Où passe notre argent?
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Sagesse
phildlm
Philo
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CHAPEAU MELON ET BOTTES DE CUIR - LE MONDE DES AVENGERS :: Le CAFÉ Avengers (Ouvert sous modération)
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Re: Où passe notre argent?
Les 1400 djihadistes de France en Syrie continuent de toucher jusqu’à 2200€/mois
«les CAF de la région Sud-Ouest compteraient une dizaine de cas de personnes parties faire le djihad en Syrie et qui toucheraient toujours leurs allocations. L’un d’eux continuerait par exemple de percevoir 2.200 euros chaque mois. »
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«les CAF de la région Sud-Ouest compteraient une dizaine de cas de personnes parties faire le djihad en Syrie et qui toucheraient toujours leurs allocations. L’un d’eux continuerait par exemple de percevoir 2.200 euros chaque mois. »
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Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Cette personne, recensée par les allocations familiales comme "handicapée à 100%"
dans 3 départements sous le même nom est aussi mère de 9 enfants nés entre 2008 et 2010, (...sic...) elle bénéficie à ce titre de plus de 7.000 euros mensuels.
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Plus besoin d'aller à Lourdes ... No comment !!! Les "chances pour la France". Et surtout pas d'amalgame.
Chacun de ses 6 "maris" se voit octroyer le RSA car ils ne trouvent pas de travail en France, se devant d'entretenir les immeubles mis en location au Maghreb. Une de ses filles a porté plainte pour la diffusion de cette photo prise à l'insu de sa "pauvre mère" !!!
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dans 3 départements sous le même nom est aussi mère de 9 enfants nés entre 2008 et 2010, (...sic...) elle bénéficie à ce titre de plus de 7.000 euros mensuels.
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Plus besoin d'aller à Lourdes ... No comment !!! Les "chances pour la France". Et surtout pas d'amalgame.
Chacun de ses 6 "maris" se voit octroyer le RSA car ils ne trouvent pas de travail en France, se devant d'entretenir les immeubles mis en location au Maghreb. Une de ses filles a porté plainte pour la diffusion de cette photo prise à l'insu de sa "pauvre mère" !!!
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Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Les terroristes déchus de leur nationalité par Cazeneuve pourraient rester en France
Bernard Cazeneuve a demandé cette mesure pour cinq individus qui pourraient bien finir assignés à résidence en France aux frais du contribuable.
La fermeté affichée de Beauvau contre des terroristes présumés en France pourrait être mise à mal. Bernard Cazeneuve, qui, le 6 octobre, a demandé la déchéance de la nationalité française de cinq binationaux, condamnés pour terrorisme, pourrait se heurter à un mur judiciaire dont l’efficacité a déjà été démontrée par le passé. Saisie dans ces affaires, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) empêche, en effet, dans bien des cas l’objectif qui est en réalité visé dans ces procédures: l’expulsion. Cet échec aboutit alors à une situation sidérante. Au lieu de se débarrasser d’individus indésirables qui n’ont plus que le statut d’étrangers, la France doit les assigner à résidence sur son territoire et subvenir à leurs besoins.
Bernard Cazeneuve a demandé cette mesure pour cinq individus qui pourraient bien finir assignés à résidence en France aux frais du contribuable.
La fermeté affichée de Beauvau contre des terroristes présumés en France pourrait être mise à mal. Bernard Cazeneuve, qui, le 6 octobre, a demandé la déchéance de la nationalité française de cinq binationaux, condamnés pour terrorisme, pourrait se heurter à un mur judiciaire dont l’efficacité a déjà été démontrée par le passé. Saisie dans ces affaires, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) empêche, en effet, dans bien des cas l’objectif qui est en réalité visé dans ces procédures: l’expulsion. Cet échec aboutit alors à une situation sidérante. Au lieu de se débarrasser d’individus indésirables qui n’ont plus que le statut d’étrangers, la France doit les assigner à résidence sur son territoire et subvenir à leurs besoins.
Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
ça apprendra aux français de voter à gauche... et à droite !
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Plusieurs fois par semaine, un jet privé loué par l’Etat quitte Calais. A son bord, une poignée de migrants sous escorte policière. Rennes, Nîmes, Metz : ils sont transférés et libérés quelques jours plus tard. 1,5 million d’euros par an s’envolent ainsi.
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Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Affolant !
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Il n'y a plus de limite dans la connerie au PS. Bruno Le Roux n'est pas choqué par l'évacuation de migrants en jet privé. Mais comme a dit Hollande : «Ce n'est pas cher, c'est l’État qui paie» A noter que l'info du jet sur fdesouche depuis 24h est sortie dans la presse bien-pensante.
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Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Après le jet, le catamaran...
L’affaire pourrait faire grand bruit : plusieurs détenus de la prison Nazareth de Vannes, considérés comme potentiellement « en voie de radicalisation » bénéficient de plusieurs ateliers « de réinsertion » financés par le contribuable via les collectivités territoriales.
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L’affaire pourrait faire grand bruit : plusieurs détenus de la prison Nazareth de Vannes, considérés comme potentiellement « en voie de radicalisation » bénéficient de plusieurs ateliers « de réinsertion » financés par le contribuable via les collectivités territoriales.
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Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
On croit rêver !
Bientôt, va falloir leur prêter nos femmes...
Bientôt, va falloir leur prêter nos femmes...
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Ce soir-là, Sarah, 17 ans, rentre d'une soirée passée avec des amis.
Son petit copain la raccompagne chez elle, à Montreuil en région parisienne.
Mais à quelques pas de son domicile, trois hommes cagoulés leur tombent dessus. Ils aspergent son ami de gaz lacrymogène, le rouent de coups. Ils tentent d'arracher le téléphone portable de Sarah. Elle résiste, se met à crier. L'un des agresseurs sort un couteau, et lui plante dans le ventre, à plusieurs reprises, avant de détaler avec ses complices.
La jeune fille se traîne jusque chez elle, et réveille sa mère.
Témoignage de la mère de Sarah sur RTL :
"Sarah m'a dit : Maman tu dois appeler la police. Je me suis réveillée en sursaut, elle était couverte de sang"
Prise en charge rapidement par les secours, le foie et un rein perforés, Sarah sera hospitalisée plusieurs jours avant d'être mise hors de danger.
Ses agresseurs ont été retrouvés par la police quelques jours plus tard. Ils ont 14, 15 et 16 ans.
Intervention d’un policier présent au moment des faits :
"L'auteur des coups de couteau – c'est très grave, a quand même 15 ans, celui qui a utilisé le gaz lacrymogène a 14 ans…"
Ils étaient "bien connus des services de police" : deux d'entre eux avaient déjà été condamnés à plusieurs reprises pour vols avec violence. Puis remis en liberté.
Retournés à la rue, convaincus de leur impunité, ils ont repris leurs larcins : 19 agressions en quelques semaines, dans ce même quartier.
Des agressions de plus en plus fréquentes, de plus en plus violentes… jusqu'au soir où ces voyous aguerris s'en sont pris à Sarah et son ami. Elle portera les séquelles de cette agression toute sa vie.
On aurait pu éviter ça. Si la justice n'avait pas été aussi laxiste envers ces délinquants !
Imaginez : ils avaient déjà été identifiés par la police, reconnus coupables par la justice, pour de précédentes agressions. Mais jamais réellement punis.
Au lieu d'être remis dans le droit chemin, ils ont été remis en liberté.
Avec un sentiment d'impunité grandissant.
Et vous n'avez encore rien vu...
Savez-vous qu'aujourd'hui, en France, la grande majorité des voyous arrêtés pour des faits de vol avec violence ne vont pas en prison ?
Vol à l'arrachée, vol de voiture à l'arrêt en tabassant le conducteur, cambriolage et séquestration de personnes, chez elles, avec menaces sur leur conjoint ou leurs enfant pour obtenir un code de carte bleue, racket, vol de téléphone avec passage à tabac dans un lieu public...
Les auteurs de ces agressions, quand ils sont arrêtés, ne passent pas ne serait-ce qu'un mois en prison.
Devant un tel laxisme des autorités judiciaires, qu'est-ce-qui les empêche de récidiver, puisqu'ils ne risquent aucune sanction ?...
...Résultat : l'année dernière, on a passé la barre d'un demi-million d'agressions !
Vous vous souvenez sans doute de la prise d'assaut du RER B l'année dernière, en région parisienne ? Un scénario digne d'une attaque de diligence dans un film de Far West !
Une vingtaine d'agresseurs, le visage dissimulé par des écharpes ou des capuches, avaient pris d'assaut un train à la gare de Grigny. Les passagers avaient été rançonnés violement, parfois frappés au visage ou dans les côtes, pour des téléphones portables, des portefeuilles et des sacs à main.
Et bien, aucun de ces agresseurs n'est allé en prison. Ils ont été arrêtés, jugés, et ont eu du sursis – c'est-à-dire qu'ils sont condamnés sur le papier, mais libres comme l'air dans la réalité !
Résultat : quelques jours plus tard, ils recommençaient : 4 d'entre eux étaient à nouveau accusés de vol avec violence et racket… à la même gare de Grigny !
Ils savent bien que leurs crimes ne sont jamais punis. Alors, pourquoi s'arrêter ?
Ce laxisme des autorités judiciaires créé un sentiment d'impunité grandissant chez les voyous.
Convaincus qu'il ne leur arrivera rien, ceux qui commencent en commettant de petits larcins récidivent, de façon de plus en plus brutale, de plus en plus violente...
...jusqu'à en arriver à planter un couteau dans le ventre d'une jeune fille, à même pas 15 ans !
Combien de crimes auraient pu être évités si la justice n'avait pas été aussi laxiste ?
Aujourd'hui, en laissant traîner dehors, sans crainte d'être inquiétés pour leurs forfaits, des délinquants avérés, la justice met en danger la sécurité de toute la population.
Et ça, les gens le savent bien. Qui n'a jamais ressenti, une seule fois dans sa vie, la peur d'être agressé ?
Imaginez qu'aujourd'hui, la majeure partie des gens n'ose même plus intervenir dans une bagarre ou une agression, de peur de prendre un mauvais coup. Par un agresseur "prêt à tout".
La plupart des agressions dans les lieux publics relatées dans les journaux font état d'une "foule passive, qui regardait ailleurs".
En avril dernier, Cécile, 29 ans, est agressée sexuellement par un homme dans le métro de Lille.
Elle se débat, crie, appelle à l'aide. Les passagers font comme s'ils n'avaient rien vu, et quittent la rame, la laissant seule face à son agresseur. Elle témoigne :
"Je me suis approchée d'un homme, il ne m'a même pas défendue, il avait son walkman sur les oreilles et faisait comme si rien ne se passait".
Ce jour-là, Cécile n'a dû son salut qu'à son propre courage : ayant réussi à s'extraire du wagon, elle a pu échapper à son agresseur.
Mais la question reste en suspens : pourquoi personne ne lui est venu en aide ?
L'agresseur était seul, et alcoolisé. Il aurait suffi de 2 ou 3 personnes pour le maîtriser, appeler la police et sauver Cécile de son calvaire.
Il y a quelques dizaines d'années encore, personne n'aurait hésité à intervenir – il aurait même été impensable de ne rien faire !
Oui mais… A cette époque, les agresseurs reconnus coupables et condamnés à une peine de prison, étaient effectivement contraints de purger leur peine !
"être condamné" voulait réellement dire quelque chose. Et les voyous réfléchissaient à deux fois avant de passer à l'acte.
On ne plantait pas tranquillement un couteau dans le ventre de quelqu'un, en se disant que de toute façon on ne risquait pas d'être inquiété par la justice !
Comme l'a dit le Général Soubelet, n°3 de la gendarmerie nationale, devant les députés à l'Assemblée nationale à propos de l'augmentation des cambriolages :
"quand vous relâchez 65 % de ceux qui se sont rendus coupables d'un certain nombre d'exactions, comment voulez-vous que les chiffres baissent ?"
Aujourd'hui, plus de 100 000 peines de prison sont "en attente d'exécution". C'est-à-dire que les personnes ont été reconnues coupables, condamnées par un tribunal, mais sont toujours dehors, souvent en attendant qu'une place se libère !
Du coup, la moitié de ces condamnés n'iront jamais en prison, leur peine sera « aménagée » ou tout simplement abandonnée.
Pour les autres, on fera de la place... En libérant des détenus avant la fin de leur peine !
Avez-vous déjà entendu parler de la "réduction de peine automatique" ?
C'est un dispositif qui permet aux condamnés de sortir de prison avant la fin de leur peine, et ce, sans qu’aucun comportement positif ne soit exigé.
Et quel que soit l'avis des experts qui suivent son dossier...
Juillet 2014, à Saint-Magne en Gironde : Colette Beyriès, 74 ans, est tuée à l'arme à feu, puis son corps est carbonisé avec toute sa maison.
Quelques jours plus tard, la police retrouve le meurtrier : il s'agit de Jean-Michel Dupin, un homme de 42 ans bien connu des services de police, et pour cause : en 1994, il avait été condamné à 20 ans de réclusion pour un meurtre particulièrement violent.
Au bout de 8 ans, même pas à la moitié de sa peine, les autorités judiciaires décident de le libérer. Le psychiatre qui suivait son dossier avait pourtant émis une réserve, et de taille : "attention à ne pas déclencher sa violence".
Face à un tel diagnostic, le bon sens aurait été de garder Jean-Michel Dupin en prison - dans le doute...
Et bien non. En 2002, le voici qui sort…
Il ne lui faudra que quelques mois pour être de nouveau incarcéré, cette fois pour violences aggravées et agressions sexuelles sur mineures.
En avril 2014, la justice le libère encore une fois – et encore une fois, bien avant la fin de sa peine ! Trois mois plus tard, il croisait le chemin de la pauvre Colette...
Un fait divers pour les médias, mais ici à l'Institut pour la Justice, c'est tous les jours que nous recevons des appels de victimes ou de leurs familles, qui ne comprennent pas comment la justice française peut être aussi laxiste envers les délinquants et les criminels, et mettre la population en danger.
Mais ça, malheureusement, on ne s'en rend compte en général que lorsque l'un de nos proches est touché – et qu'il est déjà trop tard...
La fille d'Aïcha a été tuée de 18 coups de couteau par un récidiviste. Condamné à 15 ans pour le meurtre sauvage d'une mère de famille, il était sorti au bout de 7 ans et avait récidivé immédiatement en donnant la mort à la fille d'Aïcha.
Pour cette maman, la douleur est d'autant plus insupportable que cette pensée taraude ses jours et ses nuits : si cet homme avait purgé jusqu'au bout la peine à laquelle le tribunal l'avait condamné, sa fille serait encore en vie aujourd'hui...
C'est pour se battre contre ce laxisme criminel des autorités judiciaires, pour que ce qui est arrivé à sa fille n'arrive pas à d'autres, qu'Aïcha a rejoint le collectif de victimes de l'Institut pour la Justice.
Comme des dizaines d'autres parents, frères, sœurs, enfants de victimes. Ou victimes elles-mêmes.
Comme Sylvia, victime d'une agression sexuelle particulièrement violente. Lors du procès de son agresseur, elle avait insisté sur le caractère extrêmement dangereux de l'individu. Il est condamné à 10 ans, et ressort au bout de 4. Un an plus tard, il récidive, et tue Natacha Mougel, qui lui avait résisté. Une centaine de coups de tournevis, dans la tête, le cou, le ventre, le thorax. Lors du procès, l'homme décrira la lente agonie de sa victime, d'un ton froid et détaché.
Comment la justice a-t-elle pu laisser sortir ce criminel aussi rapidement ? Et aussi facilement ?...
Beaucoup vous répondront que les autorités judiciaires sont débordées. Qu'il y a trop de monde en prison, et qu'il faut faire de la place.
En libérant les criminels les plus dangereux ??
La France compte aujourd'hui 67 000 détenus, pour 57 000 places de prison. Et, je vous l'ai dit tout à l'heure, 100 000 peines sont "en attente d'exécution" chaque année.
Doit-on régler le problème en libérant tous les détenus actuels et en les remplaçant par ceux condamnés plus récemment, peu importe si on remet dans la nature de dangereux psychopathes ou des pédophiles ?
Ou va-t-on enfin agir avec bon sens et construire, tout simplement, les places de prison qui manquent ?
Et qu'on ne nous dise pas que l'argent est un problème : à défaut d'offrir aux détenus des conditions de détention dignes (ils peuvent être jusque 3 dans 9m²), les autorités se dédouanent en leur payant la télé, une salle de muscu, une cantine 3 étoiles avec plusieurs choix de plat. Et aussi des activités sportives, des loisirs extérieurs...
La presse avait un jour relaté l'évasion d'un détenu qui participait… à un stage de parapente !
On marche sur la tête.
Je ne suis pas en train de dire qu'il faut envoyer tout le monde en prison, dans des conditions inhumaines.
Je dis juste que tout cet argent serait bien mieux utilisé pour construire des places de prison, où les détenus pourraient purger décemment, mais totalement, la peine prononcée pour les crimes qu'ils ont commis.
C'est pour tenter de redonner du sens à la justice que l'Institut pour la Justice a été créé, il y a maintenant 7 ans.
Pour réunir victimes, experts judiciaires et citoyens concernés et que, tous ensemble, on agisse pour redonner à la Justice sa mission première :
Protéger les citoyens, et condamner les criminels à hauteur de leurs responsabilités
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Son petit copain la raccompagne chez elle, à Montreuil en région parisienne.
Mais à quelques pas de son domicile, trois hommes cagoulés leur tombent dessus. Ils aspergent son ami de gaz lacrymogène, le rouent de coups. Ils tentent d'arracher le téléphone portable de Sarah. Elle résiste, se met à crier. L'un des agresseurs sort un couteau, et lui plante dans le ventre, à plusieurs reprises, avant de détaler avec ses complices.
La jeune fille se traîne jusque chez elle, et réveille sa mère.
Témoignage de la mère de Sarah sur RTL :
"Sarah m'a dit : Maman tu dois appeler la police. Je me suis réveillée en sursaut, elle était couverte de sang"
Prise en charge rapidement par les secours, le foie et un rein perforés, Sarah sera hospitalisée plusieurs jours avant d'être mise hors de danger.
Ses agresseurs ont été retrouvés par la police quelques jours plus tard. Ils ont 14, 15 et 16 ans.
Intervention d’un policier présent au moment des faits :
"L'auteur des coups de couteau – c'est très grave, a quand même 15 ans, celui qui a utilisé le gaz lacrymogène a 14 ans…"
Ils étaient "bien connus des services de police" : deux d'entre eux avaient déjà été condamnés à plusieurs reprises pour vols avec violence. Puis remis en liberté.
Retournés à la rue, convaincus de leur impunité, ils ont repris leurs larcins : 19 agressions en quelques semaines, dans ce même quartier.
Des agressions de plus en plus fréquentes, de plus en plus violentes… jusqu'au soir où ces voyous aguerris s'en sont pris à Sarah et son ami. Elle portera les séquelles de cette agression toute sa vie.
On aurait pu éviter ça. Si la justice n'avait pas été aussi laxiste envers ces délinquants !
Imaginez : ils avaient déjà été identifiés par la police, reconnus coupables par la justice, pour de précédentes agressions. Mais jamais réellement punis.
Au lieu d'être remis dans le droit chemin, ils ont été remis en liberté.
Avec un sentiment d'impunité grandissant.
Et vous n'avez encore rien vu...
Savez-vous qu'aujourd'hui, en France, la grande majorité des voyous arrêtés pour des faits de vol avec violence ne vont pas en prison ?
Vol à l'arrachée, vol de voiture à l'arrêt en tabassant le conducteur, cambriolage et séquestration de personnes, chez elles, avec menaces sur leur conjoint ou leurs enfant pour obtenir un code de carte bleue, racket, vol de téléphone avec passage à tabac dans un lieu public...
Les auteurs de ces agressions, quand ils sont arrêtés, ne passent pas ne serait-ce qu'un mois en prison.
Devant un tel laxisme des autorités judiciaires, qu'est-ce-qui les empêche de récidiver, puisqu'ils ne risquent aucune sanction ?...
...Résultat : l'année dernière, on a passé la barre d'un demi-million d'agressions !
Vous vous souvenez sans doute de la prise d'assaut du RER B l'année dernière, en région parisienne ? Un scénario digne d'une attaque de diligence dans un film de Far West !
Une vingtaine d'agresseurs, le visage dissimulé par des écharpes ou des capuches, avaient pris d'assaut un train à la gare de Grigny. Les passagers avaient été rançonnés violement, parfois frappés au visage ou dans les côtes, pour des téléphones portables, des portefeuilles et des sacs à main.
Et bien, aucun de ces agresseurs n'est allé en prison. Ils ont été arrêtés, jugés, et ont eu du sursis – c'est-à-dire qu'ils sont condamnés sur le papier, mais libres comme l'air dans la réalité !
Résultat : quelques jours plus tard, ils recommençaient : 4 d'entre eux étaient à nouveau accusés de vol avec violence et racket… à la même gare de Grigny !
Ils savent bien que leurs crimes ne sont jamais punis. Alors, pourquoi s'arrêter ?
Ce laxisme des autorités judiciaires créé un sentiment d'impunité grandissant chez les voyous.
Convaincus qu'il ne leur arrivera rien, ceux qui commencent en commettant de petits larcins récidivent, de façon de plus en plus brutale, de plus en plus violente...
...jusqu'à en arriver à planter un couteau dans le ventre d'une jeune fille, à même pas 15 ans !
Combien de crimes auraient pu être évités si la justice n'avait pas été aussi laxiste ?
Aujourd'hui, en laissant traîner dehors, sans crainte d'être inquiétés pour leurs forfaits, des délinquants avérés, la justice met en danger la sécurité de toute la population.
Et ça, les gens le savent bien. Qui n'a jamais ressenti, une seule fois dans sa vie, la peur d'être agressé ?
Imaginez qu'aujourd'hui, la majeure partie des gens n'ose même plus intervenir dans une bagarre ou une agression, de peur de prendre un mauvais coup. Par un agresseur "prêt à tout".
La plupart des agressions dans les lieux publics relatées dans les journaux font état d'une "foule passive, qui regardait ailleurs".
En avril dernier, Cécile, 29 ans, est agressée sexuellement par un homme dans le métro de Lille.
Elle se débat, crie, appelle à l'aide. Les passagers font comme s'ils n'avaient rien vu, et quittent la rame, la laissant seule face à son agresseur. Elle témoigne :
"Je me suis approchée d'un homme, il ne m'a même pas défendue, il avait son walkman sur les oreilles et faisait comme si rien ne se passait".
Ce jour-là, Cécile n'a dû son salut qu'à son propre courage : ayant réussi à s'extraire du wagon, elle a pu échapper à son agresseur.
Mais la question reste en suspens : pourquoi personne ne lui est venu en aide ?
L'agresseur était seul, et alcoolisé. Il aurait suffi de 2 ou 3 personnes pour le maîtriser, appeler la police et sauver Cécile de son calvaire.
Il y a quelques dizaines d'années encore, personne n'aurait hésité à intervenir – il aurait même été impensable de ne rien faire !
Oui mais… A cette époque, les agresseurs reconnus coupables et condamnés à une peine de prison, étaient effectivement contraints de purger leur peine !
"être condamné" voulait réellement dire quelque chose. Et les voyous réfléchissaient à deux fois avant de passer à l'acte.
On ne plantait pas tranquillement un couteau dans le ventre de quelqu'un, en se disant que de toute façon on ne risquait pas d'être inquiété par la justice !
Comme l'a dit le Général Soubelet, n°3 de la gendarmerie nationale, devant les députés à l'Assemblée nationale à propos de l'augmentation des cambriolages :
"quand vous relâchez 65 % de ceux qui se sont rendus coupables d'un certain nombre d'exactions, comment voulez-vous que les chiffres baissent ?"
Aujourd'hui, plus de 100 000 peines de prison sont "en attente d'exécution". C'est-à-dire que les personnes ont été reconnues coupables, condamnées par un tribunal, mais sont toujours dehors, souvent en attendant qu'une place se libère !
Du coup, la moitié de ces condamnés n'iront jamais en prison, leur peine sera « aménagée » ou tout simplement abandonnée.
Pour les autres, on fera de la place... En libérant des détenus avant la fin de leur peine !
Avez-vous déjà entendu parler de la "réduction de peine automatique" ?
C'est un dispositif qui permet aux condamnés de sortir de prison avant la fin de leur peine, et ce, sans qu’aucun comportement positif ne soit exigé.
Et quel que soit l'avis des experts qui suivent son dossier...
Juillet 2014, à Saint-Magne en Gironde : Colette Beyriès, 74 ans, est tuée à l'arme à feu, puis son corps est carbonisé avec toute sa maison.
Quelques jours plus tard, la police retrouve le meurtrier : il s'agit de Jean-Michel Dupin, un homme de 42 ans bien connu des services de police, et pour cause : en 1994, il avait été condamné à 20 ans de réclusion pour un meurtre particulièrement violent.
Au bout de 8 ans, même pas à la moitié de sa peine, les autorités judiciaires décident de le libérer. Le psychiatre qui suivait son dossier avait pourtant émis une réserve, et de taille : "attention à ne pas déclencher sa violence".
Face à un tel diagnostic, le bon sens aurait été de garder Jean-Michel Dupin en prison - dans le doute...
Et bien non. En 2002, le voici qui sort…
Il ne lui faudra que quelques mois pour être de nouveau incarcéré, cette fois pour violences aggravées et agressions sexuelles sur mineures.
En avril 2014, la justice le libère encore une fois – et encore une fois, bien avant la fin de sa peine ! Trois mois plus tard, il croisait le chemin de la pauvre Colette...
Un fait divers pour les médias, mais ici à l'Institut pour la Justice, c'est tous les jours que nous recevons des appels de victimes ou de leurs familles, qui ne comprennent pas comment la justice française peut être aussi laxiste envers les délinquants et les criminels, et mettre la population en danger.
Mais ça, malheureusement, on ne s'en rend compte en général que lorsque l'un de nos proches est touché – et qu'il est déjà trop tard...
La fille d'Aïcha a été tuée de 18 coups de couteau par un récidiviste. Condamné à 15 ans pour le meurtre sauvage d'une mère de famille, il était sorti au bout de 7 ans et avait récidivé immédiatement en donnant la mort à la fille d'Aïcha.
Pour cette maman, la douleur est d'autant plus insupportable que cette pensée taraude ses jours et ses nuits : si cet homme avait purgé jusqu'au bout la peine à laquelle le tribunal l'avait condamné, sa fille serait encore en vie aujourd'hui...
C'est pour se battre contre ce laxisme criminel des autorités judiciaires, pour que ce qui est arrivé à sa fille n'arrive pas à d'autres, qu'Aïcha a rejoint le collectif de victimes de l'Institut pour la Justice.
Comme des dizaines d'autres parents, frères, sœurs, enfants de victimes. Ou victimes elles-mêmes.
Comme Sylvia, victime d'une agression sexuelle particulièrement violente. Lors du procès de son agresseur, elle avait insisté sur le caractère extrêmement dangereux de l'individu. Il est condamné à 10 ans, et ressort au bout de 4. Un an plus tard, il récidive, et tue Natacha Mougel, qui lui avait résisté. Une centaine de coups de tournevis, dans la tête, le cou, le ventre, le thorax. Lors du procès, l'homme décrira la lente agonie de sa victime, d'un ton froid et détaché.
Comment la justice a-t-elle pu laisser sortir ce criminel aussi rapidement ? Et aussi facilement ?...
Beaucoup vous répondront que les autorités judiciaires sont débordées. Qu'il y a trop de monde en prison, et qu'il faut faire de la place.
En libérant les criminels les plus dangereux ??
La France compte aujourd'hui 67 000 détenus, pour 57 000 places de prison. Et, je vous l'ai dit tout à l'heure, 100 000 peines sont "en attente d'exécution" chaque année.
Doit-on régler le problème en libérant tous les détenus actuels et en les remplaçant par ceux condamnés plus récemment, peu importe si on remet dans la nature de dangereux psychopathes ou des pédophiles ?
Ou va-t-on enfin agir avec bon sens et construire, tout simplement, les places de prison qui manquent ?
Et qu'on ne nous dise pas que l'argent est un problème : à défaut d'offrir aux détenus des conditions de détention dignes (ils peuvent être jusque 3 dans 9m²), les autorités se dédouanent en leur payant la télé, une salle de muscu, une cantine 3 étoiles avec plusieurs choix de plat. Et aussi des activités sportives, des loisirs extérieurs...
La presse avait un jour relaté l'évasion d'un détenu qui participait… à un stage de parapente !
On marche sur la tête.
Je ne suis pas en train de dire qu'il faut envoyer tout le monde en prison, dans des conditions inhumaines.
Je dis juste que tout cet argent serait bien mieux utilisé pour construire des places de prison, où les détenus pourraient purger décemment, mais totalement, la peine prononcée pour les crimes qu'ils ont commis.
C'est pour tenter de redonner du sens à la justice que l'Institut pour la Justice a été créé, il y a maintenant 7 ans.
Pour réunir victimes, experts judiciaires et citoyens concernés et que, tous ensemble, on agisse pour redonner à la Justice sa mission première :
Protéger les citoyens, et condamner les criminels à hauteur de leurs responsabilités
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Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Je suis tout à fait d'accord. Et j'ajoute que ça m'étonnerait que les agresseurs de Sarah soient des blonds aux bleus...
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Où passe notre argent?
Et voilà l'argent de nos impôts qui passe pour la défense de Salah Abdeslam! Je suis surpris du peu de remous que crée cette nouvelle ahurissante. Il va bénéficier de l'aide juridictionnelle, mesure normalement réservée aux personnes sans moyens. Curieux, parce que ces terroristes, pour mener leurs attentats, ils semblent disposer au contraire de beaucoup de moyens...
Normalement, les bénéficiaires de cette aide héritent d'avocats commis d'office. Mais ce salopard bénéficie d'un statut de star de la part du PS (parti des salafistes?) au pouvoir, et va bénéficier, avec l'argent de nos impôts, d'un ténor du barreau.
La mère d'une victime des attentats de Paris a annoncé qu'elle irait en prison plutôt que de payer ses impôts pour financer la défense de ce terroriste, et on la comprend.
Si nous vivions encore dans un pays civilisé et non dans un pays décadent, une attitude décente aurait été adoptée. Toute personne a droit a un avocat, certes, mais ce droit n'est pas une obligation, donc l'état devrait refuser l'aide juridictionnelle, sachant que de plus il doit bien y avoir des avocats sympathisants des islamistes qui seraient prêts à le défendre gratuitement.
Si nous vivions dans un pays non dégénéré, l'avocat en question serait tellement harcelé par les citoyens indignés qu'il serait obligé de renoncer.
Si nous vivions dans un pays civilisé, le terroriste serait rapidement condamné à mort et exécuté. Il faut parler aux terroristes le seul langage qu'ils comprennent.
Si nous vivions dans un pays décent, des millions de citoyens suivraient l'exemple de cette dame et refuseraient de payer leurs impôts. S'il y a des millions de gens qui refusent l'impôt, on ne peut pas tous les poursuivre et les arrêter.
Mais la plupart de gens ne réagissent pas, se résignent à subir l'ignominie quotidienne. Pourtant, il reste des millions de citoyens indignés par cette nouvelle, et qui seraient capables de faire reculer les larves qui nous gouvernent. Colportons la nouvelle, que cela se sache, et que l'indignation remonte jusqu'aux oreilles du gouvernement.
Normalement, les bénéficiaires de cette aide héritent d'avocats commis d'office. Mais ce salopard bénéficie d'un statut de star de la part du PS (parti des salafistes?) au pouvoir, et va bénéficier, avec l'argent de nos impôts, d'un ténor du barreau.
La mère d'une victime des attentats de Paris a annoncé qu'elle irait en prison plutôt que de payer ses impôts pour financer la défense de ce terroriste, et on la comprend.
Si nous vivions encore dans un pays civilisé et non dans un pays décadent, une attitude décente aurait été adoptée. Toute personne a droit a un avocat, certes, mais ce droit n'est pas une obligation, donc l'état devrait refuser l'aide juridictionnelle, sachant que de plus il doit bien y avoir des avocats sympathisants des islamistes qui seraient prêts à le défendre gratuitement.
Si nous vivions dans un pays non dégénéré, l'avocat en question serait tellement harcelé par les citoyens indignés qu'il serait obligé de renoncer.
Si nous vivions dans un pays civilisé, le terroriste serait rapidement condamné à mort et exécuté. Il faut parler aux terroristes le seul langage qu'ils comprennent.
Si nous vivions dans un pays décent, des millions de citoyens suivraient l'exemple de cette dame et refuseraient de payer leurs impôts. S'il y a des millions de gens qui refusent l'impôt, on ne peut pas tous les poursuivre et les arrêter.
Mais la plupart de gens ne réagissent pas, se résignent à subir l'ignominie quotidienne. Pourtant, il reste des millions de citoyens indignés par cette nouvelle, et qui seraient capables de faire reculer les larves qui nous gouvernent. Colportons la nouvelle, que cela se sache, et que l'indignation remonte jusqu'aux oreilles du gouvernement.
phildlm- Duc(hesse)
- Age : 58
Localisation : Auvergne, entre Clermont et Lyon
Date d'inscription : 19/08/2007
Re: Où passe notre argent?
Voilà où mènent toutes ces balivernes de droit-de-l’hommisme et autre état de droit : le chaos et l'indécence.
Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
M. Moscovici, pour tenir de tels propos, vit dans sa tour d'ivoire bruxelloise, avec tous les avantages liés à sa fonction. Il s'exprime en eurocrate coupé du monde. Pourquoi n'irait-il pas expliquer les bienfaits sur la croissance de l'afflux de migrants aux commerçants du Calaisis, une région dont l'image et l'économie sont dévastées par la sinistre Jungle, un gigantesque bidonville ou zone de non-droit où se sont installés dans la plus totale illégalité des milliers de migrants? 400 commerçants de Calais ont porté plainte contre l'Etat en raison de l'effondrement de leur chiffre d'affaires de 40% depuis le début de l'année. M. Moscovici aurait-il le courage d'aller leur expliquer les bienfaits du flux migratoire sur la croissance? Et les riverains des bidonvilles parisiens de Stalingrad, de la Chapelle, d'Austerlitz, qu'en pensent-ils?
Philo- Fondateur
- Age : 72
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Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Alors que 'notre' ministre de la culture inculture Cassoulay est à Cannes et critique l'annulation du concert de M... à Verdun, elle ne s'offusque pas de la sélection française du festival. Bien entendu, c'est financé par son ministère à hauteur de 129 000€ !
Rester vertical, Accouchement et sexe féminin filmés au plus près, sodomie avec un mourant....Comme avec Black m, c'est l'art décadent socialo financé par nos impôts...
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Invité- Invité
Re: Où passe notre argent?
Faisant suite à l'étude sur l'absentéisme dans les 30 premières villes de France de 2014 (chiffres 2011), la Fondation iFRAP continue son enquête avec la consultation des bilans sociaux 2014 des 50 plus grandes villes (chiffres 2013). Ayant participé au comparatif 2014, il faut regretter que les villes de Montpellier (qui arrivait en tête avec 39,16 jours d'absence par agent en moyenne), du Mans, de Caen et d'Angers, n'aient pas répondu à nos demandes de bilans sociaux. Dans le nouveau palmarès, les villes de Boulogne, de Dijon, de Rouen, de Brest et de Paris n'ont pas non plus communiqué de données exploitables par nos équipes.
Ce qu'il faut retenir du palmarès de l'absentéisme dans les plus grandes villes de France :
En 2013, c'est la ville d'Amiens qui arrive en tête du classement avec 39,94 jours d'absence par agent, suivi de Marseille (36,80), Avignon (35,07) et Grenoble (34,84).
Les fonctionnaires sont plus absents que les agents non titulaires de la fonction publique : A Amiens, les fonctionnaires sont 3,4 fois plus absents que leurs collègues non titulaires (49,3 jours contre 13,7 jours). Si l'on regarde uniquement l'absentéisme des fonctionnaires, le classement change puisque après Amiens, on trouve Montreuil (45,7), Toulon (45) et Argenteuil (39,5).
Il n'y a qu'à Saint-Etienne, que les non titulaires sont presque autant absents que les fonctionnaires : respectivement, 26,9 et 32,1 jours d'absences par agent et par an, en moyenne.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Les contribuables parisiens financent le Qatar
Parmi les subventions votées fin mars par le Conseil de Paris, on trouve :
- 200 000 euros à PSG Handball, qui appartient à l’émir du Qatar
- 25 000 euros à Fu-Jo Toulon : organisation de concerts dans les prisons de la région PACA
- 35 000 euros à Stand Up à Viry-Chatillon : danses Hip-hop dans l’Essonne
- 44 500 euros à Hip-hop citoyens : danses « en France et à l’étranger »
Les contribuables parisiens félicitent les heureux bénéficiaires.
Parmi les subventions votées fin mars par le Conseil de Paris, on trouve :
- 200 000 euros à PSG Handball, qui appartient à l’émir du Qatar
- 25 000 euros à Fu-Jo Toulon : organisation de concerts dans les prisons de la région PACA
- 35 000 euros à Stand Up à Viry-Chatillon : danses Hip-hop dans l’Essonne
- 44 500 euros à Hip-hop citoyens : danses « en France et à l’étranger »
Les contribuables parisiens félicitent les heureux bénéficiaires.
Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Coût des grèves et des blocages : déjà 7,2 milliards d’euros
Read more at [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Chiffrer le coût des grèves est un exercice difficile, nul ne le conteste. Outre les pertes sèches en termes de production, il faut évaluer le coût des heures de travail perdues par les salariés à attendre un mode de transport, la baisse de fréquentation des commerces, les annulations de nuitées d’hôtel, les pertes de clients par les PME, les conséquences sur leurs fournisseurs, sans oublier le préjudice lié à la dégradation de l’image de la France à l’étranger qui se traduit nécessairement par une baisse d’investissement sur le territoire.
Toutefois, depuis la fin des années 90 (et notamment la parution d’un article de J.-P. Coindet, en octobre 1998 dans le Journal of Transportation and Statistics), il est acquis qu’un mouvement social d’ampleur comme celui que nous connaissons aujourd’hui, coûte environ 300 millions d’euros par jour. Cette estimation rejoint celle qui avait été faite en novembre 2010 par Christine Lagarde, alors ministre de l’Economie, qui avait considéré que le coût de la mobilisation contre la réforme des régimes spéciaux de retraites s’élevait à 300 ou 400 millions d’euros par jour.
Certes depuis le démarrage de la mobilisation, le 9 mars, le pays n’a pas été complétement bloqué tous les jours. Il a toutefois subi de fortes perturbations plusieurs fois par semaine depuis cette date. Si l’on s’accorde pour considérer que le pays a été paralysé deux jours par semaine depuis le 9 mars jusqu’à aujourd’hui, soit 12 semaines, on arrive à un coût de 7 milliards 200 millions d’euros (300 millions d’euros multipliés par 24 jours).
Le gouvernement tait soigneusement le montant de la facture, qui va encore augmenter dans les jours qui viennent pour rapidement dépasser les 10 milliards d’euros.
Le gouvernement essaye une fois de plus de cacher l’ampleur du désastre que son incompétence laxiste a rendu possible.
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Chiffrer le coût des grèves est un exercice difficile, nul ne le conteste. Outre les pertes sèches en termes de production, il faut évaluer le coût des heures de travail perdues par les salariés à attendre un mode de transport, la baisse de fréquentation des commerces, les annulations de nuitées d’hôtel, les pertes de clients par les PME, les conséquences sur leurs fournisseurs, sans oublier le préjudice lié à la dégradation de l’image de la France à l’étranger qui se traduit nécessairement par une baisse d’investissement sur le territoire.
Toutefois, depuis la fin des années 90 (et notamment la parution d’un article de J.-P. Coindet, en octobre 1998 dans le Journal of Transportation and Statistics), il est acquis qu’un mouvement social d’ampleur comme celui que nous connaissons aujourd’hui, coûte environ 300 millions d’euros par jour. Cette estimation rejoint celle qui avait été faite en novembre 2010 par Christine Lagarde, alors ministre de l’Economie, qui avait considéré que le coût de la mobilisation contre la réforme des régimes spéciaux de retraites s’élevait à 300 ou 400 millions d’euros par jour.
Certes depuis le démarrage de la mobilisation, le 9 mars, le pays n’a pas été complétement bloqué tous les jours. Il a toutefois subi de fortes perturbations plusieurs fois par semaine depuis cette date. Si l’on s’accorde pour considérer que le pays a été paralysé deux jours par semaine depuis le 9 mars jusqu’à aujourd’hui, soit 12 semaines, on arrive à un coût de 7 milliards 200 millions d’euros (300 millions d’euros multipliés par 24 jours).
Le gouvernement tait soigneusement le montant de la facture, qui va encore augmenter dans les jours qui viennent pour rapidement dépasser les 10 milliards d’euros.
Le gouvernement essaye une fois de plus de cacher l’ampleur du désastre que son incompétence laxiste a rendu possible.
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Philo- Fondateur
- Age : 72
Localisation : Paris
Date d'inscription : 01/10/2005
Re: Où passe notre argent?
Pour mieux comprendre la grève SNCF !!!
SNCF, recettes annuelles : 9 milliards d'euros
Budget annuel : 18 milliards d'euros
Subvention annuelle de l'état : 12 milliards d'euros soit un Crédit Lyonnais tous les deux ans avec nos impôts !
Financement des retraites : 14 milliards toujours avec nos impôts
Dette à financer : 2 milliards (SNCF +RFF, l'équivalent du CDR au Lyonnais)
Situation d'un conducteur de TGV :
Salaire : de 2 200 euros net en début de carrière (2 smics) a 3 200 (4 880 net conducteur TGV) en fin de carrière. => Plus :
prime de fin d'année,
prime de travail (restons calme),
prime de parcours,
prime de TGV,
prime de charbon (vous lisez bien),
gratification de vacances (restons calme),
gratification annuelle d'exploitation,
indemnités pour heures supplémentaires,
allocation de déplacements (non imposable) etc.
Horaire de travail : 25 heures par semaine (vive les 35 heures)
Pour un conducteur TGV de 40 ans le salaire net Annuel toutes primes et avantages confondus s'élève a 75 000 (source vie du rail 2002) (là vous pleurez !!!)
Retraite à 50 ans (quand la France entière doit travailler jusqu'a 60 ans)
Soins : gratuits (sur leur temps de travail) auprès d'un des 15.900 établissements de soins agrées ou ils sont couverts à.. 100 %
Attendez … ce n’est pas fini !!!
Autres privilèges : gratuité des transports pour les agents et leur famille, C.E. très généreux, ET L'EMPLOI A VIE... ET ILS OSENT SE METTRE EN GRÉVE ET PRENDRE LES USAGERS (le mot client n'existe pas a la SNCF) EN OTAGE …ET ON LAISSE FAIRE...
Encore quelques petites dernières pour vous achever !
Pour les sédentaires qui n'avaient droit à aucune prime, la SNCF leur a créé la "prime d'absence de prime" !!! (texto !)
La SNCF représente 1% des emplois en France mais ses salariés cumulent 20% des jours de grève effectués en France
Faites suivre ce message à un maximum de gens autour de vous qui empruntent la SNCF régulièrement pour ne plus jamais entendre à chaque grève un " usager " à la radio dire : "Ils ont sûrement raison de faire grève en 2016 ?????
Chut faut pas l'dire.
SNCF, recettes annuelles : 9 milliards d'euros
Budget annuel : 18 milliards d'euros
Subvention annuelle de l'état : 12 milliards d'euros soit un Crédit Lyonnais tous les deux ans avec nos impôts !
Financement des retraites : 14 milliards toujours avec nos impôts
Dette à financer : 2 milliards (SNCF +RFF, l'équivalent du CDR au Lyonnais)
Situation d'un conducteur de TGV :
Salaire : de 2 200 euros net en début de carrière (2 smics) a 3 200 (4 880 net conducteur TGV) en fin de carrière. => Plus :
prime de fin d'année,
prime de travail (restons calme),
prime de parcours,
prime de TGV,
prime de charbon (vous lisez bien),
gratification de vacances (restons calme),
gratification annuelle d'exploitation,
indemnités pour heures supplémentaires,
allocation de déplacements (non imposable) etc.
Horaire de travail : 25 heures par semaine (vive les 35 heures)
Pour un conducteur TGV de 40 ans le salaire net Annuel toutes primes et avantages confondus s'élève a 75 000 (source vie du rail 2002) (là vous pleurez !!!)
Retraite à 50 ans (quand la France entière doit travailler jusqu'a 60 ans)
Soins : gratuits (sur leur temps de travail) auprès d'un des 15.900 établissements de soins agrées ou ils sont couverts à.. 100 %
Attendez … ce n’est pas fini !!!
Autres privilèges : gratuité des transports pour les agents et leur famille, C.E. très généreux, ET L'EMPLOI A VIE... ET ILS OSENT SE METTRE EN GRÉVE ET PRENDRE LES USAGERS (le mot client n'existe pas a la SNCF) EN OTAGE …ET ON LAISSE FAIRE...
Encore quelques petites dernières pour vous achever !
Pour les sédentaires qui n'avaient droit à aucune prime, la SNCF leur a créé la "prime d'absence de prime" !!! (texto !)
La SNCF représente 1% des emplois en France mais ses salariés cumulent 20% des jours de grève effectués en France
Faites suivre ce message à un maximum de gens autour de vous qui empruntent la SNCF régulièrement pour ne plus jamais entendre à chaque grève un " usager " à la radio dire : "Ils ont sûrement raison de faire grève en 2016 ?????
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