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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Le CAFÉ Avengers (Ouvert sous modération)
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Re: Education
L'incompétente Najat favorise à grand pas l'islamisation du pays. Les mères voilées aux sorties, c'est cela la laïcité dans ce pays...mais rien d'étonnant avec une Marocaine au gouvernement...
École : les mères voilées pourront accompagner les sorties
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École : les mères voilées pourront accompagner les sorties
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Invité- Invité
Re: Education
le collectif Mamans toutes égales (MTE), basé à Montreuil, comme par hasard à Montreuil, ville où les faux papiers sont monnaie courante.
Invité- Invité
Re: Education
Encore un intitulé mensonger: ce n'est pas une ministre de l'éducation nationale que nous avons, c'est la ministre de l'analphabétisme cosmopolite. Tout comme le ministre du travail est en fait le ministre du chômage.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Education
Et si les gamins ou ados ont peur des notes, que va-t-il se passer dans leur vie quand ils verront rouge ?
Ok, je sors...
Ok, je sors...
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Education
Comprendre le gender en moins de 3mn.
Prenez le temps d'aller jusqu'à la fin et vous verrez à qui s'adresse cette vidéo :
Prenez le temps d'aller jusqu'à la fin et vous verrez à qui s'adresse cette vidéo :
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Education
Affolant !
QUI trouvez-vous derrière tout ça ?
Réponse : des psychiatres...
QUI trouvez-vous derrière tout ça ?
Réponse : des psychiatres...
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Education
Et c'est le professeur qui est réprimandé par la hiérarchie qui a déjà, au sens figuré, baissé son froc...
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La présence d’une étudiante voilée a fortement perturbé un professeur avocat de l’école des barreaux, à Paris. Il a refusé de dispenser son cours et a retiré ses vêtements devant les élèves stupéfaits en revendiquant la «religion du naturisme».
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La présence d’une étudiante voilée a fortement perturbé un professeur avocat de l’école des barreaux, à Paris. Il a refusé de dispenser son cours et a retiré ses vêtements devant les élèves stupéfaits en revendiquant la «religion du naturisme».
Invité- Invité
Re: Education
Excellent prof, je le garde !
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Education
SOS éducation :
Chère amie, cher ami,
En écoutant le ministre de l'Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, parler de restaurer l'autorité des professeurs (quel langage inhabituel dans sa bouche !), je pensais à cette belle phrase de Charles Péguy :
« Quand une société ne peut pas enseigner c’est que cette société ne peut pas s’enseigner, c’est qu’elle a honte, c’est qu’elle a peur de s’enseigner elle-même. »
Les incivilités qui ont émaillé, dans de nombreux établissements scolaires, la minute de silence destinée à rendre hommage aux victimes de l’attaque terroriste du mercredi 7 janvier ont suscité un émoi qui a très largement dépassé le cadre de la communauté éducative.
En la personne de représentants de l’ordre public, de journalistes, puis de citoyens de confession juive assassinés, c’est la France qui a été frappée au cœur. Or des centaines d’élèves français, dans l’enceinte même de leur école, ont manifesté leur soutien aux barbares qui se sont rendus coupables de ces ignobles attentats. Question brûlante posée à notre système éducatif, qui est, de toute l’Europe, celui où l’apprentissage de la citoyenneté est pourtant le plus formalisé : pourquoi l'éducation nationale produit-elle des barbares ?
Parce que depuis des décennies, on n’a cessé de rogner sur les heures d’enseignement du français : 15 heures par semaine en CP à la fin des années 60, contre moins de 10 aujourd’hui. Un élève actuel a reçu, à la fin du collège, 800 heures de cours de français en moins qu’un élève de la génération de ses parents !
Parce qu’on a décrété que pour apprendre à lire aux enfants des milieux populaires, il fallait utiliser des notices d’appareils ménagers plutôt que La Fontaine, car la culture était discriminante.
Parce qu’on a en conséquence soigneusement sabordé, du primaire à l’université, l’enseignement des « humanités », au profit d’une conception utilitariste de l’éducation consacrée par la fameuse « pédagogie des compétences ». Je citais Péguy… dans combien de classes de notre pays cet héritier d’Athènes, de Jérusalem et de Rome, mort pour la France en 1914, est-il encore étudié ?
Parce que l’égalitarisme idéologique étant mis en échec par le réel de la diversité des conditions et des talents, on a promu de nouvelles pédagogies, et notamment des méthodes de lecture totalement inefficaces, dites globales, mixtes ou idéo-visuelles, afin que l’alphabétisation reçue par certains enfants dans leur famille ne leur soit plus un avantage.
Parce qu’on a remplacé l’enseignement de l’histoire de France, creuset de notre communauté de destin, par un boniment mondialiste émaillé de culpabilités mémorielles.
Parce qu’on a répété à l’envi aux jeunes professeurs venant se former dans les IUFM qu’ils étaient là pour animer des dynamiques de groupes, et qu’ils n’avaient rien à transmettre.
Parce que ce discours a été accompagné d’un déclassement complet du corps enseignant, qui rend aujourd’hui véritablement héroïque leur fréquente exemplarité.
Parce que, de renoncements en excuses, on a sapé l’autorité des maîtres, et laissé se développer dans les établissements une insécurité qui rend impossible toute transmission.
Parce que des fédérations de parents d’élèves prétendument représentatives, ont travaillé à transformer l’école du mérite en un système de garderie dévolu à l’apprentissage du fameux « vivre-ensemble », comme on dit lorsqu’on a perdu l’idée de ce qu’est une société.
Parce que l’éducation nationale a été confisquée par des politiques partisanes à courte vue, conduisant à un empilement de réformes illisibles tricotées au gré des lubies de ministres renouvelés tous les dix-huit mois…
Lire, écrire, compter, connaître l’histoire de son pays ne sont pas des « objectifs pédagogiques » parmi d’autres, noyés dans on-ne-sait plus quel « socle commun » : ce sont des prérequis sans lesquels les élèves risquent effectivement de verser dans la barbarie. Dans les collèges de zones d’éducation prioritaire, l’illettrisme touche désormais 58% des élèves, et sur cette ignorance endémique, la radicalisation islamiste trouve bien souvent la place de prospérer.
Si la tragédie que nous venons de traverser ne nous engage pas à remettre l’Ecole sur ses pieds, qu’est-ce qui le fera ? Le ministre semble enfin s'orienter vers les positions défendues par SOS Éducation depuis des années... l'occasion est trop belle, saisissons-la !
Tout le monde connaît désormais les mesures qu'il faut prendre : je les ai résumées dans ce Pacte pour l’école, que je vous invite à signer en cliquant sur ce lien. Comme le dit l’ancien instituteur Marc Le Bris : "Il y a une chose à faire : il faut apprendre à lire à tout le monde. Ceux qui ont appris à lire ne peuvent pas en arriver au niveau de stupidité de ceux qui sifflent la minute de silence… à l'école, il faut faire de l'école."
Face à la barbarie, notre Pacte pour l’école doit manifester que nous sommes plus que jamais résolus à éduquer tous les enfants de notre pays, c’est-à-dire à leur transmettre un héritage et leur ouvrir un horizon.
Je compte sur vous. Si nous sommes des milliers, des dizaines de milliers à signer ce pacte, aujourd'hui, les politiques sont prêts à prendre leurs responsabilités pour faire bouger les lignes.
Alors signez le Pacte pour l'école,
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et faites suivre ce mail à tout votre carnet d'adresses !
Pour nos enfants, je vous remercie du fond du cœur.
Antoine Blondel
Responsable des relations parents - professeurs
SOS Éducation
P. S. : avec tous ces événements, je crois n'avoir pas eu l'occasion, chère amie, cher ami, de vous adresser mes vœux pour l'année nouvelle. Qu'elle voie se réaliser vos plus profonds désirs ! Et puissions-nous redevenir fiers de notre système éducatif ! Merci d'être à mes côtés et de faire connaître à vos proches notre Pacte pour l'école !
Chère amie, cher ami,
En écoutant le ministre de l'Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, parler de restaurer l'autorité des professeurs (quel langage inhabituel dans sa bouche !), je pensais à cette belle phrase de Charles Péguy :
« Quand une société ne peut pas enseigner c’est que cette société ne peut pas s’enseigner, c’est qu’elle a honte, c’est qu’elle a peur de s’enseigner elle-même. »
Les incivilités qui ont émaillé, dans de nombreux établissements scolaires, la minute de silence destinée à rendre hommage aux victimes de l’attaque terroriste du mercredi 7 janvier ont suscité un émoi qui a très largement dépassé le cadre de la communauté éducative.
En la personne de représentants de l’ordre public, de journalistes, puis de citoyens de confession juive assassinés, c’est la France qui a été frappée au cœur. Or des centaines d’élèves français, dans l’enceinte même de leur école, ont manifesté leur soutien aux barbares qui se sont rendus coupables de ces ignobles attentats. Question brûlante posée à notre système éducatif, qui est, de toute l’Europe, celui où l’apprentissage de la citoyenneté est pourtant le plus formalisé : pourquoi l'éducation nationale produit-elle des barbares ?
Parce que depuis des décennies, on n’a cessé de rogner sur les heures d’enseignement du français : 15 heures par semaine en CP à la fin des années 60, contre moins de 10 aujourd’hui. Un élève actuel a reçu, à la fin du collège, 800 heures de cours de français en moins qu’un élève de la génération de ses parents !
Parce qu’on a décrété que pour apprendre à lire aux enfants des milieux populaires, il fallait utiliser des notices d’appareils ménagers plutôt que La Fontaine, car la culture était discriminante.
Parce qu’on a en conséquence soigneusement sabordé, du primaire à l’université, l’enseignement des « humanités », au profit d’une conception utilitariste de l’éducation consacrée par la fameuse « pédagogie des compétences ». Je citais Péguy… dans combien de classes de notre pays cet héritier d’Athènes, de Jérusalem et de Rome, mort pour la France en 1914, est-il encore étudié ?
Parce que l’égalitarisme idéologique étant mis en échec par le réel de la diversité des conditions et des talents, on a promu de nouvelles pédagogies, et notamment des méthodes de lecture totalement inefficaces, dites globales, mixtes ou idéo-visuelles, afin que l’alphabétisation reçue par certains enfants dans leur famille ne leur soit plus un avantage.
Parce qu’on a remplacé l’enseignement de l’histoire de France, creuset de notre communauté de destin, par un boniment mondialiste émaillé de culpabilités mémorielles.
Parce qu’on a répété à l’envi aux jeunes professeurs venant se former dans les IUFM qu’ils étaient là pour animer des dynamiques de groupes, et qu’ils n’avaient rien à transmettre.
Parce que ce discours a été accompagné d’un déclassement complet du corps enseignant, qui rend aujourd’hui véritablement héroïque leur fréquente exemplarité.
Parce que, de renoncements en excuses, on a sapé l’autorité des maîtres, et laissé se développer dans les établissements une insécurité qui rend impossible toute transmission.
Parce que des fédérations de parents d’élèves prétendument représentatives, ont travaillé à transformer l’école du mérite en un système de garderie dévolu à l’apprentissage du fameux « vivre-ensemble », comme on dit lorsqu’on a perdu l’idée de ce qu’est une société.
Parce que l’éducation nationale a été confisquée par des politiques partisanes à courte vue, conduisant à un empilement de réformes illisibles tricotées au gré des lubies de ministres renouvelés tous les dix-huit mois…
Lire, écrire, compter, connaître l’histoire de son pays ne sont pas des « objectifs pédagogiques » parmi d’autres, noyés dans on-ne-sait plus quel « socle commun » : ce sont des prérequis sans lesquels les élèves risquent effectivement de verser dans la barbarie. Dans les collèges de zones d’éducation prioritaire, l’illettrisme touche désormais 58% des élèves, et sur cette ignorance endémique, la radicalisation islamiste trouve bien souvent la place de prospérer.
Si la tragédie que nous venons de traverser ne nous engage pas à remettre l’Ecole sur ses pieds, qu’est-ce qui le fera ? Le ministre semble enfin s'orienter vers les positions défendues par SOS Éducation depuis des années... l'occasion est trop belle, saisissons-la !
Tout le monde connaît désormais les mesures qu'il faut prendre : je les ai résumées dans ce Pacte pour l’école, que je vous invite à signer en cliquant sur ce lien. Comme le dit l’ancien instituteur Marc Le Bris : "Il y a une chose à faire : il faut apprendre à lire à tout le monde. Ceux qui ont appris à lire ne peuvent pas en arriver au niveau de stupidité de ceux qui sifflent la minute de silence… à l'école, il faut faire de l'école."
Face à la barbarie, notre Pacte pour l’école doit manifester que nous sommes plus que jamais résolus à éduquer tous les enfants de notre pays, c’est-à-dire à leur transmettre un héritage et leur ouvrir un horizon.
Je compte sur vous. Si nous sommes des milliers, des dizaines de milliers à signer ce pacte, aujourd'hui, les politiques sont prêts à prendre leurs responsabilités pour faire bouger les lignes.
Alors signez le Pacte pour l'école,
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Pour nos enfants, je vous remercie du fond du cœur.
Antoine Blondel
Responsable des relations parents - professeurs
SOS Éducation
P. S. : avec tous ces événements, je crois n'avoir pas eu l'occasion, chère amie, cher ami, de vous adresser mes vœux pour l'année nouvelle. Qu'elle voie se réaliser vos plus profonds désirs ! Et puissions-nous redevenir fiers de notre système éducatif ! Merci d'être à mes côtés et de faire connaître à vos proches notre Pacte pour l'école !
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Education
Le monde à l'envers, un pas de plus vers l'islamisation...
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Entièrement d'accord avec lui : «Si sa liberté à elle est de porter le voile en tout lieu, la mienne est de refuser, dans mon pays, au regard de notre histoire et de notre culture, de donner un cours face à un visage voilé.»
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Entièrement d'accord avec lui : «Si sa liberté à elle est de porter le voile en tout lieu, la mienne est de refuser, dans mon pays, au regard de notre histoire et de notre culture, de donner un cours face à un visage voilé.»
Invité- Invité
Re: Education
Article L141-5-1
Créé par Loi n°2004-228 du 15 mars 2004 - art. 1 JORF 17 mars 2004 en vigueur le 1er septembre 2004
Dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit.
Le règlement intérieur rappelle que la mise en oeuvre d'une procédure disciplinaire est précédée d'un dialogue avec l'élève.
NOTA :
Loi 2004-228 du 15 mars 2004 art. 3 : Les dispositions de la présente loi entrent en vigueur à compter de la rentrée de l'année scolaire qui suit sa publication.
Créé par Loi n°2004-228 du 15 mars 2004 - art. 1 JORF 17 mars 2004 en vigueur le 1er septembre 2004
Dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit.
Le règlement intérieur rappelle que la mise en oeuvre d'une procédure disciplinaire est précédée d'un dialogue avec l'élève.
NOTA :
Loi 2004-228 du 15 mars 2004 art. 3 : Les dispositions de la présente loi entrent en vigueur à compter de la rentrée de l'année scolaire qui suit sa publication.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Education
Oui, mais pas dans les universités...d'où le manque de courage des politicards et l’ambiguïté dans la société.
Invité- Invité
Re: Education
Excellent article !
Brighelli : face à la vague noire, interdisons le voile à l'université !
Le Point - Publié le 13/02/2015 à 15:05 - Modifié le 13/02/2015 à 17:47
Brighelli : face à la vague noire, interdisons le voile à l'université !
Le Point - Publié le 13/02/2015 à 15:05 - Modifié le 13/02/2015 à 17:47
Un chargé de cours a été démis pour avoir refusé de faire cours devant une jeune fille voilée. Que tous les enseignants du supérieur fassent comme lui !
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Invité- Invité
Re: Education
Complicités
C'est que les affaires liées à l'entrisme de l'islam dans l'université se multiplient, comme n'a pas manqué de le souligner Guylain Chevrier, ajoutant que partout le contenu même des enseignements est contesté, au nom d'une critique postcoloniale, et que partout un petit groupe organisé fait pression sur le grand groupe inorganisé des indifférents et des lâches. "Faut-il attendre que les problèmes se généralisent ?" D'autant que certains universitaires sont clairement complices - Paris-VIII a ainsi accueilli en décembre 2014 une conférence sur l'islamophobie, dont Tariq Ramadan était la vedette. Les idiots utiles font leur boulot. Le camp du bien réunit les siens.
Et de rappeler que le défunt HCI avait préconisé l'interdiction des signes religieux dans tous les sites d'enseignement - d'autant que près de 30 % des étudiants du supérieur, en BTS ou en prépa, hébergés dans des lycées se plient sans problème aux contraintes fort légères de la loi de 2004. Le principe de laïcité doit permettre de se mélanger - pas de se figer en communautés antagonistes, en groupes très actifs qui pèsent sur les enseignements et occupent indûment les locaux universitaires pour y installer des bulles religieuses.
Chantage
Geneviève Fioraso était bien embêtée. La loi de 2004 doit être respectée - mais en fac, on accueille des majeurs... qui viennent de tous les coins du monde... Je veux une université apaisée, sans prosélytisme... Nous avons orienté vers le Cned des jeunes filles qui ne voulaient pas d'examinateur de sexe masculin... Il faut faire accéder tous les jeunes des banlieues et des "territoires" (perdus par la République ?) à une qualification supérieure, autant accepter des jeunes filles voilées que les renvoyer à leur enfermement familial...
Autant dire que l'on répond favorablement au chantage.
C'est que les affaires liées à l'entrisme de l'islam dans l'université se multiplient, comme n'a pas manqué de le souligner Guylain Chevrier, ajoutant que partout le contenu même des enseignements est contesté, au nom d'une critique postcoloniale, et que partout un petit groupe organisé fait pression sur le grand groupe inorganisé des indifférents et des lâches. "Faut-il attendre que les problèmes se généralisent ?" D'autant que certains universitaires sont clairement complices - Paris-VIII a ainsi accueilli en décembre 2014 une conférence sur l'islamophobie, dont Tariq Ramadan était la vedette. Les idiots utiles font leur boulot. Le camp du bien réunit les siens.
Et de rappeler que le défunt HCI avait préconisé l'interdiction des signes religieux dans tous les sites d'enseignement - d'autant que près de 30 % des étudiants du supérieur, en BTS ou en prépa, hébergés dans des lycées se plient sans problème aux contraintes fort légères de la loi de 2004. Le principe de laïcité doit permettre de se mélanger - pas de se figer en communautés antagonistes, en groupes très actifs qui pèsent sur les enseignements et occupent indûment les locaux universitaires pour y installer des bulles religieuses.
Chantage
Geneviève Fioraso était bien embêtée. La loi de 2004 doit être respectée - mais en fac, on accueille des majeurs... qui viennent de tous les coins du monde... Je veux une université apaisée, sans prosélytisme... Nous avons orienté vers le Cned des jeunes filles qui ne voulaient pas d'examinateur de sexe masculin... Il faut faire accéder tous les jeunes des banlieues et des "territoires" (perdus par la République ?) à une qualification supérieure, autant accepter des jeunes filles voilées que les renvoyer à leur enfermement familial...
Autant dire que l'on répond favorablement au chantage.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Education
Quand va-t-on supprimer le français ?
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Education
Ça, c'est de l'éducation :
l’adoption d’horaires séparés dans les piscines de Lille pour les femmes musulmanes imposés par Martine Aubry, laissant place au communautarisme le plus radical
la volonté de donner le droit de vote aux étrangers
l’exigence de régularisation de tous les clandestins, condamnant l’Etat Français et donc les contribuables à une dette augmentant de plus de 20 milliards par an
la multiplication des mosquées dans les communes socialistes
la multiplication des centres d’acceuils pour les sans-papiers
le refus de la double-peine, condamnant les Français à vivre avec de dangereux criminels étrangers nous remerciant de l’hospitalité en violant nos femmes et tuant nos compatriotes
l’adoption d’horaires séparés dans les piscines de Lille pour les femmes musulmanes imposés par Martine Aubry, laissant place au communautarisme le plus radical
la volonté de donner le droit de vote aux étrangers
l’exigence de régularisation de tous les clandestins, condamnant l’Etat Français et donc les contribuables à une dette augmentant de plus de 20 milliards par an
la multiplication des mosquées dans les communes socialistes
la multiplication des centres d’acceuils pour les sans-papiers
le refus de la double-peine, condamnant les Français à vivre avec de dangereux criminels étrangers nous remerciant de l’hospitalité en violant nos femmes et tuant nos compatriotes
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Education
La réforme des collègues est critiquée de toutes parts, et pour cause. NVB serait prête à sacrifier le latin et le grec, deux racines de notre civilisation. Évidemment, elle s’en fout, ce n’est pas la sienne ! C’est une volonté toujours accrue de supprimer tous repères historiques, culturels pour les générations à venir.
On trouve pourtant des partisans de cette suppression à commencer par un journaleux pouilleux de Libé, pseudo philosophe, qui écrit que « le latin et le grec ne font que renforcer les inégalités sociales et bloquent l’intégration républicaine. »
C’est en lisant de telles conneries que je me dis que la liberté d’expression a des limites.
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On trouve pourtant des partisans de cette suppression à commencer par un journaleux pouilleux de Libé, pseudo philosophe, qui écrit que « le latin et le grec ne font que renforcer les inégalités sociales et bloquent l’intégration républicaine. »
C’est en lisant de telles conneries que je me dis que la liberté d’expression a des limites.
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Invité- Invité
Re: Education
Le latin et le grec ne sont plus guère étudiés, je pense que la priorité devrait être de renforcer l'éducation du Français, notre belle langue, de revenir aux cours de grammaire, d'orthographe et aux dictées. Ensuite, l'apprentissage de l'Anglais est indispensable. L'Anglais devrait être la première langue étrangère obligatoire en 6ème et 5ème.
Maintenant, quelqu'un qui maîtrise bien l'Anglais peut voyager partout. Donc, il ne me paraît pas nécessaire d'imposer une seconde langue étrangère à tous à partir de la 4ème, et encore moins à partir de la 5ème comme veulent le faire les socialistes. Moi qui était plutôt un matheux, ça m'a gonflé de me coltiner une seconde langue étrangère. Je suis partisan de mettre une seconde langue étrangère, pas avant la 4ème, et en option non obligatoire, pour ceux qui le désirent.
Quant au grec et au latin, on peut toujours les maintenir en tant qu'options non obligatoires, au même titre que les langues régionales.
Il serait bon également de supprimer l'apprentissage des langues non européennes, et en particulier de l'Arabe. Cela n'a pas à être financé par le contribuable français. Que ceux qui veulent apprendre l'Arabe se payent des cours privés!
Maintenant, quelqu'un qui maîtrise bien l'Anglais peut voyager partout. Donc, il ne me paraît pas nécessaire d'imposer une seconde langue étrangère à tous à partir de la 4ème, et encore moins à partir de la 5ème comme veulent le faire les socialistes. Moi qui était plutôt un matheux, ça m'a gonflé de me coltiner une seconde langue étrangère. Je suis partisan de mettre une seconde langue étrangère, pas avant la 4ème, et en option non obligatoire, pour ceux qui le désirent.
Quant au grec et au latin, on peut toujours les maintenir en tant qu'options non obligatoires, au même titre que les langues régionales.
Il serait bon également de supprimer l'apprentissage des langues non européennes, et en particulier de l'Arabe. Cela n'a pas à être financé par le contribuable français. Que ceux qui veulent apprendre l'Arabe se payent des cours privés!
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Education
Le latin et le grec font partie de notre culture et il faut les maintenir, en option bien entendu, mais ces deux langues mortes étaient de toute façon dans cette catégorie la plupart du temps. Là, on parle d’une suppression pure et simple. Mon fils excelle en grec et c’est bénéfique pour le français. Bien entendu, le retour aux cours de grammaire, d'orthographe et aux dictées en français est indispensable. Je suis enseignant en lettres-anglais (c'est-à-dire que je peux enseigner les deux) et heureusement que je n’enseigne pas le français. On se contrefout que les élèves fassent dix fautes d’orthographe et de syntaxe en autant de lignes dans les programmes (et je minimise croyez-moi) et on prône l’ouverture au théâtre, à la poésie, à la presse (avec dans ce cas, on s’en doute, une orientation bien sentie)…
Par contre, je suis bien entendu partisan de la seconde langue étrangère à partir de la 4e. Les maths me gonflaient et j’ai étudié trois langues (l’anglais, l’allemand et le russe) dont deux que je continue à utiliser.
Evidemment, l’arabe n’a pas à figurer dans les langues étudiées. Est-ce que le portugais fait partie des langues enseignées ? Et pourtant il y a beaucoup de Portugais en France.
Par contre, je suis bien entendu partisan de la seconde langue étrangère à partir de la 4e. Les maths me gonflaient et j’ai étudié trois langues (l’anglais, l’allemand et le russe) dont deux que je continue à utiliser.
Evidemment, l’arabe n’a pas à figurer dans les langues étudiées. Est-ce que le portugais fait partie des langues enseignées ? Et pourtant il y a beaucoup de Portugais en France.
Invité- Invité
Re: Education
Ainsi, l'étude de l'Islam sera obligatoire, mais celle du christianisme médiéval facultative -
Nos repères communs seront donc extraits des cultures venues d'ailleurs et des tragédies de notre histoire. Plutôt que d'amener l'élève à puiser à la source du christianisme, de l'humanisme et des Lumières, le CSP préfère écouler ses stocks de repentance amère et éculée.
il y a bien longtemps que l'enseignement de l'histoire se fourvoie chez nous dans un travail de sape et d'auto-flagellation prodigieusement masochiste. Avec la réforme du collège, un nouveau cap est franchi. Ne cherchez plus la crise de la France: elle est là, dans ce retournement de soi contre soi.
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Nos repères communs seront donc extraits des cultures venues d'ailleurs et des tragédies de notre histoire. Plutôt que d'amener l'élève à puiser à la source du christianisme, de l'humanisme et des Lumières, le CSP préfère écouler ses stocks de repentance amère et éculée.
il y a bien longtemps que l'enseignement de l'histoire se fourvoie chez nous dans un travail de sape et d'auto-flagellation prodigieusement masochiste. Avec la réforme du collège, un nouveau cap est franchi. Ne cherchez plus la crise de la France: elle est là, dans ce retournement de soi contre soi.
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Invité- Invité
Re: Education
Entretien – Pascal Bruckner : les nouveaux programmes d’histoire ou l’effacement de la France
L’école devient le véhicule de l’ignorance et non du savoir. On peut également s’étonner du choix de privilégier l’enseignement de l’islam par rapport à celui des Lumières ou du christianisme médiéval. A mon sens il ne s’agit pas d’un choix arbitraire, mais idéologique. J’y vois une tentative délibérée d’amputation des traditions nationales. Au motif de favoriser le «vivre ensemble», horrible terme de la novlangue actuelle, on prône l’effacement de ce qu’il y a de meilleur dans notre héritage.
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L’école devient le véhicule de l’ignorance et non du savoir. On peut également s’étonner du choix de privilégier l’enseignement de l’islam par rapport à celui des Lumières ou du christianisme médiéval. A mon sens il ne s’agit pas d’un choix arbitraire, mais idéologique. J’y vois une tentative délibérée d’amputation des traditions nationales. Au motif de favoriser le «vivre ensemble», horrible terme de la novlangue actuelle, on prône l’effacement de ce qu’il y a de meilleur dans notre héritage.
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Invité- Invité
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