Série "Alias"
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
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Re: Série "Alias"
Idem que Dear.
Disons que personnellement je ne vois aucun changement dans le jeu d'actrice de Jennifer Garner entre la 1ère et la 2ème saison, ni même concernant son personnage, égal à lui-même.
Disons que personnellement je ne vois aucun changement dans le jeu d'actrice de Jennifer Garner entre la 1ère et la 2ème saison, ni même concernant son personnage, égal à lui-même.
séribibi- Roi (Reine)
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Re: Série "Alias"
séribibi a écrit:Idem que Dear.
Disons que personnellement je ne vois aucun changement dans le jeu d'actrice de Jennifer Garner entre la 1ère et la 2ème saison, ni même concernant son personnage, égal à lui-même.
Tout à fait d'accord.
Cetp65- Prince(sse)
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Re: Série "Alias"
Dearesttara a écrit:Pour ma part, je suis juste surpris que tu aies changé ton fusil d'épaule concernant Jennifer Garner. Quand je serais à la saison 2, je verrai si je te rejoins.
Tu l'as mise en avatar ? Mais c'est le grand amour
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séribibi- Roi (Reine)
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Re: Série "Alias"
02.18 – Trio infernal (Truth takes times)
Résumé
Emily Sloane, furieuse que son mari se soit sauvé avec Irina en fuite, fait un marché avec La CIA. Sydney est ravagée par le chagrin et la haine après l’évasion de sa mère.
La critique
De plus en plus calamiteuse, Jennifer Garner s’est en fait trompée de plateau. Elle se croit sur celui de « La petite maison dans la prairie ». Il faut dire que les scénaristes enfoncent encore le clou en lui faisant déclamer « cette femme n’a jamais été ma mère ». Au fond, elle est la partenaire idéale pour l’insignifiant Michael Vartan. Ils se complètent dans l’interprétation approximative.
De son côté, Ron Rifkin multiplie les facettes de son personnage. Il est à l’aise dans le mari aimant et chouchoutant sa femme au cancer en rémission, en associé d’Irina et pseudo protecteur de Sydney. Mais si les deux tourteraux Vartan/Garner donnent une idée du néant quand ils prennent l’air intelligent, Rifkin se montre nettement meilleur comédien que Lena Olin, et O’Quinn que le fade Victor Garber. Les plans de Jennifer Garner et Michael Vartan « au ralenti » ne sont pas charitables, accentuant la vacuité des comédiens. En revanche, Amy Irving actrice de talent donne une réplique à la hauteur de son partenaire. Il est fait fi ici de toute crédibilité. Malgré la façon dont il a perdu la face, Jack Bristow est maintenu à son poste et même promu. Peut-on croire un instant que Kendall approuve cette récompense à l’échec ? Et que la même CIA a engagé Tippin, dont l’inutilité est stupéfiante. Maintenant avec un masochisme appuyé (ou un manque de bon sens élémentaire) son oreille droite hors de sa chevelure, Garner a choisi d’être la plus moche possible et elle a bien réussi. L’épisode nous propose des scènes geignardes et bavardes entre Emily et Sydney. Le problème, c’est que Jennifer Garner ne sait pas faire la différence entre la sensibilité (qu’elle croit atteindre) et la sensiblerie (que son jeu reflète).J J Abrams a imaginé la CIA comme un endroit où n’importe qui entre comme dans un moulin et vient proposer ses services. Cela devient pathétique. Mais le pire arrive pour Jennifer Garner lorsque Ron Rifkin qui lui sait jouer la comédie nous propose une scène d’émotion. Acteur fascinant, sûr de son métier, il nous offre un grand moment de la série tout en nuances. Visiblement, entre les deux « acteurs », il y a un fossé vertigineux et voir la différence de métier est cruel pour la Lara Croft du pauvre dont on devine qu’elle n’atteindra jamais ce niveau même en travaillant une vie entière. Sachant jouer avec les facettes d’un méchant plus complexe qu’il ne paraît, on se souviendra longtemps d’un des meilleurs personnages de s alaud intégral vu depuis des décennies grâce à ce comédien exceptionnel. Son jeu évoque Cassavetes, Landau, Gazzara. Mais la série va-t-elle pouvoir continuer longtemps à rouler sur trois cylindres avec seulement deux bons comédiens à son crédit ?
Les infos supplémentaires
Emily révèle être mariée depuis trente ans avec Arvin.
Arvin Sloane recherche le secret de Rambaldi depuis trente ans.
Résumé
Emily Sloane, furieuse que son mari se soit sauvé avec Irina en fuite, fait un marché avec La CIA. Sydney est ravagée par le chagrin et la haine après l’évasion de sa mère.
La critique
De plus en plus calamiteuse, Jennifer Garner s’est en fait trompée de plateau. Elle se croit sur celui de « La petite maison dans la prairie ». Il faut dire que les scénaristes enfoncent encore le clou en lui faisant déclamer « cette femme n’a jamais été ma mère ». Au fond, elle est la partenaire idéale pour l’insignifiant Michael Vartan. Ils se complètent dans l’interprétation approximative.
De son côté, Ron Rifkin multiplie les facettes de son personnage. Il est à l’aise dans le mari aimant et chouchoutant sa femme au cancer en rémission, en associé d’Irina et pseudo protecteur de Sydney. Mais si les deux tourteraux Vartan/Garner donnent une idée du néant quand ils prennent l’air intelligent, Rifkin se montre nettement meilleur comédien que Lena Olin, et O’Quinn que le fade Victor Garber. Les plans de Jennifer Garner et Michael Vartan « au ralenti » ne sont pas charitables, accentuant la vacuité des comédiens. En revanche, Amy Irving actrice de talent donne une réplique à la hauteur de son partenaire. Il est fait fi ici de toute crédibilité. Malgré la façon dont il a perdu la face, Jack Bristow est maintenu à son poste et même promu. Peut-on croire un instant que Kendall approuve cette récompense à l’échec ? Et que la même CIA a engagé Tippin, dont l’inutilité est stupéfiante. Maintenant avec un masochisme appuyé (ou un manque de bon sens élémentaire) son oreille droite hors de sa chevelure, Garner a choisi d’être la plus moche possible et elle a bien réussi. L’épisode nous propose des scènes geignardes et bavardes entre Emily et Sydney. Le problème, c’est que Jennifer Garner ne sait pas faire la différence entre la sensibilité (qu’elle croit atteindre) et la sensiblerie (que son jeu reflète).J J Abrams a imaginé la CIA comme un endroit où n’importe qui entre comme dans un moulin et vient proposer ses services. Cela devient pathétique. Mais le pire arrive pour Jennifer Garner lorsque Ron Rifkin qui lui sait jouer la comédie nous propose une scène d’émotion. Acteur fascinant, sûr de son métier, il nous offre un grand moment de la série tout en nuances. Visiblement, entre les deux « acteurs », il y a un fossé vertigineux et voir la différence de métier est cruel pour la Lara Croft du pauvre dont on devine qu’elle n’atteindra jamais ce niveau même en travaillant une vie entière. Sachant jouer avec les facettes d’un méchant plus complexe qu’il ne paraît, on se souviendra longtemps d’un des meilleurs personnages de s alaud intégral vu depuis des décennies grâce à ce comédien exceptionnel. Son jeu évoque Cassavetes, Landau, Gazzara. Mais la série va-t-elle pouvoir continuer longtemps à rouler sur trois cylindres avec seulement deux bons comédiens à son crédit ?
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Emily révèle être mariée depuis trente ans avec Arvin.
Arvin Sloane recherche le secret de Rambaldi depuis trente ans.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Je suis d'accord avec vous. Je ne poste plus sur le topic car je n'ai pas vu les épisodes chroniqués en ce moment. Je me suis arrêté à 2.18 et ...j'ai vu le dernier ! Il n'y a aucun changement dans le jeu de Jennifer Garner, qui est plat comme la poitrine de Jane Birkin. On s'en rend particulièrement compte lorsque l'épisode n'a pas beaucoup de scènes d'action et qu'elle est obligée de 'jouer'.Cetp65 a écrit:séribibi a écrit:Idem que Dear.
Disons que personnellement je ne vois aucun changement dans le jeu d'actrice de Jennifer Garner entre la 1ère et la 2ème saison, ni même concernant son personnage, égal à lui-même.
Tout à fait d'accord.
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Re: Série "Alias"
02-19 – Roulette russe (Endgame)
Résumé
En voulant abattre Arvin Sloane, Dixon a tué Emily. Sloane devient obsédé par la vengeance et se désintéresse de Carlo Rambaldi. L'épouse de Caplan, l'homme kidnappé par Sloane, est une espionne russe sur laquelle Jack Bristow passe ses nerfs faute d'avoir retrouvé Irina.
La critique
Les scénaristes avaient oublié en cours de route le scientifique Caplan, enlevé par Sloane. Le revoici, toujours prisonnier, tombant comme un cheveu dans la soupe. Du côté de Vaughn et Sydney, une vie de couple banale s’instaure. L’ennui s’installe. Le jeu de Jennifer Garner, catastrophique, n’arrange rien. Un nouveau personnage sans aucun charisme arrive : Elsa Caplan, joué par Tracy Middendorf, aussi crédible en alter-ego d’Irina que Bernard Menez en Superman. L’actrice n’est ni belle ni talentueuse. Encore une fois, Ron Rifkin, jouant un veuf éploré, fait ce qu'il peut pour sauver l'entreprise en faillite mais la brièveté de ses séquences est dommageable à l’épisode. Certes, Il nous fait oublier les discussions du couple Dixon, les minauderies de Sydney portable à l’oreille en train de faire les courses dans un… supermarché, l’incompétence de Jack Bristow. C’est assez pitoyable. Le ridicule ne tue pas heureusement, lorsque, débarquant à Moscou, Sydney est déguisée en cow boy, ou gloussant avec de soit disant camarades de collège après s’être déguisée en blondasse. De deux choses l’une : soit les scénaristes n’ont pas obtenu l’augmentation qu’ils voulaient et ils se sont vengés, soit ils ont fumé quelque subtance douteuse avant de rédiger. On se rappelera cette scène pathétique de Vaughn en caleçon tue l’amour.
Devant ce désastre, le téléspectateur se dit que la série va être annulée. Il n’y a plus aucun suspense, les fils rouges s’emmêlent, certes Rifkin est brillant mais cela ne suffit plus. Même les scènes de combat deviennent bâclées. Les personnages n’ont plus rien à se dire, alors ils se perdent dans des bavardages inutiles autour d’une table de restaurant. L’absence de Terry O’Quinn/Kendall remplacé par un Victor Garber inexpressif est cruelle.
Mesdames et Messieurs, c’était le plus mauvais épisode de la série. Il ne sera difficile de faire pire. Mais qui sait ?
Pour faire sortir le téléspectateur de sa torpeur, on tue l'un des personnages familiers de la série. Mince, ce n'est pas Sydney. Flûte alors.
Les infos supplémentaires
Deux mois sont passés depuis l’enlèvement de Caplan.
Résumé
En voulant abattre Arvin Sloane, Dixon a tué Emily. Sloane devient obsédé par la vengeance et se désintéresse de Carlo Rambaldi. L'épouse de Caplan, l'homme kidnappé par Sloane, est une espionne russe sur laquelle Jack Bristow passe ses nerfs faute d'avoir retrouvé Irina.
La critique
Les scénaristes avaient oublié en cours de route le scientifique Caplan, enlevé par Sloane. Le revoici, toujours prisonnier, tombant comme un cheveu dans la soupe. Du côté de Vaughn et Sydney, une vie de couple banale s’instaure. L’ennui s’installe. Le jeu de Jennifer Garner, catastrophique, n’arrange rien. Un nouveau personnage sans aucun charisme arrive : Elsa Caplan, joué par Tracy Middendorf, aussi crédible en alter-ego d’Irina que Bernard Menez en Superman. L’actrice n’est ni belle ni talentueuse. Encore une fois, Ron Rifkin, jouant un veuf éploré, fait ce qu'il peut pour sauver l'entreprise en faillite mais la brièveté de ses séquences est dommageable à l’épisode. Certes, Il nous fait oublier les discussions du couple Dixon, les minauderies de Sydney portable à l’oreille en train de faire les courses dans un… supermarché, l’incompétence de Jack Bristow. C’est assez pitoyable. Le ridicule ne tue pas heureusement, lorsque, débarquant à Moscou, Sydney est déguisée en cow boy, ou gloussant avec de soit disant camarades de collège après s’être déguisée en blondasse. De deux choses l’une : soit les scénaristes n’ont pas obtenu l’augmentation qu’ils voulaient et ils se sont vengés, soit ils ont fumé quelque subtance douteuse avant de rédiger. On se rappelera cette scène pathétique de Vaughn en caleçon tue l’amour.
Devant ce désastre, le téléspectateur se dit que la série va être annulée. Il n’y a plus aucun suspense, les fils rouges s’emmêlent, certes Rifkin est brillant mais cela ne suffit plus. Même les scènes de combat deviennent bâclées. Les personnages n’ont plus rien à se dire, alors ils se perdent dans des bavardages inutiles autour d’une table de restaurant. L’absence de Terry O’Quinn/Kendall remplacé par un Victor Garber inexpressif est cruelle.
Mesdames et Messieurs, c’était le plus mauvais épisode de la série. Il ne sera difficile de faire pire. Mais qui sait ?
Pour faire sortir le téléspectateur de sa torpeur, on tue l'un des personnages familiers de la série. Mince, ce n'est pas Sydney. Flûte alors.
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Deux mois sont passés depuis l’enlèvement de Caplan.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Trio infernal (ép 18) est pour moi un des meilleurs épisodes de la série.
Maintenant tu veux carrément qu'elle meure Patricks !
Maintenant tu veux carrément qu'elle meure Patricks !
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
denis a écrit:Je suis d'accord avec vous. Je ne poste plus sur le topic car je n'ai pas vu les épisodes chroniqués en ce moment. Je me suis arrêté à 2.18 et
Rassures toi, tu ne rates rien
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Franchement, pour les séries feuilletons (comme Alias, mais aussi Desperate Housewives, American Horror Story, Game Of Thrones, Sons of Anarchy, True Blood,etc...) il m'est impossible de noter différemment les épisodes, qui selon moi se valent tous. Les saisons ou les arcs narratifs à la limite (pour Alias, les 3 premières saisons se valent, petite baisse pour les 2 dernières).
Et ce changement soudain d'opinion envers Jennifer Garner me laisse pexplexe : un jour, elle est le principal atout d'Alias, le lendemain son pire défaut. Je trouve ça très étrange tout de même, surtout que, comme ça a été dit, je ne vois pas en quoi son jeu est différent d'un épisode à un autre.
Et ce changement soudain d'opinion envers Jennifer Garner me laisse pexplexe : un jour, elle est le principal atout d'Alias, le lendemain son pire défaut. Je trouve ça très étrange tout de même, surtout que, comme ça a été dit, je ne vois pas en quoi son jeu est différent d'un épisode à un autre.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Alias"
La 4ème saison d' Alias est trés bien. Selon moi, la saison un peu de trop c'est la 5, qui accumule les poncifs, le "n'importe quoi" et situations rocambolesques, et présente une nette baisse de qualité au niveau des réalisations.
Selon Patricks la série n'est devenue valable que pour Ron Rifkin.
Pourtant "Alias" malgré ses défauts avait redonné un bon coup de fouet aux séries d'espionnage.
Selon Patricks la série n'est devenue valable que pour Ron Rifkin.
Pourtant "Alias" malgré ses défauts avait redonné un bon coup de fouet aux séries d'espionnage.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Il s'agit d'ailleurs de la meilleure série du genre (américaine, car rien ne peut surpasser MI-5).
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Alias"
La meilleure du genre, c'est 24h chrono.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
L'espionnage, le vrai, ce n'est ni Alias ou 24hChrono, encore moins James Bond d'ailleurs, mais plutôt l'univers de John Le Carré ou Len Deighton qu'on retrouve dans La taupe ou Mes funérailles à Berlin.
Les autres, ce sont de l'aventure plus que de l'espionnage.
Les autres, ce sont de l'aventure plus que de l'espionnage.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Aussi Espion, lève-toi, de Boisset, avec Ventura et Piccoli
Estuaire44- Empereur
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Date d'inscription : 10/04/2007
Re: Série "Alias"
Excellent ce film tourné en Suisse. Et la fin ; dans le même registre, toujours avec Ventura : Le silencieux.Estuaire44 a écrit:Aussi Espion, lève-toi, de Boisset, avec Ventura et Piccoli
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
02.20 – 48 heures (Countdown)
Résumé
Sloane a découvert que Dixon avait tué sa femme grâce à une vidéo que le sosie de Fran a capté depuis la CIA en piégeant Tippin. A la sortie d’un restaurant, la voiture de Dixon explose, mais c’est l’épouse de ce dernier, Diane, qui est tuée. Sloane, dépité, décide de prendre congé de Sark et Irina et se retirer.
La critique
Immense erreur de montage, peu compréhensible dans une production américaine. A la fin de l’épisode précédent, Diane Dixon dit « je vais voir les enfants » et dépasse la voiture de son mari pour aller dans une autre. Dixon ouvre la portière de sa voiture, piégée, mais rappelé par Vaughn et Sydney, en claquant la portière, la voiture explose, tuant sa femme. Or, dans le présent épisode, la scène nous est montrée de façon différente. Dixon est devant sa voiture mais n’a pas ouvert la portière. On voit alors le sosie de Fran actionner un explosif télécommandé et la voiture de Dixon saute tuant Diane. En fait les deux séquences constituent un contresens. Sloane voulait tuer Dixon et non sa femme, mais dans la version 2, la fausse Fran tue volontairement Diane. Soit réalisateurs et scénaristes s’en fichent, soit ils ont besoin de vacances.
Arvin Sloane est vraiment détruit par la mort d’Emily. L’épisode est construit autour du personnage de Dixon qui hélas n’est qu’un second couteau pas intéressant. Carl Lumbly ne remplace pas un bon comédien, et subir les séances de psy de Dixon ralentit le rythme. Il ne nous prive pas de Jennifer Garner, mais la série tourne à vide. Insupportables dans l’intimité, les scènes de ménage Sydney/Vaughn au sein de la CIA deviennent carrément atroces. Et puis après une dispute à la CIA, ils font la paix chez eux. On se croirait dans « Plus belle la vie ». Au secours !
Si elle a pu faire illusion au début, Jennifer Garner ne sait pas jouer. Sortie de son costume de super héroïne agent secret, elle assène les banalités que les dialoguistes lui ont peu charitablement concoctés. Prenez Elodie Gossuin , et faites la jouer, elle ne ferait pas pire. Il fallait engager une Sarah Michelle Gellar pour jouer Sydney, mais elle prenait peut être trop cher ? Quant à Terry O’Quinn, son absence injustifiée est cruelle, et Victor Garber est loin de l’égaler.
Encore un guest célèbre après Faye Dunaway, Quentin Tarentino, c’est David Carradine qui s’y colle. Mais en 2003, le héros de « Kung Fu » était un has been. On le retrouve ici dans une sorte de monastère tibétain ou bouddhiste. Le comédien cachetonne dans le personnage de Conrad.
Nous devons les seules bonnes scènes à Ron Rifkin. David Carradine peine à lui donner la réplique tant il est caricatural. Un secret important et crucial est révélé à Sloane. Mais on retiendra de l’épisode des scènes ratées comme Flinkmann draguant une jeune collègue qui ne trouve que des gays lorsqu’elle est amoureuse. L’épisode se termine même sans cliffhanger, dans l’ennui. La saison 2 est à bout de souffle.
Les infos supplémentaires
C’est Conrad qui il y a trente ans a initié Sloane au secret de Rambaldi.
Résumé
Sloane a découvert que Dixon avait tué sa femme grâce à une vidéo que le sosie de Fran a capté depuis la CIA en piégeant Tippin. A la sortie d’un restaurant, la voiture de Dixon explose, mais c’est l’épouse de ce dernier, Diane, qui est tuée. Sloane, dépité, décide de prendre congé de Sark et Irina et se retirer.
La critique
Immense erreur de montage, peu compréhensible dans une production américaine. A la fin de l’épisode précédent, Diane Dixon dit « je vais voir les enfants » et dépasse la voiture de son mari pour aller dans une autre. Dixon ouvre la portière de sa voiture, piégée, mais rappelé par Vaughn et Sydney, en claquant la portière, la voiture explose, tuant sa femme. Or, dans le présent épisode, la scène nous est montrée de façon différente. Dixon est devant sa voiture mais n’a pas ouvert la portière. On voit alors le sosie de Fran actionner un explosif télécommandé et la voiture de Dixon saute tuant Diane. En fait les deux séquences constituent un contresens. Sloane voulait tuer Dixon et non sa femme, mais dans la version 2, la fausse Fran tue volontairement Diane. Soit réalisateurs et scénaristes s’en fichent, soit ils ont besoin de vacances.
Arvin Sloane est vraiment détruit par la mort d’Emily. L’épisode est construit autour du personnage de Dixon qui hélas n’est qu’un second couteau pas intéressant. Carl Lumbly ne remplace pas un bon comédien, et subir les séances de psy de Dixon ralentit le rythme. Il ne nous prive pas de Jennifer Garner, mais la série tourne à vide. Insupportables dans l’intimité, les scènes de ménage Sydney/Vaughn au sein de la CIA deviennent carrément atroces. Et puis après une dispute à la CIA, ils font la paix chez eux. On se croirait dans « Plus belle la vie ». Au secours !
Si elle a pu faire illusion au début, Jennifer Garner ne sait pas jouer. Sortie de son costume de super héroïne agent secret, elle assène les banalités que les dialoguistes lui ont peu charitablement concoctés. Prenez Elodie Gossuin , et faites la jouer, elle ne ferait pas pire. Il fallait engager une Sarah Michelle Gellar pour jouer Sydney, mais elle prenait peut être trop cher ? Quant à Terry O’Quinn, son absence injustifiée est cruelle, et Victor Garber est loin de l’égaler.
Encore un guest célèbre après Faye Dunaway, Quentin Tarentino, c’est David Carradine qui s’y colle. Mais en 2003, le héros de « Kung Fu » était un has been. On le retrouve ici dans une sorte de monastère tibétain ou bouddhiste. Le comédien cachetonne dans le personnage de Conrad.
Nous devons les seules bonnes scènes à Ron Rifkin. David Carradine peine à lui donner la réplique tant il est caricatural. Un secret important et crucial est révélé à Sloane. Mais on retiendra de l’épisode des scènes ratées comme Flinkmann draguant une jeune collègue qui ne trouve que des gays lorsqu’elle est amoureuse. L’épisode se termine même sans cliffhanger, dans l’ennui. La saison 2 est à bout de souffle.
Les infos supplémentaires
C’est Conrad qui il y a trente ans a initié Sloane au secret de Rambaldi.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Pas tout compris.Patricks a écrit:
Immense erreur de montage, peu compréhensible dans une production américaine. A la fin de l’épisode précédent, Diane Dixon dit « je vais voir les enfants » et dépasse la voiture de son mari pour aller dans une autre. Dixon ouvre la portière de sa voiture, piégée, mais rappelé par Vaughn et Sydney, en claquant la portière, la voiture explose, tuant sa femme.
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Re: Série "Alias"
Des nouvelles de Jennifer Garner
http://braindamaged.fr/2013/04/25/jennifer-garner-face-a-steve-carell/
http://braindamaged.fr/2013/04/25/jennifer-garner-face-a-steve-carell/
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Re: Série "Alias"
02-21- Faux amis (Second double)
Résumé
Tippin est arrêté comme étant un traître et un double. Le vrai double étant celui de Fran. Kendall fait transférer Tippin dans un pénitencier. Sydney est à nouveau confrontée à sa mère.
La critique
Come back de Terry O’Quinn dans le rôle de Kendall. Il avait besoin de vacances ? Son retour est présenté sans explications. Dixon a à nouveau un rôle prépondérant dans l’intrigue, alors que le personnage manque d’épaisseur. Perdant les repères avec l’espionnage et renouant avec le fantastique (duplicatas, secret de Rambaldi), « Alias » retrouve un semblant de forme. On passera sous silence les allusions érotiques montrant Jennifer Garner en maîtresse sado maso aussi convaincante dans cette tâche que Mimie Mathy en ange gardien. Les histoires de sosies s’insèrent bien dans la série comme jadis les duplicatas dans « Chapeau melon et bottes de cuir » où le thème du double fut maintes fois abordé. « Alias » évolue dans un univers assez fantasmagorique pour que la présence du sosie de Fran soit vraisemblable. Arvin Sloane fait une apparition assez surprenante pour se confronter à Jack, accélérant l’aspect fantastique du feuilleton. Les missions de Sydney semblent gagnées d’avance comme si les ennemis de la CIA avaient le QI d’une Miss France ancienne manière. On voit ainsi Sydney réussir à s’introduire dans les endroits les plus improbables avec pour leurre de simples pitreries de Vaughn. L’affrontement Sydney/Irina n’est jamais poussé dans ses retranchements et reste une péripétie du scénario. Ni Lena Olin, ni Jennifer Garner n’ont le talent nécessaire pour nous faire croire à leur lutte mère fille. Les seuls bons moments nous sont dus à Ron Rifkin, mais sa présence à l’écran trop rare affadit l’épisode. En regardant ce naufrage, on se demande comment la chaine ABC a pu étirer sur cinq saisons un feuilleton qui méritait l’annulation pure et simple dès la première.
"Alias" ressemble à un paquet mal ficelé que le préposé des postes laisserait partir en l'état. Le déséquilibre est flagrant entre deux bons comédiens, Ron Rifkin et Terry O'Quinn, et la médiocrité des autres. Surestimé et surexposé à l'écran, le monocorde Victor Garber remporte la palme de la nullité en père de Sydney. Carl Lumbley en Dixon fait ce qu'il peut, mais visiblement il ne peut pas beaucoup. Bradley Cooper rate toutes ses scènes et n'est jamais convaincant, il reproche ici à Sydney d'avoir croisé son chemin, mais le téléspectateur se serait aisément passé de cette gravure de mode. Quant au couple Jennifer Garner/Michael Vartan, on n'a plus envie de tirer sur l'ambulance par simple charité.
Les infos supplémentaires
Beaucoup de références sont faites ici à l’épisode 02.14 « Trompe l’œil ».
Kendall mentionne avoir été mis sur la touche il y a un mois par Jack Bristow.
Les américains écrivent Marseille avec un « s » à la fin !
Résumé
Tippin est arrêté comme étant un traître et un double. Le vrai double étant celui de Fran. Kendall fait transférer Tippin dans un pénitencier. Sydney est à nouveau confrontée à sa mère.
La critique
Come back de Terry O’Quinn dans le rôle de Kendall. Il avait besoin de vacances ? Son retour est présenté sans explications. Dixon a à nouveau un rôle prépondérant dans l’intrigue, alors que le personnage manque d’épaisseur. Perdant les repères avec l’espionnage et renouant avec le fantastique (duplicatas, secret de Rambaldi), « Alias » retrouve un semblant de forme. On passera sous silence les allusions érotiques montrant Jennifer Garner en maîtresse sado maso aussi convaincante dans cette tâche que Mimie Mathy en ange gardien. Les histoires de sosies s’insèrent bien dans la série comme jadis les duplicatas dans « Chapeau melon et bottes de cuir » où le thème du double fut maintes fois abordé. « Alias » évolue dans un univers assez fantasmagorique pour que la présence du sosie de Fran soit vraisemblable. Arvin Sloane fait une apparition assez surprenante pour se confronter à Jack, accélérant l’aspect fantastique du feuilleton. Les missions de Sydney semblent gagnées d’avance comme si les ennemis de la CIA avaient le QI d’une Miss France ancienne manière. On voit ainsi Sydney réussir à s’introduire dans les endroits les plus improbables avec pour leurre de simples pitreries de Vaughn. L’affrontement Sydney/Irina n’est jamais poussé dans ses retranchements et reste une péripétie du scénario. Ni Lena Olin, ni Jennifer Garner n’ont le talent nécessaire pour nous faire croire à leur lutte mère fille. Les seuls bons moments nous sont dus à Ron Rifkin, mais sa présence à l’écran trop rare affadit l’épisode. En regardant ce naufrage, on se demande comment la chaine ABC a pu étirer sur cinq saisons un feuilleton qui méritait l’annulation pure et simple dès la première.
"Alias" ressemble à un paquet mal ficelé que le préposé des postes laisserait partir en l'état. Le déséquilibre est flagrant entre deux bons comédiens, Ron Rifkin et Terry O'Quinn, et la médiocrité des autres. Surestimé et surexposé à l'écran, le monocorde Victor Garber remporte la palme de la nullité en père de Sydney. Carl Lumbley en Dixon fait ce qu'il peut, mais visiblement il ne peut pas beaucoup. Bradley Cooper rate toutes ses scènes et n'est jamais convaincant, il reproche ici à Sydney d'avoir croisé son chemin, mais le téléspectateur se serait aisément passé de cette gravure de mode. Quant au couple Jennifer Garner/Michael Vartan, on n'a plus envie de tirer sur l'ambulance par simple charité.
Les infos supplémentaires
Beaucoup de références sont faites ici à l’épisode 02.14 « Trompe l’œil ».
Kendall mentionne avoir été mis sur la touche il y a un mois par Jack Bristow.
Les américains écrivent Marseille avec un « s » à la fin !
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Les deux écritures Merseille et Marseilles sont également valides en Anglais. D'ailleurs chez Le Saint aussi on l'a écrit avec un "S"
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Re: Série "Alias"
02-22 – Risque maximum (The telling)
Résumé
Sark est fait prisonnier par la CIA. Tippin est innocenté par le fichier ADN. Arvin Sloane est persuadé d’être l’élu de la prophétie Rambaldi. Tippin découvre que Fran est un double, et Sydney que sa mère a encore bien des révélations à lui faire.
La critique
Voilà donc la fin de la saison 2, qui s’est révélée médiocre. Comme Lena Olin joue mal. Ses larmes de crocodiles ne convainquent ni sa fille ni le téléspectateur. Notons tout de même une avancée dans le monde de la science-fiction avec le personnage du duplicata de Fran sur lequel nous en apprenons plus. Comme pour « The Avengers » dans les années 60, la série a dérivé de l’espionnage au fantastique. Irina/Lena Olin avec ses airs éthérés nous exaspère particulièrement. Une véritable tête à claques. Heureusement, Arvin Sloane et son excellent interprète sont de la partie et rehaussent le niveau. « Risque maximum » a des allures de remise de prix de fin d’année. Chaque comédien a droit à son bon mot, Le suspense est enfin distillé par le réalisateur lorsque Tippin découvre que Fran est Allison. La séquence nous procure une frousse salutaire. Pendant quelques minutes, Jennifer Garner joue bien (tout arrive !) et l’on se croit dans « L’invasion des profanateurs de sépulture ». Merrin Dungey n’a jamais joué aussi bien. On peut dire juste qu’il était temps qu’elle le fasse. Regrettons que l’on évente le point d’interrogation sur la présumée mort d’un personnage important. Le ou la comédien (ne) concernée – je ne ferai pas de spoiler – a dû renégocier son contrat avant la fin de la saison, car il est usuel que l’on tue tout le monde (« Dynastie », « Profiler ») et que ne se relèvent que les comédiens qui ont signé pour la suite. L’épisode reste déséquilibré entre un final splendide assez bondien (On a ici quelque peu copié les romans de Ian Fleming « On ne vit que deux fois » et « L’homme au pistolet d’or » en saupoudrant le tout de fantastique) et ce qui restera une succession de scènes de bravoures pas toujours du meilleur effet. On se moque comme de sa première chemise des amours de Flinkman, et de Flinkman tout court d’ailleurs. L’épisode est rapide comme un TGV pour éviter au téléspectateur de trop réfléchir. Que sera la suite ? « Alias » part sur de nouvelles structures narratives à chaque saison, mais le procédé a ses limites. C’est un peu l’effet « Pamela a rêvé de Bobby sous la douche » dans « Dallas ». Le feuilleton car c’en est un est inégal. Il est capable du meilleur comme du pire. De bons moments comme la scène de la découverte de l’usurpation de Fran ou plutôt d’Allison sont rares et à conserver bien à part. Il y a beaucoup de scories dans « Alias », malheureusement. Comme dit précédemment, la série aurait gagné à avoir moins d’épisodes par saison.
Les infos supplémentaires
Irina fait une révélation cruciale concernant le secret de Rambaldi.
Résumé
Sark est fait prisonnier par la CIA. Tippin est innocenté par le fichier ADN. Arvin Sloane est persuadé d’être l’élu de la prophétie Rambaldi. Tippin découvre que Fran est un double, et Sydney que sa mère a encore bien des révélations à lui faire.
La critique
Voilà donc la fin de la saison 2, qui s’est révélée médiocre. Comme Lena Olin joue mal. Ses larmes de crocodiles ne convainquent ni sa fille ni le téléspectateur. Notons tout de même une avancée dans le monde de la science-fiction avec le personnage du duplicata de Fran sur lequel nous en apprenons plus. Comme pour « The Avengers » dans les années 60, la série a dérivé de l’espionnage au fantastique. Irina/Lena Olin avec ses airs éthérés nous exaspère particulièrement. Une véritable tête à claques. Heureusement, Arvin Sloane et son excellent interprète sont de la partie et rehaussent le niveau. « Risque maximum » a des allures de remise de prix de fin d’année. Chaque comédien a droit à son bon mot, Le suspense est enfin distillé par le réalisateur lorsque Tippin découvre que Fran est Allison. La séquence nous procure une frousse salutaire. Pendant quelques minutes, Jennifer Garner joue bien (tout arrive !) et l’on se croit dans « L’invasion des profanateurs de sépulture ». Merrin Dungey n’a jamais joué aussi bien. On peut dire juste qu’il était temps qu’elle le fasse. Regrettons que l’on évente le point d’interrogation sur la présumée mort d’un personnage important. Le ou la comédien (ne) concernée – je ne ferai pas de spoiler – a dû renégocier son contrat avant la fin de la saison, car il est usuel que l’on tue tout le monde (« Dynastie », « Profiler ») et que ne se relèvent que les comédiens qui ont signé pour la suite. L’épisode reste déséquilibré entre un final splendide assez bondien (On a ici quelque peu copié les romans de Ian Fleming « On ne vit que deux fois » et « L’homme au pistolet d’or » en saupoudrant le tout de fantastique) et ce qui restera une succession de scènes de bravoures pas toujours du meilleur effet. On se moque comme de sa première chemise des amours de Flinkman, et de Flinkman tout court d’ailleurs. L’épisode est rapide comme un TGV pour éviter au téléspectateur de trop réfléchir. Que sera la suite ? « Alias » part sur de nouvelles structures narratives à chaque saison, mais le procédé a ses limites. C’est un peu l’effet « Pamela a rêvé de Bobby sous la douche » dans « Dallas ». Le feuilleton car c’en est un est inégal. Il est capable du meilleur comme du pire. De bons moments comme la scène de la découverte de l’usurpation de Fran ou plutôt d’Allison sont rares et à conserver bien à part. Il y a beaucoup de scories dans « Alias », malheureusement. Comme dit précédemment, la série aurait gagné à avoir moins d’épisodes par saison.
Les infos supplémentaires
Irina fait une révélation cruciale concernant le secret de Rambaldi.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Le combat final de l'épisode est juste impressionnant.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Alias"
Sans transition, comme dirait PPDA, on attaque la saison 3
03-01- Post mortem (The two)
Résumé
Sydney est retrouvée amnésique à Hong Kong deux ans après avoir tué le sosie de Fran. Kendall a été remplacé par … Dixon. Vaughn a quitté la CIA pour devenir enseignant et s’est marié. Tippin a miraculeusement survécu à la tentative de meurtre de Allison/Fran. Jack Bristow est en prison depuis un an, au secret, pour avoir travaillé à nouveau avec son ex femme Irina. Kingsley, un agent de la CIA, a été assassiné en France par un groupe appelé « Le covenant ».
La critique
Le thème du héros que l’on retrouve amnésique en Orient a déjà été exploité dans l’excellent double épisode de « Hawaii Police d’état » : « Les neufs dragons » qui inaugurait la saison 9, s’étant déjà inspiré des romans de Ian Fleming où 007 est considéré mort au Japon et où M rédige sa nécrologie, alors que l’agent amnésique ne réapparaîtra qu’un an plus tard au début de « L’homme au pistolet d’or », tentant de tuer M après un lavage de cerveau par le KGB. Jennifer Garner joue toujours aussi mal et plus personne n’attend d’évolution de côté-là, son cas étant désespéré. Victor Garber en prison et à l’isolement ressemble beaucoup à Carlos le terroriste et gagne un peu d’épaisseur au propre comme au figuré. Cela ne dure pas et il retrouve son physique fâlot lors de sa libération. Il n’est plus question pour Sydney de venger son fiancé Danny Hecht. Quant à la fameuse révélation d’Irina à sa fille, selon laquelle elle est celle qui a été choisie par Rambaldi pour accomplir la prophétie, il n’y est plus fait allusion alors que c’était la grande nouvelle de la fin de saison 2, d’ailleurs Lena Olin est absente de l’épisode.
Parlons donc des bonnes nouvelles, et autant que faire se peut des bons comédiens : un nouveau s alaud fait son apparition dans la série, Lindsey, et le comédien Kurt Fuller, aux faux airs d’Anthony Hopkins, y est sublime. Ron Rifkin parvient à nous faire croire à sa rédemption, au fait que depuis Zurich, il se dédie à une fondation luttant contre le cancer. Cet exercice de style périlleux entre bien et mal dans lequel Lena Olin n’a jamais été convaincante avec ses grimaces et sourires à deux sous, Rifkin le franchit avec son jeu subtil habituel. Michael Vartan joue comme un cochon, et il fait vraiment pitié à voir dans une scène où il vient demander des nouvelles de Sydney. Il n’est pas aidé par sa partenaire qui est aussi nulle que lui. On a gardé Dixon, personnage autant inutile que Peter Lupus dans « Mission Impossible », sans doute pour conserver un quota de blacks dans la série. La série est de plus en violente (scène du meurtre dans le TGV) mais lorsque Sydney tue un agent russe, on a l’impression d’être dans un mauvais clip vidéo ou dans une pub pour un parfum. Jennifer Garner joue comme les héroïnes d’il y a quarante ou cinquante ans, alors que le monde a changé et que le jeu des comédiens a évolué. Absents de l’épisode, Sark, Tippin, Irina laissent la place à des seconds couteaux montés en épingle et aussi médiocres que Flinkman. C’est particulièrement le cas du descendant de Houdini, le fatman Eric Weiss, joué par Greg Grunberg, version Obélix de Flinkman. Dès la saison 2, ce personnage était surestimé et sa présence à l’écran injustifiée. Il monopolise de nombreuses scènes, on se demande bien pourquoi. On espère que le niveau sera réhaussé par l’arrivée de Lauren Reed/Melissa George, l’épouse de Vaughn, encore en coulisses. Enfin, le ridicule ne tue pas. Le puceau Flinkman a enfin trouvé chaussure à son pied et sa copine (voisine de bureau) est enceinte de ses œuvres. Son humour est toujours au raz des pâquerettes.
On ne sait plus trop dans quelle direction « Alias » va aller. Kurt Fuller hélas ne semble pas là pour longtemps (six épisodes seulement). On l’aurait bien échangé contre Jennifer Garner.
Les infos supplémentaires
Robert Lindsey (Kurt Fuller) a remplacé Jack Bristow.
03-01- Post mortem (The two)
Résumé
Sydney est retrouvée amnésique à Hong Kong deux ans après avoir tué le sosie de Fran. Kendall a été remplacé par … Dixon. Vaughn a quitté la CIA pour devenir enseignant et s’est marié. Tippin a miraculeusement survécu à la tentative de meurtre de Allison/Fran. Jack Bristow est en prison depuis un an, au secret, pour avoir travaillé à nouveau avec son ex femme Irina. Kingsley, un agent de la CIA, a été assassiné en France par un groupe appelé « Le covenant ».
La critique
Le thème du héros que l’on retrouve amnésique en Orient a déjà été exploité dans l’excellent double épisode de « Hawaii Police d’état » : « Les neufs dragons » qui inaugurait la saison 9, s’étant déjà inspiré des romans de Ian Fleming où 007 est considéré mort au Japon et où M rédige sa nécrologie, alors que l’agent amnésique ne réapparaîtra qu’un an plus tard au début de « L’homme au pistolet d’or », tentant de tuer M après un lavage de cerveau par le KGB. Jennifer Garner joue toujours aussi mal et plus personne n’attend d’évolution de côté-là, son cas étant désespéré. Victor Garber en prison et à l’isolement ressemble beaucoup à Carlos le terroriste et gagne un peu d’épaisseur au propre comme au figuré. Cela ne dure pas et il retrouve son physique fâlot lors de sa libération. Il n’est plus question pour Sydney de venger son fiancé Danny Hecht. Quant à la fameuse révélation d’Irina à sa fille, selon laquelle elle est celle qui a été choisie par Rambaldi pour accomplir la prophétie, il n’y est plus fait allusion alors que c’était la grande nouvelle de la fin de saison 2, d’ailleurs Lena Olin est absente de l’épisode.
Parlons donc des bonnes nouvelles, et autant que faire se peut des bons comédiens : un nouveau s alaud fait son apparition dans la série, Lindsey, et le comédien Kurt Fuller, aux faux airs d’Anthony Hopkins, y est sublime. Ron Rifkin parvient à nous faire croire à sa rédemption, au fait que depuis Zurich, il se dédie à une fondation luttant contre le cancer. Cet exercice de style périlleux entre bien et mal dans lequel Lena Olin n’a jamais été convaincante avec ses grimaces et sourires à deux sous, Rifkin le franchit avec son jeu subtil habituel. Michael Vartan joue comme un cochon, et il fait vraiment pitié à voir dans une scène où il vient demander des nouvelles de Sydney. Il n’est pas aidé par sa partenaire qui est aussi nulle que lui. On a gardé Dixon, personnage autant inutile que Peter Lupus dans « Mission Impossible », sans doute pour conserver un quota de blacks dans la série. La série est de plus en violente (scène du meurtre dans le TGV) mais lorsque Sydney tue un agent russe, on a l’impression d’être dans un mauvais clip vidéo ou dans une pub pour un parfum. Jennifer Garner joue comme les héroïnes d’il y a quarante ou cinquante ans, alors que le monde a changé et que le jeu des comédiens a évolué. Absents de l’épisode, Sark, Tippin, Irina laissent la place à des seconds couteaux montés en épingle et aussi médiocres que Flinkman. C’est particulièrement le cas du descendant de Houdini, le fatman Eric Weiss, joué par Greg Grunberg, version Obélix de Flinkman. Dès la saison 2, ce personnage était surestimé et sa présence à l’écran injustifiée. Il monopolise de nombreuses scènes, on se demande bien pourquoi. On espère que le niveau sera réhaussé par l’arrivée de Lauren Reed/Melissa George, l’épouse de Vaughn, encore en coulisses. Enfin, le ridicule ne tue pas. Le puceau Flinkman a enfin trouvé chaussure à son pied et sa copine (voisine de bureau) est enceinte de ses œuvres. Son humour est toujours au raz des pâquerettes.
On ne sait plus trop dans quelle direction « Alias » va aller. Kurt Fuller hélas ne semble pas là pour longtemps (six épisodes seulement). On l’aurait bien échangé contre Jennifer Garner.
Les infos supplémentaires
Robert Lindsey (Kurt Fuller) a remplacé Jack Bristow.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Terminé la saison 1 de Alias !
Clairement la meilleure saison de série qui m'ait été donné de voir. Dès le premier plan du pilote jusqu'à la cinglante révélation finale (ben oui, je suis bête, j'ai rien vu venir avec le "Monsieur"), c'est du grand grand spectacle. Les missions sont pleines d'adrénaline, l'héroïne est charismatique en diable dans les scènes physiques (moins dans l'émotion, mais je ne serais pas aussi sévère que Patricks : Jennifer Garner se défend bien quand même).
Les scénarios sont méga-speeds, et j'adoooooooooore ! Ca s'enchaîne avec une vitesse frénétique, sans qu'on soit perdu pour autant. Je n'ai personnellement aucun mal à suivre le labyrinthe d'intrigues, même s'il faut s'accrocher dans les derniers épisodes. Les réalisations et les montages sont toniques à souhait. Gadgets à la 007 utilisés savamment et avec une place juste, bastons énérgiques et appartenant au meilleur du genre à la TV (on se croirait au cinéma, parfois). Sydney mêle charme et choc avec brio. Les petites pauses que sont les incursions dans ce qu'il y'a de vie privée chez Sydney permettent de souffler et nous font voir à quel point la vie d'agent secret, a fortiori d'agent double, recèle de souffrances et de complications.
On peut critiquer la série pour son goût des coïncidences "hénaurmes", et un sacré manque de réalisme. Mais on voit dès le pilote que ce n'est pas la priorité de la série. Ce qui compte, c'est d'en mettre plein la vue, tout en respectant les lignes directrices des intrigues. Et sur ce point, tout se tient, l'édifice est solide. Construit certes sur des bases assez capillotractées mais une fois qu'on accepte cette fantaisie, ça roule, tout se tient.
Concours de cliffhangers durant la saison, c'est à qui imaginera la fin la plus rageante. Idem pour les rebondissements au kilomètre qui plongent la série dans une paranoïa omniprésente. Trustno1 comme diraient deux certains agents du FBI... Je m'attendais presque à les voir débouler avec cette histoire de prophétie.
Les Big Bad sont à croquer, du dentiste foldingue à Arvin Sloane, génial en "serpent à sonnette" (excellent terme, Patricks) qui oscille entre cruauté intégrale, sentiments paternels envers celle à qui il a fait tant de mal, et fragilités insoupçonnées. Ron Rifkin est le plus brillant de la distribution. Victor Garber, je l'adore en père glacial et presque déshumanisé. Carl Lumbly est impérial en Dixon, partenaire solide de l'héroïne avec qui l'amitié est sincère et forte. J'aurais voulu le voir plus souvent. Merrin Dungey a un rôle anodin, mais se révèle meilleure actrice que Jenny. Bardley Cooper est excellent en fouinard plein de bonnes intentions et qui s'en mord les doigts.
En revanche, Michael Vartan, là, c'est pas possible, c'est le boulet de la distribution. Dites-moi que Vaughn s'est bien noyé à la fin, hein ? Parce qu'il est gonflant, il est fade, il sait pas jouer (bon, le perso est pas génial non plus). Kevin Weisman, je m'y fais. Un ersatz de Q assez plaisant qui se révèle à l'occasion une sacrée épine dans le pied de l'héroïne. Regret pour Tobin Bell et Roger Moore que j'aurais souhaité voir plus souvent (sans parler du joyeux Quentin). Idem pour la Carla Espinosa, une sacrée adversaire !
J.J.Abrams et son équipe savent nous mener par le bout du nez, on ne s'ennuie pas. Mis à part le clip-show traditionnel, j'ai adoré tous les épisodes. Je fais une pause, et je m'attaque à la saison 2. Merci Mr.Abrams d'avoir imaginé une série aussi festive et sophistiquée, respect, chapeau bas monsieur !
Saison 1
1. Agent double (Truth be told) : ****
2. Opération « Tonnerre six » (So It Begins...) : ****
3. Meilleures ennemies (Parity) : ****
4. Cœur brisé (A Broken Heart) : ***
5. Copie conforme (Doppelganger) : ****
6. Véritable identité (Reckoning) : ***
7. Ciel jaune (Color-Blind) : ****
8. Sale temps (Time Will Tell) : ****
9. Mea Culpa (Mea Culpa) : ****
10. In extremis (Spirit) : ****
11. Zones d'ombres (The Confession) : ***
12. Jeux dangereux – 1re partie (The Box – Part 1) : ***
13. Jeux dangereux – 2e partie (The Box – Part 2) : ****
14. Poker menteur (The Coup) : ****
15. Page 47 (Page 47) : ****
16. La prophétie (The Prophecy) : ***
17. Questions-réponses (Q and A) : **
18. Point faible (Masquerade) : ****
19. Face cachée (Snowman) : ****
20. Mauvaise posture (The Solution) : ***
21. Rendez-vous (Rendezvous) : ****
22. Danger immédiat (Almost Thirty Years) : ****
Moyenne : 3.64/4
Clairement la meilleure saison de série qui m'ait été donné de voir. Dès le premier plan du pilote jusqu'à la cinglante révélation finale (ben oui, je suis bête, j'ai rien vu venir avec le "Monsieur"), c'est du grand grand spectacle. Les missions sont pleines d'adrénaline, l'héroïne est charismatique en diable dans les scènes physiques (moins dans l'émotion, mais je ne serais pas aussi sévère que Patricks : Jennifer Garner se défend bien quand même).
Les scénarios sont méga-speeds, et j'adoooooooooore ! Ca s'enchaîne avec une vitesse frénétique, sans qu'on soit perdu pour autant. Je n'ai personnellement aucun mal à suivre le labyrinthe d'intrigues, même s'il faut s'accrocher dans les derniers épisodes. Les réalisations et les montages sont toniques à souhait. Gadgets à la 007 utilisés savamment et avec une place juste, bastons énérgiques et appartenant au meilleur du genre à la TV (on se croirait au cinéma, parfois). Sydney mêle charme et choc avec brio. Les petites pauses que sont les incursions dans ce qu'il y'a de vie privée chez Sydney permettent de souffler et nous font voir à quel point la vie d'agent secret, a fortiori d'agent double, recèle de souffrances et de complications.
On peut critiquer la série pour son goût des coïncidences "hénaurmes", et un sacré manque de réalisme. Mais on voit dès le pilote que ce n'est pas la priorité de la série. Ce qui compte, c'est d'en mettre plein la vue, tout en respectant les lignes directrices des intrigues. Et sur ce point, tout se tient, l'édifice est solide. Construit certes sur des bases assez capillotractées mais une fois qu'on accepte cette fantaisie, ça roule, tout se tient.
Concours de cliffhangers durant la saison, c'est à qui imaginera la fin la plus rageante. Idem pour les rebondissements au kilomètre qui plongent la série dans une paranoïa omniprésente. Trustno1 comme diraient deux certains agents du FBI... Je m'attendais presque à les voir débouler avec cette histoire de prophétie.
Les Big Bad sont à croquer, du dentiste foldingue à Arvin Sloane, génial en "serpent à sonnette" (excellent terme, Patricks) qui oscille entre cruauté intégrale, sentiments paternels envers celle à qui il a fait tant de mal, et fragilités insoupçonnées. Ron Rifkin est le plus brillant de la distribution. Victor Garber, je l'adore en père glacial et presque déshumanisé. Carl Lumbly est impérial en Dixon, partenaire solide de l'héroïne avec qui l'amitié est sincère et forte. J'aurais voulu le voir plus souvent. Merrin Dungey a un rôle anodin, mais se révèle meilleure actrice que Jenny. Bardley Cooper est excellent en fouinard plein de bonnes intentions et qui s'en mord les doigts.
En revanche, Michael Vartan, là, c'est pas possible, c'est le boulet de la distribution. Dites-moi que Vaughn s'est bien noyé à la fin, hein ? Parce qu'il est gonflant, il est fade, il sait pas jouer (bon, le perso est pas génial non plus). Kevin Weisman, je m'y fais. Un ersatz de Q assez plaisant qui se révèle à l'occasion une sacrée épine dans le pied de l'héroïne. Regret pour Tobin Bell et Roger Moore que j'aurais souhaité voir plus souvent (sans parler du joyeux Quentin). Idem pour la Carla Espinosa, une sacrée adversaire !
J.J.Abrams et son équipe savent nous mener par le bout du nez, on ne s'ennuie pas. Mis à part le clip-show traditionnel, j'ai adoré tous les épisodes. Je fais une pause, et je m'attaque à la saison 2. Merci Mr.Abrams d'avoir imaginé une série aussi festive et sophistiquée, respect, chapeau bas monsieur !
Saison 1
1. Agent double (Truth be told) : ****
2. Opération « Tonnerre six » (So It Begins...) : ****
3. Meilleures ennemies (Parity) : ****
4. Cœur brisé (A Broken Heart) : ***
5. Copie conforme (Doppelganger) : ****
6. Véritable identité (Reckoning) : ***
7. Ciel jaune (Color-Blind) : ****
8. Sale temps (Time Will Tell) : ****
9. Mea Culpa (Mea Culpa) : ****
10. In extremis (Spirit) : ****
11. Zones d'ombres (The Confession) : ***
12. Jeux dangereux – 1re partie (The Box – Part 1) : ***
13. Jeux dangereux – 2e partie (The Box – Part 2) : ****
14. Poker menteur (The Coup) : ****
15. Page 47 (Page 47) : ****
16. La prophétie (The Prophecy) : ***
17. Questions-réponses (Q and A) : **
18. Point faible (Masquerade) : ****
19. Face cachée (Snowman) : ****
20. Mauvaise posture (The Solution) : ***
21. Rendez-vous (Rendezvous) : ****
22. Danger immédiat (Almost Thirty Years) : ****
Moyenne : 3.64/4
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Je pense que c'est plus le personnage que joue Vartan qui est un peu fade, car l'acteur joue plutôt bien.
Mais c'est vrai que son perso n'est pas charismatique.
Mais c'est vrai que son perso n'est pas charismatique.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Vaughn, ça m'a pas choqué plus que ça.
Anna (et non pas Carla, gare aux représailles ) est en effet une excellente adversaire.
Anna (et non pas Carla, gare aux représailles ) est en effet une excellente adversaire.
Cetp65- Prince(sse)
- Age : 32
Localisation : Toulouse
Date d'inscription : 01/08/2010
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