Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
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Bromhead
Estuaire44
Joris
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
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Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Un lien vers un site qui explique en fin d'article ce qu'auraient été les saisons 5 et suivantes si "Enterprise" n'avait pas été annulé faute d'audience en mai 2005.
http://fr.memory-alpha.org/wiki/Star_Trek:_Enterprise
http://fr.memory-alpha.org/wiki/Star_Trek:_Enterprise
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
1.18 – Les chasseurs (Rogue planet) §§§§
Alors que Jonathan Archer pose pour une photo destinée aux recrues de Starfleet, une planète inconnue est découverte : :Dakala. Des extra terrestres, les Eskars, sur cette planète obscure viennent faire de la chasse aux fantômes. D’emblée, Scott Bakula dédramatise avec son sourire et ses mimiques la situation. L’un des aliens se plaint d’avoir manqué être tué par un membre de l’Enterprise. Réaction de Archer : « Vous pourriez apprécier d’avoir de la compagnie ». Par tout autre acteur, cela serait ridicule, mais Bakula fait passer cette touche d’humour alors que secrets, tensions et mystères jonchent l’atmosphère. Scott joue les Roger Moore au pays de Star Trek.
Archer entend des voix. Il s’agit d’une inconnue, une blonde (Stéphanie Niznik). On comprend que les chasseurs cachent quelque chose, et l’ambiance rappelle « Les chasses du Comte Zaroff ») où le gibier est humain
Tout est visible par infra rouges seulement sur Dakala. On se croirait dans une grotte préhistorique mâtinée de jungle.. On apprend que la chasse n’existe plus chez les humains depuis longtemps.. L’équipage de « Enterprise » accepte de servir d’observateurs. Seule T’Pol garde son self control et se tient à l’écart, analysant froidement les faits. Archer se retrouve face à l’inconnue qui ne semble lui apparaître que pour l’appeler au secours. Archer se rend compte que les chasseurs la poursuivent.
Episode assez fantasque, « Les chasseurs » tranche un peu avec ce que l’on a vu jusqu’ici, où l’horreur et « les monstres de la semaine » façon « Au-delà du réel » sont présents. T’Pol pense que Archer délire et rêve. Archer est confronté au scepticisme des autres, membre de l’Enterprise ou aliens, ce qui le place dans une situation délicate.
Les rai dins, cochons de l’espace, sont l’objet de la chasse, mais beaucoup plus dangereux que des loups ou des ours. L’ambiance lorgne alors vers « The Thing » ou « Predator ». L’apparition parle anglais, connaît Archer et semble tout connaître de lui. L’épisode forme un long point d’interrogation. On comprend que les Eskars mentent sur l’objet de leur chasse. Les Eskars chassent les métamorphes, alias les fantômes. Ils ont tué nombre d’Eskars dans le passé. Des fantômes qui lisent dans les pensées, des chasseurs qui parcourent des milliers d’années lumière pour pratiquer la chasse aux Eskars;
Comme toujours, T'Pol prône le non interventionnisme puisque l'Enterprise n'a qu'une mission d'observation..
Les Eskars deviennent béliqueux envers les humains, les accusant de leur porter malchance dans leur chasse. Jonathan sait désormais l'identité de la femme fantôme mais se fait un plaisir de ne rien nous révéler. Une conclusion en forme de "la vérité est ailleurs" pas déplaisante car elle favorise notre curiosité envers la série décidément bien éloignée d'un simple prequel de Star Trek classic.
Alors que Jonathan Archer pose pour une photo destinée aux recrues de Starfleet, une planète inconnue est découverte : :Dakala. Des extra terrestres, les Eskars, sur cette planète obscure viennent faire de la chasse aux fantômes. D’emblée, Scott Bakula dédramatise avec son sourire et ses mimiques la situation. L’un des aliens se plaint d’avoir manqué être tué par un membre de l’Enterprise. Réaction de Archer : « Vous pourriez apprécier d’avoir de la compagnie ». Par tout autre acteur, cela serait ridicule, mais Bakula fait passer cette touche d’humour alors que secrets, tensions et mystères jonchent l’atmosphère. Scott joue les Roger Moore au pays de Star Trek.
Archer entend des voix. Il s’agit d’une inconnue, une blonde (Stéphanie Niznik). On comprend que les chasseurs cachent quelque chose, et l’ambiance rappelle « Les chasses du Comte Zaroff ») où le gibier est humain
Tout est visible par infra rouges seulement sur Dakala. On se croirait dans une grotte préhistorique mâtinée de jungle.. On apprend que la chasse n’existe plus chez les humains depuis longtemps.. L’équipage de « Enterprise » accepte de servir d’observateurs. Seule T’Pol garde son self control et se tient à l’écart, analysant froidement les faits. Archer se retrouve face à l’inconnue qui ne semble lui apparaître que pour l’appeler au secours. Archer se rend compte que les chasseurs la poursuivent.
Episode assez fantasque, « Les chasseurs » tranche un peu avec ce que l’on a vu jusqu’ici, où l’horreur et « les monstres de la semaine » façon « Au-delà du réel » sont présents. T’Pol pense que Archer délire et rêve. Archer est confronté au scepticisme des autres, membre de l’Enterprise ou aliens, ce qui le place dans une situation délicate.
Les rai dins, cochons de l’espace, sont l’objet de la chasse, mais beaucoup plus dangereux que des loups ou des ours. L’ambiance lorgne alors vers « The Thing » ou « Predator ». L’apparition parle anglais, connaît Archer et semble tout connaître de lui. L’épisode forme un long point d’interrogation. On comprend que les Eskars mentent sur l’objet de leur chasse. Les Eskars chassent les métamorphes, alias les fantômes. Ils ont tué nombre d’Eskars dans le passé. Des fantômes qui lisent dans les pensées, des chasseurs qui parcourent des milliers d’années lumière pour pratiquer la chasse aux Eskars;
Comme toujours, T'Pol prône le non interventionnisme puisque l'Enterprise n'a qu'une mission d'observation..
Les Eskars deviennent béliqueux envers les humains, les accusant de leur porter malchance dans leur chasse. Jonathan sait désormais l'identité de la femme fantôme mais se fait un plaisir de ne rien nous révéler. Une conclusion en forme de "la vérité est ailleurs" pas déplaisante car elle favorise notre curiosité envers la série décidément bien éloignée d'un simple prequel de Star Trek classic.
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Pas évident de chroniquer une pure série SF quand on a comme moi peu de références, les deux seuls livres de SF que j'ai furent l'un reçu en cadeau (vers 13 ans) "Joar de l'espace" de Geoffrey X Passover, et un que j'ai acheté par curiosité vers 1981 environ "Les mutants sonnent le glas" de Richard Bessières. Il aura fallu que j'attende trente ans, 2011 pour acheter un 3e roman (chez France Loisirs) "Le cycle des guerriers de Mars" de Michael Moorcock, et Estuaire m'a conseillé plusieurs ouvrages dont le plus intéressant par ordre d'achat semble "Les cantas Hypérion vol 1 de Dan Simmons. Bizarre comme j'ai négligé ce genre et y suis venu par Scott Bakula.
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
"Les Mutants sonnent le glas", ça c'est du titre 100% Fleuve Noir garanti sur facture !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Critique d'un téléfilm avec Scott Bakula
Netforce, de Robert Lieberman (1999) §
Ce très long téléfilm tourné en 1999, diffusé en France en 2000 et disponible en DVD, est devenu de l'anticipation dépassée, à réserver aux fans inconditionnels de Scott Bakula.
Anticipation dépassée puisque le futur est ici en 2005, et qu'il fait allusion à des évènements qui n'ont jamais eu lieu.
Adaptation d'un livre de Tom Clancy, ce téléfilm critique la toute puissance de Bill Gates, ici rebaptisé Will Styles (Judge Reinhold) qui veut prendre le contrôle à partir du net et sa société Janus (Déjà utilisé dans "Goldeneye"), Janus étant ici un Windows cauchemardesque.
Styles ami du président des usa, et ayant démarché le chef suprême de la mafia, Leong Cheng (Cary Hiroyuki Takawa), infiltre les programmes internet du FBI, il domine aussi les systèmes de protection des prisons les plus imprenables, et en provoquant des pannes internet crée la panique : circulation automobile devenant des bouchons sans fin, hôpitaux et opérations chirurgicales perturbées...
Dans ce futur antérieur de 2005, on peut même virtuellement ressusciter un mort, en l'occurence le chef de Alex Michaels (Scott Bakula, toujours avec la VF de Guy Chappelier), Steve Day (Kris Kristofferson, qui malgré la mort de son personnage apparaît durant tout le film).
Pas grand chose à sauver à part la présence de Scott Bakula en chef de Netforce, succédant à Steve Day. Il ne pratique pas ici son humour habituel vu le sérieux du rôle, excepté lors d'une scène de famille chez sa petite amie jouée par Joanna Going.
La grosse erreur de ce film et sans doute du livre de Clancy est de situer l'action en 2005. Fort heureusement, la vision d'internet assez cauchemardesque ne s'est pas avérée. Situer le futur immédiat en 2005 rappelle un film avec Delon, "le toubib" (1979) qui situait la troisième guerre mondiale en 1983;
A noter la présence de la jolie Joanna Going en petite amie et collaboratrice du héros, et de Brian Dennehy en chef du FBI.
Le final se déroule à la maison blanche, où Bakula/Alex Michaels déclenche un feu d'artifice, et découvre que son ex patron n'est pas mort. Steve Day est bien vivant et il veut carrément détruire Internet. Il a été trahi par sa reconstitution virtuelle que Michaels (Bakula) n'a cessé de consulter. Cette-fois, Michael tue son ami.
Impressionnant en 2000, obsolète en 2011 La fin se termine par l'arrestation de Bill Gates, pardon de William Styles.
Toni, la compagne de Michaels, dit de Steve Dane "J'aurais préféré qu'il reste mort, on aurait continuer à le regretter" !
Netforce, de Robert Lieberman (1999) §
Ce très long téléfilm tourné en 1999, diffusé en France en 2000 et disponible en DVD, est devenu de l'anticipation dépassée, à réserver aux fans inconditionnels de Scott Bakula.
Anticipation dépassée puisque le futur est ici en 2005, et qu'il fait allusion à des évènements qui n'ont jamais eu lieu.
Adaptation d'un livre de Tom Clancy, ce téléfilm critique la toute puissance de Bill Gates, ici rebaptisé Will Styles (Judge Reinhold) qui veut prendre le contrôle à partir du net et sa société Janus (Déjà utilisé dans "Goldeneye"), Janus étant ici un Windows cauchemardesque.
Styles ami du président des usa, et ayant démarché le chef suprême de la mafia, Leong Cheng (Cary Hiroyuki Takawa), infiltre les programmes internet du FBI, il domine aussi les systèmes de protection des prisons les plus imprenables, et en provoquant des pannes internet crée la panique : circulation automobile devenant des bouchons sans fin, hôpitaux et opérations chirurgicales perturbées...
Dans ce futur antérieur de 2005, on peut même virtuellement ressusciter un mort, en l'occurence le chef de Alex Michaels (Scott Bakula, toujours avec la VF de Guy Chappelier), Steve Day (Kris Kristofferson, qui malgré la mort de son personnage apparaît durant tout le film).
Pas grand chose à sauver à part la présence de Scott Bakula en chef de Netforce, succédant à Steve Day. Il ne pratique pas ici son humour habituel vu le sérieux du rôle, excepté lors d'une scène de famille chez sa petite amie jouée par Joanna Going.
La grosse erreur de ce film et sans doute du livre de Clancy est de situer l'action en 2005. Fort heureusement, la vision d'internet assez cauchemardesque ne s'est pas avérée. Situer le futur immédiat en 2005 rappelle un film avec Delon, "le toubib" (1979) qui situait la troisième guerre mondiale en 1983;
A noter la présence de la jolie Joanna Going en petite amie et collaboratrice du héros, et de Brian Dennehy en chef du FBI.
Le final se déroule à la maison blanche, où Bakula/Alex Michaels déclenche un feu d'artifice, et découvre que son ex patron n'est pas mort. Steve Day est bien vivant et il veut carrément détruire Internet. Il a été trahi par sa reconstitution virtuelle que Michaels (Bakula) n'a cessé de consulter. Cette-fois, Michael tue son ami.
Impressionnant en 2000, obsolète en 2011 La fin se termine par l'arrestation de Bill Gates, pardon de William Styles.
Toni, la compagne de Michaels, dit de Steve Dane "J'aurais préféré qu'il reste mort, on aurait continuer à le regretter" !
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Patricks a écrit:Anticipation dépassée puisque le futur est ici en 2005, et qu'il fait allusion à des évènements qui n'ont jamais eu lieu.
Impressionnant en 2000, obsolète en 2011 La fin se termine par l'arrestation de Bill Gates, pardon de William Styles.
Que le téléfilm soit mauvais, OK, mais cet argument-ci est captieux pour moi. Cela reviendrait à dire que 1984 d'Orwell et 2001 de Kubrick sont obsolètes - entre autres - .
L'année en elle-même n'est pas importante, elle désigne un temps futur plus ou moins éloigné, c'est tout.
Très bonne critique, Patricks. Y'a-t-il d'autres téléfilms avec Bakula que tu chroniquerais ?
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
1.19 - Règles de l'abordage (Acquisition) §
Affublés de masques ridicules, les nouveaux aliens de cet épisode ne sont guère crédibles, c’est tout juste si l’on ne voit pas les coutures des masques. Faute de goût assez grave de la part des maquilleurs car on se croirait dans une série française fauchée ,ou pire on croirait voir le gang des postiches. L’épisode commence comme si nous avions loupé un épisode précédent. Aucune explication sur ces intrus à bord du vaisseau Enterprise. Ils semblent être venus piller. Pilleurs de nourriture, de chaussures, de vêtements, de tout ce qu'ils trouvent, pistolets phasers, scanners, etc... L'équipage est endormi, du moins l’espère-t-on. Un seul membre de Enterprise est conscient. Trip Tucker.
Les aliens parlent anglais et réveillent Archer. Ils recherchent le coffre fort du vaisseau, car selon eux, il y en a un (pour eux, c'est un navire marchand). Les Aliens veulent vendre les femmes à bord au marché aux esclaves (T'Pol, Hoshi). Archer fait semblant d’être un capitaine corrompu trnasportant des barres d’or et voulant bien partager avec les pirates. Ayant vu qu’un membre de l’équipage, Tucker, était conscient, Archer joue la montre. Archer habilement essaie de mettre de son côté le plus simplet des quatre aliens. Tucker réveille les membres de l’équipage dont T’Pol.
Il faut bien dire que cet épisode est gâché par des effets spéciaux ratés et notamment ces aliens aux oreilles démesurées. De ce fait, on imagine ce que serait « Enterprise » s’il avait les moyens réduits de séries européennes comme « Les visiteurs » avec José Maria Flotats en 1980 (Le comédien catalan qui jouait le rôle majeur de Philippe Le Long dans "Les rois maudits") ou la série allemande des années soixante « Commando Spatial ».
Les voleurs finissent par douter l’un de l’autre et se disputer. On atteint les sommets du ridicule et l’épisode nous paraît bien fâlot par rapport aux autres de la saison qui ont précédé.
Pour une fois, Scott Bakula n’est pas à la hauteur de l’interprétation, il n’a pas ses mimiques qu’il reprend de séries en téléfilms, en se monrtrant fade. Les ET veulent discuter avec Porthos le chien de Archer. La parodie complète est loin de réussir à « Enterprise », cette autodérision faisant basculer la série dans le ridicule. Le manque d’introduction a déjà désarçonné le téléspectateur.
A la décharge de Bakula, on pourra dire que le script est tellement idiot que même son humour et son talent ne peuvent rien pour sauver l’entreprise (si j’ose dire) du naufrage.
Tucker se fait passer pour le mari de Hoshi, entrant dans le jeu du capitaine pour duper les ET à la recherche de fantômatiques barres d’or dont Archer a révélé l’existence pour mieux les duper.
T’Pol se faisant passer pour prisonnière des humains et demandant à être libérée fait une caresse à un alien qui le laisse KO dès qu'elle lui touche la carotide. Plus que trois aliens avec Tucker à qui revient la râche de duper le gang des postiches. Tucker et T’Pol reprennent le commandement de l’Enterprise.
L’humour absurde et la SF ne font pas bon ménage, à moins d’annoncer la couleur comme le sitcom « Troisième planète après le soleil ». On pourrait presque comparer la médiocrité de cet épisode à « Homicide et vieilles dentelles » pour les Avengers, c’est dire. Pourquoi avoir tourné cet épisode inutile alors que la saison dépasse les 22 opus syndicaux ? Imaginons que quelqu'un débute la série par cet épisode, il fuirait tout de suite. Le délire rappelle "Annie agent très spécial", décalage très déjanté de "Des agents très spéciaux", ce que l'on appelle le style "camp", soit le mauvais goût et l'ironie érigés en esthétique de l'absurde.
Jeffrey Comb est la vedette invitée de cet épisode (il jouait dans "Les 4400') mais dissimulé derrière un masque, on ne le reconnaît évidemment pas. Un épisode ni fait ni à faire à oublier au plus tôt. En avant toute...
Affublés de masques ridicules, les nouveaux aliens de cet épisode ne sont guère crédibles, c’est tout juste si l’on ne voit pas les coutures des masques. Faute de goût assez grave de la part des maquilleurs car on se croirait dans une série française fauchée ,ou pire on croirait voir le gang des postiches. L’épisode commence comme si nous avions loupé un épisode précédent. Aucune explication sur ces intrus à bord du vaisseau Enterprise. Ils semblent être venus piller. Pilleurs de nourriture, de chaussures, de vêtements, de tout ce qu'ils trouvent, pistolets phasers, scanners, etc... L'équipage est endormi, du moins l’espère-t-on. Un seul membre de Enterprise est conscient. Trip Tucker.
Les aliens parlent anglais et réveillent Archer. Ils recherchent le coffre fort du vaisseau, car selon eux, il y en a un (pour eux, c'est un navire marchand). Les Aliens veulent vendre les femmes à bord au marché aux esclaves (T'Pol, Hoshi). Archer fait semblant d’être un capitaine corrompu trnasportant des barres d’or et voulant bien partager avec les pirates. Ayant vu qu’un membre de l’équipage, Tucker, était conscient, Archer joue la montre. Archer habilement essaie de mettre de son côté le plus simplet des quatre aliens. Tucker réveille les membres de l’équipage dont T’Pol.
Il faut bien dire que cet épisode est gâché par des effets spéciaux ratés et notamment ces aliens aux oreilles démesurées. De ce fait, on imagine ce que serait « Enterprise » s’il avait les moyens réduits de séries européennes comme « Les visiteurs » avec José Maria Flotats en 1980 (Le comédien catalan qui jouait le rôle majeur de Philippe Le Long dans "Les rois maudits") ou la série allemande des années soixante « Commando Spatial ».
Les voleurs finissent par douter l’un de l’autre et se disputer. On atteint les sommets du ridicule et l’épisode nous paraît bien fâlot par rapport aux autres de la saison qui ont précédé.
Pour une fois, Scott Bakula n’est pas à la hauteur de l’interprétation, il n’a pas ses mimiques qu’il reprend de séries en téléfilms, en se monrtrant fade. Les ET veulent discuter avec Porthos le chien de Archer. La parodie complète est loin de réussir à « Enterprise », cette autodérision faisant basculer la série dans le ridicule. Le manque d’introduction a déjà désarçonné le téléspectateur.
A la décharge de Bakula, on pourra dire que le script est tellement idiot que même son humour et son talent ne peuvent rien pour sauver l’entreprise (si j’ose dire) du naufrage.
Tucker se fait passer pour le mari de Hoshi, entrant dans le jeu du capitaine pour duper les ET à la recherche de fantômatiques barres d’or dont Archer a révélé l’existence pour mieux les duper.
T’Pol se faisant passer pour prisonnière des humains et demandant à être libérée fait une caresse à un alien qui le laisse KO dès qu'elle lui touche la carotide. Plus que trois aliens avec Tucker à qui revient la râche de duper le gang des postiches. Tucker et T’Pol reprennent le commandement de l’Enterprise.
L’humour absurde et la SF ne font pas bon ménage, à moins d’annoncer la couleur comme le sitcom « Troisième planète après le soleil ». On pourrait presque comparer la médiocrité de cet épisode à « Homicide et vieilles dentelles » pour les Avengers, c’est dire. Pourquoi avoir tourné cet épisode inutile alors que la saison dépasse les 22 opus syndicaux ? Imaginons que quelqu'un débute la série par cet épisode, il fuirait tout de suite. Le délire rappelle "Annie agent très spécial", décalage très déjanté de "Des agents très spéciaux", ce que l'on appelle le style "camp", soit le mauvais goût et l'ironie érigés en esthétique de l'absurde.
Jeffrey Comb est la vedette invitée de cet épisode (il jouait dans "Les 4400') mais dissimulé derrière un masque, on ne le reconnaît évidemment pas. Un épisode ni fait ni à faire à oublier au plus tôt. En avant toute...
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
01 ;20 - Vaisseau fantôme (Oasis) §§§§
L’Enterprise découvre une épave de vaisseau. Un visiteur Alien, un marchand nommé O’Marr (Tom Bergeron, dont les masque est vraiment mal confectionné, on dirait un fond de teint prêt à se dissiper) leur en a parlé.
Sur le vaisseau, on découvre des réfugiés qui depuis trois ans attendent. D’emblée, le scénario rappelle « Un autre royaume de la mort » de la série « Cosmos 1999 », car il n’est pas établi que les humanoïdes trouvés soient vraiment vivants.
Le capitaine Kulen (Rudolph Wilrich) accueille l’équipage de l’Enterprise. Nous apprenons qu’il y a 83 membres à bord du vaisseau de Archer.
Liana (Annie Wickering), une jolie fille, sympathise avec Tucker, ce que réprouve à la fois T’Pol mais surtout le capitaine Archer qui a compris qu’il y a eu un accident à bord du vaisseau.
Les naufragés ont menti, cela fait 22 ans qu’ils sont en attente et non trois. Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que nous avons affaire à des morts. A bord du vaisseau, Tucker, Phlox et Archer trouvent une sépulture et un cadavre d’une personne que Tucker a vu une heure auparavant sur leur vaisseau.
C’est là que l’épisode rappelle celui de « Cosmos 1999 ». On comprend que, excepté Liana et son père, tous dont la mère de Liana, Maya (Claudette Sutherland) ne sont vivants qu’en apparence grâce à un trucage de Ezral, le père de Liana . L’épisode ne distille pas d’horreur ou de mystère comme « Un autre royaume de la mort », car les morts ici sont de paisibles fantômes, des hologrammes dont la vie n’est qu’apparente.
C’est la grande subtilité de la série de n’avoir pas rebattu un thème éprouvé, mais de l’avoir abordé sous un nouvel angle. Ici, les morts ne sont pas menaçants, mais tout au plus suscitent-ils notre compassion. Ces spectres n’ont d’existence que sur le vaisseau fantôme, voilà pourquoi les naufragés ne tiennent pas à être secourus.
Un orage de plasma a perforé la coque de leur navire spatial, et l’équipage entier est mort, excepté Ezral et sa fille..
Ezral (René Auberjonois, vu dans « Parole d’homme » avec Lee Marvin) raconte qu’il a enterré les corps sur la planète où ils se sont échoués et sauvé seulement sa fille.. Le fait de ramener à la vie des corps ensevelis rappelle le roman de Stephen King « Pet Cemetary ».
En dehors de cette oasis, il n’existe pas de « vie » pour Ezral.
Archer se contente, face à cette situation inédite, d’aider les mort-vivants à réparer leur vaisseau. Tucker aimerait bien rester car il a séduit Liana. T’Pol, toujours aussi diplomatique, rappelle à l’ingénieur que son dernier flirt lui a valu de se retrouver « enceinte », d’où l’aspect série-feuilleton de « Enterprise ». Il faut absolument voir les épisodes dans l’ordre pour saisir toutes les nuances.
Encore un excellent épisode, dans lequel cette-fois Scott Bakula se fait discret, ne monopolisant pas les scènes. C’est essentiellement Tucker/Connor Trinneer qui apparaît à l’image face à l’équipage d’hologrammes.
On peut comprendre la frustration des Trekkies, qui ont donné un faible taux d’écoute à la série,, car nous évoluons dans un univers assez différent de celui de « Star Trek », et ce préquel fait preuve d’originalité dans les lignes créatrices en ne se préoccupant pas de l’univers auquel il est censé appartenir.
Peu à peu, les producteurs semblent faire confiance aux comédiens non expérimentés et leur accordent davantage d’importance et de liberté, en particulier à Jolene Blalock et Connor Trinneer. Cette émancipation permet à Scott Bakula de souffler quelque peu après avoir porté sur ses épaules la série pendant une bonne part de la première saison.
La mission d’exploration continue : en avant toute :
L’Enterprise découvre une épave de vaisseau. Un visiteur Alien, un marchand nommé O’Marr (Tom Bergeron, dont les masque est vraiment mal confectionné, on dirait un fond de teint prêt à se dissiper) leur en a parlé.
Sur le vaisseau, on découvre des réfugiés qui depuis trois ans attendent. D’emblée, le scénario rappelle « Un autre royaume de la mort » de la série « Cosmos 1999 », car il n’est pas établi que les humanoïdes trouvés soient vraiment vivants.
Le capitaine Kulen (Rudolph Wilrich) accueille l’équipage de l’Enterprise. Nous apprenons qu’il y a 83 membres à bord du vaisseau de Archer.
Liana (Annie Wickering), une jolie fille, sympathise avec Tucker, ce que réprouve à la fois T’Pol mais surtout le capitaine Archer qui a compris qu’il y a eu un accident à bord du vaisseau.
Les naufragés ont menti, cela fait 22 ans qu’ils sont en attente et non trois. Il ne faut pas être grand clerc pour comprendre que nous avons affaire à des morts. A bord du vaisseau, Tucker, Phlox et Archer trouvent une sépulture et un cadavre d’une personne que Tucker a vu une heure auparavant sur leur vaisseau.
C’est là que l’épisode rappelle celui de « Cosmos 1999 ». On comprend que, excepté Liana et son père, tous dont la mère de Liana, Maya (Claudette Sutherland) ne sont vivants qu’en apparence grâce à un trucage de Ezral, le père de Liana . L’épisode ne distille pas d’horreur ou de mystère comme « Un autre royaume de la mort », car les morts ici sont de paisibles fantômes, des hologrammes dont la vie n’est qu’apparente.
C’est la grande subtilité de la série de n’avoir pas rebattu un thème éprouvé, mais de l’avoir abordé sous un nouvel angle. Ici, les morts ne sont pas menaçants, mais tout au plus suscitent-ils notre compassion. Ces spectres n’ont d’existence que sur le vaisseau fantôme, voilà pourquoi les naufragés ne tiennent pas à être secourus.
Un orage de plasma a perforé la coque de leur navire spatial, et l’équipage entier est mort, excepté Ezral et sa fille..
Ezral (René Auberjonois, vu dans « Parole d’homme » avec Lee Marvin) raconte qu’il a enterré les corps sur la planète où ils se sont échoués et sauvé seulement sa fille.. Le fait de ramener à la vie des corps ensevelis rappelle le roman de Stephen King « Pet Cemetary ».
En dehors de cette oasis, il n’existe pas de « vie » pour Ezral.
Archer se contente, face à cette situation inédite, d’aider les mort-vivants à réparer leur vaisseau. Tucker aimerait bien rester car il a séduit Liana. T’Pol, toujours aussi diplomatique, rappelle à l’ingénieur que son dernier flirt lui a valu de se retrouver « enceinte », d’où l’aspect série-feuilleton de « Enterprise ». Il faut absolument voir les épisodes dans l’ordre pour saisir toutes les nuances.
Encore un excellent épisode, dans lequel cette-fois Scott Bakula se fait discret, ne monopolisant pas les scènes. C’est essentiellement Tucker/Connor Trinneer qui apparaît à l’image face à l’équipage d’hologrammes.
On peut comprendre la frustration des Trekkies, qui ont donné un faible taux d’écoute à la série,, car nous évoluons dans un univers assez différent de celui de « Star Trek », et ce préquel fait preuve d’originalité dans les lignes créatrices en ne se préoccupant pas de l’univers auquel il est censé appartenir.
Peu à peu, les producteurs semblent faire confiance aux comédiens non expérimentés et leur accordent davantage d’importance et de liberté, en particulier à Jolene Blalock et Connor Trinneer. Cette émancipation permet à Scott Bakula de souffler quelque peu après avoir porté sur ses épaules la série pendant une bonne part de la première saison.
La mission d’exploration continue : en avant toute :
Invité- Invité
Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
Critique d'un téléfilm avec Scott Bakula
Les Envahisseurs (The Invaders), 1995, de Paul Shapiro §
Pendant des années, Roy Thinnes a voulu donner une suite aux « Envahisseurs » sous forme d’un téléfilm. Il écrivit un scénario avec Sam Rolfe, le père des « Agents très spéciaux », et tout était prêt pour le tournage. Il fallut cependant convaincre les pontes d’ABC de la viabilité de ce projet. L’accord donné, le rachat de ABC par Capital Cities le 18 mars 1985 (Relaté par Télé Poche lors de la diffusion de l’intégrale des envahisseurs par TF1 en 1987) porta un coup fatal à ce projet.
C’est le succès de la série X Files qui fit mettre en chantier un téléfilm de 2h30, pilote d’une série qui ne vit jamais le jour. En 1995, s’inspirant de l’épisode de X Files « Duane Barry », Paul Shapiro propose un téléfilm qui n’a rien à voir avec la série. Il faut dire que les américains n’ont jamais considéré « Les envahisseurs » comme une série à succès et l’absence de rediffusion de 1968 à 1992 plongea la série dans un oubli total.
Si l’on offre à Roy Thinnes une « participation », il ne tient qu’un petit rôle dont le scénario se passerait bien. James Dott, le scénariste, a écrit comme s’il ne connaissait pas la série. Fini le petit doigt raide, le thème musical de Dominic Frontiere, adieu les chefs charismatiques façon Alfred Ryder ou Michael Rennie. Rares seront les points de convergence entre la série et ce téléfilm, et nombreux les contresens.
Les envahisseurs sous leur forme originelle ne peuvent évoluer et survivre sur terre, en témoigne la mort de Blake (Richard Anderson) dans « L'ennemi », seul épisode où l’on entrevoit leur vrai visage. Ici, ils arrivent en soucoupe et ont une sorte de masque anti oxygène. En complète contradiction avec un épisode comme « La Genèse » où le docteur Lalieu ne survit pas sous cette apparence. Dans le générique, rare occasion où l’on voit la soucoupe dans l’espace, ils ont une forme humaine.
Lorsqu’ils meurent, les envahisseurs disparaissent dans un brouillard rouge. Dans le téléfilm de Shapiro, on note aussi un éclair de lumière qui laisse… des mouches. Autre contresens : Les envahisseurs ont désormais du sang ( !), alors que c’était une façon de les reconnaître (Absence de cœur et de sang)., ici un médecin analyse un flacon de sang d’envahisseur.
Autre abbération : Nous avons laissé David Vincent en 1968, et sommes presque trente ans après, alors qu’il est plusieurs fois dit que David mène son combat depuis vingt ans.
Dans ces conditions, le téléfilm était programmé pour être une catastrophe. Même la soucoupe a changé, elle est infiniment plus grande mais dans les éclats de lumière, on ne la voit jamais correctement.
Scott Bakula joue le rôle d’un ancien pilote, Nolan Wood, dans le cerveau duquel les envahisseurs ont mis un implant. Il traverse le téléfilm sous tranxène, sans jamais imposer son jeu. Sortant de « Code Quantum », il aurait pu trouver là un rôle en or de successeur de David Vincent. Le script qu’on lui donne à jouer est d’un ennui mortel. Ses partenaires sont Elisabeth Pena, veuve d’un homme que Wood est censé avoir assassiné, DeLane Matthews, qui est son ex femme, Terence Knox, un policier et Shannon Kenny, une alien qui utilise une nouvelle arme, sorte de pieuvre que l’on jette à la face d’un humain, sorti tout droit de la saga Alien au cinéma. Bref, une fausse bonne idée pour ce cher Scott Bakula. Jamais durant deux heures trente, il ne peut trouver un créneau pour faire son numéro d’acteur, à la différence de « Enterprise » en 2001 où il sera à nouveau confronté aux extra-terrestres de toute sorte.
Les Envahisseurs (The Invaders), 1995, de Paul Shapiro §
Pendant des années, Roy Thinnes a voulu donner une suite aux « Envahisseurs » sous forme d’un téléfilm. Il écrivit un scénario avec Sam Rolfe, le père des « Agents très spéciaux », et tout était prêt pour le tournage. Il fallut cependant convaincre les pontes d’ABC de la viabilité de ce projet. L’accord donné, le rachat de ABC par Capital Cities le 18 mars 1985 (Relaté par Télé Poche lors de la diffusion de l’intégrale des envahisseurs par TF1 en 1987) porta un coup fatal à ce projet.
C’est le succès de la série X Files qui fit mettre en chantier un téléfilm de 2h30, pilote d’une série qui ne vit jamais le jour. En 1995, s’inspirant de l’épisode de X Files « Duane Barry », Paul Shapiro propose un téléfilm qui n’a rien à voir avec la série. Il faut dire que les américains n’ont jamais considéré « Les envahisseurs » comme une série à succès et l’absence de rediffusion de 1968 à 1992 plongea la série dans un oubli total.
Si l’on offre à Roy Thinnes une « participation », il ne tient qu’un petit rôle dont le scénario se passerait bien. James Dott, le scénariste, a écrit comme s’il ne connaissait pas la série. Fini le petit doigt raide, le thème musical de Dominic Frontiere, adieu les chefs charismatiques façon Alfred Ryder ou Michael Rennie. Rares seront les points de convergence entre la série et ce téléfilm, et nombreux les contresens.
Les envahisseurs sous leur forme originelle ne peuvent évoluer et survivre sur terre, en témoigne la mort de Blake (Richard Anderson) dans « L'ennemi », seul épisode où l’on entrevoit leur vrai visage. Ici, ils arrivent en soucoupe et ont une sorte de masque anti oxygène. En complète contradiction avec un épisode comme « La Genèse » où le docteur Lalieu ne survit pas sous cette apparence. Dans le générique, rare occasion où l’on voit la soucoupe dans l’espace, ils ont une forme humaine.
Lorsqu’ils meurent, les envahisseurs disparaissent dans un brouillard rouge. Dans le téléfilm de Shapiro, on note aussi un éclair de lumière qui laisse… des mouches. Autre contresens : Les envahisseurs ont désormais du sang ( !), alors que c’était une façon de les reconnaître (Absence de cœur et de sang)., ici un médecin analyse un flacon de sang d’envahisseur.
Autre abbération : Nous avons laissé David Vincent en 1968, et sommes presque trente ans après, alors qu’il est plusieurs fois dit que David mène son combat depuis vingt ans.
Dans ces conditions, le téléfilm était programmé pour être une catastrophe. Même la soucoupe a changé, elle est infiniment plus grande mais dans les éclats de lumière, on ne la voit jamais correctement.
Scott Bakula joue le rôle d’un ancien pilote, Nolan Wood, dans le cerveau duquel les envahisseurs ont mis un implant. Il traverse le téléfilm sous tranxène, sans jamais imposer son jeu. Sortant de « Code Quantum », il aurait pu trouver là un rôle en or de successeur de David Vincent. Le script qu’on lui donne à jouer est d’un ennui mortel. Ses partenaires sont Elisabeth Pena, veuve d’un homme que Wood est censé avoir assassiné, DeLane Matthews, qui est son ex femme, Terence Knox, un policier et Shannon Kenny, une alien qui utilise une nouvelle arme, sorte de pieuvre que l’on jette à la face d’un humain, sorti tout droit de la saga Alien au cinéma. Bref, une fausse bonne idée pour ce cher Scott Bakula. Jamais durant deux heures trente, il ne peut trouver un créneau pour faire son numéro d’acteur, à la différence de « Enterprise » en 2001 où il sera à nouveau confronté aux extra-terrestres de toute sorte.
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Re: Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
01-21 Détenus (Detained) §§
Cet épisode marque les retrouvailles des deux héros de code quantum : Scott Bakula et Dean Stockwell. Un grand moment d’émotion pour les leapers. Dean joue le rôle du colonel Grat. Nos héros de l’Enterprise, Travis (dont le personnage était un peu négligé depuis quelques épisodes) et Archer, sont emprisonnés. Et le patron de la prison n’est autre que le colonel Grat. « Je suis navré que nous nous retrouvions dans des conditions pareilles » dit Dean/Grat qui pourrait être un clin d’œil au duo Bakula-Stockwell.
Bien entendu, cette confrontation entre Archer et Grat est un moment inattendu ; . Même si Grat est ici un méchant. Il accuse Archer et Travis d’avoir violé l’espace aérien des Tandariens. Archer et Travis peuvent être condamnés à trente ans de prison. Le reste de la prison est composé de sulibans qui se disent innocents. Avec leurs visages ensablés et leur look de momies sans bandages, on ne peut pas dire que la production se soit ruinée en effets spéciaux.
La voix française de Al, pardon de Grat, est toujours celle que Dean Stockwell avait dans « Code Quantum » :Bernard Soufflet.
Faire de Grat un vilain alors que les suliban grouillent est une grosse erreur de scénario qui gâche un peu les retrouvailles entre Bakula et Stockwell.
Nous comprenons que les gentils sulibans sont contre « la cabale », Grat les a mis à l’abri dans un pénitentier où se trouvent des enfants et des innocents n’ayant pas revu leur conjoint depuis des années. Archer fait une allusion à un camp militaire de prisonniers pendant la seconde guerre mondiale où des innocents étaient retenus. Il est pénible de voir T’Pol plus gentille avec Archer que Grat.
Aléas des tournages et des distributions, mais opposer deux héros mythiques de la télévision ayant tourné si longtemps ensemble s’avère une mauvaise idée. Cela empêche tout humour de la part de Bakula, genre où il excelle. Il faut dire que Stockwell est à des lieues de Al Calavicci en tyran chef de pénitentier. Rendre T’Pol plus sympathique que Grat, une véritable hérésie. Un peu comme si les persuaders Roger Moore et Tony Curtis s’étaient retrouvés dans un James Bond et que Danny Wilde soit le méchant.
L'épisode dans ces conditions est une semi déception. La tendance au feuilleton est évidente ici où Grat passe en revue la plupart des aventures vécues lors des vingt premières aventures de l'Enterprise.
Cet épisode marque les retrouvailles des deux héros de code quantum : Scott Bakula et Dean Stockwell. Un grand moment d’émotion pour les leapers. Dean joue le rôle du colonel Grat. Nos héros de l’Enterprise, Travis (dont le personnage était un peu négligé depuis quelques épisodes) et Archer, sont emprisonnés. Et le patron de la prison n’est autre que le colonel Grat. « Je suis navré que nous nous retrouvions dans des conditions pareilles » dit Dean/Grat qui pourrait être un clin d’œil au duo Bakula-Stockwell.
Bien entendu, cette confrontation entre Archer et Grat est un moment inattendu ; . Même si Grat est ici un méchant. Il accuse Archer et Travis d’avoir violé l’espace aérien des Tandariens. Archer et Travis peuvent être condamnés à trente ans de prison. Le reste de la prison est composé de sulibans qui se disent innocents. Avec leurs visages ensablés et leur look de momies sans bandages, on ne peut pas dire que la production se soit ruinée en effets spéciaux.
La voix française de Al, pardon de Grat, est toujours celle que Dean Stockwell avait dans « Code Quantum » :Bernard Soufflet.
Faire de Grat un vilain alors que les suliban grouillent est une grosse erreur de scénario qui gâche un peu les retrouvailles entre Bakula et Stockwell.
Nous comprenons que les gentils sulibans sont contre « la cabale », Grat les a mis à l’abri dans un pénitentier où se trouvent des enfants et des innocents n’ayant pas revu leur conjoint depuis des années. Archer fait une allusion à un camp militaire de prisonniers pendant la seconde guerre mondiale où des innocents étaient retenus. Il est pénible de voir T’Pol plus gentille avec Archer que Grat.
Aléas des tournages et des distributions, mais opposer deux héros mythiques de la télévision ayant tourné si longtemps ensemble s’avère une mauvaise idée. Cela empêche tout humour de la part de Bakula, genre où il excelle. Il faut dire que Stockwell est à des lieues de Al Calavicci en tyran chef de pénitentier. Rendre T’Pol plus sympathique que Grat, une véritable hérésie. Un peu comme si les persuaders Roger Moore et Tony Curtis s’étaient retrouvés dans un James Bond et que Danny Wilde soit le méchant.
L'épisode dans ces conditions est une semi déception. La tendance au feuilleton est évidente ici où Grat passe en revue la plupart des aventures vécues lors des vingt premières aventures de l'Enterprise.
Dernière édition par Patricks le Mar 5 Juil 2011 - 21:12, édité 2 fois
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DETENUS (Detained) avec DEAN STOCKWELL
Dernière édition par Patricks le Mar 5 Juil 2011 - 0:06, édité 1 fois
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