Série "Alias"
+6
alexandre
Dearesttara
klokloh
Estuaire44
Cetp65
séribibi
10 participants
CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
Page 6 sur 23
Page 6 sur 23 • 1 ... 5, 6, 7 ... 14 ... 23
Re: Série "Alias"
01-19 - Face cachée (Snowman)
Résumé
Alors qu’ils font l’amour, Sydney et Noah Hicks manquent être tués par les hommes de Khasinau. Ils rapportent une vidéo montrant la mère de Sydney, Irina Derevko/Laura Bristow. Noah offre à Sydney l’occasion de fuir le SD6 avec elle. Au cours d’une enquête aux quatre coins de la planète, d’Afrique du sud en Australie, Sydney va affronter un adversaire inattendu.
La critique
« Alias » est un feuilleton, et à ce titre, il est difficile de noter bon ou mauvais les épisodes lorsque l’action est continue, suite de l’épisode d’avant et préquelle du suivant. Ici, les producteurs ont pris un film de mettons 90 minutes, ont coupé dans les bobines ou presque, de façon à rendre l’histoire impossible à déchiffrer pour le téléspectateur, tellement abreuvé d’informations et traversant le globe à toute vitesse qu’il n’a plus le temps de réfléchir. On a l’impression de traverser l’épisode comme une carte postale, sans prendre le temps de respirer. D’ailleurs, les couples dans « Alias » sont nus en train de faire l’amour et la minute (voire 30 secondes) suivante habillés, sur une improbable moto empruntée à James Bond ou à Ethan Hawk/Tom Cruise. On notera les hommages ou les « emprunts » divers, l’exfiltration des amants se passe comme celle de Claudine Auger et Sean Connery dans le final d’Opération tonnerre. La musique a très envie de ressembler à celle du James Bond theme ou de Mission Impossible. Alors, on regarde tout cela ébahi, sans avoir le temps de dire ouf, sans vraiment tout comprendre (dans cet épisode, entre Sydney et Vaughn, le nombre de destinations parcourues atteignent des records).
Dans le monde d’Alias, il faut faire fi de toute vraisemblance. Votre meilleure amie a trouvé un billet d’avion pour Rome quand vous étiez censée être à Seatle, pas d' importance, vous lui fournissez le plus improbable bobard soit des secrets sur une banque qui demande à ses employés de faire des transactions en main propre (c’est trop simple de faire des virements !) et votre meilleure copine vous croit. Ici, l’émotion a du mal à passer tellement elle est coincée entre une cascade improbable à moto, un combat avec des ustensiles de cuisine, nouvel armement de la ménagère espionne de moins de trente ans, et une scène directement pompée sur le « Mission Impossible » de Brian de Palma où suspendue au bout d’un filin, l’héroïne dérobe un secret. Dans le monde d’Alias, l’homme qui a tué votre fiancé vous assure qu’il va vous aider à retrouver votre mère.
Bien sûr, les décors exotiques ne sont que des trompe l’œil, la série sinon aurait coûté une fortune. On est vite dans les intérieurs, aux lumières tamisées, où l’on cause (peu) et l’on se bat (beaucoup). Il ne faut pas chercher ici la moindre trace de crédibilité, mais la mayonnaise prend bien. « Alias » se contente de recycler les sérials du début du XXe siècle façon High tech début du XXIe. On retrouve même la panoplie de gadgets avec ici un bâton de rouge à lèvres. Tout cela va tellement vite que l’on ne sait plus ce qui relève du SD6 ou de la CIA, à vrai dire le téléspectateur s’en fiche. J J Abrams lui donne l’occasion de le scotcher sur son fauteuil pendant 42 minutes. A une époque où notre triste production hexagonale proposait en long (surtout très long), large et verbeux les enquêtes de Navarro, Julie Lescaut et Isabelle la femme d’honneur, Abrams offrait en un Alias un condensé de vingt ou quarante enquêtes.
Si l’on marche, c’est parce que Jennifer Garner passe des larmes à la superwoman plus vite qu’un demi tour de Wonder woman, que Ron Rifkin jongle entre les protecteurs de jeunes filles et les serpents venimeux mortels le temps d’un changement de regard. On nous offre dans une semi-obscurité un homme atrocement défiguré qui donne des informations à Vaughn, mais comme « Alias » passe à une heure de grande écoute, nous ne le verrons pas trop. Quelques personnages passent complètement à la trappe comme Dixon, présent au début de la série, réduit à quelques apparitions ou Flinkman inutile et qui ne fait plus rire personne, à ce titre on se demande bien pourquoi Sloane ne lui dire une balle en plein front pour nuisance à sa réflexion. Certes, il n’y a pas un pouce de crédibilité dans cette bande dessinée mais l’on ne va bouder notre plaisir. Notons d’ailleurs que l’arc « Rambaldi » d’un épisode à l’autre disparaît pour mieux ressurgir, alternant avec la recherche de la mère de Sydney. Il serait bien fastidieux de résumer à un ami qui l’aurait raté l’épisode, tellement de ficelles narratives sont entremêlées. Un coup de théâtre final avouons le bien improbable vient ponctuer l’épisode au lieu d’un cliffhanger. Nous laissons Sydney en larmes, mais gageons que nous n’aurons pas le temps de lui tendre un mouchoir. On suppose que dans la scène qui ouvrira l'épisode suivant, elle se sera consolée, sera tombée d’avion sans parachute ou en train de faire un combat chorégraphié sur le toit d’un train dans lequel une bombe nucléaire va exploser si on ne déconnecte pas les fils.
Les infos supplémentaires
Natacha Pavlovich joue ici une Laura Bristow jeune sur des images en noir et blanc atroces à déchiffrer.
Résumé
Alors qu’ils font l’amour, Sydney et Noah Hicks manquent être tués par les hommes de Khasinau. Ils rapportent une vidéo montrant la mère de Sydney, Irina Derevko/Laura Bristow. Noah offre à Sydney l’occasion de fuir le SD6 avec elle. Au cours d’une enquête aux quatre coins de la planète, d’Afrique du sud en Australie, Sydney va affronter un adversaire inattendu.
La critique
« Alias » est un feuilleton, et à ce titre, il est difficile de noter bon ou mauvais les épisodes lorsque l’action est continue, suite de l’épisode d’avant et préquelle du suivant. Ici, les producteurs ont pris un film de mettons 90 minutes, ont coupé dans les bobines ou presque, de façon à rendre l’histoire impossible à déchiffrer pour le téléspectateur, tellement abreuvé d’informations et traversant le globe à toute vitesse qu’il n’a plus le temps de réfléchir. On a l’impression de traverser l’épisode comme une carte postale, sans prendre le temps de respirer. D’ailleurs, les couples dans « Alias » sont nus en train de faire l’amour et la minute (voire 30 secondes) suivante habillés, sur une improbable moto empruntée à James Bond ou à Ethan Hawk/Tom Cruise. On notera les hommages ou les « emprunts » divers, l’exfiltration des amants se passe comme celle de Claudine Auger et Sean Connery dans le final d’Opération tonnerre. La musique a très envie de ressembler à celle du James Bond theme ou de Mission Impossible. Alors, on regarde tout cela ébahi, sans avoir le temps de dire ouf, sans vraiment tout comprendre (dans cet épisode, entre Sydney et Vaughn, le nombre de destinations parcourues atteignent des records).
Dans le monde d’Alias, il faut faire fi de toute vraisemblance. Votre meilleure amie a trouvé un billet d’avion pour Rome quand vous étiez censée être à Seatle, pas d' importance, vous lui fournissez le plus improbable bobard soit des secrets sur une banque qui demande à ses employés de faire des transactions en main propre (c’est trop simple de faire des virements !) et votre meilleure copine vous croit. Ici, l’émotion a du mal à passer tellement elle est coincée entre une cascade improbable à moto, un combat avec des ustensiles de cuisine, nouvel armement de la ménagère espionne de moins de trente ans, et une scène directement pompée sur le « Mission Impossible » de Brian de Palma où suspendue au bout d’un filin, l’héroïne dérobe un secret. Dans le monde d’Alias, l’homme qui a tué votre fiancé vous assure qu’il va vous aider à retrouver votre mère.
Bien sûr, les décors exotiques ne sont que des trompe l’œil, la série sinon aurait coûté une fortune. On est vite dans les intérieurs, aux lumières tamisées, où l’on cause (peu) et l’on se bat (beaucoup). Il ne faut pas chercher ici la moindre trace de crédibilité, mais la mayonnaise prend bien. « Alias » se contente de recycler les sérials du début du XXe siècle façon High tech début du XXIe. On retrouve même la panoplie de gadgets avec ici un bâton de rouge à lèvres. Tout cela va tellement vite que l’on ne sait plus ce qui relève du SD6 ou de la CIA, à vrai dire le téléspectateur s’en fiche. J J Abrams lui donne l’occasion de le scotcher sur son fauteuil pendant 42 minutes. A une époque où notre triste production hexagonale proposait en long (surtout très long), large et verbeux les enquêtes de Navarro, Julie Lescaut et Isabelle la femme d’honneur, Abrams offrait en un Alias un condensé de vingt ou quarante enquêtes.
Si l’on marche, c’est parce que Jennifer Garner passe des larmes à la superwoman plus vite qu’un demi tour de Wonder woman, que Ron Rifkin jongle entre les protecteurs de jeunes filles et les serpents venimeux mortels le temps d’un changement de regard. On nous offre dans une semi-obscurité un homme atrocement défiguré qui donne des informations à Vaughn, mais comme « Alias » passe à une heure de grande écoute, nous ne le verrons pas trop. Quelques personnages passent complètement à la trappe comme Dixon, présent au début de la série, réduit à quelques apparitions ou Flinkman inutile et qui ne fait plus rire personne, à ce titre on se demande bien pourquoi Sloane ne lui dire une balle en plein front pour nuisance à sa réflexion. Certes, il n’y a pas un pouce de crédibilité dans cette bande dessinée mais l’on ne va bouder notre plaisir. Notons d’ailleurs que l’arc « Rambaldi » d’un épisode à l’autre disparaît pour mieux ressurgir, alternant avec la recherche de la mère de Sydney. Il serait bien fastidieux de résumer à un ami qui l’aurait raté l’épisode, tellement de ficelles narratives sont entremêlées. Un coup de théâtre final avouons le bien improbable vient ponctuer l’épisode au lieu d’un cliffhanger. Nous laissons Sydney en larmes, mais gageons que nous n’aurons pas le temps de lui tendre un mouchoir. On suppose que dans la scène qui ouvrira l'épisode suivant, elle se sera consolée, sera tombée d’avion sans parachute ou en train de faire un combat chorégraphié sur le toit d’un train dans lequel une bombe nucléaire va exploser si on ne déconnecte pas les fils.
Les infos supplémentaires
Natacha Pavlovich joue ici une Laura Bristow jeune sur des images en noir et blanc atroces à déchiffrer.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
01-20 – Mauvaise posture (The solution)
Résumé
Très malade, Emily Sloane fait des révélations à Sydney qui sont enregistrées, et Arvin devra convaincre l’alliance qu'elle n'est pas un danger pour éviter que l’on tue (prématurément) sa femme. Sydney et Vaughn sont envoyés en Algérie. Will Tippin a identifié le père de Sydney, Jack Bristow, comme l’homme qui l’a menacé pour arrêter son enquête. L’alliance prévient Sloane qu’ils vont exécuter Emily.
La critique
Les épisodes d’Alias se suivent et ne se ressemblent pas. Celui-là est bavard et manque d’action. Nous assistons à un retour au premier plan du personnage de Will Tippin négligé dans les derniers épisodes. Ce qui passe mal, c’est la transition entre les cascades incroyables et le semblant de réalisme que l’on veut nous imposer à nouveau ici. A force de jongler entre deux registres, « Alias » finit par décevoir. Dans le précédent épisode, nous nagions en pleine jambonderie, ici c’est l’impossible rapprochement voulu avec John Le Carré qui devient un objectif impossible. A trop vouloir manger à tous les rateliers, « Alias » se fracasse. Notons que pour la première fois, Ron Rifkin joue faux. Lors des scènes avec sa femme mourante, lorsque l’on connait le passé d’Arvin Sloane, il est peu crédible. Jennifer Garner en burka est un crime contre la sensualité. On la préfère déshabillée. Le combat à coup de haches avec l’interlocuteur de Sydney, Mr Sark, bien trop jeunôt, est le combat de trop. Le script multiplie les invraisemblances : pourquoi Sydney dit elle à Francie qu’elle a fait l’amour avec Noah ? Rien ne l’y oblige. La rencontre Will Tippin/Jack Bristow frôle le ridicule. Bristow se confiant à un journaliste, voilà qui est très peu professionnel. On a le sentiment que les scénaristes ont oublié en cours de route que « Alias » est un feuilleton et ne soucient plus de cohérence. Comment Tippin peut-il croire comme un niais que Sydney n’a rien à voir avec les services secrets ? A force de faire avaler des couleuvres aux téléspectateurs (le combat à la hache avec Sark et la victoire impossible de Sydney), celui-ci comprend qu’il a été dupe. On passe donc à une fin de saison en dents de scie (un épisode avec quatre melons suivi d’un ratage). L’alternance Rambaldi/Laura Bristow finit par ne plus être un fil conducteur intéressant et suffisant pour maintenir l'intérêt. Le pire ici, c’est que les deux seuls bons acteurs de la série, Jennifer Garner et Ron Rifkin, contraints à jouer un scénario incohérent, perdent leur efficacité sur le téléspectateur. Emily, rongée par le cancer, n’est plus un danger, sauf pour l’Alliance. Comme l’épisode est chiche en cascades, que la plastique de l’héroïne loin d’être mise en lumière est cachée derrière une burka, on mettra un zéro pointé aux scénaristes. Le plus gros reproche que l'on peut faire à cet opus est de rendre inintéressante la captivante enquête de Tippin sur la mort de Danny. Ce fil rouge devient définitivement avarié. Quant à l'émotion, elle avoisine le niveau zéro, mais peut-on passer d'une atsmosphère bande dessinée/Lara Croft à l'espionnage réaliste sans la perdre en route, ainsi que le téléspectateur ? Et puis disons le franchement : on a le sentiment que cet épisode a été conçu sans tenir compte du précédent, où sont les larmes de Sydney pour Noah, son amant et assassin potentiel qu'elle a tué ?
Les infos supplémentaires
Les membres de l’Alliance doivent tout sacrifier (conjointe, amis) pour le « bien commun ». C’est ce qui est annoncé ici à Arvin Sloane.
Résumé
Très malade, Emily Sloane fait des révélations à Sydney qui sont enregistrées, et Arvin devra convaincre l’alliance qu'elle n'est pas un danger pour éviter que l’on tue (prématurément) sa femme. Sydney et Vaughn sont envoyés en Algérie. Will Tippin a identifié le père de Sydney, Jack Bristow, comme l’homme qui l’a menacé pour arrêter son enquête. L’alliance prévient Sloane qu’ils vont exécuter Emily.
La critique
Les épisodes d’Alias se suivent et ne se ressemblent pas. Celui-là est bavard et manque d’action. Nous assistons à un retour au premier plan du personnage de Will Tippin négligé dans les derniers épisodes. Ce qui passe mal, c’est la transition entre les cascades incroyables et le semblant de réalisme que l’on veut nous imposer à nouveau ici. A force de jongler entre deux registres, « Alias » finit par décevoir. Dans le précédent épisode, nous nagions en pleine jambonderie, ici c’est l’impossible rapprochement voulu avec John Le Carré qui devient un objectif impossible. A trop vouloir manger à tous les rateliers, « Alias » se fracasse. Notons que pour la première fois, Ron Rifkin joue faux. Lors des scènes avec sa femme mourante, lorsque l’on connait le passé d’Arvin Sloane, il est peu crédible. Jennifer Garner en burka est un crime contre la sensualité. On la préfère déshabillée. Le combat à coup de haches avec l’interlocuteur de Sydney, Mr Sark, bien trop jeunôt, est le combat de trop. Le script multiplie les invraisemblances : pourquoi Sydney dit elle à Francie qu’elle a fait l’amour avec Noah ? Rien ne l’y oblige. La rencontre Will Tippin/Jack Bristow frôle le ridicule. Bristow se confiant à un journaliste, voilà qui est très peu professionnel. On a le sentiment que les scénaristes ont oublié en cours de route que « Alias » est un feuilleton et ne soucient plus de cohérence. Comment Tippin peut-il croire comme un niais que Sydney n’a rien à voir avec les services secrets ? A force de faire avaler des couleuvres aux téléspectateurs (le combat à la hache avec Sark et la victoire impossible de Sydney), celui-ci comprend qu’il a été dupe. On passe donc à une fin de saison en dents de scie (un épisode avec quatre melons suivi d’un ratage). L’alternance Rambaldi/Laura Bristow finit par ne plus être un fil conducteur intéressant et suffisant pour maintenir l'intérêt. Le pire ici, c’est que les deux seuls bons acteurs de la série, Jennifer Garner et Ron Rifkin, contraints à jouer un scénario incohérent, perdent leur efficacité sur le téléspectateur. Emily, rongée par le cancer, n’est plus un danger, sauf pour l’Alliance. Comme l’épisode est chiche en cascades, que la plastique de l’héroïne loin d’être mise en lumière est cachée derrière une burka, on mettra un zéro pointé aux scénaristes. Le plus gros reproche que l'on peut faire à cet opus est de rendre inintéressante la captivante enquête de Tippin sur la mort de Danny. Ce fil rouge devient définitivement avarié. Quant à l'émotion, elle avoisine le niveau zéro, mais peut-on passer d'une atsmosphère bande dessinée/Lara Croft à l'espionnage réaliste sans la perdre en route, ainsi que le téléspectateur ? Et puis disons le franchement : on a le sentiment que cet épisode a été conçu sans tenir compte du précédent, où sont les larmes de Sydney pour Noah, son amant et assassin potentiel qu'elle a tué ?
Les infos supplémentaires
Les membres de l’Alliance doivent tout sacrifier (conjointe, amis) pour le « bien commun ». C’est ce qui est annoncé ici à Arvin Sloane.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Patricks a écrit:c’est que les deux seuls bons acteurs de la série, Jennifer Garner et Ron Rifkin
Les 2 seuls bons acteurs de la série, je trouve que c'est un peu réducteur. Le niveau d'interprétation est globablement bon dans "Alias".
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
01-21 – Rendez vous (Rendez-vous)
Résumé
L’Alliance confirme à Sloane que Poole a trahi au profit de Khasinau. Le SD6 s’est emparé de Sark. Sloane doit trouver Kasinauh. Will Tippins fait une alliance avec le père de Sydney pour trouver l’informateur du SD6 sur le meurtre de Danny.
La critique
Il n’y a que dans « Alias » où vous vous battez à mort avec votre collègue pour le retrouver ensuite et lui parler de vos vacances à Palm Springs, sachant que vous vous êtes affrontés (Sydney avec Dixon) cachés. Les scénaristes composent ici avec un non-retour de Roger Moore dans le rôle de Poole. David Anders en Sark est un méchant improbable, il ressemble à…Bénabar. Anders n’a pas du tout la gueule de l’emploi. Alors que Khasinau/Derrick O’Connor oui. D’où une association improbable entre les deux hommes. Ensuite que Will Tippin se retrouve de Los Angeles à Paris continue à enfoncer la série dans un manque total de cohérence. Comme le père de Don Diego découvrant que son fils est Zorro, Tippin sait désormais à quoi s’en tenir à propos de Sydney. Mais c’est mal joué, invraisemblable et bâclé. C’est l’épisode où tous les masques tombent : Dixon avec la blessure au bras de Sydney comprend qui elle est en réalité. Le millesime 1982 Bordeaux demandé à Sark (on traite bien les prisonniers dans « Alias » !) contient un liquide émetteur , on se demandait aussi depuis quand un otage pouvait formuler d’aussi importantes exigences alors qu’il n’est pas en poistion de force . Sloane exprimant des regrets au sujet de l’assassinat de Danny Hecht est aussi convaincant que Jack l’éventreur qui demanderait pardon. J J Abrams est train de tuer sa poule aux œufs d’or. A noter qu’à la 39e minute, le metteur en scène Ken Olin n’est pas malin. Il fait passer sa main dans les cheveux à Jennifer Garner pour que son oreille ressorte, seul défaut de cette actrice sexy. La confrontation Sydney/Will Tippin est téléphonée et ratée, après vingt épisodes où l’héroïne a joué les fantômettes. C’est aussi la première fois qu’un cancer en rémission devient une mauvaise nouvelle dans une série. Cache ta joie, Sloane ! On reste sur un cliffhanger, mais à force de jouer avec le feu, « Alias » déraille et laisse le téléspectateur dépité. C’est gênant, quand on arrive au dernier épisode de la première saison. On connaît des séries qui ont été annulées pour moins que cela.
Les infos supplémentaires
La série est « datée » par le téléphone portable première génération 2002 de Dixon.
Sydney se transforme ici en chanteuse. Kylie Minogue et Madonna n’ont rien à craindre.
Résumé
L’Alliance confirme à Sloane que Poole a trahi au profit de Khasinau. Le SD6 s’est emparé de Sark. Sloane doit trouver Kasinauh. Will Tippins fait une alliance avec le père de Sydney pour trouver l’informateur du SD6 sur le meurtre de Danny.
La critique
Il n’y a que dans « Alias » où vous vous battez à mort avec votre collègue pour le retrouver ensuite et lui parler de vos vacances à Palm Springs, sachant que vous vous êtes affrontés (Sydney avec Dixon) cachés. Les scénaristes composent ici avec un non-retour de Roger Moore dans le rôle de Poole. David Anders en Sark est un méchant improbable, il ressemble à…Bénabar. Anders n’a pas du tout la gueule de l’emploi. Alors que Khasinau/Derrick O’Connor oui. D’où une association improbable entre les deux hommes. Ensuite que Will Tippin se retrouve de Los Angeles à Paris continue à enfoncer la série dans un manque total de cohérence. Comme le père de Don Diego découvrant que son fils est Zorro, Tippin sait désormais à quoi s’en tenir à propos de Sydney. Mais c’est mal joué, invraisemblable et bâclé. C’est l’épisode où tous les masques tombent : Dixon avec la blessure au bras de Sydney comprend qui elle est en réalité. Le millesime 1982 Bordeaux demandé à Sark (on traite bien les prisonniers dans « Alias » !) contient un liquide émetteur , on se demandait aussi depuis quand un otage pouvait formuler d’aussi importantes exigences alors qu’il n’est pas en poistion de force . Sloane exprimant des regrets au sujet de l’assassinat de Danny Hecht est aussi convaincant que Jack l’éventreur qui demanderait pardon. J J Abrams est train de tuer sa poule aux œufs d’or. A noter qu’à la 39e minute, le metteur en scène Ken Olin n’est pas malin. Il fait passer sa main dans les cheveux à Jennifer Garner pour que son oreille ressorte, seul défaut de cette actrice sexy. La confrontation Sydney/Will Tippin est téléphonée et ratée, après vingt épisodes où l’héroïne a joué les fantômettes. C’est aussi la première fois qu’un cancer en rémission devient une mauvaise nouvelle dans une série. Cache ta joie, Sloane ! On reste sur un cliffhanger, mais à force de jouer avec le feu, « Alias » déraille et laisse le téléspectateur dépité. C’est gênant, quand on arrive au dernier épisode de la première saison. On connaît des séries qui ont été annulées pour moins que cela.
Les infos supplémentaires
La série est « datée » par le téléphone portable première génération 2002 de Dixon.
Sydney se transforme ici en chanteuse. Kylie Minogue et Madonna n’ont rien à craindre.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
01-22 – Danger immédiat (Almost thirty years)
Résumé
Will Tippin est prisonnier de Sark qui menace de l’exécuter si ne lui sont pas remis la fiole de Rambaldi et la page blanche du livre qui sera déchiffrable avec la fiole. Sydney décide de trahir pour sauver son ami. Le dentiste veut faire parler Tippin. Sloane propose que sa femme fasse partie du SD6. Dixon découvre que Sydney ne travaille pas pour Sloane. Devlin déclare à Jack qu’une taupe se cache au sein de la CIA. Une course contre la montre est commencée pour sauver Tippin mais Sydney et Vaughn tombent dans un piège. Sydney découvre enfin qui est « Le monsieur ».
La critique
« Lettre ouverte à J J Abrams »
Mon cher monsieur, la plupart des gens qui ont vu votre première saison passent vite à la seconde, mais moi qui ait du temps libre, avant de chroniquer l’épisode final, j’ai revisionné les 21 premiers épisodes, et je ne suis pas content du tout.
On torture beaucoup dans cet épisode, mais ce sont les scénaristes que l’on a envie d’écorcher vifs. Ils sont tombés dans le piège qui a plombé la série « Le Caméléon ». Lancer plus de questions qu’apporter des réponses. Le retour du « dentiste », un des plus féroces tortionnaires vus dans toutes les séries confondues, semble clore un cycle, puisque du pilote, il revient dans le dernier épisode. L’identité de la taupe que Jack expédie ad-patres est téléphonée, même le moins attentif des téléspectateurs aura deviné son identité. Tout comme celle du « Monsieur », c’était évident.
J’avoue que si j’étais le patron de la chaîne ABC, j’aurais annulé la série à la fin de ce consternant final, d’autres et bien meilleures l’ont été en fin de saison 1 (« Drôle de chance », « Tru Calling », « Profit ») dont jamais « Alias » n’a atteint le niveau. La série se termine sur un cliffhanger où beaucoup de personnages sont dans des situations incertaines voire désespérées. Mais dans le monde d’Alias, tout est possible, celui que l’on croit noyé par les eaux a pu se transformer en poisson (on va bien nous apprendre en saison 2 qu’il est le fils de l’homme de l’Atlandide pour le maintenir au générique ?), la personne à qui l’on a fait boire le bouillon d’onze heures va-t-elle réchapper ? En coulisses, les contrats se négocient avec les acteurs qui selon leurs exigences financières verront leurs personnages mourir ou survivre. Après avoir été d’un bon niveau pendant la saison, la fin de celle-ci est consternante. Crime suprême, lorsque Jennifer Garner porte un T shirt noir transparent, on la filme dans l’ombre ou en train de se battre alors que cela relèverait au moins le niveau de testostérone des téléspectateurs mâles. Autant voir un film de Clara Morgane, on en aura pour son argent. Parce que pour sauver la série du naufrage (si j’ose dire vu les flots dans le laboratoire de Khasinau), il en faudrait plus. La série commence comme « Nous ne sommes pas seuls », le pilote de X Files, et se termine (en une saison) dans un fatras d’intrigues assommantes comme X Files des saisons 7 à 9. Cherchez l’erreur !
Sommés de jouer leurs personnages aux limites d’un crédible depuis longtemps dépassé, les comédiens perdent pied et tombent dans la caricature. Monsieur Abrams, vous anticipez ici les futures élucubrations de « Lost ». Trop, c’est trop, et quand la coupe est pleine, le TGV déraille. Le téléspectateur est contraint ici de boire le calice jusqu’à la lie, entre des scènes répugnantes (Tippin et le dentiste, Sydney en pareille posture dans le pilote savait ce qui l’attendait) et les faux coups de théâtre qui s’avèrent des pétards mouillés. Le fil rouge de l’enquête du journaliste sur la mort de Danny est définitivement détruit, et c’était l’un des éléments les plus passionnants de la série
Les producteurs au lieu de garder une certaine sobriété veulent épater toujours plus le public qui commence à saturer. En cette fin de saison 1, on ne donne pas cher d’Alias. La série est très loin d’obtenir le charisme de « X Files » ou « Buffy contre les vampires » au même stade. La partie fantastique (Rambaldi) a été mal maîtrisée, l’aspect fantômette je sauve le monde la nuit, je suis une sage étudiante le jour oubliée en route. Monsieur Abrams vous avez misé sur la mémoire courte du spectateur. Des pans entiers de l’histoire sont oubliés. Que devient par exemple Mc Neal et son avocat Stoller, que Tippin voulait faire sortir de prison ? Et Anna Espinosa, elle a pris sa retraite ? La belle Jenny finit-elle de nous éblouir en ayant largué Tippin hors de sa voiture en banlieue ? Vaughn ne parle plus de venger son père, il est vrai qu’il a d’autres soucis ici. Quant à notre « veuve » héroïne qui était sur le point de se marier et dont la motivation était de se venger de Sloane, elle couche avec le premier ex venu – un traître en plus – et elle a déjà oublié son début de romance avec Vaughn, elle s’apitoie sur le sort de la femme cancéreuse de l’assassin de son fiancé, elle a oublié sa vengeance en cours de route . Je continue : Edward Poole ne sera pas puni de sa trahison dans « La prophétie » (faut dire que Roger Moore a une pension alimentaire à payer à son ex Luisa et voudrait plus d’argent pour continuer), le meurtre d’Eloïse Kurtz/Kate Jones restera impuni. On n’est plus à cela près.
Dans un feuilleton digne de ce nom, on ne perd pas la moitié des intrigues en cours de route.
Monsieur Abrams, vous en rajoutez dans l’invraisemblable avec cette fin pour nous livrer une saison 2 qui sera de toute façon condamnée à une surenchère qui a ses limites.
Cher producteur, votre série revue du pilote à la l’épilogue de la saison 1, me permet de vous dire que vous n’avez pas inventé l’eau chaude. Ce n’est pas vous qui comme Leonard Freeman aurait conçu les aventures de l’équipe de Steve Mc Garrett, pas plus que vous n’êtes Roy Huggins dont « Le fugitif » que vous copiez quand même par la structure narrative volait nettement plus haut, en matière d’espionnage les Broccoli pourraient vous attaquer en plagiat pour un nombre incroyables d’emprunts à 007. Mais le pire, c’est que vous nous avez attendri, avec cette pauvre Sydney qui bien souvent nous émouvait aux larmes (chose que Clara Morgane ne fera pas), mais qu’à force de prendre les téléspectateurs pour des amnésiques, de tout recommencer à zéro à chaque épisode, on craint fort que cela ne soit plus le cas.
On va quand même regarder vos saisons suivantes, histoire de voir si vous allez redresser la barre.
Recevez, cher Monsieur Abrams, l’assurance de mes salutations distinguées
Les infos supplémentaires
Retour du dentiste Zhang Lee (incarné par Rick Young) dont on n’a pas vraiment compris, par rapport au pilote, qui sont ses employeurs. A moins qu’il soit « à louer » ?
Résumé
Will Tippin est prisonnier de Sark qui menace de l’exécuter si ne lui sont pas remis la fiole de Rambaldi et la page blanche du livre qui sera déchiffrable avec la fiole. Sydney décide de trahir pour sauver son ami. Le dentiste veut faire parler Tippin. Sloane propose que sa femme fasse partie du SD6. Dixon découvre que Sydney ne travaille pas pour Sloane. Devlin déclare à Jack qu’une taupe se cache au sein de la CIA. Une course contre la montre est commencée pour sauver Tippin mais Sydney et Vaughn tombent dans un piège. Sydney découvre enfin qui est « Le monsieur ».
La critique
« Lettre ouverte à J J Abrams »
Mon cher monsieur, la plupart des gens qui ont vu votre première saison passent vite à la seconde, mais moi qui ait du temps libre, avant de chroniquer l’épisode final, j’ai revisionné les 21 premiers épisodes, et je ne suis pas content du tout.
On torture beaucoup dans cet épisode, mais ce sont les scénaristes que l’on a envie d’écorcher vifs. Ils sont tombés dans le piège qui a plombé la série « Le Caméléon ». Lancer plus de questions qu’apporter des réponses. Le retour du « dentiste », un des plus féroces tortionnaires vus dans toutes les séries confondues, semble clore un cycle, puisque du pilote, il revient dans le dernier épisode. L’identité de la taupe que Jack expédie ad-patres est téléphonée, même le moins attentif des téléspectateurs aura deviné son identité. Tout comme celle du « Monsieur », c’était évident.
J’avoue que si j’étais le patron de la chaîne ABC, j’aurais annulé la série à la fin de ce consternant final, d’autres et bien meilleures l’ont été en fin de saison 1 (« Drôle de chance », « Tru Calling », « Profit ») dont jamais « Alias » n’a atteint le niveau. La série se termine sur un cliffhanger où beaucoup de personnages sont dans des situations incertaines voire désespérées. Mais dans le monde d’Alias, tout est possible, celui que l’on croit noyé par les eaux a pu se transformer en poisson (on va bien nous apprendre en saison 2 qu’il est le fils de l’homme de l’Atlandide pour le maintenir au générique ?), la personne à qui l’on a fait boire le bouillon d’onze heures va-t-elle réchapper ? En coulisses, les contrats se négocient avec les acteurs qui selon leurs exigences financières verront leurs personnages mourir ou survivre. Après avoir été d’un bon niveau pendant la saison, la fin de celle-ci est consternante. Crime suprême, lorsque Jennifer Garner porte un T shirt noir transparent, on la filme dans l’ombre ou en train de se battre alors que cela relèverait au moins le niveau de testostérone des téléspectateurs mâles. Autant voir un film de Clara Morgane, on en aura pour son argent. Parce que pour sauver la série du naufrage (si j’ose dire vu les flots dans le laboratoire de Khasinau), il en faudrait plus. La série commence comme « Nous ne sommes pas seuls », le pilote de X Files, et se termine (en une saison) dans un fatras d’intrigues assommantes comme X Files des saisons 7 à 9. Cherchez l’erreur !
Sommés de jouer leurs personnages aux limites d’un crédible depuis longtemps dépassé, les comédiens perdent pied et tombent dans la caricature. Monsieur Abrams, vous anticipez ici les futures élucubrations de « Lost ». Trop, c’est trop, et quand la coupe est pleine, le TGV déraille. Le téléspectateur est contraint ici de boire le calice jusqu’à la lie, entre des scènes répugnantes (Tippin et le dentiste, Sydney en pareille posture dans le pilote savait ce qui l’attendait) et les faux coups de théâtre qui s’avèrent des pétards mouillés. Le fil rouge de l’enquête du journaliste sur la mort de Danny est définitivement détruit, et c’était l’un des éléments les plus passionnants de la série
Les producteurs au lieu de garder une certaine sobriété veulent épater toujours plus le public qui commence à saturer. En cette fin de saison 1, on ne donne pas cher d’Alias. La série est très loin d’obtenir le charisme de « X Files » ou « Buffy contre les vampires » au même stade. La partie fantastique (Rambaldi) a été mal maîtrisée, l’aspect fantômette je sauve le monde la nuit, je suis une sage étudiante le jour oubliée en route. Monsieur Abrams vous avez misé sur la mémoire courte du spectateur. Des pans entiers de l’histoire sont oubliés. Que devient par exemple Mc Neal et son avocat Stoller, que Tippin voulait faire sortir de prison ? Et Anna Espinosa, elle a pris sa retraite ? La belle Jenny finit-elle de nous éblouir en ayant largué Tippin hors de sa voiture en banlieue ? Vaughn ne parle plus de venger son père, il est vrai qu’il a d’autres soucis ici. Quant à notre « veuve » héroïne qui était sur le point de se marier et dont la motivation était de se venger de Sloane, elle couche avec le premier ex venu – un traître en plus – et elle a déjà oublié son début de romance avec Vaughn, elle s’apitoie sur le sort de la femme cancéreuse de l’assassin de son fiancé, elle a oublié sa vengeance en cours de route . Je continue : Edward Poole ne sera pas puni de sa trahison dans « La prophétie » (faut dire que Roger Moore a une pension alimentaire à payer à son ex Luisa et voudrait plus d’argent pour continuer), le meurtre d’Eloïse Kurtz/Kate Jones restera impuni. On n’est plus à cela près.
Dans un feuilleton digne de ce nom, on ne perd pas la moitié des intrigues en cours de route.
Monsieur Abrams, vous en rajoutez dans l’invraisemblable avec cette fin pour nous livrer une saison 2 qui sera de toute façon condamnée à une surenchère qui a ses limites.
Cher producteur, votre série revue du pilote à la l’épilogue de la saison 1, me permet de vous dire que vous n’avez pas inventé l’eau chaude. Ce n’est pas vous qui comme Leonard Freeman aurait conçu les aventures de l’équipe de Steve Mc Garrett, pas plus que vous n’êtes Roy Huggins dont « Le fugitif » que vous copiez quand même par la structure narrative volait nettement plus haut, en matière d’espionnage les Broccoli pourraient vous attaquer en plagiat pour un nombre incroyables d’emprunts à 007. Mais le pire, c’est que vous nous avez attendri, avec cette pauvre Sydney qui bien souvent nous émouvait aux larmes (chose que Clara Morgane ne fera pas), mais qu’à force de prendre les téléspectateurs pour des amnésiques, de tout recommencer à zéro à chaque épisode, on craint fort que cela ne soit plus le cas.
On va quand même regarder vos saisons suivantes, histoire de voir si vous allez redresser la barre.
Recevez, cher Monsieur Abrams, l’assurance de mes salutations distinguées
Les infos supplémentaires
Retour du dentiste Zhang Lee (incarné par Rick Young) dont on n’a pas vraiment compris, par rapport au pilote, qui sont ses employeurs. A moins qu’il soit « à louer » ?
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Désaccord absolu sur les 3 dernières critiques : la fin de saison est juste géniale !
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Alias"
Dans tous les cas, je félicite Patricks pour l'originalité de sa dernière critique. Bon, reste 4 saisons, on verra s'il arrive à aller jusqu'au bout...
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Jolie tirade, Patricks !
Estuaire44- Empereur
- Age : 55
Localisation : Villejuif (94)
Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Alias"
Je n'avais pas été aussi sévère après la vision du dernier épisode de cette première saison. C'est vrai que question scénario, c'est du n'importe quoi. Faut passer outre. C'est ce que j'ai fait jusqu'au huitième de la seconde saison. Parce que là, j'ai dit : 'stop', on prend le téléspectateur pour un con !denis a écrit:Terminé la première saison à l’instant. On est pris dans l’engrenage et forcé d’enchainer épisode sur épisode. Il y a des passages longuets mais la fin est prenante et les scènes d’action excellentes, mais il y a des invraisemblances et des délires difficiles à gober. Surtout, des questions restent sans réponse et on termine sur un énorme cliffhanger. Le dentiste asiatique est un des pires salopards de série que j’ai vu !
A noter : Joseph Ruskin est un membre d’Alliance (épisode 1X21 Rendez-vous)….un acteur né en 1924 qui joua dans 6 épisodes des Incorruptibles !
http://www.imdb.fr/name/nm0750826/
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
02-01 – Ennemie intime (The enemy walks in)
Résumé
« Le Monsieur » n’est autre Laura Bristow, qui tire sur sa fille immobilisée sur une chaise la blessant à l’épaule. L’article de Tippin a été publié. Sydney raconte tout à la pyschiatre de la CIA. A Cap Ferrat, en France, Sydney est envoyée en mission, tandis que l’agent Vaughn, porté disparu, réapparaît… sur une table d’autopsie, mais vivant.
La critique
Est-ce l’enterrement de la femme de Sloane (où Sydney qui jadis nous émouvait tant nous laisse froid comme le marbre) ou l’enterrement de la série « Alias » ? J’ai peur de connaître la réponse. Le pilote n’est rien moins qu’un épisode clip transformé. Tous les faits relatés ici le sont par Sydney à sa psychiatre.
Les américains n’aiment pas les russes ni les communistes, et encore moins le KGB, mais était-ce une raison pour nous proposer une actrice aussi moche que Lena Holin, le cou rempli de rides, qui avec la laideur du comédien Victor Garber nous fait nous poser une question : Sydney n’est elle pas adoptée ? Car franchement, que Jennifer Garner soit jolie avec comme parents des gens aussi laids, cela relève de la science-fiction. « Alias » perd là une belle occasion de nous présenter une espionne à la Daniela Bianchi (voire Barbara Bach). Susan Sarandon ou Lesley Ann Warren auraient été, parmi tant d’autres, des choix tellement plus appropriés que Lena Holin. Cette dernière n’est pas responsable de son physique, mais Abrams des actrices qu’il engage.
Tout d’abord, les conditions dans lesquelles a survécu Vaughn sont totalement improbables, et l’on gardera un voile pudique sur le nom du scénariste pour nous pondre une explication aussi idiote. Mais ce n’est pas tout : on fait de Will Tippin un accro à l’héroïne qui a inventé son article et Sloane le laisse en paix. Ben voyons.
Faisant fi de toute vraisemblance, « Alias » (que l’on va peut être appeler bientôt « Titanic ») nous inflige une scène d’une rare bêtise (ou alors c’est encore de l’anticommunisme primaire purement yankee) : La mère n’a pas vu sa fille depuis trente ans et pour les retrouvailles lui tire une balle dans l’épaule. Sydney Bristow ou « vive les orphelins la saga ».
Tout est mauvais ici, et même Jennifer Garner a perdu son charisme. Toute une série ne peut pas reposer sur les épaules d’une comédienne aussi jeune (à moins d’être Buffy contre les vampires ce qui n’est pas le cas). Mais la surprise de son jeu est éventée, avec ses déguisements en femme du monde à chaque mission, Sydney étudiante/Sydney femme fatale/Sydney Lara Croft championne de combat, et on a l'impression que Jennifer (peut être mal payée) se contente de nous offrir le minimum syndical.
Les agents doubles, triples, l’adjoint Khasinau que Mama Bristow déssoude froidement (on se demande pourquoi), constituent une intrigue décousue au possible.
Quant à Ron Rifkin, il semble avoir perdu le « mordant » de son personnage de s alaud intégral. Même Tippin fait remarquer à Sydney : « Tu ne vas aller faire l’éloge de la femme de ce monstre ». De fait, il ressemble plus à un homme d’affaires qu’au chef du SD6. Il a baissé, ne faisant même plus éliminer les témoins gênants. Pauvre Danny Hecht, arrivé une saison plus tard, il serait sauf comme Tippin.
On voit très mal comment « Alias » a pu durer cinq saisons avec une fin de première gâchée et un début de deuxième aussi nul.
Les infos supplémentaires
Lena Holin (1955) – en 2002 elle faisait plus vieille, est une actrice suédoise qui a été notamment dirigée par Ingmar Bergman.
Résumé
« Le Monsieur » n’est autre Laura Bristow, qui tire sur sa fille immobilisée sur une chaise la blessant à l’épaule. L’article de Tippin a été publié. Sydney raconte tout à la pyschiatre de la CIA. A Cap Ferrat, en France, Sydney est envoyée en mission, tandis que l’agent Vaughn, porté disparu, réapparaît… sur une table d’autopsie, mais vivant.
La critique
Est-ce l’enterrement de la femme de Sloane (où Sydney qui jadis nous émouvait tant nous laisse froid comme le marbre) ou l’enterrement de la série « Alias » ? J’ai peur de connaître la réponse. Le pilote n’est rien moins qu’un épisode clip transformé. Tous les faits relatés ici le sont par Sydney à sa psychiatre.
Les américains n’aiment pas les russes ni les communistes, et encore moins le KGB, mais était-ce une raison pour nous proposer une actrice aussi moche que Lena Holin, le cou rempli de rides, qui avec la laideur du comédien Victor Garber nous fait nous poser une question : Sydney n’est elle pas adoptée ? Car franchement, que Jennifer Garner soit jolie avec comme parents des gens aussi laids, cela relève de la science-fiction. « Alias » perd là une belle occasion de nous présenter une espionne à la Daniela Bianchi (voire Barbara Bach). Susan Sarandon ou Lesley Ann Warren auraient été, parmi tant d’autres, des choix tellement plus appropriés que Lena Holin. Cette dernière n’est pas responsable de son physique, mais Abrams des actrices qu’il engage.
Tout d’abord, les conditions dans lesquelles a survécu Vaughn sont totalement improbables, et l’on gardera un voile pudique sur le nom du scénariste pour nous pondre une explication aussi idiote. Mais ce n’est pas tout : on fait de Will Tippin un accro à l’héroïne qui a inventé son article et Sloane le laisse en paix. Ben voyons.
Faisant fi de toute vraisemblance, « Alias » (que l’on va peut être appeler bientôt « Titanic ») nous inflige une scène d’une rare bêtise (ou alors c’est encore de l’anticommunisme primaire purement yankee) : La mère n’a pas vu sa fille depuis trente ans et pour les retrouvailles lui tire une balle dans l’épaule. Sydney Bristow ou « vive les orphelins la saga ».
Tout est mauvais ici, et même Jennifer Garner a perdu son charisme. Toute une série ne peut pas reposer sur les épaules d’une comédienne aussi jeune (à moins d’être Buffy contre les vampires ce qui n’est pas le cas). Mais la surprise de son jeu est éventée, avec ses déguisements en femme du monde à chaque mission, Sydney étudiante/Sydney femme fatale/Sydney Lara Croft championne de combat, et on a l'impression que Jennifer (peut être mal payée) se contente de nous offrir le minimum syndical.
Les agents doubles, triples, l’adjoint Khasinau que Mama Bristow déssoude froidement (on se demande pourquoi), constituent une intrigue décousue au possible.
Quant à Ron Rifkin, il semble avoir perdu le « mordant » de son personnage de s alaud intégral. Même Tippin fait remarquer à Sydney : « Tu ne vas aller faire l’éloge de la femme de ce monstre ». De fait, il ressemble plus à un homme d’affaires qu’au chef du SD6. Il a baissé, ne faisant même plus éliminer les témoins gênants. Pauvre Danny Hecht, arrivé une saison plus tard, il serait sauf comme Tippin.
On voit très mal comment « Alias » a pu durer cinq saisons avec une fin de première gâchée et un début de deuxième aussi nul.
Les infos supplémentaires
Lena Holin (1955) – en 2002 elle faisait plus vieille, est une actrice suédoise qui a été notamment dirigée par Ingmar Bergman.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Que l'intrigue ressemble de plus en plus à du gruyère, soit. Pour Lena Olin, je ne suis pas d'accord.denis a écrit:L'actrice suédoise Lena Olin a plus de classe dans le rôle de la mère que Jennifer Garner dans celui de la fille malgré les 17 ans d'écart...
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
denis a écrit:Je n'avais pas été aussi sévère après la vision du dernier épisode de cette première saison. C'est vrai que question scénario, c'est du n'importe quoi. Faut passer outre. C'est ce que j'ai fait jusqu'au huitième de la seconde saison. Parce que là, j'ai dit : 'stop', on prend le téléspectateur pour un con ! [/color][/font]
c'est tout à fait ce que je pense, hélas, mais rassurez vous je ferai les 5 saisons.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Cetp65 a écrit:Désaccord absolu sur les 3 dernières critiques : la fin de saison est juste géniale !
Idem, surtout en ce qui concerne "Danger immédiat" , qui pour moi n'est rien moins qu'un des meilleurs de la série entière. Il est considéré comme un épisode-phare de la série.
Ainsi que pour le 1er de la saison 2 qui est un bon épisode de départ. Tu parles d'enterrement de la série mais beaucoup considèrent que la saison 2 reprèsente -au contraire- la quintessence de la série.
Donc maintenant on passe du "4 étoiles" à du "1 étoile" si je comprends bien ?
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Patricks a écrit:, mais était-ce une raison pour nous proposer une actrice aussi moche que Lena Holin, le cou rempli de rides, qui avec la laideur du comédien Victor Garber nous fait nous poser une question : Sydney n’est elle pas adoptée ? Car franchement, que Jennifer Garner soit jolie avec comme parents des gens aussi laids, cela relève de la science-fiction. « Alias » perd là une belle occasion de nous présenter une espionne à la Daniela Bianchi (voire Barbara Bach). Susan Sarandon ou Lesley Ann Warren auraient été, parmi tant d’autres, des choix tellement plus appropriés que Lena Holin. Cette dernière n’est pas responsable de son physique, mais Abrams des actrices qu’il engage.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Séribibi, depuis la première critique d'Alias, tu devrais savoir que la plastique des actrices est également une donnée à prendre en compte pour Patricks.
P.S : Je dirais cependant à Patricks que deux personnes... disons au physique "ordinaire" ou même "difficile" (je déteste le mot "laid"), peuvent donner de superbes plantes. Les parents de Jennifer Garner par exemple sont loin d'être des adonis, mais bon le fait est qu'ils ont conçu une belle femme :
http://www.zimbio.com/pictures/N1jahbywD3-/Celebrities+and+their+parents/S6b5nbAHorR
P.S : Je dirais cependant à Patricks que deux personnes... disons au physique "ordinaire" ou même "difficile" (je déteste le mot "laid"), peuvent donner de superbes plantes. Les parents de Jennifer Garner par exemple sont loin d'être des adonis, mais bon le fait est qu'ils ont conçu une belle femme :
http://www.zimbio.com/pictures/N1jahbywD3-/Celebrities+and+their+parents/S6b5nbAHorR
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Patricks a écrit: J’avoue que si j’étais le patron de la chaîne ABC, j’aurais annulé la série à la fin de ce consternant final, d’autres et bien meilleures l’ont été en fin de saison 1 (« Drôle de chance », « Tru Calling », « Profit ») dont jamais « Alias » n’a atteint le niveau.
J'ai du mal à comprendre, tu as pourtant mis quantité de "4 étoiles" à la majorité des épisodes.
Connais-tu les 3 séries que tu cites ?
Et...tu compares "Alias" à "Buffy", alors que ce sont 2 séries qui n'ont vraiment rien à voir.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Profit n'ayant pas dépassé huit épisodes, ce n'est pas le meilleur exemple.
En fait, je pense que Patricks dit que la fin de la saison 1 d'Alias est extrêmement inférieure comparée à d'autres fin de saison 1 de séries dont la saison 1 dans son entier est bonne. Patricks a aimé cette saison 1, sauf ses derniers épisodes. Voilà ce que je pense il veut dire.
Alias a fait un tabac à la saison 1. En admettant que le président d'ABC n'aimât pas la série, il était quand même forcé de la garder : l'annuler aurait été tuer la poule aux œufs d'or. Le public est seul juge.
En fait, je pense que Patricks dit que la fin de la saison 1 d'Alias est extrêmement inférieure comparée à d'autres fin de saison 1 de séries dont la saison 1 dans son entier est bonne. Patricks a aimé cette saison 1, sauf ses derniers épisodes. Voilà ce que je pense il veut dire.
Alias a fait un tabac à la saison 1. En admettant que le président d'ABC n'aimât pas la série, il était quand même forcé de la garder : l'annuler aurait été tuer la poule aux œufs d'or. Le public est seul juge.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Je ne pense pas que Patricks parle des fins des autres séries mais des séries qui ont été arrêtées subitement, et qui seraient dans leur saison initiale globale meilleures qu'"Alias".
Mais si c'était uniquement en rapport avec la fin, en effet, l'exemple de "Profit" n'est pas un bon exemple, cela finissant en queue de poisson étant donné cet arrêt brutal.
Patricks aurait voulu des réponses sur tout en fin de saison : sur Anna Espinosa (elle ne passe que sporadiquement, et, la série, riche de 5 saisonS n'a pas fini de parler d'elle), sur la belle fiancée de Will qui n'avait qu'un rôle extrêmemement secondaire, et comme il a rompu... , sur Mc Neal (mais il n'y a pas de raison de revenir dessus puisque Tippin a décidé de ne pas continuer ses investigations pour préserver sa vie)....
"Danger immédiat" est un des épisodes les plus importants de la série, je ne m'attendait pas à voir "1 étoile". Cet épisode est généralement encensé.
Mais si c'était uniquement en rapport avec la fin, en effet, l'exemple de "Profit" n'est pas un bon exemple, cela finissant en queue de poisson étant donné cet arrêt brutal.
Patricks aurait voulu des réponses sur tout en fin de saison : sur Anna Espinosa (elle ne passe que sporadiquement, et, la série, riche de 5 saisonS n'a pas fini de parler d'elle), sur la belle fiancée de Will qui n'avait qu'un rôle extrêmemement secondaire, et comme il a rompu... , sur Mc Neal (mais il n'y a pas de raison de revenir dessus puisque Tippin a décidé de ne pas continuer ses investigations pour préserver sa vie)....
"Danger immédiat" est un des épisodes les plus importants de la série, je ne m'attendait pas à voir "1 étoile". Cet épisode est généralement encensé.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Je rejoins entièrement Séribibi : déjà, j'ai trouvé les saisons 2 et 3 légèrement supérieures à la première (ces 3 premières saisons pourraient constituer cet ''âge d'or'' qui fait tant débat chez nos Avengers, mais c'est très subjectif). Et si un des arguments est la pseudo-laideur des parents de Sydney (perso, je trouve que les 2 ont beaucoup de classe), alors je ne comprends pas tout.
Et si tu trouves vraiment que d'autres séries sont supérieurs à Alias qui selon toi auraient dues êtres annulées au terme de sa première saison, pourquoi avoir voulu la chroniquer celle-ci, et pas les 3 autres que tu cites (d'ailleurs, je ne connais que Tru Calling, annulée pendant sa seconde saison et non la première). Si c'est pour mettre une étoile à tous les épisodes...
Et si tu trouves vraiment que d'autres séries sont supérieurs à Alias qui selon toi auraient dues êtres annulées au terme de sa première saison, pourquoi avoir voulu la chroniquer celle-ci, et pas les 3 autres que tu cites (d'ailleurs, je ne connais que Tru Calling, annulée pendant sa seconde saison et non la première). Si c'est pour mettre une étoile à tous les épisodes...
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Alias"
02-02- Confiance aveugle (Trust me)
Résumé
Au terme d’une cérémonie d’initiation plutôt surprenante, Arvin Sloane devient membre de l’Alliance. Laura Bristow s’est rendue à la CIA pour coopérer. Le SD6 recherche un CD Rom que Laura utilisait pour ses chantages et envoie Sydney en mission à Rabbat.
La critique
Vous souvenez-vous du traumatisant « Le seigneur des agneaux » dont Jodie Foster n’a pas voulu tourner la suite ? Hannibal Lecter y était emprisonné comme ici la mère de Sydney. Au final de dédales de couloirs et de grilles, de systèmes de sécurité renforcée, on découvrait l’un des plus abominables méchants de l’histoire du cinéma joué par l’excellent Anthony Hopkins. Maintenant, pour comprendre à quel point J J Abrams a sabordé « Alias », vous revivez la même scène et au bout du voyage, derrière le masque qui enserre les mâchoires du monstre, vous trouvez… Christian Clavier !
Voilà l’ampleur des dégâts avec l’exécrable Lena Holin, bonne sans doute pour un film de Bergman, mais totalement hors sujet. Quelle idée stupide d’aller engager une comédienne à sa place dans « L’insoutenable légèreté de l’être ». Sans doute la volonté de « faire original » en employant une actrice de film d’auteur dans une série américaine d’entertainment.
Roy Huggins avait présenté le manchot du « Fugitif » comme « l’homme que vous aimerez haïr ». Ici, Lena Holin est « la femme que vous aimerez voir déguerpir ».
Dommage collatéral : Jennifer Garner. Ses larmes après avoir vu sa « mère » ne sont pas crédibles une seconde. Comme la mission à Rabbat est du réchauffé (on se croirait carrément dans un épisode de « Mission Impossible » au point que l’on s’attend à ce que Sydney appelle Dixon Barney, il ne reste pour sauver les meubles que Ron Rifkin.
Le talent de cet acteur fait éclater au grand jour la médiocrité ambiante. Il retrouve ici en partie son côté « Hannibal » lorsqu’il tire dans la jambe de Peter Fordson, l’homme qu’il fait chanter, à Helsinki. Soyons juste, on remercie Terry O’Quinn de nous montrer que la CIA n’a rien à envier au KGB question états d’âme.
En dehors de ces deux comédiens, c’est le néant absolu. La série tourne à vide. Même Will Tippin devient inintéressant, réduit à la portion congrue. Vaughn/Michael Vartan est toujours aussi insignifiant.
Abrams est le vrai evil mastermind de la série. Il est en train de mépriser le téléspectateur et de tuer dans l’œuf sa série. Dans le pilote de la saison 1, il y avait un canevas mélangeant les séries/feuilleton comme « Le fugitif », « L’incroyable Hulk », « L’immortel », « Les envahisseurs », mêlé à de l’espionnage improbable façon 007. La mort de Danny, l’enquête de Tippin, autant d’éléments narratifs sacrifiés par Abrams au profit du néant artistique.
L’aspect feuilleton cède un peu la place à la série aux épisodes indépendants, pouvant être vus par le téléspectateur occasionnel. Mais par rapport à une série d’action, ce dernier est floué. Il reste trop d’éléments nécessitant d’avoir vu la série pour prendre celle-ci en route. La suite de sa carrière avec « Lost » prouvera que Abrams est le spécialiste de la série de néant sidéral, nouveau genre inventé en ce début de XXIe siècle, et dont il n’a pas à être fier.
Les infos supplémentaires
En VF, depuis le pilote de la saison 2, c’est un narrateur anonyme et non plus Sydney qui raconte en voix of ce qui s’est déroulé depuis la mort de Danny Hecht.
Retour de Terry O’Quinn dans le rôle de Kendall.
Fran face à Jack : « si je tenais celui qui a vendu de l’héroïne à Will, je l’étranglerai ».
Sydney : « Je suis contre la peine de mort, mais dans le cas de ma mère, oui ».
Laura à Vaughn « Vous lui ressemblez tellement » (allusion à son père qu’elle a assassiné).
Résumé
Au terme d’une cérémonie d’initiation plutôt surprenante, Arvin Sloane devient membre de l’Alliance. Laura Bristow s’est rendue à la CIA pour coopérer. Le SD6 recherche un CD Rom que Laura utilisait pour ses chantages et envoie Sydney en mission à Rabbat.
La critique
Vous souvenez-vous du traumatisant « Le seigneur des agneaux » dont Jodie Foster n’a pas voulu tourner la suite ? Hannibal Lecter y était emprisonné comme ici la mère de Sydney. Au final de dédales de couloirs et de grilles, de systèmes de sécurité renforcée, on découvrait l’un des plus abominables méchants de l’histoire du cinéma joué par l’excellent Anthony Hopkins. Maintenant, pour comprendre à quel point J J Abrams a sabordé « Alias », vous revivez la même scène et au bout du voyage, derrière le masque qui enserre les mâchoires du monstre, vous trouvez… Christian Clavier !
Voilà l’ampleur des dégâts avec l’exécrable Lena Holin, bonne sans doute pour un film de Bergman, mais totalement hors sujet. Quelle idée stupide d’aller engager une comédienne à sa place dans « L’insoutenable légèreté de l’être ». Sans doute la volonté de « faire original » en employant une actrice de film d’auteur dans une série américaine d’entertainment.
Roy Huggins avait présenté le manchot du « Fugitif » comme « l’homme que vous aimerez haïr ». Ici, Lena Holin est « la femme que vous aimerez voir déguerpir ».
Dommage collatéral : Jennifer Garner. Ses larmes après avoir vu sa « mère » ne sont pas crédibles une seconde. Comme la mission à Rabbat est du réchauffé (on se croirait carrément dans un épisode de « Mission Impossible » au point que l’on s’attend à ce que Sydney appelle Dixon Barney, il ne reste pour sauver les meubles que Ron Rifkin.
Le talent de cet acteur fait éclater au grand jour la médiocrité ambiante. Il retrouve ici en partie son côté « Hannibal » lorsqu’il tire dans la jambe de Peter Fordson, l’homme qu’il fait chanter, à Helsinki. Soyons juste, on remercie Terry O’Quinn de nous montrer que la CIA n’a rien à envier au KGB question états d’âme.
En dehors de ces deux comédiens, c’est le néant absolu. La série tourne à vide. Même Will Tippin devient inintéressant, réduit à la portion congrue. Vaughn/Michael Vartan est toujours aussi insignifiant.
Abrams est le vrai evil mastermind de la série. Il est en train de mépriser le téléspectateur et de tuer dans l’œuf sa série. Dans le pilote de la saison 1, il y avait un canevas mélangeant les séries/feuilleton comme « Le fugitif », « L’incroyable Hulk », « L’immortel », « Les envahisseurs », mêlé à de l’espionnage improbable façon 007. La mort de Danny, l’enquête de Tippin, autant d’éléments narratifs sacrifiés par Abrams au profit du néant artistique.
L’aspect feuilleton cède un peu la place à la série aux épisodes indépendants, pouvant être vus par le téléspectateur occasionnel. Mais par rapport à une série d’action, ce dernier est floué. Il reste trop d’éléments nécessitant d’avoir vu la série pour prendre celle-ci en route. La suite de sa carrière avec « Lost » prouvera que Abrams est le spécialiste de la série de néant sidéral, nouveau genre inventé en ce début de XXIe siècle, et dont il n’a pas à être fier.
Les infos supplémentaires
En VF, depuis le pilote de la saison 2, c’est un narrateur anonyme et non plus Sydney qui raconte en voix of ce qui s’est déroulé depuis la mort de Danny Hecht.
Retour de Terry O’Quinn dans le rôle de Kendall.
Fran face à Jack : « si je tenais celui qui a vendu de l’héroïne à Will, je l’étranglerai ».
Sydney : « Je suis contre la peine de mort, mais dans le cas de ma mère, oui ».
Laura à Vaughn « Vous lui ressemblez tellement » (allusion à son père qu’elle a assassiné).
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Cetp65 a écrit:Je rejoins entièrement Séribibi : déjà, j'ai trouvé les saisons 2 et 3 légèrement supérieures à la première (ces 3 premières saisons pourraient constituer cet ''âge d'or'' qui fait tant débat chez nos Avengers, mais c'est très subjectif). Et si un des arguments est la pseudo-laideur des parents de Sydney (perso, je trouve que les 2 ont beaucoup de classe), alors je ne comprends pas tout.
Et si tu trouves vraiment que d'autres séries sont supérieurs à Alias qui selon toi auraient dues êtres annulées au terme de sa première saison, pourquoi avoir voulu la chroniquer celle-ci, et pas les 3 autres que tu cites (d'ailleurs, je ne connais que Tru Calling, annulée pendant sa seconde saison et non la première). Si c'est pour mettre une étoile à tous les épisodes...
STP, ne remets pas en cause mon intégrité de chroniqueur. Tout le monde sait mon attachement à "Daktari" série que je regarde en boucle comme "les rois maudits", n'empêche que la saison 4 n'a en moyenne que des 1 melon.
On n'est pas là pour faire de l'hagiographie et donner des notes de complaisance.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Je ne la remets pas du tout en cause et je suis désolée si tu t'es senti insulté. Moi-même, je trouve que la série chute à partir de la saison 4 (je parle d'Alias), et qu'il y ait un nombre de 1 étoile dans ces 2 dernières saisons ne m'aurait en rien étonné. Mais que depuis l'épisode 20 jusqu'à l'épisode 2 de la saison, il n'y ait que des 1 étoile, j'avoue que ça me laisse perplexe. Je trouve que tes critiques sont très bien construites, mais je ne comprends pas vraiment ce qui te gène tant dans la série, ni pourquoi tu trouves Lena Olin exécrable.
Tu apprécies Daktari et tu la regardes en boucle, d'accord : mais tu le dis toi-même, la chute de qualité s'effectue au niveau de la saison 4. Mais si tu trouves qu'Alias devient nulle à partir de la saison 2, je ne comprends pas pourquoi tu as accepté de la chronique, surtout que tu semble reprocher à Alias (et à son créateur, ce que je ne partage pas. Lost, mis à part sa fin, c'est du tout bon) son ''aspect feuilleton'' car peu de spectateurs peuvent la prendre en route. Mais le but d'une série, ce n'est pas qu'on puisse commencer à la regarder à partir de l'épisode 3 de la saison 2. Est-ce que tu te verrais arriver au cinéma alors que le film a commencé depuis 45 minutes ? Il existe des séries, surtout policières, qui ne possèdent que des épisodes indépendants (mais même dans ce cas, je commencerai toujours du début) et d'autres qu'il faut regarder du début pour comprendre. Ce n'est pas pour ça que ces séries sont de plus mauvaise qualité...
Tu apprécies Daktari et tu la regardes en boucle, d'accord : mais tu le dis toi-même, la chute de qualité s'effectue au niveau de la saison 4. Mais si tu trouves qu'Alias devient nulle à partir de la saison 2, je ne comprends pas pourquoi tu as accepté de la chronique, surtout que tu semble reprocher à Alias (et à son créateur, ce que je ne partage pas. Lost, mis à part sa fin, c'est du tout bon) son ''aspect feuilleton'' car peu de spectateurs peuvent la prendre en route. Mais le but d'une série, ce n'est pas qu'on puisse commencer à la regarder à partir de l'épisode 3 de la saison 2. Est-ce que tu te verrais arriver au cinéma alors que le film a commencé depuis 45 minutes ? Il existe des séries, surtout policières, qui ne possèdent que des épisodes indépendants (mais même dans ce cas, je commencerai toujours du début) et d'autres qu'il faut regarder du début pour comprendre. Ce n'est pas pour ça que ces séries sont de plus mauvaise qualité...
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Alias"
Je ne suis pas étonné des notes de Patricks pour ce début de seconde saison. Je le fus beaucoup plus pour l’alignement de quatre melons sans distinctions au début et le 1 du double épisode avec Tarantino. A partir du 16ème épisode de la première saison, La prophétie, j’ai commencé à décrocher puis je fus en sursis jusqu’au 30ème épisode de la série. J’ai ensuite fait un saut vers les dernières épisodes de la série et là, je me suis dis : ‘Bravo mon gars, sage initiative, tu n’as pas perdu ton temps !’. De nombreux fans ont laissé tomber en milieu de série, souvent fin de saison 2, pour revenir sur la fin et exprimer leur mécontentement quant au final. J’ai l’impression que tu vas finir par tirer les mêmes conclusions que je postais plus haut :
https://avengers.easyforumpro.com/t1749p88-alias
C’est le désavantage des séries- feuilletons (avec une suite) : les scénaristes sont obligés le plus souvent d’avoir recours à des aberrations pour faire rebondir leur œuvre ; j’avais arrêté 24 heures chrono après trois saisons pour des raisons similaires.
Pour répondre à ta question sur la suite de la série, Patricks, il est bon de préciser qu’Alias ne fut pas un réel succès d’audience et la série ne doit son salut qu’au fait qu’à l’époque, ABC n’avait pas vraiment de hits. La série est innovatrice pour les scènes d’action style BD. C’est tout.
Personnellement, c’est un retournement de situation improbable et ridicule – un de plus – qui m’a fait lâcher prise. Eh oui, Patricks, tu n’es pas au bout de tes surprises. Ron Rifkin crève l’écran et un bon méchant fait généralement une bonne série. Mais vu que progressivement, il n’y a que lui, et même lui n’est pas à l’abri d’un épisode sans…
Les autres participants sont changeables, y compris Jennifer Garner, fadasse et sans expression la plupart du temps. Mais bon, je ne regarde jamais une série pour la plastique des actrices, mais pour les intrigues et les jeux d’acteurs. A ce sujet, je trouve, au contraire de Patricks, que Lena Olin rehausse le niveau (
S’il y a de jolies petits lots, tant mieux, mais ce n’est pas la priorité. La troisième saison devrait donc mieux te convenir avec le personnage de Lauren Reed, interprétée par la ravissante Melissa George, qui envoie Jennifer Garner au placard ! C'est l'attrait de cette saison, car les intrigues ne sont pas forcément au top.
La série devenait poussive (moins d’action déjà au début de la seconde saison) et le phénomène s’est accentué. Il était devenu souvent flagrant que tout était fait pour entretenir le suspense avec n’importe quel twist quitte à sacrifier une cohésion. La mythologie m’emmerde et je fus servi par Rambaldi and Co. Il y a une escalade dans le sensationnel et au fur et à mesure dans le presque n'importe quoi avec des situations grotesques et un traitement affligeant.
https://avengers.easyforumpro.com/t1749p88-alias
C’est le désavantage des séries- feuilletons (avec une suite) : les scénaristes sont obligés le plus souvent d’avoir recours à des aberrations pour faire rebondir leur œuvre ; j’avais arrêté 24 heures chrono après trois saisons pour des raisons similaires.
Pour répondre à ta question sur la suite de la série, Patricks, il est bon de préciser qu’Alias ne fut pas un réel succès d’audience et la série ne doit son salut qu’au fait qu’à l’époque, ABC n’avait pas vraiment de hits. La série est innovatrice pour les scènes d’action style BD. C’est tout.
Personnellement, c’est un retournement de situation improbable et ridicule – un de plus – qui m’a fait lâcher prise. Eh oui, Patricks, tu n’es pas au bout de tes surprises. Ron Rifkin crève l’écran et un bon méchant fait généralement une bonne série. Mais vu que progressivement, il n’y a que lui, et même lui n’est pas à l’abri d’un épisode sans…
Les autres participants sont changeables, y compris Jennifer Garner, fadasse et sans expression la plupart du temps. Mais bon, je ne regarde jamais une série pour la plastique des actrices, mais pour les intrigues et les jeux d’acteurs. A ce sujet, je trouve, au contraire de Patricks, que Lena Olin rehausse le niveau (
- Spoiler:
- d’ailleurs, tu te la tapes jusqu’à la fin !
S’il y a de jolies petits lots, tant mieux, mais ce n’est pas la priorité. La troisième saison devrait donc mieux te convenir avec le personnage de Lauren Reed, interprétée par la ravissante Melissa George, qui envoie Jennifer Garner au placard ! C'est l'attrait de cette saison, car les intrigues ne sont pas forcément au top.
La série devenait poussive (moins d’action déjà au début de la seconde saison) et le phénomène s’est accentué. Il était devenu souvent flagrant que tout était fait pour entretenir le suspense avec n’importe quel twist quitte à sacrifier une cohésion. La mythologie m’emmerde et je fus servi par Rambaldi and Co. Il y a une escalade dans le sensationnel et au fur et à mesure dans le presque n'importe quoi avec des situations grotesques et un traitement affligeant.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Les 3 premières saisons, j'adore (surtout les 2 et 3). A partir de la saison 4, ça baisse en qualité ! Mais ça reste efficace tout de même.
Et le final de la saison 2 est ultra-prenant :
- Spoiler:
- Oui, Lauren Reed, méchante géniale. Et je trouve aussi Lena Olin très bien, j'aime beaucoup le fait qu'on ne sache jamais de quel côté est son personnage. Le combat final mère/fille est très bien.
Et le final de la saison 2 est ultra-prenant :
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Alias"
Cetp65 a écrit:Les 3 premières saisons, j'adore (surtout les 2 et 3). A partir de la saison 4, ça baisse en qualité ! Mais ça reste efficace tout de même.
- Spoiler:
Oui, Lauren Reed, méchante géniale. Et je trouve aussi Lena Olin très bien, j'aime beaucoup le fait qu'on ne sache jamais de quel côté est son personnage. Le combat final mère/fille est très bien.
Et le final de la saison 2 est ultra-prenant :
- Spoiler:
- Oui, le combat avec Francie, mélange de Michelle Obama et Nafissatou Diallo, est le meilleur de toute la série. Par contre, la fin de la série est ridicule.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Vivement Melissa George.
Je chroniquerai la série jusqu'au bout, en essayant d'être "bon public". Mais toutes les séries majeures ayant été traitées, il faut maintenant se contenter de "Cannon" (image dvd déguelasse), "Alfred Hitchcock présente" (vous le verrez inégal après la saison 1), "Alias" dont j'espère que cela va remonter.
Pour répondre à la question, pourquoi avoir choisi "Alias", Steed m'avait dit de choisir dans les séries prioritaires, et j'hésitais entre 3, "Opération vol", "Cannon", "Alias". J'ai pris "Alias" pour deux raisons : le côté "feuilleton" genre le fugitif/l'immortel, et la plastique des filles. Mais j'ai vite réservé "Cannon" et acheté les coffrets sortis (pour l'instant jusqu'à la saison 3) car même si la série n'est pas géniale, il y a de bons moments.
Je risque une fois mes séries réservées terminées (il y a aussi "Vidocq" mais seulement 13 épisodes) de me heurter au même problème que Denis. Plus de séries majeures à traiter comme les envahisseurs ou daktari, à moins qu'on nous ponde une nouvelle série géniale, j'avais un peu pensé au mentalist, mais bof. La série n'est pas terrible et on se lasse vite.
Je chroniquerai la série jusqu'au bout, en essayant d'être "bon public". Mais toutes les séries majeures ayant été traitées, il faut maintenant se contenter de "Cannon" (image dvd déguelasse), "Alfred Hitchcock présente" (vous le verrez inégal après la saison 1), "Alias" dont j'espère que cela va remonter.
Pour répondre à la question, pourquoi avoir choisi "Alias", Steed m'avait dit de choisir dans les séries prioritaires, et j'hésitais entre 3, "Opération vol", "Cannon", "Alias". J'ai pris "Alias" pour deux raisons : le côté "feuilleton" genre le fugitif/l'immortel, et la plastique des filles. Mais j'ai vite réservé "Cannon" et acheté les coffrets sortis (pour l'instant jusqu'à la saison 3) car même si la série n'est pas géniale, il y a de bons moments.
Je risque une fois mes séries réservées terminées (il y a aussi "Vidocq" mais seulement 13 épisodes) de me heurter au même problème que Denis. Plus de séries majeures à traiter comme les envahisseurs ou daktari, à moins qu'on nous ponde une nouvelle série géniale, j'avais un peu pensé au mentalist, mais bof. La série n'est pas terrible et on se lasse vite.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Il y a pas mal de bons acteurs dans "Alias" en dehors de Rifkin et Garner : Lena Olin, Victor Garber, Carl Lumbly, Melissa George, Terry O'Quinn, Greg Grumberg sont trés bons comédiens. Même Michael Vartan, que l'on aime ou non le personnage, a un jeu qui sonne extrêmement juste.
Parmi les guest il y a des stars de pointure comme Faye Dunaway, Quentin Tarantino, Isabella Rosselini, et l'excellent Tobin Bell (Saw).
Que demande le peuple ?
Parmi les guest il y a des stars de pointure comme Faye Dunaway, Quentin Tarantino, Isabella Rosselini, et l'excellent Tobin Bell (Saw).
Que demande le peuple ?
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Faye Dunaway, je suis preneur, malgré les ans, si elle disait oui, je ne dirais pas non. Isabella Rosselini j'aime bien aussi mais mes souvenirs remontent à David Lynch.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Le meilleur épisode d' "Alias" se trouve dans la saison 2 : "Phase un".
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Considéré comme l'épisode culte, et diffusé judicieusement après le Superbowl : il y'a donc par conséquent eu le maximum de spectateurs ce soir-là. Ca a entraîné un nouveau gain d'audiences, avant le déclin à partir de la saison 3, le nouveau rebond au début de la saison 4, et avant la chute finale.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Je me méfie de l'audience d'une série, pour moi ça n'est pas systématiquement gage de qualité ; à ce rythme, "Les feux de l'amour", "Amour gloire et beauté" et "Hélène et les garçons" seraient des chefs-d'oeuvres télévisuels.
La saison 4 d'Alias est de qualité aussi.
La saison 4 d'Alias est de qualité aussi.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Page 6 sur 23 • 1 ... 5, 6, 7 ... 14 ... 23
Sujets similaires
» Série "Opération Danger" (Alias Smith and Jones)
» Séries western
» Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
» Série "Au-delà du réel" - la série d'origine
» Série "Amicalement vôtre"
» Séries western
» Série : "Enterprise" avec Scott Bakula
» Série "Au-delà du réel" - la série d'origine
» Série "Amicalement vôtre"
CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
Page 6 sur 23
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum