Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
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Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Un nouvel héros débarque sur ce forum pour très longtemps (Chronique de 98 épisodes et 4 saisons). C'est le capitaine Jonathan Archer (Scott Bakula) héros de "Enterprise".
Il s'agit de la cinquième série dérivée du "Star Trek " classique après "La nouvelle génération", "Deep space nine" et "Voyager", mais l'action ici se situe en 2151
C'est un prequel, puisque James T Kirk est né en 2233, et que la série "Star trek" originale se déroulait de 2266 à 2269. Le film sorti en salles en 1980 lui se passait en 2271.
Petite description de l'univers trekkien :
La fédération des planètes unies est une sorte d'ONU de l'espace. Y figurent la terre, Vulcain, Andor, Tellar et Delta IV
La branche paramilitaire de la fédération s'appelle Starfleet Elle est régie par la "Prime Directive", ensemble de lois de non ingérence dans les affaires politiques et sociales des planètes n'appartenant pas à la fédération.
Les klingons sont les ennemis de la fédération. Ce sont des guerriers sanguinaires et âpres de conquête. A noter qu'ils n'ont pas le même look dans la série de 1966 et dans le film de 1980.
Les Romuliens sont des Vulcains qui n'ont pas accepté d'entrer dans la fédération et ont fondé un nouvel empire, une planète éclairée par deux soleils, Romulus et Rémus.
"Enterprise" se devait donc de respecter, au niveau du scénario, tout ce qui s'est passé après, puisque c'est un préquel. La série est produite par Rick Bergman et Brannon Braga.
Scott Bakula est la seule vedette de "Enterprise", les autres comédiens étant des débutants : mais le trio de tête de la série est, outre Archer/Bakula, il y a le sub-commander T-Pol (Jolene Blalock) et l'ingénieur Tucker (Connor Trinnee).
Dès le pilote, l'équipage de "Enterprise" va être confronté à des extra terrestres polymorphes, appelés les sulibans.
J'ai une importante documentation Star Trek...que je n'ai jamais consultée, et qui me sert évidemment aujourd'hui. Toutefois, si les spécialistes de SF de ce forum constataient des erreurs (Je vais m'appliquer à en faire le moins possible) sur tout ce qui n'est pas "Enterprise", je pense liste non exaustive à Estuaire, Cetp, Pascal qui a chroniqué "Firefly" et "Buffy", Alano, Numfar, Doctor222 que j'ai noté comme étant les plus spécialisés sur la SF, mais aussi bien entendu tous les participants du forum, Alexandre, Denis, Dearesttara, PhilDLM, Steed3003, Philo, Séribibi et les autres repéraient des erreurs, vous pouvez me le signaler.
J'ai calculé d'alterner les "Hawaii Police d'état" avec les "Enterprise" de manière à continuer à passer de Scott Bakula à Jack Lord comme je le faisais en chroniquant "Code Quantum"
Dernière édition par Patricks le Lun 13 Juin 2011 - 22:07, édité 3 fois
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Patricks a écrit:
Un nouvel héros débarque sur ce forum pour très longtemps (Chronique de 98 épisodes et 4 saisons). C'est le capitaine Jonathan Archer (Scott Bakula) héros de "Enterprise".
Il s'agit de la cinquième série dérivée du "Star Trek " classique après "La nouvelle génération", "Deep space nine" et "Voyager", mais l'action ici se situe en 2151
C'est un prequel, puisque James T Kirk est né en 2233, et que la série "Star trek" originale se déroulait de 2266 à 2269. Le film sorti en salles en 1980 lui se passait en 2271.
Petite description de l'univers trekkien :
La fédération des planètes unies est une : sorte d'ONU de l'espace. Y figurent la terre, Vulcain, Andor, Tellar et Delta IV
La branche paramilitaire de la fédération s'appelle STARFLEET Elle est régie par la "Prime Directive", ensemble de lois de non ingérence dans les affaires politiques et sociales des planètes n'appartenant pas à la fédération.
Les klingons sont les ennemis de la fédération. Ce sont des guerriers sanguinaires et âpres de conquête. A noter qu'ils n'ont pas le même look dans la série de 1966 et dans le film de 1980.
Les Romuliens sont des Vulcains qui n'ont pas accepté d'entrer dans la fédération et ont fondé un nouvel empire, une planète éclairée par deux soleils, Romulus et Rémus.
"Enterprise" se soit donc de respecter, au niveau du scénario, tout ce qui s'est passé après, puisque c'est un préquel. La série est produite par Rick Bergman et Brannon Braga.
Scott Bakula est la seule vedette de "Enterprise", les autres comédiens étant des débutants : mais le trio de tête de la série est, outre Archer/Bakula, il y a le sub-commander T-Pol (Jolene Blalock) et l'ingénieur Tucker (Connor Trinnee).
Dès le pilote, l'équipage de "Enterprise" va être confronté à des extra terrestres polymorphes, appelés les sulibans.
J'ai une importante documentation Star Trek...que je n'ai jamais consultée, et qui me sert évidemment aujourd'hui. Toutefois, si les spécialistes de SF de ce forum constataient des erreurs (Je vais m'appliquer à en faire le moins possible) sur tout ce qui n'est pas "Enterprise", je pense liste non exaustive à Estuaire, Cetp, Pascal qui a chroniqué "Firefly" et "Buffy", Alano, Numfar, Doctor222 que j'ai noté comme étant les plus spécialisés sur la SF, mais aussi bien entendu tous les participants du forum, Alexandre, Denis, Dearesttara, PhilDLM, Steed3003, Philo, Séribibi et les autres repéraient des erreurs, vous pouvez me le signaler.
J'ai calculé d'alterner les "Hawaii Police d'état" avec les "Enterprise" de manière à continuer à passer de Scott Bakula à Jack Lord comme je le faisais en chroniquant "Code Quantum"
J'ai le magazine que tu as mis en photo, Patricks ! (Il fut réedité, enfin la partie AVENGERS, d'après le guide complet d'un numéro de GENERATION SERIE de 1995, car un autre listait toutes les vidéos sorties, c'était au début des années 2000 que la partie fut republiée).
Joris- Prince(sse)
- Age : 34
Localisation : Metz (57)
Date d'inscription : 10/06/2006
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Excellente initiative Patricks d'autant que je connais peu cette série, n'ayant réellement visionné que ST Classic.
Alors Romulus et Remus sont en fait deux planètes tournant autour du même soleil et non deux soleils d'une même planète. Les Romuliens ne se sont pas séparés des Vulcains par refus d'intégrer la Fédération, cela remonte bien avant. Le conflit reposait sur la pensée non violente et cérébrale des Vulcains, adoptée suite a l'enseignement d'un important philosophe. Par contre, ultérieurement, la Fédération s'est crée quand ses différents peuples ont été confrontés à une guerre avec les Romuliens. Après avoir quittés Vulcains les Romuliens ont voyagé jusqu'à découvrir la planète qui allait devenir Romulus, la capitale de leur empire ressemblant beaucoup à celui de l'empire romain. Romulus est considérée, y compris par la Fédération, comme l'une des splendeurs de la Galaxie. Dans le même système solaire les Romuliens ont également asservis Remus, réduisant en esclavage ses habitants (les Rémanais) dans les immenses mines de cette planète. Les Romuliens sont nettement moins impulsifs, et davantage manipulateurs, que les Klingons, bie plus dangereux en fait.
Alors Romulus et Remus sont en fait deux planètes tournant autour du même soleil et non deux soleils d'une même planète. Les Romuliens ne se sont pas séparés des Vulcains par refus d'intégrer la Fédération, cela remonte bien avant. Le conflit reposait sur la pensée non violente et cérébrale des Vulcains, adoptée suite a l'enseignement d'un important philosophe. Par contre, ultérieurement, la Fédération s'est crée quand ses différents peuples ont été confrontés à une guerre avec les Romuliens. Après avoir quittés Vulcains les Romuliens ont voyagé jusqu'à découvrir la planète qui allait devenir Romulus, la capitale de leur empire ressemblant beaucoup à celui de l'empire romain. Romulus est considérée, y compris par la Fédération, comme l'une des splendeurs de la Galaxie. Dans le même système solaire les Romuliens ont également asservis Remus, réduisant en esclavage ses habitants (les Rémanais) dans les immenses mines de cette planète. Les Romuliens sont nettement moins impulsifs, et davantage manipulateurs, que les Klingons, bie plus dangereux en fait.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Ce soir, critique du pilote. J'en ai au moins pour deux ans comme "Code Quantum".
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Je visionne actuellement la fin de la troisième saison. Après mes démélés initiaux avec les sulibans, j'ai maintenant les Xindis sur le dos...
Bromhead- Comte(sse)
- Age : 66
Localisation : Belgium
Date d'inscription : 02/11/2008
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Je n'ai vus que les trois premiers épisodes de cette série (merci à mon demi frère qui avait ramené le coffret de la saison 1 un dimanche). J'avoue ne pas avoir détesté, mais je ne suis déjà pas un fan de l'univers Star Trek en générale, que je trouve trop américain à mon goûts (logique quand on y pense). Cette série est vraiment différentes des autres série Star Trek, déjà par son générique, mais aussi pas son atmosphère. Elle fut annulé il me semble au terme de la saison 4, dommage, m'enfin c'est un peux cette série qui à mis un termes à la franchise Star Trek jusqu'au film de J. J. Abrahams .
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Jamais vu un emballage DVD aussi compliqué depuis "Sherlock Holmes". Un faux métal (plastique couleur gris métallisé avec un support photo très délicat, à l'intérieur de l'emballage, une boite bleu transparente et coulissante, avec un livret et sept dvd, pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?
L'important est bien entendu le contenu et non le contenant. Scott Bakula, toujours doublé par le comédien Guy Chappelier, dont je me souviens pour la série "Valérie" en 1974 avec Sylvie Milhaud.
On a l'impression que Sam Beckett, enfin sorti de son vide temporel du "Grand voyage", est revenu. A la différence de Richard Dean Anderson qui dans "Stargate" faisait complètement oublier Mc Gyver, Scott Bakula est plus fort que la série. Son charisme envahit l'image dès qu'il apparaît. Toute la quincaillerie spatiale passe au second plan. Le réalisateur James L Conway fait d'ailleurs de gros plans sur Bakula.
Le premier épisode montrant Jonathan Archer/Scott Bakula voulant sauver la vie d'un klingon, une race extra-terrestre, ne dépareille pas par rapport à l'esprit de Sam Beckett. Je visionne une seconde fois la première partie du pilote en terminant ma critique. Le premier épisode s'appelle "En avant toute". Vu le nombre d'épisodes, on en a sans doute pour deux ans comme "Code Quantum".
L'important est bien entendu le contenu et non le contenant. Scott Bakula, toujours doublé par le comédien Guy Chappelier, dont je me souviens pour la série "Valérie" en 1974 avec Sylvie Milhaud.
On a l'impression que Sam Beckett, enfin sorti de son vide temporel du "Grand voyage", est revenu. A la différence de Richard Dean Anderson qui dans "Stargate" faisait complètement oublier Mc Gyver, Scott Bakula est plus fort que la série. Son charisme envahit l'image dès qu'il apparaît. Toute la quincaillerie spatiale passe au second plan. Le réalisateur James L Conway fait d'ailleurs de gros plans sur Bakula.
Le premier épisode montrant Jonathan Archer/Scott Bakula voulant sauver la vie d'un klingon, une race extra-terrestre, ne dépareille pas par rapport à l'esprit de Sam Beckett. Je visionne une seconde fois la première partie du pilote en terminant ma critique. Le premier épisode s'appelle "En avant toute". Vu le nombre d'épisodes, on en a sans doute pour deux ans comme "Code Quantum".
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
01.01 et 01.02 - En avant toute (premières et secondes parties) (Broken Bow part 1 and 2) ♣♣
Nous sommes en avril 2151. Dans cette anticipation, des modes de vie extra-terrestres ont été découverts et n'étonnent personne. Les vulcains, les klingons et les Sulibans. Ces derniers apparaissent dans cet épisode.
En 2063 (pas si loin de nous!), les extra-terrestres de la race vulcain et les terriens ont établi un premier contact. Depuis, nous sommes entrés dans une nouvelle ère de l'humanité.
Poursuivi dans un champ par des extra-terrestres polymorphes, un klingon nommé Klaang (Tommy Lister) se trouve face à un fermier de l'Oklahoma nommé Moore. Klaang hurle dans un jargon que le terrien ne comprend pas, assez proche d'un homme préhistorique tant par l'aspect que les cris, et Moore lui expédie une décharge de fusil. Ceux qui poursuivaient Klaang ont brûlé dans l'explosion d'un silo provoqué par Klaang avant d'être abattu.
Le capitaine Jonathan Archer (Scott Bakula) constate que Klaang n'est pas mort, mais les klingons réclament son cadavre en voulant débrancher son système de survie. Archer veut donc ramener Klaang sur sa planète, Kronos. Ce sera le premier voyage spatial du vaisseau "Enterprise".
A cause de l'intervention des Vulcains, les terriens ont peiné à mettre au point un programme spatial, progressant lentement.
Ainsi, le père de Jonathan, Henry, n'aura pas vu de vol spatial en "distorsion de niveau 5". Il était l'assistant du professeur Cochran, le premier terrien à avoir contacté l'univers extra-terrestre.
Jonathan, pour ramener l'animal sauvage sur sa planète, constitue un équipage. Il fait appel à l'ingénieur Tucker (Connor Trinneer), à une enseigne asiatique nommée Hoshi (Linda Park). On lui impose une espèce de pimbèche vulcain, une sub commander T Pol (Jolene Blalock). T Pol obéit à ses supérieurs, et fait tout pour se rendre antipathique. Sa coiffure n'est pas là pour la mettre à son avantage.
Parmi les séquences qui donnent un peu d'humour dans cet univers SF, nous voyons des membres de l'équipage qui dorment en apesanteur. Comme toujours dans les séries de space opera, le téléspectateur est abreuvé d'informations et de langage incompréhensible très vite rébarbatif.
Autre séquence ironique : le repas avec T Pol qui ne touche pas la nourriture avec les doigts. Les vulcains voyant les humains manger de la viande les traitent de carnivores.
Autant le dire d'emblée, sans le sourire, les sarcasmes gentils et l'humanité de Scott Bakula, comédien qui dégage un charisme démontré par la série "Code Quantum", on zapperait vite ce programme, prequel de la longue lignée des séries star trek. Programme contesté par les puristes, qui estiment que la série "Enterprise" ne respecte pas des éléments développés dans "Star Trek" et "Star Trek la nouvelle génération", notamment sur la première rencontre avec ces affreux klingons en contradiction avec les épisodes "la colombe" (Star Trek classic) et "Premier contact" (Star Trek, la nouvelle génération)
Klaang, le klingon, est enlevé par les sulibans. T'Pol suggère de retourner à San Francisco. Archer exprime à T'Pol sa rancoeur contre les klingons et leur mépris des humains.
Après le rapt de Klaang, on retrouve le cadavre d'un suliban mutant possédant quatre poumons.
Dans ce pilote, même si on la déteste très vite, Jolene Blalock en T'Pol est la seule qui parvient à exister face à Scott Bakula. Reed (Dominic Keating) par exemple n'est qu'un beau gosse fade comme on en a vu mille fois dans l'univers télévisuel. Pour respecter les quotas établis aux states, il y a aussi le black de service. Et une espèce de professeur extra-terrestre qui n'a retenu de la terre...que la cuisine chinoise et le potage. Il s'agit de Phlox (John Billingsley).
Lorsque l'on pense trouver un moment de tendresse, on voit Archer embrasser une jolie fille qui se révèle être une suliban. Cette créature révèle que Klaang était porteur d'un message sur une conspiration des suliban.
Une tempête de neige sert de décor lors d'une bataille entre Archer et ses hommes et les suliban. Il s'agit d'un moment où Archer, T'Pol et les autres doivent regagner le vaisseau Enterprise. T'pol prendra le commandement un court moment lorsque Archer aura été blessé.
Des scènes de flash back nous permettent de voir Jonathan jeune (Marty Davis) et son père Henry (Mark Moses). Mais le futur intervient aussi puisque les klingons mènent une guerre venue du futur (Scott Bakula, spécialiste ès- voyage dans le temps, ne doit pas être dépaysé).
Avant de regarder ce pilote, si l'on se documente abondamment sur "Star Trek Classic", on ne retrouve pas grand chose ici de la série de Gene Roddenberry datant de 1966 à 1969 et qui parlait de paix et d'humanité. Excepté une "téléportation", saut dans l'espace justifié par le faible budget en effets spéciaux de "CLassic". Ici, la scène a été reprise pour faire un lien avec "Star Trek" au cas où le titre nous l'aurait fait oublier, puisque la série s'appelle simplement "Enterprise".
Sans Scott Bakula qui fait tout l''intérêt de "Enterprise", on se croirait dans un de ces téléfilms de séries Z avec cet acteur médiocre, Olivier Gruner. Beaucoup d'effets spéciaux mais des intrigues phagocytées par une multiplication de termes scientifiques (ou pseudo-scientifiques) et de nombreux rebondissements peu développés pour empêcher le spectateur de réagir et de réfléchir.
Après avoir récupéré Klaang, Archer, Reed et les autres le remettent aux klingons.
Bon, le pilote n'est pas une réussite, loin de là, mais le fil rouge (les sulibans) donne envie de voir la suite. On peut regarder "Enterprise" sans avoir vu les autres "Star Trek". Ce n'est finalement pas un mal, car la compréhension deviendrait vite insurmontable
Et puis il y a Scott Bakula et son chien, idée piquée à "Columbo". Par contre, l’épisode se termine avec Archer demandant à T’Pol de rester, ce qui n’était pas franchement indispensable.
Nous sommes en avril 2151. Dans cette anticipation, des modes de vie extra-terrestres ont été découverts et n'étonnent personne. Les vulcains, les klingons et les Sulibans. Ces derniers apparaissent dans cet épisode.
En 2063 (pas si loin de nous!), les extra-terrestres de la race vulcain et les terriens ont établi un premier contact. Depuis, nous sommes entrés dans une nouvelle ère de l'humanité.
Poursuivi dans un champ par des extra-terrestres polymorphes, un klingon nommé Klaang (Tommy Lister) se trouve face à un fermier de l'Oklahoma nommé Moore. Klaang hurle dans un jargon que le terrien ne comprend pas, assez proche d'un homme préhistorique tant par l'aspect que les cris, et Moore lui expédie une décharge de fusil. Ceux qui poursuivaient Klaang ont brûlé dans l'explosion d'un silo provoqué par Klaang avant d'être abattu.
Le capitaine Jonathan Archer (Scott Bakula) constate que Klaang n'est pas mort, mais les klingons réclament son cadavre en voulant débrancher son système de survie. Archer veut donc ramener Klaang sur sa planète, Kronos. Ce sera le premier voyage spatial du vaisseau "Enterprise".
A cause de l'intervention des Vulcains, les terriens ont peiné à mettre au point un programme spatial, progressant lentement.
Ainsi, le père de Jonathan, Henry, n'aura pas vu de vol spatial en "distorsion de niveau 5". Il était l'assistant du professeur Cochran, le premier terrien à avoir contacté l'univers extra-terrestre.
Jonathan, pour ramener l'animal sauvage sur sa planète, constitue un équipage. Il fait appel à l'ingénieur Tucker (Connor Trinneer), à une enseigne asiatique nommée Hoshi (Linda Park). On lui impose une espèce de pimbèche vulcain, une sub commander T Pol (Jolene Blalock). T Pol obéit à ses supérieurs, et fait tout pour se rendre antipathique. Sa coiffure n'est pas là pour la mettre à son avantage.
Parmi les séquences qui donnent un peu d'humour dans cet univers SF, nous voyons des membres de l'équipage qui dorment en apesanteur. Comme toujours dans les séries de space opera, le téléspectateur est abreuvé d'informations et de langage incompréhensible très vite rébarbatif.
Autre séquence ironique : le repas avec T Pol qui ne touche pas la nourriture avec les doigts. Les vulcains voyant les humains manger de la viande les traitent de carnivores.
Autant le dire d'emblée, sans le sourire, les sarcasmes gentils et l'humanité de Scott Bakula, comédien qui dégage un charisme démontré par la série "Code Quantum", on zapperait vite ce programme, prequel de la longue lignée des séries star trek. Programme contesté par les puristes, qui estiment que la série "Enterprise" ne respecte pas des éléments développés dans "Star Trek" et "Star Trek la nouvelle génération", notamment sur la première rencontre avec ces affreux klingons en contradiction avec les épisodes "la colombe" (Star Trek classic) et "Premier contact" (Star Trek, la nouvelle génération)
Klaang, le klingon, est enlevé par les sulibans. T'Pol suggère de retourner à San Francisco. Archer exprime à T'Pol sa rancoeur contre les klingons et leur mépris des humains.
Après le rapt de Klaang, on retrouve le cadavre d'un suliban mutant possédant quatre poumons.
Dans ce pilote, même si on la déteste très vite, Jolene Blalock en T'Pol est la seule qui parvient à exister face à Scott Bakula. Reed (Dominic Keating) par exemple n'est qu'un beau gosse fade comme on en a vu mille fois dans l'univers télévisuel. Pour respecter les quotas établis aux states, il y a aussi le black de service. Et une espèce de professeur extra-terrestre qui n'a retenu de la terre...que la cuisine chinoise et le potage. Il s'agit de Phlox (John Billingsley).
Lorsque l'on pense trouver un moment de tendresse, on voit Archer embrasser une jolie fille qui se révèle être une suliban. Cette créature révèle que Klaang était porteur d'un message sur une conspiration des suliban.
Une tempête de neige sert de décor lors d'une bataille entre Archer et ses hommes et les suliban. Il s'agit d'un moment où Archer, T'Pol et les autres doivent regagner le vaisseau Enterprise. T'pol prendra le commandement un court moment lorsque Archer aura été blessé.
Des scènes de flash back nous permettent de voir Jonathan jeune (Marty Davis) et son père Henry (Mark Moses). Mais le futur intervient aussi puisque les klingons mènent une guerre venue du futur (Scott Bakula, spécialiste ès- voyage dans le temps, ne doit pas être dépaysé).
Avant de regarder ce pilote, si l'on se documente abondamment sur "Star Trek Classic", on ne retrouve pas grand chose ici de la série de Gene Roddenberry datant de 1966 à 1969 et qui parlait de paix et d'humanité. Excepté une "téléportation", saut dans l'espace justifié par le faible budget en effets spéciaux de "CLassic". Ici, la scène a été reprise pour faire un lien avec "Star Trek" au cas où le titre nous l'aurait fait oublier, puisque la série s'appelle simplement "Enterprise".
Sans Scott Bakula qui fait tout l''intérêt de "Enterprise", on se croirait dans un de ces téléfilms de séries Z avec cet acteur médiocre, Olivier Gruner. Beaucoup d'effets spéciaux mais des intrigues phagocytées par une multiplication de termes scientifiques (ou pseudo-scientifiques) et de nombreux rebondissements peu développés pour empêcher le spectateur de réagir et de réfléchir.
Après avoir récupéré Klaang, Archer, Reed et les autres le remettent aux klingons.
Bon, le pilote n'est pas une réussite, loin de là, mais le fil rouge (les sulibans) donne envie de voir la suite. On peut regarder "Enterprise" sans avoir vu les autres "Star Trek". Ce n'est finalement pas un mal, car la compréhension deviendrait vite insurmontable
Et puis il y a Scott Bakula et son chien, idée piquée à "Columbo". Par contre, l’épisode se termine avec Archer demandant à T’Pol de rester, ce qui n’était pas franchement indispensable.
Dernière édition par Patricks le Ven 17 Juin 2011 - 0:20, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Patricks a écrit:
...
Jonathan, pour ramener l'animal sauvage sur sa planète, constitue un équipage.
...
On lui impose une espèce de pimbèche vulcain, une sub commander T Pol (Jolene Blalock). T Pol obéit à ses supérieurs, et fait tout pour se rendre antipathique. Sa coiffure n'est pas là pour la mettre à son avantage.
...
Dans ce pilote, même si on la déteste très vite, Jolene Blalock en T'Pol est la seule qui parvient à exister face à Scott Bakula.
...
Et puis il y a Scott Bakula et son chien, idée piquée à "Columbo". Par contre, l’épisode se termine avec Archer demandant à T’Pol de rester, ce qui n’était pas franchement indispensable.
Manifestement, T'Pol, ça ne passe pas avec Patricks !
En voyant ces épisodes, j'ai eu exactement l'effet inverse. T'Pol n'essaye pas de se rendre antipathique; c'est une vulcaine... donc pas vraiment expressive, pas trop communicative, assez monocorde. Cela peut choquer quand on n'a jamais vu de Star Trek avec un vulcain, mais ce n'était pas mon cas ! Je trouve que son entrée en matière était vraiment conforme à l'esprit de sa race. Quant à sa coiffure... elle est typiquement vulcaine, forcément. Je l'imaginais mal avec une "permanente"; mais peut-être que la coiffure des vulcaines rappelle un peu trop celle de Purdey aux yeux de Patricks ?...
Donc, au contraire de la détester, j'ai été très vite sous le charme de T'Pol et j'estime qu'Archer a été vraiment bien inspiré en demandant à T'Pol de rester. Dès le début de l'épisode dans lequel T'Pol apparaît, on sait déjà qu'elle fera partie de l'équipage et qu'elle sera une pièce maîtresse de la série.
Dernière édition par Bromhead le Ven 17 Juin 2011 - 14:52, édité 1 fois
Bromhead- Comte(sse)
- Age : 66
Localisation : Belgium
Date d'inscription : 02/11/2008
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
c'ets vrais que ce double épisode ne m'avais pas plus emballer que ça. Pour moi le gros défauts de la série c'est son style visuel qui semble trop déjà vus, on as quasiment aucunes surprise. Tout est trop familier, bon en même temps, ça respecte l'univers, mais à ce niveaux là, aucunes série Star Trek, si ce n''est Deep Space 9, ne prends de risque.
Quand je pense à T'pol et aux Vulcain, je pense toujours à ce que dit Martin Landau à ce propos, alors qu'on lui avait proposé d'incarner "Spock, il à refusé, trouvant le personnage sans émotions inintéressante. Spock est devenus mythique grâce à Leonard Nimoy, mais je doute que l'idée même des vulcain soit vraiment intéressante, sauf pour les puristes. Car au final, dans toutes les série Star Trek, on se retrouve toujours avec un Vulcain qui j’aperçois que les émotions sont pas si terrible, bref que la race humaines est la meilleurs à cause des émotions. Et même si le ton est plus pessimistes que les deux premières série, elle ne l'est pas encore assez et recycle des idées déjà vus dans d'autres séries.
Quand je pense à T'pol et aux Vulcain, je pense toujours à ce que dit Martin Landau à ce propos, alors qu'on lui avait proposé d'incarner "Spock, il à refusé, trouvant le personnage sans émotions inintéressante. Spock est devenus mythique grâce à Leonard Nimoy, mais je doute que l'idée même des vulcain soit vraiment intéressante, sauf pour les puristes. Car au final, dans toutes les série Star Trek, on se retrouve toujours avec un Vulcain qui j’aperçois que les émotions sont pas si terrible, bref que la race humaines est la meilleurs à cause des émotions. Et même si le ton est plus pessimistes que les deux premières série, elle ne l'est pas encore assez et recycle des idées déjà vus dans d'autres séries.
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
01.03 – Mission d’exploration (Fight or flight) ♣♣♣♣
Nous retrouvons l’équipage au complet : Jonathan Archer (Scott Bakula), la peste vulcain T’Pol (Jolene Blalock), l’extra terrestre de la race des dénolubiens Dr Phlox (John Billingsley), le lieutenant Reed (Dominic Keating), L’enseigne noir Travis (Anthony Mayweather), l’enseigne Hoshi Sato, qui demande à changer de chambre pour mieux dormir (Linda Park), l’ingénieur Charles Trip Tucker (Connor Trinneer). Notons que Phlox a un masque qui lui donne vaguement l’air de Max de « Pour l’amour du risque ».
Tandis qu’Hoshi et Phlox s’inquiètent pour le sort d’une limace qu’ils ont emportée en vol pour expérience et qui dépérit menaçant de mourir, le vaisseau Enterprise en voyage depuis deux semaines lorsqu’i croise un vaisseau statique dans l’espace qui ne donne pas signe de vie. Nous sommes en mai 2151.
On pense aussitôt à « Cosmos 1999 » (Le domaine du dragon) ou même à Alien, ou pour les plus anciens à « Au-delà du réel : l’invisible ennemi ». L’horreur sera-t-elle au rendez vous ?
Comme dans « Code Quantum », nous entendons Sam, pardons Jonathan, penser à voix haute, en présence de son chien. Bakula continue de dominer une distribution quasi inexistante.
L’exploration du vaisseau fantôme commence. Sans les combinaisons d’astronautes, on se croirait dans X Files avec les torches électriques. Le suspense est bien agencé. Quinze cadavres suspendus au plafond semblent avoir été l’objet du vidage de leur substance.
T’Pol, toujours aussi enjouée, fait preuve d’un manque d’émotion qui met en colère Jonathan. Il s’y fera jamais semble-t-il. A noter que les vulcains, par leur manque d’émotion, rappellent les envahisseurs auxquels faisait face David Vinent, à l’exception de Vikki/Suzanne Pleshette. Avouns le : la tirade d'Archer contre elle m'a fait plaisir. Il ne s'agit pas de se focaliser sur l'actrice, mignonne mais sans plus, mais sur le personnage qui est franchement agaçant.
Nous entendons un enregistrement de la voix des morts dans un langage inconnu. Phlox procède à une autopsie du cadavre le moins décomposé. Il pense que l’on a tué ses êtres pour leur extraire une substance… aphrodisiaque.
Ceux qui ont tué l’équipage sont de retour. Du moins c'est ce que croient les occupants d'Enterprise au début. De 60 000 kilomètres, les aliens inconnus sont en quelques minutes à 8000 km. Ils tirent et visent les moteurs de l’enterprise.
Ce second épisode, après un pilote plutôt pénible, nous déconcerte moins. Peut-être parce que le scénario à des airs de déjà vu. Et que l’intrigue est moins complexe.
Hoshi, qui est spécialiste des traductions, dit que les occupants du vaisseau inconnu les accusent d’avoir tué les quinze aliens. Coincés, les membres de Enterprise demandent à Toshi de tenter ce qu’elle peut pour convaincre les aliens béliqueux, les Axanars, de leur innocence.
Toshi se révèle le personnage féminin le plus intéressant de la série. L’épisode se termine avec la limace du début que Toshi libère sur la planète des axanars. Je ne savais pas que la série me réserverait un petit côté "Daktari".
Cette-fois, Rick Bergman et Brannon Braga ont écrit une histoire simple à comprendre sans prise de tête. La réalisation de Allan Kroeker reste assez sobre et ne sombre jamais dans l’horreur. Mais l’épisode bénéficie d’un rythme sans temps mort. Il m’a fait peur, le Scott, avec ce pilote tarabiscoté pas convaincant, toujours autant obscur au bout de deux visions.. A noter qu’il est préférable de voir l’épisode en VF car la voix française de Guy Chappelier et nettement plus agréable que la voix originale. Sans doute l’habitude d'entendre Sam Beckett en VF, mais je ne pensais plus entendre parler de ma vie de cet acteur de feuilleton, Guy Chapellier, qui après les quarante épisodes de la saga estivale de la 2 en 1974 (« Valérie ») a fait une courte carrière de comédien pour se dédier au doublage. Chappelier semble avoir à son palmarès nombre de voix célèbres. Anthony Tyler Quinn dans « Dr House », Jackie Chan dans les Shangai Kid, Jan Michael Vincent dans « Supercopter », Nicholas Lea/Krychek dans X Files. Le monde est petit.
Des rivalités apparaissent entre les membres de Enterprise : l'ingénieur Tucker déplore que l'on aura sans doute davantage besoin de la traductrice Toshi que de lui.
Regrettons quand même que le vaisseau (enfin le studio) ne soit pas mieux éclairé, cela donne des captures très sombres.
En avant toutes pour le troisième épisode. Le voyage continue.
Nous retrouvons l’équipage au complet : Jonathan Archer (Scott Bakula), la peste vulcain T’Pol (Jolene Blalock), l’extra terrestre de la race des dénolubiens Dr Phlox (John Billingsley), le lieutenant Reed (Dominic Keating), L’enseigne noir Travis (Anthony Mayweather), l’enseigne Hoshi Sato, qui demande à changer de chambre pour mieux dormir (Linda Park), l’ingénieur Charles Trip Tucker (Connor Trinneer). Notons que Phlox a un masque qui lui donne vaguement l’air de Max de « Pour l’amour du risque ».
Tandis qu’Hoshi et Phlox s’inquiètent pour le sort d’une limace qu’ils ont emportée en vol pour expérience et qui dépérit menaçant de mourir, le vaisseau Enterprise en voyage depuis deux semaines lorsqu’i croise un vaisseau statique dans l’espace qui ne donne pas signe de vie. Nous sommes en mai 2151.
On pense aussitôt à « Cosmos 1999 » (Le domaine du dragon) ou même à Alien, ou pour les plus anciens à « Au-delà du réel : l’invisible ennemi ». L’horreur sera-t-elle au rendez vous ?
Comme dans « Code Quantum », nous entendons Sam, pardons Jonathan, penser à voix haute, en présence de son chien. Bakula continue de dominer une distribution quasi inexistante.
L’exploration du vaisseau fantôme commence. Sans les combinaisons d’astronautes, on se croirait dans X Files avec les torches électriques. Le suspense est bien agencé. Quinze cadavres suspendus au plafond semblent avoir été l’objet du vidage de leur substance.
T’Pol, toujours aussi enjouée, fait preuve d’un manque d’émotion qui met en colère Jonathan. Il s’y fera jamais semble-t-il. A noter que les vulcains, par leur manque d’émotion, rappellent les envahisseurs auxquels faisait face David Vinent, à l’exception de Vikki/Suzanne Pleshette. Avouns le : la tirade d'Archer contre elle m'a fait plaisir. Il ne s'agit pas de se focaliser sur l'actrice, mignonne mais sans plus, mais sur le personnage qui est franchement agaçant.
Nous entendons un enregistrement de la voix des morts dans un langage inconnu. Phlox procède à une autopsie du cadavre le moins décomposé. Il pense que l’on a tué ses êtres pour leur extraire une substance… aphrodisiaque.
Ceux qui ont tué l’équipage sont de retour. Du moins c'est ce que croient les occupants d'Enterprise au début. De 60 000 kilomètres, les aliens inconnus sont en quelques minutes à 8000 km. Ils tirent et visent les moteurs de l’enterprise.
Ce second épisode, après un pilote plutôt pénible, nous déconcerte moins. Peut-être parce que le scénario à des airs de déjà vu. Et que l’intrigue est moins complexe.
Hoshi, qui est spécialiste des traductions, dit que les occupants du vaisseau inconnu les accusent d’avoir tué les quinze aliens. Coincés, les membres de Enterprise demandent à Toshi de tenter ce qu’elle peut pour convaincre les aliens béliqueux, les Axanars, de leur innocence.
Toshi se révèle le personnage féminin le plus intéressant de la série. L’épisode se termine avec la limace du début que Toshi libère sur la planète des axanars. Je ne savais pas que la série me réserverait un petit côté "Daktari".
Cette-fois, Rick Bergman et Brannon Braga ont écrit une histoire simple à comprendre sans prise de tête. La réalisation de Allan Kroeker reste assez sobre et ne sombre jamais dans l’horreur. Mais l’épisode bénéficie d’un rythme sans temps mort. Il m’a fait peur, le Scott, avec ce pilote tarabiscoté pas convaincant, toujours autant obscur au bout de deux visions.. A noter qu’il est préférable de voir l’épisode en VF car la voix française de Guy Chappelier et nettement plus agréable que la voix originale. Sans doute l’habitude d'entendre Sam Beckett en VF, mais je ne pensais plus entendre parler de ma vie de cet acteur de feuilleton, Guy Chapellier, qui après les quarante épisodes de la saga estivale de la 2 en 1974 (« Valérie ») a fait une courte carrière de comédien pour se dédier au doublage. Chappelier semble avoir à son palmarès nombre de voix célèbres. Anthony Tyler Quinn dans « Dr House », Jackie Chan dans les Shangai Kid, Jan Michael Vincent dans « Supercopter », Nicholas Lea/Krychek dans X Files. Le monde est petit.
Des rivalités apparaissent entre les membres de Enterprise : l'ingénieur Tucker déplore que l'on aura sans doute davantage besoin de la traductrice Toshi que de lui.
Regrettons quand même que le vaisseau (enfin le studio) ne soit pas mieux éclairé, cela donne des captures très sombres.
En avant toutes pour le troisième épisode. Le voyage continue.
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Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
01-04 Le peuple de la grotte (Strange new world) ♣♣♣
Le vaisseau Enterprise arrive en vue d'une planète inconnue. Une partie de l'équipage part en exploration tandis que Jonathan Archer, Hoshli et Phlox, après avoir fait une petite promenade "à terre" (si j'ose dire) avec son chien, Archer retourne dans le vaisseau.
C'est alors qu'une tempête survient. L'Enterprise ne peut plus atterrir et aller chercher les membres de l'équipage qui se réfugient dans une grotte. Reed voit T'Pol s'entretenir en vulcain avec une créature couleur roche. C'est en fait une hallucination, mais Reed, intoxiqué par le pollen de le planète veut tuer T'Pol. L'un des membres de l'équipe, Novakovich (Henri Lubatti) est blessé. Toutefois, ils sont en contact avec Archer qui essaie de raisonner Reed. Il fait appel à la confiance qu'il a en lui, lui rappelle un entraînement de Starfleet où il lui sauva la vie.
Au bout de quatre épisodes, on est familiarisé avec l'équipage d'Enterprise. On apprend que les vulcains peuvent survivre plusieurs jours sans boire. On sait également que Archer a dirigé Reed à la Starfleet academy.
La façon dont Archer neutralise Reed en lui racontant des balivernes sur une mission ultra secrète pour l'empêcher de tuer T'Pol rappelle les meilleurs moments de "Code Quantum" lorsque Scott Bakula négociait une situation difficile.
Le titre anglais évoque "Brave new world" d'Aldous Huxley, mais il n'est nullement question ici du meilleur des mondes.
Un bon épisode avec de belles scènes champêtres même si le pollen de la planète est à déconseiller fortement.
Enfin, une femme énigmatique regarde oartir le vaisseau, personne ne l'a vue à part le télespectateur à divers moments de l'épisode.
Le vaisseau Enterprise arrive en vue d'une planète inconnue. Une partie de l'équipage part en exploration tandis que Jonathan Archer, Hoshli et Phlox, après avoir fait une petite promenade "à terre" (si j'ose dire) avec son chien, Archer retourne dans le vaisseau.
C'est alors qu'une tempête survient. L'Enterprise ne peut plus atterrir et aller chercher les membres de l'équipage qui se réfugient dans une grotte. Reed voit T'Pol s'entretenir en vulcain avec une créature couleur roche. C'est en fait une hallucination, mais Reed, intoxiqué par le pollen de le planète veut tuer T'Pol. L'un des membres de l'équipe, Novakovich (Henri Lubatti) est blessé. Toutefois, ils sont en contact avec Archer qui essaie de raisonner Reed. Il fait appel à la confiance qu'il a en lui, lui rappelle un entraînement de Starfleet où il lui sauva la vie.
Au bout de quatre épisodes, on est familiarisé avec l'équipage d'Enterprise. On apprend que les vulcains peuvent survivre plusieurs jours sans boire. On sait également que Archer a dirigé Reed à la Starfleet academy.
La façon dont Archer neutralise Reed en lui racontant des balivernes sur une mission ultra secrète pour l'empêcher de tuer T'Pol rappelle les meilleurs moments de "Code Quantum" lorsque Scott Bakula négociait une situation difficile.
Le titre anglais évoque "Brave new world" d'Aldous Huxley, mais il n'est nullement question ici du meilleur des mondes.
Un bon épisode avec de belles scènes champêtres même si le pollen de la planète est à déconseiller fortement.
Enfin, une femme énigmatique regarde oartir le vaisseau, personne ne l'a vue à part le télespectateur à divers moments de l'épisode.
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Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
J'ai lu un long descriptif de "Starr Trek, the Next Generation" (un ouvrage de huitème art "les séries récentes 1996 1997". Et il semble que le capitaine Picard et le capitaine Archer ont la même philosophie pacifiste, différente de Kirk qui lui évolue dans un far west spatial. Face à un inconnu, Picard et Archer cherchent à établir le contact, Kirk dégaine et tire le premier.
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Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
01.05 - Les Xyrilliens (Unexepected) ♣♣
Le pré-générique semble sorti de "Code Quantum". Scott Bakula a vampirisé "Star Trek" pour le quantumiser. Il nous fait au moins sourire car la vulcain de service T'Pol est toujours aussi râleuse et rébarbative. Le Plasma d'échappement (!) rayonne autour du vaisseau Enterprise. Archer découvre un auto-stoppeur de l'espace. Les moteurs d'un autre vaisseau furtif étant en panne, ils ont utilisé le plasma d'Enterprise. Envoyé au secours des naufragés de l'espace, les Xyrilliens, Tucker se trouve enfumé par ceux à qui il vient en aide. Tucker semble être tombé dans un sauna de l'espace. Tandis qu'Archer s'occupe de son chien Portos. Puis, il lit un roman. La décontraction de Scott Bakula désamorce le côté trop sérieux de l'intrigue.
En guise d'eau, les Xyrilliens n'ont que des glaçons, et une sorte de nourriture sucrée qui pousse à l'intérieur de tout le vaisseau.
Tucker est chargé d'aider les naufragés à réparer leur vaisseau. La suite tient du rêve (ou du cauchemar). Changements de décors à souhaits, paysages imaginaires de lac à volonté. Tucker s'entend très bien avec un xyrillienne. Avec des écailles sur le visage, ces humanoïdes ne sont pas franchement des plus séduisants.
Tucker parle de ses promenades holographiques, des paysages maritimes qu'il a vu. Mais lorsqu'il parle de la "sensualité" de la xyrilienne, on reste sceptique.
Pour avoir bavardé un peu avec la xyrilienne, Tucker se retrouve "enceinte". Ah'len (Julianne Christie) et Tucker sont supposés avoir eu des rapports sexuels. T'Pol accuse Tucker de ne pas s'être conduit en gentleman. "La première leçon que doit retenir un diplomate, c'est de ne pas fourrer ses mains n'importe où" lance T'Pol, car Tucker et la xyrilienne ont touché ensemble des gravillons qui permettent de deviner les pensées et le passé de l'autre.
Pour sortir Tucker de sa "situation", Archer se lance à la recherche des Xyrilliens, en vain. Tout cela mériterait un peu plus de second degré et d'humour pour nous amuser.
Tucjer devient la risée de tout le vaisseau. L'accouchement de Tucker est la première grossesse inter-espèce impliquant un humain.
Mais T'Pol retrouve les xyrilliens qui se cachent à nouveau en mode furtif. Un vaisseau Klingon arrive. Les méchants Klingons considèrent que les xyrilliens ont commis un acte de guerre. T'Pol intervient pour sauver Archer en rappelant qu'il y a un mois, le capitaine a livré Klaang évitant une guerre entre Klingons.
Découvrant Tucker "enceinte", les klingons se tordent de rire.En échénge de leurs secrets holographiques, les xyrilliens achètent des Klingons leur survie. La xyrillienne réussit à sortir l'embryon du corps de Tucker.
Un épisode complètement absurde. Espérons que la suite ne nous réservera pas d'autres surprises de ce genre.
Le pré-générique semble sorti de "Code Quantum". Scott Bakula a vampirisé "Star Trek" pour le quantumiser. Il nous fait au moins sourire car la vulcain de service T'Pol est toujours aussi râleuse et rébarbative. Le Plasma d'échappement (!) rayonne autour du vaisseau Enterprise. Archer découvre un auto-stoppeur de l'espace. Les moteurs d'un autre vaisseau furtif étant en panne, ils ont utilisé le plasma d'Enterprise. Envoyé au secours des naufragés de l'espace, les Xyrilliens, Tucker se trouve enfumé par ceux à qui il vient en aide. Tucker semble être tombé dans un sauna de l'espace. Tandis qu'Archer s'occupe de son chien Portos. Puis, il lit un roman. La décontraction de Scott Bakula désamorce le côté trop sérieux de l'intrigue.
En guise d'eau, les Xyrilliens n'ont que des glaçons, et une sorte de nourriture sucrée qui pousse à l'intérieur de tout le vaisseau.
Tucker est chargé d'aider les naufragés à réparer leur vaisseau. La suite tient du rêve (ou du cauchemar). Changements de décors à souhaits, paysages imaginaires de lac à volonté. Tucker s'entend très bien avec un xyrillienne. Avec des écailles sur le visage, ces humanoïdes ne sont pas franchement des plus séduisants.
Tucker parle de ses promenades holographiques, des paysages maritimes qu'il a vu. Mais lorsqu'il parle de la "sensualité" de la xyrilienne, on reste sceptique.
Pour avoir bavardé un peu avec la xyrilienne, Tucker se retrouve "enceinte". Ah'len (Julianne Christie) et Tucker sont supposés avoir eu des rapports sexuels. T'Pol accuse Tucker de ne pas s'être conduit en gentleman. "La première leçon que doit retenir un diplomate, c'est de ne pas fourrer ses mains n'importe où" lance T'Pol, car Tucker et la xyrilienne ont touché ensemble des gravillons qui permettent de deviner les pensées et le passé de l'autre.
Pour sortir Tucker de sa "situation", Archer se lance à la recherche des Xyrilliens, en vain. Tout cela mériterait un peu plus de second degré et d'humour pour nous amuser.
Tucjer devient la risée de tout le vaisseau. L'accouchement de Tucker est la première grossesse inter-espèce impliquant un humain.
Mais T'Pol retrouve les xyrilliens qui se cachent à nouveau en mode furtif. Un vaisseau Klingon arrive. Les méchants Klingons considèrent que les xyrilliens ont commis un acte de guerre. T'Pol intervient pour sauver Archer en rappelant qu'il y a un mois, le capitaine a livré Klaang évitant une guerre entre Klingons.
Découvrant Tucker "enceinte", les klingons se tordent de rire.En échénge de leurs secrets holographiques, les xyrilliens achètent des Klingons leur survie. La xyrillienne réussit à sortir l'embryon du corps de Tucker.
Un épisode complètement absurde. Espérons que la suite ne nous réservera pas d'autres surprises de ce genre.
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Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
01.06 - La colonie perdue (Terra nova) ♣
Nous sommes maintenant familier de cette version préquelle de "Star Trek classic" qui après quelques images fait place au générique chanté par Rod Stewart. Histoire de bien montrer que "Enterprise" n'est pas un spin-of comme les autres. Mais cette préquelle, pour les trekkiens, n'en est pas vraiment une. Image ultra moderne par rapport à l'image vieillotte de "Classic", et éléments qui ne peuvent plus être pris en compte aujourd'hui puisque la terre dans "Classic" subit un cataclysme général en...1996. C'est un peu le problème qu'a connu "Cosmos 1999".
Le plus de "Enterprise", ce sont les décors, sans doute par lassitude d'univers improbables explorés dans Classic et ST TNG, on bénéficie ici de beaucoup de décors extérieurs bien terriens mais supposés se dérouler sur une autre planète. Cela permet des images claires et non les sombres sempiternels décors de vaisseaux spatiaux et de l'espace.
Nos héros arrivent sur la planète Terra Nova. Il faut neuf ans pour s'y rendre depuis notre vieille terre, aussi les relations diplomatiques s'étant rompues, la terre n'a plus jugé utile de maintenir le contact.
Avec son mépris hautain habituel, T'Pol dit que les terriens n'avaient qu'à demander aux vulcains qui se déplacent beaucoup plus vite que nous dans l'espace, leur technologie étant plus avancée.
Sur Terra Nova, l'équipage est attaqué. A noter que les terriens sont affublés de pistolets sèche cheveux design au même titre que les envahisseurs de David Vincent.
Le lieutenant Malcolm Reed, blessé, ne peut regagner Enterprise comme les autres. Sur Terra Nova, ce sont des humains. Ils ont dû se protéger de radiations sur la surface de Terra Nova et réfugiés dans des sous sols.
En guise d'humains, nous voyons des hommes masqués dont la peau les fait presque ressembler à Michael Myers de Halloween. Les noviens ne sont plus des terriens mais des mutants. Ils se disent victimes d'une pluie empoisonnée.
Dans ce futur (2051), un cancer du poumon se guérit en quelques heures.
Pour que la série soit regardable, il faut un zeste d'humour. Or, il faut bien avouer que malgré la présence de Scott Bakula, la série se prend trop au sérieux.
L'hostilité des noviens est vite répétitive. Tout cela est caricatural. Ici, il faut convaincre les noviens de quitter leur planète qui est maintenant empoisonnée et les conduit tous à mourir. En effet, la radioactivité à terre durera une décennie. Les tunnels où ils vivent depuis trois générations sont maintenant toxiques.
Nous assistons à un face à face de plus entre TPol et Archer qui demande au capitaine de l'Enterprise ce qu'il compte faire des noviens. Les ramener à la vie terrestre, les réhabituer à la vie terrienne.
La navette chargée de récupérer Reed tombe dans les tunnels. L'épisode sombre vite dans l'ennui. Les décors fleurent bons les studios d'Hollywood. Rien de très différent ici des autres space opera. Il demeure dans cette série un esprit humaniste puisque l'Enterprise ne s'en ira pas avant d'avoir convaincu les 58 colons noviens survivants de se rendre dans une zône non contaminée.
Nous sommes maintenant familier de cette version préquelle de "Star Trek classic" qui après quelques images fait place au générique chanté par Rod Stewart. Histoire de bien montrer que "Enterprise" n'est pas un spin-of comme les autres. Mais cette préquelle, pour les trekkiens, n'en est pas vraiment une. Image ultra moderne par rapport à l'image vieillotte de "Classic", et éléments qui ne peuvent plus être pris en compte aujourd'hui puisque la terre dans "Classic" subit un cataclysme général en...1996. C'est un peu le problème qu'a connu "Cosmos 1999".
Le plus de "Enterprise", ce sont les décors, sans doute par lassitude d'univers improbables explorés dans Classic et ST TNG, on bénéficie ici de beaucoup de décors extérieurs bien terriens mais supposés se dérouler sur une autre planète. Cela permet des images claires et non les sombres sempiternels décors de vaisseaux spatiaux et de l'espace.
Nos héros arrivent sur la planète Terra Nova. Il faut neuf ans pour s'y rendre depuis notre vieille terre, aussi les relations diplomatiques s'étant rompues, la terre n'a plus jugé utile de maintenir le contact.
Avec son mépris hautain habituel, T'Pol dit que les terriens n'avaient qu'à demander aux vulcains qui se déplacent beaucoup plus vite que nous dans l'espace, leur technologie étant plus avancée.
Sur Terra Nova, l'équipage est attaqué. A noter que les terriens sont affublés de pistolets sèche cheveux design au même titre que les envahisseurs de David Vincent.
Le lieutenant Malcolm Reed, blessé, ne peut regagner Enterprise comme les autres. Sur Terra Nova, ce sont des humains. Ils ont dû se protéger de radiations sur la surface de Terra Nova et réfugiés dans des sous sols.
En guise d'humains, nous voyons des hommes masqués dont la peau les fait presque ressembler à Michael Myers de Halloween. Les noviens ne sont plus des terriens mais des mutants. Ils se disent victimes d'une pluie empoisonnée.
Dans ce futur (2051), un cancer du poumon se guérit en quelques heures.
Pour que la série soit regardable, il faut un zeste d'humour. Or, il faut bien avouer que malgré la présence de Scott Bakula, la série se prend trop au sérieux.
L'hostilité des noviens est vite répétitive. Tout cela est caricatural. Ici, il faut convaincre les noviens de quitter leur planète qui est maintenant empoisonnée et les conduit tous à mourir. En effet, la radioactivité à terre durera une décennie. Les tunnels où ils vivent depuis trois générations sont maintenant toxiques.
Nous assistons à un face à face de plus entre TPol et Archer qui demande au capitaine de l'Enterprise ce qu'il compte faire des noviens. Les ramener à la vie terrestre, les réhabituer à la vie terrienne.
La navette chargée de récupérer Reed tombe dans les tunnels. L'épisode sombre vite dans l'ennui. Les décors fleurent bons les studios d'Hollywood. Rien de très différent ici des autres space opera. Il demeure dans cette série un esprit humaniste puisque l'Enterprise ne s'en ira pas avant d'avoir convaincu les 58 colons noviens survivants de se rendre dans une zône non contaminée.
Dernière édition par Patricks le Mar 21 Juin 2011 - 19:44, édité 1 fois
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Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
01.07 - Sanctuaire (The andorian incident) ♣♣
Un monastère vulcain! On aura tout vu. A quelques années lumières de leur route, Archer et son équipe proposent à T'Pol d'aller le visiter ! Nous découvrons donc qu'il existe des moines vulcains.
T'Pol donne les consignes à l'équipage sur ce qu'il faut faire ou ne pas faire avec les moines.
Scott Bakula garde des attitudes typiques et des mimiques de "Code Quantum", notamment lorsqu'il parle d'un monastère qu'il a visité au Tibet.
Cet endroit a été investi par des extra terrestres à peau bleue et munie d'antennes, les andoriens. Ils pensent que le monastère est un poste d'écoute destiné à les attaquer.
A chaque épisode un nouveau monde, Archer est tabassé par les andoriens. Ils le prennent pour un espion.
Pour la première fois, Archer est dans de salles draps. Les andoriens semblent avoir de la peinture bleue sur le visage prête à se décolorer au moindre troucher. Des maquillages ratés et ridicules qui n'ont pas l'excuse du budget réduit (comme du temps de "Classic") mais ici d'une faute de goût.
Les andoriens veulent décapiter un moine ou deux pour faire parler Archer. Les vulcains (T'Pol discute ici avec un moine) craignent l'odeur humaine. T'Pol dit au moine qu'elle se sert d'un anesthésiant nasal depuis neuf semaines.
Archer apprend que les moines vulcains possèdent un emetteur dans les catacombes. Le look de l'épisode évoque davantage Indiana Jones avec les torches et les souterrains que "Star Trek".
Une fois de plus, T'Pol et Archer sont antagonistes, au point que - interrogé par les andoriens - Archer répond qu'il se demande pourquoi il a choisi un officier vulcain. C'est la première fois que face à l'ennemi, Archer n'est pas solidaire de T'Pol
Dans cet épisode, Scott Bakula nous fait un numéro digne de Sam Beckett, et son humour et son charisme, alors qu'il se trouve face à des extra terrestres belliqueux, sont un contrepoids à l'ennui.
Les membres de Enterprise viennent à la rescousse des prisonniers. Tou cela se termine à coups de pistolet laser. On finit par découvrir les capteurs que soupçonnaient les andoriens.
Ceux-ci finissent par reconnaître avoir une dette envers Archer puisque les vulcains ont violé le traité de non agression envers eux.
Un monastère vulcain! On aura tout vu. A quelques années lumières de leur route, Archer et son équipe proposent à T'Pol d'aller le visiter ! Nous découvrons donc qu'il existe des moines vulcains.
T'Pol donne les consignes à l'équipage sur ce qu'il faut faire ou ne pas faire avec les moines.
Scott Bakula garde des attitudes typiques et des mimiques de "Code Quantum", notamment lorsqu'il parle d'un monastère qu'il a visité au Tibet.
Cet endroit a été investi par des extra terrestres à peau bleue et munie d'antennes, les andoriens. Ils pensent que le monastère est un poste d'écoute destiné à les attaquer.
A chaque épisode un nouveau monde, Archer est tabassé par les andoriens. Ils le prennent pour un espion.
Pour la première fois, Archer est dans de salles draps. Les andoriens semblent avoir de la peinture bleue sur le visage prête à se décolorer au moindre troucher. Des maquillages ratés et ridicules qui n'ont pas l'excuse du budget réduit (comme du temps de "Classic") mais ici d'une faute de goût.
Les andoriens veulent décapiter un moine ou deux pour faire parler Archer. Les vulcains (T'Pol discute ici avec un moine) craignent l'odeur humaine. T'Pol dit au moine qu'elle se sert d'un anesthésiant nasal depuis neuf semaines.
Archer apprend que les moines vulcains possèdent un emetteur dans les catacombes. Le look de l'épisode évoque davantage Indiana Jones avec les torches et les souterrains que "Star Trek".
Une fois de plus, T'Pol et Archer sont antagonistes, au point que - interrogé par les andoriens - Archer répond qu'il se demande pourquoi il a choisi un officier vulcain. C'est la première fois que face à l'ennemi, Archer n'est pas solidaire de T'Pol
Dans cet épisode, Scott Bakula nous fait un numéro digne de Sam Beckett, et son humour et son charisme, alors qu'il se trouve face à des extra terrestres belliqueux, sont un contrepoids à l'ennui.
Les membres de Enterprise viennent à la rescousse des prisonniers. Tou cela se termine à coups de pistolet laser. On finit par découvrir les capteurs que soupçonnaient les andoriens.
Ceux-ci finissent par reconnaître avoir une dette envers Archer puisque les vulcains ont violé le traité de non agression envers eux.
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
01.08 - La comète (Breaking the ice) ♣♣♣
Au fond, les épisodes de "Enterprise" déçoivent, mais l'on ne peut s'empêcher de se jeter sur le suivant avec envie. Dès qu'il cabotine et joue les Sam Beckett, Scott Bakula fait notre bonheur. C'est le cas dans cet épisode où au nom d'Enterprise, où il répond aux enfants terriens. Ceux-ci ont envoyé des dessins (On suppose logiquement que les dessins étaient dans la navette Enterprise). L'une des questions des jeunes américains est ce que deviennent les déchets des WC, une autre si l'on peut conter fleurette (ou plus exactement faire l'amour) à bord de "Enterprise".
Et nous touchons là un point crucial : la série n'est viable que s'il y a de l'humour, Scott Bakula assurant cet aspect. Si l'on attend après T'Pol pour rire et se détendre, autant aller se pendre tout de suite.
Dans cet épisode, les Vulcains se montrent béliqueux. Ils codent leurs lettres. Malheureusement, l'emploi de comédiens débutants et inconnus face à un Scott Bakula au mieux de sa forme et de son métier fait que ceux-ci sont assez fades et inexistants.
Jolene Blalock en T'Pol fait de son mieux pour se faire détester de l'équipage, et il faut dire qu'elle y réussit assez bien. Mais ce n'est qu'une jeune comédienne visiblement sans grande expérience. D'où le déséquilibre permanent de la série entre un comédien confirmé, Scott Bakula, déjà plus tout jeune en 2001 (Il a aujourd'hui 57 ans) et en pleine maîtrise de son art, et le reste de l'équipage joué sans qu'aucun comédien ne surnage et se fasse remarquer. On peut comprendre alors la déception de certains fans de Star Trek devant "Enterprise", car si Scott Bakula vous horripile, ce doit être l'horreur.
Cette-fois, les vulcains, commandés par le capitaine Vanick, observent les humains qui sont prêt à explorer une comète.
A nouveau, touche d'humour avec la transmission des élèves d'une petite bourgade d'Irlande. Hoshi explique que le traducteur universel permet de parler à tous les ET en anglais. Pour la nourriture, des explications un peu tirées par les cheveux incombent à Archer: on peut manger à bord de l'Enterprise du sandwich au beurre de cacahuètes comme de la Dinde, il existe un jardin potager et un système qui permet de recycler la nourriture.
T'Pol raconte à Tucker qu'elle doit se marier. Chez les vulcains, comme chez les musulmans, les mariages sont arrangés dès l'enfance. Soit elle quitte le vaisseau Enterprise, soit elle rejoint l'homme qu'elle doit épouser.
Le commandant Vulcain Vanick (William Utay) après avoir dit tout le dédain qu'il éprouve pour les humains, aide la navette qui s'est fait piéger sur la comète et n'arrive pas à regagner Enterprise.
Enfin un bon épisode.
Au fond, les épisodes de "Enterprise" déçoivent, mais l'on ne peut s'empêcher de se jeter sur le suivant avec envie. Dès qu'il cabotine et joue les Sam Beckett, Scott Bakula fait notre bonheur. C'est le cas dans cet épisode où au nom d'Enterprise, où il répond aux enfants terriens. Ceux-ci ont envoyé des dessins (On suppose logiquement que les dessins étaient dans la navette Enterprise). L'une des questions des jeunes américains est ce que deviennent les déchets des WC, une autre si l'on peut conter fleurette (ou plus exactement faire l'amour) à bord de "Enterprise".
Et nous touchons là un point crucial : la série n'est viable que s'il y a de l'humour, Scott Bakula assurant cet aspect. Si l'on attend après T'Pol pour rire et se détendre, autant aller se pendre tout de suite.
Dans cet épisode, les Vulcains se montrent béliqueux. Ils codent leurs lettres. Malheureusement, l'emploi de comédiens débutants et inconnus face à un Scott Bakula au mieux de sa forme et de son métier fait que ceux-ci sont assez fades et inexistants.
Jolene Blalock en T'Pol fait de son mieux pour se faire détester de l'équipage, et il faut dire qu'elle y réussit assez bien. Mais ce n'est qu'une jeune comédienne visiblement sans grande expérience. D'où le déséquilibre permanent de la série entre un comédien confirmé, Scott Bakula, déjà plus tout jeune en 2001 (Il a aujourd'hui 57 ans) et en pleine maîtrise de son art, et le reste de l'équipage joué sans qu'aucun comédien ne surnage et se fasse remarquer. On peut comprendre alors la déception de certains fans de Star Trek devant "Enterprise", car si Scott Bakula vous horripile, ce doit être l'horreur.
Cette-fois, les vulcains, commandés par le capitaine Vanick, observent les humains qui sont prêt à explorer une comète.
A nouveau, touche d'humour avec la transmission des élèves d'une petite bourgade d'Irlande. Hoshi explique que le traducteur universel permet de parler à tous les ET en anglais. Pour la nourriture, des explications un peu tirées par les cheveux incombent à Archer: on peut manger à bord de l'Enterprise du sandwich au beurre de cacahuètes comme de la Dinde, il existe un jardin potager et un système qui permet de recycler la nourriture.
T'Pol raconte à Tucker qu'elle doit se marier. Chez les vulcains, comme chez les musulmans, les mariages sont arrangés dès l'enfance. Soit elle quitte le vaisseau Enterprise, soit elle rejoint l'homme qu'elle doit épouser.
Le commandant Vulcain Vanick (William Utay) après avoir dit tout le dédain qu'il éprouve pour les humains, aide la navette qui s'est fait piéger sur la comète et n'arrive pas à regagner Enterprise.
Enfin un bon épisode.
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Patricks a écrit:01.08 - La comète (Breaking the ice) ♣♣♣
Au fond, les épisodes de "Enterprise" déçoivent, mais l'on ne peut s'empêcher de se jeter sur le suivant avec envie. Dès qu'il cabotine et joue les Sam Beckett, Scott Bakula fait notre bonheur. Et nous touchons là un point crucial : la série n'est viable que s'il y a de l'humour, Scott Bakula assurant cet aspect.
Curieux, mais j'ai exactement le même sentiment quand je regarde les Max la Menace. Les épisodes sont presque toujours médiocres ou pauvres mais 86 casse la baraque à chaque fois et quand il est bien aidé par 99, le Chef, ou tout autre personnage débile (Siegfried, 35...), on est toujours assuré de passer un bon moment. Je pensais que Max la Menace était la seule série qui ne valait le coup que par ses personnages, on dirait que c'est le cas d'autres séries, et de ton point de vue, Enterprise doit en faire partie, Patricks...
Dearesttara- Roi (Reine)
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Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
D'autre part, il y a quatre saisons, cela laisse le temps à la série de s'améliorer. Les premiers "Code Quantum" dont le pilote n'étaient pas les plus réussis.
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
01.09 - Questions de civilisations (Civilization) ♣♣♣
Une fois consolé que Scott Bakula après "Code Quantum" n'ait pas trouvé une autre série de SF/Fantastique telle que "Medium" ou "Supernatural", on s'habitue aux voyages spatiaux finalement éloignés du Star Trek classic. A bien y réfléchir, "Enterprise" ressemble un peu à "Farscape", une série australienne de 4 saisons (comme "Enterprise") et 98 épisodes qui dura de 1999 à 2003.
Chaque épisode correspond à une planète visitée et à un problème, ici une histoire de maladie que les voyageurs vont être accusés de véhiculer.
A 78 années lumière de la terre, la planète visitée est au début vue de nuit, et il faut avouer que l'on ne discerne pas grand chose. En voulant visiter clandestinement une boutique d'antiquités, ils sont surpris par une femme, Riann (Diane DiLascio) qui les accuse de venir depuis des semaines
L'intérêt de la série est qu'elle sert de prétexte à des intrigues à suspense qui existeraient sans le contexte space opera. Des antiquités étranges peuvent être le sujet de n'importe quelle genre (policier, aventures, espionnage).
Garos (Wade Williams), qui possède un réacteur anti matière, est un étranger récemment arrivé sur la planète des Akaali. Le frère de Riann a été la première victime de l'épidémie d'un virus apporté par Garos.
A noter que Archer se fait appeler "John Wayne".. Phlox apprend à T'Pol que le virus est un lubrifiant scientifique très toxique. Pendant ce temps, au lieu de mener sérieusement son enquête, Archer embrasse Riann. Ce détachement que prend constamment Scott Bakula par rapport à l'intrigue, c'est à dire cette distance et cette bonne dose d'humour, font toute l'originalité de "Enterprise". Un engin spatial inconnu s'approche du couple et récupère des caisses.
Regrettons que cet épisode se passe la nuit, ce qui nous prive de belles images. Personne ne s'étonne que tout le monde parle anglais sans traducteur. Moinis passionnant est l'arrivée d'un vaisseau de la race de Garos qui menace de détruire l'Enterprise. Les aliens empoisonnent l'eau de la planète des Aakalis. On apprend que le peuple de Garos s'appele "Les maluriens". Dès que l'on retombe dans les scènes convenues genre "Star Wars" et "Galactica", tout l'intérêt s'émousse. Cette SF et les effets spéciaux n'étonnent plus personne et servent à masquer les lacunes du scénario. Happy end avec la mise hors d'état de nuit du réacteur anti matière et la fuite des maluriens. La courte romance entre Archer et Riann s'achève trop vite. Un épisode dans la bonne moyenne, qui mériterait quatre melons sans les recours aux effets spéciaux "bouche trou".
Une fois consolé que Scott Bakula après "Code Quantum" n'ait pas trouvé une autre série de SF/Fantastique telle que "Medium" ou "Supernatural", on s'habitue aux voyages spatiaux finalement éloignés du Star Trek classic. A bien y réfléchir, "Enterprise" ressemble un peu à "Farscape", une série australienne de 4 saisons (comme "Enterprise") et 98 épisodes qui dura de 1999 à 2003.
Chaque épisode correspond à une planète visitée et à un problème, ici une histoire de maladie que les voyageurs vont être accusés de véhiculer.
A 78 années lumière de la terre, la planète visitée est au début vue de nuit, et il faut avouer que l'on ne discerne pas grand chose. En voulant visiter clandestinement une boutique d'antiquités, ils sont surpris par une femme, Riann (Diane DiLascio) qui les accuse de venir depuis des semaines
L'intérêt de la série est qu'elle sert de prétexte à des intrigues à suspense qui existeraient sans le contexte space opera. Des antiquités étranges peuvent être le sujet de n'importe quelle genre (policier, aventures, espionnage).
Garos (Wade Williams), qui possède un réacteur anti matière, est un étranger récemment arrivé sur la planète des Akaali. Le frère de Riann a été la première victime de l'épidémie d'un virus apporté par Garos.
A noter que Archer se fait appeler "John Wayne".. Phlox apprend à T'Pol que le virus est un lubrifiant scientifique très toxique. Pendant ce temps, au lieu de mener sérieusement son enquête, Archer embrasse Riann. Ce détachement que prend constamment Scott Bakula par rapport à l'intrigue, c'est à dire cette distance et cette bonne dose d'humour, font toute l'originalité de "Enterprise". Un engin spatial inconnu s'approche du couple et récupère des caisses.
Regrettons que cet épisode se passe la nuit, ce qui nous prive de belles images. Personne ne s'étonne que tout le monde parle anglais sans traducteur. Moinis passionnant est l'arrivée d'un vaisseau de la race de Garos qui menace de détruire l'Enterprise. Les aliens empoisonnent l'eau de la planète des Aakalis. On apprend que le peuple de Garos s'appele "Les maluriens". Dès que l'on retombe dans les scènes convenues genre "Star Wars" et "Galactica", tout l'intérêt s'émousse. Cette SF et les effets spéciaux n'étonnent plus personne et servent à masquer les lacunes du scénario. Happy end avec la mise hors d'état de nuit du réacteur anti matière et la fuite des maluriens. La courte romance entre Archer et Riann s'achève trop vite. Un épisode dans la bonne moyenne, qui mériterait quatre melons sans les recours aux effets spéciaux "bouche trou".
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