Où passe notre argent?
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Le CAFÉ Avengers (Ouvert sous modération)
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Re: Où passe notre argent?
Le scandale de l'A.M.E. se poursuit.
Les crédits alloués à l[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], dispositif qui permet de prendre en charge les soins des étrangers [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et sans ressources, seront augmentés de 73 millions d'euros en 2015, selon le projet de loi de financement présenté aujourd'hui.
rappel : 75 millions en 2000
288 millions en 2011
788 millions en 2013...
Les crédits alloués à l[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], dispositif qui permet de prendre en charge les soins des étrangers [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et sans ressources, seront augmentés de 73 millions d'euros en 2015, selon le projet de loi de financement présenté aujourd'hui.
rappel : 75 millions en 2000
288 millions en 2011
788 millions en 2013...
Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Le titre "Où passe notre argent" est décidément correct.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Intervention de Marine Le Pen ce matin sur RTL. On est déjà à 1 milliard. Comme toujours - voir le nombre de 'Français' qui font le djihad - les chiffres officiels sont dévalués.denis a écrit: 75 millions en 2000
288 millions en 2011
788 millions en 2013...
Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
C'est officiel : «Ce chiffre de 1 milliard est peut-être même encore en dessous de la réalité. Chaque année, on constate lors de la loi de finances rectificative que le chiffre prévisionnel annoncé est dépassé de près de la moitié de l'enveloppe prévue au départ, indique le député UMP de Paris.denis a écrit:Intervention de Marine Le Pen ce matin sur RTL. On est déjà à 1 milliard. Comme toujours - voir le nombre de 'Français' qui font le djihad - les chiffres officiels sont dévalués.denis a écrit: 75 millions en 2000
288 millions en 2011
788 millions en 2013...
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Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Quels branleurs !
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
C'est bien beau ce discours du député UMP, c'est habituel lorsqu'ils sont dans l'opposition, mais ça serait mieux s'ils agissaient lorsqu'ils sont au pouvoir, et jusqu'à présent ils n'ont rien fait en ce domaine comme en d'autres, à part laisser cette AME augmenter. Les candidats à la présidence de l'UMP devraient se prononcer de façon claire sur ce qu'ils comptent faire en domaine, et ce sous forme d'engagement. La seule option valable est l'abrogation pure et simple de l'AME. L'état cherche à faire des économies? Que voilà une belle source!
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Où passe notre argent?
Enfin, il nous achève avec un « ce n’est pas cher, c’est l’État qui paye »…
Cet ectoplasme de la finance d’école élémentaire, où l’on devrait apprendre à simplement tenir le budget d’une famille, n’a toujours pas compris que l’État, bougre d’idiot intégral, c’est nous. Les moyens de l’État c’est l’addition des moyens de chaque citoyen et comme on est de moins en moins nombreux à pouvoir financer vos âneries, eh bien les moyens de l’État vont devoir connaître une nette diminution… Désormais, dans notre pays, nous sommes, au sens fiscal du terme, riches à partir de 2 000 euros net de revenu mensuel. C’est un résultat pitoyable.
Alors François ne voit pas de problème. Lorsqu’il met en place un nouveau dispositif, il explique doctement à la télé que ce n’est pas cher, c’est l’État qui paye… Et une grande partie des problèmes de notre pays vient de cet état d’esprit, de l’absence de respect du bien commun, de l’intérêt général. Économisons chacun pour que la sécu perdure. Économisons chacun pour que l’assurance chômage perdure… Mais non, c’est la gabegie autorisée, puisqu’au plus haut niveau de l’État, la pensée dominante c’est « ce n’est pas cher c’est l’État qui paye ».
Cet ectoplasme de la finance d’école élémentaire, où l’on devrait apprendre à simplement tenir le budget d’une famille, n’a toujours pas compris que l’État, bougre d’idiot intégral, c’est nous. Les moyens de l’État c’est l’addition des moyens de chaque citoyen et comme on est de moins en moins nombreux à pouvoir financer vos âneries, eh bien les moyens de l’État vont devoir connaître une nette diminution… Désormais, dans notre pays, nous sommes, au sens fiscal du terme, riches à partir de 2 000 euros net de revenu mensuel. C’est un résultat pitoyable.
Alors François ne voit pas de problème. Lorsqu’il met en place un nouveau dispositif, il explique doctement à la télé que ce n’est pas cher, c’est l’État qui paye… Et une grande partie des problèmes de notre pays vient de cet état d’esprit, de l’absence de respect du bien commun, de l’intérêt général. Économisons chacun pour que la sécu perdure. Économisons chacun pour que l’assurance chômage perdure… Mais non, c’est la gabegie autorisée, puisqu’au plus haut niveau de l’État, la pensée dominante c’est « ce n’est pas cher c’est l’État qui paye ».
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Ben oui, ça fait 33 ans que ça dure, honnêtement, le dernier premier ministre soucieux des deniers public fut Raymond Barre, comme par hasard le dernier aussi à avoir présenté un budget en équilibre...
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Où passe notre argent?
Bah, non. Raymond Barre. Le premier ministre qui empêcha les augmentations et de ce fait que mon père ait une retraite plus conséquente.phildlm a écrit:Ben oui, ça fait 33 ans que ça dure, honnêtement, le dernier premier ministre soucieux des deniers public fut Raymond Barre, comme par hasard le dernier aussi à avoir présenté un budget en équilibre...
Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Quand il n'y a pas de pognon dans la caisse, on n'augmente pas les salaires. Tout bon employeur qui sait gérer fait ça.
Ensuite je dirais qu'on augmente quelqu'un, non pas par ce que ça fait "quarante ans qu'il travaille..." mais par ce que le budget le permet, l'économie le permet, ensuite par ce que son travail est plus pro ou plus conséquent ou il travaille mieux ou etc...
Faut arrêter aussi ce truc français qui consiste à dire "on doit m'augmenter tous les ans" et quel devoir en contre partie ?
Si les gens ne sont pas contents d'être fonctionnaire ou dans des grosses boites et pas augmentés tous les ans, qu'ils montent leur propre boite et se payent (s'ils le peuvent) comme ils veulent.
Note du traducteur : Bien sûr, il faut les couilles qui vont avec.
Ensuite je dirais qu'on augmente quelqu'un, non pas par ce que ça fait "quarante ans qu'il travaille..." mais par ce que le budget le permet, l'économie le permet, ensuite par ce que son travail est plus pro ou plus conséquent ou il travaille mieux ou etc...
Faut arrêter aussi ce truc français qui consiste à dire "on doit m'augmenter tous les ans" et quel devoir en contre partie ?
Si les gens ne sont pas contents d'être fonctionnaire ou dans des grosses boites et pas augmentés tous les ans, qu'ils montent leur propre boite et se payent (s'ils le peuvent) comme ils veulent.
Note du traducteur : Bien sûr, il faut les couilles qui vont avec.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
1 Mon père n'était pas fonctionnaire.
2 Tirer sur le fonctionnaire, ça va cinq minutes. Depuis 2010, nous ne sommes pas augmentés. L'économie a bon dos.
Que les grincheux passent le concours et qu'ils fassent le boulot d'un fonctionnaire. Mais là, il faut aussi les couilles qui vont avec...
2 Tirer sur le fonctionnaire, ça va cinq minutes. Depuis 2010, nous ne sommes pas augmentés. L'économie a bon dos.
Que les grincheux passent le concours et qu'ils fassent le boulot d'un fonctionnaire. Mais là, il faut aussi les couilles qui vont avec...
Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Sans compter que la sécurité de l'emploi est toute relative. Dans certains cas, elle est plus importante dans le privé que dans le public. Dans le privé, tu n'est pas viré pour une faute commise hors de ton travail. Dans l'administration, oui. Exemple: tu renverses un piéton avec ta voiture. Même si tu n'es pas en tort, tu roulais à vitesse normale, sans avoir bu d'alcool. Tu es condamné pour homicide involontaire à un an de prison avec sursis. Dans le privé, tu gardes ton boulot. Dans la fonction publique, tu es viré et tu perds le droit à pension.
Et c'est pareil pour tout. Quand tu es fonctionnaire, tu n'a pas le droit au moindre écart. Une bagarre dans un bistrot et les ennuis commencent. Si un commerçant me roule, je la ferme car autrement, si le mec va se plaindre, j'ai tout de suite des ennuis.
L'administration a des avantages énormes, mais aussi ses inconvénients...
Pour en revenir à ce que disait Denis, c'est symptomatique: Barre a maintenu le budget en équilibre, mais au prix de sacrifices pour une partie de la population. On peut voir les choses sous cet angle: quand l'état est en déficit, ça peut être parce que les citoyens en ont profité. Les caisses de l'état sont vides, mais si on les remplit, ce sont les poches des citoyens qui vont se vider. Le problème actuel, c'est que les caisses sont vides, mais les citoyens n'en profitent pas, on sait très bien quels sont ceux qui en profitent, ce ne sont pas des citoyens, mais ils le seront lorsque le PS les aura régularisés...
Au fait, Philo, tu es arrêté à mi-parcours: quand il n'y a pas de pognon dans la caisse, on n'augmente pas les salaires. OK. Logique. Mais quand il y a du pognon dans la caisse, on ne les augmente pas non plus, dans les grosses entreprises. Depuis que je suis né, c'est comme ça: "ce n'est pas le moment", paraît-il. Mais ce n'est jamais le moment, avec eux... sauf pour les pontes du CAC 40. Il n'y a jamais de pognon pour augmenter les petits salaires, mais curieusement il y en a toujours pour les retraites chapeaux de ces messieurs... Comme foutage de gueule, on ne fait pas mieux. Alors, ce n'est peut-être qu'une minorité de grands patrons, mais enfin le fait est que ça existe, et que ça joue beaucoup dans l'impopularité du capitalisme libéral et du grand patronat.
Et c'est pareil pour tout. Quand tu es fonctionnaire, tu n'a pas le droit au moindre écart. Une bagarre dans un bistrot et les ennuis commencent. Si un commerçant me roule, je la ferme car autrement, si le mec va se plaindre, j'ai tout de suite des ennuis.
L'administration a des avantages énormes, mais aussi ses inconvénients...
Pour en revenir à ce que disait Denis, c'est symptomatique: Barre a maintenu le budget en équilibre, mais au prix de sacrifices pour une partie de la population. On peut voir les choses sous cet angle: quand l'état est en déficit, ça peut être parce que les citoyens en ont profité. Les caisses de l'état sont vides, mais si on les remplit, ce sont les poches des citoyens qui vont se vider. Le problème actuel, c'est que les caisses sont vides, mais les citoyens n'en profitent pas, on sait très bien quels sont ceux qui en profitent, ce ne sont pas des citoyens, mais ils le seront lorsque le PS les aura régularisés...
Au fait, Philo, tu es arrêté à mi-parcours: quand il n'y a pas de pognon dans la caisse, on n'augmente pas les salaires. OK. Logique. Mais quand il y a du pognon dans la caisse, on ne les augmente pas non plus, dans les grosses entreprises. Depuis que je suis né, c'est comme ça: "ce n'est pas le moment", paraît-il. Mais ce n'est jamais le moment, avec eux... sauf pour les pontes du CAC 40. Il n'y a jamais de pognon pour augmenter les petits salaires, mais curieusement il y en a toujours pour les retraites chapeaux de ces messieurs... Comme foutage de gueule, on ne fait pas mieux. Alors, ce n'est peut-être qu'une minorité de grands patrons, mais enfin le fait est que ça existe, et que ça joue beaucoup dans l'impopularité du capitalisme libéral et du grand patronat.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Où passe notre argent?
Denis, je parlais en général, pas précisément de ton père.
Phil, bien sûr, tout à fait d'accord pour les CAC40 et Cie et les augmentations qui n'arrivent pas quand il y a du pognon.
Phil, bien sûr, tout à fait d'accord pour les CAC40 et Cie et les augmentations qui n'arrivent pas quand il y a du pognon.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Y a bon la France
Les députés ont approuvé, mercredi 12 novembre, la création de 500 places d'hébergement supplémentaires pour les demandeurs d'asile afin de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] face à l'afflux de migrants à [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], conformément aux annonces du ministre de l'intérieur, Bernard Cazeneuve. Ces 500 places supplémentaires, votées par le biais d'un amendement du gouvernement dans le cadre du [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] de budget 2015, représenteront un coût de 3,5 millions d'euros qui sera compensé par des économies non précisées à ce stade.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
phildlm a écrit:[justify]Sans compter que la sécurité de l'emploi est toute relative. Dans certains cas, elle est plus importante dans le privé que dans le public. Dans le privé, tu n'est pas viré pour une faute commise hors de ton travail. Dans l'administration, oui. Exemple: tu renverses un piéton avec ta voiture. Même si tu n'es pas en tort, tu roulais à vitesse normale, sans avoir bu d'alcool. Tu es condamné pour homicide involontaire à un an de prison avec sursis. Dans le privé, tu gardes ton boulot. Dans la fonction publique, tu es viré et tu perds le droit à pension.
Et c'est pareil pour tout. Quand tu es fonctionnaire, tu n'a pas le droit au moindre écart. Une bagarre dans un bistrot et les ennuis commencent. Si un commerçant me roule, je la ferme car autrement, si le mec va se plaindre, j'ai tout de suite des ennuis.
L'administration a des avantages énormes, mais aussi ses inconvénients...
Moi, privé sous tutelle du public. Le gros avantage : la sécurité de l'emploi. Le gros inconvénient : salaires très bas.
Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Salaires très bas par rapport à quoi ?
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Bandes de cons.
Je ne voudrai aucun de ces dirigeants de mes deux dans ma boite, ils ont tout compris !
Je ne voudrai aucun de ces dirigeants de mes deux dans ma boite, ils ont tout compris !
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
L'UMP tombe le masque... Quant au PS, c'est typique, ce sont toujours des "économies non précisées à ce stade".
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Où passe notre argent?
Tu aurais dû t'arrêter à "Hollande débloque". Point.
Gestionnaire né ! Faudrait lui filer 1000 euros par mois avec deux enfants à charge et, peut-être, rien n'est moins sûr, comprendra-t-il le terme "gérer". Mais, il s'en fout, c'est "l'Etat qui paye" !!!
A moins que le peuple Français porte plainte contre lui pour dilapidation familiale !
Pauvre tâche... J'oserai résumer par ceci : un fou !
5ème définition du Larousse : Qui est contraire à la raison, à la sagesse, à la prudence.
Gestionnaire né ! Faudrait lui filer 1000 euros par mois avec deux enfants à charge et, peut-être, rien n'est moins sûr, comprendra-t-il le terme "gérer". Mais, il s'en fout, c'est "l'Etat qui paye" !!!
A moins que le peuple Français porte plainte contre lui pour dilapidation familiale !
Pauvre tâche... J'oserai résumer par ceci : un fou !
5ème définition du Larousse : Qui est contraire à la raison, à la sagesse, à la prudence.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Philo a écrit:A moins que le peuple Français porte plainte contre lui pour dilapidation familiale !
Hmmm, ça ferait un sacré ménage si on portait plainte contre tous les politiciens pour dilapidation...
Dearesttara- Roi (Reine)
- Age : 33
Localisation : Charenton (94)
Date d'inscription : 08/02/2010
Re: Où passe notre argent?
On ferait des charrettes comme en 1789.Dearesttara a écrit:Philo a écrit:A moins que le peuple Français porte plainte contre lui pour dilapidation familiale !
Hmmm, ça ferait un sacré ménage si on portait plainte contre tous les politiciens pour dilapidation...
Invité- Invité
5 faits choquants sur Ebola dont on ne parle pas
Parlons pognon :
La Lettre Santé Nature Innovation par Jean-Marc Dupuis est un service d'information gratuit sur la santé, la nutrition et le bien-être.
5 faits choquants sur Ebola dont on ne parle pas
Chère lectrice, cher lecteur,
En épluchant la presse internationale, j'ai relevé des faits choquants sur Ebola, que je voudrais partager avec vous.
Sans doute y en a-t-il d'autres, n'hésitez pas à les laisser en commentaire de cet article sur le site de Santé Nature Innovation.
1) Les équipements contre Ebola restent aux Etats-Unis
17 800 personnes ont contracté Ebola en Afrique de l'Ouest, contre 4 aux Etats-Unis.
Et pourtant, les combinaisons de protection contre Ebola sont de plus en plus difficiles à se procurer en Afrique à cause des commandes massives effectuées par le gouvernement américain, pour constituer ses propres stocks pour protéger son propre territoire !!
« Les hôpitaux et les agences gouvernementales aux Etats-Unis ont créé une pénurie d'équipements de protection contre Ebola dans certaines régions » a déclaré le Centre pour le contrôle et la Prévention des maladies des Etats-Unis, cité dans le Wall Street Journal du 24 novembre 2014 [1].
L'association humanitaire World Vision, active contre Ebola, a voulu acheter 20 000 équipements de protection, mais s'est aperçue que les stocks n'étaient plus disponibles aux Etats-Unis, tant il y avait de commandes pour les agences officielles [2].
Seul un petit nombre d'entreprises sont capables de produire ces équipements, et la psychose qui s'est emparée des Etats-Unis a créé une telle demande localement qu'il devient de plus en plus difficile de fournir les pays Africains.
2) Pénurie de kits de réhydratation dans toute l'Afrique
Il n'existe pas de traitement contre Ebola ; il faut apporter aux patients les soins d'hygiène de base, les nourrir, les hydrater et les transfuser lorsqu'ils perdent trop de sang, tout en prenant bien sûr les plus grandes précautions pour ne pas contaminer les soignants.
La plupart de kits de réhydratation sont donc accaparés pour la lutte contre Ebola.
Or, ces kits de réhydratation sont vitaux pour les enfants touchés par la simple diarrhée, une maladie qui tue par déshydratation 2195 enfants... par jour [3] !!
En trois jours, cela fait plus de morts que toute l'épidémie d'Ebola jusqu'à présent, qui a fait environ 6000 morts [4].
Ces décès par diarrhée sont d'autant plus injustes que, pour le coup, la solution est simplissime : il suffirait que ces enfants aient accès à de l'eau potable propre, et de les réhydrater correctement.
La mort par déshydratation menace aussi actuellement les enfants au Nigéria qui fuient Boko Haram : ils marchent pendant des jours pour échapper aux massacres des Islamistes et arrivent déshydratés dans les camps de réfugiés où ils ne peuvent plus être soignés, par défauts de kits de réhydratation, selon le témoignage de Margee Ensign, présidente de l'Université Américaine du Nigéria, qui aide à approvisionner ces camps [5].
3) Médecins et matériel de soin ne peuvent arriver partout
Pour endiguer l'épidémie, des gouvernements ont décidé de supprimer des liaisons aériennes, fermer les frontières et réduire les transports. Cela peut paraître a priori comme une simple mesure de bon sens.
Toutefois, en réfléchissant un peu (ce que n'ont pas fait tous les dirigeants), on s'aperçoit que cette mesure cause le grave inconvénient de freiner fortement l'acheminement des médecins, du personnel et du matériel médical nécessaires pour endiguer l'épidémie.
C'est ce dont s'est plaint Médecins Sans Frontières dès le début de la crise, et ce d'autant plus que des restrictions absolument insensées étaient prises. Nous avions mentionné dans un article précédent l'ordre de tirer à vue à la frontière. On peut aussi citer la décision de la Côte d'Ivoire de bloquer l'envoi de marchandises par bateau dans les pays touchés, faisant craindre une pénurie de nourriture et de pétrole, ou la compagnie Korean Air Lines qui a décidé de suspendre tous ses vols vers le Kenya. Pourtant, le Kenya n'a pas eu un seul cas d'Ebola et qui se trouve à 5000 kilomètres de la zone de danger [6].
4) La famine revient
Lorrenzo Dorr est un Libérien qui travaille dans les zone reculées du Libéria pour combattre Ebola.
Il raconte dans la presse ce qu'il observe sur le terrain. Les conséquences de la psychose autour d'Ebola sont visibles partout, et très inquiétantes :
« La sécurité alimentaire n'est plus assurée parce que les activités agricoles sont abandonnées. A cause de la peur d'Ebola, les gens ne veulent plus aller travailler dans les fermes. Habituellement, les gens travaillent en groupe, ils se rassemblent, mais maintenant ils ne se déplacent plus. Ils restent au même endroit et toute la région est en quarantaine. La situation alimentaire est très grave dans les zones les plus touchées. » [7]
C'est un problème qui m'avait inquiété dès le début de l'épidémie : le virus Ebola est d'autant plus dangereux qu'il s'attaque à des organismes affaiblis, dénutris.
Si nous aggravons la famine et la malnutrition dans ces régions déjà très pauvres en temps « normal », le virus n'en fera que plus de morts.
5) 50 millions de $ de royalties sur un vaccin contre Ebola
Mais Ebola ne fait pas que des malheureux, manifestement.
Le géant pharmaceutique Merck & Co a annoncé le 24 novembre 2014 avoir payé 50 millions de dollars pour les droits sur un vaccin expérimental contre Ebola développé par une société américaine, NewLink Genetics Corp.
La somme sera réglée en deux fois : 30 millions de dollars immédiatement, puis 20 millions de dollars supplémentaires lorsque les nouveaux tests cliniques seront en cours, pendant le premier trimestre 2015 [8].
Pourquoi un prix aussi faramineux ? Et comment les dirigeants de Merck & Co comptent-ils se « refaire » sur cette opération ?
C'est bien simple : ils savent qu'ils pourront vendre des millions de dose de vaccins aux gouvernements occidentaux, qui paieront avec l'argent des citoyens comme vous et moi, que nous soyons d'accord ou non.
Déjà les autorités sanitaires américaines ont donné leur accord pour un essai à grande échelle sur les êtres humains début 2015, ainsi que pour un vaccin développés par le concurrent GlaxoSmithKline.
Bien entendu, aucune garantie n'est donnée sur l'innocuité de ces vaccins. On se contentera de rappeler que des milliers de cas de narcolepsie (une maladie grave et invalidante) avaient été provoqués par la campagne totalement inutile et ruineuse de vaccination contre la grippe H1N1 [9].
Des leçons de cette tragique expérience ont-elles été tirées ? Il semble bien que non.
La suite du scénario
Pas plus que quiconque je n'ai de boule de cristal. Mais je me risque malgré tout à faire la prédiction suivante :
Que le virus Ebola continue ou non à se répandre sur le terrain (elle est en diminution au Libéria, le pays le plus touché, avec 20 nouveaux cas par semaine contre 80 au plus fort de l'épidémie, en septembre dernier [10]), la psychose va continuer à être entretenue dans les médias et dans les milieux politiques, pour justifier :
des rallonges budgétaires pour tous les « organismes internationaux » actifs dans cette lutte, et qui, à force de lobbying, sont en train d'obtenir 6,2 milliard de dollars [11], soit 1 million de dollars par personne décidée d'Ebola. Rappelons que, en Afrique, des millions de personnes meurent chaque année parce qu'on a pas su trouver quelques dollars pour un médicament contre la diarrhée citée plus haut, le paludisme, le choléra, la tuberculose et tout simplement la malnutrition ;
Des autorisations et bourses seront données hâtivement au complexe pharmaco-industriel pour tester des médicaments et des vaccins massivement sur des êtres humains, qui seront ensuite administrés, si nécessaire par la force, à de larges pans de la population.
Cela se produira en 2015.
Le troisième acte du scénario n'arrivera que plus tard, en 2016, 2017 ou peut-être 2018.
On s'apercevra que ces milliards ont été mal investis. Qu'ils ont largement enrichi des personnes et réseaux qui ne le méritaient pas forcément, et que les bienfaits des médicaments et vaccins avaient été fortement exagérés, leurs risques minimisés.
Des associations de victimes des médicaments et des vaccins seront créées, des procès retentissants auront lieu. Malheureusement, à ce moment, il sera trop tard. L'argent aura disparu. Les problèmes de santé provoqués par les médicaments et les vaccins resteront.
J'espère me tromper bien sûr.
Jean-Marc Dupuis
La Lettre Santé Nature Innovation par Jean-Marc Dupuis est un service d'information gratuit sur la santé, la nutrition et le bien-être.
5 faits choquants sur Ebola dont on ne parle pas
Chère lectrice, cher lecteur,
En épluchant la presse internationale, j'ai relevé des faits choquants sur Ebola, que je voudrais partager avec vous.
Sans doute y en a-t-il d'autres, n'hésitez pas à les laisser en commentaire de cet article sur le site de Santé Nature Innovation.
1) Les équipements contre Ebola restent aux Etats-Unis
17 800 personnes ont contracté Ebola en Afrique de l'Ouest, contre 4 aux Etats-Unis.
Et pourtant, les combinaisons de protection contre Ebola sont de plus en plus difficiles à se procurer en Afrique à cause des commandes massives effectuées par le gouvernement américain, pour constituer ses propres stocks pour protéger son propre territoire !!
« Les hôpitaux et les agences gouvernementales aux Etats-Unis ont créé une pénurie d'équipements de protection contre Ebola dans certaines régions » a déclaré le Centre pour le contrôle et la Prévention des maladies des Etats-Unis, cité dans le Wall Street Journal du 24 novembre 2014 [1].
L'association humanitaire World Vision, active contre Ebola, a voulu acheter 20 000 équipements de protection, mais s'est aperçue que les stocks n'étaient plus disponibles aux Etats-Unis, tant il y avait de commandes pour les agences officielles [2].
Seul un petit nombre d'entreprises sont capables de produire ces équipements, et la psychose qui s'est emparée des Etats-Unis a créé une telle demande localement qu'il devient de plus en plus difficile de fournir les pays Africains.
2) Pénurie de kits de réhydratation dans toute l'Afrique
Il n'existe pas de traitement contre Ebola ; il faut apporter aux patients les soins d'hygiène de base, les nourrir, les hydrater et les transfuser lorsqu'ils perdent trop de sang, tout en prenant bien sûr les plus grandes précautions pour ne pas contaminer les soignants.
La plupart de kits de réhydratation sont donc accaparés pour la lutte contre Ebola.
Or, ces kits de réhydratation sont vitaux pour les enfants touchés par la simple diarrhée, une maladie qui tue par déshydratation 2195 enfants... par jour [3] !!
En trois jours, cela fait plus de morts que toute l'épidémie d'Ebola jusqu'à présent, qui a fait environ 6000 morts [4].
Ces décès par diarrhée sont d'autant plus injustes que, pour le coup, la solution est simplissime : il suffirait que ces enfants aient accès à de l'eau potable propre, et de les réhydrater correctement.
La mort par déshydratation menace aussi actuellement les enfants au Nigéria qui fuient Boko Haram : ils marchent pendant des jours pour échapper aux massacres des Islamistes et arrivent déshydratés dans les camps de réfugiés où ils ne peuvent plus être soignés, par défauts de kits de réhydratation, selon le témoignage de Margee Ensign, présidente de l'Université Américaine du Nigéria, qui aide à approvisionner ces camps [5].
3) Médecins et matériel de soin ne peuvent arriver partout
Pour endiguer l'épidémie, des gouvernements ont décidé de supprimer des liaisons aériennes, fermer les frontières et réduire les transports. Cela peut paraître a priori comme une simple mesure de bon sens.
Toutefois, en réfléchissant un peu (ce que n'ont pas fait tous les dirigeants), on s'aperçoit que cette mesure cause le grave inconvénient de freiner fortement l'acheminement des médecins, du personnel et du matériel médical nécessaires pour endiguer l'épidémie.
C'est ce dont s'est plaint Médecins Sans Frontières dès le début de la crise, et ce d'autant plus que des restrictions absolument insensées étaient prises. Nous avions mentionné dans un article précédent l'ordre de tirer à vue à la frontière. On peut aussi citer la décision de la Côte d'Ivoire de bloquer l'envoi de marchandises par bateau dans les pays touchés, faisant craindre une pénurie de nourriture et de pétrole, ou la compagnie Korean Air Lines qui a décidé de suspendre tous ses vols vers le Kenya. Pourtant, le Kenya n'a pas eu un seul cas d'Ebola et qui se trouve à 5000 kilomètres de la zone de danger [6].
4) La famine revient
Lorrenzo Dorr est un Libérien qui travaille dans les zone reculées du Libéria pour combattre Ebola.
Il raconte dans la presse ce qu'il observe sur le terrain. Les conséquences de la psychose autour d'Ebola sont visibles partout, et très inquiétantes :
« La sécurité alimentaire n'est plus assurée parce que les activités agricoles sont abandonnées. A cause de la peur d'Ebola, les gens ne veulent plus aller travailler dans les fermes. Habituellement, les gens travaillent en groupe, ils se rassemblent, mais maintenant ils ne se déplacent plus. Ils restent au même endroit et toute la région est en quarantaine. La situation alimentaire est très grave dans les zones les plus touchées. » [7]
C'est un problème qui m'avait inquiété dès le début de l'épidémie : le virus Ebola est d'autant plus dangereux qu'il s'attaque à des organismes affaiblis, dénutris.
Si nous aggravons la famine et la malnutrition dans ces régions déjà très pauvres en temps « normal », le virus n'en fera que plus de morts.
5) 50 millions de $ de royalties sur un vaccin contre Ebola
Mais Ebola ne fait pas que des malheureux, manifestement.
Le géant pharmaceutique Merck & Co a annoncé le 24 novembre 2014 avoir payé 50 millions de dollars pour les droits sur un vaccin expérimental contre Ebola développé par une société américaine, NewLink Genetics Corp.
La somme sera réglée en deux fois : 30 millions de dollars immédiatement, puis 20 millions de dollars supplémentaires lorsque les nouveaux tests cliniques seront en cours, pendant le premier trimestre 2015 [8].
Pourquoi un prix aussi faramineux ? Et comment les dirigeants de Merck & Co comptent-ils se « refaire » sur cette opération ?
C'est bien simple : ils savent qu'ils pourront vendre des millions de dose de vaccins aux gouvernements occidentaux, qui paieront avec l'argent des citoyens comme vous et moi, que nous soyons d'accord ou non.
Déjà les autorités sanitaires américaines ont donné leur accord pour un essai à grande échelle sur les êtres humains début 2015, ainsi que pour un vaccin développés par le concurrent GlaxoSmithKline.
Bien entendu, aucune garantie n'est donnée sur l'innocuité de ces vaccins. On se contentera de rappeler que des milliers de cas de narcolepsie (une maladie grave et invalidante) avaient été provoqués par la campagne totalement inutile et ruineuse de vaccination contre la grippe H1N1 [9].
Des leçons de cette tragique expérience ont-elles été tirées ? Il semble bien que non.
La suite du scénario
Pas plus que quiconque je n'ai de boule de cristal. Mais je me risque malgré tout à faire la prédiction suivante :
Que le virus Ebola continue ou non à se répandre sur le terrain (elle est en diminution au Libéria, le pays le plus touché, avec 20 nouveaux cas par semaine contre 80 au plus fort de l'épidémie, en septembre dernier [10]), la psychose va continuer à être entretenue dans les médias et dans les milieux politiques, pour justifier :
des rallonges budgétaires pour tous les « organismes internationaux » actifs dans cette lutte, et qui, à force de lobbying, sont en train d'obtenir 6,2 milliard de dollars [11], soit 1 million de dollars par personne décidée d'Ebola. Rappelons que, en Afrique, des millions de personnes meurent chaque année parce qu'on a pas su trouver quelques dollars pour un médicament contre la diarrhée citée plus haut, le paludisme, le choléra, la tuberculose et tout simplement la malnutrition ;
Des autorisations et bourses seront données hâtivement au complexe pharmaco-industriel pour tester des médicaments et des vaccins massivement sur des êtres humains, qui seront ensuite administrés, si nécessaire par la force, à de larges pans de la population.
Cela se produira en 2015.
Le troisième acte du scénario n'arrivera que plus tard, en 2016, 2017 ou peut-être 2018.
On s'apercevra que ces milliards ont été mal investis. Qu'ils ont largement enrichi des personnes et réseaux qui ne le méritaient pas forcément, et que les bienfaits des médicaments et vaccins avaient été fortement exagérés, leurs risques minimisés.
Des associations de victimes des médicaments et des vaccins seront créées, des procès retentissants auront lieu. Malheureusement, à ce moment, il sera trop tard. L'argent aura disparu. Les problèmes de santé provoqués par les médicaments et les vaccins resteront.
J'espère me tromper bien sûr.
Jean-Marc Dupuis
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
On se demandait pourquoi la Cour des Comptes préconise de désindexer NOS retraites !
Voila ce que coûte un ex-Président de la République aux contribuables, d’ après le journal "Le Monde"
Peut être incroyable mais tristement réel......Voilà ce qu' un président français a droit après sa fin de mandat.
Si nous Français, on ne se rebelle pas contre un tel système ....alors moi je ne souhaite qu' une seule chose que leur durée de vie soit la plus courte possible!...
en espérant que leur "femme" ou dite comme telle, n' ait pas droit à une pension de réversion ! Cela serait un comble .............
CHIRAC /GISCARD/ SARKOZY
*Indemnité forfaitaire mensuelle de 6000 EUR
*Indemnité de retraite mensuelle de 11500 EUR
*Voiture / entretien / essence à vie...............payé par les contribuables
*2 chauffeurs garde du corps à vie..................payé par les contribuables
*1 bureau (combien de m2 et pour quoi faire ?) à vie......payé par les contribuables
* 7 collaborateurs à vie (rien de moins et pour quoi faire ?) ....payé par les contribuables
*Train en 1èreclasse gratuit, à vie et à volonté..................payé par les contribuables
*Avion en 1ère gratuit à vie et à volonté.................payé par les contribuables
*Accès libre et officiel à toutes les Ambassades de France à travers le monde (et pour quoi faire)
Etc…..etc…….la liste est bien longue et non exhaustive …………
Je me pose donc cette question :
"Au total combien de SMIC, combien de chômeurs en fin de droit, combien de minimas retraite…"
De plus, je vous rappelle que nous en avons 3 à charge :
Giscard, Chirac, Sarkozy
et......... dans 4 ans peut-être un 4ème. ?
Et on nous demande des sacrifices pour réduire la dette?
Faudrait peut-être arrêter de nous prendre pour des « imbéciles » !
Elle n’ est pas belle notre grande devise ? "Liberté/Égalité/Fraternité
Sûrement pas pour tout le monde………
Ne l' effacez surtout pas... faites suivre !!!
Voila ce que coûte un ex-Président de la République aux contribuables, d’ après le journal "Le Monde"
Peut être incroyable mais tristement réel......Voilà ce qu' un président français a droit après sa fin de mandat.
Si nous Français, on ne se rebelle pas contre un tel système ....alors moi je ne souhaite qu' une seule chose que leur durée de vie soit la plus courte possible!...
en espérant que leur "femme" ou dite comme telle, n' ait pas droit à une pension de réversion ! Cela serait un comble .............
CHIRAC /GISCARD/ SARKOZY
*Indemnité forfaitaire mensuelle de 6000 EUR
*Indemnité de retraite mensuelle de 11500 EUR
*Voiture / entretien / essence à vie...............payé par les contribuables
*2 chauffeurs garde du corps à vie..................payé par les contribuables
*1 bureau (combien de m2 et pour quoi faire ?) à vie......payé par les contribuables
* 7 collaborateurs à vie (rien de moins et pour quoi faire ?) ....payé par les contribuables
*Train en 1èreclasse gratuit, à vie et à volonté..................payé par les contribuables
*Avion en 1ère gratuit à vie et à volonté.................payé par les contribuables
*Accès libre et officiel à toutes les Ambassades de France à travers le monde (et pour quoi faire)
Etc…..etc…….la liste est bien longue et non exhaustive …………
Je me pose donc cette question :
"Au total combien de SMIC, combien de chômeurs en fin de droit, combien de minimas retraite…"
De plus, je vous rappelle que nous en avons 3 à charge :
Giscard, Chirac, Sarkozy
et......... dans 4 ans peut-être un 4ème. ?
Et on nous demande des sacrifices pour réduire la dette?
Faudrait peut-être arrêter de nous prendre pour des « imbéciles » !
Elle n’ est pas belle notre grande devise ? "Liberté/Égalité/Fraternité
Sûrement pas pour tout le monde………
Ne l' effacez surtout pas... faites suivre !!!
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Donc, si on veut faire des économies, il faudrait remettre Sarkozy au pouvoir en 2017, car en tant que président en exercice, il ne pourrait pas toucher de retraite, quand même?
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Où passe notre argent?
Un rapport enterre toute véritable réforme des intermittents du spectacle
Un régime intouchable en situation de déficit récurrent
On peine à le croire, et pourtant c’est vrai : dans les 52 pages du rapport, nulle trace du problème structurel de ce régime dérogatoire qui conduit à son déficit chronique. Il s’élève depuis dix ans à un milliard d’euros par an, soit un quart du déficit de l’Unedic [1], tandis que les intermittents ne représentent que 3,5% des bénéficiaires de l’assurance chômage [2]. Outre les règles d’indemnisation avantageuses, ce déficit prend sa source dans l’élargissement du champ des bénéficiaires depuis vingt ans. Leur nombre a explosé dans les années 1990, et malgré le durcissement des conditions d’accès au régime, il continue d’augmenter de 1% par an depuis 2007. Ils sont aujourd’hui 250.000 ; parmi eux environ 110.000 perçoivent des indemnités.
La réforme du régime des intermittents est le sujet incontournable de tous les ministres successifs de la Culture. Sur ce sujet, la route est semée d’embûches : grèves, pétitions, annulations de festivals, vitupérations médiatiques, le gouvernement n’a d’autre issue que de rétropédaler et de rappeler finalement le caractère fondamental d’un tel régime pour la culture française. 2014 n’a pas échappé à la règle : la convention du 14 mai 2014 qui faisait suite à l’accord du 22 mars 2014 entre le patronat et quelques syndicats (CFDT, CFTC, FO) ne faisait qu’insuffler un peu d’air (165 millions d’euros d’économies) dans la machine en jouant sur le levier du différé d’indemnisation, en créant un plafond de cumul salaires-indemnités et en augmentant les cotisations. La grande réforme dont ce régime complexe a besoin est encore reportée.
Un régime intouchable en situation de déficit récurrent
On peine à le croire, et pourtant c’est vrai : dans les 52 pages du rapport, nulle trace du problème structurel de ce régime dérogatoire qui conduit à son déficit chronique. Il s’élève depuis dix ans à un milliard d’euros par an, soit un quart du déficit de l’Unedic [1], tandis que les intermittents ne représentent que 3,5% des bénéficiaires de l’assurance chômage [2]. Outre les règles d’indemnisation avantageuses, ce déficit prend sa source dans l’élargissement du champ des bénéficiaires depuis vingt ans. Leur nombre a explosé dans les années 1990, et malgré le durcissement des conditions d’accès au régime, il continue d’augmenter de 1% par an depuis 2007. Ils sont aujourd’hui 250.000 ; parmi eux environ 110.000 perçoivent des indemnités.
La réforme du régime des intermittents est le sujet incontournable de tous les ministres successifs de la Culture. Sur ce sujet, la route est semée d’embûches : grèves, pétitions, annulations de festivals, vitupérations médiatiques, le gouvernement n’a d’autre issue que de rétropédaler et de rappeler finalement le caractère fondamental d’un tel régime pour la culture française. 2014 n’a pas échappé à la règle : la convention du 14 mai 2014 qui faisait suite à l’accord du 22 mars 2014 entre le patronat et quelques syndicats (CFDT, CFTC, FO) ne faisait qu’insuffler un peu d’air (165 millions d’euros d’économies) dans la machine en jouant sur le levier du différé d’indemnisation, en créant un plafond de cumul salaires-indemnités et en augmentant les cotisations. La grande réforme dont ce régime complexe a besoin est encore reportée.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Selon une étude du député socialiste René Dosière, Valéry Giscard d'Estaing coûte 2,5 millions d'euros par an à l'État, devant Nicolas Sarkozy (2,2 millions) et Jacques Chirac (1,5 million). Ce budget ne comprend pas le traitement mensuel des anciens présidents (environ 6000 euros par an), ni la rémunération mensuelle de membre du Conseil constitutionnel (12.000 euros) que Valéry Giscard d'Estaing est le seul à toucher.
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