Série "Doctor Who"
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Re: Série "Doctor Who"
Seulement trouvé ce QCM classique. 9/10 pour moi, planté sur le nom du mari et gros coup de bol sur l'équipe de foot.
http://www.radiotimes.com/news/2015-03-20/how-well-do-you-know-doctor-whos-donna-noble
http://www.radiotimes.com/news/2015-03-20/how-well-do-you-know-doctor-whos-donna-noble
Estuaire44- Empereur
- Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Rraaaaaaah !! 9/10 aussi, je me suis planté sur le nom de sa rue (pour le club de foot, ça a été aussi au pifomètre). Bon, je vais aller cacher ma honte dans la cabine téléphonique au coin de ma rue. Double Rraaaah, elle est pas bleue.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Je ne suis pas sûr que Spielberg soit un fana de la série.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Doctor Who"
Spielberg a dit plusieurs fois qu'il était fan de la série. Une preuve est qu'il a demandé à Steven Moffat, le showrunner actuel de Doctor Who, d'écrire le scénario de l'adaptation de Tintin et le secret de la Licorne. Moffat s'est exécuté, puis a laissé sa place à deux autres auteurs qui ont peaufiné son histoire car il devait retourner s'occuper du Doctor.
http://www.bbcamerica.com/anglophenia/2011/10/doctor-who-fan-steven-spielberg-picked-steven-moffat-for-tintin/
Spielberg and producer Peter Jackson handpicked Steven Moffat, known to the world as the man behind Doctor Who and Sherlock, to write the Tintin screenplay. Spielberg tells The Sun that he’s a major Whovian.
“Steven wrote one of my favorite TV shows, which is Doctor Who,” he said.
“Peter and I felt whoever did Doctor Who would have a good sensibility for Tintin. And it so happens Steven had read Tintin since he was eight.”
Trad : Spielberg et le producteur Peter Jackson ont choisi Steven Moffat, connu internationalement pour être l'homme derrière Doctor Who et Sherlock pour écrire le scénario de Tintin. Spielberg dit au Sun est qu'il est un vrai Whovian : Steven écrit une de mes séries préférées : Doctor Who. Peter et moi avons senti que quiconque faisait Doctor Who aurait la sensibilité pour faire Tintin. Et par ailleurs, Steven a lu Tintin depuis qu'il a 8 ans.
http://www.bbcamerica.com/anglophenia/2011/10/doctor-who-fan-steven-spielberg-picked-steven-moffat-for-tintin/
Spielberg and producer Peter Jackson handpicked Steven Moffat, known to the world as the man behind Doctor Who and Sherlock, to write the Tintin screenplay. Spielberg tells The Sun that he’s a major Whovian.
“Steven wrote one of my favorite TV shows, which is Doctor Who,” he said.
“Peter and I felt whoever did Doctor Who would have a good sensibility for Tintin. And it so happens Steven had read Tintin since he was eight.”
Trad : Spielberg et le producteur Peter Jackson ont choisi Steven Moffat, connu internationalement pour être l'homme derrière Doctor Who et Sherlock pour écrire le scénario de Tintin. Spielberg dit au Sun est qu'il est un vrai Whovian : Steven écrit une de mes séries préférées : Doctor Who. Peter et moi avons senti que quiconque faisait Doctor Who aurait la sensibilité pour faire Tintin. Et par ailleurs, Steven a lu Tintin depuis qu'il a 8 ans.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Halle Berry a égalemnt indiqué qu'Extant, la série de Spileberg dont elle joue l'héroïne s'inspirait massivement de Doctor Who
http://www.telegraph.co.uk/culture/tvandradio/10955834/Steven-Spielbergs-Extant-was-inspired-by-Doctor-Who.html
http://www.telegraph.co.uk/culture/tvandradio/10955834/Steven-Spielbergs-Extant-was-inspired-by-Doctor-Who.html
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
J'ai du mal a faire un rapprochement entre l'univers de Spielberg et Doctor Who, très franchement...
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Doctor Who"
Ce n'est pas étonnant quand l'on y réfléchit car le grand thème de Spielberg (du moins le Spielberg "light", pas celui de la Liste de Schindler), est à mon sens identique à celui de l'immortelle série anglaise. Doctor Who est une série de science-fiction où le merveilleux a toute sa place : la série veut nous faire partager l'excitation de découvrir les voyages au bout de l'univers aux extraterrestres en tous genres, et la folle ivresse de voyager dans le temps, plonger dans un passé riche en histoires ou un futur plus grand que la vie. Regarder Doctor Who, c'est se promener dans le plus grand terrain de jeux qui soit, sans limites spatiales et temporelles. Cela ne peut que plaire au réalisateur d'E.T. et de Rencontres du 3e type. D'ailleurs, que fait Spielberg dans Indiana Jones, Arrête-moi si tu peux, Jurassic Park (Il y a même un épisode de Doctor Who appelé "Dinosaurs in spaceship"), etc. ? Il imagine un grand terrain de jeux, imaginaire ou pas, où se déroulent des aventures épiques, Dr.Who ne fait pas autre chose.
Il y a aussi le rapport à la part enfantine en nous. Celle qui a des étoiles dans les yeux quand l'imaginaire prend vie. Doctor Who est à l'origine une série orientée vers le public familial, dont les histoires parlent à l'enfant en nous, surtout avec la série classique. C'est moins vrai pour la série moderne, au ton plus adulte et parfois très noir (raison pour laquelle Spielberg avoue une préférence pour la série classique), mais cela rejoint un thème cher à Spielberg qui est l'enfance, son innocence et sa fragilité devant un monde chaotique. Plus généralement, quand les "compagnons" humains du Docteur découvrent un nouveau monde, un nouveau temps, ils ont la réaction que l'on aurait à leur place : un émerveillement du genre de ceux qu'on n'éprouve qu'avec l'enfance.
Enfin, Doctor Who peut virer dans la noirceur, le tragique absolu, et cela parle avec la fibre plus sombre de Spielberg. Pour tout cela, je pense que Doctor Who est une série à laquelle Spielberg ne peut que s'identifier, et c'est par hommage et par respect pour le travail de Moffat qu'il l'a engagé pour Tintin.
Il y a aussi le rapport à la part enfantine en nous. Celle qui a des étoiles dans les yeux quand l'imaginaire prend vie. Doctor Who est à l'origine une série orientée vers le public familial, dont les histoires parlent à l'enfant en nous, surtout avec la série classique. C'est moins vrai pour la série moderne, au ton plus adulte et parfois très noir (raison pour laquelle Spielberg avoue une préférence pour la série classique), mais cela rejoint un thème cher à Spielberg qui est l'enfance, son innocence et sa fragilité devant un monde chaotique. Plus généralement, quand les "compagnons" humains du Docteur découvrent un nouveau monde, un nouveau temps, ils ont la réaction que l'on aurait à leur place : un émerveillement du genre de ceux qu'on n'éprouve qu'avec l'enfance.
Enfin, Doctor Who peut virer dans la noirceur, le tragique absolu, et cela parle avec la fibre plus sombre de Spielberg. Pour tout cela, je pense que Doctor Who est une série à laquelle Spielberg ne peut que s'identifier, et c'est par hommage et par respect pour le travail de Moffat qu'il l'a engagé pour Tintin.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Très joli clip sur Twelve & Clara, l'un des mes duos préférés de la série moderne, bientôt de retour.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
une présentation française de la série
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Estuaire qui, par tous les moyens, tente de nous convertir...
J'ai vu en entier, et je retiens notamment l'entrée en matière :
"POURQUOI AIMONS-NOUS LA SERIE? : La réponse peut sembler simple pour les fans de la série, mais pour les autres c'est un grand mystère.... Un jour, leurs yeux s'est posé sur la chose, et des larmes de sang ont coulé devant une esthétique cheap repoussante, des acteurs surjouant, des dialogues pour gamins, et un récit farfelu et référencé."
J'ai vu en entier, et je retiens notamment l'entrée en matière :
"POURQUOI AIMONS-NOUS LA SERIE? : La réponse peut sembler simple pour les fans de la série, mais pour les autres c'est un grand mystère.... Un jour, leurs yeux s'est posé sur la chose, et des larmes de sang ont coulé devant une esthétique cheap repoussante, des acteurs surjouant, des dialogues pour gamins, et un récit farfelu et référencé."
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Doctor Who"
Après 3 épisodes médiocres, je retrouve foi en cette cinquième saison grâce au double épisode Time of the Angels/Flesh and stone. Moffat a en effet la riche idée de convoquer sa plus terrifiante création : les démoniaques et indestructibles Anges pleureurs, avec en plus River dans l'équation. La première partie a quelques lenteurs, mais le décor de la caverne est bien soigné, tandis que les Anges nous rassurent : pour nous filer la pétoche, ils sont les rois ! La première attaque sur Amy dit déjà le niveau. Les attaques s'accumulent pendant la deuxième partie, véritable tour de force horrifique où les attaques s'enchaînent à un tempo frénétique sous un compte à rebours litteral, inattendu et stressant, jusqu'à provoquer l'handicap forcé d'Amy. Moffat prend également soin des personnages secondaires, notamment avec "Bob l'Ange" et son humour à froid corsé à chaque fois qu'il appelle le Docteur, mais aussi le chef des moines, digne guerrier, juste et courageux. River bien sûr a toujours la patate et on l'aime comme ça.
Mais ce n'est pas suffisant pour Moffat qui veut absolument nous dire "je suis le meilleur scénariste du monde, et je vais vous mettre à genoux avec ma virtuosité narrative". Oui, c'est de l'ego, mais voilà, il sait le faire, et entre l'énergie temporelle, l'idée géniale d'Amy aveugle (climax de pure épouvante quand les Anges se tournent vers elle lentement), le temps effacé et réécrit, les miracles de la gravité, on est totalement ébloui par cette fontaine infinie de rebondissements et de zigzags narratifs super maîtrisé.
Et puis, ENFIN, Eleven commence à prendre ses marques : il délaisse les enfantillages hors sujet et se montre certes d'une ardeur juvénile un peu naïve, mais on retrouve son leadership, sa dureté sévère, sa gravité émotionnelle qui lui faisaient alors défaut. Sacré bond de qualité dans le jeu de Matt Smith qui me convainc petit à petit, tandis que Karen Gillian élargit son interprétation, notamment lors de toute la séquence où elle a les yeux fermés, où elle exprime beaucoup rien qu'avec son corps.
Sinon, j'ai hurlé de rire avec la coda vaudevillesque où Amy se la joue femme fatale pour séduire le Doc. Les deux larrons cabotinent à qui mieux mieux, c'était franchement hilarant !
Au final, Flesh and stone est dans mon top 5 des meilleurs épisodes de la nouvelle série. (***) et (****)
Mais ce n'est pas suffisant pour Moffat qui veut absolument nous dire "je suis le meilleur scénariste du monde, et je vais vous mettre à genoux avec ma virtuosité narrative". Oui, c'est de l'ego, mais voilà, il sait le faire, et entre l'énergie temporelle, l'idée géniale d'Amy aveugle (climax de pure épouvante quand les Anges se tournent vers elle lentement), le temps effacé et réécrit, les miracles de la gravité, on est totalement ébloui par cette fontaine infinie de rebondissements et de zigzags narratifs super maîtrisé.
Et puis, ENFIN, Eleven commence à prendre ses marques : il délaisse les enfantillages hors sujet et se montre certes d'une ardeur juvénile un peu naïve, mais on retrouve son leadership, sa dureté sévère, sa gravité émotionnelle qui lui faisaient alors défaut. Sacré bond de qualité dans le jeu de Matt Smith qui me convainc petit à petit, tandis que Karen Gillian élargit son interprétation, notamment lors de toute la séquence où elle a les yeux fermés, où elle exprime beaucoup rien qu'avec son corps.
Sinon, j'ai hurlé de rire avec la coda vaudevillesque où Amy se la joue femme fatale pour séduire le Doc. Les deux larrons cabotinent à qui mieux mieux, c'était franchement hilarant !
Au final, Flesh and stone est dans mon top 5 des meilleurs épisodes de la nouvelle série. (***) et (****)
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Effectivement le double épisode se laisse voir pour les retournements de situation (au sens propre) et les nombreuses scènes choc mitonnées par Moffat et son sens aigu du sensationnel, mention spéciale à l'Ange dans la télé et à l'interlocuteur du Doc, vraiment drôle dans son style bien à lui. Par contre le scénario signifie une vraie déception. Dans Blink les facultés des Anges avaient suscité un jeu virtuose sur les enchevêtrements temporels, alors qu'ici on trouve a contrario une progression linéaire au possible, vraiment paresseuse. On se croirait dans une vieille partie de Donjons et Dragons, avec son séquençage mécanique de salles et de monstres. Du coup, une fois al situation installée, le double épisode apparaît assez long. J'ai bien aimé l'Evêque, amis River n'intervient pas assez dans l'action de fait l'histoire aurait très bien pu e dérouler sans elle et le temps libéré aurait pu contribuer à hausser le niveau du scénario. En fait elle est surtout là pour son retour spectaculaire, Moffat signifiant ainsi qu'on la retrouvera plus en avant (contrairement à tous les autres personnages précédents, car n'étant pas issus de Moffat). par contre l'opus contribue à asseoir la dimension d'Eleven et sa relation avec Amy, c'est vrai.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Parfois les survienne les bonnes nouvelles que l'on n'attendait plus : après deux saisons d'absence complète, Steven Moffat vient d'annoncer que le Dr. River Song sera de retour pour le spécial noël 2015 ! Episode badass en vue !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Top 10 des compagnons (spoilers ! )
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Samedi, 19h40, BBC : Clara et le Docteur nous emmènent de nouveau à travers l'Espace et le Temps. Début de la saison 9 !
Dernière édition par Estuaire44 le Dim 20 Sep 2015 - 0:43, édité 1 fois
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Quel personnage de la nouvelle série (avant Twelve) êtes-vous ?
http://www.zimbio.com/quiz/Dj5ue6L5_mv/New+Doctor+Character?result=yClBdcs63Tb
Ah tiens, je suis Rory, mais finalement cela me convient, c'est un personnage très attachant Bon, je vais aller pleurer dans la pièce d'à-côté.
http://www.zimbio.com/quiz/Dj5ue6L5_mv/New+Doctor+Character?result=yClBdcs63Tb
Ah tiens, je suis Rory, mais finalement cela me convient, c'est un personnage très attachant Bon, je vais aller pleurer dans la pièce d'à-côté.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Mais moi aussi je lui trouve bien des qualités à Rory. Attendre 1894 ans que votre dulcinée se réveille, ça demande quand même une sacrée dose de patience et d'abnégation...
Bon, ben, désolé Estuaire, je ne voulais pas remuer le couteau dans la plaie...
Curieusement, je me sens plus proche de la personnalité de Nine, d'Eleven, ou de Rose. Je suis plus proche de Ten seulement quand je suis en public. Avec Ten, mon Dieu vivant reste le Captain.
Bon, ben, désolé Estuaire, je ne voulais pas remuer le couteau dans la plaie...
Curieusement, je me sens plus proche de la personnalité de Nine, d'Eleven, ou de Rose. Je suis plus proche de Ten seulement quand je suis en public. Avec Ten, mon Dieu vivant reste le Captain.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Pourtant, j'adore les fez...
Achevé la saison 5 de Doctor Who (2005). Après une première moitié très peu convaincante due aux chambardements pour le moins hasardeux de Moffat, la série trouve à mon sens de satisfaisantes marques. A Russell T. Davies, fin architecte expressif, Moffat oppose une ébouriffante virtuosité narrative qui a moins pour but d’émouvoir que d’accrocher le spectateur. Pour prendre une métaphore musicale très approximative, Davies fait du Chopin, Moffat se prend pour Liszt. C’est une option tout aussi valable, même si mes goûts me portent plutôt vers le traitement Davies.
Un fantastique changement s’est opéré au cours de la saison, il s’agit d’Eleven. Autant j’ai cru qu’il était en train de couler la série au début, autant le personnage s’est arrêté de vouloir copier Ten et a développé sa personnalité : une légèreté joyeuse, un pétillement excentrique n’altérant en rien sa personnalité de leader - absente lors des premiers épisodes - et efficace dans l’action. Matt Smith a fini par s’approprier le personnage, et je le trouve positivement super à chaque fois. Je pense que le changement s’est opéré avec le très imaginatif épisode du Seigneur des Rêves, où Smith, pourvu d’une partition plus subtile et étendue, a subitement mûri et devenu plus sûr de lui. Évidemment, on reste quelque part nostalgiques de Nine et Ten, mais si Eleven me proposait maintenant une place dans le TARDIS, je le suivrai avec un plaisir sincère et pas du tout forcé. Ça a été la meilleure surprise de la saison pour moi.
Amy souffre de rester monolithique dans sa description. Elle n’a pas la multiplicité de ses devancières. Elle dégage en revanche une énergie gaie - correspondant à la personnalité d’Eleven - et une fougue réellement enthousiasmantes. Restreinte dans son rôle, j’ai dû mal à porter un jugement sur le jeu de Karen Gillan, car je ne sais pas du tout ce qu’elle donnerait sorti de son registre habituel. Disons que je l’ai trouvée très bien, mais j’attends quelque chose de plus.
Finalement, je suis plus enthousiaste sur le valeureux Rory. C’est un des points où à mon sens Moffat l’emporte sur Davies, car il a ni plus ni moins le rôle de Mickey. Or, Mickey ne m’a jamais vraiment convaincu, son rôle était trop ingrat. Rory déploie une toute autre stature : il participe activement à l’action, se montre décisif, courageux, réfléchi, extrêmement humain... le lien avec Amy est par définition plus fort qu’entre Mickey-Rose, mais c’est à mon sens plus payant car rééquilibrant les enjeux entre les trois voyageurs et lui permettant d’exister par lui-même, et non seulement en tant que baromètre des sentiments de sa dulcinée. Arthur Darvill m’a convaincu sans restriction aucune dès sa première apparition. Du coup le terrible rebondissement final de Cold Blood m’a littéralement tétanisé…
Si la mise en scène demeure très pro et fastueuse à souhait, les scénarios se montrent le point le plus discutable de la période. Toute la première moitié est extrêmement pâle, à l’image des débuts d’Eleven. Peu de Diabolical Mastermind megalos comme on les aime, développements narratifs réduit au schématisme, et un manque de rythme flagrant dès lors que Moffat n’est pas directement à l’écriture. Cependant, la dernière partie de la saison était en or massif : l’épisode Van Gogh était original, émouvant, lumineux, peut-être trop mince narrativement, mais une belle poésie et un beau mystère sur la notion d’art. J’ai été conquis par The Lodger, excellent épisode décalé où Smith fait un stand-up continu de 45 minutes à hurler de rire et de talent.
Et le finale de la Pandorica… bon, ben, que dire sinon que c’est haut-la-main le scénario le plus virtuose que je n’ai jamais vu à la télévision et au cinéma réunis (Robert Heinlein en aurait eu la migraine). La première partie est brillamment mystérieuse, sombre, et d’un suspense fiévreux, avec peu à peu un cauchemar se déployant pour se refermer sur chacun de nos héros - quel twist final ! Un des plus incroyables de la série. Le quadruple cliffhanger de la première partie est un des plus redoutables de la série lui aussi, aaaaaaargh. Le site de Stonehenge est un excellent décor. Et voir l’alliance de tous les ennemis du Doc est évidemment une réponse de Moffat au triple cross-over du finale de la saison 4. Bon, il ne peut pas dépasser ce qu’a fait Davies, mais il le talonne à quelques encablures près. Pendant qu’Alex Kingston est vraiment à son affaire en River Song impressionnante d’autorité et d’intelligence, avec ses moments badass comme on les aime - ah l’exécution du Dalek en 2e partie, c’est très Ten, ça ! Sinon, je suis le seul à avoir bavé cinq minutes quand elle est apparue en Cléopâtre bidon ?
L’imbrication haletante des boucles temporelles est vraiment hallucinante - c’est Blink puissance 10 ce truc. Pendant toute la 2e partie, Moffat se déchaîne avec cette démonstration fougueuse et turbulente, empilant les paradoxes temporels jusqu’à en avoir le vertige, et les résolvant avec la même rapidité et la même intelligence. L’apparition d’Amy dans la Pandorica est un des moments les plus WTF de la série quoique la scène culte du fez est pas mal non plus. Je précise que pour le questionnaire précédent, j’ai répondu immédiatement que les fez étaient cools - et j’ai enfin compris ce que tu as voulu dire dans une critique d’Angel où tu disais que les fez étaient cools.
Superbe coda plus calme où Amy sauve le Docteur après qu’il l’ait tant de fois sauvée avec cette apparition véritablement libératrice du TARDIS. Moffat n’oublie pas les personnages qui se révèlent tous sous leur meilleur jour, tous. Mention au moment émotion où Eleven parle à Amy enfant avant de disparaître, c’était sublime, émouvant, et bien sûr un des plus malicieux tours d’Eleven en passant. Mon finale favori de la série à égalité avec Stolen Earth/Journey’s end.
Bref, une saison au démarrage laborieux, mais un finish éblouissant.
Cinquième saison (2010) :
1. Le Prisonnier zéro (The Eleventh Hour) : **
2. La Bête des bas-fonds (The Beast Below) : **
3. La Victoire des Daleks (Victory of the Daleks) : **
4. Le Labyrinthe des Anges, première partie (The Time of Angels) : ***
5. Le Labyrinthe des Anges, deuxième partie (Flesh and Stone) : ****
6. Les Vampires de Venise (The Vampires of Venice) : **
7. Le Seigneur des Rêves (Amy's Choice) : ****
8. La Révolte des intra-terrestres, première partie (The Hungry Earth) : **
9. La Révolte des intra-terrestres, deuxième partie (Cold Blood) : ****
10. Vincent et le Docteur (Vincent and the Doctor) : ***
11. Le Colocataire (The Lodger) : ****
12. La Pandorica s'ouvre, première partie (The Pandorica opens) : ****
13. La Pandorica s'ouvre, deuxième partie (The Big Bang) : ****
Top 5 :
1. The Pandorica opens/The Big Bang
2. The Lodger
3. The Time of Angels/Flesh and stone
4. Amy’s choice
5. Vincent and the Doctor
Achevé la saison 5 de Doctor Who (2005). Après une première moitié très peu convaincante due aux chambardements pour le moins hasardeux de Moffat, la série trouve à mon sens de satisfaisantes marques. A Russell T. Davies, fin architecte expressif, Moffat oppose une ébouriffante virtuosité narrative qui a moins pour but d’émouvoir que d’accrocher le spectateur. Pour prendre une métaphore musicale très approximative, Davies fait du Chopin, Moffat se prend pour Liszt. C’est une option tout aussi valable, même si mes goûts me portent plutôt vers le traitement Davies.
Un fantastique changement s’est opéré au cours de la saison, il s’agit d’Eleven. Autant j’ai cru qu’il était en train de couler la série au début, autant le personnage s’est arrêté de vouloir copier Ten et a développé sa personnalité : une légèreté joyeuse, un pétillement excentrique n’altérant en rien sa personnalité de leader - absente lors des premiers épisodes - et efficace dans l’action. Matt Smith a fini par s’approprier le personnage, et je le trouve positivement super à chaque fois. Je pense que le changement s’est opéré avec le très imaginatif épisode du Seigneur des Rêves, où Smith, pourvu d’une partition plus subtile et étendue, a subitement mûri et devenu plus sûr de lui. Évidemment, on reste quelque part nostalgiques de Nine et Ten, mais si Eleven me proposait maintenant une place dans le TARDIS, je le suivrai avec un plaisir sincère et pas du tout forcé. Ça a été la meilleure surprise de la saison pour moi.
Amy souffre de rester monolithique dans sa description. Elle n’a pas la multiplicité de ses devancières. Elle dégage en revanche une énergie gaie - correspondant à la personnalité d’Eleven - et une fougue réellement enthousiasmantes. Restreinte dans son rôle, j’ai dû mal à porter un jugement sur le jeu de Karen Gillan, car je ne sais pas du tout ce qu’elle donnerait sorti de son registre habituel. Disons que je l’ai trouvée très bien, mais j’attends quelque chose de plus.
Finalement, je suis plus enthousiaste sur le valeureux Rory. C’est un des points où à mon sens Moffat l’emporte sur Davies, car il a ni plus ni moins le rôle de Mickey. Or, Mickey ne m’a jamais vraiment convaincu, son rôle était trop ingrat. Rory déploie une toute autre stature : il participe activement à l’action, se montre décisif, courageux, réfléchi, extrêmement humain... le lien avec Amy est par définition plus fort qu’entre Mickey-Rose, mais c’est à mon sens plus payant car rééquilibrant les enjeux entre les trois voyageurs et lui permettant d’exister par lui-même, et non seulement en tant que baromètre des sentiments de sa dulcinée. Arthur Darvill m’a convaincu sans restriction aucune dès sa première apparition. Du coup le terrible rebondissement final de Cold Blood m’a littéralement tétanisé…
Si la mise en scène demeure très pro et fastueuse à souhait, les scénarios se montrent le point le plus discutable de la période. Toute la première moitié est extrêmement pâle, à l’image des débuts d’Eleven. Peu de Diabolical Mastermind megalos comme on les aime, développements narratifs réduit au schématisme, et un manque de rythme flagrant dès lors que Moffat n’est pas directement à l’écriture. Cependant, la dernière partie de la saison était en or massif : l’épisode Van Gogh était original, émouvant, lumineux, peut-être trop mince narrativement, mais une belle poésie et un beau mystère sur la notion d’art. J’ai été conquis par The Lodger, excellent épisode décalé où Smith fait un stand-up continu de 45 minutes à hurler de rire et de talent.
Et le finale de la Pandorica… bon, ben, que dire sinon que c’est haut-la-main le scénario le plus virtuose que je n’ai jamais vu à la télévision et au cinéma réunis (Robert Heinlein en aurait eu la migraine). La première partie est brillamment mystérieuse, sombre, et d’un suspense fiévreux, avec peu à peu un cauchemar se déployant pour se refermer sur chacun de nos héros - quel twist final ! Un des plus incroyables de la série. Le quadruple cliffhanger de la première partie est un des plus redoutables de la série lui aussi, aaaaaaargh. Le site de Stonehenge est un excellent décor. Et voir l’alliance de tous les ennemis du Doc est évidemment une réponse de Moffat au triple cross-over du finale de la saison 4. Bon, il ne peut pas dépasser ce qu’a fait Davies, mais il le talonne à quelques encablures près. Pendant qu’Alex Kingston est vraiment à son affaire en River Song impressionnante d’autorité et d’intelligence, avec ses moments badass comme on les aime - ah l’exécution du Dalek en 2e partie, c’est très Ten, ça ! Sinon, je suis le seul à avoir bavé cinq minutes quand elle est apparue en Cléopâtre bidon ?
L’imbrication haletante des boucles temporelles est vraiment hallucinante - c’est Blink puissance 10 ce truc. Pendant toute la 2e partie, Moffat se déchaîne avec cette démonstration fougueuse et turbulente, empilant les paradoxes temporels jusqu’à en avoir le vertige, et les résolvant avec la même rapidité et la même intelligence. L’apparition d’Amy dans la Pandorica est un des moments les plus WTF de la série quoique la scène culte du fez est pas mal non plus. Je précise que pour le questionnaire précédent, j’ai répondu immédiatement que les fez étaient cools - et j’ai enfin compris ce que tu as voulu dire dans une critique d’Angel où tu disais que les fez étaient cools.
Superbe coda plus calme où Amy sauve le Docteur après qu’il l’ait tant de fois sauvée avec cette apparition véritablement libératrice du TARDIS. Moffat n’oublie pas les personnages qui se révèlent tous sous leur meilleur jour, tous. Mention au moment émotion où Eleven parle à Amy enfant avant de disparaître, c’était sublime, émouvant, et bien sûr un des plus malicieux tours d’Eleven en passant. Mon finale favori de la série à égalité avec Stolen Earth/Journey’s end.
Bref, une saison au démarrage laborieux, mais un finish éblouissant.
Cinquième saison (2010) :
1. Le Prisonnier zéro (The Eleventh Hour) : **
2. La Bête des bas-fonds (The Beast Below) : **
3. La Victoire des Daleks (Victory of the Daleks) : **
4. Le Labyrinthe des Anges, première partie (The Time of Angels) : ***
5. Le Labyrinthe des Anges, deuxième partie (Flesh and Stone) : ****
6. Les Vampires de Venise (The Vampires of Venice) : **
7. Le Seigneur des Rêves (Amy's Choice) : ****
8. La Révolte des intra-terrestres, première partie (The Hungry Earth) : **
9. La Révolte des intra-terrestres, deuxième partie (Cold Blood) : ****
10. Vincent et le Docteur (Vincent and the Doctor) : ***
11. Le Colocataire (The Lodger) : ****
12. La Pandorica s'ouvre, première partie (The Pandorica opens) : ****
13. La Pandorica s'ouvre, deuxième partie (The Big Bang) : ****
Top 5 :
1. The Pandorica opens/The Big Bang
2. The Lodger
3. The Time of Angels/Flesh and stone
4. Amy’s choice
5. Vincent and the Doctor
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Content que la saison t'ait plu, à mon sens c'est effectivement la meilleure de la période Eleven. Matt Smith a bien gagné ses galons de Docteur. Le duo Amy/Rory se montre original au sein de la nouvelle série et la parallèle avec Ian et Barbara permet de mesurer le temps écoulé par depuis les débuts de la série (et permet de pallier au manque de densité d'Amy en solo). Comme points forts. J'ai bien aimé l'épisode van Gogh , l'un des plus esthétiques de la série (le ciel se transformant en La Nuit étoilée, sublime) même si le manque conduit à un final lénifiant, comme trop souvent à l'époque. La confrontation à l'humanité rend le Lodger très amusant et permet d achever de poser le portrait d'Eleven. James Corden et Matt Smith fonctionnent très bien ensemble. j'ai trouvé que la Pandorica manquait un peu d'émotion à travers ses machineries astucieuses, mais on reconnaît la griffe virtuose de Moffat, c'est vrai.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Très bonne critique avec laquelle je suis globalement d'accord, bien que j'ai mis moins de temps pour m'attacher à Eleven.
La saison 5 est en effet la meilleure de la période Amy/Eleven/Rory : la sixième, bien que d'un niveau très honorable, souffrira d'une mythologie pas assez maîtrisée (avec un rebondissement final dont je rigole encore). Je ne dirai rien sur la septième ''saison'' (si on peut appeler ça une saison...)
La saison 5 est en effet la meilleure de la période Amy/Eleven/Rory : la sixième, bien que d'un niveau très honorable, souffrira d'une mythologie pas assez maîtrisée (avec un rebondissement final dont je rigole encore). Je ne dirai rien sur la septième ''saison'' (si on peut appeler ça une saison...)
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
A force de jouer au gros malin, Moffat le Prodige n'a pu s'en tirer en fin de saison 6 que par une piteuse arnaque. Le bide.
En saison 7 tous les derniers épisodes Amy/Rory sont à peu près nuls. Le combat de trop. Les épisodes Clara ont été gravement pénalisés par un fil rouge totalement foireux, mais, individuellement, certains s'en sortent en partie, même s'il y a toujours quelque chose qui cloche tôt ou tard.
En saison 7 tous les derniers épisodes Amy/Rory sont à peu près nuls. Le combat de trop. Les épisodes Clara ont été gravement pénalisés par un fil rouge totalement foireux, mais, individuellement, certains s'en sortent en partie, même s'il y a toujours quelque chose qui cloche tôt ou tard.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Merci Cetp. Alors, je vais m'armer d'une patiente indulgence. Si l'essentiel (Eleven-Amy-Rory) est préservé, je peux être bon public. Estuaire, si tu me dis que les derniers épisodes Amy/Rory sont nuls, ça me chavire déjà le coeur, parce qu'ils sont vraiment mignons tous deux.
Tous les deux, vous dites que le twist final de la saison 6 est ridicule ? Si ça concerne ce "Silence", ça tombe mal pour Moffat parce que c'est bien la première fois qu'une Mythologie de la nouvelle série se déroule sur plus d'une saison... d'où une frustration qui serait plus forte. Bon, time will tell, on va regarder quand même.
Sinon, j'ai découvert que Geronimo ! était le cri typique des parachutistes américains. Je comprends pourquoi Dr.Who cartonne aux US alors (et aussi pourquoi la délirante Dolores de Dead like me l'avait clamé dans le film adapté).
Au fait Cetp, as-tu fait le test de "Quel personnage de Dr.Who êtes-vous" ?
Tous les deux, vous dites que le twist final de la saison 6 est ridicule ? Si ça concerne ce "Silence", ça tombe mal pour Moffat parce que c'est bien la première fois qu'une Mythologie de la nouvelle série se déroule sur plus d'une saison... d'où une frustration qui serait plus forte. Bon, time will tell, on va regarder quand même.
Sinon, j'ai découvert que Geronimo ! était le cri typique des parachutistes américains. Je comprends pourquoi Dr.Who cartonne aux US alors (et aussi pourquoi la délirante Dolores de Dead like me l'avait clamé dans le film adapté).
Au fait Cetp, as-tu fait le test de "Quel personnage de Dr.Who êtes-vous" ?
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Oui, vraiment creux, mais pas de la faute des personnages et encore moins des acteurs (heureusement qu'ils étaient là), mais bien d'intrigues en bois.
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Oui et apparemment je suis...Jack Harkness
Une bien belle découverte !
Une bien belle découverte !
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
Félicitations !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Doctor Who"
Ca me va personnellement
C'est vrai que je l'aurais mal pris de tomber sur Martha Jones
C'est vrai que je l'aurais mal pris de tomber sur Martha Jones
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
Captain Jack, Mon Dieu vivant !
D'un côté, si tu es réellement aussi survitaminée que le ton souvent percutant de tes posts, je ne suis pas si surpris que ça.
D'un côté, si tu es réellement aussi survitaminée que le ton souvent percutant de tes posts, je ne suis pas si surpris que ça.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Doctor Who"
Oh merci du compliment
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Doctor Who"
Les rumeurs courraient depuis deux semaines, c'est désormais confirmé : l’épatante Jenna Coleman va prendre congé du TARDIS et du Docteur. Elle va jouer la Reine Victoria en personne (ah tiens ?). c'est évidemment une grande perte pour DW, mais avec deux saisons et demie (j'espère qu'elle bouclera la saison 9), elle va devenir le Compagnon le plus durable de la série moderne.
http://www.ozap.com/actu/jenna-coleman-quitte-doctor-who/477927
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
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