titre de Code Lisa (1994-1998). Cette ambassadrice de la Tok'ra va également apparaître dans les deux épisodes suivants. Elle fut originellement conçue comme une riposte au grand succès alors connu par la très séduisante Seven of Nine, dans Star Trek Voyager. Mais Peter DeLuise indique qu'il apparut très vite que Stargate SG-1 fonctionnait très bien sans ce personnage (y compris du point de vue des audiences) et Anise ne reparut pas par la suite. Vanessa Angel avait auparavant postulé pour le rôle de la troublante Seven of Nine, pour lequel fut retenue Jeri Ryan.
Sur les artefacts est gravée une phrase signifiant "Un grand pouvoir engendre une grande responsabilité". Cette formule, devenue culte dans l'univers des super héros, remonte à la création de Spiderman par Stan Lee.
L'O'Malley, le bar-grill où se déroule le dîner, est en fait le restaurant Horizons, situé à Burnaby, dans le grand Vancouver (décor extérieur comme intérieur). L'établissement, inauguré en 1986, est réputé pour sa cuisine traditionnelle de Colombie britannique (viandes et produits de la mer), mais aussi pour ses superbes panoramas, autorisés par de larges fenêtres et une situation en altitude : montagnes des alentours, somptueux jardins, vue de la ville.
Les totems aperçus sur PX9-757 appartiennent en fait à une œuvre d'art japonaise située dans le Parc de Burnaby. Celle-ci est également visible depuis l'Horizons, situé à proximité. Les Totems de Kamui Mintara (la Résidence des Dieux) proviennent d’un échange culturel entre Vancouver et l'île d’Hokkaido, dans le nord du Japon. Ils sont caractéristiques de l'art aïnou.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Rediffusion de la série MacGyver à partir de lundi 4 février à 12h35 sur D8.
Dearesttara- Roi (Reine)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Destins croisés (Crossroads, 4-04, ***)
- Bra'tac has taught me much about the Tauri. You are O'Neill, Teal'c's apprentice.
- Yeah. Apprentice?
- Also a warrior of great skill and cunning.
- Apprentice?
Shan'auc, prêtresse jaffa anciennement très proche de Teal’c, franchit la Porte pour révéler à SG-1 qu’elle est parvenue à créer un lien avec son symbiote, Tanith. Celui-ci à renoncé à la violence des Goa’ulds et désire lutter contre eux en intégrant la Tok’ra. Malgré un scepticisme initial de Teal’c, l’équipe accompagne Shan'auc sur le monde d’Anise/Freya. Arrivé à maturité, Tanith, est transféré dans un nouvel hôte mais il s’avère qu’il désirait infiltrer secrètement la Tok’ra, afin de renseigner les Grands Maîtres. Il assassine secrètement Shan’auc, ce que devine Teal’c. Malgré le courroux de ce dernier, Anise/Freya décide de conserver le secret, afin de désinformer ses adversaires via Tanith. Teal’c se promet de tuer ce dernier dès lors qu’il sera devenu inutile.
Depuis le commencement de la série, plusieurs épisodes se sont déjà révélés centrés sur tel ou tel membre de SG-1, divergeant ainsi du ton choral caractérisant ordinairement la série. Cependant peu seront allés aussi loin dans cette voie que Crossroads, établissant un focus quasi intégral sur Teal’c. Sam et Daniel se cantonnent ici à une simple figuration, tandis que Jack n’a que quelques savoureuses prises de bec avec Anise/Freya à développer. Renoncer à la griffe de Stargate SG-1 représentait un pari. Fort heureusement, celui-ci va se révéler gagnant. Le scénario se bâtit en une mécanique particulièrement efficace, avec son lot de rebondissements tonitruants. Il se caractérise par un emploi dynamique et ambitieux des différents peuples composant ce foisonnant univers Stargate, continuant à s’édifier sous nos yeux.
Mais Christopher Judge en constitue sans aucun doute le principal architecte du succès de l’opus. Il nous offre à cette occasion l’une de ses prestations les plus relevées et variées. Loin de son registre habituel, le paladin jaffa fend ici totalement l’armure. Via sa relation avec Shan'auc, nous découvrons le Teal’c de la paix et des jours heureux. Il se montre passionnément romantique, souriant et amène, même si toujours abrupt à l’occasion ! Après le drame, la performance de l’acteur bondit vers de nouveaux sommets, un pic étant atteint lors de l’intense face à face conclusif. Le regard de mort de Teal’c annonce déjà un arc au bon goût de vengeance impitoyable.
Les invités du jour se montrent pareillement savoureux, tant du point de vue de l’écriture que de l’interprétation. Shan'auc compose un personnage absolument tragique, n’échappant à la duperie des Faux Dieux que pour tomber dans une autre ignoble tromperie, basée sur la même soif de croyance inhérente à sa nature profonde de prêtresse. Aux antipodes de la prédatrice sexuelle de Buffy contre les Vampires, Musetta Vander apporte une vraie crédibilité à cette figure à la fois exaltée, affirmée et secrètement si fragile. Le courant passe à merveille entre elle et Judge, leurs scènes se montrent fortes.
On se régale purement et simplement avec la prestation grand train du toujours épatant Peter Wingfield, survolté en félon de la meilleure eau. Tanith parvient sans peine à dépasser en infamie des spécialistes du calibre d’Apophis ou de Chronos. On raffole du caractère intégral de sa vilenie. Le récit insère une glaciale ironie en le rendant victime à son tour d’une cruelle manipulation. Une épée vengeresse est suspendue sur la tête de Tanith, parce qu’il le vaut bien. Anise/Freya accomplit une intervention une nouvelle fois performante. Le personnage confirme son potentiel car permettant d’exacerber les aspects négatifs de la Tok’ra, en parfaite opposition à Jacob. D’où de nombreuses possibilités de scénarios et de croustillantes crispations avec les Terriens en général et avec O’Neill en particulier.
Le réalisateur Peter DeLuise accomplit un nouveau caméo : il interprète le premier Tok'ra assommé par Teal'c, quand celui-ci cherche à atteindre Tanith.
Egeria, la mythique fondatrice de la Tok'ra est ici citée pour le première fois. Mise indéfiniment en stase par Ra, cette reine mère des symbiotes Tok'ra finira par rencontrer SG-1 dans l'épisode Cure (6-10).
Égérie était une Camène (nymphe des eaux et des bois), devenue la déesse des sources. Les rois légendaires de l’Urbs allaient consulter sa fontaine, située dans une grotte du bois d'Aricie et entendaient ses conseils dans les bruits de l'eau. Le terme d'égérie est passé dans le langage commun, pour désigner une femme inspiratrice d'un homme politique ou d'un artiste, plus récemment comme un mannequin associé à l'image d'une marque.
Shan'auc est interprétée par Musetta Vander. Cette actrice et modèle sud-africaine est connue pour ses nombreuses apparitions dans des productions fantastiques ou de Science-fiction. Elle est ainsi l'une des assistantes du Dr. Loveless dans la version cinéma des Mystères de l'Ouest, la mante religieuse de Buffy contre les Vampires ou la Valkyrie d'Highlander, entre bien d'autres rôles.
Hebron/Tanith est incarné par l'excellent Peter Wingfield, figure régulière des séries américaines. Il joue entre autres le Dr. Watson dans Sanctuary et Methos dans Highlander. Son personnage va apparaître dans cinq épisodes, devenant un Goa'uld mineur, aux ordres d'Apophis, puis d'Anubis. Teal'c vengera la mort de Shan'auc en exécutant le traître, lors de l'épisode 48 Hours (6-14).
- Bra'tac has taught me much about the Tauri. You are O'Neill, Teal'c's apprentice.
- Yeah. Apprentice?
- Also a warrior of great skill and cunning.
- Apprentice?
Shan'auc, prêtresse jaffa anciennement très proche de Teal’c, franchit la Porte pour révéler à SG-1 qu’elle est parvenue à créer un lien avec son symbiote, Tanith. Celui-ci à renoncé à la violence des Goa’ulds et désire lutter contre eux en intégrant la Tok’ra. Malgré un scepticisme initial de Teal’c, l’équipe accompagne Shan'auc sur le monde d’Anise/Freya. Arrivé à maturité, Tanith, est transféré dans un nouvel hôte mais il s’avère qu’il désirait infiltrer secrètement la Tok’ra, afin de renseigner les Grands Maîtres. Il assassine secrètement Shan’auc, ce que devine Teal’c. Malgré le courroux de ce dernier, Anise/Freya décide de conserver le secret, afin de désinformer ses adversaires via Tanith. Teal’c se promet de tuer ce dernier dès lors qu’il sera devenu inutile.
Depuis le commencement de la série, plusieurs épisodes se sont déjà révélés centrés sur tel ou tel membre de SG-1, divergeant ainsi du ton choral caractérisant ordinairement la série. Cependant peu seront allés aussi loin dans cette voie que Crossroads, établissant un focus quasi intégral sur Teal’c. Sam et Daniel se cantonnent ici à une simple figuration, tandis que Jack n’a que quelques savoureuses prises de bec avec Anise/Freya à développer. Renoncer à la griffe de Stargate SG-1 représentait un pari. Fort heureusement, celui-ci va se révéler gagnant. Le scénario se bâtit en une mécanique particulièrement efficace, avec son lot de rebondissements tonitruants. Il se caractérise par un emploi dynamique et ambitieux des différents peuples composant ce foisonnant univers Stargate, continuant à s’édifier sous nos yeux.
Mais Christopher Judge en constitue sans aucun doute le principal architecte du succès de l’opus. Il nous offre à cette occasion l’une de ses prestations les plus relevées et variées. Loin de son registre habituel, le paladin jaffa fend ici totalement l’armure. Via sa relation avec Shan'auc, nous découvrons le Teal’c de la paix et des jours heureux. Il se montre passionnément romantique, souriant et amène, même si toujours abrupt à l’occasion ! Après le drame, la performance de l’acteur bondit vers de nouveaux sommets, un pic étant atteint lors de l’intense face à face conclusif. Le regard de mort de Teal’c annonce déjà un arc au bon goût de vengeance impitoyable.
Les invités du jour se montrent pareillement savoureux, tant du point de vue de l’écriture que de l’interprétation. Shan'auc compose un personnage absolument tragique, n’échappant à la duperie des Faux Dieux que pour tomber dans une autre ignoble tromperie, basée sur la même soif de croyance inhérente à sa nature profonde de prêtresse. Aux antipodes de la prédatrice sexuelle de Buffy contre les Vampires, Musetta Vander apporte une vraie crédibilité à cette figure à la fois exaltée, affirmée et secrètement si fragile. Le courant passe à merveille entre elle et Judge, leurs scènes se montrent fortes.
On se régale purement et simplement avec la prestation grand train du toujours épatant Peter Wingfield, survolté en félon de la meilleure eau. Tanith parvient sans peine à dépasser en infamie des spécialistes du calibre d’Apophis ou de Chronos. On raffole du caractère intégral de sa vilenie. Le récit insère une glaciale ironie en le rendant victime à son tour d’une cruelle manipulation. Une épée vengeresse est suspendue sur la tête de Tanith, parce qu’il le vaut bien. Anise/Freya accomplit une intervention une nouvelle fois performante. Le personnage confirme son potentiel car permettant d’exacerber les aspects négatifs de la Tok’ra, en parfaite opposition à Jacob. D’où de nombreuses possibilités de scénarios et de croustillantes crispations avec les Terriens en général et avec O’Neill en particulier.
Le réalisateur Peter DeLuise accomplit un nouveau caméo : il interprète le premier Tok'ra assommé par Teal'c, quand celui-ci cherche à atteindre Tanith.
Egeria, la mythique fondatrice de la Tok'ra est ici citée pour le première fois. Mise indéfiniment en stase par Ra, cette reine mère des symbiotes Tok'ra finira par rencontrer SG-1 dans l'épisode Cure (6-10).
Égérie était une Camène (nymphe des eaux et des bois), devenue la déesse des sources. Les rois légendaires de l’Urbs allaient consulter sa fontaine, située dans une grotte du bois d'Aricie et entendaient ses conseils dans les bruits de l'eau. Le terme d'égérie est passé dans le langage commun, pour désigner une femme inspiratrice d'un homme politique ou d'un artiste, plus récemment comme un mannequin associé à l'image d'une marque.
Shan'auc est interprétée par Musetta Vander. Cette actrice et modèle sud-africaine est connue pour ses nombreuses apparitions dans des productions fantastiques ou de Science-fiction. Elle est ainsi l'une des assistantes du Dr. Loveless dans la version cinéma des Mystères de l'Ouest, la mante religieuse de Buffy contre les Vampires ou la Valkyrie d'Highlander, entre bien d'autres rôles.
Hebron/Tanith est incarné par l'excellent Peter Wingfield, figure régulière des séries américaines. Il joue entre autres le Dr. Watson dans Sanctuary et Methos dans Highlander. Son personnage va apparaître dans cinq épisodes, devenant un Goa'uld mineur, aux ordres d'Apophis, puis d'Anubis. Teal'c vengera la mort de Shan'auc en exécutant le traître, lors de l'épisode 48 Hours (6-14).
Dernière édition par Estuaire44 le Jeu 31 Jan 2013 - 21:56, édité 1 fois
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
J'ADORE cet épisode!!!Estuaire44 a écrit:Expérimentation hasardeuse (Upgrades, 4-03, ****)
A mourir de rire!!Estuaire44 a écrit:voir l’équipe se muer en une espèce de Ligue de Justice irresponsable et facétieuse.
Ma scène préférée?! Celle du resto
Il parait que l'actrice est super ennuyeuse...Estuaire44 a écrit:L’épisode s’offre un atout maître supplémentaire avec le parfait casting de la sculpturale Vanessa Angel
Et en plus j'aime pas Anise, boouuuh!!
Elle est excellente!!!Estuaire44 a écrit:Shan'auc est interprétée par Musetta Vander.
Aaaaah c'est pour ça, en regardant Sanctuary je suis dit que j'avais déjà vu sa tête quelque partEstuaire44 a écrit:Hebron/Tanith est incarné par l'excellent Peter Wingfield [...] Il joue entre autres le Dr. Watson dans Sanctuary
TorriGilly- Duc(hesse)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Oui, tout le passage du resto est absolument énorme !
Concernant Vanessa Angel, c'est vrai, que, même si elle n'est pas catastrophique, ce n'est pas l'actrice du siècle non plus. Par contre je trouve qu'Anise est un personnage avec un vrai potentiel, car sa dureté et sa duplicité permettent des épisodes Tok'ra nettement plus tendus qu'avec Jacob, que l'on adore par ailleurs. Cela permet de varier les intrigues comme les ambiances et les prises de tête de Jack sont assez irrésistibles. J'aurais bien aimé qu'on la retrouve de loin en loin, éventuellement en opposition directe à Jacob.
Concernant Vanessa Angel, c'est vrai, que, même si elle n'est pas catastrophique, ce n'est pas l'actrice du siècle non plus. Par contre je trouve qu'Anise est un personnage avec un vrai potentiel, car sa dureté et sa duplicité permettent des épisodes Tok'ra nettement plus tendus qu'avec Jacob, que l'on adore par ailleurs. Cela permet de varier les intrigues comme les ambiances et les prises de tête de Jack sont assez irrésistibles. J'aurais bien aimé qu'on la retrouve de loin en loin, éventuellement en opposition directe à Jacob.
L'effectivement excellente Musetta vander
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Diviser pour conquérir (Divide and Conquer, 4-05, **)
- I didn't leave, because I'd have rather died myself than lose Carter... Because I care about her... A lot more than I'm supposed to.
Une conférence diplomatique crucial doit réunir le Président des Etats-Unis à un Haut Conseiller de la Tok’ra, au SGC. Mais les Goa’ulds tentent d’assassiner ce dernier, via un membre de SG-14 devenu à son insu un assassin programmé à son insu. Comme il est très probable que le Président soit également visé, Anise/Freya utilise un détecteur de mensonge sondant l’inconscient, afin de trouver d’autre tueurs, ce qui provoque la mort par suicide d’un autre membre de SG-14. Il s’avère que Jack et Sam ont subi le même lavage de cerveau. Sam devine alors que le secret concernant leurs sentiments qui a trompé l’instrument. Martouf, en fait l’assassin, doit hélas être abattu.
Divide and Conquer reste un épisode clé concernant le fil rouge de la relation amoureuse contrariée entre Samantha carter et Jack O’Neill, ici révélée au grand joue sans la moindre ambigüité possible. Les amateurs de cette dimension de la série l’apprécient donc le plus souvent et il est vrai que les scènes entre les deux personnages s’avèrent particulièrement touchantes (Jack se sacrifiant pour préserver Sam, la terrible scène revisitée d’Upgrades, les aveux à la fois émouvants et empreints de pudeur). Richard Dean Anderson et Amanda Tapping se montrent de nouveau remarquables, trouvant toujours le ton juste dans ce répertoire particulièrement malaisé et développant une authentique alchimie. Dommage toutefois que l'on ait pas droit à la version de Sam.Malheureusement, à côté de ce segment des plus relevés, l’opus n’est pas exempt de défauts.
Le plus gênant demeure sans doute que le spectateur perçoit trop clairement les ficelles employées pour faire converger l’action jusqu’aux aveux. Le profil capillotracté des Za’tarcs et du détecteur de mensonges de la Tok’ra tombent singulièrement à pic et toute la première moitié de l’épisode (y compris hélas cette passionnante conférence) ne se perçoit en définitive que comme un vaste prétexte, alors justement qu’il aurait fallu un récit particulièrement subtil. On sent que les auteurs ont pris le récit à l’envers, cherchant à marche forcée ce qui pourrait bien provoquer la chute (visiblement ils ont vu The Thing, répercutant directement le procédé du film). D’autres maladresses viennent se greffer là-dessus, comme l’aspect de clip show trop prolongé que revêt l’action où la scène ubuesque de Freya venant tout de go proposer la bagatelle à Jack. C’est franchement lourd et on n’y croit pas un seul instant. En plus la tenue de Vanessa Angel est assez vulgaire, n’est pas Hathor qui veut.
Quelques à-côtés viennent sauver l’ensemble, comme la destinée particulièrement tragique du Lieutenant Astor, interprétée avec une étonnante sensibilité par Kirsten Robek. Un passage réellement poignant. On apprécie le rappel du rôle également périlleux et héroïque tenu par les autres équipes SG, souvent trop peu présentes dans la série. Quelques confrontations sont réussies, notamment une nouvelle fois entre Sam et le si romantique Martouf. Un personnage que l’on voit partir avec un vrai regret, l’exécuter dès lors que la révélation a eu lieu entre Sam et Jack relève presque du cynisme. On apprécie également le dialogue entre Jack et Daniel, avec ce ton qu’on adore particulièrement lors de leurs échanges de vannes. Les amateurs des Avengers s’amuseront également des convergences entre les Za’tarcs et le conditionnement subi par Steed dans Le Visage, l’un des tous meilleurs épisodes de la saison 6. Demeure néanmoins l’impression d’un épisode au potentiel gâché par un scénario trop fabriqué.
Le lieutenant Louise Astor est jouée par Kirsten Robek, qui interprète également la mère de Will dans le pilote de Sanctuary.
Quand Sam s'écrie qu'il n'y a plus assez de temps avant l’explosion, on s'aperçoit qu'elle pleure, or l'instant suivant ses joues sont redevenues sèches.
Jack réutilise le terme « D'oh ! », habituellement associé à Homer Simpson.
Le titre, tant en version originale que française, fait référence à 'expression latine Divide et impera.
Quand Hammond reçoit une communication téléphonique l’informant de l’état des blessés, il utilise son téléphone rouge, or celui-ci est uniquement destiné à entrer directement en contact avec le Président.
Le sympathique Martouf meurt, mais son symbiote Lantash survit. Il sera revu dans le double épisode Summit/Last Stand de la saison 5. Martouf apparaîtra également dans la réalité alternative décrite dans Ripple Effect (9-13), en tant que membre de SG-1.
L’épisode marque l’ultime apparition d’Anise/Freya. Dans la mythologie nordique, Freya (ou Freyja) est la déesse de l’amour, de la prospérité et de la fertilité. Elle est également associée à la guerre, comme première des Valkyries. Elle reçoit dans ses merveilleux palais une partie des guerriers morts au combat (ceux défendant le pays), l’autre allant au Walhalla, auprès d’Odin (ceux opérant des conquêtes).
Les Za’tarcs sont des prisonniers reprogrammés incessamment par les goa’ulds, afin de devenir de redoutables assassins. SG-1 sera de nouveaux confrontée aux Za’tarcs dans l’épisode Allegiance (6-09), où ils seront similairement employés pour provoquer une crise diplomatique entre Tau’ri, Jaffas et Tok’ra.
Martin Wood indique qu’Amanda et Rick eurent beaucoup de mal à jouer la scène de face à face revisitant Upgrades, trouvant peu naturel de se parler ainsi nez à nez. Il dut leur rappeler à plusieurs reprises qu’un champ de force était censé les séparer.
- I didn't leave, because I'd have rather died myself than lose Carter... Because I care about her... A lot more than I'm supposed to.
Une conférence diplomatique crucial doit réunir le Président des Etats-Unis à un Haut Conseiller de la Tok’ra, au SGC. Mais les Goa’ulds tentent d’assassiner ce dernier, via un membre de SG-14 devenu à son insu un assassin programmé à son insu. Comme il est très probable que le Président soit également visé, Anise/Freya utilise un détecteur de mensonge sondant l’inconscient, afin de trouver d’autre tueurs, ce qui provoque la mort par suicide d’un autre membre de SG-14. Il s’avère que Jack et Sam ont subi le même lavage de cerveau. Sam devine alors que le secret concernant leurs sentiments qui a trompé l’instrument. Martouf, en fait l’assassin, doit hélas être abattu.
Divide and Conquer reste un épisode clé concernant le fil rouge de la relation amoureuse contrariée entre Samantha carter et Jack O’Neill, ici révélée au grand joue sans la moindre ambigüité possible. Les amateurs de cette dimension de la série l’apprécient donc le plus souvent et il est vrai que les scènes entre les deux personnages s’avèrent particulièrement touchantes (Jack se sacrifiant pour préserver Sam, la terrible scène revisitée d’Upgrades, les aveux à la fois émouvants et empreints de pudeur). Richard Dean Anderson et Amanda Tapping se montrent de nouveau remarquables, trouvant toujours le ton juste dans ce répertoire particulièrement malaisé et développant une authentique alchimie. Dommage toutefois que l'on ait pas droit à la version de Sam.Malheureusement, à côté de ce segment des plus relevés, l’opus n’est pas exempt de défauts.
Le plus gênant demeure sans doute que le spectateur perçoit trop clairement les ficelles employées pour faire converger l’action jusqu’aux aveux. Le profil capillotracté des Za’tarcs et du détecteur de mensonges de la Tok’ra tombent singulièrement à pic et toute la première moitié de l’épisode (y compris hélas cette passionnante conférence) ne se perçoit en définitive que comme un vaste prétexte, alors justement qu’il aurait fallu un récit particulièrement subtil. On sent que les auteurs ont pris le récit à l’envers, cherchant à marche forcée ce qui pourrait bien provoquer la chute (visiblement ils ont vu The Thing, répercutant directement le procédé du film). D’autres maladresses viennent se greffer là-dessus, comme l’aspect de clip show trop prolongé que revêt l’action où la scène ubuesque de Freya venant tout de go proposer la bagatelle à Jack. C’est franchement lourd et on n’y croit pas un seul instant. En plus la tenue de Vanessa Angel est assez vulgaire, n’est pas Hathor qui veut.
Quelques à-côtés viennent sauver l’ensemble, comme la destinée particulièrement tragique du Lieutenant Astor, interprétée avec une étonnante sensibilité par Kirsten Robek. Un passage réellement poignant. On apprécie le rappel du rôle également périlleux et héroïque tenu par les autres équipes SG, souvent trop peu présentes dans la série. Quelques confrontations sont réussies, notamment une nouvelle fois entre Sam et le si romantique Martouf. Un personnage que l’on voit partir avec un vrai regret, l’exécuter dès lors que la révélation a eu lieu entre Sam et Jack relève presque du cynisme. On apprécie également le dialogue entre Jack et Daniel, avec ce ton qu’on adore particulièrement lors de leurs échanges de vannes. Les amateurs des Avengers s’amuseront également des convergences entre les Za’tarcs et le conditionnement subi par Steed dans Le Visage, l’un des tous meilleurs épisodes de la saison 6. Demeure néanmoins l’impression d’un épisode au potentiel gâché par un scénario trop fabriqué.
Le lieutenant Louise Astor est jouée par Kirsten Robek, qui interprète également la mère de Will dans le pilote de Sanctuary.
Quand Sam s'écrie qu'il n'y a plus assez de temps avant l’explosion, on s'aperçoit qu'elle pleure, or l'instant suivant ses joues sont redevenues sèches.
Jack réutilise le terme « D'oh ! », habituellement associé à Homer Simpson.
Le titre, tant en version originale que française, fait référence à 'expression latine Divide et impera.
Quand Hammond reçoit une communication téléphonique l’informant de l’état des blessés, il utilise son téléphone rouge, or celui-ci est uniquement destiné à entrer directement en contact avec le Président.
Le sympathique Martouf meurt, mais son symbiote Lantash survit. Il sera revu dans le double épisode Summit/Last Stand de la saison 5. Martouf apparaîtra également dans la réalité alternative décrite dans Ripple Effect (9-13), en tant que membre de SG-1.
L’épisode marque l’ultime apparition d’Anise/Freya. Dans la mythologie nordique, Freya (ou Freyja) est la déesse de l’amour, de la prospérité et de la fertilité. Elle est également associée à la guerre, comme première des Valkyries. Elle reçoit dans ses merveilleux palais une partie des guerriers morts au combat (ceux défendant le pays), l’autre allant au Walhalla, auprès d’Odin (ceux opérant des conquêtes).
Les Za’tarcs sont des prisonniers reprogrammés incessamment par les goa’ulds, afin de devenir de redoutables assassins. SG-1 sera de nouveaux confrontée aux Za’tarcs dans l’épisode Allegiance (6-09), où ils seront similairement employés pour provoquer une crise diplomatique entre Tau’ri, Jaffas et Tok’ra.
Martin Wood indique qu’Amanda et Rick eurent beaucoup de mal à jouer la scène de face à face revisitant Upgrades, trouvant peu naturel de se parler ainsi nez à nez. Il dut leur rappeler à plusieurs reprises qu’un champ de force était censé les séparer.
Estuaire44- Empereur
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Anise n'est pas la seule à apprécier les tenues en cuir...
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Aaaaaaah un de mes épisodes ship préférésEstuaire44 a écrit:Diviser pour conquérir (Divide and Conquer, 4-05, **)
Après l'histoire en elle même, bof
Ça y est, je n'ai pas encore lu le reste que je suis déjà dead! Ça c'est de la déclaration ; à part un "je t'aime" tu ne peux pas faire plus clairEstuaire44 a écrit:- I didn't leave, because I'd have rather died myself than lose Carter... Because I care about her... A lot more than I'm supposed to.
Je trouve ça vraiment adorable, Sam est super gênée et Jack a du mal à parler de ça [ce qui peut se comprendre ]. Anise qui se prend en pleine face que Jack aime quelqu'un d'autre, c'est bon ça mwahaa!! Et Teal'c et Janet qui écoutent derrière hehe, d'ailleurs ils garderont le secret jusqu'au bout
C'est que je me suis souvent dit, mais ça aurait peut-être fait trop guimauve pour l'épisode [J'aurais quand même adoré voir ça hein ]Estuaire44 a écrit:Dommage toutefois que l'on ait pas droit à la version de Sam.
Ah non, là je ne suis pas d'accord Martouf était proche de Sam seulement parce qu'elle a eu sa copine comme hôte.Estuaire44 a écrit:le si romantique Martouf. Un personnage que l’on voit partir avec un vrai regret
Tiens, ça me rappelle des gif d'Hito :
... Oui bon d'accord, je ne suis peut-être pas totalement objective
On va dire que sa mort était un moment triste et... jouissif
TorriGilly- Duc(hesse)
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Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Excellent les gifs ! Par ici la sortie !
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Chez les shipeurs, on a toujours détesté Martouf.
Hito en faisait partie, mais je crois que ça se voit
Voilà, quand on a vu ça, on peut mourir tranquille :
Hito en faisait partie, mais je crois que ça se voit
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TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
L'histoire sans fin (Window of Opportunity, 4-06, ****)
- What kind of archaeologist carries a weapon ?
- Uh, I do.
- Bad example.
Un artefact des Anciens, ressemblant à un autel, est découvert sur un monde soumis à de grandes forces magnétiques. SG-1 explore le site en compagnie de Malakai, archéologue allié venu d’un autre monde. Soudain Malakai actionne l’objet, en fait une tentative ratée de mettre au point une machine à remonter le temps. Il espère retrouver sa femme, morte il y a des années. Relié à la Porte des Etoiles, l’engin enferme la Terre et d’autres planètes dans une boucle temporelle. Seuls Jack et Teal’c ont conscience de la répétition des jours. Aidés par leurs amis, ils vont tout tenter pour briser le verrou, jusqu’à parvenir à convaincre Malakai de l’inanité de ses efforts. Celui-ci éteint alors la machine.
En 1993, Harold Ramis réalise Un jour sans fin (Groundhog Day), un authentique chef d’œuvre du film fantastique, s’inscrivant dans la lignée des meilleurs épisodes de La Quatrième Dimension (à voir absolument). Son emploi à la fois original, humoristique et savoureux du thème du verrou temporel va influencer de nombreux auteurs et les meilleures séries télévisées du genre mettront désormais un point d’honneur à comporter un épisode sur le sujet. Il s’avère d’ailleurs toujours très amusant de découvrir comment elles adaptent le concept à leur univers, qu’il s’agisse de Buffy contre les Vampires (un maléfice de Jonathan), des X-Files (un phénomène paranormal et pour une fois aux conséquences tragiques), de Xena la Guerrière (la volonté divine de Cupidon) ou encore Supernatural (les manigances du Trickster). Et l’on pourrait encore rajouter Tru Calling, Fringe, Les mystères de Haven, Loïs et Clarke, Charmed etc. Pour Stargate SG-1, il va bien entendu s’agir d’un prodigieux artefact des Anciens !
Le récit utilise les ressorts humoristiques désormais classiques de ce genre d’histoire, mais avec une parfaite efficacité. Le comique de répétition se voit ainsi dopé par le fil des « mauvais exemples » invariablement choisis par O’NeiIl On apprécie également que, même si l’érudition de Daniel et la science de Sam jouent leur rôle, la solution vienne en définitive du lien humain crée entre Jack et Malakai. L’intrigue trouve surtout un parfait équilibre entre comédie débridée et résolution de l’affaire en cours, évitant de tomber dans le travers de privilégier trop le premier aspect, ce qui le priverait d’une partie de son potentiel. Aux amusements des deux protagonistes répond ainsi un final des plus émouvants. Les relations entre personnages se voient également sollicitées avec malice et l’on s’amuse franchement de voir Teal’c se dévergonder, ou les piques amicales se multiplier entre Daniel et Jack. Mais le sommet de l’épisode demeure sans doute le baiser passionné échangé entre Jack et Sam sous le regard d’un Hammond visiblement sous le choc.
Nos héros ne sont pas des statues de marbre mais des êtres humais à part entière nous rappelle cette histoire particulièrement enlevée et astucieuse. La mise en scène manifeste le dynamisme souhaitable en la circonstance, tandis que le décor de l’artefact s’avère une réussite esthétique, particulièrement évocatrice du mystère et de la grandeur des Anciens. Les acteurs, décidément polyvalents, jouent parfaitement le jeu de la comédie, avec un Richard Dean Anderson en plein stand up irrésistible. C’est bien à juste que Window of Opportunity demeure un épisode particulièrement apprécié et remémoré par les fans de Stargate SG-1. Il marque l’entrée en fanfare d’un nouveau duo d’auteurs, Joseph Mallozzi et Paul Mullie ; tout au long de leur trentaine de participations en commun à la série, le fin duo des « M&M » va susciter nombre de voies nouvelles pour SG-1.
Le livre de Latin pour débutants dont se sert O'Neill est écrit par un certain Joseph Mallozi. Il s'agit en fait de l'un des auteurs de l’épisode, qui deviendra l’un des producteurs de la série.
Les céréales sont en fait figées à la glue sur la cuillère de Richard Dean Anderson, afin d'assurer la continuité entre les boucles temporelles successives. Il ne les avale jamais ! Par contre les personnes aperçues en arrière fond changent à chaque fois.
Le verrou temporel agit 21 fois au cours de l'épisode.
Bill Nikolai, ici le technicien bousculé par O'Neill en vélo, est en fait la doublure de Richard Dean Anderson pour les scènes de cascades.
Christopher Judge est effectivement un grand amateur de golf.
De son côté Richard Dean Anderson exerça effectivement comme jongleur dans les premiers temps de sa carrière, où il se produisait dans les cabarets de Los Angeles, également entant que chanteur et mime. Il fut aussi animateur de shows animaliers à Marineland, avant de trouver son premier rôle notable dans General Hospital, de 1976 à 1981. En 1985 survenait MacGyver.
Robin Mossley (Malakaï) partcipe aussi à l’épisode Morpheus (10-02). Il est une figure régulière des séries fantastiques. Il participe ainsi quatre fois aux X-Files mais aussi à l’épisode Bank Rob de Sanctuary. Mossley joue notamment le personnage semi-récurrent Wilt Bozer dans MacGyver (8 épisodes).
Peter DeLuise réalise un caméo, en militaire aidant Daniel à ranger ses papiers après qu'il ait été bousculé pat le sergent Siler.
Quand l'alarme se fait entendre, Jack s'exclame une nouvelle fois « D'oh ! », l'expression souvent associée à Homer Simpson.
Que Daniel assimile les différents textes au Latin est un signe de la présence des Anciens en ce lieu. Depuis The Fith Race, on sait que les Anciens sont à l'origine de la langue romaine, qui présente de nombreux points communs avec la leur.
Le matricule SGC de la planète de l'artefact est P4X-639.
Why? So you can be King of Groundhog Day. déclare O'Neill, un clin d'œil au titre du film de 1993 ayant inspiré l'épisode.
- What kind of archaeologist carries a weapon ?
- Uh, I do.
- Bad example.
Un artefact des Anciens, ressemblant à un autel, est découvert sur un monde soumis à de grandes forces magnétiques. SG-1 explore le site en compagnie de Malakai, archéologue allié venu d’un autre monde. Soudain Malakai actionne l’objet, en fait une tentative ratée de mettre au point une machine à remonter le temps. Il espère retrouver sa femme, morte il y a des années. Relié à la Porte des Etoiles, l’engin enferme la Terre et d’autres planètes dans une boucle temporelle. Seuls Jack et Teal’c ont conscience de la répétition des jours. Aidés par leurs amis, ils vont tout tenter pour briser le verrou, jusqu’à parvenir à convaincre Malakai de l’inanité de ses efforts. Celui-ci éteint alors la machine.
En 1993, Harold Ramis réalise Un jour sans fin (Groundhog Day), un authentique chef d’œuvre du film fantastique, s’inscrivant dans la lignée des meilleurs épisodes de La Quatrième Dimension (à voir absolument). Son emploi à la fois original, humoristique et savoureux du thème du verrou temporel va influencer de nombreux auteurs et les meilleures séries télévisées du genre mettront désormais un point d’honneur à comporter un épisode sur le sujet. Il s’avère d’ailleurs toujours très amusant de découvrir comment elles adaptent le concept à leur univers, qu’il s’agisse de Buffy contre les Vampires (un maléfice de Jonathan), des X-Files (un phénomène paranormal et pour une fois aux conséquences tragiques), de Xena la Guerrière (la volonté divine de Cupidon) ou encore Supernatural (les manigances du Trickster). Et l’on pourrait encore rajouter Tru Calling, Fringe, Les mystères de Haven, Loïs et Clarke, Charmed etc. Pour Stargate SG-1, il va bien entendu s’agir d’un prodigieux artefact des Anciens !
Le récit utilise les ressorts humoristiques désormais classiques de ce genre d’histoire, mais avec une parfaite efficacité. Le comique de répétition se voit ainsi dopé par le fil des « mauvais exemples » invariablement choisis par O’NeiIl On apprécie également que, même si l’érudition de Daniel et la science de Sam jouent leur rôle, la solution vienne en définitive du lien humain crée entre Jack et Malakai. L’intrigue trouve surtout un parfait équilibre entre comédie débridée et résolution de l’affaire en cours, évitant de tomber dans le travers de privilégier trop le premier aspect, ce qui le priverait d’une partie de son potentiel. Aux amusements des deux protagonistes répond ainsi un final des plus émouvants. Les relations entre personnages se voient également sollicitées avec malice et l’on s’amuse franchement de voir Teal’c se dévergonder, ou les piques amicales se multiplier entre Daniel et Jack. Mais le sommet de l’épisode demeure sans doute le baiser passionné échangé entre Jack et Sam sous le regard d’un Hammond visiblement sous le choc.
Nos héros ne sont pas des statues de marbre mais des êtres humais à part entière nous rappelle cette histoire particulièrement enlevée et astucieuse. La mise en scène manifeste le dynamisme souhaitable en la circonstance, tandis que le décor de l’artefact s’avère une réussite esthétique, particulièrement évocatrice du mystère et de la grandeur des Anciens. Les acteurs, décidément polyvalents, jouent parfaitement le jeu de la comédie, avec un Richard Dean Anderson en plein stand up irrésistible. C’est bien à juste que Window of Opportunity demeure un épisode particulièrement apprécié et remémoré par les fans de Stargate SG-1. Il marque l’entrée en fanfare d’un nouveau duo d’auteurs, Joseph Mallozzi et Paul Mullie ; tout au long de leur trentaine de participations en commun à la série, le fin duo des « M&M » va susciter nombre de voies nouvelles pour SG-1.
Le livre de Latin pour débutants dont se sert O'Neill est écrit par un certain Joseph Mallozi. Il s'agit en fait de l'un des auteurs de l’épisode, qui deviendra l’un des producteurs de la série.
Les céréales sont en fait figées à la glue sur la cuillère de Richard Dean Anderson, afin d'assurer la continuité entre les boucles temporelles successives. Il ne les avale jamais ! Par contre les personnes aperçues en arrière fond changent à chaque fois.
Le verrou temporel agit 21 fois au cours de l'épisode.
Bill Nikolai, ici le technicien bousculé par O'Neill en vélo, est en fait la doublure de Richard Dean Anderson pour les scènes de cascades.
Christopher Judge est effectivement un grand amateur de golf.
De son côté Richard Dean Anderson exerça effectivement comme jongleur dans les premiers temps de sa carrière, où il se produisait dans les cabarets de Los Angeles, également entant que chanteur et mime. Il fut aussi animateur de shows animaliers à Marineland, avant de trouver son premier rôle notable dans General Hospital, de 1976 à 1981. En 1985 survenait MacGyver.
Robin Mossley (Malakaï) partcipe aussi à l’épisode Morpheus (10-02). Il est une figure régulière des séries fantastiques. Il participe ainsi quatre fois aux X-Files mais aussi à l’épisode Bank Rob de Sanctuary. Mossley joue notamment le personnage semi-récurrent Wilt Bozer dans MacGyver (8 épisodes).
Peter DeLuise réalise un caméo, en militaire aidant Daniel à ranger ses papiers après qu'il ait été bousculé pat le sergent Siler.
Quand l'alarme se fait entendre, Jack s'exclame une nouvelle fois « D'oh ! », l'expression souvent associée à Homer Simpson.
Que Daniel assimile les différents textes au Latin est un signe de la présence des Anciens en ce lieu. Depuis The Fith Race, on sait que les Anciens sont à l'origine de la langue romaine, qui présente de nombreux points communs avec la leur.
Le matricule SGC de la planète de l'artefact est P4X-639.
Why? So you can be King of Groundhog Day. déclare O'Neill, un clin d'œil au titre du film de 1993 ayant inspiré l'épisode.
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Olala cet épisode c'est du grand n'importe quoi, mais il est génial, on ne s'ennuie jamais. C'est l'un de mes épisodes préférésEstuaire44 a écrit:L'histoire sans fin (Window of Opportunity, 4-06, ****)
C'est Ze scène!! Sam ne se prive pas pour répondre au baiser de Jack, d'où son petit sourire en coin à la boucle d'après, awwww Mais dommage que Sam ne se souvienne de rien. Raaaaaah *frustration de shipeuse*Estuaire44 a écrit:Mais le sommet de l’épisode demeure sans doute le baiser passionné échangé entre Jack et Sam sous le regard d’un Hammond visiblement sous le choc.
Bon par contre, question existentielle : où est-il allé chercher une tenue aussi moche?
Allez, juste pour le plaisir :
TorriGilly- Duc(hesse)
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Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Je crains que cela ne soit sa tenue "spéciale grandes occasions !"
Le gag du ketchup était également génial
Très jolie musique également
Le gag du ketchup était également génial
Très jolie musique également
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
joel goldsmith, toujours magnifique!
Waackoooo!!
Waackoooo!!
TorriGilly- Duc(hesse)
- Age : 33
Localisation : Val d'Oise
Date d'inscription : 04/01/2010
Re: Série "Stargate - SG1" (1)
Eaux troubles (Watergate, 4-07, ***)
- The sub is Swiss.
- So they occasionally catch fire, but they keep perfect time. Sorry. I think I've been hanging around Jack O'Neill too much.
Les Américains découvrent que les Russes détiennent la Porte censée avoir été détruite avec le vaisseau de Thor. Les Russes ont cependant perdu le contact avec leur base, située en Sibérie. Leur Porte demeure de plus ouverte, ce qui bloque celle du SGC. Une expédition commune est montée, avec SG-1 et la responsable scientifique russe, le Dr. Svetlana Markov. Sur place ils découvrent que tout le personnel s’est entre-tué. L’enquête va montrer que la situation est due à l’entrée en contact avec un monde recouvert d’un océan semi intelligent, dans lequel un échantillon prélevé tente de revenir en habitant des corps humains. Jack a la surprise de rencontrer Maybourne, qui a renseigné les Russes sur la Porte des Etoiles. La crise est réglée par un échange entre l’échantillon et les membres de l’équipe (Daniel, Sam et Svetlana) qui était partis exploré la planète en sous-marin.
La première partie de Watergate (excellent titre !) brille par son efficacité, parvenant à établir tout de nombreuses connections entre divers éléments bien distincts de l’univers Stargate en un minimum de temps, ainsi qu’un important virage pour ce dernier. Un bel exemple de l’art narratif anglo-saxon, parachevé par l’apparition de Melbourne, qui ne s’avère pas déterminante pour l’action en cours (quoique la simplifiant) mais qui achène de faire de cet opus un important carrefour pour les multiples intrigues secondaires de la série. Hormis une inévitable et superficielle crispation d’O’Neill, les auteurs ont l’habileté de vite évacuer la rivalité nationale pour se concentrer sur l’intrigue proprement dite. Celle-ci prend longtemps la forme d’un passionnant mystère prolongé par des rebondissements égrenés avec pertinence.
Les scènes d’action se raréfient ce qui laisse d’une manière ludique au spectateur le temps de forger sa propre hypothèse sur ce qui se trame. Le décor de la base sibérienne se révèle à la fois angoissants et ultra réaliste, une belle réussite. Les effets spéciaux de la séquence sous-marine se montrent également crédibles et très esthétiques, tout en jouant sur la caractère anxiogène propre aux sous-marins. Quelques à-côtés viennent encore accroître l’intérêt de l’ensemble, comme la composition sensible de Marina Sirtis ou la scène du submersible de poche traversant la Porte en évoquant déjà les futurs jumpers de Stargate SG-1 et Atlantis. Les scènes du sous-marin offrent également un bel espace pour cet humour subtil, amis aussi acéré, que l’on apprécie tant chez Daniel. que l’on Les amateurs des X-Files se divertiront en constatant la similarité entre les propriétés du liquide vivant et de l’Huile Noire. On regrettera un final quelque peu abrupt et précipité. L’avènement de la Porte russe ouvre toutefois de prometteuses perspectives pour la série.
La carte de la Russie aperçue en début de l'épisode comporte plastiqueurs erreurs. Magnitogorsk est très mal orthographiée (de même que Vladivostok), de plus elle est située bien trop à l'Est. De plus la Mongolie apparaît incorporée à la Russie, alors qu'il s'agit d'un pays indépendant.
Quand le submersible passe à travers la Porte, le câble le soutenant est relié à une ancre. Celle-ci a disparu à la sortie du Vortex.
Marina Sirtis (Dr. Svetlana Markov) interprète par ailleurs la Conseillère Denna Troi dans Star Trek Voyager. Svetlana indique que la base contient 47 personnes, un clin d'œil à l'emploi régulier du nombre 47 dans cette série. On note aussi qu’il s’agit du septième épisode de la saison 4. Le personnage n’apparaîtra plus dans la suite de la série.
Kurt Russel, qui jouait Jack O'Neil dans le film originel, visita le décor du SGC lors du tournage de l'épisode. Il participait alors à celui de Destination: Graceland, situé à proximité.
L'idée d'un équipage russe rencontrant un océan semi-conscient est un clin d'oeil à Solaris, le classique d'Andrei Tarkovsky (1972). Les auteurs ont d'excellentes références !
Le DHD toujours en possession des Russes sera détruit dans l'épisode 48 hours (5-14).
Le décor représentant la base russe est le même que celui utilisé pour la fabrique d'Harlan (Tin Man, 1-17).
- The sub is Swiss.
- So they occasionally catch fire, but they keep perfect time. Sorry. I think I've been hanging around Jack O'Neill too much.
Les Américains découvrent que les Russes détiennent la Porte censée avoir été détruite avec le vaisseau de Thor. Les Russes ont cependant perdu le contact avec leur base, située en Sibérie. Leur Porte demeure de plus ouverte, ce qui bloque celle du SGC. Une expédition commune est montée, avec SG-1 et la responsable scientifique russe, le Dr. Svetlana Markov. Sur place ils découvrent que tout le personnel s’est entre-tué. L’enquête va montrer que la situation est due à l’entrée en contact avec un monde recouvert d’un océan semi intelligent, dans lequel un échantillon prélevé tente de revenir en habitant des corps humains. Jack a la surprise de rencontrer Maybourne, qui a renseigné les Russes sur la Porte des Etoiles. La crise est réglée par un échange entre l’échantillon et les membres de l’équipe (Daniel, Sam et Svetlana) qui était partis exploré la planète en sous-marin.
La première partie de Watergate (excellent titre !) brille par son efficacité, parvenant à établir tout de nombreuses connections entre divers éléments bien distincts de l’univers Stargate en un minimum de temps, ainsi qu’un important virage pour ce dernier. Un bel exemple de l’art narratif anglo-saxon, parachevé par l’apparition de Melbourne, qui ne s’avère pas déterminante pour l’action en cours (quoique la simplifiant) mais qui achène de faire de cet opus un important carrefour pour les multiples intrigues secondaires de la série. Hormis une inévitable et superficielle crispation d’O’Neill, les auteurs ont l’habileté de vite évacuer la rivalité nationale pour se concentrer sur l’intrigue proprement dite. Celle-ci prend longtemps la forme d’un passionnant mystère prolongé par des rebondissements égrenés avec pertinence.
Les scènes d’action se raréfient ce qui laisse d’une manière ludique au spectateur le temps de forger sa propre hypothèse sur ce qui se trame. Le décor de la base sibérienne se révèle à la fois angoissants et ultra réaliste, une belle réussite. Les effets spéciaux de la séquence sous-marine se montrent également crédibles et très esthétiques, tout en jouant sur la caractère anxiogène propre aux sous-marins. Quelques à-côtés viennent encore accroître l’intérêt de l’ensemble, comme la composition sensible de Marina Sirtis ou la scène du submersible de poche traversant la Porte en évoquant déjà les futurs jumpers de Stargate SG-1 et Atlantis. Les scènes du sous-marin offrent également un bel espace pour cet humour subtil, amis aussi acéré, que l’on apprécie tant chez Daniel. que l’on Les amateurs des X-Files se divertiront en constatant la similarité entre les propriétés du liquide vivant et de l’Huile Noire. On regrettera un final quelque peu abrupt et précipité. L’avènement de la Porte russe ouvre toutefois de prometteuses perspectives pour la série.
La carte de la Russie aperçue en début de l'épisode comporte plastiqueurs erreurs. Magnitogorsk est très mal orthographiée (de même que Vladivostok), de plus elle est située bien trop à l'Est. De plus la Mongolie apparaît incorporée à la Russie, alors qu'il s'agit d'un pays indépendant.
Quand le submersible passe à travers la Porte, le câble le soutenant est relié à une ancre. Celle-ci a disparu à la sortie du Vortex.
Marina Sirtis (Dr. Svetlana Markov) interprète par ailleurs la Conseillère Denna Troi dans Star Trek Voyager. Svetlana indique que la base contient 47 personnes, un clin d'œil à l'emploi régulier du nombre 47 dans cette série. On note aussi qu’il s’agit du septième épisode de la saison 4. Le personnage n’apparaîtra plus dans la suite de la série.
Kurt Russel, qui jouait Jack O'Neil dans le film originel, visita le décor du SGC lors du tournage de l'épisode. Il participait alors à celui de Destination: Graceland, situé à proximité.
L'idée d'un équipage russe rencontrant un océan semi-conscient est un clin d'oeil à Solaris, le classique d'Andrei Tarkovsky (1972). Les auteurs ont d'excellentes références !
Le DHD toujours en possession des Russes sera détruit dans l'épisode 48 hours (5-14).
Le décor représentant la base russe est le même que celui utilisé pour la fabrique d'Harlan (Tin Man, 1-17).
Estuaire44- Empereur
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