Série "Alias"
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Les SÉRIES TÉLÉ, FILMS, ACTEURS, ACTRICES & autres Artistes :: Les Séries Télé
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Re: Série "Alias"
03-10 – Jeux de piste (Remnants)
Résumé
Dans son rêve, Sydney se dédouble. Elle a perdu la mémoire à cause du Covenant. Elle a vu Tippin dans son rêve. Lindsey croit que Sydney est aux mains du Covenant. Supposé mort, Adrian Lazarey réapparaît. Sydney part en mission avec Tippin.
La critique
Retour de Tippin/Bradley Cooper. Ici sous sa couverture de témoin protégé. A chaque fois que l’on désespère de « Alias », ce bon vieux Ron Rifkin vient nous proposer une scène inoubliable. Ici, plus vrai que nature, son personnage de Sloane affirme « aimer » Sydney et vouloir la sauver. La séquence montrant ensemble les deux infâmes Sloane et Lindsey est un sommet de jeu de comédiens, une seconde après les gémissements larmoyants de Sydney face à Tippin nous font mesurer la différence entre les acteurs qui savent jouer et les autres.
Bradley Cooper dont le come back du personnage arrive comme un cheveu dans la soupe est totalement inutile à l’intrigue. Il y a bien longtemps d’ailleurs que c’est le cas. Mais ici, en agent sur le terrain, Tippin devient ridicule. Il n’est revenu que pour des séquences de minauderies avec Sydney. Beau gosse, il est sans doute là pour booster l’audience en captant l’audience féminine. Mais pas seulement : Sydney se sent si seule, la pauvre. Et Vaughn n’est plus libre. Tippin doit être sérieusement en manque pour assumer ici le rôle d’amant. Ensuite, il est conduit à remplacer le Dixon de jadis dans les missions de Sydney déguisée. Petite question en passant : où Tippin a-t-il appris à se battre comme un agent secret ?
Les scènes rassemblant Michael Vartan et Victor Garber tournent à vide. Heureusement, le personnage de Sloane a encore des surprises à nous réserver. Eternel démon qui se cache derrière un repenti, il permet à Ron Rifkin de jouer des scènes fabuleuses. Arvin Sloane pourrait vendre des réfrigérateurs aux esquimaux.
Il nous faut malheureusement supporter le trop juvénile Sark/David Anders absolument pas à la hauteur de ses comparses des forces de l’ombre. Sa quête du père ici nous laisse indifférent. Le retour de Merrin Dungey en Allison n’est pas non plus une idée pertinente. Le combat qu’elle livre avec Tippin souligne le côté invraisemblable du script.
Les infos supplémentaires
Cet épisode nous présente la mort de deux personnages importants, mais est-on jamais sûr dans « Alias » ?
Résumé
Dans son rêve, Sydney se dédouble. Elle a perdu la mémoire à cause du Covenant. Elle a vu Tippin dans son rêve. Lindsey croit que Sydney est aux mains du Covenant. Supposé mort, Adrian Lazarey réapparaît. Sydney part en mission avec Tippin.
La critique
Retour de Tippin/Bradley Cooper. Ici sous sa couverture de témoin protégé. A chaque fois que l’on désespère de « Alias », ce bon vieux Ron Rifkin vient nous proposer une scène inoubliable. Ici, plus vrai que nature, son personnage de Sloane affirme « aimer » Sydney et vouloir la sauver. La séquence montrant ensemble les deux infâmes Sloane et Lindsey est un sommet de jeu de comédiens, une seconde après les gémissements larmoyants de Sydney face à Tippin nous font mesurer la différence entre les acteurs qui savent jouer et les autres.
Bradley Cooper dont le come back du personnage arrive comme un cheveu dans la soupe est totalement inutile à l’intrigue. Il y a bien longtemps d’ailleurs que c’est le cas. Mais ici, en agent sur le terrain, Tippin devient ridicule. Il n’est revenu que pour des séquences de minauderies avec Sydney. Beau gosse, il est sans doute là pour booster l’audience en captant l’audience féminine. Mais pas seulement : Sydney se sent si seule, la pauvre. Et Vaughn n’est plus libre. Tippin doit être sérieusement en manque pour assumer ici le rôle d’amant. Ensuite, il est conduit à remplacer le Dixon de jadis dans les missions de Sydney déguisée. Petite question en passant : où Tippin a-t-il appris à se battre comme un agent secret ?
Les scènes rassemblant Michael Vartan et Victor Garber tournent à vide. Heureusement, le personnage de Sloane a encore des surprises à nous réserver. Eternel démon qui se cache derrière un repenti, il permet à Ron Rifkin de jouer des scènes fabuleuses. Arvin Sloane pourrait vendre des réfrigérateurs aux esquimaux.
Il nous faut malheureusement supporter le trop juvénile Sark/David Anders absolument pas à la hauteur de ses comparses des forces de l’ombre. Sa quête du père ici nous laisse indifférent. Le retour de Merrin Dungey en Allison n’est pas non plus une idée pertinente. Le combat qu’elle livre avec Tippin souligne le côté invraisemblable du script.
Les infos supplémentaires
Cet épisode nous présente la mort de deux personnages importants, mais est-on jamais sûr dans « Alias » ?
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
03.11 – Passé recomposé (Full of disclosure)
Résumé
Sydney est enlevée par … Kendall. Il fait partie de l’organisation gouvernementale TSR chargée d’examiner l’artefact de Rambaldi, un cube. Kendall prétend tout savoir sur la disparition pendant deux ans de Sydney.
La critique
Voilà qui ressemble à un épisode clip, même si les scènes sont inédites et illustrent le récit de Kendall. Ce genre d’exercice est périlleux. En général, nous subissons des éllipses. Des pans entiers du scénario sont balayés par quelques images. Le résultat final est décevant. J J Abrams ne maîtrise plus les rouages de sa mécanique et est condamné à la surenchère permanente. Verbeux, l’épisode se perd en « vérités » assenées par Kendall qui rappellent certaines explications fumeuses de X Files. Ponctué de chansons gnan gnan façon « Alerte à Malibu », « Passé recomposé » est vite ennuyeux à mourir. Le téléspectateur, noyé d’informations et de spoilers, est déconcerté. Les prophéties de Rambaldi nous sont offertes jusqu’à outrance, avec en voix of Kendall. C’est très vite indigeste.
Episode censé se dérouler entièrement dans un avion, égrené de souvenirs de Kendall, nous devons subir ici deux fois Jennifer Garner : celle actuelle et celle du hiatus enregistrée par Kendall sur un ordinateur. Cela devient une véritable torture. Tombant les méandres qu’ont connu « Le Caméléon » et « X Files », « Alias » devient « hélas ». Parce qu’à bout de révélations, nous tombons alors dans l’épisode clip, qui récapitule des scènes et évènements déjà vus. Cette-fois, c’est Sydney qui s’y colle. Grève des scénaristes ? Vacances de J J Abrams ? Nous sommes consternés. On prend le téléspectateur pour un imbécile en lui refilant un épisode fourre tout. A dix minutes de la fin, nous quittons l’avion pour rejoindre le QG de la CIA. Dixon, personnage inintéressant depuis le début, nous fait perdre notre temps avec une énième scène de révélation inutile. La collecte des artefacts de Rambaldi a des goûts de chasse au trésor pour enfants un jour de Pâques avec des œufs en chocolat. Il n’y a en fait que les dernières secondes de l’épisode qui valent la peine, avec une révélation inattendue et cruciale sur l’un des personnages clefs de la série. Tout le reste a plongé le spectateur dans un profond sommeil.
Mais, tant qu'on y est, Abrams ne va-t-il pas nous révéler que dès le pilote de la saison 1, Sydney Bristow n'était pas la vraie Sydney, que Sloane est mort et remplacé par un frère jumeau, que Vaughn a été conçu dans des éprouvettes de laboratoire, que tout cela est un complot extra-terrestre datant de Rambaldi ? A force de mélanger les donnes de cartes, on arrive à un grand n'importe quoi. Un véritable gâchis.
Les infos supplémentaires
Cet épisode nous éclaire sur la disparition de Sydney.
Episode sans Ron Rifkin.
Résumé
Sydney est enlevée par … Kendall. Il fait partie de l’organisation gouvernementale TSR chargée d’examiner l’artefact de Rambaldi, un cube. Kendall prétend tout savoir sur la disparition pendant deux ans de Sydney.
La critique
Voilà qui ressemble à un épisode clip, même si les scènes sont inédites et illustrent le récit de Kendall. Ce genre d’exercice est périlleux. En général, nous subissons des éllipses. Des pans entiers du scénario sont balayés par quelques images. Le résultat final est décevant. J J Abrams ne maîtrise plus les rouages de sa mécanique et est condamné à la surenchère permanente. Verbeux, l’épisode se perd en « vérités » assenées par Kendall qui rappellent certaines explications fumeuses de X Files. Ponctué de chansons gnan gnan façon « Alerte à Malibu », « Passé recomposé » est vite ennuyeux à mourir. Le téléspectateur, noyé d’informations et de spoilers, est déconcerté. Les prophéties de Rambaldi nous sont offertes jusqu’à outrance, avec en voix of Kendall. C’est très vite indigeste.
Episode censé se dérouler entièrement dans un avion, égrené de souvenirs de Kendall, nous devons subir ici deux fois Jennifer Garner : celle actuelle et celle du hiatus enregistrée par Kendall sur un ordinateur. Cela devient une véritable torture. Tombant les méandres qu’ont connu « Le Caméléon » et « X Files », « Alias » devient « hélas ». Parce qu’à bout de révélations, nous tombons alors dans l’épisode clip, qui récapitule des scènes et évènements déjà vus. Cette-fois, c’est Sydney qui s’y colle. Grève des scénaristes ? Vacances de J J Abrams ? Nous sommes consternés. On prend le téléspectateur pour un imbécile en lui refilant un épisode fourre tout. A dix minutes de la fin, nous quittons l’avion pour rejoindre le QG de la CIA. Dixon, personnage inintéressant depuis le début, nous fait perdre notre temps avec une énième scène de révélation inutile. La collecte des artefacts de Rambaldi a des goûts de chasse au trésor pour enfants un jour de Pâques avec des œufs en chocolat. Il n’y a en fait que les dernières secondes de l’épisode qui valent la peine, avec une révélation inattendue et cruciale sur l’un des personnages clefs de la série. Tout le reste a plongé le spectateur dans un profond sommeil.
Mais, tant qu'on y est, Abrams ne va-t-il pas nous révéler que dès le pilote de la saison 1, Sydney Bristow n'était pas la vraie Sydney, que Sloane est mort et remplacé par un frère jumeau, que Vaughn a été conçu dans des éprouvettes de laboratoire, que tout cela est un complot extra-terrestre datant de Rambaldi ? A force de mélanger les donnes de cartes, on arrive à un grand n'importe quoi. Un véritable gâchis.
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Cet épisode nous éclaire sur la disparition de Sydney.
Episode sans Ron Rifkin.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Un de mes épisodes préférés, et un des plus célèbres de la série.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Je pense que la capacité à digérer les twists, révélations, retournements, etc. de Patricks a depuis longtemps été dépassée.
Sinon, j'ai regardé Phase One : MY GOD, C'EST QUOI CE CLIFFHANGER !!!????
Sinon, j'ai regardé Phase One : MY GOD, C'EST QUOI CE CLIFFHANGER !!!????
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Un cliffhanger de malade !
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
De toutes façons il y a 2 twists dans "Phase one" : le grand twist, et celui du final.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Quand on pense que tout ce qu'on a vu depuis la fin de la saison 1 sur l'affaire Emily était de la poudre aux yeux, je peux te dire que j'en suis resté sur le popotin. Et ensuite, ce dernier plan... J.J.Abrams prend tous les risques, et pour le moment, je suis conquis !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
03-12 – Ennemi intérieur (Crossings)
Résumé
Sydney et Vaughn sont chargés de ramener un transfuge dissident du Covenant caché en Corée du Nord. Lauren Reed est un agent du Covenant et a tué Lazarey, père de Sark. Elle est maintenant chargée de faire échouer la mission du couple.
La critique
Après Jack Bristow, voilà Michael Vaughn qui lui aussi a épousé une espionne russe. Moyen prévisible d’éliminer Melissa George de la distribution et de réconcilier les tourtereaux Garner-Vartan. Ah, Jennifer Garner et ses pulls à col roulé en laine. C’est la conception d’Abrams de l’héroïne sexy. Petit pompage sur le pré-générique de « Octopussy », le missile à tête chercheuse qui n’arrive pas à toucher sa cible. Que serait « Alias » sans 007 ? Le problème, c’est que désormais, on devine tout d’avance dans « Alias ». Une incursion en Corée du Nord se révèle une partie de pique nique certes un peu hard pour nos deux héros.
Nul ne s’étonnera que Sloane connaisse Pierre et Irina (bien qu’absente) Paul, donc ne vous faites pas de soucis, Vaughn et Sydney ne risquent pas plus leur vie que s’ils étaient sur la planète Mars ! Cette Corée de pacotille a des allures d’Amérique profonde : on y trouve une vieille bagnole à rafistoler, on se chamaille parce que Tippin est l’amant de Sydney. Puisque l’on est plus à ça près, continuons dans l’invraisemblable : les paysans coréens ne sont pas surpris de voir deux jeunes américains au volant d’une jeep.
Leonid Lisenker, homme coincé en Corée pour le compte du Covenant, est le seul à dire quelque chose de censé : il s’ennuie dans ce pays dont la culture manque de pep’s et il ne peut écouter sa chanteuse préférée Gloria Estefan. Il est à peu près certain que ce pays est le plus ennuyeux de la planète question loisirs.
Isabella Rossellini est crédible en sœur d’irina. Sloane une fois de plus est au courant de tout, manipule tout et se confirme le plus grand méchant de l’’histoire des séries télé. Les grandes déclarations d’amour Vaughn/Sydney sont assommantes. Reste que la Corée d’opérette de l’épisode aurait méritée des décors plus étoffés comme ces longues allées sans fin que l’on voit aux actualités. Il faut passer sur les invraisemblances montrant les américains et une russe plus forts au karaté que les asiatiques, les avions en perdition qui ont le bon goût de ne pas s’écraser, les pelotons d’exécution qui ratent les condamnés et j’en passe.
Les infos supplémentaires
Isabella Rossellini incarne ici Katya Derevko.
Résumé
Sydney et Vaughn sont chargés de ramener un transfuge dissident du Covenant caché en Corée du Nord. Lauren Reed est un agent du Covenant et a tué Lazarey, père de Sark. Elle est maintenant chargée de faire échouer la mission du couple.
La critique
Après Jack Bristow, voilà Michael Vaughn qui lui aussi a épousé une espionne russe. Moyen prévisible d’éliminer Melissa George de la distribution et de réconcilier les tourtereaux Garner-Vartan. Ah, Jennifer Garner et ses pulls à col roulé en laine. C’est la conception d’Abrams de l’héroïne sexy. Petit pompage sur le pré-générique de « Octopussy », le missile à tête chercheuse qui n’arrive pas à toucher sa cible. Que serait « Alias » sans 007 ? Le problème, c’est que désormais, on devine tout d’avance dans « Alias ». Une incursion en Corée du Nord se révèle une partie de pique nique certes un peu hard pour nos deux héros.
Nul ne s’étonnera que Sloane connaisse Pierre et Irina (bien qu’absente) Paul, donc ne vous faites pas de soucis, Vaughn et Sydney ne risquent pas plus leur vie que s’ils étaient sur la planète Mars ! Cette Corée de pacotille a des allures d’Amérique profonde : on y trouve une vieille bagnole à rafistoler, on se chamaille parce que Tippin est l’amant de Sydney. Puisque l’on est plus à ça près, continuons dans l’invraisemblable : les paysans coréens ne sont pas surpris de voir deux jeunes américains au volant d’une jeep.
Leonid Lisenker, homme coincé en Corée pour le compte du Covenant, est le seul à dire quelque chose de censé : il s’ennuie dans ce pays dont la culture manque de pep’s et il ne peut écouter sa chanteuse préférée Gloria Estefan. Il est à peu près certain que ce pays est le plus ennuyeux de la planète question loisirs.
Isabella Rossellini est crédible en sœur d’irina. Sloane une fois de plus est au courant de tout, manipule tout et se confirme le plus grand méchant de l’’histoire des séries télé. Les grandes déclarations d’amour Vaughn/Sydney sont assommantes. Reste que la Corée d’opérette de l’épisode aurait méritée des décors plus étoffés comme ces longues allées sans fin que l’on voit aux actualités. Il faut passer sur les invraisemblances montrant les américains et une russe plus forts au karaté que les asiatiques, les avions en perdition qui ont le bon goût de ne pas s’écraser, les pelotons d’exécution qui ratent les condamnés et j’en passe.
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Isabella Rossellini incarne ici Katya Derevko.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
03-13 – Nid d’aigle (After six)
Résumé
Grâce à la trahison de Leonid Lisenker, le Covenant peut être anéanti en contactant une certaine Toni Cummings. Sloane dit à Jack Bristow qu’il est inconsolable de la mort d’Emily. Sydney, qui connait maintenant son passé des deux dernières années, se sent soulagée. Elle avoue à la psy être toujours amoureuse de Vaughn. Sark rejoint Lauren. Il veut s’affranchir du Covenant et y prendre le pouvoir avec la femme de Vaughn.
La critique
Pour compenser les immenses dégâts causés par la cruche boy scout, la production met les petits plats dans les grands et fait appel à des guest star prestigieuses : après Isabella Rossellini, Ian Buchanan et un retour de Quentin Tarentino. Melissa George dont les étreintes sont… poignantes et coupantes est sexy mais son personnage mal développé depuis le début ne parvient pas à faire oublier les carences artistiques de certains de ses partenaires. Royal et majestueux en version humaine du serpent Kaa du livre de la jungle, Ron Rifkin fait ce qu’il peut pour rehausser le niveau mais il n’est guère aidé par ses partenaires. Toutefois, sa confrontation avec la psy est le grand moment de l’épisode. Elle ressemble à une partie d’échecs avec des pions humains. Manipulateur, il donnerait des leçons à Machiavel en personne. Quel sublime comédien comparé à la collection de médiocres pantins avec lesquels il doit jouer, de Vartan à Garber, de Garner à Lumbly.
L’idée d’utiliser le fade Greg Grunberg/Eric en remplacement de Dixon est stupide, car le gros bonhomme n’a aucun charisme. Les pitreries de Flinkman deviennent insupportables et atroces. « Alias » continue à tourner à vide en ayant perdu son âme. Ainsi, une bonne scène (avec Rifkin) est plombée la séquence suivante avec les minauderies de Sydney. Avec un Kurt Fuller débarqué de la série et un Terry O’Quinn absent, Rifkin doit se sentir bien seul. On atteint péniblement les deux melons grâce à la prestation de Rifkin face à la psy, et le ridicule ne tue pas sinon Flinkman et sa copine/épouse enceinte ne seraient plus de ce monde. Les scènes d’action n’étonnent plus personne et tombent dans les redites soporifiques. Missions et évasions trop facile, absence de tout suspense, c’est de la mauvaise bande dessinée.
Les infos supplémentaires
Ian Buchanan (qui incarne Gathrid) fut Dick Tremayne dans « Mystères à Twin Peaks » de David Lynch.
Retour de Quentin Tarentino.
Résumé
Grâce à la trahison de Leonid Lisenker, le Covenant peut être anéanti en contactant une certaine Toni Cummings. Sloane dit à Jack Bristow qu’il est inconsolable de la mort d’Emily. Sydney, qui connait maintenant son passé des deux dernières années, se sent soulagée. Elle avoue à la psy être toujours amoureuse de Vaughn. Sark rejoint Lauren. Il veut s’affranchir du Covenant et y prendre le pouvoir avec la femme de Vaughn.
La critique
Pour compenser les immenses dégâts causés par la cruche boy scout, la production met les petits plats dans les grands et fait appel à des guest star prestigieuses : après Isabella Rossellini, Ian Buchanan et un retour de Quentin Tarentino. Melissa George dont les étreintes sont… poignantes et coupantes est sexy mais son personnage mal développé depuis le début ne parvient pas à faire oublier les carences artistiques de certains de ses partenaires. Royal et majestueux en version humaine du serpent Kaa du livre de la jungle, Ron Rifkin fait ce qu’il peut pour rehausser le niveau mais il n’est guère aidé par ses partenaires. Toutefois, sa confrontation avec la psy est le grand moment de l’épisode. Elle ressemble à une partie d’échecs avec des pions humains. Manipulateur, il donnerait des leçons à Machiavel en personne. Quel sublime comédien comparé à la collection de médiocres pantins avec lesquels il doit jouer, de Vartan à Garber, de Garner à Lumbly.
L’idée d’utiliser le fade Greg Grunberg/Eric en remplacement de Dixon est stupide, car le gros bonhomme n’a aucun charisme. Les pitreries de Flinkman deviennent insupportables et atroces. « Alias » continue à tourner à vide en ayant perdu son âme. Ainsi, une bonne scène (avec Rifkin) est plombée la séquence suivante avec les minauderies de Sydney. Avec un Kurt Fuller débarqué de la série et un Terry O’Quinn absent, Rifkin doit se sentir bien seul. On atteint péniblement les deux melons grâce à la prestation de Rifkin face à la psy, et le ridicule ne tue pas sinon Flinkman et sa copine/épouse enceinte ne seraient plus de ce monde. Les scènes d’action n’étonnent plus personne et tombent dans les redites soporifiques. Missions et évasions trop facile, absence de tout suspense, c’est de la mauvaise bande dessinée.
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Ian Buchanan (qui incarne Gathrid) fut Dick Tremayne dans « Mystères à Twin Peaks » de David Lynch.
Retour de Quentin Tarentino.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
03-14 – Duel masqué (Blowback)
Résumé
La CIA doit neutraliser un groupe terroriste, « L’épée étincellante », responsable de l’attentat de Bali, qui doit faire exploser une bombe à plasma. Dixon est au courant qu’une taupe se trouve dans le service et a trahi durant la mission en Corée du Nord. Sloane tente de séduire la psy, le docteur Judy Barnett.
La critique
Flinkman continue de multiplier les séquences de « remplissage » qui ne font rire que lui. Après une scène creuse entre Vaughn et Sydney, nous avons droit à un formidable affrontement entre la psy et Arvin Sloane. L’ex chef du SD6 fait preuve d’un narcissisme inimaginable. Qui est le vrai Sloane et le sait-il lui-même ? Nous apprenons une révélation trop incroyable pour être vraie. Quant à ce grand dadais de Vaughn facile à duper, Lauren ne s’en prive pas avec un raffinement sadique. Les jeux de cache cache entre d’une part Lauren et Sark et de l’autre Sydney et Vaughn lassent vite. Parmi les invraisemblances flagrantes ici, le fait que Vaughn ne reconnaîsse pas les yeux de sa femme derrière une cagoule montre à quel niveau « Alias » est tombé bien bas après un brillant pilote de la saison 1. Une chanson sirupeuse et niaise accompagne les retrouvailles de Sydney et de son père. Mais quid du groupe terroriste qui se résume à un couple de méchants que nous connaissons ?
Ici, Michael Vartan et Jennifer Garner plombent complètement l’épisode et trouent la coque du navire « Alias » qui prend l’eau de tous les côtés. Il n’y a plus aucune cohérence si ce n’est une accumulation de poncifs éculés, de scènes d’action en roue libre sans aucune structure narrative. Seul intérêt, le mystère de la taupe dont on ne sait quand les agents de la CIA vont connaître l’identité. Le téléspectateur lui s’ennuie ferme. L’arc Rambaldi est seulement évoqué au détour de souvenirs évoqués par Sloane et la psy. De toute évidence, J J Abrams a l’esprit ailleurs et ne s’occupe plus de la série qui devient un avion sans pilote. Navrant !
Les infos supplémentaires
Cet épisode évoque l’attentat de Bali du 12 octobre 2002.
Encore un emprunt bondien avec une séquence de poursuite dans un parking ressemblant à celle de « Demain ne meurt jamais ».
Résumé
La CIA doit neutraliser un groupe terroriste, « L’épée étincellante », responsable de l’attentat de Bali, qui doit faire exploser une bombe à plasma. Dixon est au courant qu’une taupe se trouve dans le service et a trahi durant la mission en Corée du Nord. Sloane tente de séduire la psy, le docteur Judy Barnett.
La critique
Flinkman continue de multiplier les séquences de « remplissage » qui ne font rire que lui. Après une scène creuse entre Vaughn et Sydney, nous avons droit à un formidable affrontement entre la psy et Arvin Sloane. L’ex chef du SD6 fait preuve d’un narcissisme inimaginable. Qui est le vrai Sloane et le sait-il lui-même ? Nous apprenons une révélation trop incroyable pour être vraie. Quant à ce grand dadais de Vaughn facile à duper, Lauren ne s’en prive pas avec un raffinement sadique. Les jeux de cache cache entre d’une part Lauren et Sark et de l’autre Sydney et Vaughn lassent vite. Parmi les invraisemblances flagrantes ici, le fait que Vaughn ne reconnaîsse pas les yeux de sa femme derrière une cagoule montre à quel niveau « Alias » est tombé bien bas après un brillant pilote de la saison 1. Une chanson sirupeuse et niaise accompagne les retrouvailles de Sydney et de son père. Mais quid du groupe terroriste qui se résume à un couple de méchants que nous connaissons ?
Ici, Michael Vartan et Jennifer Garner plombent complètement l’épisode et trouent la coque du navire « Alias » qui prend l’eau de tous les côtés. Il n’y a plus aucune cohérence si ce n’est une accumulation de poncifs éculés, de scènes d’action en roue libre sans aucune structure narrative. Seul intérêt, le mystère de la taupe dont on ne sait quand les agents de la CIA vont connaître l’identité. Le téléspectateur lui s’ennuie ferme. L’arc Rambaldi est seulement évoqué au détour de souvenirs évoqués par Sloane et la psy. De toute évidence, J J Abrams a l’esprit ailleurs et ne s’occupe plus de la série qui devient un avion sans pilote. Navrant !
Les infos supplémentaires
Cet épisode évoque l’attentat de Bali du 12 octobre 2002.
Encore un emprunt bondien avec une séquence de poursuite dans un parking ressemblant à celle de « Demain ne meurt jamais ».
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Patricks a écrit:
Flinkman continue de multiplier les séquences de « remplissage » qui ne font rire que lui.
:
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
Flinkman me fait marrer à chaque fois. La fois où il a été envoyé en mission (saison 2), on a eu fromage et dessert !
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Oui, le perso en lui-même est excellent.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
03-15 – Sueurs froides (Facade)
Résumé
Un certain Daniel Ryan, ex-activiste de l’IRA, fait sauter une bombe pour attirer l’attention du Covenant. Jack Bristow propose que la CIA se fasse passer pour le Covenant. Sydney, après avoir feint d’assassiner Eric Weiss, se présente à Ryan comme un membre du Covenant. Ryan est drogué et on lui fait croire qu’il est en Russie. Mais en fait, l’homme veut venger la mort de son frère due au Covenant.
La critique
Les irlandais boivent de la bière. C’est donc dans un pub que Weiss prend contact. Nous avons ici tous les clichés que l’américain lambda s’attend à trouver lorsque l'on évoque un terroriste de l’IRA. L’épisode est construit comme un « Mission Impossible » des années 60-70 où le méchant est manipulé. Aucune innovation ici. En fait, Vaughn et Sydney sont bien moins doués que Jim Phelps et son équipe. Le scénario est fondé sur des suppositions : Untel ne connaît pas untel. On fait ainsi passer Vaughn pour Sark. Le téléspectateur s’ennuie ferme. Même l’apparition (ultra brève) de Sloane ne vient pas sauver l’épisode. Quant à Jennifer Garner, son jeu ne s’améliore pas, elle est toujours aussi mièvre et verse dans la guimauve. On ne peut retenir un soupir en écoutant Sydney supplier l’irlandais : « Pensez à tous les innocents qui sont à bord ». Elle est pathétique, voulant convaincre un terroriste irlandais que tuer, c’est mal. Jennifer Garner s’est vraiment trompée de prairie, pardon de maison ou de série. Marshall entre deux vannes est là pour désamorcer les bombes. Il n’y a aucun bon comédien dans cet épisode et l’on souffre. Alors que doit-on retenir de cet épisode ? Les américains sont gentils, les irlandais sont de méchants terroristes. Il est vrai que Ryan n’est pas charitable avec nous : d’une bombe, il aurait pu nous débarrasser de tous les pantins de la distribution. Cela vaut la chaise électrique ce crime contre le bon goût. Sur fond d’une chanson sirupeuse, avec Sydney en pleurs, on se croit en plein épisode de « Dawson ». La série privée d’un bon comédien (Rifkin, O’Quinn) ne vaut pas un kopek.
Les infos supplémentaires
Lisenker qui dit aimer l’Amérique cite cette-fois la série « Deux flics à Miami » comme lui plaisant beaucoup après nous avoir parlé de Gloria Estefan.
Sydney se souvient d’un meurtre qu’elle a commis sous contrôle en tant que Julia Thorne durant ses deux ans de captivité au Covenant.
Résumé
Un certain Daniel Ryan, ex-activiste de l’IRA, fait sauter une bombe pour attirer l’attention du Covenant. Jack Bristow propose que la CIA se fasse passer pour le Covenant. Sydney, après avoir feint d’assassiner Eric Weiss, se présente à Ryan comme un membre du Covenant. Ryan est drogué et on lui fait croire qu’il est en Russie. Mais en fait, l’homme veut venger la mort de son frère due au Covenant.
La critique
Les irlandais boivent de la bière. C’est donc dans un pub que Weiss prend contact. Nous avons ici tous les clichés que l’américain lambda s’attend à trouver lorsque l'on évoque un terroriste de l’IRA. L’épisode est construit comme un « Mission Impossible » des années 60-70 où le méchant est manipulé. Aucune innovation ici. En fait, Vaughn et Sydney sont bien moins doués que Jim Phelps et son équipe. Le scénario est fondé sur des suppositions : Untel ne connaît pas untel. On fait ainsi passer Vaughn pour Sark. Le téléspectateur s’ennuie ferme. Même l’apparition (ultra brève) de Sloane ne vient pas sauver l’épisode. Quant à Jennifer Garner, son jeu ne s’améliore pas, elle est toujours aussi mièvre et verse dans la guimauve. On ne peut retenir un soupir en écoutant Sydney supplier l’irlandais : « Pensez à tous les innocents qui sont à bord ». Elle est pathétique, voulant convaincre un terroriste irlandais que tuer, c’est mal. Jennifer Garner s’est vraiment trompée de prairie, pardon de maison ou de série. Marshall entre deux vannes est là pour désamorcer les bombes. Il n’y a aucun bon comédien dans cet épisode et l’on souffre. Alors que doit-on retenir de cet épisode ? Les américains sont gentils, les irlandais sont de méchants terroristes. Il est vrai que Ryan n’est pas charitable avec nous : d’une bombe, il aurait pu nous débarrasser de tous les pantins de la distribution. Cela vaut la chaise électrique ce crime contre le bon goût. Sur fond d’une chanson sirupeuse, avec Sydney en pleurs, on se croit en plein épisode de « Dawson ». La série privée d’un bon comédien (Rifkin, O’Quinn) ne vaut pas un kopek.
Les infos supplémentaires
Lisenker qui dit aimer l’Amérique cite cette-fois la série « Deux flics à Miami » comme lui plaisant beaucoup après nous avoir parlé de Gloria Estefan.
Sydney se souvient d’un meurtre qu’elle a commis sous contrôle en tant que Julia Thorne durant ses deux ans de captivité au Covenant.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Je comprends pas la fascination pour cette série. La Femme Nikita (qu'Alias pille dans tous les sens) est tellement supérieure ! J'ai arrêté Alias mi saison 2. C'est du chewing gum visuel et scénaristique. Il n'y a aucune séquence d'anthologie, dans aucun épisode, alors que La Femme Nikita en est truffée.
davidf- Invité Spécial
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Localisation : 78
Date d'inscription : 08/10/2005
Re: Série "Alias"
Comme séquences d'anthologie, y'en a pas mal je trouve dans Alias. Ne serait-ce que le twist final de Phase One, que personne ne pouvait voir venir.
Alias fait partie de ces séries nécessitant d'adhérer à un postulat de départ : pénétrer dans un univers proche de la réalité, mais qui n'est pas la réalité, un univers d'espionnage où doubles jeux, trahisons, manipulations, missions improbables... sont poussés à leur paroxysme, un univers presque fantasmagorique, même si proche du réel. La mythologie Rambaldienne ajoute d'ailleurs une touche de fantastique qui confirme l'optique particulière de J.J.Abrams. Donc, dire que c'est du chewing-gum scénaristique est exact que dans la mesure que la vision qu'on a de la série ne se confond pas avec celle du créateur. Je ne trouve pas du tout que c'est du chewing-gum puisque pour le moment, j'accepte - je ne suis moi aussi qu'à la saison 2 - ce qu'Abrams nous propose, j'accroche à son univers. Simple question de perception.
Alias fait partie de ces séries nécessitant d'adhérer à un postulat de départ : pénétrer dans un univers proche de la réalité, mais qui n'est pas la réalité, un univers d'espionnage où doubles jeux, trahisons, manipulations, missions improbables... sont poussés à leur paroxysme, un univers presque fantasmagorique, même si proche du réel. La mythologie Rambaldienne ajoute d'ailleurs une touche de fantastique qui confirme l'optique particulière de J.J.Abrams. Donc, dire que c'est du chewing-gum scénaristique est exact que dans la mesure que la vision qu'on a de la série ne se confond pas avec celle du créateur. Je ne trouve pas du tout que c'est du chewing-gum puisque pour le moment, j'accepte - je ne suis moi aussi qu'à la saison 2 - ce qu'Abrams nous propose, j'accroche à son univers. Simple question de perception.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Bien dit ! Idem, 8ème saison 2.davidf a écrit:Je comprends pas la fascination pour cette série. La Femme Nikita (qu'Alias pille dans tous les sens) est tellement supérieure ! J'ai arrêté Alias mi saison 2. C'est du chewing gum visuel et scénaristique. Il n'y a aucune séquence d'anthologie, dans aucun épisode, alors que La Femme Nikita en est truffée.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Le début de la saison 2 est en effet décevant, mais j'ai recommencé à mettre des 4/4 à partir de l'épisode 9. Tu es sûr que tu veux pas reprendre denis ?
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Surement pas. Surtout que j'ai vu quelques épisodes de l'ultime saison en accéléré. PA-THE-TI-QUE !Dearesttara a écrit:Le début de la saison 2 est en effet décevant, mais j'ai recommencé à mettre des 4/4 à partir de l'épisode 9. Tu es sûr que tu veux pas reprendre denis ?
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
La saison 5 est il est vrai peu aimée des fans. Bon, moi, je vais reprendre mon visionnage.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
En fait j'ai vraiment du mal tant les situations, les persos et même des scènes entières sont des décalcomanies de LFN (par exemple les scènes ou le père prend un brouilleur pour momentanément bloquer les cameras et mouchards dans la salle d'interrogation afin d'avoir une conversation privée avec sa fille, reprise a l'identique de scènes entre Nikita et Michael), le chef du SD6 c'est Operations, etc.
En plus l'actrice est laide est sans profondeur (ce qui n'a rien a voir avec Peta Wilson, bon d'accord, j'admet que sa voix grave peu effrayer certains), et sinon, encore les mêmes idées reprises (le père est un agent secret haut placé etc.)
Ceci dit, ca se laisse voir en série, a condition de ne pas abuser, mais pour vraiment prendre conscience du détournement effectué par JJ Abrams, il faut avoir vu tous les épisodes de LFN (même les mauvaises deux dernières saisons).
En plus l'actrice est laide est sans profondeur (ce qui n'a rien a voir avec Peta Wilson, bon d'accord, j'admet que sa voix grave peu effrayer certains), et sinon, encore les mêmes idées reprises (le père est un agent secret haut placé etc.)
Ceci dit, ca se laisse voir en série, a condition de ne pas abuser, mais pour vraiment prendre conscience du détournement effectué par JJ Abrams, il faut avoir vu tous les épisodes de LFN (même les mauvaises deux dernières saisons).
davidf- Invité Spécial
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Localisation : 78
Date d'inscription : 08/10/2005
Re: Série "Alias"
davidf a écrit:En fait j'ai vraiment du mal tant les situations, les persos et même des scènes entières sont des décalcomanies de LFN (par exemple les scènes ou le père prend un brouilleur pour momentanément bloquer les cameras et mouchards dans la salle d'interrogation afin d'avoir une conversation privée avec sa fille, reprise a l'identique de scènes entre Nikita et Michael), le chef du SD6 c'est Operations, etc.
En plus l'actrice est laide est sans profondeur (ce qui n'a rien a voir avec Peta Wilson, bon d'accord, j'admet que sa voix grave peu effrayer certains), et sinon, encore les mêmes idées reprises (le père est un agent secret haut placé etc.)
Ceci dit, ca se laisse voir en série, a condition de ne pas abuser, mais pour vraiment prendre conscience du détournement effectué par JJ Abrams, il faut avoir vu tous les épisodes de LFN (même les mauvaises deux dernières saisons).
Je confirme : actrice cruche et pas terrible, pour en voir une belle, une vraie, je conseille le topic "Les dernières volontés de Richard Lagrange".
Quand à Denis, je pense qu'il s'est laissé convaincre par mes notes, il n'y a plus que Cetp65 sur ce forum pour encore défendre Alias et Jennifer Garner.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Patricks a écrit:il n'y a plus que Cetp65 sur ce forum pour encore défendre Alias et Jennifer Garner.
Sans oublier séribibi, Estuaire44, et moi-même ! J'aime toujours autant la comédienne et la série.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Patricks je comprends plus. Tu disais trouver JG belle et sexy au début.
séribibi- Roi (Reine)
- Age : 58
Localisation : Mont de Marsan
Date d'inscription : 13/12/2007
Re: Série "Alias"
03-16 – Trou noir (Taken)
Résumé
Sark prisonnier, il est extradé par la France, il est décidé de piéger la taupe au sein de la CIA. Sark n’est pas protégé par la convention de Genève, et va être torturé. Les enfants de Dixon sont kidnappés. Dans l’avion qui ramenait Sark, tout le monde est mort, Sark s’étant enfui. Il a été averti par la taupe.
La critique
La psy Judy Barnett est devenue la maîtresse de Sloane. Un personnage qui a du goût, à la différence de Vaughn et de sa brunette. L’arrivée d’un nouveau comédien, Raymond J Barry, en sénateur, n’apporte rien au casting. L’épisode met en avant le surestimé Carl Lumbly (Dixon) qui n’a aucun charisme. Lauren qui a fait de Sloane un bouc émissaire provoque la vengeance de Dixon, dont Sloane fit tuer Diane, l’épouse. Lumbly ne fait pas le poids comme comédien face à Rifkin.
Le feuilleton « Alias » continue de s’enfoncer dans les méandres de l’ennui. Dixon rejoint Jennifer Garner dans la catégorie des comédiens mièvres et larmoyants qui confondent sensiblerie et sensibilité. Ron Rifkin est bien le seul talent dans cette galère.
L’épisode renoue avec la mythologie Rambaldi, oubliée depuis quelques épisodes. Notons que pour Jack Bristow, la vie de sa fille vaut que l’on arrête l’opération, pas celle de la fille de Dixon. Melissa George se sort à merveille de son rôle de ver dans le fruit. Hélas, la médiocrité de la majorité des comédiens, donc Sark/David Anders, plombe le peu de suspense qui commençait à s’installer. Sydney joue les blandines dans la fosse aux lions, se sacrifiant pour sauver la fille de Dixon. Ah, si seulement Sark pouvait nous en débarrasser, on finirait par trouver le Covenant sympathique.
Les infos supplémentaires
L’artefact que dérobe Sydney est un coffret avec écrit dessus « Irina », comme celui de l’intégrale DVD.
Résumé
Sark prisonnier, il est extradé par la France, il est décidé de piéger la taupe au sein de la CIA. Sark n’est pas protégé par la convention de Genève, et va être torturé. Les enfants de Dixon sont kidnappés. Dans l’avion qui ramenait Sark, tout le monde est mort, Sark s’étant enfui. Il a été averti par la taupe.
La critique
La psy Judy Barnett est devenue la maîtresse de Sloane. Un personnage qui a du goût, à la différence de Vaughn et de sa brunette. L’arrivée d’un nouveau comédien, Raymond J Barry, en sénateur, n’apporte rien au casting. L’épisode met en avant le surestimé Carl Lumbly (Dixon) qui n’a aucun charisme. Lauren qui a fait de Sloane un bouc émissaire provoque la vengeance de Dixon, dont Sloane fit tuer Diane, l’épouse. Lumbly ne fait pas le poids comme comédien face à Rifkin.
Le feuilleton « Alias » continue de s’enfoncer dans les méandres de l’ennui. Dixon rejoint Jennifer Garner dans la catégorie des comédiens mièvres et larmoyants qui confondent sensiblerie et sensibilité. Ron Rifkin est bien le seul talent dans cette galère.
L’épisode renoue avec la mythologie Rambaldi, oubliée depuis quelques épisodes. Notons que pour Jack Bristow, la vie de sa fille vaut que l’on arrête l’opération, pas celle de la fille de Dixon. Melissa George se sort à merveille de son rôle de ver dans le fruit. Hélas, la médiocrité de la majorité des comédiens, donc Sark/David Anders, plombe le peu de suspense qui commençait à s’installer. Sydney joue les blandines dans la fosse aux lions, se sacrifiant pour sauver la fille de Dixon. Ah, si seulement Sark pouvait nous en débarrasser, on finirait par trouver le Covenant sympathique.
Les infos supplémentaires
L’artefact que dérobe Sydney est un coffret avec écrit dessus « Irina », comme celui de l’intégrale DVD.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
La Femme Nikita, j'aime pas du tout. Je préfère largement la version 2010 avec Maggie Q.
Cetp65- Prince(sse)
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Date d'inscription : 01/08/2010
Re: Série "Alias"
J'oubliais, même le "love interest" s'appelle Michael dans les deux séries
J'aime bien la nouvelle série Nikita, l'originale est spéciale. Il faut passer outre que c'est à la base une adaptation de Besson, et plus la voir comme la série qui préfigure 24, par les mêmes scénaristes et producteurs. C'est beaucoup mieux que 24 d'ailleurs, même s'il s'agissait d'une série a petit budget au succès confidentiel.
J'aime bien la nouvelle série Nikita, l'originale est spéciale. Il faut passer outre que c'est à la base une adaptation de Besson, et plus la voir comme la série qui préfigure 24, par les mêmes scénaristes et producteurs. C'est beaucoup mieux que 24 d'ailleurs, même s'il s'agissait d'une série a petit budget au succès confidentiel.
davidf- Invité Spécial
- Age : 59
Localisation : 78
Date d'inscription : 08/10/2005
Re: Série "Alias"
03-17 – Le passager (The frame)
Résumé
Vaughn a une piste au sujet du Covenant. Il part au Mexique avec Sydney. Il s’agit de trouver la clef de la boîte de l’épisode précédent. Sloane croupit en prison. Vaughn quitte Lauren. Jack Bristow commence à soupçonner Lauren d’être la taupe. Son père, le sénateur George Reed la défend.
La critique
On retrouve l’excellent Djimoun Hounsou (qui joue du sabre comme Isaach de Bankolé dans « Casino Royale ») crédible en Bomani, l’un des s alauds de la série. Quant à Vaughn, il dit plusieurs fois « c’est sans espoir » et l’on est tout à fait d’accord avec lui : sans espoir quand on préfère un laideron à une fort jolie blonde. Jennifer Garner est d’ailleurs plus laide que d’habitude, avec une queue de cheval. La pauvre, ne l’accablons pas, elle ne sait déjà pas jouer la comédie. Michael Vartan n’est pas en reste pour la médiocrité. Ils jouent tellement faux tous les deux qu’on en arriverait, par comparaison, à apprécier Flinkman soit Kevin Weisman. Les missions (à nouveau plusieurs par épisode) ont un goût de déjà vu et n’étonnent plus personne. Cette saison 3 est en perdition totale. Ron Rifkin ne suffit plus à rehausser le niveau, il n’a ici que quelques scènes de prison sans grand écho. L’ennui commence à pointer son nez sérieusement. La supposée surprise relève de la mauvaise bande dessinée, faisant de Lauren une personne moins cruelle que l’on aurait cru après l’avoir vu abattre Lazarré. Dans « Alias », tout le monde du jour ou lendemain peut devenir un traître au point que la non crédibilité est dépassée sans vergogne.
Peggy Lipton, que l’on reconnaît à peine, est mal employée en mère de Lauren. Elle fut célèbre jeune mais avait encore du panache dans « Twin Peaks ». Son personnage n’est pas construit par les scénaristes qui tournent à vide. De toute évidence, J J Abrams n’est pas parvenu à renouveler son feuilleton. Jennifer Garner, par contre, n’a pas fini de nous étonner : geinarde, pleurnicheuse, on suppose qu’elle n’a pas encore touché le fonds absyssal de son incompétence.
Les infos supplémentaires
Staline s’intéressait à Rambaldi.
Peggy Lipton, qui joue la mère de Lauren, était la vedette de la série d’Aaron Spelling « La nouvelle équipe ».
Résumé
Vaughn a une piste au sujet du Covenant. Il part au Mexique avec Sydney. Il s’agit de trouver la clef de la boîte de l’épisode précédent. Sloane croupit en prison. Vaughn quitte Lauren. Jack Bristow commence à soupçonner Lauren d’être la taupe. Son père, le sénateur George Reed la défend.
La critique
On retrouve l’excellent Djimoun Hounsou (qui joue du sabre comme Isaach de Bankolé dans « Casino Royale ») crédible en Bomani, l’un des s alauds de la série. Quant à Vaughn, il dit plusieurs fois « c’est sans espoir » et l’on est tout à fait d’accord avec lui : sans espoir quand on préfère un laideron à une fort jolie blonde. Jennifer Garner est d’ailleurs plus laide que d’habitude, avec une queue de cheval. La pauvre, ne l’accablons pas, elle ne sait déjà pas jouer la comédie. Michael Vartan n’est pas en reste pour la médiocrité. Ils jouent tellement faux tous les deux qu’on en arriverait, par comparaison, à apprécier Flinkman soit Kevin Weisman. Les missions (à nouveau plusieurs par épisode) ont un goût de déjà vu et n’étonnent plus personne. Cette saison 3 est en perdition totale. Ron Rifkin ne suffit plus à rehausser le niveau, il n’a ici que quelques scènes de prison sans grand écho. L’ennui commence à pointer son nez sérieusement. La supposée surprise relève de la mauvaise bande dessinée, faisant de Lauren une personne moins cruelle que l’on aurait cru après l’avoir vu abattre Lazarré. Dans « Alias », tout le monde du jour ou lendemain peut devenir un traître au point que la non crédibilité est dépassée sans vergogne.
Peggy Lipton, que l’on reconnaît à peine, est mal employée en mère de Lauren. Elle fut célèbre jeune mais avait encore du panache dans « Twin Peaks ». Son personnage n’est pas construit par les scénaristes qui tournent à vide. De toute évidence, J J Abrams n’est pas parvenu à renouveler son feuilleton. Jennifer Garner, par contre, n’a pas fini de nous étonner : geinarde, pleurnicheuse, on suppose qu’elle n’a pas encore touché le fonds absyssal de son incompétence.
Les infos supplémentaires
Staline s’intéressait à Rambaldi.
Peggy Lipton, qui joue la mère de Lauren, était la vedette de la série d’Aaron Spelling « La nouvelle équipe ».
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
03-18 -Il dire (unveiled)
Résumé
L’accord entre la CIA et Sloane ne tient plus et il va être exécuté par injection létale. Dixon refuse de conclure le moindre marché avec lui. Sydney pense que Lauren est la taupe. La CIA est victime d’une cyber-attaque. Il est démontré que le passager est une personne.
La critique
Scénario assez improbable, tant la culpabilité de Lauren saute aux yeux du téléspectateur, mais pas de la CIA. Encore un emprunt à 007 avec les lunettes gadgets rappelant celles de « Meurs un autre jour ». Grosse erreur de distribution, David Anders n’est pas crédible en Sark et gâche les scènes avec Bomani. Melissa George, elle, mérite mieux que cette série. Nous repartons dans les missions TGV aux quatre coins du monde mais tournées à Hollywood avec des bandes sons généralement atroces. Michael Giacchino (« Star Trek into darkness ») a été bien peu inspiré ici, alors qu’il a signé des scores excellents même pour des jeux vidéo. Que des CD aient été édités pour « Alias » par saison relève vraiment du scandale quand tant de bandes originales ne voient pas le jour.
Les disputes que nous infligent Sydney et Vaughn sont insupportables et relèvent du mauvais soap opéra. Sydney tente de piéger Lauren non plus pour accomplir sa tâche d’agent de la CIA mais par jalousie. Les acteurs semblent s’ennuyer et cachetonnent, la faute à un scénario répétitif et exangue. Pour atteindre les quarante minutes (il ne s’agit même plus de quarante deux !), le réalisateur nous propose des déplacements de personnages au ralenti et les pitreries de Marshall se multiplient. Déjà plombé par de mauvais comédiens, « Alias » devient un spectacle sans cohérence. La comparaison Irina/Lauren faite par Jack Bristow est un des exemples des errements d’un script totalement creux. On devrait ressentir le suspense de la traque de la taupe, mais la série présente une tension digne d’un encéphalogramme plat. On comprend que Lauren est le personnage à éliminer pour rendre toute sa place à la cruche. Navrant et désolant. Pourquoi ne pas avouer que cet épisode a été fait pendant la grève des scénaristes ? Ah bon, ce n’était pas le cas ? En ce qui concerne les combats, si l’on nous remettait ceux de la saison 1, nous n’y verrions que du feu.
Résumé
L’accord entre la CIA et Sloane ne tient plus et il va être exécuté par injection létale. Dixon refuse de conclure le moindre marché avec lui. Sydney pense que Lauren est la taupe. La CIA est victime d’une cyber-attaque. Il est démontré que le passager est une personne.
La critique
Scénario assez improbable, tant la culpabilité de Lauren saute aux yeux du téléspectateur, mais pas de la CIA. Encore un emprunt à 007 avec les lunettes gadgets rappelant celles de « Meurs un autre jour ». Grosse erreur de distribution, David Anders n’est pas crédible en Sark et gâche les scènes avec Bomani. Melissa George, elle, mérite mieux que cette série. Nous repartons dans les missions TGV aux quatre coins du monde mais tournées à Hollywood avec des bandes sons généralement atroces. Michael Giacchino (« Star Trek into darkness ») a été bien peu inspiré ici, alors qu’il a signé des scores excellents même pour des jeux vidéo. Que des CD aient été édités pour « Alias » par saison relève vraiment du scandale quand tant de bandes originales ne voient pas le jour.
Les disputes que nous infligent Sydney et Vaughn sont insupportables et relèvent du mauvais soap opéra. Sydney tente de piéger Lauren non plus pour accomplir sa tâche d’agent de la CIA mais par jalousie. Les acteurs semblent s’ennuyer et cachetonnent, la faute à un scénario répétitif et exangue. Pour atteindre les quarante minutes (il ne s’agit même plus de quarante deux !), le réalisateur nous propose des déplacements de personnages au ralenti et les pitreries de Marshall se multiplient. Déjà plombé par de mauvais comédiens, « Alias » devient un spectacle sans cohérence. La comparaison Irina/Lauren faite par Jack Bristow est un des exemples des errements d’un script totalement creux. On devrait ressentir le suspense de la traque de la taupe, mais la série présente une tension digne d’un encéphalogramme plat. On comprend que Lauren est le personnage à éliminer pour rendre toute sa place à la cruche. Navrant et désolant. Pourquoi ne pas avouer que cet épisode a été fait pendant la grève des scénaristes ? Ah bon, ce n’était pas le cas ? En ce qui concerne les combats, si l’on nous remettait ceux de la saison 1, nous n’y verrions que du feu.
Invité- Invité
Re: Série "Alias"
Patricks a écrit:02.20 – 48 heures (Countdown)
Immense erreur de montage, peu compréhensible dans une production américaine. A la fin de l’épisode précédent, Diane Dixon dit « je vais voir les enfants » et dépasse la voiture de son mari pour aller dans une autre. Dixon ouvre la portière de sa voiture, piégée, mais rappelé par Vaughn et Sydney, en claquant la portière, la voiture explose, tuant sa femme. Or, dans le présent épisode, la scène nous est montrée de façon différente. Dixon est devant sa voiture mais n’a pas ouvert la portière. On voit alors le sosie de Fran actionner un explosif télécommandé et la voiture de Dixon saute tuant Diane. En fait les deux séquences constituent un contresens. Sloane voulait tuer Dixon et non sa femme, mais dans la version 2, la fausse Fran tue volontairement Diane. Soit réalisateurs et scénaristes s’en fichent, soit ils ont besoin de vacances.
Il est courant, Patricks, que dans des flashbacks, on coupe quelques secondes de quelques scènes pour en venir à l'essentiel. Il n'y a en fait pas de contresens : A la fin du 2x19, Diane entre dans la voiture piégée, elle se met à rouler, et celle-ci explose bientôt. Dans le flashback du 2x20, on a coupé quelques secondes : celles où Dixon ouvre la portière de la seconde voiture (la sienne, non piégée), puis revient vers Vaughn et Sydney. Mais sinon, la scène est identique. Quant à Sloane, c'est évident qu'il voulait tuer Diane et non Dixon : tu as tué ma femme, je tue la tienne. Vengeance plus fielleuse et cruelle que de tuer directement Dixon : comme ça, il souffre d'être veuf comme Sloane. Et quand on connaît le machiavélisme de Sloane, ce n'est pas étonnant de sa part.
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Série "Alias"
Fini la saison 2 d'Alias ! Je suis resté scotché devant chaque épisode. Ca file, ça fuse, ça rebondit, ça twiste, et pourtant tout est d'une remarquable cohérence. Les derniers épisodes sont juste énormes. Pas forcément du côté action, (quoique le duel Allison-Sydney est assez époustouflant !) mais du côté des retournements et d'un suspense à fleur de peau. Après un début poussif, la série a vite retrouvé ses marques et nous offre un festival d'aventures massivement improbable mais dans l'univers d'Alias tout est possible. Les dernières secondes m'ont littéralement sonné, J.J.Abrams veille toujours à repartir le spectateur encore plus groggy à la fin d'un épisode qu'au début. Pour ma part, c'est du grand spectacle, grâce à des scénarios carburant à l'adrénaline non diluée. Deux saisons, et Alias s'impose déjà comme une référence en matière de série d'espionnage moderne. Pourvu que ça dure !
Classement de la saison 2 :
1. Ennemie intime (The Enemy Walks In) : **
2. Confiance aveugle (Trust Me) : **
3. Code secret (Cipher) : ***
4. Eaux troubles (Dead Drop) : ***
5. Nouvelle génération (The Indicator) : **
6. Haute trahison (Salvation) : *
7. Dangereuse alliance (The Counteragent) : ***
8. Double jeu - 1re partie (Passage - Part 1) : ***
9. Double jeu - 2e partie (Passage - Part 2) : ****
10. Désigné coupable (The Abduction) : ****
11. Sables mouvants (A Higher Echelon) : ****
12. Maître-chanteur (The Getaway) : ****
13. Phase un (Phase One) : ****
14. Trompe-l'œil (Double Agent) : ****
15. Electron libre (A Free Agent) : ***
16. Jugement dernier (Firebomb) : **
17. Talon d'Achille (A Dark Turn) : ***
18. Trio infernal (Truth Takes Time) : ****
19. Roulette russe (Endgame) : ****
20. 48 heures (Countdown) : ****
21. Faux amis (Second Double) : ****
22. Risque maximum (The Telling) : ***
Moyenne : 3.18/4.
Classement de la saison 2 :
1. Ennemie intime (The Enemy Walks In) : **
2. Confiance aveugle (Trust Me) : **
3. Code secret (Cipher) : ***
4. Eaux troubles (Dead Drop) : ***
5. Nouvelle génération (The Indicator) : **
6. Haute trahison (Salvation) : *
7. Dangereuse alliance (The Counteragent) : ***
8. Double jeu - 1re partie (Passage - Part 1) : ***
9. Double jeu - 2e partie (Passage - Part 2) : ****
10. Désigné coupable (The Abduction) : ****
11. Sables mouvants (A Higher Echelon) : ****
12. Maître-chanteur (The Getaway) : ****
13. Phase un (Phase One) : ****
14. Trompe-l'œil (Double Agent) : ****
15. Electron libre (A Free Agent) : ***
16. Jugement dernier (Firebomb) : **
17. Talon d'Achille (A Dark Turn) : ***
18. Trio infernal (Truth Takes Time) : ****
19. Roulette russe (Endgame) : ****
20. 48 heures (Countdown) : ****
21. Faux amis (Second Double) : ****
22. Risque maximum (The Telling) : ***
Moyenne : 3.18/4.
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